Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Aida & Elena Botazzi, the Godmothers [Valideys]

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Aida / Elena Bottazzi

E.S.P.er

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  • Fiche

    Description
    Blondes, fines, avec de belles courbes et des sourires d'anges. Telles seraient les descriptions génériques des soeurs Bottazzi. Mais sous leurs dehors de filles de bonne famille, elles cachent leur activité de mafieuses. Elles sont même "Marraines" de leur organisation stationnée à Chicago dans l'Illinois.
    
    Enjouée, curieuses, entrepranantes et sexuellement délurées, ces vraies jumelles sont toujours ouvertes à l'inconnu et n'ont peur ne de prendre des coups ni d'en rendre. Les cadavres dans leurs placards sont là pour en témoigner.

Aida & Elena Botazzi, the Godmothers [Valideys]

lundi 03 août 2015, 01:00:14


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♠ NOM : Bottazzi

♠ PRÉNOMS : Aida & Elena

♠ RACE: Humaines ESPer

♠ SEXE : Féminins

♠ ÂGE : 25 ans chacune

♠ ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelles



Les jumelles Bottazzi sont deux grandes et plantureuses blondes aux longs cheveux presque blancs hérités de leur mère. Des visages souriants et facilement aguicheurs, avec de petit nez fins, des lèvres minces, des visages fins également aux mentons un peu pointus ainsi que de beaux yeux couleur noisettes qu'elles tiennent de leur père. Les deux damoiselles aiment à se promener en costumes masculins qui mettent aisément en valeur leurs poitrines généreuses, leurs fesses bien rondes et délicieusement galbées. Quand elles décident de s'habiller de manière plus féminines, les gens sont souvent en pâmoison devant leurs interminables jambes lisses et fuselées, leur chute de reins fines et délicates et d'aucuns n'auront qu'envie de goûter à leur peau pâle malgré leur origine de la célèbre île Italienne. Cependant, leurs corps, moins que fin, sont plus athlétiques qu'il n'y paraît, les deux damoiselles ayant des habitudes plutôt sportives héritées de leur enfance et qu'elles continuent à pratiquer maintenant adultes.

Pour se différencier, Elena porte plus souvent des costumes trois-pièce, des tailleurs féminins avec pantalon. Elle aime le style que lui donnent les rayures de ses pardessus en soie fine et adore porter le cravate. Petit côté canaille à son apparente austérité, elle porte souvent une chaîne accrochée à la ceinture de son pantalon à laquelle elle suspend ses clés et un petit crucifix en argent au centre duquel se trouve une rose d'or et de rubis.

Pour sa part, Aida est plutôt amatrices de blousons de cuir, porte facilement des gants destinés à éviter que le volant de sa voiture ou les poignées de sa moto ne lui échappent quand elle devient un peu sèche sur sa conduite et, si elle n'est pas contre les jupes courtes, préférera des pantalons de cuir, matière qu'elle adore sentir sur sa peau.

Toutes deux accordent énormément d'importances à leurs chaussures. Elles doivent avant tout être confortables, c'est pour cette raison qu'elle sont toujours faites sur mesure afin d'éviter d’abimer leurs pieds, qu'elles ont fort beau et qu'elles entretiennent au nom d'un léger fétichisme de ceux-ci. Mais à cause de leur occupation, où il n'est pas rare qu'elles soient amenées à devoir bouger vite, elles se rabattent plutôt sur des Rangers légères avec un léger talon ou, parfois pour Aida, des bottes de moto, ce qui est souvent considéré comme une faute de goût par leurs interlocuteurs qui ont le loisir de remarquer ce détail. Même si chez elles, les deux jeunes femmes préfèrent de loin déambuler pieds nus.

Toutes deux ont l'habitude de porter des lunettes, même si la très légère myopie qu'elles avaient étant enfant est depuis longtemps corrigée. À nouveau, Elena se distingue d'Aida par son goût pour les verres fumés là où sa sœur est plus portée sur des verres classiques, mais toutes deux s’accordent à dire que ça leur donne un petit air coquin.


Décrire leur psychologie est impossible chacune de son côté et ce à cause de leurs pouvoirs. Car Elena et Aida son télépathes depuis leur plus tendre enfance. Être dans la même pièce qu'elles, c'est se heurter à de longs silences pendant lesquels elles communiquent en réalité mentalement. Une personne très douée en déchiffrage du langage corporel pourra réaliser que quelque chose cloche, mais comme les jumelles ne remuent pas leurs lèvres ou ne change pas spécialement de rythme de respiration et ne prennent même souvent pas le peine de se regarder quand elles communiquent mentalement, cette personne en sera réduite aux suppositions.

Les deux sœurs n'ont, de leur vie, jamais été en désaccords. Quand il est impossible de cacher la moindre pensée qui vous traverse l'esprit à la personne que vous considérez comme la moitié de vous-même, vous obtenez simplement une sorte d'entité unique qui se considère comme ayant deux corps toujours connectés à une sorte d’intelligence commune. Leurs lien est si fort qu'elles sont habituée à pouvoir voir l'une par les yeux de l'autre ou même sentir ce que l'autre ressent, ce qui est très grisant quand vient le moment de rejoindre la couette pour l'une de leur activité préférées. Car oui, les jumelles, sont loin d'être coincées niveau sexe. Elles sont même plutôt décrites comme "débridées". L'inceste est pour elles un concept idiot, de même que l'homosexualité ou la bisexualité. Leur crédo est simple : Du moment que c'est agréable, pourquoi s'en priver ?

Les croire insouciantes serait pourtant une erreur grave qu'elles exploiteraient immédiatement. Aida et Elena sont réfléchies, curieuses, joueuses, ouvertes d'esprit, entreprenantes et ont le sens des affaires. Mais leur activité suppose aussi une forte volonté, une poigne d'acier dans un gant de velours et parfois une grande froideur. Quand vient l'heure de diriger, les sœurs sont souvent intraitables sur leurs exigences et n'ont que peu de pitié pour celles et ceux qui tombent dans leurs filets. L'argent et les sentiments n'ont que peu à faire ensemble selon elles, sans parler du sexe qui est un sujet complètement détaché du reste. Elles peuvent très bien envisager de coucher avec une personne qu'elles savent en train de les manipuler ou qu'elles s'apprêtent à gruger. Cependant, elles ne sont pas injustes pour autant, même si abuser du système constitue une bonne partie de leur fonds de commerce. Elles ont fondé leur réputation sur leur fiabilité et le souci donné à respecter leur parole ainsi que sur quelques exemples de ce qui peut arriver à ceux qui les sous-estiment.


CHAPITRE 1
Il ÉTAIT UNE FOIS...

Il était une fois, en Sicile... Hélas non. Il était une fois, à Chicago, le 12 mai 1990 pour être plus exact, un homme du nom de Guiseppe Bottazzi. Approchant gentiment la quarantaine, cet homme au physique agréable et au visage aimable approcha du comptoir d’accueil de la clinique privée Sainte-Marie des grands Lacs. Tout sourire avec la standardiste, il obtint aisément le numéro de la chambre où se trouvait sa femme et ses deux filles toutes nouvellement nées. Guiseppe s'y rendit, un énorme bouquet de roses blanches et une boîte de chocolats sous le bras. Il y fut accueillit par le tendre sourire de sa douce épouse, Carlina Bottazzi, une jeune femme aux longs cheveux blonds et aux yeux gris dont le visage était encore orné des cernes du dur accouchement qu'elle avait enduré au cours de la nuit pour mettre au monde les jolis bébés qu'elle tenait contre elle, emmaillotés dans de moelleuses couvertures roses. Deux jolies petites filles, toute mignonnes même si un peu petites car nées deux semaines avant terme. L'homme éprouva un vif bonheur à cette vision, bonheur qui fut instantanément assombris quand un autre homme se leva de la chaise au côté du lit de son épouse.

Don Vito Corleone, bel homme dans la fleur de l'âge aux bajoues légèrement pendantes et aux traits affaissés lui sourit à son tour, étirant sa moustache d'un sourire qui se voulait chaleureux et agréable. Mais qui au fond, n'était qu'une façade. Car sous ses pommettes grisonnantes, il était de notoriété publique que l'homme était jaloux. Comme il était de coutume dans la famiglia, le parrain de Bottazzi avait été invité au mariage de celui qui était un de ses plus fidèles lieutenants. Sauf que ce jour qui se voulait sans nuage avait été entaché d'un énorme soucis car le parrain eut immédiatement le coup de foudre pour la mariée. Hélas, les choses étaient faites, et Carlina, de dix ans la cadette de son mari, qu'il ne connaissait que depuis quelques heures, convolait le soir même en justes noces avec l'un de ses meilleurs hommes de main. Veuf depuis de nombreuses années, son épouse ayant été emportée dans une malheureuse attaque qui à l'origine visait Don Corleone, celui-ci avait multiplié les maîtresses, mais n'avait jamais eu l'idée d'à nouveau épouser qui que ce soit.

Mais ce qu'il ressenti pour Carlina, plus que de l'amour, était surtout une attirance physique sauvage, presque bestiale et l'idée qu'elle écarte les cuisses pour son lieutenant et non lui le rongea de sombres pensées dès le premier soir. Dès lors, alors qu'il avait toujours eu de bonnes relations avec Guiseppe, Don Corleone commença doucement à changer. Cela ne se fit pas en un jour, mais pris des années. D'abords réaffecté à des travaux plus "ingrats" mais plus sûrs d'après le parrain, "pour le préserver lui et sa nouvelle épouse", Guiseppe fut avec le temps de moins en moins estimé et perdit peu à peu de son influence dans la famiglia, surtout à cause de quelques lamentables échecs que le parrain ne se privait pas de lui reprocher en publique comme en privé.

