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Cela faisait maintenant plusieurs jours que Pamela Isley, alias Poison Ivy, avait ramené de Terra un magnifique cadeau que deux sœurs Alraunes lui avaient offert : Kyli (http://img110.xooimage.com/files/b/a/6/alraune-3--48eab7e.jpg), sa fille*. Une resplendissante beauté, qui, comme sa mère, était à la fois belle, perverse, et très intelligente. Pamela lui avait promis d’aller sur Terre, et c’est ce qu’elles avaient fait. Kyli vivait depuis maintenant plusieurs jours dans le refuge végétal de Pamela, qui avait conçu pour elle une potion, grâce à l’aide d’alchimistes de Terra, qui permettait à Kyli d’avoir une apparence humaine, avec une peau beige, et permettant de détacher les deux fleurs sur sa tête. Grâce à cela, elles avaient pu sortir un peu, mais habituer Kyli, issue d’une forêt pure, à l’environnement passablement pollué de la Terre n’était pas facile, même si, en la matière, le Japon présentait un environnement sain. Ensemble, elles s’étaient promenées dehors, et Pamela lui avait fait manger des glaces à l’italienne. Elle ne lui avait pas encore tout montré, mais, ensemble, elles avaient aussi pu voir les multiples fidèles de Pamela, ces lycéennes, ces femmes et ces hommes que Pamela avait séduit, et qui vivaient dans son antre, en tant que serviteurs, qu’amants, et cobayes pour les expériences de la femme.
Kyli avait pu les voir, mais elle n’avait fait l’amour, pour l’heure, avec personne d’autre que sa mère. Et, pendant ces quelques jours, les deux femmes s’étaient régulièrement fait l’amour, couchant tout le temps ensemble, Kyli adorant sucer ses seins, buvant le magnifique lait de la femme. L’Empoisonneuse la laissait donc faire, et, maintenant, un grand moment s’annonçait.
« Elle va bientôt venir, ma chérie... Ne t’inquiète pas, Harley ne pourra que te plaire... »
Dans le refuge souterrain et végétal de Poison Ivy, accessible depuis le parc municipal central de Seikusu, Pamela attendait l’arrivée de sa grande amie et amante. Hier, Pamela était venue la voir dans un bar, où elles s’étaient battues contre une bande de bikers leur ayant manqué de respect. Et, après avoir dévasté le bar, elles avaient fait l’amour, puis Pamela lui avait finalement dit qu’elle avait une fille, et qu’elle voulait la lui présenter. Elle lui avait dit qu’elle s’appelait Kyli, qu’elle était belle, très intelligente, et qu’elle était le fruit de son union avec des Alraunes.
« Je ne t’en ai pas parlé, lui avait-elle dit, car je voulais m’assurer qu’elle naisse viable. »
C’est ce qui était arrivé, et il était donc temps qu’Harley Quinn la rencontre.
Et, quant à Kyli, Pamela lui avait dit qu’Harley Quinn, de son vrai nom Harleen Quinzel, était une femme très vive, qui aimait la vie, et qui adorait les enfants. Poison Ivy lui expliqua qu’elle n’avait rien à craindre d’elle, qu’elle était la meilleure amie de Pamela, et qu’Harley l’avait suivi de Gotham City à Seikusu juste pour être avec elle. Pamela, en effet, enseignait aussi à Kyli le fonctionnement de la Terre, grâce à des atlas et à des glossaires, et elle lui avait expliqué qu’elle était originaire d’une ville extrêmement novice et terriblement polluée : Gotham City.
Maintenant, les deux femmes attendaient leur invitée... Avec Kyli assise sur les genoux de Pamela, qui lui embrassait tout doucement et tout tendrement la tête, se frottant contre ses cheveux.
* : Cf. RP « Bienvenue au monde (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=15968.0) »
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Il y a bien des surprises dans la vie et on en avait chaque jour, pas forcément une surprise titanesque mais des surprises plus petites et anodines et là, elle fut de taille ! Dire qu'hier encore encore elle était sortie dans un petit bar dans un quartier paumé de Seikusu car disons-le simplement, une virée dans un bar sans une baston pour Harley, c'est comme un porno sans porno... ça sert à rien ! Puis à force de faire la tournée des bars, elle devait bien en tester de nouveaux. Comme son look (http://danbooru.donmai.us/posts/2040080?tags=harley_quinn). Un peu plus urbain et nouveau en gardant cette touche Harley dont elle avait le secret. Normal en même temps, c'est elle qui a lancé cette mode pour ainsi dire ! Puis fallait bien s'occuper sans Ivy, elle avait pris quelques jours de vacances loin du lycée, retournant sûrement sur Terra. Ce n'était pas trop sa came à Harley. Oui les vacances furent pas mal mais l'ambiance grosse citée futuriste digne d'un film de SF ou bien les chevaliers allant combattre l'injustice, bah ce n'est pas trop son truc ! Elle était plus à l'aise ici, Gotham en moins polluée et moins dangereux mais ça restait quand même un bon endroit.
Alors quelle fut sa surprise déjà de revoir Ivy sans avoir eu un coup de file ?! Ce fut l'occasion de se sauter, dans les bras d'abord pour s'embrasser avant d'avoir droit aux remarques sexy de ses Lobo asiatiques et beaucoup moins dangereux. Heureusement pour elle, elle ne sortait jamais sans sa grande copine. Ivy ? Non pas elle, Miss batte de baseball ! Avec elle hier soir, elle avait fait frotter des mains bon nombre de dentistes car bien des dents avaient volé et il en était de même pour le sang. Un peu de violence, un zeste de Gotham ici et voilà Harley toute chose ! Une fois le bar bien calmé, elles avaient fait l'amour sur le billard, l'occasion de se retrouver officiellement mais aussi d'en apprendre une belle ! Ivy était Maman ! Et même pas le genre de nouvelle futuriste où elle serait enceinte, non, elle avait déjà une fille, en chair et en os ! Enfin plutôt en sève et en euh... plante ? Ivy lui avait donné les grosses lignes de sa fille, née d'elle évidemment et d'Alraune – sorte de femme plante car bon, Harley n'était pas calé sur le sujet – et elle se nomme Kyli. Un nom bien mignon ! En plus elle était belle et intelligente. Voilà qui était bien intrigant ! Au point où Harley avait cogité tout ça la soirée sans faire de mauvais coup...
Harley avait beau être folle, la rendant parfois aussi folle que dangereuse, elle ne ferait pas de mal à une enfant. Pas a celle d'une copine en tout cas mais sinon... avec le Joker, elle en aurait bien été capable. Le lendemain, elle rejoignait donc sa Pamy dans sa planque, Harley n'avait pas changé son look pour autant emportant même sa batte, au cas où il y aurait un con ou deux en route. Arrivant enfin chez Pamy, elle passa la porte en la voyant avec ses cheveux roux puis...
« Oooooooooh ?! »
La voilà la fameuse Kyli ? Elle n'était pas un peu grande non ? Dpeuis combien de temps elle lui avait caché cette fille ? Harley ne s'attendait pas à voir un bébé dans les bras de Pamy mais au pire, une petite de quatre ou cinq ans et là... elle a l'âge d'aller au lycée ou au pire, fin de collège ! S'approchant d'elles, elle n'avait d'yeux que pour Kyli qu'elle observait sous toutes ses coutures. En haut, en bas, sur les côtés, ne rythmait tout cela que par des « oooooooh ? » depuis tout à l'heure. Elle leva enfin les yeux vers Pamy en lui souriant avant de rabaisser son regard sur la petite en faisant une bulle rose avec son chewing-gum. Quand ce dernier explosa, elle caressa la lèvre inférieure de Kyli avec son index.
« Elle a tes lèvres en tout cas ! »
Enfin... peut-être ? Elle était nulle pour découvrir ce genre de choses... Venant ébouriffer les cheveux de Kyli, elle se redressa pour se pencher sur Pamy pour l'embrasser avec son grand sourire et ses lèvres goût chewing-gum à la fraise, quitte à mettre sa poitrine sous le nez de mini-Pamy.
« Kyahahahaha ! C'est fun de te voir en maman, Pamy ! » Abaissant ses genoux pour faire face à la petite Kyli, elle venait lui baiser le front – elle ne savait pas vraiment comment la mère et la fille passaient leur journée après tout. « Ta maman te l'a peut-être déjà dit mais moi, c’est Harley et j'ai pleeeeeeeeein de chose à t'apprendre ma petite puce verte ! » Pas sûr que les choses à lui apprendre soit d'une grande priorité... Elle venait lui tendre un chewing-gum en la regardant avec un grand sourire. « Tu n'aime les chewing gum Kyky ? »
Avec Harley, fallait s'attendre à un surnom mais cela n'a rien d'officielle pour le moment. Pourquoi pas Lyly ? Ou... va lui falloir trouver des idées quand elle cernera mieux la petite Pamy.
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La Terre.
Un monde étrange et totalement inconnu, dans lequel je n'aurais pas cru pouvoir trouver mes marques si vite. Ça ne faisait que quelques jours que j'y vivais, juste après avoir quitté la forêt qui m'avait vu naître sur Terra, mais je m'y sentais déjà comme chez moi. Il faut dire que l'aide de ma maman aura été des plus précieuses. Grâce à elle, j'ai pu affronter la pollution de l'air qui me donnait l'impression d'étouffer, bien que Seikusu soit un environnement assez bien préservé comparé à d'autres villes, j'ai pu obtenir une apparence plus humaine et ainsi me fondre dans la masse, j'ai même pu m'inscrire au lycée de Seikusu. Bien qu'ayant déjà toutes les connaissances que j'aurais pu y apprendre, maman jugeait qu'il fallait que je vive comme une adolescente ordinaire avant de pouvoir embrasser ma vie de déesse végétale. Le Japon avait cet énorme avantage d'avoir un système scolaire où un nouvel élève peut arriver n'importe quand et bien s'intégrer, mais ça ne se faisait pas non plus du jour au lendemain. Alors en attendant que j'ai ma place, maman et moi passions la plupart de notre temps ensemble : quand elle faisait cours, je m'occupais de son jardin à l'intérieur du lycée ; quand elle avait du temps libre, elle restait avec moi et me faisait découvrir des choses ou rencontrer des gens. Par exemple, elle m'avait fait rencontrer les hommes et les femmes qui étaient devenus ses fidèles, lui servant d'amants et de cobayes pour ses expériences. Mais surtout, dès que nous avions un moment de libre, nous faisions l'amour ensemble. J'adorai la sentir me serrer dans ses bras, caresser mon dos et mes cheveux pendant que je tétais ses seins remplis de lait aphrodisiaque. Ensuite, nous usions de nos capacités pour nous faire des choses intenses et uniques en leur genre, comme nous pénétrer avec des tentacules ou avec un phallus végétal. Parfois, je continuais jusqu'à ce que la fatigue me terrasse et me force à arrêter, puis je prenais une dernière gorgée de lait et je m'endormais entre ses bras. Ah que c'était bon...
Ce jour là était un jour particulier puisque, après avoir dégusté des glaces à l'italienne, j'allais rencontrer une des grandes amies d'Ivy : Harley Quinn, de son vrai nom Harleen Quinzel. D'après ce que maman m'avait dit, Harley était une femme qui aimait vivre pleinement, et qui adorait aussi les enfants. D'ordinaire, j'étais assez nerveuse à l'idée de rencontrer de nouveaux visages, mais elle m'avait assurée que je n'avais rein à craindre de son amie, alors je n'étais pas inquiète. Assise sur ses genoux, j'attendais tandis qu'elle m'embrassait régulièrement le haut du crâne. Pour un peu, j'aurais pu m'endormir dans cette position. Il faut dire que ce repaire végétal, juste en dessous du parc de Seikusu, était un vrai lieu de béatitude pour moi. Je pouvais sentir les milliers de plantes qui vivaient autour de moi, c'était comme une cacophonie de sons qui s'harmonisait pour devenir une seule et même chanson. La beauté dans son plus simple état.
Après quelques minutes d'attente, quelqu'un arriva enfin. C'était bien Harley, maman me le confirma, mais le style vestimentaire qu'elle arborait était assez loin de ce que j'imaginais. Maman me l'avait décrite comme un arlequin, pas comme une allumeuse. Et pourquoi cette batte ? Au moins, Ivy avait raison sur un point : à peine entrée, son amie s'approcha de moi et se mit à m'examiner sous tous les angles possibles, rythmant cet examen par des « oooooooh ? » de temps en temps. Elle ne me toucha qu'une fois, en passant son doigt sur ma lèvre inférieure, comme quoi j'aurais hérité des lèvres de ma maman. Puis elle m'ébouriffa les cheveux et alla embrasser ma maman, mettant sa poitrine juste devant mon nez. Elle était bien formée, mais je n'avais pas besoin d'être aussi proche pour le voir, ses vêtements laissaient tout transparaître.
A genoux devant moi, Harley m'embrassa le front puis me dit qu'elle allait m'apprendre plein de choses. Ensuite, elle me proposa un chewing-gum. A cet instant, je ne savais pas de quoi il s'agissait, alors je fis ce que je faisais toujours dans ce genre de cas.
« Maman, qu'est ce que c'est un chewing-gum ? »
Elle m'expliqua qu'il s'agissait d'un type de bonbon qui ne s'avalait pas, qu'on mâchait jusqu'à ce qu'il n'ait plus de goût puis qu'on jetait ensuite. Intriguée, je pris celui que son amie me tendait et je me mis à le mâcher. La texture en bouche était particulière, mais le goût était bon. Mon visage s'illumina.
« Hhmm. C'est bon. »
Harley était contente, et maman était contente que nous nous entendions bien. Et pendant que je mâchais, je repensais à ce qu'elle avait dit un peu plus tôt. Elle voulait m'apprendre des choses, mais que pourrais-je encore avoir besoin d'apprendre ? Le savoir acquis durant ma période de gestation couvrait une grande partie du savoir de la Terre et de Terra, peu de choses m'étaient inconnues. Néanmoins, j'avais envie d'en savoir plus.
« Hum, Harley... quand tu as dit que tu allais... m'apprendre des choses... de quel genre de choses... tu parlais ? »
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Pour autant que Pamela s’en rappelle et s’en souvienne, Harley avait toujours aimé les enfants. Elle adorait faire des blagues avec eux, et les entendre rire, et ce sans doute parce qu’elle avait un comportement très immature. L’épisode au bar, hier, en avait été la preuve. Elles avaient totalement dévasté ce bar, car, en répondant aux insinuations sexistes d’une bande lourdauds, Harley avait frappé avec sa batte, puis Pamela était intervenue. Oh, elle ne blâmait nullement son arlequin, car ces types l’avaient mérité, et ça leur avait rappelé le bon vieux temps... Mais c’était Harley. Totalement imprévisible, comme son nouveau look, extrêmement sulfureux et provocateur, qui la faisait ressembler à une véritable prostituée. Pamela aimait bien ce style, mais, quand Harley arriva, elle vit clairement sa jeune fille s’étonner d’un tel choix vestimentaire.
Pamela essayait d’habituer Kyli au port de vêtements, et elle avait du mal... Mais c’était nécessaire pour sortir. Sa fille était surprise par le fait que les humains aiment tant porter des vêtements sur eux, et Ivy lui avait expliqué que c’était culturel et naturel. Les vêtements servaient à se protéger du froid, mais aussi à avoir une sorte de dignité humaine. Néanmoins, ce genre de choses étaient difficiles à expliquer, car Lily et Raune, en formant Kyli, ne lui avaient pas énormément parlé des modes humains, et de leurs particularités. De plus, à la maison, Kyli pouvait être toute nue, Pamela ayant elle-même l’habitude de se promener les fesses à l’air. Poison Ivy avait donc commencé à lui parler de la nécessité, chez les humains, de cacher certaines parties sexuelles de leurs corps, au nom de la religion, de la foi, et de la dignité, en lui expliquant que c’était un code social permettant à l’être humain de se dissocier des animaux. La tâche n’était pas aisée, mais Poison Ivy faisait de son mieux.
Et Kyli avait visiblement suffisamment compris l’impact des vêtements pour comprendre qu’Harley était habillée n’importe comment. Les deux femmes échangèrent un baiser, Kyli restant sur les genoux de Pamela, qui accepta qu’elle mâche un chewing-gum, tout en donnant à Harley quelques explications supplémentaires, ayant, en effet, bien perçu son air surpris quand elle avait vu que Kyli, loin d’être un bébé, était une jeune fille en pleine force de l’âge.
« Kyli a grandi artificiellement dans un cocon... Le temps s’écoulait différemment pour elle, ce qui fait que, là où seulement quelques mois ont passé pour nous, pour elle, elle a grandi nettement plus vite. »
C’était aussi simple que ça, et Pamela embrassa la tête de sa charmante fille. Ce n’était pas la première fois qu’Harley venait ici, elle savait comment les choses se passaient. Inutile, en conséquence, de lui dire de s’asseoir, son clown avait toujours fait comme si elle était chez elle dans les différents abris de l’Empoisonneuse... Et, en un sens, elle n’avait pas spécialement tort, car elle était effectivement chez elle.
Pamela les laissa donc conserver, restant, pour l’heure, relativement silencieuse...
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Le temps des découvertes avait sonné ! Harley venait de découvrir la petite Kyli qui était loin de ressembler à cette petite Pamela qu'elle voyait dans ses fantasmes. Elle savait qu'elle avait quelques minutes de retard au rendez-vous mais les minutes se seraient écoulé en année ? De même qu'elle avait bien vu le regard de la petite à son arrivée, que son aspect ou son nouveau look, elle avait eu l'air surprise ? Pamy hier n'avait rien dit, au contraire, elle avait semblé approuvée son nouveau look pour une nouvelle vie. Harley avait changé ? À part de vêtement, pas le moins du monde mais elle devait bien changer un peu, les rumeurs de la fille en Arlequin avaient tourné dans Seikusu et à son approche, ça détallait comme des souris face à un gros matou. Sinon, elle ne s'amuse plus. Ivy lui expliqua rapidement qu'elle avait grandi rapidement dans son cocon pendant que la petite Kyky mâchait tranquillement son chewing-gum. Brave petite.
Mais la voilà, elle était peut-être grande en apparence mais elle ne devait pas tout connaître en ce qui était des choses en général et face à sa question, Harley était face à un petit piège. Elle s'attendait à trouver une gamine et lui expliquer des petites choses que Pamy aurait oubliée de préciser pour paraître savante à ses yeux. La première impression est toujours la bonne. Sauf que voilà, non seulement Kyky en savait beaucoup mais en plus elle paraissait avoir l’âge des élèves de sa Pamy chérie. Harley se gratta doucement la joue en cherchant ce qu'elle pouvait lui raconter et... Oh mais bien sûr ! Elle avait oublié de présenter quelqu'un !
« Voici Betty ! » dit-elle joyeusement en lui tendant sa batte. Une batte en bois face à une fille végétale ? Elle aurait gaffé notre Harley ? Outre le fait que sa batte ai un nom ? « Puisque tu m'as l'air d'être une grande fille, Tata Harley va t'apprendre deux ou trois petites choses ! Comme tu es très mignonne, sache que la vie n'est pas toujours rose, orange, rouge, verte, bleu... bref, parfois la vie c'est d'la merde. Et dans cette merde, y a souvent des mouches ou des asticots. Alors si un jour ta maman n'est pas là, ou que moi non plus je ne suis pas là et qu'un type de ton âge en apparence ou même plus vieux te propose des choses... hum, cochon... ou même le sous-entend, tu dois taper très fort à la tête avec Betty ! Je t'aurais bien proposé d'essayer mais je suis pas Superman alors que tu n'ai pas beaucoup de force ou non, je risque de le sentir passer... »
Fraîchement débarqué la voilà qu'elle lui donnait son premier cours de baston ? Non, de défense, nuance ! Pamy l'avait mise en garde contre ce genre de petit pervers ? Elle ne savait pas mais heureusement, Tata Harley est là pour y remédier. Elle brandissait son index pour souligner un détail.
« Mais c'est possible qu'un jour tu n'ai pas Betty sous la main alors, écoute bien le conseil de Tata Harley, c'est un grand coup de genou entre les jambes ! Homme ou femme, ça marche bien. Mieux sur les hommes mais les filles aussi ça peut faire mal. »
Futa ou non, ça marche. Mais bon, la voilà à peine présenter qu'Harley lui apprenait des choses que sa maman pourrait désapprouver... pas grave, elle aimait bien jouer avec Ivy aussi, à voir cela dit ce qu'elle pense de son conseil. Faisant une bulle avec son chewing-gum, elle l'éclata avant de le remâcher pour se mettre à jour ensuite.
« Dis-moi ma petite Kyky, qu'est-ce que ta maman ta déjà apprit ? Puis, qu'est-ce vous faites de vos journées ? »
Pour bien parler, Kyli ne devrait pas écouter sa tata par contre. Avec ses questions, elle saura au moins grosso modo ce qu'elle a appris mais aussi la relation entre la mère et la fille. Harley n'avait pas posé la question mais en même temps, elle ne savait pas comment se comportait Ivy en maman ? Exemplaire ou bien plus coquine ? Non pas que cela cours les rues mais bon... Kyky était bien mignonne après tout et si elle doit lui apprendre des choses plus intimes pour la mettre en garde, Ivy l'a sûrement déjà fait ?
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Harley était certes une fille qui sortait de l'ordinaire, du moins de mon point de vue, mais elle n'avait pas l'air méchante. Au contraire, elle semblait joyeuse et pleine de vie. Et si ma maman l'aimait, pourquoi ne l'aimerais-je pas ? En plus de ça, elle voulait m'apprendre des choses, et je ne disais jamais non à l'apprentissage. La première chose qu'elle fit fut de me présenter sa batte qu'elle avait baptisée Betty. Au début, je ne voyais pas où elle voulait en venir, mais les choses s'éclaircirent rapidement.
« Puisque tu m'as l'air d'être une grande fille, Tata Harley va t'apprendre deux ou trois petites choses ! Comme tu es très mignonne, sache que la vie n'est pas toujours rose, orange, rouge, verte, bleu... bref, parfois la vie c'est d'la merde. Et dans cette merde, y a souvent des mouches ou des asticots. Alors si un jour ta maman n'est pas là, ou que moi non plus je ne suis pas là et qu'un type de ton âge en apparence ou même plus vieux te propose des choses... hum, cochon... ou même le sous-entend, tu dois taper très fort à la tête avec Betty ! Je t'aurais bien proposé d'essayer mais je suis pas Superman alors que tu n'ai pas beaucoup de force ou non, je risque de le sentir passer... »
En l'entendant parler de self-défense, je me rendis compte qu'elle avait raison sur bien des points : depuis que j'étais sur Terre, je n'avais encore jamais eu affaire à des individus qui me voulaient du mal, mais ça risquait de m'arriver tôt ou tard. Je vivais entourée par l'amour et la protection de ma maman, mais ça n'allait pas durer éternellement. Théoriquement, je savais utiliser mes pouvoirs pour me défendre, mais je n'étais pas complètement sûre d'y arriver. Et bien qu'Ivy m'ait mis en garde contre les dangers de ce monde, elle ne m'avait pas encore montrée comment m'en protéger. Donc, si son amie pouvait m'apprendre des choses pour me défendre en cas d'agression, je comptais bien en profiter. Son conseil suivant était que, si je n'avais sa batte sous la main, un bon coup de genou entre les jambes ferait l'affaire. C'était simple mais efficace. Puis tout d'un coup, elle changea totalement de sujet et m'interrogea sur ce que moi et maman faisions de nos journées. J'hésitai un moment avant de répondre.
