Nom/Prénom/Surnom :Roxane de Vissec / Duchesse de Vissec / La Dévoreuse
Âge : Née en 1319. Ce qui lui fait aujourd'hui 694 ans.
Sexe : Féminin
Race : Créature
Orientation sexuelle: Hétérosexuelle. Enfin normalement...
Description physique : (véritable apparence)Le
visage de Roxane se présente légèrement ovale, sec, plutôt mince et le front bas dont le tout forme un air faussement angélique. En son milieu, son
nez aquilin est droit et de taille moyenne, ne troublant aucunement l'harmonie de son faciès. Le
regard lorsqu'elle veut séduire, est doux, émouvant, puis provoquant, mais en réalité toujours vif, tranchant, glacial et presque fou, animé par des sourcils fins. Sa
bouche est un appel à la douceur. Elle est parfaite et sensuelle, composée de lèvres pleines et gourmandes, offrant une haleine au goût mentholé et sucré. Quant à ses beaux
cheveux longs, ils sont bien souvent soigneusement coiffés en arrière, comme les grandes Dames. Fins, doux, de couleur blonds, toujours propres et parfumés, ils invitent à y glisser lentement les doigts.
La
voix de Roxane est d'ordinaire autoritaire, dure, mais parfois douce, apaisante, chantante et mielleuse lorsqu'il s'agit de soumettre ses proies. Elle s'élève depuis une gorge de cygne, un doux appel aux baisers.
La
démarche de cette femme mystérieuse est féline, légère, toujours assurée, volontaire et particulièrement gracieuse, comme l'a voulu son éducation. Son
corps dans l'ensemble, est athlétique, léger, de grande taille mais aérien, élancée et svelte, comme celui d'une danseuse étoile. Sa
peau est veloutée, très pâle, pourvue de quelques grains de beauté de-ci de-là; Elle est douce, toujours propre et délicatement parfumée, tout simplement parfaite. Pour ce qui concerne sa
pilosité elle est très fine, mais imberbe, car toujours parfaitement épilée.
Roxane possède une poitrine plutôt discrète, mais assez grande pour que les seins puissent se nicher avec luxure dans de grandes mains ouvertes. Elle se montre toujours maquillée, portant des tatouages étranges et mystérieux. Ses ongles longs et acérés, mais bien manucurés. Sans surprise, sa température corporelle est plutôt basse, ses habits riches et parfaitement entretenus, le tout agrémenté de quelques bijoux.
Lorsque son
rire se fait entendre, il peut-être hystérique, dément, très franc, sardonique, grave et sonore... ou bien discret s'il ne s'agit que d'un ricanement. Tout dépend de la situation.
Comme beaucoup d'entre nous, Roxane est également doté de quelques tics ou mouvements qu'elle répète souvent et machinalement. Elle toussote, claque sa langue lorsqu'elle est agacée, replace ou se lisse une mèche de cheveux, se recoiffe, se racle la gorge, prie chaque soir, jure parfois, fredonne lors des bons jours, s'humecte les lèvres, tape du pied quand l'agacement est à son comble, croise les bras, s'évente, possède une gestuelle enflammée, car elle a pris l'habitude de parler avec les mains, mais sa gestuelle est fluide et gracieuse, elle montre parfois une moue dubitative adorable, ou une grimace selon son humeur.