Mais qu'importe cela, pensait-il. Il avait un travail qui le mettait lui et son épouse à l'abri du besoin et quand cette dernière lui annonça qu'elle était enceinte, il en oublia sa triste situation pour nager dans le bonheur. La nouvelle n'eut pas l'effet escompté sur son employeur hélas qui le submergea de travail. Voulant malgré tout bien faire, Guiseppe accepta et fut de plus en plus souvent éloigné du nid familial. Nid que le coucou qu'était Don Corleone, s'empressa d'investir sous le motif de vouloir prendre soins de la famille de ses hommes. Il multiplia les visites de courtoisie, restant souvent dîner ou invitant madame Bottazzi à l'accompagner dans les restaurants les plus chics de la ville. Hélas, la trop naïve épouse de Guiseppe n'y vit que ce que le parrain prétendait que c'était, à savoir des actes désintéressé de la part d'un employeur attentionné envers ses hommes. Son mari par contre, comprit petit à petit le manège. Preuve s'il en fallait, le travail de dernière minutes que Don lui avait confié hier soir à peine deux minutes après qu'il soit arrivé avec sa femme en train d'accoucher à la clinique. Il n'avait pas eu d'autre choix que de laisser sa femme accoucher seule.

Ou du moins, le croyait-il.

- Guiseppe, quel bonheur ! Tu as enfin pu terminer ton travail ?

- Oui, mio amore, répondit le nouveau père en venant déposer un baiser sur le front de son épouse.

La jeune femme lui sourit tendrement avant de lui tendre les couffins contenant ses enfants.

- Regarde mon chéri. Ne sont-elle pas magnifiques ? Lui demanda-t-elle d'une voix attendrie. Quel dommage que tu n'aie pas pu être là pour les voir venir au monde... Termina-t-elle avec une expression un brin moins joyeuse.

- Oui, quel dommage en effet... Commenta Guiseppe sans oser relever un regard accusateur sur Don Corleone.

- Heureusement, Monsieur Corleone est venu pour me tenir la main. Tu as vraiment de la chance d'avoir un employeur aussi attentionné.

Carlina ne remarqua pas son mari blêmir de rage, Don Vito, lui, le vit aisément et comprit que cela commençait à sentir vraiment mauvais.

Malgré tout les efforts déployés par le parrain pour essayer de séduire la femme de son lieutenant, celle-ci s'obstinait à ne voir que celui-ci. Et comble du désespoir, il y avait désormais deux moutards dans l'équation le séparant de celle qu'il désirait plus que tout voir dans son lit. Malgré qu'il les ai vu venri au monde, il conçu une énorme rancune contre ces deux bébés tout juste nés. Mais Don Corleone était un homme patient à défaut d'être réfléchit quand ses pulsions sexuelles s'en mêlaient. Afin d'éviter la confrontation avec un homme qu'il avait lui-même poussé à devenir dangereux au fil du temps, Don Vito fit semblant de faire le dos rond, et livra une performance d'acteur exemplaire pour faire croire à son lieutenant que le fait d'avoir vu les filles de Guiseppe naître l'avait transformé. Il jura ses grands Dieux qu'il n'approcherait plus sa femme et s'excusa en privé de sa jalousie déplacée. Sa situation s'améliorant à nouveau et son employeur redevenant soudain l'homme agréable qu'il avait été avant son mariage, Guiseppe se laissa tenter de le croire et coula un ans et demi de bonheur avec sa petite famille.

Et un soir pluvieux de novembre 1991, les freins de la Lamborghini que Guiseppe conduisait tous les jours depuis trois ans, trouvèrent plus amusant de le laisser s'écraser au fond d'un ravin. Attristé comme il se doit, Don Corleone appela la maison familiale pour annoncer le triste incident à la veuve. Et eu la plus mauvaise surprise de sa vie en tombant sur la bonne qui lui apprit que madame Bottazzi avait finalement changé d'avis et avait suivi son mari dans ce voyage d'affaire dans le Montana.

"Dévasté", voici le mot qui qualifia le mieux Vito Corleone qui n'était guère étranger à ce tragique incident. Si seulement il avait rencontré cette femme avant son mariage ! Si seulement il n'y avait pas eu ce Don Juan de Guiseppe pour tourner autour de cette femme ! Si seulement ce maudit ne lui avait jamais fait d'enfants !

Don Corleone était furieux ! Pire que cela, il était comme fou ! Son sang appelait à la vengeance contre cette injustice flagrante dont il était clairement la victime ! Guiseppe avait emporté son épouse dans la mort ? Il enverrait ses enfants les rejoindre ! Saisissant son téléphone, le capo tempêta et beugla ses ordres. Qu'on lui ramène les jumelles Bottazzi séances tenante ! Et encore, c'était déjà bien trop long !

Les bébés furent amenés, mais même les hommes les plus au fait de la bisbille entre Bottazzi et Corleone au sujet de son épouse n'osaient croire que celui-ci veuille s'en prendre à des enfants à peine capable de babiller de vagues parodies de mots. Et en un sens, ils eurent à la fois raison et tort. Les deux petites filles furent bien descendues dans la cave spéciale de la maison que Vito utilisait pour les quelques rares fois où il désirait lui-même "prendre les choses en main" quand il s'agissait de ses ennemis. Mais le temps avait déjà commencé son oeuvre et ses première humeurs calmées, Don Corleone, en homme malgré tout relativement pieux malgré son type d'activité profesionnelle, ne fut pas capable de dégainer son Beretta pour loger une balle dans les deux petits corps qui s'agitaient sur une couverture au sol, silencieuse pendant qu'elles agitaient l'une ou l'autre peluche.

À la place, il eut une autre idée. Ces enfants étaient l'héritage honnis de l'homme qui jusqu'au bout l'avait nargué avec la seule chose dont il avait eu envie si longtemps sans jamais pouvoir y goûter. Cette descendance était encore chaste et pure. Quel meilleur moyen pour lui de faire se retourner Guiseppe dans sa tombe que de les souiller de manière irrémédiable ? Avec un air solennel, Vito Corleone annonça à ses hommes qu'il adoptait ces enfants et qu'elles seraient désormais ses filles. Dire que la nouvelle secoua la famiglia fut donner le surnom de "pétard mouillé" à la bombe d'Hiroshima.

Mais pourtant c'est bien ce qu'il fit. Une fois tous les papiers expédiés et les deux enfants installées en sa demeure, Corleone eut tout le loisir de planifier sa vengeance. Il confia les demoiselles à une prostituée qu'il sorti de l'une de ses maisons de passe clandestines pour travailleuses sans papiers. Sa seule tâche fut de nourrir et langer les enfants pendant leurs premiers mois, le temps qu'elle leur apprenne à être propres. Ses tâches devenant ensuite juste de venir leur faire à manger et les nourrir trois fois par jour et de les laver de temps à autre.

CHAPITRE 2
À L'OMBRE DE DON VITO CORLEONE

Le premier signe qui troubla ses hommes sans forcément les pousser à réagir fut de ne jamais voir le moindre vêtement sur le dos des petites filles, et qu'elles déambulaient toujours toutes nues dans la maison. Mais bon, elle étaient jeunes et Vito Corleone était un homme très pris qui n'avait pas forcément le temps de courir partout pour tenter d'enfiler de force des vêtements à des enfants dont, c'était bien connu, le fait de les enlever constituait une sorte de sport national à cet âge-là.

Mais quand Aida et Elena commencèrent à parler et à comprendre vaguement ce qu'on leur disait, Corleone fit entre une autre personne dans son entourage pour s'en occuper. Elle s'appelait Maria Lucia et depuis bientôt dix ans, était à la fois sa maîtresse favorite et aussi la gérante de plusieurs de ses affaires de prostitution. C'était une belle femme typée Brésilienne avec de longs cheveux noirs bouclés, des lèvres pulpeuses et un corps qui avait malgré tout eu recours à quelques chirurgiens pour afficher les formes qui plaisaient le plus à son employeur. Ses instructions lui firent ouvrir des yeux immense tant par leur simplicité que par leur cruauté.

- Ma bonne Maria, vois-tu ces jolies petites filles qui jouent dans mon salon ? Ta mission est d'en faire pour moi les reines des salopes soumises à mon désir pour que je puisse en profiter pleinement dès leur majorité quand ta beauté aura fanée et tes forces diminuées. À ce prix, je te céderais une coquette somme quand le temps sera venu pour moi de me séparer de toi et cette maison de vacances que tu aimes tant à Miami.

- Mais elles sont trop jeunes Don ! Rétorqua cette dernière en regardant les enfants jouer. Quand bien même souhaiterais-je leur apprendre à se caresser qu'elles ne ressentiraient rien !

- Qu'à cela ne tienne, tu pourras toujours faire leur éducation en attendant. Par contre, soit prévenu d'avance que si une seule d'entre elle vient un jour à m'appeler "papa", vous finirez toutes les trois dans le lac Michigan avec suffisamment de béton aux pieds pour couleur un porte-avion, suis-je clair ?