« Maman m'a appris à utiliser mes pouvoirs, mais pas pour me défendre ou pour attaquer, juste pour guérir la nature quand elle est blessée. Le reste du temps, elle me fait découvrir le monde des humains en faisant des choses banales comme manger au restaurant, aller au cinéma, faire les magasins... Hier, on est allé chercher mon uniforme pour quand j'entrerai au lycée. »
Je préférais éviter de lui parler de la sortie précédente dans un magasin de lingerie. Parler de mes sous-vêtements devant une femme que je venais de rencontrer, même une amie d'Ivy, me semblait trop intime.
« Et c'est à peu près tout. »
Maman posa une main sur mon épaule et me dit que je pouvais lui parler du reste. Mes joues se mirent à rosir et ma voix devint plus faible, le sujet que j'allais aborder était encore plus intime que mes sous-vêtements.
« Et... elle m'apprend aussi... à faire l'amour. »
Je n'osais même plus regarder Harley, je fixais le sol à mes pieds. Quand nous étions arrivées sur Terre, maman m'avait expliqué qu'il ne fallait pas que d'autres personnes sachent que nous avions des rapports sexuels, car cela serait vu comme un acte odieux et indigne, qui pourrait amener certaines personnes à nous séparer l'une de l'autre, ma plus grande frayeur. J'avais donc fait très attention à ne jamais rien laisser paraître devant quelqu'un d'autre. Si elle m'avait autorisée à le dire à son amie, c'était qu'elle devait vraiment avoir confiance en elle.
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Avoir une fille qui serait éduquée par Pamela et par Harley en même temps, ça risquait... De faire des étincelles. Ivy vit ainsi Harley parler tranquillement à sa fille adorée de s abatte de base-ball, et commencer à lui expliquer tous les moyens et toutes les façons possibles qu’il existait pour fracasser le crâne de sales types, ayant visiblement en tête leurs retrouvailles d’hier, où Harley et Pamela avaient effectivement rempli le service des urgences de l’hôpital Resurgam. Là, elles se retrouvaient dans un cadre plus intimiste, avec la petite Kyli sur les genoux de sa Maman, qui, après les explications d’Harley sur Betty, vint à parler de leur quotidien.
Silencieuse pendant cet échange, Pamela essayait surtout de savoir quelle place elle accorderait à Harley dans l’éducation de Kyli. Il était évident que son amie et amante jouerait un rôle là-dedans. Harley n’était effectivement pas méchante, et, pour l’heure, le courant semblait plutôt bien placer entre Harley et Kyli. En réalité, les deux femmes se complétaient. Pamela était une femme intelligente, tout comme Harleen, mais elle était aussi très calme, très maîtrisée, relativement assurée, tandis qu’Harleen, elle, tranchait par un comportement explosif, exagéré, plein d’énergie, et très immature. Surtout, elle adorait jouer avec les enfants, leur faire des grimaces, s’amuser sur les jeux vidéos, et tout ce genre de trucs qui étaient incompréhensibles pour Pamela. Or, même si Kyli avait grandi dans un cocon, et était maintenant à l’âge adolescent, Pamela savait que, pour son équilibre, sa fille avait besoin de... De « fun ». Ce faisant, Harley Quinn était un excellent choix.
Kyli lui parla donc de leur emploi du temps, de ce qu’elles faisaient ensemble, mais en omettant de dire quelque chose, ce qui amena Pamela à lui caresser ses joues, avant de lui faire un bisou sur la tête.
« Tu peux tout dire à Harley, Kyli, n’aie pas peur... »
Elle préférait que ça vienne d’elle, mais Pamela était toujours là pour la soutenir. Finalement, Kyli, en rougissant, avoua alors qu’elle faisait l’amour avec sa mère, ce qui fit sourire Pamela. Sa tête baissée, elle lui offrait sa nuque, et Pamela alla y déposer une série de baisers, en souriant.
« J’ai expliqué à Kyli qu’elle ne devait en parler à personne... Elle est donc toute gênée de t’en parler, Harleen. Mais, tu sais, Kyli... Moi et Harley, nous faisons très régulièrement l’amour ensemble, alors il n’y a pas de honte à avoir. Elle est autant ta confidente que moi, et tu peux tout lui dire, sans aucune crainte. »
Pamela l’embrassa à nouveau, puis releva ses yeux vers Harley.
« Nous avons effectivement fait l’amour, Harley... Et, si Kyli tient de moi, je suis sûre qu’elle aussi, elle a envie de finir dans tes bras... Hein, ma chérie ? Tu veux lui faire un câlin, à Tata Harley, n’est-ce pas ? »
Elle l’embrassa à nouveau, tout en caressant ses hanches.
« Et... Peut-être utiliser tes tentacules sur elle ? Maman ne t’a l’a pas dit, mais il fut un temps où Harley était mon meilleur sujet d’expérience pour m’apprendre à contrôler mes tentacules et mes plantes... »
C’était une autre époque, celle dont Pamela parlait peu, parce qu’elle en avait honte, et parce que son passé criminel, à Gotham City, n’était pas le genre de choses qu’elle avait envie de raconter à Kyli.
« N’est-ce pas, Harley ? »
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Harley aimait déjà cette mini-Ivy, ses grands yeux, sa peau verte, ses jolies petites formes, le bébé était déjà bien grand ! Si elle ne lui aurait pas expliqué son séjour avec les Alraunes, elle aurait pensé avoir eu un bébé avec elle lors de cette fameuse nuit à quatre lors de leurs retrouvailles. Une sacrée nuit d'amour en futa avec Félicia et Aoki. Mais soyons honnête, autant elle voyait un peu d'Ivy en Kyli autant... elle ne voyait rien d'elle en cette petite ? Bien trop sage, bien trop tranquille. Harleen n'était pas ainsi avant sa rencontre avec le Joker ? Oui mais... Non, ce serait sa fille, elle le saurait mais elle, non, une simple petite miss verte. Observant sa petite bouille, Harley écoutait ses réponses, fidèle à ses principes la petite soignait la nature en cas de besoin et elle apprenait des choses sur le monde humain en plus de se préparer pour le lycée. Cela serait bien curieux à voir tiens ! Pourrait-elle poster un jour au lycée en se faisant passer pour la psychologue Quinzel ? A essayer... ou non ?
Mais sur la fin, la petite hésitait et Ivy la poussait un peu à lui dire quelque chose ? Elles se faisaient l'amour ? Oh oh, voilà un amour bien unique et étrange et même temps... pas si étrange que ça. Quand on voyait l'amour d'Ivy pour les plantes, c'était tout à fait possible. Kyli aurait été un vrai bébé de quelques jours, qui aurait grandi dans le ventre de Pamy ou d'une autre, elle n'aurait pas eu ça mais là, une jolie petite – grande – fille bien verte, ça aguichait la belle Ivy. Mais après une telle révélation, la petite Kyky était toute timide même si Pamy en expliquait plus ou moins les raisons. Harley venait pincer du bout des doigts les joues bien mûres de sa nouvelle petite copine de jeux en lui souriant.
« Halala, si tu savais ma petite Kyky, avec ta maman, on a fait beeeeeaucoup de choses ensemble. »
Des choses qu'elle espérait ne jamais lui faire subir. Harley et Pamy, c'était des copines de baises, même plus que ça mais quand même, il y a des choses que l'on peut faire à une amie, pas à sa fille, même quand il s'agit de sexe. Surtout dans ce cas là même. Doucement, elle poussait la petite dans ses bras, venant même raconter combien Harley avait été entre les tentacules de la belle femme plante. Oh ça oui !
« Et comment ! Je fus son meilleur cobaye je crois ? Elle a bien testé cela sur des gens mais même si ça faisait mal parfois, elle n'a jamais franchi la limite. Alors que certains... »
Certains avaient eu au moins des os brisées si ce n'est plus alors qu'Hary, même si ça tirait un peu parfis, ce n'était parfois pas grand-chose. Au final, Harley n'attendit même pas Kyli pour se rapprocher et la prendre dans ses bras. Assise sur les cuisses de sa mère, prise dans les bras de sa Tata Harley. Rien de bien méchant, elle la serrait dans ses bras pour le moment avant de lui baiser la joue bien fort.
« Tu veux essayer avec moi, Kyky ? Je te promets que je vais bien aimé puis tu dois tenir de ta maman, tu dois être très douée pour ça ! Si tu veux je pourrais t'apprendre quelque chose ensuite ? Enfin si t'en as envie ma petite puce verte ! Mais soit gentille et faufile les sous mes vêtements. Maman n'en a pas beaucoup profité hier et encore moins aujourd'hui alors ce serait chiant de devoir les jeter. »
On sait jamais si Kyli tire trop fort et que ça les arrache. Harley venait agiter son index devant elle en tapotant le bout de son nez à la fin de chacun de ses mots.
« Allez ma petite Kyky, sur-prend-moi ! »
Voyons voir à quel point la petite pamy est douée ?
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Maman m'expliqua que Harley avait été, à une certaine époque, son meilleur sujet d'expérience pour ses créations végétales, et Harley ajouta qu'elle et maman avaient fait plein de choses ensemble. Après m'avoir pincé les joues, elle me prit lentement dans ses bras. Calée entre elle et Ivy, je me sentais à la fois détendue et gênée, parce que j'étais entourée d'amour et que j'avais parlé de ma vie sexuelle incestueuse. Après un gros baiser sur la joue, l'arlequin me fit une proposition assez singulière : tester sur elle mes pouvoirs de création et de contrôle de tentacules, visiblement dans un but sexuel. Et comme l'avait dit ma maman un peu plus tôt, j'avais effectivement envie de lui faire un câlin. Peut-être était-ce encore un héritage mémoriel que j'avais reçu d'elle durant le temps que j'avais passé dans ma chrysalide, ou juste parce qu'elle m'attirait physiquement, mais j'avais effectivement envie de lui faire des choses. Et puisqu'elle me le proposait, je n'allais pas m'en priver. Il fallait juste que j'arrive à surmonter la gêne qui me faisait brûler les joues. Mais en voyant comment Harley était joueuse et comment Ivy m'incitait à me lâcher, ça n'allait pas être trop dur.
« Je... je veux bien... mais je ne sais pas... si j'y arriverai... »
Maman m'encourageait en m'embrassant la nuque, et son amie répétait qu'elle avait confiance en moi. Comment hésiter dans ce cas ?
Je me levai des jambes d'Ivy et me mis devant Harley. Je fermai les yeux et à peine le temps de dire « Ouf » que de petits tentacules verts émergèrent du sol fertile. Je les avais fait fins pour qu'ils puissent se glisser sous les vêtements de l'arlequin sans les abîmer. Mon apprentissage des pratiques sexuelles entre femmes me revint alors à l'esprit : la première chose à faire était de cibler les zones les plus sensibles du corps, à savoir les seins et la vulve. Si j'avais été avec maman, j'aurais aussi pu aller me serrer près d'elle et l'embrasser, mais je ne me sentais pas encore assez en confiance pour le faire. Les tentacules filèrent doucement sous ses vêtements en prenant garde de ne rien déchirer. Il y avait deux tentacules bouches qui s'enroulèrent autour de ses seins pour les presser, l’extrémité allant lécher ses tétons tout durs, et un tentacule phallique qui fila sous sa culotte pour se frotter contre son clitoris. Il était important que je la mette bien en bouche avant de la pénétrer. Mais en la voyant devenir excitée, je décidai de faire apparaître quatre autres tentacules pour les lui enrouler autour des poignets et des chevilles et la soulever au-dessus du sol. De cette façon, elle pouvait gigoter autant qu'elle voulait sans risquer de se blesser ou de déchirer ses vêtements.
A mesure que je la voyais devenir excitée, je me sentais mouiller à mon tour. Instinctivement, je frottai mes cuisses l'une contre l'autre pour tenter d'apaiser ce picotement, mais ça ne faisait qu'aggraver les choses. Maman m'avait appris à faire plaisir aux autres, mais elle ne m'avait pas encore appris à gérer le plaisir que je ressentais, et ce plaisir perturbait mon contrôle sur les tentacules qui tripotaient Harley. Heureusement, Ivy intervint avant que je ne fasse une bêtise : elle se plaça dans mon dos, sa tête posée sur mon épaule, et m'indiqua quoi faire afin de reprendre. Je savais qu'elle n'agissait pas ainsi parce qu'elle n'avait pas confiance en moi, mais juste parce qu'elle voulait juste s'assurer que les choses se passent bien. C'était la première fois que j'expérimentais mes pouvoirs sur une autre personne qu'elle, elle voulait juste s'assurer que tout se passe bien pour que je ne doute pas de moi plus tard, quand je serais seule et que je ferais ça sur une autre femme. Mais vu comment les choses se déroulaient, ça allait sûrement bien finir.
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Le courant passait très bien entre Harley Quinn et Kyli. Immunisée aux spores aphrodisiaques de l’Empoisonneuse, et donc de sa fille, le clown n’était pas, pour autant, insensible à leur charme, et, très rapidement, la conversation dériva sur un sujet sexuel. Kyli était bien la fille de Pamela, car, effectivement, sa mère était très perverse, et Harley était sa partenaire privilégiée. Impossible de compter combien de fois les deux femmes avaient fait l’amour, tant ce chiffre serait énorme. À Gotham, c’était quasiment deux à trois fois par jour, lors des moments où elles étaient seules toutes les deux, et où Pamela passait sa journée à devoir travailler sur ses plantes et ses toxines, en interdisant à Harley de sortir, sous prétexte que, à chaque fois que la femme sortait de leur planque, elle attirait systématiquement des ennuis. Dès lors, il avait bien fallu occuper Harley, et, en un sens, lui faire l’amour avait été salutaire, car Poison Ivy, qui était alors en train de se déshumaniser progressivement, avait compris tout le bonheur qu’il y avait à recourir au sexe. Elles avaient joyeusement fait l’amour, et ça avait été divin. Pamela y avait pris goût, et, depuis lors, le corps d’Harley avait longuement servi à ses pulsions.
Maintenant, c’était au tour de Kyli de se faire plaisir, et, lui donnant un nouveau baiser sur la tête, sa mère l’incita à y aller. Kyli était encore assez nerveuse et timide, mais elle était très douée. De manière générale, en réalité, Kyli était une jeune fille assez effacée, et très timide avec les humains. Une fois qu’elle serait au lycée, Pamela espérait bien que tout se passerait bien, même si elle ne doutait pas que les pouvoirs « secrets » de Kyli finiraient par plaire à ses petits camarades. En attendant, elle allait s’expérimenter sur Harley, et, fléchissant les genoux, Pamela se glissa dans son dos, posant ses mains sur ses épaules, et embrassa sa nuque.
« À toi de jouer, ma chérie... »
Le plus difficile, pour Pamela, c’était de se taire, car elle avait naturellement envie de la guider, de la conseiller, mais elle savait aussi que Kyli devait agir par elle-même. Paradoxalement, Pamela était contente d’avoir eu sa fille à un âge si avancé, mais en même temps un peu triste, car Kyli en était à l’âge où l’instinct maternel devait être restreint. Mais Lily et Raune n’avaient pas pu faire sortir Kyli avant qu’elle soit très bien développée, car elles avaient eu peur de la faire sortir sans qu’elle n’ait vraiment pris conscience de sa nature hybride. Une Alraune naissait rarement « bébé », elle sortait de sa chrysalide en étant, sans mauvais jeu de mots, à la fleur de l’âge. Elle n’avait pas eu d’autres options avec Kyli, et, si ça ne l’empêchait évidemment pas de l’aimer, elle regrettait quand même de ne pas avoir pu exercer sur elle son rôle de véritable mère.
*Mais bon, elle reste ma fille, et c’est ça le plus important... Alors, vas-y, Kyli, joue avec notre amie...*
Quelques tentacules filèrent sous les vêtements d’Harley, al faisant probablement frissonner. Ils vinrent s’appuyer sur ses seins, déformant un peu son haut, et, en même temps, un tentacule phallique se rapprocha de sa minijupe, tandis que d’autres vinrent s’enrouler autour de ses bras et de ses jambes, soulevant la femme, et écartant ses membres. Le plaisir tentaculaire, c’était aussi ça : celui d’être restreinte, d’être limitée dans ses mouvements, de devoir s’abandonner à un amant impassible et infatigable, consistant en un amas de tentacules voraces et dominateurs.
Pamela souriait, et embrassait la nuque de sa fille.
« C’est très bien, ma chérie... Mais je vois que tout ça t’excite... Laisse Maman t’aider... »
Ce ne serait pas empiéter sur son développement personnel, si ? De toute manière, Pamela doutait que l’inceste puisse être accepté dans le cadre de l’épanouissement normal d’un enfant... Mais, après tout, rien, chez Kyli, ne rentrait dans les critères de normalité fixées par les humains. Pamela réalisait sa propre éducation, et sa main fila entre les cuisses de sa fille, venant la caresser.
« Vas-y, fais hurler notre amie... Tu verras comme c’est excitant de lui faire l’amour. Continue, ma petite chérie, tu te débrouilles très bien... »
Très bien, en effet.
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La rencontre se passait plutôt bien pour le moment entre Harley et Mini-Pamy, elle se demandait à quel point elle ressemblait à sa chère maman mais elle le verra bien vite. Pour le moment, outre la relation incestueuse entre elles, chose qu'Harley se fichait un peu car bon, avec sa folie, qui sait de quoi elle serait capable elle aussi ? – elle trouvait ses deux-là bien ensemble, Pam comme Harley tentait de pousser Kyky dans les bras d'Harley. Chose normale, elles devaient bien se rapprocher et puis, ce n'était pas une chose normale que de venir faire de gros câlin à sa tata Harley ?! Bien que peu confiante, elle était assez bien entourée pour se laisser aller et écouter les deux jeunes femmes. Doucement, elle fit pousser des lianes qui venaient se glisser sous ses vêtements, que ce soit sous son tee-shirt ou sous son mini-short – en passant par l'un des trous de ses collants. C'est bien, ils sont bien élevée ses tentacules ! Même si elle aurait déchiré ses vêtements, cela n'aurait pas été dramatique mais autant que possible, Harley aimerait garder ses vêtements intacts.
« Kyahahahaha, ça me rappelle quelqu'un tout ça mais qui donc ? »
Allez savoir ? Sûrement une rouquine qui manipulait les plantes et qui se trouvait dans cette pièce par exemple ? Petite nouveauté avec Kyky, des plantes à bouche ! Ivy n'avait pas ça elle, du moins jamais utilisé sur elle. Cela dit elle avait des plantes aspirateur qui étaient assez similaires... Telle mère, telle fille. Plus bas, ce fut plutôt un tentacule assez classique et aussi bien connu qui se frottait doucement à son entrejambe. Joueuse la mini-pamy hein. Pas grave, tata Harley aimait ça. Cela dit, cela semblait marquait une sorte de pause et Pamy du intervenir pour l'encourager un peu à aller plus loin. C'est vrai que là, elles ne faisaient que commencer à s'amuser. Kyky commença à aimer la chose, Harley aussi, Ivy aussi mais elle devait sûrement être piégée entre s’occuper de sa fille et d'Harley... cruel dilemme pour la rouquine ? Peut-être que oui, peut-être que non ?
L'Arlequin était suspendu, ne pouvant fuir ses lianes autour de ses membres. S'il fallait motiver la môme, pas de soucis, Harley savait aussi la motiver d'une autre façon qu'Ivy n'avait peut-être pas essayée ? En réalité si mais Harley ne connaissait pas tout les détails non plus...
« Vas-y ma petite Kyky sinon, hum, c'est moi qui viendra te punir en te donnant la fessée ! Hou ! Ou de façon moins brutal, c'est moi qui ferait l'amour à ta... ma-man-ché-rie et toi, privé de sexe ! Enfin, sauf si tu arrives à me faire hurler de plaisir... han ! »
Teste le SM soft avec des fessées avait déjà été découvert pour Kyky donc Harley ne lui apprendrait rien avec ça si ce n'est que ce sera une première fessée sans que ce soit de la main de sa mère. Quant à coucher avec Pamela sans que Kyli ne participe, ce sera une première sûrement. Ont-elles déjà fait ménage à trois ? Harley entourée de femmes bio ou Kyli entouré d'amours ? Idem pour Ivy ? Cela serait tout aussi tentant par la suite. Motivé par les encouragements de sa mère ou par les propositions moins douces d'Harley, Kyky venait à continuer en augmentant la vitesse. Il suffisait de sentir les tentacules presser sa poitrine avec ses petites bouches bien goinfres ! Étant une fille plante, Kyky sentait le goût de ses petites bouches ? Difficile de répondre à cela... De même que le phallus bio qui venait à la pénétrer doucement mais sûrement. Elle ignorait comment elle jouait avec sa mère mais Harley va peut-être lui apprendre à se montrer plus sauvage en sexe...
« Han ouais ! Pas mal, huuum... Mais vas-y pluis fort Kyky !!! Montre moiiiiaaaaaa que tu... haaa... est bien la fille de ta... ma-man, hyaaaaan ! »
Harley servait de cobaye mais quel cobaye, c'était bon, c'était super et l'Arlequin faisait tout pour ajouter du piment à cela. Observant les deux femmes plantes, elle venait ouvrir sa bouche en passant sa langue le long de ses lèvres, lui donnant un air aguicheur mais ce n'était pas pour déplaire à Pamy chérie en général... reste à savoir si elle va soutenir sa fille ou venir s'occuper de son petit clown ?
« Fait mi jouiiiiir mini-plante ! Si tu tiens à ce que je t'arrose avec mon amouuuuurrrrrrr !!! »
Houlalala, c'était bon tout ça !!!!
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Je prenais Harley grâce à mes tentacules et maman me caressait l'entrejambe pour dissiper ce picotement qui me tiraillait. J'étais comme prise entre deux feux, mais j'adorais ça. Et puis, ce n'était pas comme si je pouvais encore reculer. L'arlequin savait se montrer très... convaincante quand elle me motivait.