Caractère : En tant qu'humaine, son caractère d'autrefois était à peu près celui-ci : c'est un véritable vif-argent que Roxane qui possède l'art et la manière de passer d'un état émotionnel à un autre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire ! Hypersensible et particulièrement féminine, elle est un mélange de femme charmante, sensible, douce et féminine et de maîtresse femme, conquérante, séductrice et entreprenante... une sacrée personnalité qui oscille entre timidité, effacement, dépendance, soumission et leur contraire. Il est vrai que bien-être et équilibre affectif lui sont nécessaires pour que se développe son assurance. Ainsi pourra-t-on la voir tour à tour réservée et intériorisée, ravie de passer inaperçue, puis espiègle, enchantée d'être sur le devant de la scène et même plutôt effrontée, selon l'ambiance dans laquelle elle se trouve... Elle oscille entre des phases d'hésitation et d'autres où elle est capable de tenter le tout pour le tout. C'est une dame ayant à la fois un sens aigu des détails et un intérêt pour ce qui est intimiste. L'humour est une de ses caractéristiques et elle s'en sert souvent, tout autant pour sauver la face lorsqu'elle est dans ses phases de haute tension nerveuse que pour plaire ou encore pour le plaisir de faire un bon jeu de mots. La discipline n'est pas son fort, aussi mieux vaut ne pas trop entretenir son instabilité qui pourrait lui jouer des tours. C'est une femme curieuse et insatiable.
Cependant, l'histoire a fait d'elle une femme bien différente : Roxane est avant tout une femme égoïste et égocentrique. Rien ne l'intéresse mieux que sa propre petite personne. Elle est imprévisible, incontrôlable, une femme qui sait parfaitement ce qu'elle veut et fera tout pour parvenir à ses fins. Elle semble complètement dénuée de sensibilité et de bienveillance. Son air froid ne dissimule en rien son caractère effronté et mauvais. En gros, c'est une mégère qui aime voir la souffrance et la tristesse sur le visage des autres et se délecte de la misère. Elle aime tout contrôler et se trouve d'ailleurs être la reine de la manipulation. Elle ne semble avoir aucune limite, elle est odieuse, perverse et machiavélique à souhait. Elle ne craint pas la mort et éprouve même de l'adoration pour celle-ci. Tuer n'a jamais été un problème pour elle. Vous espérez l'attendrir avec vos larmes et vos supplications ? C'est perdu d'avance. Son cœur est un véritable bloc de granite entouré de glace.
Son
attitude possède bien des critères. Elle est aristocratique, maniérée, arrogante et hautaine, parfois même lugubre et morbide. C'est une femme obséquieuse et sans-gêne puis doucereuse avant de redevenir obscène, toujours séductrice et provocatrice. Roxane est narquoise, espiègle, grinçante et sardonique sous son air calme et glaciale. Elle reste toujours franche, directe, méthodique et autoritaire, les atout parfaits d'une manipulatrice agressive/ et violente, parfois même brutale.
Histoire : La Maison de Vissec est l'une des plus anciennes et des plus considérables du Languedoc en France. On doit son origine aux terres et château du même nom à l'extrémité des diocèses de Lodève et d'Alais. Les anciens seigneurs de Vissec ajoutaient aux titres de leur terre, la qualité de puissants seigneurs. Ce titre fut porté par trois évêques au XIVéme siècle et fut surtout illustré par la famille Vissec de Latude.
Dans cette famille riche et puissante, naquis Roxane, une délicieuse jeune femme qui enfant déjà, était particulièrement vive d'esprit et têtue. Bien élevée et éduquée, elle était promise à un grand avenir. On la maria très tôt, à l'âge de 15 ans à l'un de ses cousins : Sylvain de Vissec. C'était un garçon âgé alors de 19 ans, particulièrement bel homme et surtout très influent et bien éduqué. Leur mariage fut une véritable consécration pour la famille de Vissec. Le jeune couple pris possession du château de Vissec, une charmante demeure loin d'égaler Versailles, mais avec beaucoup de charme, situé au sommet d'une colline.