- Ou... Oui Don... Acquiesça Maria en se demandant encore comment elle allait pouvoir faire cela.

En manque d'inspiration, elle se décida par commencer en leur donnant des connaissances scolaires basiques. Pour éviter de froisser leur "père", elle évita de les faire sortir plus loin que la terrasse déjà fort grande de la maison. Surtout, elle réalisa que son employeur prenait un malin plaisir à leur refuser tout accès à une garde-robe quelconque, vantant les mérites de la propreté plutôt que celle du port des vêtements et les encourageant à se laver plusieurs fois par jour. L'idée de se promener avec des enfant n'ayant pas cinq ans flambant nue ne la réjouissant pas, Maria s'en tint à apporter l'école aux filles, puisqu'elle ne pouvait apporter les filles à l'école.

En cela, Maria avait l'avantage de travailler déjà avec un nombre considérable de jeune femmes plus ou moins illettrées venant de pays pauvres ou défavorisés pour travailler dans les bordels clandestins ou non de la famiglia, aussi, donner des notions de base en anglais ne posa guère de soucis à la Brésilienne dans les premières années des jeunes filles. Celui qu'elle apprirent à appeler "oncle Vito", ou "tonton Vito" quand il était de bonne humeur, ne leur parla jamais qu'en Italien, afin de pouvoir les commander plus tard dans la langue qu'il lui conviendrais d'user avec ses futurs esclaves sexuels. Maria avait aussi l’énorme avantage, aux yeux de Don Corleone, de savoir faire taire ses sentiments quand arrivait le temps pour une fille de rembourser son passage clandestin aux états-unis et elle fit preuve de la même efficacité avec les demoiselles. Ce fut elle qui suggéra que, pour les pousser à plus de proximité entre elles, il serait bon de les faire dormir dans le même lit, sans leur donner l’opportunité de faire chambre à part. Vito Acheta donc un grand lit double qui devint le lit communautaire des demoiselles alors qu'elles grandissaient.

Préférant user de tendresse que de sévérité, Maria se fit douce avec les jeunes filles, les couvrant de fréquents câlins, les poussant également à s'en faire entre elles aussi souvent qu'elles le souhaitaient. Ne comprenant pas pourquoi les adultes portaient des habits et pas elles, la question fut finalement balayée par l'argument imparable de : "c'est une chose pour les grands". N'étant pas maltraitées, ou en tout cas n'ayant pas l'impression de l'être, Aida et Elena devinrent des naturistes par obligation à défaut d'envie.

Maria leur prodigua des cours pour leur apprendre à lire et à écrire car elle savait pertinemment que, même si elles étaient destinées aux sexe, les filles cultivées s'en sortaient bien mieux et s'ennuyaient beaucoup moins quand elles savaient faire plein de choses. Et puis, même si les hommes n'appréciaient pas toujours les filles intelligentes, celles qui n'avaient pas les clés pour comprendre qu'elle dérangeaient leur protecteur ne faisaient jamais long feu. Elle leur enseigna à lire et à écrire aussi bien l'anglais que l'espagnol qui était sa langue natale. Elle nota que les filles étaient extrêmement silencieuses quand elles travaillaient ou que personne ne leur posait de questions, mais dans ces premières années, elle se félicita juste d'avoir des élèves si appliquées. C'est à force de les faire lire qu'elle remarqua un léger problème de vue qui fut corrigé à l'aide du docteur de Vito qui leur fit faire des lunettes.

Mais les demoiselles poussèrent, et si elles ne quittèrent pas tout de suite l'enfance, déjà avant leur adolescence, quelques hommes de mains de la famille commencèrent à manifester leur gène de voir les demoiselles toujours aussi nues quand ils venaient voir Don Corleone chez lui. Beaucoup étaient eu-mêmes pères de famille et cela les dérangeait. Beaucoup étant de bon catholiques, leurs arguments finirent par faire plier un peu le parrain, qui consenti à les munir de peignoirs qu'elle pourraient porter quand il recevrait du monde à la maison.

Aida et Elena progressaient également très vite dans les maigres études que Maria était capable de leur fournir. Si elle doutait qu'elles soient au même niveau que des enfants scolarisé du même âge qu'elles, il ne lui fit cependant aucun doute qu'elle apprenaient très facilement en autodidacte. Elle se prit à leur confier des livres et des exercices plus avancés pour nourrir leur soif de savoir qui progressa sans cesse. Jusqu'au jours où, pour leur onze ans, elle parvint à convaincre Don de leur acheter un ordinateur, un de ceux qu'elle pourrait relier à des programmes éducatifs en ligne tout en bridant à l'aide du contrôle parental l'accès au reste du net. Elles passèrent dès lors tant et plus de temps à compulser les données qui leurs étaient donnée que pour la première fois, Vito Corleone dût se fâcher pour qu'elle éteignent leur fichue machine et aillent se coucher.

Peu avant leur anniversaire de treize ans arriva un jour que Maria avait commencé à craindre. Pour la première fois, les deux demoiselles rougirent leurs draps dans leur sommeil. Leur expliquer ensuite le principe de la contraception et de la pilule fut plus aisé que la tenancière de maisons closes ne l'avait pensée, mais elle savait aussi qu'il était temps de passer à des choses plus sérieuses, ce qui l'attrista un peu. Elle s'était quand même attachée à ces petite blondes silencieuses et devoir ainsi griller les étapes de l'amour pour passer directement au sexe la mit profondément mal à l'aise. Mais plus haut que son malaise se trouvait la peur de son employeur si elle ne satisfaisait pas ses exigences.

Elle commença doucement malgré tout. Elena et Aida étaient habituée à se faire des câlins et des bisous sur la joue pour un peu tout rien et elles dormaient
déjà ensemble en se serrant l'une contre l'autre la nuit. Ce tabou n'étant déjà pas présent, elle leur demanda ensuite si elles avaient commencé à remarquer que certaines parties de leurs corps étaient plus agréables à être touchées que d'autres. Elle introduisit ainsi tranquillement au fil des jours la découverte de leurs zones érogènes avant d'aborder le sujet qu'elles puissent se caresser pour se faire du bien. À nouveau, elle réalisa que les demoiselles partaient littéralement au quart de tour quand elle faisaient des choses en même temps, mais elle en déduisit juste qu'elles étaient particulièrement sensibles.

CHAPITRE 3
DU SEXE ET DU SANG

Cependant, un éléments vint profondément perturber les jeunes filles dans leur apprentissage ô combien particulier. Le soir même précédent leur treizième anniversaire, "oncle" Vito leur fit enfiler leurs peignoirs pour les faire monter dans sa voiture en pleine nuit. Mais pas du côté terrasse, du côté route cette fois. Un saut dans l'inconnu pour Aida et Elena qui ne connaissaient que le terrain de la propriété isolée de tout. Le trajet ne fut pas long, et la nuit ainsi que les vitres teintées ne leur permirent pas de distinguer grand-chose. Don Corleone les amena à la maison où elles avaient failli perdre la vie plus de onze ans auparavant. Descendre à la cave ne fut pas compliqué, mais elles ne purent que regarder avec des grands yeux la personne avec un sac en lin sanglant sur la tête et attaché à la chaise qui s'y trouvait. Leur silence satisfit Vito qui s'enquit auprès de ses hommes de main si leur "invité" avait livré les informations qu'il souhaitait. Ceux-ci répondirent que oui, mais s'inquiétèrent de la présence des tous juste adolescentes. Don Corleone balaya la remarque d'un geste négligeant de la main et se lança ensuite sur une longue explication de ce qu'était la loyauté et des valeurs qu'il y attachait dans sa famiglia. Le discours s'adressait à la fois à ses hommes de main, mais surtout aux jeune filles auquel il posa de nombreuses questions pour s'assurer qu'elles comprenaient bien de quoi il parlait. Plutôt dociles, les demoiselles acquiescèrent et répondirent à ses question du mieux qu'elle le purent, ce qui amusa le vieux maffieux car elle se montrèrent alors plus précise en bien des points que nombre des hommes de main qu'il employait.

Vito Corleone attendait depuis déjà plus de onze ans sa vengeance, mais même s'il savait être patient, il il arrivait aussi parfois d'avoir envie d'accélérer un peu les choses. Il avait déjà saisi quelques gémissement et bruits encourageants provenant du salon quand Maria leur faisait ses petits cours. Mais plus Vito y avait réfléchit, plus en faire de simples salopes lui semblait trop doux. Certes, il n'attendait le jour de leurs dix-huits ans qu'avec plus d'impatience, mais en attendant, elles luis semblaient encore trop pures et trop chastes à son goût. Guiseppe n'avait clairement pas de quoi l'encenser depuis le paradis, mais il n'avait pas vraiment de quoi le faire se retourner dans sa tombe et il en avait assez d'attendre. Il voulait que la "souillure" commence le plus tôt possible. Et quoi de mieux qu'un petit meurtre pour bien commencer l'adolescence des filles de Bottazzi ? Avant de les couvrir de sperme, il les voulait couvertes de sang.

À son monologue sur la loyauté suivit sa définition de la traitrise. Une chose abjecte, innommable et abominable. Une chose que toute personne saine d'esprit se devait de pourchasser et de détruire. Il revint vers les jeunes filles et ressorti ce même pistolet Beretta qui l'avait suivit toutes ces années. Il se positionna ensuite à genoux derrière les deux jeunes filles qui se tenaient blotties l'une contre l'autre et les fit prendre dans leurs petites mains la lourde arme en acier à crosse de bois. Comme il s'y attendait, leurs bras frêles tremblèrent sous le poids de l'arme et il dût faire en sorte que les jumelles se mettent à quatre mains pour le tenir.

