ThèmeNom/Prenom/Surnom :Nom : De Solar
Prénoms : Carmen et Juanita
Surnom : Carmenita
Âge : 21
Sexe : Volontier !
J'ai l'air de quoi ?Femme.
Race : humaine. Avec quelques petites notes d'angélisme dans le sourire et quelques goutes démoniaques dans les hanches...
Orientation sexuelle: Horizontale, verticale... la totale mais uniquement avec des dames.
Description physique : Je mesure 1m52. C'est petit et c'est mignon
et jt'emméééééèèèèèrde. J'ai les cheveux longs, ils me vont jusqu'aux fesses. Ma peau est couleur pèche, quel plus bel hommage pouvait être fait à mes origines ? J'en garde aussi le petit accent que je trouve mignon mais ce point de vue est personnel. Mes yeux sont bruns foncés, le regard profond que j'accentue encore avec quelques touches de maquillage. Mon parfum : expeau 2 de Galerie noémie (notes de fleur de vanille et de musc. A mourir...). J'ai une silhouette très fine et je serais le mannequin le plus respecté d'Elite s'ils me suppliaient à genoux de me prendre et s'ils baissent leurs exigences hautaines de taille, sans faire de jeu de mot. Quand aux habits... je suis polyvalente. J'aime autant être classe que faire la pouf. Si je peux faire les deux en même temps, je serai comblée.
Caractère : Ce qu'il faut que tu saches, que vous sachiez tous, ce qui est est primordial et que vous devez garder à l'esprit, c'est que vous n'ètes tous que des cafards pathétiques. Vous ètes laids, inutiles, imbéciles, malhabile, lent. Je suis la seule à avoir été épargnée par la règle de la médiocrité qui régit ce monde et vos vies. Je suis une déesse, coincée sur cette planète absurde avec ses habitants grotesques. Te dire de ne pas me toucher est une aberration, je considère que tu n'as même pas le droit d'y songer. Ta vie ne vaut rien, comment osez vous vous montrer à moi en étant aussi laids ? Vous empestez la médiocrité, respirer le même air que vous me rend malade. Je suis le sentiment de dégout que vous ressentirez quand vous verrez votre coeur battre dans ma main. Eh ouais. Parce que je suis une vilaine ! Et crack !
Histoire : Jeune fille héritière d'une riche et ancienne famille aristocratique d'espagne, la vie m'avait gâtée. Je crois que tout chez moi c'est joué à la naissance. Mon physique, sur quoi le reste de ma vie est fondé et ma psychologie. Car en effet, cette naissance et ce rang qui m'était attribué était pour moi déterminant. Mon sang avait de la valeur. Ce rubis en fusion qui coule dans mes veines vaut plus que l'engeance putride qui pullule dans les rues. Aujourd'hui encore, il me suffit d'une bouffée d'air mon me sentir malade. Malade oui car le monde est mon cancer. J'ai la gale, je suis envahie par ces insectes dont je ne peux me défaire. On a beau gratter, on a beau hurler, on a beau être dégouté ils sont toujours là rampants et dégageant ce bruit typique de la multitude en train de dévorer la charogne. Il n'a fallu que quelques spécimens un peu plus répugnants que les autres pour exterminer ma famille. De vulgaires voleurs, rien de plus. Psychologiquement atteints certes. Cette nuit là je dormais chez une amie, j'étais encore jeune. On m'a dit qu'ils avaient été égorgés pendant leur sommeil, je ne l'ai jamais vu de mes propres yeux. Toujours est il qu'il ne resta plus que moi, jeune fille agée de 9 ans et mon héritage. Genre Bruce Wayne avec des nichons. J'ai été élevée dans un pensionnat (parce que je n'avais pas d'Alfred) et puis dès que j'ai pu je l'ai quitté. Entre temps j'ai pu découvrir la sexualité dans les dortoirs. Au début, c'était un vrai dilemme : je voulais pouvoir avoir du plaisir moi aussi mais ne trouvais personne d'assez bien à mes yeux pour m'en procurer. Les hommes me dégoutent un peu, la faute à ce pion grotesque qui me faisait des avances alors que j'étais encore gamine. Ma non connaissance du domaine sexuel au grand complet m'a valu quelques moqueries de la part de mes camarades issus de la plèbe. Comme s'ils étaient habitués aux orgies depuis leur plus tendre enfance ! Au final, c'est avec des filles que la pilule passait le mieux. Peut-être parce que cela ressemblait un peu plus à une partie de jambes en l'air avec moi même ? Je l'avoue volontiers : si je pouvais coucher avec moi même, je n'hésiterais pas.
Il y a quelques années, devenue adulte, j'ai décidé de changer d'air. Je voulais voyager, partir à l'aventure, voir si le monde était meilleur ailleurs. Je n'ai subit que désillusions... et puis... je n'avais rien de Lara Croft.
Au final, je me suis acheté un petit bar au Japon avec une partie de mon héritage. Je n'avais pu y toucher pendant très longtemps, ca m'a fait plaisir de pouvoir taper un peu dans les économies familiales. Quelques hôtesses, quelques cocktails, bouteilles de champagne et une musique sirupeuse... et me voila à flot. N'hésitez pas à venir faire un tour !
Situation de départ : Expérimentée. Avec un petit faible pour la domination
Autres : J'aime le chocolat.
Comment avez vous connu le forum : Doublette
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