Roxane aimait profondément son mari et même si celui-ci n'était pas du genre à faire étalage de ses sentiments, elle était persuadée qu'il l'aimait sincèrement. Excellente maitresse de maison, la jeune femme faisait tout pour faire la fierté de son époux et de sa famille. A l'âge de 19 ans, elle tomba enceinte et donna naissance à son premier enfant, une petite fille nommée Anne. Dotée d'une beauté aussi exquise que sa mère, elle fit le bonheur du père qui choyait cet enfant avec beaucoup d'amour. Mais rien n'égala la joie de l'homme lorsque Roxane lui donna un fils, trois ans plus tard. Puis un autre deux ans après. Cette petite famille était plus heureuse et riche que jamais. Tout était parfait. Trop peut-être pour que cela dure et un destin funeste s'abattit sur eux. Roxane avait alors 28 ans et s'occupait avec amour de ses beaux enfants. Mais ce soir-là, un soir d'hiver particulièrement neigeux de 1347, le paradis vira au cauchemar. En effet, un effroyable incendie se déclencha au deuxième étage. L'étage réservé aux enfants. Roxane fut réveillée brutalement en plein milieu de la nuit par les cris de ses enfants et ceux des domestiques. L'un d'entre eux pénétra dans leur chambre luxueuse du premier étage, une femme en larme paniquée qui lui annonça que le château avait pris feu... et que les enfants et leur nourrice étaient coincés dans leur chambre. Les flammes avaient envahi tout le couloir. Sans réfléchir davantage, vêtue simplement de sa robe de chambre blanche et légère, les cheveux en bataille, elle sauta de son lit et partie en courant vers le deuxième étage. Sylvain son époux, lui hurla de revenir et tenta de la raisonner en la poursuivant. Mais Roxane ne pensait qu'à sauver la vie de ses enfants, morte de peur à l'idée de les laisser bruler là-haut. Rien n'aurait pu arrêter cette mère désemparée.
Pied nus, elle grimpa les escaliers quatre à quatre, des larmes cascadant déjà sur son beau visage. Elle criait le nom de ses enfants, puis fit face à un mur de flammes déchainée.
- Roxane ! Tu dois sortir, c'est trop dangereux ! Nous ne pouvons rien, les domestiques sont partis chercher de l'aide au village, viens te dis-je ! Tu vas te blesser !Sylvain tentait encore de la raisonner et parvint à lui agripper le bras, l'attirant vers elle pour le forcer à descendre et à s'éloigner des flammes. Mais c'est alors que Roxane entendit les pleures et les appels à l'aide de ses enfants un peu plus loin. Ces hurlements lui déchirèrent le cœur et elle refusa de se montrer raisonnable. Elle se débattit, tentant de s'arracher à la prise de son époux, criant le nom de ses enfants avec désespoir :
- Anne !! Pierre !! Armand !! Mes bébés ! Laisse-moi, on ne peut pas les laisser...Mais Sylvain, bien que rongé par l'angoisse et le chagrin lui aussi, avait bien plus de force que sa femme si frêle et paniquée. Il parvint à la prendre dans ses bras malgré ses plaintes et ses gesticulations et la fit descendre, puis sortir du château. Dehors il neigeait et le froid était particulièrement mordant. Les domestiques restés là s'empressèrent de couvrir leur maître te leur maîtresse d'épais manteaux. On voulut éloigner encore les deux jeunes gens du château, mais Roxane s'agrippa au col de son époux et le supplia, sanglotant et hurlant :
- Sylvain on ne peut pas les laisser là-haut, il faut sauver nos enfants ! Mes bébés... ils vont mourir. Nos enfants vont mourir Sylvain...L'homme aurait voulu rassurer sa femme et lui promettre qu'ils reverraient leurs enfants vivants. Mais les flammes léchaient déjà le toit de la demeure, plus hautes et plus violentes que jamais. Le château entier était une fournaise de plus en plus ardent. Le village, tout en bas de la colline, était trop éloigné pour que les villageois puissent venir éteindre le feu à temps. Sylvain de Vissec regard alors avec une profonde tristesse sa demeure se faire dévorer par les flammes. Puis soudain, dans un craquement assourdissant et une gerbe de flamme, le deuxième étage s'effondra. Roxane, tombant à genoux dans la neige, poussa un hurlement déchirant. Et malgré tous ses efforts pour rester digne, Sylvain ne put s'empêcher de fondre en larme à son tour. Désespéré, il murmura pour lui :
