C’était encore heureux que Limma ne soit pas attirée
uniquement par les fesses de la vampire. Elle savait qu’elle avait un beau cul, mais son capital beauté ne se limitait pas à ses fesses. Il s’étendait à tout son corps, allant de ses cheveux à la pointe de ses pieds, à ses beaux ongles. Tout en elle était un ode à la beauté. Elle avait vu bien des peintures de sa défunte mère, très réalistes, et la ressemblance entre elle et sa fille était troublante. Mélinda était aussi belle que sa mère, ce qui avait confirmé, aux yeux de son père, qu’elle avait «
volé » la vie de sa mère. En revanche, elle ignorait si sa mère était une grande sodomite ou non... Son père n’avait jamais eu l’occasion de le lui dire, et, vu qu’une bonne partie de son corps était dans le ventre de sa fille, elle doutait qu’il puisse un jour le dire. Pour l’heure, elle se faisait plaisir avec Limma, qui enfonça sa queue un peu plus profondément en elle, faisant gémir Mélinda, qui se crispa sur son corps.
Arame, de son côté, continuait à remuer son doigt, et Limma eut un nouvel orgasme. On pouvait comprendre le plaisir qu’elle ressentait, prise entre ces trois délicieuses femmes. Elle devait être aux anges, même si cette formule sonnait un peu faux pour une démone. Elle remuait lentement son corps, en sentant alors la queue de Limma se mettre à bouger. Son sang ondula, se modifiant, et elle sentit quelque chose de gros filer le long de sa queue, l’arrondissant partiellement, s’enfonçant dans son fondement, écartant ses fesses.
«
Uuuurf... !! » grogna la vampire.
Ses fesses s’écartèrent d’un coup, avant de se refermer, puis de se rouvrir, tandis qu’elle sentait
quelque chose filer dans son corps... Elle comprit alors que Limma était en train de sécréter un produit de son corps, qu’elle larguait dans celui de Mélinda par l’intermédiaire de sa queue. Des frissons la traversaient alors qu’elle se tortillait, en gémissant de plaisir, mouillant de plus en plus. Ses griffes jaillirent de ses ongles, s’enfonçant dans la peau de Limma.
«
Aaaaahhhh... »
Elle n’arrivait plus à parler convenablement, sentant son ventre grossir légèrement. Elle continuait à mouiller. Mélinda n’était pas rebutée par ça, bien au contraire. Elle se sentait très excitée, et cette excitation se faisait ressentir dans tout son corps. Sya, de son côté, se déplaça, s’écartant de sous le corps de Limma pour approcher ses lèvres de ses seins, les titillant avec amour. Sa tête vint ainsi séparer Mélinda de Limma, qui aventura alors l’une de ses mains sur les cheveux bleus de Sya, caressant sa peau, la griffant également, tandis qu’Arame vint gifler l’une des fesses de Sya, avant d’enfoncer également un doigt dans ses fesses. Arame dut se déplacer, et sodomisait ainsi les deux femmes, avec un certain talent.
Autour d’elles, les filles s’amusaient entre elles, gloussant, chuchotant, les observant. Elles savaient qu’Arame et Mélinda étaient deux têtes fortes, tandis que Limma apparaissait plus comme une esclave docile et recluse, avec un côté sombre à ne pas titiller. Elles savaient que, avec Limma, il valait mieux ne pas parler des prestations effectués auprès des hommes, ce qui pouvait parfois poser quelques difficultés, dans la mesure où les mâles constituaient la majeure partie de la clientèle du harem. Parmi toutes les filles, il y en a une qui ne tarda plus à intervenir, contribuant à donner à cette scène une situation de pré-orgie.
C’ était une ancienne fermière,
Maria, qui, conformément à la loi ashnardienne, avait été revendue par ses parents pour désintéresser les créanciers de leur exploitation agricole, quand ils avaient des problèmes de liquidités. Maria avait été une forte tête qui avait été torturée par le premier esclavagiste qui l’avait acheté, avant que ce dernier ne décide de la revendre, lassé par elle. C’est à cette occasion que Mélinda lui avait mis les griffes dessus. Maria adorait aller sur Terre, et faire du sexe. Elle se rapprocha des femmes, et se pencha vers Limma, fléchissant les genoux.
«
Viens par là, toi... »
Maria posa une main sur la joue de Limma, et tourna sa tête, afin de l’embrasser tendrement, fourrant sa langue dans sa bouche. Elle savait y faire, avec les baisers, et aventura l’une de ses mains dans le dos de sa Maîtresse, le caressant en pointant ses ongles, griffant légèrement sa peau.
Mélinda était au comble du bonheur.