Elles avaient appris le concept des armes, elles savaient que ce qu'elles avaient en main en était une. Mais le concept de tuer quelqu'un ne restait au final pour les jeunes demoiselles qu'une notion très présente dans les livres sur l'histoire de l'humanité, guère plus. Don Corleone ne les laissait pas regarder la télévision chez lui et lui-même ne l'allumait souvent que pour regarder le téléjournal. Elle connaissaient aussi le concept de films, mais n'avaient jamais rien vu de plus long que des extraits de cinq minutes de films à but éducatifs sur leur ordinateur. Rien ne pouvait les avoir préparées à avoir un pistolet chargé en main. Rien ne pouvait leur permettre de clairement comprendre ce qu'il se passait, le rôle qu'elles prenaient malgré elles dans cette sinistres mascarade.

Vito reprit ses explications, leur montra comment lever le crans de sureté et viser. Aida était la mieux placée pour pouvoir ajuster les organes de visée avec son œil directeur, en occurrence le droit. Vito la guida pour qu'elle aligne au mieux le cran de mire et le guidon avec son œil, aidée par Elena, tout en lui enseignant à garder le doigt le long de la gâchette plutôt que sur celle-ci tant qu'elle n'était pas sûre de son tir. Aucune des deux ne comprenaient pline la situation, les hommes autours d'elles refusaient d'y croire et l'homme à la tête dans le sac était tout simplement évanoui. Aussi obéirent-elles, dociles comme elles l'avaient toujours été, leur "oncle" étant un homme qu'elles avaient appris à ne jamais contrarier. Puis il fit mettre à Aida le doigts sur la gâchette et s'assura qu'Elena pose également le sien sur celui de sa jumelle. Quand tout fut bon, il relâcha les filles et leur dit d'enfoncer la détente.

Le coup partit, les filles crièrent de terreur quand le Beretta rua dans leurs petites mains comme un animal en furie et elle le laissèrent tomber après que celui-ci soit revenu si fort en arrière qu'Aida avait manqué de se le prendre dans la figure. Terrifiées par l'objet, elles mirent plusieurs longues secondes à remarquer la nouvelle tache rouge et dégoulinante sur le mur derrière leur cible. Elles avaient mal aux oreilles, aux mains et aux bras, étaient terrifiées et tremblantes.  Mais malgré leur cri de départ, elles étaient toujours aussi silencieuses et cela plut à Don Corleone. Il le félicita chaudement avant de les ramener à sa voiture et leur acheta même des donuts sur le chemin du retour, sans pour autant les laisser sortir de la voiture aux vitres teintées.

Mais même rentrées dans le cocon douillet de la maison de leur "oncle", elle ne purent trouver le sommeil qu'une fois épuisées, tremblants longtemps l'une dans les bras de l'autre. Et toujours, cet éternel silence qui semblait être leur lot quotidien quand elles n'avaient pas d'autre individu avec lequel communiquer.

Quand Maria les trouva le lendemain, elle découvrit deux malheureuses petites choses, tremblantes, fatiguées, et les pieds sales, cachées sous leurs draps comme des fillettes de cinq ans craignant qu'un monstre de ne jaillisse de sous leur lit pour les dévorer. Elle les interrogea doucement et n'eut aucun mal à avoir leur version de ce qu'il s'était passé le soir d'avant. Mais cette fois, plus que d'autres, elle remarqua que les filles, loins d'être confuses ou incohérentes, finissaient les mots et les phrases de l'autre, comme si leurs cerveaux se séparaient les tâches et que l'un compensait ce que celui de l'autre était incapable de formuler. Ce détail la frappa beaucoup sans qu'elle puisse mettre le doigt sur pourquoi. Ce n'était pas rare que l'une dise une phrase et que l'autre reprenne sur ce que venait de dire sa sœur pour ajouter l'une ou l'autre précision ou interrogation. Mais lors de cette occasion, ce détail la frappa.

Cependant elle avait surtout deux filles terrifiées à gérer, en état de stress psychologique et de détresse. N'étant pas psychologue, Maria chercha surtout à leur changer les idées. Elle leur demanda de lui rappeler ce dont elle avaient parlées quelques jours auparavant au sujet d'une partie bien précise de leurs anatomies : leurs clitoris. Elena et Aida eurent beaucoup de peine à remuer leurs mémoires, mais finirent par redonner à peu près correctement le contenu de leurs discussions. Hochant la tête, Maria les fit ensuite s’assoir chacune sur l'un de ses genoux, leurs faisant écarter les jambes et leur expliqua qu'il existait un niveau de plaisir au-dessus des caresses. On l'appelait "l'orgasme" et Maria leur expliqua qu'elles allaient devoir se détendre et que pour cette fois, plutôt que de leur expliquer et ensuite les laisser faire, elle allait leur montrer.

La Brésilienne les toucha ensuite intimement et pris bien garde de stimuler beaucoup leur petits boutons de plaisir. Très stressées, inquiètes et effrayée, les jumelles n'en finirent pas moins par ressentir intensément le plaisir qui remontait par vague de leurs organes génitaux. Elles ne se détendirent pas vraiment, il fut plus vrai qu'elles se crispèrent beaucoup, mais quand Finalement Elena poussa un petit cri de jouissance, dans la seconde suivant sa jumelle faisait de même et toutes deux arrosèrent de leur jus intime les genoux de la maîtresse de leur oncle.

Elle devaient de souvenir toute leur vie de cette journée d'anniversaire. En moins de douze heures, elles avaient expérimenté le meurtre et l'orgasme. Un cocktail que beaucoup de psychologues auraient sans doute décrié.

Dès lors, le train de vie des jumelles changea. Si elles demeuraient livrées à elles-même durant de longues périodes avec leur ordinateur et les livres de leur "oncle" pour principale compagnie, elles n'en attendirent que plus fébrilement l'heure à laquelle Maria passait les voir. Elle ne se souciait plus du tout de leur enseigner quoi que ce soit sur le monde extérieur, leur facilité en autodidactique les servant généreusement de ce côté-ci. Dès lors, ses visites furent entièrement tournés autours de l'éducation au plaisir sexuel des deux demoiselles. Elena et Aida apprirent d'abords à se mener à l'orgasme avec leurs caresses, puis avec leurs doigts. Quelques semaines plus tard, Maria commençait à leur enseigner à embrasser, puis à comment user de leurs bouches sur leurs zones érogènes pour les préliminaires avant de s’amener à l'orgasme.

Elle trouva en les jumelles des élèves très appliquées, et même très impliquées. Comme si après leur premier traumatisme, elle faisaient une sorte de boulimie sexuelle. Don Corleone commença d'ailleurs à sortir de plus en plus souvent de la maison car l'entrain que mettaient ses "filles" à faire leurs "devoirs" devint vraiment très dur à gérer pour lui à cause du bruit que cela entraînait.

Moins d'un mois plus tard, les deux filles étaient de retour dans la cave. Avec un autre homme attaché avec un sac sur la tête. Cette fois, ce fut au tour d'Elena de viser. Les filles n'étaient pas plus rassurées que la dernière fois. À nouveau, leur "oncle" s’agenouilla à leur côté et leur fit tenir l'arme à quatre mains. Elena ajusta les organes de visée à son œil et tout comme Aida avant elle, pressa la gâchette. L'arme trembla moins, tant elles étaient arc-boutées sur elle, mais Elena manqua la tête de sa cible qui se réveilla et s'agita en gargouillant sur la chaise car la balle avait traversé son cou. Il ne put pas crier mais il terrorisa quand même les jeunes filles en s'agitant désespérément sur la chaise pendant de longues minutes avant de retomber inerte, ayant inondé le reste de ses vêtements de sang. Toutes deux se sentaient extrêmement mal après cela et en rentrant, délaissèrent les donuts de leur oncle pour s'enfermer dans leur chambre et se jeter l'une sur l'autre pour oublier ce qu'elles venaient de vivre. Le sexe devenait pour elles un exutoire, un moyens de se débarrasser de la tension et de faire retomber leur stress.

Comme palliatif, cela fonctionna plutôt bien et elles noyèrent leurs soucis sous une avalanche d'orgasmes. Un petit mois plus tard, Maria les introduisait progressivement à l'usage de jouets sexuels. Du canard en plastique au petit lapin vibrant, il leur fallut moins de six mois pour faire le tour de toutes les solutions pour grimper aux rideaux sans pourtant avoir recours à la pénétration.

Puis un nouveau cadavre vint s'ajouter à leur palmarès, mais cette fois elle réussirent à ne pas paniquer ni crier. Leur "oncle" Vito les félicita d'autant plus, même si ce fut encore à Maria de ramasser les miettes plus tard. Elle laissa traîner un peu la situation en l'état, laissant grandir les jumelles avec leur pléthore de jouets pour se satisfaire, mais s'assurant que tant qu'elle n'avait pas reçu le feu vert de leur oncle, elle ne glissaient rien d'autre que les doigts dans leurs orifices anaux et vaginaux.

