Shizuka vit la Princesse retirer ses doigts de son intimité. Un liquide en était sorti, et, horrifiée, Shizuka vit la Princesse...Le boire !! Ohlàlà !! Choquée, elle ? C’est ce qu’elle pensait être, mais, en réazlité, son esprit trouvait ça... Absolument craquant ! Cette manière qu’elle avait eu de sucer sa propre intimité, de se blottir contre elle, de se serrer, de jouer avec ses seins. Shizuka était en chaleur, incapable de comprendre ce qui lui arrivait, incapable de repousser ce courant. C’était la Princesse, c’était sa raison de vivre ! Shizuka n’avait grandi que pour servir la Princesse, pour être digne d’Edoras, pour être digne de ce que la Princesse désirait. Mais ça... Ça, c’était... C’était tellement dur, tellement différent de ce à quoi elle s’attendait. Chacun des baisers de la Princesse était délicieux, n’en doutons pas, mais Shizuka ne savait pas comment réagir, comment se contrôler, comment réagir efficacement à tout ce qu’elle subissait, aux assauts langoureux et succulents de la femme lovée devant elle.
Elle sentit alors la Princesse attraper l’une de ses mains, et la faire descendre jusqu’à ses fesses. En sentant cette partie intime, Shizuka couina, écarquillant les yeux, rougissant derechef, mais, curieusement, ne retira par sa main. Curieusement, oui, car en ce moment précis tout son être l’implorait de retirer immédiatement cette main impudique, de ne pas faire ça, de s’arrêter tout de suite. Mais... Cette partie-ci était si douce, si chaude, que Shizuka, sous le stress, se mit à crisper ses doigts sur cette partie du corps de la Princesse. Elle serra ainsi l’une de ses fesses, et trouva ce contact délicieux. Elle relâcha la pression, puis l’appuya à nouveau, sentant à chaque fois le corps de la Princesse remuer en accordéon. Son autre main se déplaça lentement, filant le long du dos de la femme, caressant sa peau, l’appréciant, la savourant. Shizuka peinait à se retenir, et se laissait progressivement aller. Elle se pinçait les lèvres, la respiration lourde, le souffle accéléré. Le plaisir croissait progressivement en elle, ainsi que l’envie et le désir. Son autre main filait le long de cette peau douce, caressant le creux de ses reins, et vint palper l’autre fesse.
« Humm... »
Shizuka était réellement comblée, et écoutait sagement les recommandations de sa Princesse, qui lui suggérait de se laisser aller, de laisser ses envies parler pour elle, et de ne penser à rien d’autre. Facile à dire ! À faire, c’était autre chose ! Shizuka n’arrivait pad vraiment à se dire qu’elle était là, que c’était bien elle qui, nue, allait faire l’amour à la Princesse d’Edoras... Car oui, il s’agissait bien de ça, en définitive. Tout son corps bourdonnait, ses seins tiraient, lui faisant étrangement mal. La guérisseuse découvrait des sensations inédites sur son corps, des émotions qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant. D’où venait cette lancinante douleur qui remontait dans ses entrailles ? Qu’est-ce que ça voulait dire ? Comment y faire face ? Elle ne comprenait pas pourquoi ses seins lui faisaient mal, en ce moment, alors que, généralement, elle les trouvait juste encombrants. Et, aussi, elle ne comprenait pas pourquoi il était si agréable de malaxer ainsi les fesses rebondies et tendres de la Princesse. Les doigts de Shizuka remuaient sur cette croupe, écartant les fesses, les écartant, avant de les palper. Elle avait peur de lui faire mal. La jeune femme prude ne pouvait néanmoins pas s’empêcher de le faire. C’était tendre, chaud, et, et... Et pervers ! Mais, curieusement, cette perversion l’attirait, au lieu de la repousser. Elle en voulait plus, encore plus, et elle n’arrivait pas à aller contre cette envie, contre ce désir qui pulsait en elle. Le toucher...
La Princesse lui avait dit que ce genre de choses reposaient beaucoup sur le toucher. Elle prêchait une convaincue, et, pour l’heure, Shizuka se laissait faire, avant que la Princesse ne lui propose de s’attaquer à ses seins.
« Je... Hrrmm !! »
Sa gorge était sèche, et Shizuka dut se la racler, s’humectant les lèvres, puis l’observa silencieusement, clignant des yeux à plusieurs reprises. Sa main remonta de ses fesses pour attraper les cheveux d’Hinata, et, les joues rouges, le feu bouillonnant dans tout son corps, Shizuka lui sourit.
« Ma... Ma poitrine est à toi, Hi... Hinata... »
Appeler la Princesse par son nom fit rougir Shizuka, qui se mordilla les lèvres, craignant instinctivement, comme toujours, d’avoir fait une boulette. La vérité était que Shizuka était très excitée par ce qui se passait sous son nez, et que, pour rien au monde, elle ne voulait aller ailleurs. C’était ça, tout simplement. Et, pour l’heure, même si elle n’osait pas le dire, sa tête bourdonnait d’images et d’envies perverses, des envies que seule la princesse pouvait, en ce moment, accomplir.
Shizuka lui faisait totalement confiance !