« Vas-y ma petite Kyky sinon, hum, c'est moi qui viendra te punir en te donnant la fessée ! Hou ! Ou de façon moins brutal, c'est moi qui ferait l'amour à ta... ma-man-ché-rie et toi, privé de sexe ! Enfin, sauf si tu arrives à me faire hurler de plaisir... han ! »
Ces mots me firent trembler jusqu'à la pointe de mes orteils. Parmi tout ce que j'aimais dans le sexe, la fessée était parmi les meilleures choses. Pratiquement à chaque fois que je faisais l'amour avec maman, j'essayais de faire une ou deux vilaines choses pour la pousser à me punir. J'éprouvais toujours de la honte à autant aimer être fessée, mais le plaisir ressenti compensait largement cette honte. Et maintenant, une autre femme voulait me donner la fessée ? Rien que pour ça, j'aurais voulu la relâcher, pour qu'elle puisse mettre ses menaces à exécution. Mais la deuxième menace était bien plus effrayante que la première : si Harley et maman décidaient de me priver de sexe pour la soirée, je savais que j'allais devenir folle. Maintenant que j'étais excitée, il fallait que je jouisse au moins une fois. Heureusement, la main d'Ivy logée entre mes cuisses s'y activait. Pour ma part, je faisais de mon mieux pour ne pas perdre le contrôle de mes tentacules, mais c'était vraiment dur. Sentant que l'arlequin était à présent bien mouillée, je fis glisser le tentacule phallique en elle et me mit à la pénétrer. A entendre ses gémissements, elle aimait ça, mais sûrement pas autant que moi.
Afin de ne pas complètement perdre la tête, je refrénais les sensations reçues par mes tentacules. Sans ça, j'étais sûre de m'écrouler sous le poids de l'excitation et de jouir en rafale avant de pouvoir faire jouir Harley. Mais avec tout ce plaisir qui s'accumulait dans mon bas-ventre, je n'arrivais plus à me concentrer suffisamment pour rejeter ces stimulus, et ils arrivaient jusqu'à moi, augmentant mon excitation. J'étais si chaude que j'aurais pu chauffer une casserole d'eau qu'on aurait posé sur mon ventre, en tout cas c'était comme ça que je le ressentais. Mais même si je me faisais plaisir, j'arrivais à rester assez lucide pour continuer à donner du plaisir à Harley sans déchirer ses vêtements. En revanche, sa culotte allait être bonne à laver après ça.
A force d'insister, l'arlequin atteignit enfin l'orgasme et, comme promis, elle arrosa mon tentacule avec son amour. Après avoir vu que j'avais réussi à la faire jouir, je me laissais enfin complètement aller, et je jouis à mon tour. Mais dans mon cas, on aurait pu parler d'explosion tant mon intimité relâcha de mouille, qui alla copieusement arroser l'herbe du sol.
« AAAAHHHH ! »
Après quoi, mon corps devint tout mou. Par chance, maman était juste derrière moi et me rattrapa avant que je ne tombe. Apparemment, j'avais un peu trop forcé sur mes limites actuelles, et la force de mon orgasme m'avait mise temporairement K.O. Maman me fit m'allonger sur le sol et posa ma tête sur ses genoux. Mes tentacules relâchèrent Harley, qui vint vers moi à son tour pour voir si j'allais bien.
« Tata... Harley... je vais bien... c'est juste un petit... coup de barre... »
J'avais les joues rouges, je respirais fort et mes muscles tremblaient, mais j'allais très bien, mon sourire le confirmait. Juste une ou deux minutes pour reprendre des forces et j'étais prête à continuer.
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Pamela connaissait sa fille mieux que personne, car elle était justement sa mère. Une mère très aimante, une mère qui entretenait avec Kyli une relation fusionnelle, une relation qu’on ne pouvait comprendre si on la regardait par l’œillère d’une relation humaine classique. L’inceste, ce grand interdit moral, ne relevait pas de la relation qui les unissait. Pamela et Kyli étaient deux êtres exceptionnels, génétiquement parlant, mi-humain et mi-Alraune, même si, chez Kyli, et toujours d’un point de vue génétique, l’aspect « Alraune » était prédominant. Poison Ivy ne ressentait donc aucune gêne à ne pas l’entraîner sexuellement, car, si elle n’avait rien fait, Kyli aurait pu devenir mauvaise. Le sexe, fondamental chez toute espèce, était encore plus primordial chez une Alraune, car, très justement, les Alraunes étaient des êtres de désir. Pamela était donc la mieux indiquée pour cela, et, en ce moment, elle adorait chaque seconde de ce qu’elle voyait.
Connaissant donc sa fille, elle savait que menacer de la fesser ne ferait rien pour la calmer, bien au contraire. Pamela souriait donc, tout en continuant, d’une main, à la caresser intimement. L’excitation de Kyli était nette, palpable, visible, et ne souffrait pas du moindre doute. Pamela s’en délectait joyeusement, continuant à remuer sa main entre ses cuisses, enfonçant ses doigts dans son intimité. Son autre main, elle, joueuse, caressait le corps de Kyli, grattant sa peau, avant de finir par masser l’un de ses seins. Devant ses yeux, Harley continuait à se dandiner, maintenue et transpercée par les tentacules. Les doucereux hurlements de l’Arlequin étaient, comme toujours, très excitants, et ils émoustillaient tout particulièrement la belle Kyli, qui en tremblait sur place, le corps chaud.
« Oui, ma chérie, laisse-toi aller… »
Ivy continuait de l’embrasser sur la tête, très tendrement, très sensuellement, ses doigts glissant sur sa peau, la caressant, la frottant, l’excitant. Elle connaissait le corps de sa fille, et elle connaissait la nature symbiotique du lien entre l’Alraune et ses tentacules. Le plaisir des tentacules impactait sur Kyli, et la jeune femme mouillait abondamment. Dans ces conditions, l’orgasme finit par éclater, sous le regard ravi de Pamela, qui pinçait et tirait les tétons de la femme. Elle sentit, contre ses doigts, le nectar de Kyli fuser, sa fille jouissant généreusement, tout comme ses tentacules, qui se vidèrent dans le corps d’Harley, avant de la relâcher.
Dans un ultime soupir, Kyli jouit, et ce fut comme si l’orgasme venait de drainer toutes ses forces. Elle s’affaissa contre le corps de sa mère, puis alla sur le sol. Pamela la laissa se coucher, tout en en profitant pour sucer ses doigts. La mouille de Kyli n’avait rien à voir avec de la cyprine classique ; elle était, non seulement parfumée, mais aussi très sucrée, et, partant de là, très bonne. En souriant, elle caressa le visage de Kyli, et l’embrassa sur le front.
« Très bien, Kyli… Je comprends que tu sois fatiguée, Harley est très épuisante… »
Poison Ivy avait une idée derrière la tête, et elle reprit rapidement :
« Tu sais, il y a cette pièce dans laquelle je ne veux pas que tu entres… Et bien, Harley et moi allons y entrer, et, quand tu iras mieux, tu nous rejoindras. »
La pièce en question était située à proximité, et d’épais tentacules en empêchaient l’accès… Et ceux-là, même si Kyli voulait forcer le passage, elle n’y arrivait pas, les tentacules ayant été imbibés d’une substance chimique très particulière, faisant que seule Pamela pouvait leur dire quoi faire. Sur cette pièce, Pamela n’avait jamais rien dit, si ce n’est qu’elle était un cadeau pour Kyli. Elle lui sourit à nouveau, et l’embrassa sur les lèvres, puis laissa Harley l’embrasser également, et Ivy se releva.
Sa main alla serrer celle de son clown, et elle lui sourit :
« Allons-y, Harley, je suis sûre que cette pièce te plaira… »
Joignant le geste à la parole, Pamela marcha vers un mur, et leva la main. Les tentacules s’écartèrent alors, révélant une porte que Pamela ouvrit. Elle la laissa ouverte, la porte menant sur une antichambre, qui comprenait des vestiaires. Pamela se retourna alors vers Harley, et, sans crier gare, la plaqua contre le mur, en venant l’embrasser goulûment. Un baiser surprenant par son intensité, le corps de Pamela se serrant contre celui d’Harley.
« Hmmmm… ! »
Un baiser magnifique, dans lequel sa langue fila, sans hésitation, dans la bouche de l’Arlequin, mélangeant les plaisirs. Elle l’mebrassa ainsi pendant une quinzaine de secondes, puis rompit le baiser en lui souriant.
« Je te remercie sincèrement d’être là, Harley. Kyli a besoin de voir du monde, et… Je regrette de ne pas t’en avoir parlé avant, ma chérie, mais je n’étais pas sûre que l’incubation fonctionne… »
Pamela s’écarta ensuite, et passa à autre chose. L’antichambre était un vestiaire, et elle ouvrit les placards métalliques, abritant toute une série de tenues et de combinaisons en rouge et noir.
« Je te trouve très bandante dans ta tenue, Harley, mais, pour ce que j’ai en tête, il faut une tenue qui fasse plus… Harley Quinn. Tu sais… »
Pamela parla alors à voix basse, dans le creux de l’oreille d’Harley :
« Kyli adore qu’on la fesse, et cette porte, fit-elle en désignant une porte au fond du vestiaire, mène tout droit à un donjon que j’ai spécialement conçue pour elle. »
Dans les milieux sadomasochistes, le donjon désignait une pièce noire, hermétiquement close, qui abritait des croix de Saint-André, des sangles, des chevalets… Un héritage des salles de torture médiévales, et qui semblait, en l’état, parfaitement indiqué pour ce que Pamela avait en tête.
En souriant à Harley, elle l’embrassa à nouveau. Harley avait une garde-robe chez elle ainsi que chez Félicia, car, globalement, ces deux adresses constituaient son domicile. Il y avait une belle petite panoplie, et Ivy se targuait d’avoir couché avec Harley dans chacune de ses tenues. Elle lui sourit donc, puis ouvrit la porte menant dans son donjon, éclairé par quelques faibles lucioles le long des murs, en attendant la venue d’Harley, puis de sa Kyli d’amour…
Pour passer à des festivités encore plus réjouissantes.
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Pouvait-on trouver le bonheur en étant attachée par des liens végétaux en subissant une douce tuteure ? Enfin, torture était un bien grand mot mais la petite Kyky était en train de suivre les traces de sa maman ! Manquera plus qu'à lui trouver une petite Harley de compagnie et il y aura à Seikusu le mythique duo de Gotham, nouvelle génération ! Mais avant de songer à cela, Harley provoqua un peu la petite demoiselle, sans savoir que ce qu'elle nommait « punition » était son point faible... Kyky accroc à la fessée, ça, cela ne venait pas d'Ivy, c'est plutôt elle qui aimait mettre les fessées, pas les recevoir. Quoi que ? Pamy avait démontré dernièrement qu'elle aimait avoir une Harley avec un peu plus de poigne et que chibre ! Autant quand elle était normale, Poison Ivy l'était aussi mais Harley changeait, elle aussi. Mais revenons à notre petite Kyky et sa victime du soir, Harley.
L'Arlequin était donc victime de sa petite maîtresse, subissant les assauts de ses petites bouches et de sa belle queue qui devenait comme folle ! Comme quoi, elle avait trouvé un bon argument sans le savoir, faisant couiner Harley Quinn comme le ferait Poison Ivy. C'est bien de suivre les traces de sa mère, elle deviendra grande et forte cette petite. Ne pouvant que subir, elle se laissa faire et arriva enfin à arroser sa petite Kyli – enfin ses tentacules – avec son amour, ressentant aussi en elle sa sève qui différait un peu de Pamy. Elle restait humaine donc c'était de la cyprine mais côté Kyli, c'était plus sucré. Enfin, elle verra bien quand elle pourra enfin y goûter mais hélas, ce n'était pas pour tout de suite. Redescendant sur terre, elle se dirigea vers la mère et la fille, la pauvre petiote devait déjà se reposer. C'est mignon. Harley se pencha sur elle pour lui baiser le front, caressant ses cheveux vert foncé.
« Repose-toi bien petite fleur et après, on jouera encore et avec maman en plus, ok ? »
C'était ça Harley, elle était aussi folle et dangereuse et douce et maternelle. Elle se fit donc tirée doucement par Ivy dans cet étrange et mystérieuse salle mystère... à peine la porte libérer et passer que Pamy se jeta sur elle pour l'embrasser contre le mur. Harley se laissait faire, venant l'embrasser elle aussi en passant ses mains dans son dos. Kyky est bien gentille mais Pamy est à un niveau au-dessus encore ! Enfin, elle ne jugeait pas, elle n'avait pas autant d'expérience qu'elles pour le moment. Pamela s'excusa pour ce secret caché mais ça, Harley s'en fichait...
« Pas grave, je comprends que c'était pas simple... excuses-toi plutôt pour ta jalousie ! J'ai vu comment tu me regardais quand Kyky s'occupait de moi et ton baiser le prouve bien... je t'ai man-qué ! »
Une courte absence que l'on ne peut pas vraiment appeler absence mais bon, ne chipotons pas sur les détails. Cela dit, elle n'appréciait pas qu'on traite ses goûts vestimentaires.
« Ha ? Ça je refuse ! Ma tenue fait très Harley Quinn puisque je la porte ! Y a pas de mal à changer un peu car mademoiselle Ivy peut parler ! Madame se trimballe toujours avec un petit buisson sur le corps et du jour au lendemain, elle a un justaucorps noir très moulant avec moins de verdure qu'avant ! Je t'ai pardonné ça alors accepte cela ! »
Avait-elle entendu qu'elle la trouvait bandante au moins ? Non pas qu'elle soit en colère, c'était une fausse colère comme le feraient les enfants. Et puis il suffit de la voir regarder sa panoplie de costume pour savoir qu'elle a juste fait son petit numéro, après, elle peut bien changer un peu de look. Si Kyky aimait qu'on soit une maman autoritaire adepte de la bonne vielle fessée alors Harley va se faire un petit plaisir ! Mais il lui faut une tenue donc... quelle tenue va plaire à Kyky ? Puis à Ivy aussi ? Le look on-ne-plus-classique d'Arlequin, c'était l'époque de ses débuts, de Gotham. Puis bon, elle avait la flemme de se couvrir entièrement si c'était pour se déshabiller ensuite. Look plus urbain dans les ton arlequin ? Bof ça changerait à peine de ce qu'elle porte, alooooors... Ce sera celle-ci (http://danbooru.donmai.us/posts/1238647?tags=harley_quinn) !!! Certes c'était au final sa tenue classique mais vous savez ce qu'on dit. Changer le naturel et il revient au galop plus rapidement que Flash !
« Cela dis tu est bizarre... tu étais prête à détruire Gotham sous prétexte que quelqu'un a écrasé une fleur et là, tu prend plaisir à donner la fessée à une petite fleur ? Hahahahahaha ! Et c'est moi qu'on traite de bizarro ! Mais y a un truc qui me chiffonne... »
Harley posa son regard inquisiteur sur elle tout en se changeant après leur nouveau baiser, délaissant sa tenue actuelle pour une autre tenue plus Harley Quinn donc. Non, elle ne lui sauta pas dessus en étant nue mais elle laissait Ivy regarder si elle voulait. Elle touchait avec ses yeux seulement.
« J'ai jamais vraiment cherché à savoir ce qu'il y avait derrière cette porte car bon, quand je suis ici, je suis plus dans ton lit avec toi qu'ailleurs... mais tu va pas me faire croire que cette salle à pousser comme un champignon simplement pour Kyky... Tu n'avais pas une idée derrière la tête avant son arrivée par hasard ? »
Une salle de jeux spécial Harley ? À moins qu'Ivy ne cachait ici le fruit de ses expériences pour tenter d'enfanter ? Harley n'était pas cruelle au point de remuer le couteau dans la plaie si c'était le cas, surtout avec Pamy. Mais bon, empêcher Harley d'être curieuse, c'est trop demander. Une fois prête dans sa nouvelle tenue, elle le fit vite savoir en gambadant autour d'Ivy en sautillant avant de rejoindre le donjon bien sombre... le genre d'endroit qui doit plaire à Raven ça. Ou même à la chauve-pourris !
« Petite question Pamy chérie... on va donc se partager à deux son petit fessier ou bien Kyky aime un peu plus le SM que ça ? Je sais pas moi ? Pincer ses petits bouts de sein ou pincer son petit bulbe d'amour ? »
Elle ne savait pas trop ce qu'aimait cette petite ? Oh et puis tiens, nouvelle idée !
« Attends, même si elle est pas encore prête, je vais la ramener ici, je lui demanderais d'ouvrir les yeux que dans elle sera vraiment prête ! »
Que ce soit oui ou non, Harley filait déjà chercher la petite dans sa nouvelle tenue. Se penchant sur elle pour la prendre dans ses bras – une main dans son dos, l'autre sous ses jambes – elle la portait comme une petite princesse.
« C'est tata Harley qui t'amène à ta surprise ! Par contre petite fleur, tu n'ouvriras les yeux que quand tu seras vraiment prête ok ? C'est pas du jeu de tricher et si tu triches... je te laisse imaginer la suite. »
Autant laisser son petit cerveau de perverse imaginer la suite comme elle l'entend. Une bonne fessée comme punition ? Ou bien quelque chose de plus sauvage ? Ha, les joies de l'imaginaire...
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« Tu sais, il y a cette pièce dans laquelle je ne veux pas que tu entres… Et bien, Harley et moi allons y entrer, et, quand tu iras mieux, tu nous rejoindras. »
J'aurais du me douter que, même sans moi, maman et Harley ne s'arrêteraient pas. Tout ce que j'avais déjà observé sur ma maman m'avait bien fait comprendre que, une fois lancée, elle ne s'arrêtait qu'une fois la fin atteinte. Elle me donna un baiser sur les lèvres, son amie le fit aussi.
« Repose-toi bien petite fleur et après, on jouera encore et avec maman en plus, ok ? »
Les deux femmes quittèrent ensuite la pièce, me laissant seule, allongée sur l'herbe. Si je ne savais pas qu'elles étaient juste à côté, j'aurais sûrement été prise de crises d'angoisse de me retrouver seule.
Pendant que je reprenais des forces, des souvenirs me revenaient en mémoire à propos de cette fameuse pièce dont Ivy avait parlé. Le jour où j'avais remarqué cette porte, elle m'avait dit qu'elle préparait une surprise pour moi, et donc que je ne devais en aucun cas essayer d'entrer pour jeter un coup d’œil. Au début, j'avais respecté sa demande, mais au fur et à mesure, ma curiosité me poussait à vouloir savoir ce qu'elle me cacahit. La porte n'étant protégée que par des tentacules végétaux, je pensais pouvoir entrer facilement, mais pour une raison qui m'échappait à ce moment-là, les tentacules ne voulaient pas m'obéir. Rapidement, je fus prise sur le fait par maman, qui accepta de ne pas me punir mais me mit sérieusement en garde, en me faisant bien comprendre que, la prochaine fois, mes pauvres fesses allaient prendre, et ça n'allait pas être agréable comme quand ça l'était quand nous faisions l'amour. Le lien me fit repenser à nos nuits torrides et le brasier entre mes cuisses commença à se rallumer.
Intérieurement, je me maudissais d'être aussi faible physiquement. Il ne m'avait fallu qu'un seul orgasme pour me mettre à terre alors que je n'en étais plus à mon coup d'essai. Si seulement je pouvais être plus endurante, le sexe serait tellement meilleur. Mais alors que je ruminais mes auto-critiques, tata Harley arriva dans la pièce, vêtue d'une toute nouvelle tenue que je trouvais bien plus élégante, la tenue précédente était trop voyante. Un sourire éclaira mon visage. J'étais presque remise d'aplomb, juste une minute de plus suffirait mais, sans me demander mon avis, l'arlequin me prit dans ses bras comme si j'étais une princesse, une main dans mon dos, l'autre sous mes jambes.
« C'est tata Harley qui t'amène à ta surprise ! Par contre petite fleur, tu n'ouvriras les yeux que quand tu seras vraiment prête ok ? C'est pas du jeu de tricher et si tu triches... je te laisse imaginer la suite. »
J'imaginais très bien la suite. Je fermai les yeux comme demandé, et je m'imaginais déjà ma punition en cas de transgression : maman et Harley me faisant me mettre à quatre pattes, relevant le postérieur, abattant chacune leur tour leur main sur une de mes petites fesses, me traitant de méchante fille, tandis que je couinais de plaisir sous leurs assauts. J'étais aussi excitée que gênée juste d'imaginer ça, alors le faire en vrai... Oh là là ! Néanmoins, je décidai de respecter la consigne et de garder mes mains sur mes yeux pour ne pas être tentée de tricher. J'allais bientôt savoir ce qui m'attendait.
Au bout de quelques secondes, ma nouvelle tata me déposa au sol, et je pus entendre la voix de maman qui me parlait, me disant que j'allais beaucoup aimer la suite de la soirée. Ses paroles étaient si tentatrices, sa voix était si douce, que je repris du poil de la bête d'un seul coup, je me sentais enfin prête à découvrir cette surprise qu'elle me préparait depuis tout ce temps. Je retirai mes mains et ouvris mes yeux avec empressement.
Alors que je m'attendais à découvrir une pièce emplie de végétaux, ou même un laboratoire d'expérimentations, je me retrouvai dans une pièce sombre, seulement éclairée par quelques lucioles posées sur les murs. Toute la pièce était remplie d'outils étranges : il y avait des croix, des attaches, des objets aux formes étranges... que des choses qui m'étaient inconnues. Il régnait entre ces murs une atmosphère sombre mais plaisante, un peu comme ce que ressentais quand je recevais une fessée, quand le plaisir et la honte se mêlaient en moi. Cette intuition aurait pu me guider vers le vrai but de cet endroit, mais je n'en tint pas compte, préférant demander des explications.
« Maman... qu'est ce que c'est que cet endroit ? »
Elle m'expliqua que, chez les humains, on appelait cette pièce ''un donjon'', un endroit spécialement crée pour les gens qui trouvent du plaisir dans la souffrance et la honte. La suite de la soirée commençait à se dessiner plus clairement dans mon esprit.
« Maman... ne me dis pas que... tu vas me punir devant Harley ? »
Certes j'avais imaginée les choses prendre cette tournure, mais maintenant que ça allait vraiment arriver, je me sentais nerveuse et très honteuse. Ivy essaya comme elle pouvait de me rassurer, mais ça ne marchait pas.
« Je... je ne veux pas qu'elle me voit comme ça... »
Même si la fessée me procurait un plaisir immense, elle me faisait aussi me sentir très honteuse, et je ne pensais pas pouvoir me remettre de cette honte si quelqu'un autre que maman voyait dans quel état je me mettais quand je me faisais punir. Déjà, avec elle, j'avais eu du mal à m'en remettre la première fois, alors avec quelqu'un de moins proche de moi qu'un membre de ma famille... C'était impossible.
Maman et Harley, voyant mon embarras, se mirent à me couvrir d'affection et de tendresse, répétant inlassablement qu'elles faisaient ça pour me faire plaisir, que ma gêne ne ressortirait jamais d'ici car cette pièce était faite pour isoler complètement ce qui s'y passait. En somme, j'étais entourée de femmes de confiance, dans une pièce coupée du monde, et j'allais avoir droit à un plaisir étrange mais bien réel. Comment aurais-je pu continuer à dire non ?
