Nom/Prenom/Surnom : Rumplestiltskin est son nom. Mais elle utilise parfois des noms d'emprunts. Le plus courant étant Amélia Gold, Amy pour les intimes.
Âge : Indéfini.
Sexe : Féminin.
Race : Créature.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle plus que convaincue.
Description physique :
Rumplestiltskin s'avance. Et, surprise ! Ce n'est pas un petit lutin rabougri, mais une ravissante et plantureuse femme. Sa chevelure est aussi brune que le chocolat, avec des reflets cuivrés au soleil. Son teint est mat, bronzé. Sans défaut, si ce n'est un petit grain de beauté au-dessus de sa lèvre inférieure droite. Son nez droit possède une ligne aristocrate, et ses lèvres carmine sont pulpeuses à souhait. Son regard pétille d'or sur des iris noisette et est bordé de longs cils sombre. Ses sourcils, fins, donne à son regard une profondeur nouvelle.
Le reste de son corps est tout à fait attrayant. Bien qu'elle ait l'air d'une fragile jeune femme ne dépassant pas le mètre soixante, elle est en tout point bien proportionnée. Ses cinquante kilos à peine ont déjà fait fuir de courageux hommes. Et pourtant, sa poitrine généreuse les tentait, de même que sa taille si fine qu'ils imaginaient déjà l'emprisonner facilement d'une seule main. Ses hanches qui s'élargissaient pour laisser la place à un derrière rebondi et ferme les attiraient comme des mouches. Mais le pouvoir de Rumplestiltskin sait battre tout les attraits physique. Même ses longues jambes fuselées n'ont pas suffi à garder près d'elle un homme dont le courage n'était pourtant plus à démontrer, la peur de ses pouvoirs étant la plus forte.
Caractère :
Les contes de fée rendent bien peu hommage à Rumplestiltskin. Déjà, on écrit qu'il s'agit d'un homme. Ce qui est faux. Archi-faux. Rumplestiltskin est une femme comme vous avez pu en juger de part son physique. L'on dit aussi que Rumplstiltskin est prompte à s'emporter (ce qui, bien que totalement exagéré, contient une certaine part de vérité). En fait, c'est une illusion qu'elle donne. Elle aime se donner en spectacle, mais sait aussi prendre son mal en patience (Comme vous le verrez dans l'histoire). Elle n'apprécie que moyennement qu'on la trompe, et sa vengeance est toujours terrible. Elle n'a pas de pitié. Pour personne. Implacable, voire cruelle, la jeune femme n'agit que pour elle.
Et c'est là que le bât blesse. Malgré ses pouvoirs incommensurables, il lui est impossible de concevoir. Elle est résolument stérile et, régulièrement (tout les cent ans à peu près), elle réclame un enfant en échange de son aide. Comme mère, elle est aimante. Elle est aussi farouche. Personne ne fait de mal à son enfant, même si ce dernier est adopté. Elle rêve le meilleur pour cet enfant, et il n'est pas rare qu'un fils ou une fille donnée à Rumplestiltskin finisse roi, reine, etc...
Histoire :
Fairy Tale Town. Une petite ville perdue au fin fond de Terra. C'est de là que Perrault, Andersen, Grimm & Grimm, et autres auteurs de contes ont été pour tirer leur inspiration. Il est arrivé, cependant, qu'il déforme les faits pour que ça soit plus romanesque. Par exemple, Cendrillon n'a jamais été retrouvée par son prince. En fait, sa marâtre lui a même coupé les pieds pour qu'elle ne puisse chausser les pantoufles de vair, et les a fait brûler devant ses yeux. Par la suite, la pauvre fille est morte en se vidant de son sang.
Mais ce qui nous intéresse là-dedans, c'est Rumplestiltskin. Personne ne sait comment elle est née, au juste. Personne non plus ne sait l'âge qu'elle a. Tout ce qu'on sait à son sujet se résume à trois choses. C'est une femme, elle existe depuis aussi longtemps qu'on s'en souvienne, et elle n'exauce des voeux qu'en échange d'autre choses. "Toute magie possède un coût" dit-elle à tout bout de champ, pour justifier ses désirs. Mais le fait est que dès que quelqu'un ne remplissait pas son engagement, le voeu se retournait contre lui et Rumplestiltskin en sortait tout de même gagnante.
