Nom/Prenom/Surnom : Hitomi
Âge : 26 ans
Sexe : Féminin... et un peu plus.
Race : Hybride formienne (Annexienne)
Orientation sexuelle : Omnidirectionnelle tentaculaire
Description physique :
Sous sa forme humaine Hitomi est une charmante métisse irlando-japonaise. Des cheveux d’un roux éclatant, un visage pâle moucheté de légères tâches de rousseurs, qui se révèlent surtout lorsqu’elle rougit. La belle ne peut qu’être satisfaite de son corps. Son opulente poitrine n’a en rien souffert de sa mutation, ses hanches sont devenues un peu plus large, en revanche elle garde des fesses et des jambes bien galbées. Et quiconque passe sous sa culotte pourra découvrir une petite flèche rousse soigneusement épilée pointant vers son sexe.
En revanche il est difficile de décrire une « forme annexienne » précise dans le cas d’Hitomi. Afin de préserver une apparence humaine elle ne peut assumer librement tout son potentiel génétique formien. Elle adapte sa forme à ses besoins, et se contente généralement de tentacules divers saillant de son dos. Elle dispose également d’une langue étonnamment longue et puissante, ainsi que d’un membre viril développé depuis son clitoris.
Caractère :
Hitomi était une joyeuse névrosée encore talonnée par une grave dépression à son arrivée à Seikusu, avide de sexe pour oublier ses malheurs, et surtout passionnée par son boulot de prof qui faisait diversion à ses troubles sentimentaux. Sa vie dans la folle ville japonaise n’a rien arrangé en la mettant face à des créatures incroyables, sa vie en danger, et son piètre équilibre mental en pièces détachées. La perte de son grand amour est le plus récent sale coup du destin, mais fort heureusement pour elle Hitomi n’en garde aucun souvenir.
En modifiant son cerveau la mutation a effacé sa mémoire et sa personnalité. Hitomi ne fait pas grand cas de son passé, n’y voyant pas de réel intérêt en regard de sa nouvelle vie. Sa nouvelle nature implique des instincts puissants qui ont influencé sa personnalité. Le bien, le mal, la morale et autres nuances sont des concepts trop abstraits pour elle. La rouquine mutante sert ses intérêts et ceux des siens : reproduction, préservation... et expansion. Elle veut donc copuler avec tout le monde, se faire pleins d’amis de quelque sexe et espèce génétiquement compatible afin de copuler avec, avoir plein de bébés qui copuleront quand ils seront grands, et ainsi de suite... La façon la plus pacifique et tolérante d’envahir l’univers, en somme.
Malheureusement tout le monde n’est pas follement emballé par cette perspective, ou simplement par l’idée que la jolie rouquine cache une tentaculaire bête de sexe. Hitomi n’hésite pas à se défendre ou prendre la fuite. Consciente de sa situation elle esquive au maximum les confrontations et ne tue que par nécessité. Elle assume au maximum ses intentions et ses émotions, n’estime jamais avoir à se justifier des circonstances. Mais qu’on s’en prenne aux siens... Hitomi ne vit plus que pour sa ruche, et par instinct aucune menace ne peut être tolérée, aucune attaque ne peut rester impunie. Il n’y aura que d’autres Annexiens ou l’Overmind pour la retenir si un tel cas se présente.
Histoire :
Hitomi est née d’une mère irlandaise très indépendante et d’un père japonais indéfectiblement loyal à la famille qu’il s’est construite. Ballotée entre l’Europe et le Japon, elle étudie à la fac de Tokyo où elle découvre deux choses : un goût immodéré pour le sexe, et une malformation des ovaires qui la rend stérile. Un drame qui la poussera en dépression, au point qu’elle tentera de mettre fin à ses jours. À peine remise grâce à ses amis elle emménage à Seikusu pour y prendre le poste de professeure d’Anglais.