« Vous... vous êtes sûres ? J'ai vraiment le droit... le droit d'être... une vilaine fille ? »
-
Quand Pamela annonça à Harley qu’elle voulait une tenue qui ferait davantage Harley Quinn, cette dernière s’offusqua, ce qui amena Ivy à froncer les sourcils. Harleen voyait très bien de quoi elle voulait parler. Ça, c’était le genre d’arguments que son amie utilisait pour inviter Ivy à la punir... Ou c’était juste sa manière de se comporter. Ivy crut devoir insister, mais, fort heureusement, Harley finit par se retourner, et inspecta les tenues. Et, effectivement, maintenant qu’Harley était prêt d’elle, Pamela réalisait qu’elle lui avait manqué. Harley Quinn apportait la touche de folie et de bonne humeur dont la vie très scientifique et très rangée de Poison Ivy avait bien besoin. Ensemble, les deux femmes se complétaient à la perfection, bien plus qu’Harley et Le Joker.
Elle regarda donc, bras croisés, Harley se déshabiller devant elle, avant de se rhabiller, enfilant sa tenue classique. La tenue d’arlequin, celle qu’elle avait porté pendant de nombreuses années, avant de commencer à se diversifier quand elle s’était éloignée du Joker. Pour le reste... Harley avait raison, bien sûr. Oui, elle lui avait manqué, mais, tandis que la femme s’habillait, enfilant cette tenue particulièrement sexy, elle lui indiqua qu’elle n’était pas dupe, et demanda à en savoir plus sur cette pièce.
Pamela cligna des yeux à plusieurs reprises, avant de se décoller du mur, et, après quelques hésitations, de lui répondre :
« Disons que... Comme tu le sais, ma mentalité est très liée à l’environnement biologique dans lequel je me trouve. Seikusu est une ville très sensuelle, sans parler de toutes les forêts tenues par des Alraunes où j’ai été. Tout ça a développé en moi des pulsions dont je ne me pensais pas capable, et j’ai éprouvé le désir de concevoir cette chambre, initialement pour certains de mes élèves, mais, et je ne le cache pas, surtout pour toi. »
Ivy lui sourit ensuite. Oui, à ses yeux, Harley était véritablement une femme spéciale, et, alors qu’elle envisageait de se rapprocher d’elle pour l’embrasser, Harley lui posa une question sur ce que Kyli aimait. Ceci amena Ivy à hésiter encore un peu, s’humectant les lèvres avec un doigt, avant de lui répondre :
« Je ne sais pas, Harley... Ce sera justement l’occasion de le découvrir. Je sais que ma fille aime quand je la fesse, mais... Nous n’avons encore jamais véritablement eu l’occasion de développer ça. »
Pour Pamela, c’était autant un moyen de se faire plaisir qu’une façon de tester les limites de sa fille. Après tout, aucun manuel ne pourrait lui dire comment élever une Alraune. Ce qu’Ivy faisait, en ce moment, avec Kyli, était plutôt unique, et il était difficile de trouver un élément de comparaison qui tenait la longueur. Harley proposa ensuite d’aller la chercher, et Pamela acquiesça, en profitant pour observer les fesses d’Harley. Cette tenue moulait très bien ses formes. Oh, Poison Ivy comprenait tout à fait pourquoi Harley avait changé, mais... Et bien, même si ce n’était pas la plus belle période de son passé, elle était quand même un peu nostalgique de certains moments de son passé... Ensemble, elles avaient été, toutes les deux, les Thelma & Louise de Gotham City.
Pendant qu’Harley ramenait Kyli, Poison Ivy observa la pièce. Est-ce qu’elle ne risquait pas de placer la barre trop haut ? C’était toujours possible... Mais quelque chose lui disait aussi que Kyli pouvait l’endurer, car sa fille lui avait déjà montré que, en matière de sexe, elle avait des goûts très élevés.
*L’idée est aussi de la tester...*
Pour l’heure, en matière de sexe, Kyli avait les yeux plus gros que le ventre, car elle se fatiguait vite, tout en ayant un appétit sexuel particulièrement élevé. Un curieux et saisissant contraste, qui, en réalité, ne manquait pas de fasciner l’Empoisonneuse.
Harley finit par amener Kyli, et, dans leur dos, les tentacules se refermèrent, enfermant ainsi les trois femmes dans la pièce. Le regard de Kyli observa les lieux, avec ce séduisant et exquis mélange d’innocence et de tentation... Puis la jeune femme comprit ensuite qu’elle allait faire la vilaine fille devant Harley, ce qui avait l’air de la perturber. Ceci amena donc la mère à poser ses mains sur les épaules de la jeune femme, afin de la rassurer :
« Kyli... Harley n’est pas qu’une simple amie pour moi. Elle est un peu la sœur que je n’ai jamais eu. Tu peux lui faire autant confiance que tu me fais confiance, ma chérie. Ensemble, nous formons une famille. Tu peux douter de tout, sauf du soutien qu’Harley t’apportera. »
En disant cela, Pamela s’avançait peut-être un peu. Elle exprimait surtout ce qu’elle voulait qu’Harley soit à ses yeux, mais elle savait aussi que, tôt ou tard, Le Joker reviendrait dans leur vie... Et, à ce moment, elle espérait bien qu’Harley ferait le bon choix, et non celui de retourner entre ses griffes.
Kyli demanda alors la confirmation qu’elle pouvait être une vilaine fille devant les deux, et Pamela lui sourit, puis se rapprocha d’Harley, et, tout en conservant une main sur les cheveux de Kyli, posa l’autre dans le creux du dos d’Harley.
« Kyli, ma chérie... »
Elle embrassa alors Harley pendant quelques secondes.
« Nous sommes toutes des vilaines filles ici... Mais Harley ne t’a encore jamais vu faire la vilaine fille, Kyli... Et je suis sûre qu’elle a envie de voir ça, n’est-ce pas ? »
Un sourire malicieux naquit sur les lèvres de Pamela, qui reprit ensuite, tout en descendant sa main pour frotter les fesses d’Harley.
« Allez, montre à Harley que tu es une vilaine fille... Je suis sûre qu’elle a envie de voir ça... N’est-ce pas ? »
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Harley n'insistait pas, chacun avait ses problèmes personnels et si jamais Pamy voulait en parler, elle le fera en tentant de rester sérieuse. Combien de fois l'épaule de Pam' était là quand elle avait des soucis ? Autant lui renvoyer la pareille. Mais passons, Harley retournait dans la salle chercher la petite Kyli qui se reposait, l'amenant à son nouveau rendez-vous ! C'était drôle à voir quand même qu'une simple petite séance de jeu suffisait à la fatiguée, viendra un jour ou elle sera résistante mais en attendant, place à un peu plus de jeux. La posant délicatement dans le donjon, elle resta auprès de Pamy pour voir comment Kyky allait réagir à tout cela et si tout d'abord, la joie était apparemment présente dans son regard, l'idée de se faire punir devant Harley ne la tentait pas ? Qui est-ce qui vient de violer l'autre avec des tentacules ? Des trois, c'est Harley qui devrait être gênée d'avoir laissé une môme lui marcher sur les pieds quand même.
Mais cela semblait quand même prendre de certaines proportions au point où elle ne faisait pas un simple caprice, forçant Pam' à quitter sa place pour la réconforter, Harley en fit de même pour venir à elle, la prenant aussi dans ses bras en caressant ses cheveux verts doucement.
« Ta maman a raison, Kyky. Je ne suis pas ici pour me moquer mais te faire plaisir. Puis même sans parler de sexe, si un jour tu as un souci à l'école ou ailleurs, tu peux aussi m'en parler et je ferais tout pour t'aider, ok ? »
Cela dit la méthode Harley était quand même plus radicale mais parfois, ça ne fait pas de mal ce genre de petites choses, ça évite que les ennuis ne reviennent comme des suites de mauvais films. Dans ce câlin à trois, Pamy en profitait un peu pour faire balader ses mains dans son dos ou plutôt, sur ses fesses. Cela ne la dérangeait pas, loin de là mais elle aurait pu retenir ses ardeurs. Dans quelques instants, elle fera ce qu'elle voulait, ce n'était pas la mer à boire. Une chance que son petit baiser était pour elle une façon de dire pardon, du coup, elle ne disait rien. Nan sérieusement elle n'ayrait rien dis de toute façon ! Harley observait à nouveau Kyli pour se pencher sur elle et frotter son petit nez contre le sien le temps de lui répondre, un petit coup de nez à chaque syllabe prononcé.
« J'ai en-vie de voir ma pe-ti-te Ky-ky fai-re sa vi-lai-ne pe-ti-te co-qui-ne ! »
Cela devait être relativement amusant et plaisant à voir aussi surtout. Si elle ne voulait pas jouer, elle pouvait toujours la provoquer un petit peu pour l'aider à se remettre dans le bain ? Avec son grand sourire, elle venait embrasser Kyli sur les lèvres, pas un vrai baiser, juste un petit bisou pour la faire réagir.
« Pour que Kyky soit une vilaine petite fille je dois peut-être embrasser une partie spéciale de son corps ? Ou peut-être même la mordre, nooooon ? »
Ivy avait été aussi loin ? Elle ne pense pas mais quand bien même, ce ne sera rien de très mordant, à peine une morsure de bébé. Avec seulement les lèvres au pire. Harley cherchait donc une façon de la faire réagir, venant embrasser sa poitrine doucement, coulant doucement le long de son corps. Alors ? Ou se cachait cette vilaine petite fifille ?
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Bien que confiante, j'hésitais encore un peu. Faire la vilaine fille me faisait envie, mais pouvais-je vraiment me fier aveuglément à Harley ? Maman se rapprocha de son amie tout en gardant une main sur mes cheveux, et l'embrassa sur les lèvres, calant son autre main dans son dos. Je restais immobile, les yeux ouverts, à les regarder sans dire un mot. Il y avait, dans leur façon de s'embrasser, quelque chose d'artistique, une forme de beauté qui me captivait, et qui me forçait presque à garder les yeux ouverts, captivée par leur élégance commune. Quand maman détacha ses lèvres de celle de l'arlequin, ce fut pour mieux me chauffer avec des paroles chargées de tentation.
« Kyli, ma chérie... Nous sommes toutes des vilaines filles ici... Mais Harley ne t’a encore jamais vu faire la vilaine fille, Kyli... Et je suis sûre qu’elle a envie de voir ça, n’est-ce pas ? »
Vu la tournure que prenait les choses, je n'allais plus pouvoir refuser longtemps. Et il était plus qu'évident qu'Harley voulait me voir jouer la vilaine fille. D'ailleurs, elle vint elle-même me le dire tout en frottant son nez contre le mien.
« J'ai en-vie de voir ma pe-ti-te Ky-ky fai-re sa vi-lai-ne pe-ti-te co-qui-ne ! »
Juste après ça, elle m'embrassa sur les lèvres. Juste un petit baiser, elle n'usa pas de sa langue, mais j'en étais quand même chamboulée. Pour la première fois depuis ma naissance, quelqu'un d'autre que ma maman avait touché mes lèvres avec les siennes. Ca pouvait n'avoir l'air de rien pour quelqu'un d'autre, mais pour moi, qui avait encore une mentalité assez infantile, c'était un grand changement. Et juste après, son visage commença à glisser le long de mon corps, jusqu'à finir sur ma poitrine.
« Pour que Kyky soit une vilaine petite fille je dois peut-être embrasser une partie spéciale de son corps ? Ou peut-être même la mordre, nooooon ? »
Comptait-elle vraiment aller aussi loin ? D'après ce que maman m'avait dit sur elle, je ne savais pas trop. D'un côté, elle était des plus imprévisibles, mais de l'autre, elle était très gentille avec les enfants et ne ferait jamais de mal à l'enfant d'une amie. Je préférais croire qu'elle voulait juste me taquiner, et je la laissai glisser le long de ma peau. Ses baisers sur ma poitrine me rendirent toute chose, je tremblai légèrement sur mes petites jambes, et ça allait en empirant à mesure qu'elle descendait. Elle embrassa mon ventre, insistant sur mon nombril, fit le tour de ma petite fleur intime pour me teaser un maximum, puis commença finalement à s'y attaquer. Et à peine ses lèvres effleurèrent elles mon entrejambe que je poussai un gémissement fort et aigu, comme si j'avais déjà joui alors que ce n'était pas le cas.
Honnêtement, je ne savais pas quoi faire. En général, quand maman me donnait la fessée, c'était surtout parce que je le lui demandais. Les ''vilaines choses'' que je faisais n'étaient que du vent, comme mordiller son sein quand je la tétais où serrer ses fesses quand je les massais, rien de bien méchant. Mais puisqu'il fallait que je sois vilaine, une idée me vint d'un seul coup en tête. Le courant de mon excitation me portait et me rendait plus inventive. Je faisais des choses dont je me serais cru incapable avant. De ma petite voix tremblante et timide, je m'adressai à Harley.
« La... la vilaine Kyli... se cache... juste ici... »
Avec une de mes mains, j'écartais les grandes lèvres de mon sexe pour en dévoiler l'intérieur, duquel s'échappait déjà des filets de mouille, et je désignai l'intérieur avec mon autre main.
« Elle... se cache... parce qu'elle est timide... mais elle peut sortir... si je jouis bien fort... »
L'arlequin comprit vite le message, et elle nicha son visage entre mes cuisses pour m'offrir un cunnilingus. Comme j'étais déjà bien excitée, mon plaisir grimpa en flèche en très peu de temps, mes gémissements emplirent le donjon, pour le plaisir des oreilles de maman et de son amie. Je n'étais plus qu'une boule d'excitation entre leurs mains, ballottée par le moindre de leurs mouvements sur mon corps. Au fur et à mesure que je m'excitais, mes plus mauvais instincts se réveillaient. Je sentais la vilaine Kyli émerger peu à peu du fond de mon être, et des tentacules végétaux émergèrent du sol. Sur mon ordre, ils fouettèrent les fesses d'Harley, mais sans forcer. Le but n'était pas de lui faire mal mais de la titiller à son tour comme elle l'avait fait avec moi. Et elle fut effectivement surprise.
« Haah... alors... je suis... oohh... vilaine... ou pas... kyahh... »
Toujours en fessant l'arlequin avec mes fouets verts, cette dernière continua à me lécher goulûment, faisant couler ma mouille dans sa bouche, et malaxa mes fesses en même temps. J'étais tellement plongée dans l'excitation que je dus invoquer deux autres tentacules pour soutenir mes jambes et m'empêcher de tomber. Et à force d'insistance, la blonde parvint à me faire jouir et à arroser son visage avec ma cyprine. Après mon orgasme, les tentacules se retirèrent et je m'assis sur le sol pour reposer mes jambes endolories. Mon regard se balada dans la pièce, puis je regardai Harley dans les yeux, puis Ivy.
« Alors ? Est ce que Kyli est une vilaine petite fille ? Est ce qu'elle a le droit d'être punie ? De recevoir une fessée ? »
Maintenant que j'étais excitée, je voulais ressentir un plaisir plus fort... plus brutal.
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Devant ses yeux ravis, Poison Ivy eut droit à un spectacle des plus exquis. Kyli était encore timide et nerveuse, et il fallut donc la convaincre de passer aux choses sérieuses, ce qui était dévolu à Harley. Pamela s’écarta donc, et resta silencieuse pendant toute la durée de leurs échanges. Elle vit ainsi sa douce amante embrasser les seins de Kyli, descendant progressivement jusqu’à faire, conformément à la demande de sa perverse de fille, un délicieux cunni’. Pamela, sur ce point, était bien placée pour savoir combien les coups de langues d’Harleen étaient réussis, fameux et onctueux. Elle-même en avait goûté, et il n’était pas faux de dire qu’Harley avait léché cette belle plante dans tous les endroits possibles et inimaginables. Elle avait beau coup léché son sexe, bien sûr, mais aussi ses jambes, ses bras, ses pieds… Et Pamela n’y avait jamais été contre, bien entendu. Souriant lentement, elle observait donc cette fabuleuse scène, pleine d’affection et de sensualité. Kyli, debout, basculait lentement, lentement mais sûrement, vers le plaisir, ce qui l’amena à faire pousser des tentacules, et à fesser la belle Harley, fouettant son petit cul, tout en indiquant qu’il y avait, là, les raisons de son statut de « vilaine fille ».
Pamela ne pouvait que sourire, ravie devant cette énergie dont elle faisait preuve. Elle se déplaça lentement, tournant autour des femmes, et vit que Kyli se maintenait debout grâce à des tentacules enroulés autour de ses jambes. Elle laissait ainsi Harley la lécher, et Pamela finit par caresser le dos de Kyli, se mettant de côté face à elles, une main sur le dos de sa fille, l’autre sur les cheveux d’Harley, les caressant doucement.
« Vous êtes si mignonnes, mes belles... »
Harley continua à agir, jusqu’à faire obtenir un orgasme à Kyli, qui poussa un cri de plaisir en se vidant contre le visage du clown. Kyli s’assit ensuite, et, de sa voix toute douce, leur demanda si elle avait effectivement été une vilaine fille. Pamela ne put que sourire devant cette remarque, et hocha légèrement la tête.
« Oui, Kyli, tu as été... Très vilaine ! Sur ce point, je suis sûre que même Harley sera d’accord avec moi. »
Pamela sourit donc, et se décida ensuite à partir aux choses sérieuses. Il était maintenant temps de punir Kyli, et, pour cela, Harley fit appel à des tentacules, qui jaillirent du sol et du plafond, et vinrent s’enrouler autour des membres de Kyli, avant de la soulever, et de la déplacer. Kyli se retrouva ainsi face aux deux femmes, jambes et bras écartés, maintenus par les tentacules en position de croix.
« Voilà... »
Poison Ivy se déplaça un peu, et ouvrit un placard, venant en sortir deux fouets, noirs.
« Je te laisse commencer, Harley ? Punissons cette petite catin ensemble... »
Pamela lui sourit joyeusement, avec une excitation profonde qui brûlait dans le corps.
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Qu'elle était choupinette ! Kyky était le genre de petites fleurs qui ne se laissait pas cueillir facilement mais une fois entre les mains, elle fondait entre ses doigts. Une fleur qui fond ? On parle de Kyky là, pas d'un mélange entre Ivy et Freeze... Bref, revenons à nos fleurs. Harley ne la brusquait pas, allant simplement déposer des baisers le long de son corps, embrassant sa poitrine pour commencer puis elle descendit doucement, arrivant par son nombril, se demandant sur le coup si dans sa fleur, sa mère porteuse ou dieu sait ou elle a grandi, elle avait eu un cordon ombilical comme tout le monde ? Le nombril était après tout la cicatrice qui raccrochait tout être à sa mère, un point commun universel entre les êtres humains ? Puis, laissant cette interrogation de côté, elle descendit plus bas, titillant d'abord pour voir si cela suffisait à la faire craquer mais il faut croire que non.
Dans ce cas, place aux coups de langue ! Doucement, l'Arlequin commençait à lécher doucement cet endroit, délicatement, filant le long de ses courtes lèvres, elle se plaisait à récupérer sa petite sève qui coulait le long de ses lèvres, ça sentait bon, c'était sucrée d'ailleurs ? Venant d'une jeune rose comme elle, forcément ! Entamant donc son travail, elle apprit de par la bouche de Kyli que la vilaine Kyky se cachait entre ses lèvres intimes ? Ouh la vilaine petite fleur !
« Ooooh mais c'est bien rose dis donc ? Moi qui m'attendais à ce que même ici, ce soit au moins vert pâle mais non. Toute verte dehors et tout rose dedans... Hahahaha, on dirait un petit bonbon ! »
Il n'y avait qu'elle pour trouver ce genre de comparaison à un tel moment, pour les dire à voix haute en tut cas. Harley se trouvant toujours à quatre pattes, elle se plongea donc plus sérieusement entre ses jambes pour aller déloger cette vilaine petite Kyli qui se cachait là ! Le nez fourré entre ses jambes, sa langue venant se perdre dans son intimité rose, elle continua en léchant ses lèvres, récoltant le plaisir tant rechercher, savourant ce petit goût unique de sa petite fleur. Elle aurait eu la permission et serait plus inspirée, elle y aurait été à pleines dents ! Mais elle gardait cela dans sa manche pour plus tard. Sans s'en rendre compte, Harley était la cible de nouveaux tentacules qui foutaient ses fesses. Non, ce n'était pas Pamy, c'était bien trop faible pour que ce soit elle... C'était la vilaine Kyky qui faisait ça ! Se redressa,t sur ses genoux pour être près de son visage, elle donna une pichenette dans le téton de la petite rose.
« Oh ça oui ma petite ! Sache qu'on ne touche pas à mes petites fesses comme ça ! »
Sauf Pamy. Mais elle aussi avait le droit aux gros yeux et au ton pas content quand il le fallait. Harley était si bien avec Pamy mais parfois, Harley aimait bien porter la culotte, chose qui ne déplaisait pas non plus à la jeune femme. Pour le coup, elle aurait bien aimé y rajouter les dents mais elle avait peur que cela ne casse l'ambiance. Tant pis, elle y mettait juste plus d'énergie dans ses coups de langue pour amener Kyli à enfin jouir au visage d'Harley. Une tradition dans la famille. Sa maman aussi lui avait jouit au visage et plus d'une fois. L'Arlequin s'en léchait les babines en observant la petite fleur tomber de la fatigue après l'orgasme où sa première question était de savoir si elle était vilaine ? Oh mais ça oui, pour ne penser qu'à cela, elle est forcément vilaine !
« Oui ma Kyky mais tu n'a pas mérité une fessée. Mais Plusieurs ! »
Grosse différence après tout. Ivy intervenait en faisant apparaître de quoi maintenir comme il faut la petite plante, les jambes et bras bien écartée, elle était plus que prête maintenant. Chose surprenante, Ivy venait à lui donner un fouet ? À ce point-là ? Elle pensait que quelques fessées iraient mais là, jouer les Catwomans...
« Eh bah, tu es vraiment une vilaine petite rose si ta maman sort déjà ce jouet. Alors, punissons la petite vilaine Kyky ! »
Un sourire pervers illumina son visage alors qu'elle levait le bras avant de l'abaisser, la pointe du fouet venait claquer sur l'une des fesses du vilain petit bouton de rose. Cette petite séance va être très plaisante !
« J'en connais une qui va avoir mal à son petit cul-cul ! Par chance, je connais un remède naturel qui soulagera tes douleurs, toutefois, faudra être sage pour ça. »
Des coups de langue sur ses blessures, rien de mieux pour soulager ses petites fesses endolories. Harley laissa place à Ivy, à tour de rôle, elles faisaient couiner la vilaine Kyli, venant parfois lui offrir une double dose en lançant le fouet en même temps sur ses petites fesses. Les cris de plaisir mêlées à la douleur... ça avait quelque chose de très plaisant mine de rien !