Vers cette même époque, Vito, à force d'entendre les jumelles de Guiseppe se faire plaisir presque à longueur de journée, parfois même de les croiser en train de se caresser, voir de se masturber mollement pendant qu'elles étudiaient sans se gêner qu'il les regarde, redevint très actif sexuellement. Il enchaînait les visites de ses maîtresses et se mit à formuler des nouvelles consignes pour Maria.

Après un quatrième meurtre presque sans heurt dans la cave, la maquerelle Brésilienne commença à enseigner à Aida et Elena les règles élémentaires du bondage pour leurs quatorze ans, abordant longuement avec elles les questions de sécurité inhérentes à la pratique du BDSM. Plus que des nœuds complexes, l'art Japonais d'user des cordes pour ficeler quelqu'un de manière élégante apporta une nouvelle dimension aux jeux des deux jeune filles qui jusque-là se livraient plutôt à une course à la jouissance effrénée. Sous la houlette vigilante de Maria, les adolescentes découvrirent progressivement le plaisir qu'il pouvait y avoir à se trouver sans défense, à la merci de quelqu'un en qui on a confiance. Plus qu'une recherche de l'orgasme, les jeune filles commencèrent à jouer plus longuement, faisait durer leurs préliminaires d'autant plus longtemps qu'elles semblaient plongées dans leur monde quand Maria les regardait faire.

À ces occasions elle nota à nouveau d'autres détails. Comment parfois, Aida pouvait, sans regarder l'expression de sa sœur, se rendre compte qu'elle souffrait ou que quelque-chose avait été fait faux dans son ficelage et le lui rendait inconfortable. Comment subitement, alors qu'Elena touchait et caressait Aida attachée au lit, celle-ci jouit soudainement alors que sa sœur venait d'atteindre l'orgasme et qu'elle même ne se touchait pas. Comment les jeunes filles trouvaient toujours chez l'autre, instinctivement et sans échanger le moindre regard ou le moindre geste corporel, un détail qui n'allait pas ou un point douloureux.

Plus que jamais, la maquerelle eut le sentiment que les jumelles devaient avoir une sorte de lien ou de connexion qui leur permettait d'échanger des informations un peu comme deux ordinateurs en wireless. Et plus elle en était témoins, plus elle sentait que ça allait à un niveau qui dépassait les intuitions normales d'un être humain.

À force de tout le temps pratiquer l'une sur l'autre, Maria ne put que constater que les jumelles étaient devenues de très bonnes "switch", aussi bien dominantes que dominées. De même, l'année de leur quatorze ans vit une croissance spectaculaire de leurs corps et elles entreprirent de s'arrondir de touts bords, développant des formes de plus en plus alléchantes pour Don Corléone qui prit parfois le temps d'assister à leurs séances avec sa gérante de maisons de passes.

Ces spectacles langoureux et profondément érotiques éveillaient chez le vieil homme sa libido comme un volcan éteint qui décide soudain de rappeler au monde qu'il est toujours dangereux. Presque invariablement, il s'empressait de sonner l'une ou l'autre de ses maîtresses pour qu'elle accourt avant la fin du spectacle et qu'elle puisse satisfaire ses pulsions de vieux célibataire. Mais il s'en tint à sa décision, celle d'attendre qu'elles soient majeures pour les prendre définitivement comme siennes.

Lui-même plaça la barre un peu plus haut au cours de leur quatorzième année en les ramenant une nouvelle fois dans la cave. Cette fois également, un homme attaché à la chaise, mais plus de sac sur la tête. Cette fois il était non plus question d'abattre un vulgaire épouvantail. Cette fois elles avaient un homme en face d'elles. Une créature vivante, respirant péniblement et gémissant dans son inconscience troublée. Et cette fois, plus "d'oncle" Vito pour leur tenir l'arme. Juste celle-ci dans leurs petites mains et l'ordre de faire feu. L'arme leur sembla étonnamment moins lourde et moins grosse, mais elle parvinrent à la manier et à la braquer, Aida prenant l'initiative de viser. Mais alors que tout était en place, les minutes s’égrainaient et rien ne se passait. Aida comme Elena ne parvenaient à se forcer à presser la gâchette comme elles l'avaient pourtant fait quatre fois auparavant. Et quand elles finirent par demander d'un ton piteux s'il était possible de mettre un sac sur la tête du condamné, leur oncle se mit en colère et les gifla toutes les deux avant de s'occuper lui-même de régler son sort à la personne, leur ordonnant de sa grosse voix rauque de fumeur invétéré de bien regarder. Elle n'osèrent pas désobéir et virent cette fois ce que faisait exactement une balle quand elle traversait le sac sur la tête des gens. Toutes deux devinrent très pâles et Aida vomit tandis qu'Elena avait toutes les peines du monde à retenir ses haut-le-cœur.

Ramenées à la maison, leur oncle les punit en enfermant Aida dans la chambre d'amis à l'autre bout de la maison, faisant de même avec sa jumelle dans leur chambre. Maria n'eut pas le droit de les voir pendant une semaine où seul leur "oncle" leur apporta leurs repas. Quand enfin il les libéra, il fut surpris que, malgré leur lien quasi-fusionnel, aucune n'ai fait de malheur, cogné contre la porte ou hurlée pour briser le silence ambiant pendant la durée de leur captivité. Elle se tombèrent néanmoins dans les bras l'une de l'autre et passèrent le reste de la journée à rattraper le temps perdu en faisant longuement l'amour, à tel point que quand Maria vint les voir au soir elles étaient déjà lessivées. Elle décida de les laisser seules pour cette fois.
« Modifié: lundi 03 août 2015, 11:35:13 par Catalina Taylor »
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Aida / Elena Bottazzi

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    Description
    Blondes, fines, avec de belles courbes et des sourires d'anges. Telles seraient les descriptions génériques des soeurs Bottazzi. Mais sous leurs dehors de filles de bonne famille, elles cachent leur activité de mafieuses. Elles sont même "Marraines" de leur organisation stationnée à Chicago dans l'Illinois.
    
    Enjouée, curieuses, entrepranantes et sexuellement délurées, ces vraies jumelles sont toujours ouvertes à l'inconnu et n'ont peur ne de prendre des coups ni d'en rendre. Les cadavres dans leurs placards sont là pour en témoigner.

Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers

Réponse 1 lundi 03 août 2015, 01:26:25

CHAPITRE 4
DE FILLES À FEMMES

L'année des quinze ans des jumelles fut marqué par la soudaine attaque cardiaque de Vito Corleone qui dut quitter la maison quelques temps pour l'hôpital. Afin d'éviter les questions gênantes, Maria reçu pour tâche de cacher les enfant de Bottazzi dans l'une de ses maisons de passes. Hors de la maison de leur "oncle", les demoiselles rencontrèrent pour la première fois d'autres femmes que Maria. Parlant couramment l'anglais, l'espagnol et l’italien, les deux jeunes filles devinrent soudain plus curieuses. Elles avaient depuis longtemps découvert tout ce qu'il y avait à savoir sur la maison de Don Corleone et cela avait plus ou moins enterré leur curiosité au-delà du savoir qu'elles pouvaient compulser dans les livres ou sur leur ordinateur. Mais surtout, pour leur âge, elle avaient une connaissance du sexe qui était à la fois très poussée et très lacunaire suivant les domaines.

Conformément aux instructions de Vito depuis l'hôpital, les demoiselles devinrent voyeuses et s’instruisirent alors en regardant d'autres prostituées opérer, que ce soit via des caméras de surveillance ou à travers de glaces sans tain de certaines chambres spéciales qui nécessitaient plus d'attention pour éviter que les clients ne se laissent aller avec les filles. Mais une chose heurta très vite leurs connaissances. Le fait que les hommes usaient de leur sexe pour le glisser dans les parties intimes des autres filles. Elles-même n'avaient jamais eu droit qu'à leurs doigts et s'y étaient toujours tenues. Même s'il leur était arrivé de stimuler de bien d'autres manières leurs zones érotiques, cette partie les intrigua. Les témoignages qu'elles récoltèrent à ce sujet furent très divers et elles ne surent vite plus que croire à ce sujet. Certaines prétendaient ne rien sentir, d'autre au contraire prétendaient souffrir le martyr à chaque pénétration, et il y avait encore toutes les variantes entre les deux depuis l’extrêmement plaisant jusqu'au très désagréable.

Maria se trouva confrontée à un soucis qu'elle savait devoir venir un jour ou l'autre. Elle avait déjà enseigné une grande partie de son savoir aux jeune filles et si elle pouvait toujours prolonger le sujet du BDSM en abordant avec elles la question du masochisme et du sadisme, le fait était que ne rien connaître de la pénétration lui semblait plus problématique et prioritaire.

En bon catholique, Vito refusa tout net d'en parler, surtout depuis son lit d'hôpital, argumentant qu'ils les voulait vierge pour lui. Maria se demanda quoi faire jusqu'au moment où Don, agacé, l'appela en lui disant qu'aucune de ses maîtresses ne pouvait venir le voir à l'hôpital et souhaitait l'une de ses filles de luxe pour satisfaire une envie pressante. Maria eut alors la petite idée, plutôt que de lui envoyer une de ses filles de luxe, de venir avec une petite nouvelle encore vierge. Elle n'avait pas beaucoup d'expérience côté sexe et si elle avait déjà masturbé ou prodigué des fellations, elle n'avait jamais été pénétrée et maria cherchait une bonne occasion de lui faire perdre sa virginité. Comme il fallait s'y attendre, ce fut loin d'être concluant et Vito s'agaça de ce manquement à ses consignes. Mais Maria en profita plutôt pour illustrer son propos. Si les jumelles Bottazzi arrivaient encore vierges dans son lit, il ne serait pas plus satisfait qu'il ne l'avait été avec cette jeunette inexpérimentée.