- Ma petite fille... mes fils...*****
Les enfants du couple Vissec n'avaient pas survécu. Leur nourrice non plus évidemment. On ignorait comment l'incendie avait pu se déclencher et évoluer aussi vite. Après cet effroyable évènement, le couple s'installa dans l'une des belles demeures de la famille, en campagne. Roxane n'avait plus prononcé un nom et son visage d'ordinaire si beaux et si souriant n'était plus qu'un masque vide et muet. Elle refusait obstinément de prononcer un seul mot et Sylvain de Vissec avait sombré dans l'alcool, rongé par le chagrin. Leur couple ne tenait plus qu'à un fil. Ils ne se parlaient plus et les seuls moments qu'ils partageaient étaient les repas. Ils couchaient même dans une chambre à part, car Roxane se réveillait souvent en hurlant et en pleurant à cause d'effroyables cauchemars. La folie s'était en quelque sorte emparée d'elle. Dix longues années s'écoulèrent ainsi et Sylvain continuait à boire. Le château des Vissec avait été reconstruit, mais le couple se sentait incapable d'y vivre à nouveau. Ils restèrent à la campagne. L'homme buvait de plus en plus et claquait son argent dans des jeux et des paries stupides, devenant parfois violent et colérique. Un soir, il commença à s'en prendre à sa femme. Complètement ivre, il était entré dans sa chambre et, alors qu'elle n'avait réagi qu'en laissant des larmes couler sur ses joues, il lui avait fait sauvagement l'amour, la soumettant avec force. Il recommença ainsi, presque chaque soir, alors que Roxane, toujours enfermée dans son mutisme, ne cherchait même plus à réagir. Elle n'était qu'une poupée de chiffon, un corps sans âme, qui se mit à haïr son mari comme le reste du monde.
Elle tomba enceinte. Cette nouvelle, annoncé par le docteur, fit naitre une étincelle dans le regard de la jeune femme. Une étincelle, un espoir, qui s'était éteint depuis longtemps. Mais contrairement à ce qu'elle imaginait, ce ne fut pas du tout au goût de son mari. Elle avait reprit un peu de couleur, prenait de nouveau la parole et alors qu'elle relançait la conversation au sujet de cet enfant, Sylvain entra dans une rage sans nom et retourna carrément son bureau.
- N'as-tu pas retenu la leçon, Roxane ?! Je ne peux plus ! Tu veux qu'on nous prenne celui-là aussi ?- Mais enfin... rien ne dit que nous perdrons celui-ci Sylvain... fais-moi confiance, nous prendrons soin de lui, je...- Parce que tu crois que nous n'avons pas pris soin d'Anne, de Pierre et d'Armand ?!! Aujourd'hui ils sont morts, brulés vifs, carbonisés ! Je ne veux pas d'un autre enfant, je ne veux pas d'un autre drame. Point final ! Je t'emmènerai chez le docteur dès demain et tu te débarrassera de cet enfant, tu m'entends ?Roxane, secoua la tête. Le regard triste, elle regardait cet homme qui avait tellement changé. Il n'était plus l'époux dévoué et attentionné d'autrefois. Il avait perdu toute sa beauté et toute sa fierté. Et bientôt toute leur richesse. Alors elle décida pour la première fois de se dresser contre lui.
- Je refuse, Sylvain. Je vais garder cet enfant et je vais partir.- Partir ? Tu veux me quitter ? Tu oublies que si tu fais ça, c'est le déshonneur sur la famille, tu n'auras plus rien, comment comptes-tu vivre, hein ? Tu m'appartiens Roxane. Tu es ma femme et c'est moi qui décide de ce que tu dois faire ou non.Roxane préféra quitter le bureau et s'enfermer dans sa chambre pour pleurer encore et encore. Vivre ainsi n'avait plus aucun sens a présent et l'idée noire et affreuse de mettre fin à sa vie se glissa dans son esprit.