« Je me demande si la petite Kyky a déjà joui en étant fessée ? On va peut-être réussir ça maintenant vu comment elle semble prendre son pied ? Haha, la vilaine petite coquinette ! »
Cela dit, aussi doué pour faire mal Harley l'était, elle n'était pas cent pour cent à l'aise dans ce rôle de dominatrice pure souche. C'est pour ça qu'elle avait quand même besoin de venir radoucir la sentence en faisant signe de cesser les coups de fouet. Elle se rapprocha de Kyky, venant se mettre devant elle en lui caressant tendre la joue, sa main remontant dans ses cheveux.
« Tout va bien Kyky ? Tu n'aime ta punition ? Tu veux qu'avec maman on continue ou tu veux faire une pause ? Comme tu as été sage, je peux déjà soulager tes blessures sur ce vilain petit cul à croquer que tu trimballes. Sérieusement, tes petites fesses vertes virent au rouge ! On dirait deux belles pommes à croquer et j'adooooore ça les pommes d'amour ! Je croquerais volontiers tes petites fesses avec un peu de sucre fondu dessus... Tu imagines... ma langue qui lèche longuement tes petites fesses ? Moi, ça me donne envie d'essayer ! »
C'est si Kyli voulait une pause douceur, elle pouvait très bien continuer pour mieux savourer le repos une fois sa première punition passée. Puis rien n'empêchait Kyli de faire venir Pamy pour l'aider à soulager ses blessures.
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Maman et Harley étaient unanimes pour dire que j'avais été très très vilaine, et que je méritais une punition. Harley alla même jusqu'à dire que je méritais plusieurs fessées pour mon comportement. Elle n'avait pas trop du apprécier que mes tentacules lui fouettent les fesses. Maman fit apparaître des tentacules végétaux du sol et du plafond, qui s'enroulèrent autour de mes bras et de mes jambes et me suspendirent au-dessus du sol, en position de croix. J'étais totalement à la merci des deux femmes que j'avais devant les yeux. Mais alors que je m'attendais à les voir passer tout de suite dans mon dos pour aller claquer mes petites fesses, elles me montrèrent clairement ce à quoi j'allais avoir droit : le fouet. Maman m'avait déjà expliqué ce qu'était un fouet, et quel usage il pouvait avoir dans le sexe quand on voulait punir quelqu'un, mais elle ne m'avait jamais dit que j'allais y avoir droit. Je ne me sentais pas prête, je ne savais pas si j'allais autant aimer ça que les fessées ordinaires. Peut-être avais-je fait quelque chose de vraiment mal... je n'eus pas le temps de poser la question qu'Ivy et l'arlequin étaient déjà dans mon dos, prêtes à infliger leur châtiment.
Ce fut Harley qui donna le premier coup de fouet. Et quand il s'abattit sur ma fesse... je crus qu'on venait de m'électrocuter et je lâchai un cri.
« Aahh ! »
Certes, ça faisait mal, mais au milieu de la douleur, j'ai bien cru déceler une faible lueur de plaisir. Au deuxième coup, donné par maman, la douleur resta mais la lueur fut plus forte, bien qu'encore trop faible pour que je puisse en profiter. En entendant l'arlequin me dire qu'elle connaissait un remède pour apaiser mes douleurs ensuite, j'eus envie de le lui demander tout de suite. La douleur était si forte que je ne comprenais pourquoi maman m'infligeait ça. Voulait-elle réellement me punir de mon attitude ? Mon esprit infantile séparait totalement le plaisir et la douleur, l'excitation et la punition. Mais pourtant, les deux femmes avec moi me fouettaient les fesses avec force. J'aurais peut-être du leur demander pourquoi, mais je n'arrivais pas à parler au milieu de mes gémissements. Et plus elles me fouettaient, plus je commençais à ressentir le plaisir perdu au milieu de la douleur. Le subtil mélange des deux me faisait ressentir la même excitation bestiale que je ressentais en recevant des fessées ordinaires, mais en plus intense.
Au bout d'un moment, maman et Harley arrêtèrent de me fesser, et l'arlequin vint vers moi pour me demander comment j'allais. La caresse de sa main sur ma joue, qui remontait vers mes cheveux, me détendait dans cette séance de punition bestiale. Elle me proposa de me donner son remède spécial dès maintenant, à savoir passer sa langue sur mes petites fesses bien rouges pour les apaiser de leur rougeur. Mais je n'en avais pas envie. Du moins, pas tout de suite.
« Non... pas maintenant... j'ai été une très vilaine fille... je dois subir ma punition jusqu'au bout... »
Et évidemment, le bout c'était la jouissance.
Maman et Harley continuèrent de me punir à coups de fouet, et chaque coup me procurait plus de plaisir que le précédent. La douleur et le plaisir s'équilibraient et se mélangeaient pour créer un sentiment primaire et bestial, qui me faisait couiner d'extase à chaque fois que le bout de l'outil me frappait le cul. C'était le même sentiment que quand je recevais une fessée avec les mains, la même association de joie et de gêne, mais en bien plus fort. Je crois que j'aurais pu mourir de honte si une autre personne avait été dans la pièce. Et pourtant, tout ça me déliait la langue.
« Haann... Oui... encore... punissez moi... aahh... encore... punissez la vilaine Kyli... Elle le mérite ! »
La sentence fut longue et plaisante, mais je finis par en voir le bout quand mon plaisir atteint son sommet.
« Aahh... Ah oui... Je suis vilaine... si vilaine... je suis... AAAAAHHHHH !!! »
Ma mouille alla arroser l'herbe du sol. Maintenant que j'avais été punie, j'étais redevenue une gentille fille, et j'avais donc droit à un cadeau. Ivy et l'arlequin se mirent toutes les deux dans mon dos et commencèrent à lécher mes petites fesses rouges avec leurs langues. Après toute cette douleur, un peu de douceur me faisait le plus grand bien. Je profitai du calme de la situation pour mettre certaines choses au point.
« Maman, j'aimerais comprendre... haann... quelque chose... Pourquoi avoir sorti le fouet dès le début ? J'ai fait quelque chose de mal ? D'habitude, tu te contentes juste de tes mains alors... pourquoi ? »
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Les coups de fouet fusèrent donc, maltraitant le délicieux petit cul de Kyli, avec une Harley enjouée. Chacune se rendait la pareille, du moins au début, Harley abattant son fouet, puis Ivy le sien. Le son délicieux que faisait le fouet, ce bang supersonique, restait décidemment inimitable, comme une sorte de magnifique appel. Oui, il était inhabituel, et même inédit, que Pamelka utilise cet instrument… Habituellement, elle fessait Kyli, à l’aide de ses mains, généralement en la portant sur ses genoux. Une main caressait ses cheveux, et l’autre, imperturbablement, la fessait, encore et encore, faisant remonter son petit corps d’avant en arrière, Poison Ivy se délectant des hurlements de douleur et de souffrance de sa chérie. Là, elle changeait la donne, et Kyli, après quelques coups initiaux, demanda à ce que les femmes continuent.
« Avec plaisir, ma chérie… Tu es une telle catin qu’il faut encore bien te punir ! »
Cette fois, les fouets s’abattirent simultanément, se concentrant majoritairement sur le magnifique cul de Kyli, mais tombant parfois aussi sur son dos et sur ses jambes. Il fallait bien varier les plaisirs, d’autant plus que des plaques rouges se formaient… Cependant, il y avait aussi un peu d’illusion là-dedans, car, la peau de Kyli étant verte, les rougeurs se remarquaient bien plus facilement. Pamela, pour autant, ne s’inquiétait pas, car sa fille mouillait abondamment, répandant sa cyprine sur le sol.
« Allez, Kyli, allez, ma chérie !! »
Pamela l’encourageait, lui hurlant dessus, et le fouet battit à nouveau. Ballottée dans tous les sens, les tentacules accompagnaient Kyli dans d’agréables mouvements de balancier. Encore et encore, les fouets claquaient et sifflaient, jusqu’à ce que, dans un ultime soupir, Kyli ne jouisse… Cette fois-ci, ce ne fut pas sur ses cuisses, mais elle se vida malgré tout, dans un ultime cri, yeux clos, laissant tout son plaisir s’exprimer.
Et voilà… Kyli venait de jouir, elle venait de se lâcher, et tout son corps, suite à cela, sembla se détendre. Pamela et Harleen, de leur côté, ne restèrent pas inactives, car, après un bref regard mutuel, elles fléchirent les genoux.
« Ma pauvre Kyli, ton cul est bien rouge… »
Oh, ça, elles n’y avaient pas été de main morte ! Pamela s’évertua donc à lécher l’une des fesses, l’embrassant et la léchant sensuellement, laissant à Harley le soin de s’occuper de l’autre. Ensemble, les deux femmes se faisaient plaisir, et, pendant ce temps, Kyli continuait à soupirer et à gémir faiblement, reprenant peu à peu des forces. Douceur et douleur, Pamela mélangeait les deux, exactement comme il le fallait, et ce n’était pas Kyli qui dirait le contraire. Cependant, et alors que Pamela continuait à parcourir cette douce courbe, sa fille lui posa une question.
Pamela l’écouta donc, et se redressa ensuite, venant se mettre devant elle. Elle lui sourit alors, et caressa l’une de ses joues.
« Oh, ma chérie, répondit-elle rapidement, tu n’as évidemment rien fait de mal, voyons ! C’est juste que… Je voulais voir si tu étais capable de supporter le fouet, vu que c’est un peu plus douloureux que les fessées. Et puis, comme nous avons une invitée, je me suis dit que c’était une occasion spéciale… »
En souriant, Pamela embrassa sa fille, tout en lui caressant les cheveux.
« Et puis, j’ai vu que tu as fouetté Harley… Je me suis dit qu’il fallait te rendre la pareille, que tu saches ce que ça fait. Mais non, ma chérie, tu n’as rien fait de mal. »
Kyli s’inquiétait, et c’était compréhensible, vu qu’elle était sa fille. Pamela l’embrassa sur le front en lui souriant.
« Alors, que faisons-nous ? Je te laisse décider, Harley, tu es notre invitée, après tout… »
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Harley avait beau savoir mener son monde à la baguette – au fouet en l’occurrence – elle savait aussi se montrer très douce. Profitant de cette pause, elle allait voir Lyli afin de s'assurer que tout allait bien pour elle ? Elle ignorait jusqu'où Pamela avait été avec elle mais il faut bien s'assurer que tout se passait bien pour elle ? Quelques caresses et même la proposition de son remède naturel mais non, la petite Kyky avait pris goût à ce sévisse car elle en redemandait. Bah, si elle en redemande, elle ne va pas le lui refuser quand même.
« Ok vilaine Kyky, on reprend alors ! »
L'Arlequin retourna avec la belle plante pour reprendre leur célèbre duo de fouetteuse et lui donner autant de plaisir que de souffrance à la mini-plante qui se lâchait de plus en plus. La pointe du fouet avait beau venir marquer ses petites fesses en y laissant des marques plus ou moins rouges. Elle avait peut-être mal mais elle adorait ça, Harley voyait les gouttes couler entre ses jambes, la preuve que la petite plante avait un faible pour le SM quand même. Non, ce n'était pas une critique, Harley était quand même vachement ouverte avec des goûts en tous genres alors le SM, ce n'était qu'un caillou dans le vaste océan qu'était le sexe.
« Voir ta fille comme ça... hum, ça me rappelle combien sa mère aussi sait être une véritable chienne en chaleur en manque, heiiiiiiiiin c'est vraiiiiiiii ?! »
Non pas qu'Harley ai fait la même chose avec Ivy, pas totalement mais quand Harley avait une queue, étrangement Ivy se faisait plus docile et bien que cela n'ait jamais été jusque-là, elle aurait sûrement accepté une chose plus ou moins similaire que Kyli. Et puis c'est vrai quoi, quand Harley était futa, Ivy faisait tout pour qu'Harley ne soit pas douce, mais parfois ça échouait, quand Harley avait besoin de donner un peu de douceur. Mais qu'on se rassure, neuf fois sur dix, Ivy parvient à ses fins. Les coups continuaient pour mener Kyli jusqu'à l'orgasme avant de la laisser se reposer, appliquant leur remède pour faire de Kyli une gentille fifille. Toutes les deux venaient lécher les fesses de la petite plante, pour la soulager doucement. Harley caressait aussi doucement sa cuisse en même temps.
« La pauv' petite rose... elle a bobo à son cucul ? Maman et tata Harley vont bien la soigner... »
Ses coups de langue étaient doux, ils léchaient chacune des marques en espérant réduire sa douleur au maximum alors qu'elle se posait des questions sur sa punition, Ivy la rassura qu'il s'agissait juste d'un test, qu'elle n'était pas une vilaine fille. Elle évoquait aussi Harley en expliquant que c'était une inviter donc un jour spécial donc, elle a aussi son choix à dire !
« Alors si je dois choisir... huuuuum... ? Vu comment Kyky a eu mal à son petit cul d'amour, quelques coups de langue ne seront pas suffisant. Alors je propose qu'on lui fasse un grooooooos câlin et que ce soit elle qui décide quand cela sera fini, quand elle n'aura plus mal et qu'on passe à autre chose. »
C'était un choix qu'elle imposait car déjà Harley venait à côté d'elle, posant ses fesses en croisant les jambes pour soulever la petite rose et la poser entre ses jambes avant de l'enlacer doucement, frottant sa joue contre la sienne en la serrant contre elle.
« Haaaaa petite rosinette, tu sens si bon et tu es tooooouuute douce ! Tu sais ce qu'il manque ? Juste une belle maman rouquine pour venir te donner encore plus d'amour ! »
Qu'à cela ne tienne, Harley ne comptait pas faire exclusivement, dans la douceur, certes, là c'était pour calmer le jeu mais une fois Ivy rejoint pour former ce trio original, elle glissa sa main entre ses jambes pour caresser ses petites lèvres en commençant à baiser son cou, parfois sa joue.
« Elle est sage notre petite Kyky... elle mérite sa petite récompense moi je dis... On la caresse encore et encore jusqu'à ce qu'elle expulse son nectar. Kyky sait jouir quand on maltraite ses petites fesses, est-ce qu'elle sait jouir quand on est toute gentille avec elle ? »
Elle aurait bien été tenter de pincer ses petits bouts de téton mais ça ne collerait pas avec ce qu'elle venait de dire alors, place à la douceur ! Frottant autant sa bouche que son nez dans son cou, elle aimait glisser des petits mots dans son oreille, à voix basse bien sur pour garder le même climat dans la pièce.
« Qu'est-ce que Kyky aimerait recevoir de nous ? Tata Harley aime bien entendre les gentilles filles gémir et couiner dans ses oreilles tu sais... mais tata aime aussi quand les filles sages sont très heureuses. Alors dis-moi comment je devrais remuer mes doigts en tout ? A moins que tu les voudrais ailleurs ? Pour caresser tes douloureuses petites fesses ? Ou titiller ton petit trou ? »
Parlant d'anus de plante... Kyky pouvait faire caca ? Intéressante comme question mais oui, non ? Vrai caca, composte végétale ? C'est bien Harley la seule femme au monde à penser à ce genre de chose durant un câlin avec une petite alraune. Enfin, s'en ai bien une ? Enfin bref, Harley suivra ses informations de toute façon.
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A peine avais-je posé ma question que maman vint se mettre devant moi pour me répondre tout en me caressant une joue. A l'entendre, je n'avais rien fait de mal, elle voulait juste voir si je pouvais supporter le fouet. En plus, ce n'était qu'un juste retour des choses après que j'ai moi-même fouetté les fesses d'Harley avec mes tentacules. Cette dernière, ayant le choix sur ce qui allait m'attendre ensuite, décida de me faire descendre et de m'asseoir entre ses jambes pour me faire un gros câlin. Maintenant que j'avais été punie, et que j'étais redevenue une gentille fille, elle voulait me faire un gros câlin pour me récompenser. Très vite, maman alla la rejoindre et se plaça dans mon dos pour me faire plein de caresses, pendant que son amie arlequin glissait une de ses mains entre mes jambes pour caresser mon intimité tout en baisant ma joue et mon cou. Un vrai festival de douceur, qui me faisait planer et gémir de con cœur après le fouet. J'en oubliais presque les brûlures sur mes fesses.
« Elle est sage notre petite Kyky... elle mérite sa petite récompense moi je dis... On la caresse encore et encore jusqu'à ce qu'elle expulse son nectar. Kyky sait jouir quand on maltraite ses petites fesses, est-ce qu'elle sait jouir quand on est toute gentille avec elle ? »
« Aahh... oui... bien sûr... je sais aussi... hhann... être une... gentille fille... »
En même temps que les deux femmes me harcelaient de baisers et de caresses, je les entendais me murmurer à l'oreille des paroles douces et perverses, le genre de mots qui m'excitaient encore plus que je ne l'étais déjà. C'était si bon d'être bercée et câlinée après une punition. C'était aussi pour ça que j'aimais être fessée : pour l'apaisement qui venait ensuite.
« Aahh... tata Harley... caresse moi encore... entre les jambes... oohh... et remue doucement... tes doigts en moi... très doucement...
Maman... aahh... caresse ma peau... mes seins... kyyaahh... mes joues... »
Tout ce que je voulais de ces deux merveilleuses femmes, c'était des caresses, des bisous et un océan de douceur. La façon dont elles s'y prenaient, au fond, m'importait peu.
Plongée dans mon plaisir, mes pouvoirs s'éveillèrent sans que je m'en rende compte, et de petits tentacules végétaux émergèrent du sol. Cependant, dans le peu de lucidité que j'avais encore, je parvins à leur donner un ordre très clair : interdiction de faire plus que de caresser leur peau. On ne touche pas à la poitrine ou à une autre zone sensible, on se contente de passer sur le reste du corps. Ensuite, je me replongeai dans mon océan de câlins sans craindre que les choses deviennent trop intenses. Pour l'instant, j'avais juste envie de calme et de douceur.
Je sentais mon orgasme approcher à toutes jambes. Je voyais déjà ce que je voulais faire après m'être vidée à nouveau : je voulais rendre la pareille à maman et tata Harley. Je voulais lécher leur si belle peau, caresser leurs magnifiques corps, écouter leurs couinements et savourer leur nectar... J'en avais tellement envie. Tellement...
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Après cette séance de flagellations, il était temps d’opter pour une toute autre approche. Pamela tenait à être une bonne mère envers sa fille, une très bonne mère, tout ce dont elle-même avait été privée jadis. Elle et Harley optèrent donc pour des caresses, des bisoux, et de tendres attentions. Le caractère incestueux de cette union filiale était tout à fait normale, car elles n’étaient pas vraiment des humaines, et avaient donc de plus amples aspirations. Pamela embrassa Kyli sur le front lorsqu’elle leur demanda qu’elle voulait que les deux femmes se partagent son corps.
« Très bien, ma chérie... Tu es aussi gourmande que ta Maman ! »
C’était, bien entendu, un compliment. Pamela se retrouva à genoux devant Kyli, Harley située dans son dos. Se mordillant les lèvres, Poison Ivy caressa l’une des joues de la femme, et l’embrassa doucement sur l’autre joue, avant d’embrasser son menton, puis son cou, léchant et mordillant sa peau. L’idée était de ne pas embrasser ses lèvres, afin de mieux l’entendre gémir. C’était un domaine dans lequel Pamela s’en sortait plutôt bien.
« Mmmhmm... ! »
Oh, comme il était agréable d’embrasser ainsi sa chérie, de jouer doucement avec elle, de mordiller son cou, sa peau... Pour laisser Harley agir pleinement, Pamela, elle, se concentrait sur le visage de sa fille, déposant quantité de baisers et de caresses. Un frémissement vint ensuite la parcourir quand elle sentit des tentacules végétaux sortir du sol pour s’enrouler délicatement autour de ses jambes, remuant ensuite un peu, se crispant et se décrispant légèrement, comme pour faire plaisir à la femme. Kyli les laissait agir, tout en gémissant et en soupirant.
Et, tout en embrassant et en léchant son visage, Pamela massait ses seins avec ses mains, les déplaçant pour caresser et gratter ses hanches, avant de retourner pincer ses tétons.
« Vas-y... Vas-y, jouis, ma chérie, jouis... »
C’était tout ce que les deux femmes autour de Kyli voulaient en ce moment.
Du moins, surtout Pamela...
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Jouer avec Kyli allait rendre les choses meilleures entre elles, déjà qu'Harley adorait jouer dans bien des sens avec Pamy, si dorénavant elle doit aussi compter sur Kyli, ça va rendre les choses que bien meilleur ! Elle avait installé la petite plante sur ses cuisses en commençant à la nourrir de baiser et de caresse, surtout dans ses endroits privés, chose qui ne semblait pas déranger la petite rose, au contraire, elle adorait et demandait plus de cela auprès de sa gentille tata. Comment lui refuser cela ? Harley caressait sa petite plante verte avec sa joue, faisant doucement remuer ses doigts explorant sa petite fabrique à nectar.
« Tout ce que tu voudras ma petite Kyky... »
Pamela faisait elle aussi plaisir à sa petite chérie en la caressant autant que possible. Y a pas à dire, sa fille était dorlotée comme pas possible ! Harley voulait toujours plus, même si elle n'avait pas à se plaindre de sa position et de ses mignonnes petites choses qui venaient caressa sa tenue rouge et noire, elle sortait le bout de sa langue pour caresser son oreille. Le morceau de chair rose glissa son oreille, parcourant ses formes jusqu'à faire sentir ses dents dessus. Elle lui manquait son oreille ? Non, elle ne la mordillait même pas, elle faisait juste sentir ses dents dessus, se demandant si cette zone était sensible chez la petite pousse verte ? Quant aux ordres de Pamy, elle était elle aussi d'accord ! Faire jour la petite Kyky, volontiers !
« Ouuuuuh maman a une très bonne idée ! Tu sais quoi ma p'tite chérie, je vais t'aider et tu arroseras ma main. »
Elle voulait lécher son nectar avant de le puiser tôt ou tard directement à la source. D'une main, elle écarta les lèvres intimes de sa petite pousse avec son index et son majeur. La petite entrée rose n'attendait à présent qu'une chose, les deux doigts d'Harley ! Comme avec son autre main, l'index et le majeur venaient s'enfoncer en elle, venant faire entendre un délicieux petit bruit humide qui ne faisait que jeter de l'huile sur le feu brulant du désir de l'arlequin !