Au fil des rencontres Hitomi se fait plusieurs relations amicales et sexuelles, avant rencontrer l’amour de sa vie. Mais malgré leur coup de foudre il lui est difficile d’assumer son appétit sexuel avec un homme bien moins pervers qu’elle. Impossible d’être fidèle également.
Après un mois d’une relation très physique et épisodique ils partent pour l’Irlande dans le but de se couper de leur quotidien et d’enfin faire vraiment connaissance. Et c’est donc au bout d’un petit quart d’heure à faire connaissance que les tourtereaux se prennent méchamment le bec et se séparent. Un drame pour la rouquine qui n’a aucune idée de ce qui l’attend dès le lendemain. Elle-même n’y comprend pas grand-chose. Une balade en forêt, des feuilles encore humides d’une nuit pluvieuse, une pente très raide : la pauvre se voit soudain confrontée à une fin peu enviable, le corps brisé au fond d’un ravin.
Elle n’est pas plus en état de comprendre ou de participer quand un couple de campeurs la trouve et la sauve. Deux mutants formiens sensés reconnaître la Terre en vue d’une future invasion, et qui connaissent vite de violentes divergences à propos de la blessée. Elle veut la sauver, la faire muter et en faire une alliée. Il veut la garder en vie le temps de la féconder et d’en tirer quelques créatures formiennes primitives. De par ses capacités de régénération supérieures, madame parvient à vaincre à l’usure mais se voit malheureusement mourante également. Elle utilise donc le corps de son compagnon comme incubateur d’un clone mutant d’Hitomi, qui l’aide à cacher l’originale puis efface de son mieux les traces de cette histoire horrible et farfelue.
Le clone de la rouquine, plus dérangé encore que l’originale, regagne Seikusu et tente de s’y débattre entre la petite vie de son double et ses propres troubles existentiels de clone à durée de vie limitée. Elle se plante lamentablement dans tout ce qu’elle entreprend, à deux exceptions près : une carrière d’auteure qui démarre fort, et un rabibochage acrobatique avec son jules. Malheureusement la police irlandaise finit par découvrir les squelettes des campeurs, et hâte d’autant le destin du clone. Cette dernière vide les locaux, ne laissant à son pauvre amoureux qu’une lettre pour pleurer. Puis elle se trouve un distributeur de matériel génétique qui dépassera vite ses espérances. Ce pauvre garçon embarqué dans son histoire de dingue, le clone regagne l’Irlande afin de retrouver Hitomi et compléter sa mutation.
Hitomi, la seule la vraie, ne sortira jamais vraiment du cocon. Son cerveau déjà endommagé par la chute se voit amplement modifié par les mois passés dans le cocon. Une grande partie de sa mémoire a été effacée, ne lui restent que la parole et les automatismes du quotidien. Mais elle entre dans un tout nouveau quotidien...
Situation de départ : repartie pour un tour !
Autres :
- La mutation : Hitomi est capable de modifier son corps dans de très larges proportions, mais s’abstient afin de conserver sa forme humaine. Générer de nouveaux organes lui demande beaucoup de temps, d’énergie et de matériel génétique. Sa matrice mutante a deux fonctions : la première est tout simplement de faire des bébés plus ou moins (moins que plus) humains. La seconde est de générer des cellules-souches afin de régénérer son organisme, ou le modifier.
- Tentacle Party : Hitomi a très vite réalisé le côté pratique des tentacules, d’autant qu’elle peut les cacher dans son corps de rêve. Elle pousse même au maximum le potentiel de ces appendices : organes inséminateurs ou pondeurs, de récolte au sein même du corps de ses partenaires, membres puissants pour le combat ou simplement les déplacements, armes griffues ou même empoisonnées... L’imagination est la seule limite, en théorie du moins. Hitomi ne peut « cacher » qu’un nombre limité de ces appendices.
Comment avez vous connu le forum : Un X marquait l’emplacement :p
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: J’en parle un peu ^^