Ainsi, en plein nuit, alors que son époux s'était endormit, ou plutôt effondré, sur le canapé à cause de l'alcool, elle quitta la demeure, aidée par quelques fidèles domestiques. A bord d'une calèche, elle retourna au château de Vissac. Elle ordonna à ses domestiques de repartir et resta seule. Elle fit le tour du château, l'air était glacial. Elle s'arrêta un instant près du petit lac où elle se baladait souvent avec ses enfants autrefois. Elle s'assied sur le vieux banc en pierre et commença à prier silencieusement. Seules ses lèvres bougeaient lentement, prononçant des mots inaudibles tendis qu'elle avait fermé les yeux. C'est alors qu'une voix retentit derrière elle. La voix d'une entité terrifiante, sorte de créature démoniaque qui lui glaça le sang. Elle tomba à genoux devant elle, persuadée qu'en fin de compte, la mort était venue à elle directement. L'entité ricana.
- Je peux t'offrir bien mieux que la mort, Roxane de Vissec. Une vie où tu auras l'éternité et le pouvoir de te venger, de manipuler... une vie mêlée d'horreur... et de plaisir. Il semblait lire dans ses pensées. Interdite et stupéfaite, la jeune femme resta un instant sans bouger et sans rien dire. Le démon tendit une main pour caresser sa joue. Un froid mordant sembla prendre possession de son corps tout entier. Et pourtant, cette morsure, ce froid qui la poignardait, était particulièrement agréable. Excitant. Elle soupira alors :
- Je vous suis entièrement dévouée... plus rien ne m'attend ici-bas. Donnez-moi ce pouvoir, et je serai votre obligée.- Qu'il en soit ainsi.Depuis cette nuit-là, Roxane de Vissac disparut de la surface de la Terre. Son corps s'était effondrée sur l'herber humide et froide, sans vie, avant de disparaitre dans une fumée noire. Lorsqu'elle reprit connaissance, Roxanne se trouvait dans un autre monde.
Elle était allongée sur le sol, un parquet vieux et poussiéreux appartenant à une grande pièce sombre envahit de toiles d'araignées. Elle se redressa. Elle sentait quelque chose de différent, d'extrêmement différent. Elle se sentait puissante... et avait faim. Mais pas faim de nourriture, faim de chair et de plaisir. Faim de sexe et de souffrance.
Elle s'approcha d'un miroir. Elle essuya la poussière qui s'y était déposée et son reflet lui renvoya l'image d'une femme à la beauté glaciale... qu'elle avait le pouvoir de modifier. Elle rejeta légèrement sa tête en arrière, laissant apparaitre un long cou de signe particulièrement pâle et soupira longuement, portant ses mains à son visage, puis caressa sa peau jusqu'à ses seins et sa taille. Son corps était plus beau que jamais, tremblant de désir. Elle entendit un bruit de chaine puis un grognement. Elle jeta un regard dans le fond de la pièce. Un homme, musclé et entièrement nu, était enchaîné au mur. Il la regardait avait un mélange de peur et de fascination. Roxane esquissa un sourire carnassier.
- Bonsoir mon mignon... tu tombe bien.La longue robe noire qui l'enveloppait jusqu'à présent tomba soudain sur le sol, dévoilant un corps parfait, entièrement nu, un corps sculpté pour le plaisir, un corps que l'homme eut longuement l'occasion de toucher et observer, avant que soudainement, une fois l'acte achevé, son cœur ne cesse subitement de battre.
Roxane renouvela l'opération de nombreuses fois, durant de nombreuses années. Toutes ces victimes ne mourraient pas, certaine rentraient chez eux, définitivement changés, mais en vie. Elle fut l'objet de nombreuses légendes au fil du temps. Logée au plus profond d'une tour de pierre, dans les profondeurs des contrées du chaos de Terra, La Dévoreuse s'en donnait à cœur joie...
Situation de départ : Expérimentée
Autres :Roxane possède le pouvoir de prendre toutes sortes d'apparences pour attirer ses proies. Cependant, elles resteront toujours féminines, impossible pour elle de changer de sexe. Il y aura également toujours quelque chose de plus ou moins humain, elle ne peut pas se changer totalement en animal ou autre.
Comment avez vous connu le forum :Double Compte
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Peut-être bien...