« J'adoooore ton petit bruit Kyky ! Allez, gémis de toutes tes forces Trésor ! Montre à ta maman et à tata Harley combien tu adoooore tout ça ! »
Harley n'y allait pas de mainmorte, de plus en plus vite, se mordant la lèvre inférieur, elle prenait son pied, venant mouiller sa tenue entre ses jambes. Son nectar plus le sien, cela ferait un très bon aphrodisiaque pour attirée une Pamy ça, non ? Harley accompagnait Kyli dans ses gémissements, son souffle chaud se faisant sentir sur son oreille, poussant de plus en plus Mini-Pam' vers le paradis du sexe ! Quand ce moment fut arrivé, elle bloqua la sortie avec sa main, sentant son nectar arrosé sa main qu'elle retira ensuite doucement pour la lécher sans honte. Elle trouvait cela bon, un petit goût sucré en plus ! Elle baisa bien fort la joue de sa petite Kyky, elle adorait cette petite.
« Tu seras désormais mon petit bonbon ! Je comprends pourquoi tu me l'as caché aussi longtemps, un bijou pareil, on veut pas le partager ! »
Longtemps, pas si longtemps que ça elle fut cachée mais bon, le fait était là puis Harley s'en fichait en vérité. Elle était une des seules à savoir et à jouer avec ce même secret. Adorable petite plante bout de choux ! Doucement et une fois nettoyer, elle posa ses mains sur les oreilles de Kyly pour poser une question à Pamy en espérant qu'elle n'entend pas cette possible surprise.
« Je présume que tu lui as déjà pris son petit cul et son petit minou ? Mais si tu veux, je t'aiderais à lui préparer un bon sandwich qu'elle n'est pas prête d'oublier ! »
Un sandwich à deux... voilà une chose que Kyky pourrait bien adoré ! Harley lui baisa le front en gloussant, se demandant à quoi la petite demoiselle voulait jouer à présent ?
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Maman et tata Harley me caressaient avec un talent indéniable : maman m'embrassait tout en caressant mes seins et mes hanches pendant qu'Harley enfonçait ses doigts dans mon intimité dégoulinante de cyprine et me léchait l'oreille avec le bout de sa langue. Mon corps était piégé entre ces deux femmes, et je me sentais si bien que mon plaisir ne tarda pas à exploser en moi.
« Aahh... je... je vais... AAAAHHHH !!! »
Mon nectar alla éclabousser les doigts de l'arlequin, qui retira sa main dès que l'expulsion de liquide se termina, puis elle lécha ses doigts avant de m'embrasser sur la joue. Elle disait que j'étais son petit bonbon, un petit nom que maman m'avait déjà donné un soir, quand elle avait goûté à ma mouille pour la énième fois. Comme son amie, elle en appréciait le goût légèrement sucré, là où le liquide des autres femmes n'avait pas de goût particulier. J'allais la remercier, mais elle posa ses mains sur mes oreilles pour que je n'entende pas ce qu'elle demandait à maman, puis elle me baisa le front en me demandant ce que je voulais faire ensuite. Maman aussi voulait le savoir. Elles me laissaient le choix de l'activité suivante, et je savais déjà ce que souhaitais. Lentement, je quittai le creux des jambes d'Harley pour me mettre à genoux et marcher à quatre pattes jusqu'à l'intimité d'Ivy. Cette zone de son corps qui me faisait tellement envie.
« Je... je veux vous lécher... toutes les deux... vous rendre le plaisir que vous m'avez donné... je veux goûter à votre nectar... »
Sans même attendre de savoir si elles étaient d'accord ou pas, j'allais mettre ma tête entre les jambes de maman, prenant appui en posant mes mains sur ses fesses, et je me mis à lécher son intimité encore couverte par son corset végétal, mais je sentais qu'il n'allait pas rester en place bien longtemps. En même temps, je sentais les mains de l'arlequin se poser sur l'arrière de mon corps pour le caresser, depuis ma nuque jusqu'à mes fesses. Elle avait les mains douces et agiles, comme maman, et je frémissais sous son toucher au moins autant que maman gémissait en sentant ma langue passer sur sa vulve et mes mains palper son délicieux cul.
Je savourais le bon liquide qui sortait de la fente intime de maman. Il n'était pas sucré, mais je l'aimais quand même parce que c'était celui de la femme que je préférais dans ce monde. C'était une déesse végétale, la femme qui m'avait donné la vie, la première personne que j'ai vue en sortant de ma chrysalide, la personne qui m'a accompagnée lors des premières heures de ma vie, et qui continuait de le faire aujourd'hui... Comment pouvais-je ne pas l'aimer à la folie ? Et mon amour se faisait ressentir à travers mes actions, tandis que je la léchais sans interruption en gémissant.
« Aahh... maman... je t'aime... je t'aime si fort... hhnn... »
En plus, ma libido était boostée par les attouchements d'Harley sur l'arrière de mon corps. Je vivais encore une fois un moment d'extase, alors que c'était moi qui donnait du plaisir à maman.
C'est ça qu'il y a de plus beau dans le sexe : au final, tout le monde est content.
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Entre les mains expertes de Pamela et d’Harley, Kyli pouvait être aux anges. Les deux femmes étaient, en matière de sexe, assez expérimentées, Harley ayant, en quelques semaines à Seikusu, rattrapé le retard accumulé quand elle était à Arkham, ou qu’elle sortait avec cet affreux Joker. Maintenant, elles étaient ensemble, et, depuis que l’Arlequin était arrivée à Seikusu, il ne s’était pas écoulé une seule journée sans que Poison Ivy ne lui fasse l’amour. On pouvait se féliciter de la résistance et de l’endurance naturelle d’Harley. La revoir avait très clairement changé quelque chose chez Pamela, qui s’était rappelée cette femme, cet amour perdu qui revenait maintenant à elle. Autant dire que Pamela ne l’avait pas loupé.
Maintenant, elles faisaient l’amour à Kyli, et la proposition d’Harley ne tomba pas dans l’oreille d’une sourde.
« Oui, Harley, haaa... J’ai déjà exploré tous ces trous... »
La sodomie, Kyli y avait eu droit. Pamela avait eu peur que sa fille ne soit rebutée par cette pratique au début, mais, après du temps et de la préparation, tout s’était bien passé. Il avait semblé nécessaire, à Pamela, de préparer Kyli pour la sodomie, car, dès que Pamela avait décidé d’inviter Harley, il était évident que, à ses yeux, Kyli goûterait à ce plaisir suprême d’avoir deux verges en elle. En effet, depuis que Poison Ivy avait fait montre de ses nouveaux pouvoirs à Harley, notamment en la dotant d’une verge, il était fréquent qu’Harley demande à en avoir une. Visiblement, Harley adorait sodomiser des culs, et se faisait plaisir sur les lycéennes de Pamela.
En la voyant ainsi masser le cul de Kyli, pendant qu’elle-même se faisait sucer par cette dernière, Pamela comprenait tout à fait le message implicite d’Harley, la demande qu’elle était discrètement en train de formuler, sans la dire ouvertement. Poison Ivy souriait donc, et caressait les cheveux de Kyli, puis se concentra un peu. Sous l’effet des lèchements de Kyli, il lui fut d’autant plus facile de faire sortir sa verge, qui vint se poser sur le nez de Kyli, avant de glisser pour frotter ses lèvres.
« Haaaaaa... !! »
Poison Ivy soupira longuement, en sentant ce gros sexe, qui l’élançait terriblement.
« Hmmmm... !! »
Pamela se mordillait les lèvres. Son sexe verdâtre était recouvert de mouille et de sève végétale, et elle se pencha vers Kyli.
« Bien, ma chérie... Haaaa... Je crois qu’il est temps de te faire goûter au plaisir suprême... Deux belles queues rien que pour toi... Et, vu comment Harley prépare ton petit cul, j’en déduis qu’elle veut passer par ta porte arrière... Mais ne t’arrête pas en si bon chemin, ma chérie, prépare ma queue à venir te prendre... »
Ivy posa ses mains sur la tête de Kyli, et amena cette dernière sur sa verge. Ainsi, pendant qu’elle se faisait sucer, Pamela en appela à plusieurs tentacules, en forme de seringue. L’un d’eux jaillit ainsi, et se rapprocha d’Harley, puis vint la piquer à hauteur du cou, pendant qu’elle préparait le petit cul de Kyli à une sodomie intensive. Ceci eut pour effet de lui faire pousser une verge, qui dut se sentir bien à l’étroit dans son costume.
« Deux belles queues rien que pour toi, Kyli, haaa... Tu es vraiment très chanceuse, ma chérie ! »
Han oui, très chanceuse !
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Puisqu'il fallait jouer avec Kyli, autant le faire jusqu'au bout ! Le début avait bien commencé et dorénavant, il fallait pousser cela encore un peu plus loin afin de voir à quel point Kyli allait être heureuse ? Harley voyait ma sa petite Kyky refuser quoi que ce soit, surtout si la demande venait de la belle rouquine mais qui sait, en ses quelques temps d'expérience avec Ivy, elle a peut-être aimé beaucoup de choses mais détesté certaines autres ? À voir... Harley ne pouvait pas savoir, elle ne la connaissait que depuis quelques minutes, allez, quelques heures avec le fait que sa copine lui en ai parlé la veille sans tenter dans trop de détail. Ainsi, Kyky avait déjà été prise comme ça mais pas par deux personnes ! Peut-être avec les tentacules de Pamy mais Harley était la vraie seconde personne à jouer avec Kyli, elle ne comptait pas ses lycéennes poupées qui aimaient se faire tringler pour leur plaisir de petite cochonne.
Le petit bonbon à la menthe ne tenait plus en place, voulant aller lécher leur intimité pour leur renvoyer la pareille mais elle se concentra d'abord sur Ivy. Une chance que ce soit sa mère sinon elle l'aurait mal pris. Mais pas grave, l'arlequin se pencha sur elle pour lui caresser ses petites pommes d'amour bien mur, douces petites fesses bien tendre et juteuse ! Elle avait envie d'y croquer dedans et à pleines dents ! Mais elle se retenait en la caressant.
« Oh ma petite Kyky si tu savais comme je me retiens de te mordre tes petites fesses d'amour !!! »
Pamela pouvait en témoigner, face à un cul, Harley n'hésite pas entre les dents, les claques ou les coups de queue d'habitude. Elle continua les caresses en savourant le spectacle, Ivy se préparait le plus naturellement du monde mais Harley avait besoin de sa petite drogue ! Bah quoi ? Les cyclistes le font tous, pourquoi pas elle ? Ok, elle ne va pas rouler le tour de France mais ça allait être tout aussi fatigant ! Pas une seule fois elle avait eu une queue dans une ambiance amour à l'eau de rose avec des petits mots tendres. Autant ce genre de moment pouvait arriver après l'amour, avant de s'endormir, autant sa queue poussait que le soft et la douceur n'avaient plus leur place entre elles.
Sentant sa queue poussée et finir étroitement son chemin dans sa tenue, elle se retenait, juste encore un peu. Face à ce petit trou qui semblait l'inviter, elle avait du mal à se retenir, venant même faire frotter sa bosse entre les fesses de Kyky, la petite dévoreuse de queue.
« Ouh la belle surprise pour ma petite Kyky ! Tu vas voir ma petite pastille de menthe, tu vas adorer rester coincé entre ta maman et moi. »
Mais avant toute chose, elle se pencha sur elle, venant attendrir son passage en venant lécher son petit anus végétal. Les mains sur ses fesses, faisant dessus ses pattes de velours comme une Catwoman, elle léchait sa petite entrée, enfonçant sa langue en elle pour lui garantir une percer un peu plus douce dans les instants qui vont suivre. Il ne faut pas interdire à Harley, ni même lui donner son avis sur la question car telle une enfant, cela lui donnera plus envie de s'y aventurer. Terminant de lécher son petit bonbon à l'eucalyptus, elle donna une petite claque sur sa fesse, pour l'avertir de la suite des événements alors qu'un bruit de tissu qui se déchire se faisait entendre entre ses jambes.
« Haaaaa ! Je respire mieux ! »
Puis ça permettra à Ivy de se mettre à la couture, comme une parfaite petite maman ! Les mains sur les hanches vertes de Kyli, elle était prête à attendre le signal.
« Maman, tu es prête à offrir ton gros cadeau à notre petite Kyky ? Un... deux... TROIS ! »
Pouf, d'un coup sec, ça rendrait comme dans du beurre ! Du beurre un peu étroit certes mais elles vont s'y faie. Harley remuait faiblement pour s’habituer à elle mais cela ne sera pas la chose la plus simple à faire.
« Hhhhhhhuuuuummmmmaaaaaaa ! Kykyyyyyy... Tu est trop étroite !!!! A croire que ta mère ne te prend pas assez le fion ! Tata va régler ça ma chérie... »
Bien cramponner à ses hanches, elle commença ses mouvements, d'abord doucement, venant même se pencher sur elle pour lui baiser les épaules, sa nuque cacher derrière ses cheveux, se rapprochant doucement de ses joues qu'elle voulait embrasser.
« Ma petite chérie... hhhhuuummm... Comment tata... ha, doit te prendre.... Doucement ? Ou bien comme une vilaine petite fille ? »
Cela promet que du bonheur mais l'un comme l'autre, elle va y mettre tout son cœur et toute son énergie. Kyli ou pas Kyli, Harley écrasait cette dernière contre la belle rouquine pour venir partager un petit baiser du bout des lèvres avant de laisser la petite pousse respirer un peu. Il était temps de lui faire plaisir en la prenant comme il se doit ! Avant leur sieste à trois, Kyli va adorer sa tata, promis, jurer, cracher !
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Pendant que je léchais maman, je sentis soudain quelque chose remuer au niveau de son pubis, une sensation que je connaissais bien. Je ne fus donc pas surprise en voyant sa verge végétale émerger de son corset de feuilles, dure et tendue vers le ciel, couverte de mouille et de sève. Je me doutais bien qu'elle finirait par sortir ce jouet, mais j'aurais préféré qu'elle attende que je la fasse jouir au moins une fois en léchant sa féminité, et que j'en fasse de même avec son amie, mais je ne protestai pas. Maintenant que son jouet était sorti, il fallait bien que je m'en occupe.
Tandis que maman utilisait ses mains pour guider ma tête vers sa verge, elle m'expliqua que j'allais goûter à un plaisir bien plus fort, le plaisir d'avoir deux queues qui s'occupent de moi en même temps. De plus, elle précisa qu'Harley, à la façon dont elle me massait le cul, allait sûrement me prendre en sodomie. Le plaisir anal était quelque chose qui, pendant un temps, m'inquiétait beaucoup, comme à chaque fois que je découvrais une nouvelle pratique sexuelle. Mais heureusement pour moi, j'avais la chance d'avoir à mes côtés la meilleure des formatrices. Elle m'a préparée, étape par étape, en étant toujours aussi douce et prévenante qu'elle l'était d'habitude avec moi, et un soir, alors qu'elle venait de me pénétrer par l'avant, elle a enchaîné tout de suite avec mon autre trou. Au début, ça m'avait fait mal, mais j'y ai vite pris goût, à tel point que j'ai voulu recommencer plusieurs fois. Alors rien qu'à l'idée de me faire prendre en sodomie par tata Harley pendant que je sucerais le gourdin de maman... J'en frissonnais d'avance.
« Deux belles queues rien que pour toi, Kyli, haaa... Tu es vraiment très chanceuse, ma chérie ! »
« Oh oui... j'ai vraiment beaucoup de chance. »
Au moment où je pris en bouche la trique de maman, je sentis une bosse se frotter contre mes fesses. Le nouveau jouet de tata Harley, obtenu grâce aux pouvoirs végétaux d'Ivy. Elle s'était retenu de me mordre le derrière, et elle allait maintenant me sodomiser. Mais d'abord, pour bien me préparer, elle vint lécher mon petit trou, enfonçant parfois sa langue à l'intérieur, pour bien lubrifier cette petite entrée si étroite avec sa salive.
« Hhmm... hhmm... »
Mes couinements étaient étouffées par la grosse queue dans ma bouche, mais ils voulaient bien dire que j'étais contente. Et je savais que ce n'était qu'un début.
Quand l'arlequin cessa de me lécher l'anus, j'entendis un bruit de tissu déchiré, suivi du soulagement de la dame. Curieuse, je tournai légèrement la tête, et je vis que tout le bas de sa tenue venait d'être arraché pour pouvoir libérer son impérieuse trique qui, comprimée dans le cuir, avait eu le temps de prendre du volume. Elle posa ses mains sur mes hanches et frotta son gros mandrin contre mon petit trou.
« Maman, tu es prête à offrir ton gros cadeau à notre petite Kyky ? Un... deux... TROIS ! »
D'un seul coup, une douleur foudroyante se répandit dans tout mon corps.
« AAAHHH ! »
Harley était entrée en moi d'un coup sec, sans prendre le temps de m'habituer progressivement à son membre dans mon anus. Alors oui, j'avais mal. Juste mal. Tellement mal que j'en avais sorti la trique de maman de ma bouche.
« Hhhhhhhuuuuummmmmaaaaaaa ! Kykyyyyyy... Tu est trop étroite !!!! A croire que ta mère ne te prend pas assez le fion ! Tata va régler ça ma chérie... »
Mais dès qu'elle commença à remuer en moi, je retrouvai les sensations de plaisir de ma première sodomie, et mes couinements de douleur laissèrent place à des gémissements de bien-être. Cependant, pour ne pas tenter l'arlequin d'accélérer la cadence trop vite, je me saisis de l'occasion qu'elle me donna en me demandant comment je voulais être prise.
« Aaahh... Vas-y doucement... au début... s'il te plaît... puis augmente... oohh.. au fur et à... aahh... mesure... hhmm... »
Profitant de la proximité des lèvres de ma nouvelle tata, je lui volai un petite baiser rapide puis je retournai faire du bien à maman en suçant sa grosse queue.
Je vivais un moment de pur plaisir : j'étais en train de me faire prendre en sandwich par deux belles femmes membrées, l'une baladant son sexe dans ma bouche et ma gorge, l'autre me prenant en sodomie, lentement au début, mais qui augmentait la cadence à chaque seconde. Le mélange de plaisir, de douleur, et même un peu de honte, que je ressentais formait un concerto parfait dans mon petit corps, qui se faisait ballotter par l'arlequin et ses mouvements de bassin. Je couinais, je gémissais, je bavais, et mes mains exprimaient mon plaisir sur le derrière de maman. Je massais ses belles fesses, je les pinçais, je leur mettais des petites claques... Que du bonheur pour Ivy. Et à force de me faire prendre, je finis par jouir, couinant si fort que même la grosse queue dans ma bouche ne pouvait étouffer ma voix, et j'envoyai ma mouille s'écraser sur le sol. Cependant, ce n'était pas fini pour autant. Maman et tata Harley n'avaient pas joui, alors je continuai à sucer et à balancer mes hanches pour leur donner du plaisir.
Au bout d'une dizaine de minutes qui me sembla passer en un éclair, Ivy et son amie arlequin explosèrent à leur tour, et balancèrent leur crème dans mes orifices. En bonne petite fille sage, j'avalai toute la semence qui coula dans ma gorge avant de finalement me retirer pour pouvoir bien nettoyer le chibre de maman, le léchant partout où il restait encore du bon sperme juteux, puis je sentis l’arlequin sortir son membre de mon anus. Jusqu'à ce qu'on me dise le contraire, je gardai le sperme dans mon corps, comme maman m'avait appris à la faire. Je m'assis en tailleur devant ces deux magnifiques femmes, qui me regardaient avec des yeux remplis de malice et des érections toujours aussi fortes.
« Aahh... Vous voulez... que je fasse autre chose ? Que je vous masturbe... ou que j'utilise des tentacules ? Dites moi... »
Dans l'état actuel des choses, j'étais plus une reçeveuse qu'une donneuse. Je voulais leur rendre encore un peu plus du plaisir qu'elles m'avaient fait ressentir, peu importe les moyens requis...
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Harley ne tarda pas à s’attaquer aux fesses de Kyli. Lui offrir son postérieur, c’était un délicieux cadeau, que son amie méritait bien. Entre Pamela et Harley, une longue amitié les reliait, une amitié qui avait viré à la romance, essentiellement depuis leur nouvelle vie à Seikusu. Ivy avait décidé d’embrasser les nouvelles facettes de sa personnalité, trouvant dans la commune nippone un point de chute, un endroit où se ressourcer, et elle entendait bien en faire profiter son amante. Dès qu’Harley était revenue dans sa vie, la psychologue n’avait pas eu d’autres solutions que de suivre le mouvement, et de devenir bien plus qu’une simple amie. Kyli faisait maintenant les frais de cette nouvelle union.
Tandis que la grosse queue de Poison Ivy remuait dans la bouche de la femme, l’Empoisonneuse avait une vue de premier choix sur les actions d’Harley, qui léchaient son anus, enfonçant sa langue dans sa rondelle, remuant sa langue sur cette partie de son corps. En retour, Kyli frissonnait sur place. Même si sa fille avait été initiée à la sodomie, il était nécessaire de la préparer. Une sodomie à sec, c’était tout de même intense, et un peu trop dur, encore, pour la jeune femme. Harley l’avait bien compris, preuve de son grand amour, et elle léchait donc ce petit cul, répandant sa salive ne elle, faisant frémir Kyli.
« Hmmm… !! »
Pamela était très exigeante avec sa fille, surtout d’un point de vue sexuel, mais c’était pour son bien. Kyli savait faire de superbes fellations, et le prouvait en ce moment, léchant, suçant, creusant cette queue dans sa bouche, tout en continuant à la prendre. Sa virilité venait se perdre en elle, glissant d’avant en arrière, et sa main se crispait sur les cheveux de sa fille, Pamela soupirant et gémissant, filant dans son corps.
« Haaaaaaannn… !! »
Harley, elle, sentit le désir monter à force de lécher ce petit cul, et, tel l’oisillon qui tapait contre la surface de l’œuf pour en sortir, sa verge finit par trouer la combinaison à hauteur du bassin. En souriant, Pamela entendit ce craquement du tissu, ce crissement, et vit la verge de la femme, luisante, grosse, tendue, avec une veine qui semblait palpiter dessus. Ivy sourit devant ce spectacle. Ce ne serait pas la première fois que, du fait de leurs ébats, Harley voyait ses combinaisons se faire déchirer. Il faut dire que l’arlequin avait réussi le mince exploit de parvenir à exciter Ivy avec des vêtements, elle qui voyait ces tenues synthétiques comme une sorte d’incompréhensible hérésie, les rejetant en bloc.
Pamela se tenait donc face à elle, sa queue toujours perdue dans la bouche de sa fille, tapant parfois contre sa gorge, et soupira lentement.
« Vi-Viens, Harley, humm… Viens en elle… Haaaa… »
Harley n’eut pas besoin de se le faire dire deux fois, et guida sa verge vers le tendre petit cul de Kyli. Quand elle s’y enfonça, Pamela entendit sa fille gémir, et mordilla son sexe, sous l’effet de cette barre qui s’enfonçait en elle. Sous l’effet de la douleur, les mains vertes de Pamela serrèrent les cheveux de la femme, et elle soupira lentement, crispant ses muscles, avant de les relâcher, et d’accompagner les mouvements de la femme.