Malgré sa rancune, Vito ne put qu'admettre que l'idée de revivre une telle déception avec les filles sur lesquelles il fantasmait ouvertement depuis maintenant plusieurs années ne l'enchantait guère. Avec son retour et celui d'Aida et Elena à la maison, il donna son feu vert pour qu'elle soient entrainées à accueillir un organe masculin en elles. Mais ne voulant pas rompre son vœu de ne les prendre qu'à leur majorité et refusant qu'un autre de ses hommes soit chargé de les déflorer à sa place, ce qui en outre passerait pour un aveux de faiblesse, Ce fut maria qui reçut la charge de faire éclore leurs fleurs à l'aide de son gode-ceinture.

Maria était une maquerelle avec beaucoup d'expérience, mais même s'il lui était couramment arrivé plus jeune de devoir accepter de faire des choses avec d'autres filles, elle y répugnait de plus en plus les années passants. Surtout avec ces demoiselles qui avaient petit à petit pris une place toujours plus profonde dans son cœur. Elle préféra donc en discuter longuement et elles profitèrent d'une absence de leur oncle pour que ce soit non pas leur mentor qui leur prenne leur virginité mais qu'elles se la prennent mutuellement chacune leur tour.

Ainsi, au cœur de l'été 2005 de leur quinzième année de vie, Aida la première, sanglée du gode-ceinture de silicone de Maria, s'enfonça délicatement dans l'intimité d'Elena après l'avoir longuement préparée à cela. Elena gémit longuement, sentant le jouet, pourtant peu imposant, dilater les parois de son vagin et se fraya doucement un chemin en elle. La jeune fille était couchée sur son lit, sa tête sur les genoux de Maria qui lui caressait les cheveux d'une main tout en retenant les poignets ligotés d'Elena de l'autre. Pendant qu'elle perdait une nouvelle partie de son innocence, Elena écoutait à la fois Maria lui murmurer des encouragements et semblait aussi écouter autre chose avec un petit sourire en coin pendant que sa sœur, souriant doucement, elle aussi frémissait et gémissait alors qu'elle s'enfonçait toujours plus loin dans l'antre humide et chaud de sa jumelle. Finalement, Aida rencontra la résistance annoncée qui fit se crisper Elena et qui la fit elle-même grimacer sous l’œil scrutateur de Maria.

Elle-même se posait énormément de question sur le lien qu'elle soupçonnait entre les jumelles. Elle n'avait pas parlé de ce détail à Vito, tout simplement dans un premier temps parce qu'il e lui semblait pas important et maintenant parce qu'il l'intriguait. C'était son petit secret, son atout caché dans sa manche qu'elle gardait pour le cas où cela pourrait lui servir.

Quand Aida perça l'hymen d'Elena, elle les vit frisonner à l'unisson, toutes deux affichant des grimaces d’inconfort. Puis Aida se rendit jusqu’au moment où la base de son jouet toucha l'intimité de sa jumelle et fit une pause comme Maria le lui avait conseillé. Elle les observa encore, curieuse de voir s'il y aurait le moindre signe extérieur de l'une à l'autre qu'Aida pouvait recommencer à se mouvoir en Elena.

Comme elle le soupçonnait, il n'y en eut pas le moindre et Aida reprit doucement ses mouvements de vas-et viens dans l'intimité de sa sœur, l'amenant finalement à l'orgasme au bout d'une douzaine de minutes de pénétration qui laissa les jumelles complètement éreintées. Le sexe par pénétration étant beaucoup plus intense et exigeant physiquement que tout ce à quoi elles étaient habituées, Maria comprit qu'il faudrait les mettre au sport si elles voulaient pouvoir tenir la cadence pour faire l'amour avec un homme qui a un minimum d'endurance.

Le lendemain, Elena prit à son tour la virginité d'Aida. Dès lors, Maria ajouta petit à petit tout un éventail de nouveaux jouets à l'arsenal des jumelles. Elle les poussa également à faire du fitness grâce à quelques appareils que leur oncle leur acheta bien volontiers.

Quelques semaines plus tard, Vito retenta l'expérience de leur faire exécuter un homme dont le visage n'était pas masqué. Cette fois, avec Elena la visée, Il patienta de longues minutes, mais s'agaça de constater qu'à nouveau le coup de semblait pas vouloir partir. Au moment où, énervé, il se dégagea du mur contre lequel il s’était appuyé pour les gronder, il se mit en tête qu'il devrait peut-être menacer de tirer sur l'autre sœur pour que la première fasse ce qu'on lui dit.

Au moment où cette pensée traversa son esprit, Elena pressa la détente tandis qu'Aida tournait vers Don Corleone un regard paniqué. Elles avaient réagi presque comme si elles avaient deviné ses pensées, se fit-il la réflexion. Il resta songeur quelques instant avant de chasser cette idée stupide de sa tête. Elles avaient obéis, c'était le principal. Comme une routine bien rodée, il leur acheta leurs donuts sur le chemin du retour et les ramena à la maison dans leurs peignoirs qui commençaient à devenir sévèrement trop petits.

À leur seize ans, arrivèrent de nouveaux peignoirs ainsi que tout une gamme de sous-vêtements sexy achetés par Maria sur demande du parrain. Les deux jeunes filles avaient été relativement épargnée par l'année céoulée sur le nombre de leurs exécutions, mais leur seizième année s'ouvrit sur une petit guerre de gang entre les Corleone et des mexicains venus tout droit du Nouveau-Mexique pour tenter de dealer de la dope sur leur territoire. Vito Corleone devint extrêmement sollicité et les deux jeunes filles eurent pendant près de deux mois presque deux exécutions par semaines. Pour compenser le rythme soudain très important des abatages, Vito consenti à remettre le sac sur la tête des victimes des jumelles qui devenaient petit à petit les exécutrices attitrées du mafieux. Celles-ci se révélèrent tout à fait capable de tenir un arme et de s'en servir correctement. Du moins, sur un homme attaché et à peu près immobile. Même s'il était assez évident qu'elles n'aimaient pas ce qu'elles faisaient, elles semblaient s'y être habituées, recommençant à compenser leur mal-être par une période de sexe intensive.

Maria continua à leur enseigner ce qu'elle connaissait sur le sexe, passant également sur le sadomasochisme, mais les jumelles se révélèrent bien moins attirées par ces concepts, surtout car il sous-entendait se faire mal entre elles étant donné qu'elles n'avaient pas vraiment d'autres partenaires. Aussi la maquerelle n'insista pas.

Pendant l'année de leurs dix-sept ans, Corleone se prépara avec avidité à la date du 12 mai 2008, jour qui verrait enfin sa patience récompensée. Les deux sœurs avaient alors chacune près d'une vingtaine de meurtres de sang froid à leur actif, presser la détente ne semblait plus leur faire grand-chose à part, du point de vue du vieil homme, réveiller leur libido. Pendant cette années, Maria reprit un à un tous les concepts qu'elle avait abordées avec elles depuis leurs floraisons. Tout y passa pendant que, petit à petit, la maquerelle prépara ses protégées à l'idée que bientôt, elle devraient partager la couche de leur oncle.

Ho, le processus ne fut pas sans douleurs. Dès les premières fois, la pilule fut dure à avaler et les jeunes demoiselles refusèrent catégoriquement l'idée d'inclure leur oncle à leurs jeux. Il était vieux et gras, comment penser se faire plaisir avec lui ? Qui plus est, elles ne l'aimaient pas beaucoup avec tout ce qu'il leur avait fait faire dans cette cave sombre.

Le travail de Maria fut très laborieux pour faire comprendre aux demoiselles que si elles étaient bien nourries, si elles avaient un toit au-dessus de la tête, si elles savaient lire, écrire et compter, c'était grâce à leur oncle qui n'avait aucune obligation de leur offrir tout cela à la base, ce qui leur sembla étrange étant donné les notions de droit qu'elles avaient glanées ici et là. Au final, la vieille Brésilienne réussit à leur vendre la chose comme un mauvais moment à passer de temps à autre pour avoir la paix le reste du temps et en profiter pour réclamer des cadeaux à leur oncle.

Aida et Elena pesèrent le pour et le contre. Vito connaissait déjà tout d'elles. Il n'y avait rien qu'elles aient jamais essayé de lui cacher. Il les avait déjà regardées faire l'amour ensembles des dizaines de fois sans que ça les dérange particulièrement. Et puis au final, si elle pouvaient en tirer des avantages, le marché ne semblait pas si mauvais pour une chose qu'elles pratiquaient presque quotidiennement.

Une fois les jumelles ayant acceptées, bon an mal an, elle aborda avec les filles Bottazzi une chose essentiel avec leur oncle : la simulation. Au crépuscule de sa vie, Vito Corleone était un homme difficile à combler, mais dont, leur révéla la maquerelle, il ne fallait certainement pas attendre qu'il les comble elles. Quand Don Corleone sortait son chibre, c'était pour prendre son pied à lui, et à lui seul. Le reste n'était qu’accessoires, y compris la satisfaction de sa ou ses  partenaires.