Toute cette histoire commence il y a une vingtaine d'année, à Fairy Tale Town. Comme d'habitude, la jeune Rumplestiltskin se présentait à quelqu'un désirant se faire exaucer un voeu. Avant de faire quoi que ce soit, elle rédigeait un contrat magique avec une goutte de son sang, et l'intéressé signait avec son propre sang. Ce jour-là, c'était une femme enceinte dont le bébé promettait d'être mort-né. En échange de la vie de son enfant, la femme promettait de lui offrir le second enfant qui verrait le jour. "Une vie pour une vie" avait doctement raisonné Rumplestiltskin. Après signature du contrat, la femme perdit les eaux. Son enfant naquit. Un fils, vigoureux. Mais sitôt que le garçon eut poussé son premier cri, un deuxième enfant sortit des entrailles maternelle. Une fille cette fois. Une fille, telle qu'en désirait la femme depuis des années. Son fils était le huitième déjà, et elle espérait tant, en sauvant son enfant, que ce fut une fille... Mais un contrat est un contrat. Rumplestiltskin était déjà là, à réclamer son dû.
La mort dans l'âme, la femme lui refila le nourrisson bien emmitouflé dans un linge propre. Puis l'on chassa Rumplestiltskin du foyer qui allait fêter la naissance du bébé. Seulement, la femme avait trompé son monde. L'enfant refilé à Rumplestiltskin était un garçon. Or, c'était la fille qui était promise. Furieuse, l'exauceuse (?) de voeux prit son mal en patience. Elle éleva le garçon pendant vingt ans. La femme se croyait sortie d'affaire, que la malédiction de ceux qui ne respectait pas les contrats était fausse. Mais elle n'avait pas lu les petites lignes en bas de la page. Ces lignes stipulaient que l'exécutrice du contrat avait toute liberté pour exercer sa vengeance.
Rumplestiltskin vivait en dehors du village, derrière la colline qui masquait à sa vue les habitations. Après ces vingts années, le garçon devint un solide gaillard. Formé aux armes et au combat à mains nues, il était tout dévoué envers sa mère d'adoption. Il était aussi avide de sang, et adorait tuer. C'est pour ça qu'un jour, Rumplestiltskin l'envoya au village pour chercher femme. "Tue, viole, pille, s'il le faut. Tu es mon fils, tu prends ce que tu désires. Le monde doit t'appartenir."
C'est ainsi que le garçon, nommé Bakari, partit pour le village. Il vit la fille, sa soeur. Mais ignorant ce dernier fait, il lui signifia sans équivoque qu'il la voulait pour femme. La mère l'avait déjà fiancée au fils du maire. Il ne s'embarrassa pas des convenances. Il viola la mère, qui se mettait en travers de son chemin, tua l'homme et les sept fils, puis viola la fille avant de l'amener devant le maire pour qu'il bénisse cette union. Quand ce fut fait, il repartit avec sa nouvelle épouse pour la demeure de sa mère. "C'est bien mon fils !" avait dit Rumplestiltskin. Elle lui avait offert de vivre dans ce petit manoir avec la ferme attenante et les serviteurs, puis elle lui a annoncé qu'elle partait voyager. Elle lui léguait tout.
Avant de partir, cela dit, elle retourna au village pour la première fois depuis vingt ans. Elle passa voir la mère éplorée et lui fit remarquer que, tôt ou tard, l'on payait les conséquences de ses actes. Elle glissa aussi dans la conversation, innocemment, que la nouvelle épouse de son fils lui ressemblait beaucoup. Satisfaite, elle laissa la mère pleurer de plus belle sur ce nouveau coup du sort et partit voyager loin de ce village. Peu de temps après son départ, la mère se suicida. Son fils, ayant épousé sa jumelle, renversa le maire et dirigea la ville d'une main de fer.
Quant à Rumplestiltskin, elle arriva à Nexus. Comme elle l'avait fait pour Fairy Tale Town, elle exauça des voeux en échanges de services. C'est ainsi qu'elle se fit bâtir un autre manoir avec ferme attenant à quelques kilomètres de la cité-état de Nexus. Elle gagna aussi des troupeaux de vaches, de moutons, de brebis et des chevaux. Elle acquit aussi un petit commerce d'esclaves terranides.
Situation de départ : Expérimentée.
Autres : Elle possède le don de longévité et de jeunesse éternelle, avec en prime le pouvoir d'exaucer des voeux à l'infini. Don qu'elle utilise à son avantage.
Comment avez vous connu le forum : Google.
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Nop.