Deux sexes rien que pour elle, deux mandrins occupés à la prendre, Kyli était probablement la femme la plus comblée du moment. Il fallait bien avouer que les deux femmes la traitaient particulièrement bien, et le corps de la jeune femme se crispait et se relâchait sous les mouvements erratiques de ses deux amantes.
« Hnnnn… !! Kyli, haaaa… Ma Kyli !! »
Harley se taillait la part du lion, confirmant son amour pour la sodomie. Il suffisait de voir son visage traversé de bonheur pour le réaliser, et Kyli, elle, s’appuyait sur les fesses de sa mère, faisant naturellement soupirer cette dernière, qui continuait à multiplier les gorges profondes.
De superbes orgasmes vinrent finalement clôturer ce moment. Harley, qui rythmait le jeu, accélérait de plus en plus, déformant le beau petit postérieur de Kyli, jusqu’à se vider en elle. La belle Kyli découvrit les joies d’un orgasme anal, et balança sa mouille sur le sol, pendant que le sperme venait la remplir. Les deux puissantes amantes se vidèrent en elle, abreuvant son corps de leur généreux foutre.
« Mmmhmmmmmmmmmmmm… Hhhmmmmmmmmmmmmmmmmmhh… !! Haaaaaaaaaaaaaaaannnn… !! »
En poussant de grands soupirs, Poison Ivy se vida dans le corps de la femme, et se retira finalement d’elle. Kyli resta là, avalant cette impressionnante quantité de foutre, comme si la queue de sa mère avait explosé en elle, et finit par se mettre en tailleur, observant les deux femmes, Pamela et Harley s’étant rejointes, la main de Pamela filant dans le dos d’Harley pour s’appuyer contre sa hanche.
Toute dévouée à l’idée de leur faire plaisir, Kyli se proposa d’intervenir.
« Elle est formidable, tu ne trouves pas ? Le pur produit de la Nature, infatigable et insatiable… »
Pamela souriait, débordant d’amour pour sa chérie, et se pencha alors vers Harley, filant vers le creux de son oreille.
« J’ai une idée à te proposer… » dit-elle à haute voix.
Sur un ton bien plus bas, elle rajouta ensuite, pour que Kyli ne les entende pas :
« Elle s’empale sur l’une de nous, et use de ses tentacules pour prendre l’autre par tous les orifices… »
La proposition faite, Pamela embrassa Harley sur les lèvres, et rajouta, de nouveau à voix haute, non sans un sourire espiègle à destination de sa fille :
« Je te laisse décider de la configuration, mon clown d’amour… »
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Harley ne regrettait en rien cette soirée en compagnie d'Ivy et de sa petite Kyli. Cela allait de surprise en surprise, ainsi, elle eut la joie et la surprise de se revoir avec une petite chose entre les jambes mais en plus, elle avait le droit au petit cul de Kyli. Y a pas à dire, c'est bien d'être une invitée ! Avant de foncer dans le tas, Harley préparait le terrain en léchant son petit trou, venant vendre cela le plus agréable possible avant de se préparer à la sodomiser d'un coup ! Elle aurait pu y aller plus doucement mais y aller d'un coup, ça faisait partie des joies de la sodomie, quitte ensuite à être plus lente, en commençant comme ça, ça boostait de suite les choses ! Harley le comprenait bien, dans ce petit cul étroit, son arrivée trop sec avait désorienté la belle petite plante. Ivy avait été douce au point de ne jamais essayer cela ?
Plus douce, elle commença donc doucement à bouger en elle alors que Kyky se redressait pour lui demander de se montrer plus douce avant de partager un pétrît baiser avec elle. Harley souriait tendrement en caressant du bout des doigts la bouille affreusement mignonne de la petite plant.
« D'accord ma chérie, mais c'est bien parce que c'est toi. »
Harley continua donc de remuer en elle en se montrant aussi douce que possible entre ses fesses, prenant ses aises alors qu'elle recommençait à manger sa sucette. Cela ne lui était jamais arrivée mais c'était une vue agréable ? Kyli qui se faisait prendre, penchée sur Ivy qu'elle suçait. Sympathique. Tenant parole, elle y allait vraiment doucement, augmentant sa vitesse doucement mais sûrement sans donner la moindre fessée. Il fallait bien faire preuve de douceur avec une pareil petite fleur, anal ou non. Même si l'arlequin se cramponnait bien à ses hanches en lui prenant les fesses, la petite pousse avait fini par jouir une première fois, signe qu'elle adorait cela alors que pourtant, Harley ne se donnait pas à cent pour cent.
« Hahaha, quelle coquinette... hummm cette petite p-plante ! »
Gardant le même rythme, Harley augmenta un peu, sans trop forcer sur la dose, elle venait à faire jouir au bout d'une dizaine de minutes leur petite Kyky qui avait adoré être prise en sandwich ! Et encore, quand Harley avait parlé de ça, elle voyait le sandwich plus traditionnel. Hein ? Non pas celui avec du jambon beurre entre deux tranches de pain mais une Kyli entre les deux amantes. Se vidant joyeusement en elle, palpant sa petite fesse d'amour pendant qu'elle nettoyait la queue de sa mère avant de se retirer pour laisser souffler le temps de savoir ce qu'elles allaient faire ensuite ? Hum, la bonne question !
« Hum l'idée de te donner deux grosses sucettes me tente bien mais voyons ce que ta maman a derrière la tête ma petite chérie ? »
Une idée tout aussi intéressante où elle médita le temps d'un petit baiser avec la belle rouquine avant de se pencher sur sa petite Kyky qu'elle embrassait sur le front avec insistance avant de se redresser.
« Pamy-chérie, j'ai l'honneur de t'annoncer que j'ai vais voir mon fantasme se réaliser ! Mais pour ça, je vais avoir besoin de mon petit bout de choux senteur forêt tropicale ! »
Harley se posait au sol en venant câliner sa petite Kyli avec un grand sourire, gloussante comme une ado en fleur, observant Ivy avec un certain intérêt. Voir Ivy se faire prendre par ses propres plantes avait toujours été un fantasme de vengeance pour Harley sans jamais avoir l'occasion de voir ça se dérouler. Eh bah oui, à moins de trouver un remède pour devenir comme elle momentanément, elle ne pourra pas manipuler de plante et leur dire quoi faire.
« Alors ! Ma chérie ! Je vais avoir besoin de ton aide pour ça. Mais tout d'abord, après avoir visité ton adorable et confortable, quoiqu'un peu étroit et c'est pas forcément un défaut, petit cul, j'ai envie de voir si ma queue se sent bien entre tes lèvres intimes ? Je veux la plonger dans ton nectar sucré ma petite puce, je peux ? »
Harley venait à nouveau embrasser sur la joue sa petite Kyli d'un énorme baiser qui dura au moins dix bonnes secondes. Avec ou sans rouge à lèvres, Kyli va avoir la marque de ses lèvres si elle se met à l'embrasser comme ça bien souvent. Mais place à son vrai but, ce pourquoi, elle va avoir besoin de la mini-Pam' pour réussir cette prouesse.
« Vois-tu, je vais avoir besoin de toi pour que tu prennes ta jolie maman par tous ses jolis petits trous que je connais si bien. Je te laisse mener la danse, je veux juste la voir se faire prendre par ces jolis tentacules qui sont bien là, le portrait cracher de ta mère, on pourra pas dire le contraire. Tu veux bien ? Après ce petit jeu, je veux bien t'accorder un petit jeu avec toi. »
Que ce soit sexuel ou non, qui sait, pour une fois qu'elle avait une connaissance de sa mère sous la main, la petite plante aimerait peut-être apprendre des choses qu'elle ne sait pas de la belle rouquine qui lui servait de maman ? Harley tapota sa cuisse, sa trique bien dressée, elle attendait de l'avoir dans son petit pot de miel pour assister au spectacle.
« Viens Kyky, viens me faire goûter à ton petit goût sucré, plus en profondeur... »
Ça va être drôle !
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Maman et tata Harley se mirent à chuchoter entre elles, planifiant sans doute la suite des événements. Puis l'arlequin s'approcha de moi en annonçant que j'allais pouvoir l'aider à réaliser un de ses fantasmes. Évidemment, j'étais contente, mais tant que je ne savais pas de quoi il retournait, je dissimulais ma joie. C'est alors que ma nouvelle tata m'expliqua son plan : pendant qu'elle glisserait son sexe végétal dans mon intimité, je devrais utiliser mes pouvoirs pour prendre maman par tous les trous. Rien qu'à l'entendre, je ressentais déjà des frissons, mais il y avait néanmoins une chose qui me faisait peur, et je préférais les avertir toutes les deux avant de faire quoi que ce soit.
« Je... je serais contente de faire ça... mais j'ai peur... que le plaisir... me fasse perdre le contrôle de mes pouvoirs. Et si je blessais maman ? »
Mais elles me rassurèrent immédiatement, en particulier maman, qui était sûre et certaine que j'étais assez forte pour me maîtriser. Je n'avais pas le droit de les décevoir après qu'elles m'aient donné tant de plaisir, alors je décidai, à défaut de croire en moi, de croire en elles, et en ce qu'elles m'avaient appris jusqu'à maintenant.
Tata Harley s'allongea sur le sol, avec sa trique fièrement dressée vers le ciel, et maman alla se placer près d'elle, pour qu'elle puisse bien l'observer pendant qu'elle se ferait prendre de toutes parts par mes tentacules. Quant à moi, je pris place au-dessus de l'arlequin, rentrant sa verge dans ma fente ruisselante. Comme j'étais déjà extrêmement mouillée, ce fut bien plus facile qu'avec mon petit cul étroit, et je lâchai un long et puissant gémissement de plaisir quand je la sentis au plus profond de moi.
« Aaaahhhh... oh oui... ce que c'est bon... »
Une fois bien installée, j'utilisai mes pouvoirs pour faire apparaître trois tentacules phalliques pour les trois trous de maman, trois tentacules suceurs pour ses tétons et quatre tentacules pour la soutenir par les poignets et les chevilles et son phallus. Chaque tentacule se mit en place pour lui donner un plaisir absolu, pendant qu'Harley et moi prenions notre pied ensemble. Emportée par mon envie et mon excitation, je me mis tout de suite à remuer mon bassin à une vitesse rapide, sentant la grosse verge juteuse de ma partenaire se frotter contre mes parois intimes, tout en couinant comme une chienne. Je savais que maman n'aimait pas que j'utilise ce genre de comparatif sur moi, mais là, en me faisant prendre tout en la pénétrant par tous les orifices et en suçant ses points les plus sensibles, je ne voyais pas de meilleur mot que celui-là.
Au bout de quelques minutes seulement, j'approchai de l'orgasme. Je ne voulais pas venir trop vite, afin que le plaisir dure le plus longtemps possible, et que mes partenaires puissent en profiter, mais entre le plaisir de la pénétration et les sensations envoyées par mes tentacules, j'étais comme une grosse boule de luxure, et je ne pus tenir indéfiniment.
« OUI, OUI, OUIIIII ! AAAAAHHHH ! »
Ma mouille gicla sur le sexe de tata Harley, et mes tentacules phalliques déversèrent leur semence végétale dans le corps de maman, puis je m'étalai sur la poitrine de l'arlequin, qui continua à me besogner jusqu'à jouir à son tour. Au final, la seule qui n'eut pas le plaisir d'atteindre l'orgasme, ce fut Ivy. Et je m'en voulais d'avoir échoué si près du but.
« Pardon maman. Je m'en veux... d'être si molle. »
Dommage, j'aurais tant voulu avoir le droit à ma récompense ; j'aurais demandé à maman d'injecter à ma nouvelle tata son produit qui lui donne du lait pour que je puisse téter les seins de l'arlequin.
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« Ne t’inquiète pas, ma chérie, tu t’en sortiras très bien. »
Contrôler les tentacules n’était pas aussi simple que ça, et c’était particulièrement vrai pour Kyli, qui subissait le problème inverse de celui qu’avait eu Pamela. Quand l’Empoisonneuse avait découvert ses nouvelles capacités florales, il y a de cela des années, il avait fallu qu’elle les perfectionne. Lorsqu’elle était devenue Poison Ivy pour la première fois, elle était à peine capable de faire remuer des pétales. Chez Kyli, inversement, née Alraune, elle avait d’emblée un contrôle presque absolu sur la Nature verte. Elle devait donc apprendre à restreindre ses pouvoirs. Si Kyli s’entraînait sur les lycéennes que Pamela lui ramenait, il arrivait parfois que Pamela doive lui dire d’arrêter. La raison en tenait principalement à ce que, si les tentacules étaient infatigables, et pouvaient vous prendre pendant des heures, les humains étaient différents. Ils étaient plutôt fragiles. Fort heureusement, Ivy était une femme endurante. Elle savait que Kyli avait un peu peur d’utiliser les tentacules sur elle, et qu’il était beaucoup plus prudent de les utiliser sur elle… Mais sa douce Kyli n’était pas une simple humaine, et, si Pamela aimait bien l’emprisonner dans ses tentacules, il fallait aussi que sa fille apprenne qu’elle avait tout à fait les moyens et les capacités de le faire. Ivy, en réalité, ne se faisait aucun doute. Tôt ou tard, sa fille la surpasserait. C’était dans l’ordre naturel des choses, et Pamela, non seulement l’acceptait, mais aussi le souhaitait
En attendant, elle venait de faire sa proposition à Harley, qui y vit là l’occasion d’accomplir un fantasme, une douce vengeance : inverser les rôles avec Pamela. Vu le nombre de fois où Harley avait été lacérée et pénétrée dans de multiples tentacules, on pouvait comprendre qu’elle veuille inverser les rôles. Cependant, malgré toutes ses qualités, son arlequin n’avait aucun pouvoir floral. Kyli était donc un moyen indirect, pour elle, de doucement se venger, et, ce faisant, elle voulait voir le spectacle.
De la main, Pamela caressa un peu les cheveux de sa fille, puis se déplaça un peu, de manière à ce qu’Harley puisse la voir en tournant la tête.
« Allons-y, alors… »
Et Kyli, dans un long et délicieux soupir, alla s’empaler sur la queue de sa « tante ». Le plaisir fusa en elle, se répercutant dans la zone. Les feuilles frémirent. Pamela aurait presque pu être jalouse de l’intensité de ce contact entre Kyli et la Nature. Oui, avec le temps, et un peu de formation, cette magnifique pétale deviendrait une fleur incroyable.
Les tentacules se rapprochèrent alors, et un frisson parcourut le corps de Poison Ivy, qui voyait Kyli danser sur le corps de sa belle Harley… Puis plusieurs tentacules s’enroulèrent autour de ses avant-bras et de ses chevilles, avant de tirer en se crispant sur son corps.
« Haaaaaaaa… !! »
Elle se retrouva suspendue en l’air, bras et jambes écartées, et d’autres tentacules se rapprochèrent, prenant des formes phalliques et grosses. Les mains d’Ivy se crispèrent, et elle sentit les tentacules s’enfoncer en elle, l’un dans sa bouche, l’autre dans son vagin, et le dernier fila dans son cul.
« Hhhhmmmmmmmmm… !! »
Incapable de résister, Ivy sentit le plaisir exploser en elle, et, rapidement, d’autres tentacules vinrent s’enrouler autour de ses seins, puis des bouches, à l’extrémité des tentacules, se posèrent sur ses tétons. Alors, de multiples petites langues roses jaillirent de l’intérieur du tentacule, et s’enroulèrent sur son téton, le pressant et le comprimant. Ivy se sentit partir, et sa mouille commença à affluer.
Le corps de Pamela se retrouva remué de droite à gauche, filant dans tous les sens, tandis que ses cris étaient étouffés par l’épaisseur des tentacules qui la pénétraient. Ne pouvant guère y résister, elle se laissait bercer, décrispant ses poings en sentant les tentacules remuer, d’avant en arrière, s’enfonçant parfois profondément.
« HHHHHHHHHHHHNNNNNNNNNNNNNNN… !! »
Poison Ivy hurlait et mordait ce tentacule, jusqu’à sentir les tentacules se vider en elle.
Ils se retirèrent alors, mais Pamela resta toujours là, suspendue en l’air, avec les tentacules phalliques à côté, qui luisaient, leur sperme végétal tombant sur le corps de Kyli et d’Harley, sa mouille glissant de sa chatte pour filer sur le sol. La femme reprenait doucement ses forces, tandis que, pendant ce temps, les tentacules réagissaient au désir inconscient de Kyli… Comme une preuve supplémentaire du fort lien qui unissait sa fille aux plantes.
C’est ainsi qu’un tentacule en forme de seringue se rapprocha d’Harley, et alla se planter dans son cou, gonflant et durcissant ses seins, en les gorgeant de… Lait.
« Haaaa… Haaaa… »
De son côté, Pamela reprenait son soufflé, et finit par tourner la tête, de manière à voir sa fille.
« Tu… Tu n’auras jamais à t’excuser de quoi que ce soit… Devant moi, Kyli… Si tu jouis si vite, c’est que… Que tu aimes beaucoup Tata Harley… »
Et ça, personne n’irait s’en plaindre.
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La petite Kyli, fruit de sa vengeance ! Combien de fois Harley avait réver retourner la carte contre elle, de la voir prisonnière des tentacules en subissant leur courroux ? Mais peu importe, même si Pamy voudrait bien jouer le rôle, les tentacules seraient comme une extension d'elle et donc, elles auraient des limites à ne pas franchir. Il en était de même avec Kyli mais ses limites ne sont pas les mêmes qu'avec Ivy. Même si le petit bourgeon doutait de ses capacités, ignorant si elle était capable de ne pas allez trop loin, sa maman savait bien lui répondre pour la rassurer mais sa tata aussi qui ne se lassait pas de la câliner.
« Ne t'en fais pas, on ne fait que jouer ensemble alors tu sauras ne pas lui faire mal. Au pire, si tu lui fait un peu mal... tu sais que ta maman aime ça ? Je te raconterais plus tard comment je l'ai fessée un jour, elle a tellement aimé ça que c'est moi qui ai dû abandonner car j'avais mal à la main ! »
Vérité coquine ou petit mensonge, on ne savait jamais avec Harley et son tempérament joueur mais voilà, elle continua de la chouchouter, une fois prête, elle s’installa au sol, laissant Kyli en faire de même sur sa branche et une fois empalé, ouh, quel plaisir ! Une jeune petite chatte végétale fournie avec sa petite sève délicieuse ! Le show commençait tout juste et voici Pamela prisonnière des liens de sa fille. La voir prisonnière était déjà une belle récompense mais voir les liens venir lui choper les zones érogènes, hum, Harley risque de beaucoup aimé cela.
« Hooou très bien ma petite chérie... Continue comme ça... »
Harley remuait doucement sa nièce sur elle, ne perdant par une miette de ce qui se passait sous les yeux, rien que de voir Ivy avec ses orifices comblés, c'était déjà très excitant, autant que Kyli sur elle. Ses yeux étaient fixés sur sa Pamy chérie, observant aussi Kyli qui se plaisait à jouer avec elle, elle et son corps délicieusement bien formé. Elle allait prendre goût à la déformer aussi !
« Huuuum.... Telle mère... telle fille.... Continue ma chérie... fait jouir ta maman comme une cochonne !!! »
C'est ce qu'elle était après tout, ne nous voilons pas la face. Voir Ivy se trémousser et gémir comme ça, c'était inédit, c'était beau, c'était bandant ! Mais la petite Kyky avait encore de faibles limites qui la firent jouir tout comme ses tentacules alors qu'elle venait se reposer sur son corps en s'excusant.
« Ne t'excuse pas auprès d'elle ma petite chérie... Maman et tata Harley sont là pour te rendre plus forte aussi ! »
Parole d'Harley. Bien qu'encore en elle, elle laissait la sauce redescende un peu en câlinant sa petite chérie verte, la rassurant alors que sans s'en rendre compte, Kyky se la jouait infirmière en ayant enfoncé une aiguille depuis l'un des tentacules ? Dans son cou ? C'était quoi le souci ? Pamy détourna quand même son attention avec ses petits mots pour rassurer Kyli.
« Mais oui elle aime sa tata ! Et encore ! Tata n'a pas encore arrosé sa petite plante chérie ! Là, elle pourra être heureuse mais avant ça... Je crois que le gentil bébé à faim ? Alors viens téter tata Harley ! À moins que... tu ne veuille d'une maman Harley ? »
L'arlequin ignorait si elle s'engageait sur une pente savonneuse. Ivy était sa mère, ça, c'était clair et net mais sa ou ses parents alraunes ? Elle les revoit ? Ils sont dans le coin ? Ou bien Ivy se la joue maman célibataire pour élever seule sa grande fille ? Elle n'en savait trop rien mais elle prouva de nouveau sa force. Sans être aussi musclée qu'une Miss Baine, elle arracha sa tunique au niveau de la poitrine, la laissant choisir quel côté Kyli allait sucer ? Côté sein noir ou rouge ? Aucune couleur sur sa peau, juste sur sa tenue. Harley voyait déjà ses seins plus gros mais aussi juteux vu la petite perle de lait qui se formait dessus. Elle posa ses mains sur la tête de Kyli, la laissant boire alors qu'elle se détendait, soupirant de plaisir alors que commençait un doux rodéo, remuant ses hanches contre elle, reprenant la partie là ou elle avait fini.
« Huuuum oui ma petite chérie... Bois tout, ouiiii... »
Sur son petit nuage rose, elle narguait Pamela en passant sa langue sur ses lèvres, de façon très sensuelle. Une invitation ? Oui et non, elle devait bien jouer un peu avec la belle rouquine pendant qu'elle s'occupait de ce beau bébé. Sa main de libre venait palper la petite fesse de Kyli, la pressant tendrement, appuyant dessus pour mieux la faire sentir en elle aussi. Faut dire que c'était bien bon de sentir sa queue s'enfoncer bien loin en elle. Oh oui, délicieux. Bien elle va avoir le droit à une double dose de lait, entre ses jambes et dans sa bouche. Qui c'est la petite plante qui va être bien gâtée, hein ?
« Haaaan ouiiii ma chérie. Avale touuut... Han ! T'imagine pas... ce que c'est bon ! Te voir me bouffer les seins... et te prendre ta petite chatte verte ! Hum, j'adore ça ! »
Harley n'avait aucune honte à se montrer vulgaire, elle ne faisait que laisser parler son instinct. Et dieu sait que c'était bon ! Elle retira sa main de ses cheveux pour poser cette dernière sur sa fesse, la seconde, pour entamer la seconde partie, la course à l'orgasme. Elle n'allait rien lui dire, la laissant continuer mais ses coups de reins vont être plus furieux et elle comptait bien la maintenir en place en la tenant par les fesses pour mieux la faire jouir ! Prête ? Go !!! Harley entamait la danse en remuant le bas de son corps, faisant gigoter sa petite Kyli contre elle en abordant un long sourire !
