Qui mieux qu’une mère pour connaître sa fille ? Ivy connaissait la gourmandise de Kyli, et son grand appétit sexuel. C’était assurément une conséquence de Lily et Raune, deux Alraunes très perverses, car même Ivy estimait ne pas avoir un tel degré de perversion. Kyli était très précoce, et cela promettait, pour l’avenir, une femme très aimante, qui aurait sûrement d’innombrables amants. Pas de quoi gêner sa mère, bien au contraire, qui ne souhaitait que le meilleur pour sa fille. Se masturber sous son nez était une manière de l’exciter légèrement, ce qu’Ivy avait déjà fait avec elle. Elle lui avait appris le sexe féminin en s’asseyant sur elle, et en se masturbant, afin de lui montrer son clitoris, et Kyli, par la suite, avait fourré sa langue en elle. Depuis lors, Ivy prenait parfois cette position, assez incongrue, qui servait à marquer sa supériorité sur sa fille, une supériorité émanant du fait qu’elle était sa mère. Kyli, elle, aimait plutôt bien cette position, car, outre pouvoir caresser le corps de sa mère, elle pouvait aussi, et surtout, avaler sa douce semence, un nectar que Kyli adorait beaucoup. Une telle adoration avait même conduit Pamela à utiliser ses tentacules sur les lycéennes qu’elle utilisait pour recueillir la mouille, afin d’en faire une sorte de source naturelle pour Kyli, qui pouvait ainsi y boire comme on buvait de l’eau.
Là, assise sur elle, Pamela reprenait des forces, tout en se doutant très bien de ce que sa fille voulait, en refusant ainsi d’aller se couicher… Soit se faire punir, soit davantage d’attention… Mais Pamela lui enseignait à dire les choses envers elle, et, tandis que Kyli réfléchissait, Pamela se retourna, afin de se tenir face à Harley, qui massait les seins de la jeune fille. Ivy la rejoignit, massant également les seins de sa jeune fille, appuyant parfois ses cuisses directement sur sa tête, ses fesses s’enfonçant contre ses yeux et son front, avant de se relever.
Pamela savait qu’Harley recherchait une bunny girl, une femme qui avait permis de la libérer de prison il y a de cela quelques temps. White Rabbit, sous les ordres de Bane, avait organisé une évasion à Arkham, et, depuis lors, les informations d’Harley lui avaient permis de la traquer jusqu’à Seikusu. Avec l’aide d’Ivy, Harley avait même infiltré le commissariat central de Seikusu, afin de se renseigner. La police n’avait cependant que quelques bribes d’informations, mentionnant une bunny girl qui, d’après les auditions et les plaintes, sévissaient le long de la fête foraine. Ayant néanmoins d’autres chats à fouetter qu’une bunny girl qui semblait s’amuser à faire de légers rapts, l’enquête n’avait quasiment pas avancé, mais Pamela savait qu’Harley voulait retrouver cette femme, afin de la remercier… Et sans doute aussi parce que White Rabbit avait l’air d’être un peu folle, comme elle.
« De mon avis, on devrait plutôt continuer à focaliser nos efforts sur les alentours de la fête foraine, et les bars. Cette petite aime bien les endroits festifs, et manipuler les hommes, visiblement. »
Soudain, Kyli se rappela à elles, indiquant vouloir boire du lait maternel, ce qui fit sourire Ivy, qui tourna sa tête, avant de se retourner à nouveau, plaçant à nouveau son intimité devant le visage de sa jeune fille.
« Alors, c’est donc ça que tu veux, hum ? Petite gourmande… »
Elle tendit sa main, et posa un doigt sur le nez de Kyli.
« Tu sais comment on appelle ça, Kyli ? Du chantage… Ou un caprice. Si je refuse, tu vas te mettre à pleurer, c’est ça ? Alors, je devrais te fesser… »
En réalité, Kyli était une fille adorable, très gentille, mais Pamela aimait bien la titiller, car elle savait que sa douce fille aimait ça. Et, tandis qu’elle parlait, deux tentacules se déplaçaient, avec, à leur extrémité, une aiguille. Une pointe qui alla s’enfoncer dans la nuque d’Harley et dans celle de Pamela, faisant légèrement durcir leurs seins, les remplissant de laits.
« Haaa… Je t’aime vraiment trop, Kyli… Mais tu as intérêt à… Bien tout boire… »
Poison Ivy se redressa ensuite, libérant le corps de Kyli, et attrapa Harley par la main. Ensemble, elles allèrent se poser sur un grand fauteuil végétal, si grand que les deux pouvaient s’asseoir, avec un espace creux au milieu pour que Kyli y vienne.
« Tu… Tu as intérêt à te dépêcher, Kyli, car… Hum… Sinon, je crois que Tata Harley va aller boire mon lait, et que j’irais boire le sien… »