Aida et Elena en furent passablement vexées. Elles qui n'avaient jamais cherché à simuler une seule fois de leurs vie dans leurs jeux à deux, voici que la seule personne ayant le droit de les y rejoindre n'allant probablement faire aucun effort pour leur procurer le moindre orgasme. Cependant elles comprirent les arguments de leur mentors. Elle ne faisaient pas ça pour le plaisir. Il n'en avait jamais été question pour elles. Elles le feraient pour avoir la paix, leurs repas, leur toit sur la tête et pouvoir continuer à vivre simplement sans se soucier de demain.

Sans grand enthousiasme, les jumelles tentèrent de se mettre à simuler leur orgasmes, ce à quoi elles furent au mieux, lamentables selon Maria. N'ayant jamais tenté de simuler la moindre émotion, les jumelles se révélèrent handicapées de ce côté-ci et au bout de quelques mois d'essais infructueux, se frustrèrent de ne faire pratiquement aucun progrès. Mais Maria savait très bien où les choses pêchaient : elles n'avaient pas du tout envie d'apprendre ça. C'était purement et simplement de la mauvaise volonté. Qu'à cela ne tienne, la vieille Brésilienne décida de change son fusil d'épaule.

Elle fit asseoir Elena en face d'Aida et les saucissonna toutes les deux à distance respectable l'une de l'autre de sorte à ce qu'elles ne puissent se toucher. Les jumelles regardèrent la configuration d'un air sceptique, l'ex-prostituée n'ayant plus fait un seul geste intime envers elles depuis le jour où elle les avait masturbées jusqu'à orgasme pour leur treizième anniversaire, mais c'était mal connaître Maria Lucia que de croire qu'elle était incapable de mettre la main à la pâte quand le besoin s'en faisait sentir. Armée d'un petit lapin vibrant rose elle vint doucement titiller les orifices du bas d'Aida. Celle-ci réagit très facilement à ce contact et commença très vite à soupirer et à gémir. Et sous le regard satisfait de Maria, sa sœur commença à suivre avec un léger temps de retard alors que celle-ci ne subissait aucun autre stimuli que la vision et les sons de sa jumelle.

La Maquerelle sourit, confirmant ce dont elle était presque sûre depuis leur découverte de la pénétration à l'âge de quinze ans : Ce qu'une des sœurs subissait, l'autre pouvait le ressentir aussi dans une certaine mesure. Et pour le prouver, elle continua à Stimuler Aida jusqu'à ce qu'elle jouisse et insista encore un peu, ce qui poussa Elena à la jouissance à son tour, à peine deux minutes plus tard. À défaut de leur apprendre à simuler correctement, elle leur conseille de profiter que Don Corleone aurait son attention concentrée sur l'une d'elles pour que l'autre use de cette capacité afin de donner à s soeur le plaisir que le vieux mafieux ne pourrait pas leur donner.

Forte de leur petit tour de passe-passe, les jumelles subirent ensuite un tas de conseils assommants sur comment satisfaire un homme et se retrouvèrent avec des exercices débiles de fellation et de masturbation de godes à faire en guise de devoirs.

Puis sonna au réveil le matin tant attendu par Corleone et tant appréhendé par les jumelles Bottazzi.

Le 12 juin 2008, les jumelles se réveillèrent sur leurs dix-huit ans, déjà très belles même si pas encore entièrement formées, de vrais futurs mannequins à trop forte poitrine ou porno stars, à choix. Un peu empruntées, elles choisirent de porter leurs peignoirs ce jour-là. Vito les retrouva à la cuisine, attablé devant son petit déjeuné, l'air frais comme un gardon et heureux comme un gamin un jour de noël. Il ne cacha pas sa surprise de les voir venir en peignoir à table, mais les trois occupants de la maison ne pouvaient que faire le même constat : l'ambiance avait définitivement changée. Corleone qui avait évité tout geste un peu entreprenant à l'égard des jeunes femmes essayait de s'ouvrir à elles tandis que celles-ci semblaient prêtes à se fermer à lui à tout moment alors que hier encore, il les regardait gémir en remuant leurs hanches autour d'un double-gode payé avec son propre argent.

La journée fut des plus étranges et si Vito Corleone essaya d'être le plus joyeux possible contrairement à d'habitude, les jumelles elles, semblèrent éviter tout ce qui pouvait un tant soit peu faire penser au sexe alors qu'en temps normal elle auraient probablement déjà entamé un ou deux jeux sexuels depuis qu'elles avaient émergées du sommeil.

Devant cette ambiance funèbre, Vito perdit patience peu après le repas de midi et appela Maria pour qu'elle vienne régler les choses. La maquerelle se doutait bien que quelque chose dans le genre risquait d'arriver. Aussi préparée que soit une fille, de sa propre expérience rares étaient celles capables d'accepter leur premier client sans un énorme malaise. Qu'à cela ne tienne, elle n'avait ni envie ni besoin d'aller très loin pour provoquer ce que Corleone attendait tant. Elle vint à la maison et fit asseoir Elena à côté de Vito avant de s'écarter avec Aida. Sitôt hors de vue, l'ex-prostituée plaqua la jeune fille contre le mur et glissa sa main munie d'un petit vibro sous son peignoirs. De l'autre main, elle bâillonna sa protégée pour pouvoir écouter. Moins d'une minutes plus tard, des gémissement étouffés provenaient du salon où elle avait laissée Elena.

Celle-ci avait commencé par ouvrir de grands yeux avant de s'agiter sur le canapé comme si elle cherchait un position confortable. Don Corleone avit tourné son regard vers elle et trouvé ses yeux dilatés par le plaisir naissant. L'homme était vieux mais il connaissait ce regard, il l'associais à celui d'une femme prête à faire l'amour. Affichant un gros sourire suffisant qui souleva ses bajoues tombantes, Vito approcha ses mains d'Elena qui était trop obnubilée par ses sensations à l’entrejambe pour lui prêter attention. Il ouvrit doucement le peignoir et glissa sa grosse main à l'intérieur pour toucher pour la première fois l'une des filles de son ancien lieutenant qui lui avait ravi la femme de sa vie. Une fois les choses engagées, Elena se laissa finalement faire, sentant la chaleur monter doucement dans son ventre quand le vieux mafieux commença à la caresser intimement. Le temps qu'Aida revienne, Elena avait finalement retiré son peignoir et se laissait doigter sans opposer de résistance, à quatre pattes sur les genoux de son "oncle" pendant que celui-ci lui palpait un sein de l'autre main.

Finalement, l'une comme l'autre acceptèrent d'ouvrir leurs cuisses à Don Vito et celui-ci obtint ce qu'il voulait, sombrant dans le sommeil avec un sourire heureux dès le début de la soirée, laissant les jumelles rejoindre leur propre lit et se terminer entre elles car, comme annoncé, le capo de la famiglia Corleone n'avait amené aucune assez proche du septième ciel pour qu'elles ne jouissent une seule fois sous les coups de reins du vieil homme.

CHAPITRE 5
LES MARRAINES

Après cette nuit, Vito devint un peu plus entreprenant et se mit à demander assez souvent des gâteries, mais en règle générale, il ne repassa plus sur le ventre des demoiselles, se contenant surtout de jouir de leurs mains et de leurs bouches. Le parrain décida finalement de commencer à la habiller et fit venir le tailleur attitré de ses maitresses pour vêtir les demoiselles.

Si les jumelles accueillirent avec bonheur les vêtement, elles restèrent fâchées avec les sous-vêtements qu'elle considéraient surtout comme une sorte de parure érotique qui n'avait rien à voir avec les habits servant à cacher ce qu'on ne souhaitait dévoiler de son corps. Leur définition fit tant rire leur oncle que celui-ci recommanda plutôt à son tailleur d'inclure des épaisseurs supplémentaires dans les vêtements aux endroits où se trouvaient normalement les sous-vêtements afin que ses filles puissent les porter sans ceux-ci.

Dès lors, Don Corleone laissa libre cours aux jeune filles de sortir et découvrir le monde autour d'elles. Mais, un peu craintives, elle ne risquèrent jamais que de rapides saut à l'extérieur essentiellement pour aller au super-marché. Elles étaient sévèrement escortées, ayant chacune deux gardes pour s'assurer que personne ne vienne ennuyer les nièces de Don Vito Corleone. Paralèlement à cela, Vito en profita pour les faire continuer à être ses exécutrices et bientôt, il ne prit même plus la peine de les accompagner lorsqu'elles sortaient pour régler son compte à l'un ou l'autre pauvre type attaché à une chaise. Il savait pouvoir leur faire confiance et était satisfait d'elles. Elles-même ne trouvaient pas leur positions désagréables en somme. Elles commencèrent même à s'intéresser à l'activité de la famiglia avec le temps et Don Vito se fit au final un plaisir de lui expliquer.

Avec l'obtention de sa vengeance, le fait que les filles se sont lieutenant s'intéressent à travailler pour lui plus activement le combla d'aise et bientôt il les assigna en grande partie à sa comptabilité, les chargeant de traquer les anomalies et leur donnant autorité sur ses hommes pour les envoyer réclamer des dettes ou des explications.

Quand elles fêtèrent finalement leurs vingt-et-un ans en plein cœur de l'année 2011, elle faisaient désormais partie intégrante du fonctionnement de la famiglia. Exécutrices personnelles du capo, responsables de son service de recouvrement en même temps que ses maîtresses exclusives, jamais l'adage "braconner les biches du roi est passible de la peine de mort" ne fut si juste. Elle s'émancipèrent doucement, leurs premières envies de liberté toquant gentiment à la porte de leur esprits. Avec la bénédiction de Vito Corleone, elles voyagèrent pendant une années à travers le monde, le découvrant avec des yeux émerveillés et des portefeuilles bien pleins. Elles n'ignoraient pas du tout d'où sortait cet argent, mais si il fut bien une chose qui ne les empêcha jamais de dormir, c'était bien l'idée de travailler pour un trafiquant d'armes, de drogue et d'êtres humains. Elles avaient les deux pieds dedans depuis leur enfance et avaient travaillé à faire fructifier ce buisness dès le moment où elles avaient appris à tenir un flingue dans cette cave sombre.

Mlaheureusement, leur voyage dût être écourté alors qu'elles traversaient l'Asie en direction de la côte Est du Pacifique. La nouvelle était tombée telle un couperet : Don Vito Corleone, Capo de la famiglia Corleone de Chicago avait finalement décédé d'une attaque cérébrale foudroyante à l'age avancé de soixante-dix-neuf ans. Les jumelles se retrouvèrent au milieu du maelström de la succession de leur oncle. Personne ne les écouta jusque au moment où Aida, aussi excédée que sa sœur, tira en l'air pour demander la parole.

Elles exposèrent qu'elles étaient les mieux placées pour reprendre l'affaire étant donné leur lien avec le précédent capo et leurs connaissances de la globalité du buisness à travers ses livres de comptes.

La reprise fut longue et douloureuse et elles perdirent nombres d'hommes qui refusèrent de suivre des femmes, à plus forte raison, les anciennes "vide-couilles" du précédent boss. Loin de se démonter, les jumelles firent ce que leur oncle leur avait appris et un certain nombre d'exécutions remit de l'ordre dans les rangs tout en procédant à des coupes dans les effectifs. Ile leur fallut plus de deux ans pour redresser l'affaire, mais elles perdirent un certain nombre des contact de leur oncle dans l'affaire et durent reconstituer une bonne partie de son réseau de distribution.

Aujourd'hui âgées de vingt-cinq ans, elle continuent de travailler à la reconstruction et à l'expansion de leur empire criminel. Don Corleone est mort, Viva Donna Aida et Donna Elena Bottazzi ! Leurs plus récentes tractations les ont poussées à s'approcher du Japon pour tenter d'établir de nouvelles relations commerciales pour faire transiter armes et marchandises à travers les ports du Soleil Levant avec l'aide des clans Yakuzas locaux. Après tout, elles disposent de nombreux arguments commerciaux, et leurs corps peuvent très bien en faire partie si après elles y trouvent leur compte financièrement parlant.


  • Les jumelles Bottazzi sont télépathes et empathes depuis leur plus tendre enfance. Elles ont développé un lien psychique si fort qu'elle peuvent partager des sensations, des images et des impressions à travers leur lien. Elles sont également capable d'espionner les pensées de surface d'un personne qu'elle peuvent voir, mais n'ont jamais prolongé l’expérience en essayant de fouiller dans la mémoire de leur victime, la trouvant déroutante.

  • En tant que membre des famiglia de la mafia italo-américaine, elles sont soumises au code d'honneur de Cosa Nostra, ce qui ne semble pas trop les déranger. Elles suivent les règles de leur organisation et évitent autant que possible les disputes de toutes sortes, dirigeant surtout à distance pour le moment.

  • En tant que combattantes, prisent séparément, leur niveau est tout juste bon pour être notifié. Elles n'ont pas peur de frapper ou de prendre des coups, mais en blesser une revient presque à tout les coups à donne l'impression à l'autre d'être blessée aussi, ce qui devient vite handicapant. Par contre, prise ensembles, vous avez déjà essayé de faire face à une personne qui peut entendre par quatre oreilles, voir par deux paires d'yeux et sentir par deux nez ? Difficile à prendre par surprise et elles se couvrent mutuellement mieux que les membres d'une escouades des specforces, sans avoir besoin de l'attirail radio qui va avec normalement.

  • Elles savent toutes deux se servir d'armes de poing, mais n'ont jamais manié plus gros qu'un fusil de chasse. cependant cela reste une mesure extrême de défense pour elles et elles n'ont pas du tout l'intention d'attaquer qui que ce soit dans un pays où elle parlent à peine la langue et la comprennent surtout en fouillant dans la tête de leurs interlocuteurs.

  • Toutes deux passablement riches, elles n'hésitent pas à se faire plaisir, mais ne versent pas non plus dans le trop ostentatoire.

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Tessia

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    Tessia est une succube qui a pris forme humaine il y'a plus de quarante ans. Elle est devenue institutrice en Japonais, Anglais et informatique pour pouvoir chasser les étudiantes du Lycée Mishima qui sont sa nourriture préférée.
    
    Elle est également présente sur Terra pour se balader et découvrir de nouvelles choses.

Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers

Réponse 2 lundi 03 août 2015, 01:29:22

Comme je le disais avant, spéciale dédicace à Catalina Taylor dont la lecture des fiches m'a inspirée celle-ci.  ;)

Et comme je ne prendrais pas le droit de corriger ma propre fiche (je ne peux plus la voir sans souffrir de strabisme de tout façon), je laisse à un autre le bonheur de la corriger.  ;D
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Tinuviel Lastrim

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Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers

Réponse 3 lundi 03 août 2015, 01:30:53

La mode est semble t'il aux jumeaux/jumelles...
Enfin rebienvenue et charmantes créatures^^

Cassidy Green

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Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers

Réponse 4 lundi 03 août 2015, 01:52:05

re bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers

Réponse 5 lundi 03 août 2015, 02:22:05

Anecdote (in)utile de la soirée : quand un mafiosi dit d'un autre mafiosi qu'il est un Corleone, c'est une insulte, comme une manière de dire qu'on est un faux-mafieux tout juste bon à faire du cinéma.

Je te souhaite la re-bienvenue, "Maîtresse" :D

Sentinel Prime

Valinichonneur

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    Saul Loggia, récupérateur spatial et chasseur de primes capable d'assimiler physiquement n'importe quelle technologie. A besoin de se faire un nom, du fric et un maximum de gonzesses !

Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers

Réponse 6 lundi 03 août 2015, 02:24:38

J'aime bien l'idée des jumelles mafieuses. J'espère que ça sera sympa à lire :)

Darthestar

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    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers

Réponse 7 lundi 03 août 2015, 03:25:38

God I'm in love !
Bon bah rebienvenue hein ^^


Ludya

Boulet

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Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers

Réponse 8 lundi 03 août 2015, 07:38:04


Abyssi, aussi !

Bienveniue !

Antares/Pleione Lilianstar

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    Antares et Pleione sont les filles nekos du plus grand magnat de l'énergie terranide. Elles sont lesbiennes et amantes secrètes. Elles voyagent à travers l'univers pour se trouver des partenaires.

Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers

Réponse 9 lundi 03 août 2015, 10:13:35

Cette fois, peu importe comment, je veux un RP.
Re-bienvenue, ma succube adorée ;D

Venez découvrir mes DC sur ce topic

Catalina Taylor

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    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.

Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers [Cata]

Réponse 10 lundi 03 août 2015, 11:33:47

Rebienvenue, chou :3
J'ai tout lu de A à Z, et sur téléphone, c'est un peu une épreuve héhé.
Quoi qu'il en soit, je ne vois rien de choquant (quelques abus/oublis de "s", mais n'étant pas moi-même un parangon d'orthographe, je laisse couler :3). Je soupçonne surtout que les quelques fautes éparses qu'il y a sont dues à de l'inattention (je connais ça aussi).

Et, du coup, je suis fière de te dire "C'est bon pour moi, je valide" <3
Va jouer avec ces superbes jumelles dévoyées :3

(Ah oui, et je suis honorée de la dédicace <3)
Compte en banque blindé.
RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

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Tessia

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Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers [Valideys]

Réponse 11 lundi 03 août 2015, 12:10:52

Youpie ! J'ai une validation CT ! Merci ma chérie ! <3
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Kiriko Hattori

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Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers [Valideys]

Réponse 12 lundi 03 août 2015, 12:28:00

Rebienvenue mes jolies ^^

Naisho Yujima

Humain(e)

Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers [Valideys]

Réponse 13 lundi 03 août 2015, 21:01:23

Bon, sa m,as pris du temps, mais j'ai finalement lut la fiche au complet. Vraiment cool, très bien développer, les personnages sont intéressant. Sa faisait un bon moment que j'avais lut une fiche au complet( bon, surtout parce que j'ai eux des problèmes personelle en rafale dernièrement) mais sa en valait le coup. Hâte de voir ce que tu vas pouvoir faire avec ces personnages là Tessia! Pas sûr que mon Naisho aime la compétition dans le monde du crime au Japon, mais l'importent c'est que tu t'amuses avec eux!

Finië

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Re : Aida & Elena Botazzi, the Godmothers [Valideys]

Réponse 14 lundi 03 août 2015, 21:28:48

Re-bienvenue !

Me manque un peu à lire. Mais parait qu'il faut manger dans la vie. J'finirais plus tard. Mais pour le moment, jolie, jolies !


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