« Je vais te remplir ta ruche ma chérie !!!! Huuuuum elle va déborder !!!! Haaan, de mon nectaaaar ! Fait moi plaisir petite chérie, haa ! Je veux t'entendre gémir ! Montre le bien fort à ta maman !!!! »
Harley venait même à s'en mordre les lèvres pour mieux la prendre et la faire jouir.
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Maman et tata Harley m'assurèrent que je n'avais aucune raison de m'excuser ou de m'en vouloir. Selon maman, si j'avais joui si vite, c'était parce que j'aimais beaucoup ma nouvelle tante. Et cette même tante me rappela que cette soirée avait aussi pour but de me rendre plus forte. Je pensai que maman avait raison : j'aimais déjà beaucoup son amie, ne serait-ce que d'un amour purement physique. Elle était très belle, sa tenue la rendait très désirable, et ses performances étaient très satisfaisantes. Soudain, je réalisai que mes tentacules avaient agi contre ma volonté, obéissant sans doute à mes désirs inconscients, et avait injecté dans le corps de l'arlequin la substance qui provoquait la lactation des seins. Du coup, quand elle arracha le haut de sa tenue et me proposa de venir la téter, je sautai sur l'occasion sans dire un mot et laissai ses mains accompagner ma tête jusqu'à sa poitrine. Je collai ma bouche sur le téton du côté rouge de sa combinaison, et je me mis à aspirer le doux liquide en gémissant. En même temps, je sentais les hanches de ma partenaire se remettre doucement à bouger.
J'occupai une position parfaite : allongée sur le corps d'Harley, les yeux fermés, je suçai allègrement son téton pour déguster son bon lait, tandis que sa trique allait et venait tout doucement dans mon intimité ruisselante de mouille, et que sa main de libre appuyait sur une de mes fesses. Je savourais la chaleur de sa peau contre la mienne, sa main qui me tripotait le derrière, le lait qui fusait dans ma gorge... Le seul moyen de rendre ça meilleur aurait été que ce soit maman qui me fasse toutes ces choses, c'est dire à quel point j'étais bien. Et l'arlequin aussi se sentait bien, comme le prouvait son langage peu fleuri et son autre main qui alla se poser sur ma deuxième fesse. Mais tout d'un coup, mon cocon de tendresse se changea en cocon de sexe énergique, les coups de hanches de ma partenaire se faisaient plus sauvages, à tel point que mon corps se secouait contre le sien, et ses mots étaient si pervers qu'ils me firent mouiller encore plus. Après avoir fini de téter le premier sein, je ne pensais même pas à m'attaquer au deuxième, il fallait que je laisse ma voix sortir.
« Aaahhh... tata... c'est si bon... merveilleux... oohh... prends moi... encore... encore... »
J'adorais sentir le membre d'Harley taper contre le fond de mon utérus, ses mains se serrer contre mon cul, ses paroles perverses. Jamais maman ne m'avait prise aussi intensément, sans doute parce qu'elle savait que mon corps était encore assez frêle et peu résistant. Mais grâce à son amie, je découvris que j'étais bien plus résistante que ce que j'avais cru jusqu'à maintenant. Et le plaisir qui montait en moi me déliait peu à peu la langue.
« Oh oui... tata Harley... remplis moi entièrement... haann... avec ton nectar... fais moi déborder la ruche... ooohhh... »
Ce petit jeu provocateur dura encore pendant une ou deux minutes, puis le plaisir en moi monta à son paroxysme et j'arrosai encore une fois le membre de ma tata avec ma mouille, juste avant que cette dernière ne relâche son jus dans mon intimité. Il y en avait tellement que, comme elle l'avait dit, mon sexe se mit à déborder et des filets de semence coulèrent le long de sa trique. Elle avait enfin pu jouir, et j'étais contente pour elle, mais je n'en avais pas encore fini. Il me restait un sein à vider.
« Hhmm... Tata Harley... continue de me peloter les fesses... c'est très agréable... »
En gardant mon corps collé contre le sien et son sexe enfoui au plus profond de mon utérus, je collai ma bouche sur son second sein pour le vider complètement de son lait. Contrairement à celui de maman, il n'était pas aphrodisiaque, mais ça m'était égal parce que je voyais difficilement comment être plus excitée que je ne l'étais déjà. J'avais enchaîné quatre orgasmes et une tétée sans interruption, ce qui était un record pour moi. Mais combien de temps allais-je encore pouvoir tenir avant de m'écrouler ? Déjà, je sentais mon corps s'alourdir et mes muscles se détendre.
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Avec Harley, il fallait prévoir une importante garde-robe. En effet, quand ce n’était pas Ivy qui lui déchirait ses vêtements, c’était elle-même qui s’en chargeait, avec une efficacité redoutable. Ainsi, après avoir déchiré sa combinaison à hauteur de son bassin, elle en fit de même à hauteur de sa poitrine. Heureusement, Ivy avait beaucoup de tenues de rechange ! De fait, il était fréquent que, lorsqu’elles fassent l’amour, Harley doive changer de tenue par la suite. Pour l’heure, Pamela, sur la touche, était cantonnée au simple rôle de spectatrice, mais ce n’était pas spécialement pour la déranger. En effet, elle était aux premières loges pour assister au spectacle grandiose et magnifique de sa fille, en train de téter le sein d’Harley. La poitrine de l’arlequin, sous l’effet du lait stagnant dans ses seins, avait grossi et enflé, et Kyli alla donc les téter.
Le bon lait déferla dans sa bouche, puis, assez rapidement, Harley finit par la pénétrer plus fort, enfonçant sa queue dans sa chatte, continuant à la pénétrer, une main sur chacune des petites fesses de la femme. Son beau clown était une femme parfaite, terriblement douée. Elle continuait à la prendre, avec force et passion, leurs corps se frottant les uns contre les autres.
« Vous êtes très belles, mes chéries… »
Ses mains allèrent caresser leurs têtes, à hauteur de leurs cheveux, glissant ses doigts dedans, et les remuant. Elle se pencha vers Harley, et l’embrassa sensuellement, pendant que cette dernière se faisait traire, vidant son lait dans la gorge de Kyli. « Tata » Harley aimait visiblement beaucoup sa « nièce », et Pamela était franchement heureuse de voir que le courant passait si bien entre les deux. Il était important que Kyli se rapproche d’autres gens, et Poison Ivy avait encore bien du monde à lui montrer. Après Harley, elle pensait en effet lui présenter Félicia Hardy, se disant que la Chatte Noire ne pourrait que plaire à sa belle Kyli. Sa fille était une pure perfection, une merveille sur laquelle Ivy aurait pu gloser pendant des heures.
Pamela caressa le dos de Kyli, grattant sa belle peau, et donna une petite gifle sur ses fesses, tout en l’embrassant à son tour sur les lèvres. Elle fourra sa langue dans sa bouche, et sentit également le lait d’Harley, sa main posée sur le menton de Kyli.
« Tu es magnifique, ma fille… Je t’aime tant… Et toi aussi, Harley… »
Pamela embrassa la femme dans le creux du cou, et en profita pour la gifler, à son tour, sur ses fesses.
« Vas-y, ma Kyli… Jouis contre Harley… »
Pamela connaissait sa fille, et sentait qu’elle commençait à être épuisée. Il y avait beaucoup de chances pour que cet orgasme soit le dernier qu’elle fasse avant de devoir se reposer. On ne pouvait que la comprendre, car elle était tombée sur deux femmes disposant d’une expérience sexuelle terrifiante, ainsi que d’une endurance redoutable. Pour épuiser Harley et Ivy quand elles étaient ensemble, il fallait y croire !
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Quelle chance elle a de pouvoir profiter pleinement de cette petite merveille végétale ! Oh pour sûr elle préférait l'original, la belle Pamy mais c'est surtout une question d’habitude et d'affinité. Elle avait fait les quatre cents coups avec elle à Gotham alors qu'avec Kyli, elle avait... jouer les tatas ? Oh mon dieu, elle se ramollissait ! Elle sentait bien que l'air du Japon et les dingo de Gotham en moins, elle était moins... moins... Harley, tout simplement ! Ses rares sorties se sont soldé par des échecs avec heureusement, une fuite à la clé. Elle n'aimerait pas retourner en prison mais elle n'aimerait pas non plus pousser Pamy dedans. Elle avait tenté de retrouver l'ancienne Poison Ivy mais c'était difficile. Il n'y avait qu'à son arrivée qu'elle s'était lâché avec le fast food, les combats de chiens qu'Harley à vite régler puis les yakuza aussi mais bon, moins d'action qu'une petite soirée à Gotham ça.
Mais loin du crime, il y avait quand même du bon, gardant Kyjy contre elle en malaxant ses fesses pour mieux la faire bouger contre sa trique et en plus, elle était une Harley vache ! Ce qui marche, même si elle n'a pas le même genre de pie, les vaches sont bi-colore, comme elle !!! Mais Harley en noir et blanc ce serait moins fun... Mais une vache en rouge et noir, ça c'est Jeanne Masse ! Euh plutôt ? Oui, fun et bizarre. Allez savoir pourquoi, même si ce n'était pas obligatoire, elle aimait se montrer vulgaire que la situation devenait plus forte en émotion, autant quand c'est bonbon à l'eau de rose, mouais vas pour les chéries et amour par-ci par-là mais là... se fait téter et butiner son petit minou, ça c'est sexe quand même ! Alors voir sa petite Kyli jouer le jeu, c'était bandant ! Et ça tombait bien, ça remplissait sa petite ruche !!!
« Compte sur moi ma petite pousse verte... Hum mon engrais va te faire... bien grandir ! »
Si on l'arrose bien aussi mais elle verra ensuite. Elle ne savait pas si Pamy avait été à user de son urine avec elle pour la faire grandir ? C'est vrai quoi, c'est assez acide donc ce n'est pas terrible pour une plante... au pire Kyli se fera une joie de jouer avec le minou de sa tata pour bien se faire arroser et devenir une belle rose comme sa maman. Très belle et bourrée d'épines qui font bobo aux doigts quand on ne sait pas s'y prendre avec elle. Sentant l'orgasme approcher, elle venait presser avec ses deux mains ses petites pastèques alors qu'elle continuait de la vider de son lait... pas grave, elle la remplissait de lait d'un autre côté, un lait plus cré-meuh !
« Huuum mais j'y compte bien ma petite Kyky. Tes petits fruits sont bien fermes... Rhhha t'étonne pas si je te croque le cul quand ce sera possible toi ! »
Paf, une petite claque pour faire circuler le sang, ça fait pas de mal ! Elle l'a laissé continuer avec son second sein pendant que Pamy profitait à fond du petit show en caressant leurs cheveux, venant même lui baiser le cou. La chance hein ! Même si Halrey venait de jouir, sentir son petit cul crémeux remuer et la sentir joué avec son deuxième biberon, ça remet en forme !
« Bonne idée ma petite fleur ! Arroses-moi de ta petite sève collante, hahaha ! »
Cette Kyky était au top ! Il faudrait qu'elle pense à en commander une avec Ivy, mais une version mini-Harley mais pas trop mini comme dans Austin Powers hein, plutôt mini comme Kyli mais sans être en plante si possible. Pas possible ? Bon dommage. Harley la maintenait toujours en prenant ses petites fesses entre ses mains pour les remuer sur sa queue pour avoir droit à la sève de Kyky sur elle, ce n'était pas rien.
« HUUUM !!! Oh ma poussinette ! Hum, ouii ! Oh, je me demande, haaan... ce qu'on va faire de toi... hum, après ça ? »
Une idée Pamy ? Le sandwich avait été fait alors quoi ? Bifler Kyli pour la corriger ? Lui donner deux grosses sucettes à manger ? Oh, deux dans le même trou ?! Peut-être un peu trop pour la jeune pousse étroite... Une grosse séance de câlin pour laisser Kyli souffler un peu ? Bah, c'était à la petite de voir, c'était aussi elle qui s’entraînait aujourd'hui, pas Harley. Harley, elle donnait un coup de main et elle profitait, pour sûr !
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Personnellement, je préférais voir le relâchement de mon corps comme un signe de bien-être, pas comme un signe de fatigue, parce que si j'étais fatiguée, maman finirait par s'en rendre compte, et elle me forcerait à aller me coucher. Mais moi je ne voulais pas dormir, je voulais continuer à faire l'amour avec elle et tata Harley jusqu'au bout de la nuit. Continuer à sucer leurs queues, à me faire prendre dans tous les sens, à téter le bon lait qui sortait de leurs poitrines, à me faire punir parce que j'étais une vilaine et perverse fille... Toutes ces choses si agréables.
Après avoir complètement vidé le second sein de l'arlequin, je me redressai pour mettre en position assise sur son bassin, son sexe toujours planté en moi et, même si j'étais chaude pour repartir à nouveau en rodéo, il me fallait un petit moment pour rependre mes forces. Et d'ailleurs, j'avais une petite idée sur comment m'amuser avec maman, que j'avais un peu mise de côté pour me faire culbuter par son amie.
« Hhmm... Le lait de tata Harley était délicieux... mais il existe un lait encore meilleur. Le lait d'une jeune maman. »
Je fis mon petit regard mignon à maman tout en lui demandant de remplir ses seins à elle. Pour moi, boire son bon lait maternel était une étape indispensable dans une soirée de sexe réussie. Finalement, elle se laissa attendrir par ma petite frimousse et s'injecta le produit nécessaire à déclencher la lactation de ses seins. Je me retirai du corps d'Harley, toute contente d'avoir droit à ma friandise préférée, mais pourquoi aurais-je été la seule à en profiter ?
« Tata Harley, tu veux partager avec moi ? Un sein chacun ? Tu verras, c'est délicieux. »
Peut-être avait-elle déjà eu l'occasion d'en boire... En tout cas, moi, je vins me coller contre le corps d'Ivy, mes lèvres sur son téton droit, suçant et mordillant ce petit bout de chair rose pour en faire gicler le liquide blanc et sucré, qui coulait le long de ma gorge. Ce qu'il y avait de bien avec son lait à elle, comparé au lait d'une autre femme, c'était ses propriétés aphrodisiaques. Je savais que, une fois le sein vidé, je me transformerai en braise brûlante, et que mon envie de sexe serait décuplée. Et si tata voulait en profiter elle aussi, la soirée n'en serait que meilleure.
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Pamela était profondément amoureuse de Kyli. L’amour d’une mère envers sa fille, un amour qui promettait d’être très protecteur. C’était bien simple, Pamela savait que sa fille devait être indépendante et autonome, mais, pour autant, elle adorait la former, l’éduquer, l’idée que sa fille soit dépendante d’elle, timide et craintive à l’égard du monde, et préfère passer son temps avec elle que de sortir dehors. Le fait que l’atmosphère terrienne soit très polluée (même au Japon, l’air n’était pas aussi sain que dans les forêts millénaires de Terra) faisait que Kyli avait également naturellement tendance à redouter le monde extérieur. Malgré son âge et ses besoins, elle avait encore une mentalité enfantine, en ce qu’elle se sentait vite abandonnée quand sa mère n’était plus là. Et, de plus, Ivy était plus du genre à être une mère surprotectrice qu’autre chose. Mais, pour l’heure, ça ne dérangeait personne, et puis, elle laissait bien Harley jouer avec elle. C’était un signe de confiance, ça !
Harley venait donc de s’abandonner dans le corps de la petite Kyli, et Pamela, qui avait été cantonnée au rôle de simple spectatrice, vérifiait surtout si Kyli s’en sortait bien. Et elle tenait largement la distance. Elle avait beau être petite, et manquant encore d’expérience, elle tenait la barre bien haute. Elle respirait lourdement, mais n’était toujours pas rassasiée, et, surtout, soucieuse de se rapprocher de sa petite mère adorée.
« Oui, Kyli, viens… Mes seins se languissent de ta bouche d’amour… »
Ils se languissaient, c’était bien le cas de le dire, et elle serra donc Kyli contre elle, frémissant quand sa bouche alla se poser contre son téton, appuyant sur son sein, et tirant doucement dessus. La main de Pamela se crispa contre les cheveux de la femme, et elle se mit à soupirer, tout en se mordillant doucement les lèvres, maintenant le corps doux de Kyli contre le sien. Leurs tendres peaux se frottaient et se caressaient ensemble, et sa main alla rapidement s’appuyer sur les fesses de Kyli, pour pouvoir mieux la soutenir, son autre main caressant son visage, ses doigts glissant dans ses mèches de cheveux pour les caresser, tirer un peu dessus, et, ainsi, pour mieux voir le visage de sa fille, un visage qui était en pleine concentration, avec la langue qui glissait sur son sein, et les dents qui mordillaient le téton.
Très rapidement, au milieu des soupirs d’Ivy, du lait se mit à fuser, remplissant la bouche de Kyli, la main de Pamela se crispant doucement contre ses cheveux, des soupirs s’échappant de ses lèvres. Elle déplaça ensuite sa main, et fit signe à Harley d’approcher.
« Allez… ‘‘Tata Harley’’, il est temps de goûter, toi aussi, hmmm… Au bon lait maternel… Haaaa… »
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Dieu que cette petite pousse était endurante ! Quand Pamy lui a parler d'elle hier, non seulement elle s'attendait à une plus petite fille mais en la voyant pour la première fois, elle s'attendait à une novice. Une petite plante qui avait des notions de sexe mais qui agitait bien vite le drapeau blanc. Or, là, Harley voyait de qui la petite tenait son endurance, pas de doute là-dessus. Se retirant doucement d'elle, la petite Kyli se languissait de sa mère, voulant reprendre son lait maternel.
« Attention à toi petit bulbe d'amour, il y a des choses à ne pas dire si ouvertement, je pourrais mal le prendre. »
Harley disait cela pour plaisanter, elle n'en savait rien après tout si son lait était bon ? Que ce soit le sien ou cela de Pamy, elle en avait aucune idée ? Elles avaient fait bien des choses ensemble ses deux-là mais joué avec du lait ? Non, elle n'en avait pas vraiment le souvenir ? Enfin bon, après Harley n'était pas un bon exemple pour qualifier de bonne mémoire. Elle laissa la petite s'installer tranquillement sur les cuisses d'Ivy pour commencer à la téter, paisiblement installer dans ses bras. Oh que c'était mignon ! Harley en aurait presque des remords de devoir interrompre cela tient. Généreuse, la petite Kyky venait proposer le second sein pour jouer, idem avec Ivy qui l'invitait à elle. Elle se rapprocha d'elles en souriant comme elle savait si bien le faire en venant faire un très grand sourire plein d'innocence dans le regard vers Ivy.
« Oh et moi aussi je dois t’appeler Maman ma jolie Pamy chérie beauty fleuri... j'ai plus de rimes en I... »
C'était déjà suffisant comme surnom à la suite. En plus, ça colle aussi à Kyli ! Telle mère, telle fille ! Venant prendre place, sa bouche venait aussi se coller autour de ce petit bout de chair qu'elle a pourtant bien tété et même croquer sans avoir la moindre goutte-de-lait. Et pouf, une Kyky sauvage apparaît et Pamy produit du lait ! C'est bien un truc de mère nature, elle ne comprenait rien à cela elle ! M'enfin, elle profitait au moins de ce lait qui avait bon goût, c'est vrai. Était-il aphrodisiaque pour autant ? Elle n'en savait fichtrement rien ! Mais cela n'allait pas gâcher son petit plaisir qui était aussi sa petite pause.
« Hum ! Tu m'avais bien caché ton petit jeu ma Pamy chérie ! Mais puisque notre petit Kyli d'amour aime tant que ça le lait, je propose que la prochaine fois, nous lui donnions le sein en même temps. Sa petite bouche pourrait bien avoir nos deux tétines en même temps ? Puis nos deux laits mélanger... si ça se trouve, c'est encore mieux ? »
Harley avait une petite caresse pour Kyli, sa main caressant ses beaux cheveux vert foncé alors qu'elle revenait téter sa nouvelle maman. Elle ne délaissait pas sa petite nièce pour autant, elle gardait une main sur elle... sur ses fesses... venant doigter son joli petit trou arrière. Ben quoi ? Faut bien lui faire plaisir aussi à sa façon, pas que grâce à Ivy, un peu à elle aussi. Qu'elle prenne un peu son pied en se nourrissant aussi quoi.
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Alors que je tétai le sein de ma douce maman, confortablement blottie entre ses bras, tata Harley vint s'installer à côté de moi pour goûter à ce bon lait maternel. Après quelques gorgées, elle proposa une idée qui me paraissait extrêmement tentante : téter le lait de mes deux partenaires en même temps. J'avais très envie d'essayer, mais je ne le dis pas sur le coup car je ne voulais sous aucun prétexte être détachée de ce délicieux petit téton, et de tout le liquide que je pouvais en sortir. Il était si bon, si doux et si sucré... et à chaque goutte avalée, je sentais la chaleur et le désir remonter en moi, ainsi qu'une féroce envie de baiser. En même temps, les mains de maman me tenaient par les cheveux et par les fesses, et tata Harley avait elle aussi une main posée sur mon derrière, dont un doigt ne tarda pas à se glisser dans mon petit trou. Ces caresses et cette petite pénétration me rendaient encore plus excitée, je me mis même à mordre plus fort le téton entre mes dents et à peloter le cul des deux femmes pour compenser. Malgré ça, rien ne me détournait de mon objectif premier : vider complètement le globe de chair qui s'offrait à moi.
Une fois le sein vidé, j'avais le visage rouge et je mouillai comme une fontaine. Je mourrais littéralement d'envie, je sentais que, à tout instant, j'aurais pu sauter au cou des deux belles femmes devant moi pour me faire baiser jusqu'à m'écrouler de fatigue. J'avais d'ailleurs une envie très précise à satisfaire, mais j'allais avoir besoin de l'aide d'Ivy.
« Maman... j'ai envie... de continuer à faire l'amour. Mais je ne veux plus être... celle qui se fait prendre. Je veux vous pénétrer... avec une verge végétale. Maman... tu peux m'injecter le produit s'il te plaît ? »
J'avais très envie de me prêter à de nouvelles expériences, surtout lorsqu'il était question de sexe, et quoi de mieux que de changer de rôle ? Quand maman m'injecta le produit, elle me mit en garde contre quelques effets néfastes que je pourrais ressentir à cause de mon inexpérience, mais la seule chose que je ressentis après avoir été piquée, c'était une chaleur intense dans le bas-ventre.
« Aahh... ça... ça fait bizarre... kyyaahh... »
Dans un gémissement, ma trique verte émergea de mon intimité, aussi droite et dure qu'un arbre. Comparée à la seconde précédente, j'étais encore plus assoiffée de sexe, c'était à peine si je parvenais à me retenir de me toucher.
« Oohh... allez... il faut que je baise... très vite... qui veut y aller... en premier ? Qui veut m'apprendre ? »
Au premier signe, je me jetterais sur la volontaire pour recevoir ses conseils et, une fois dans le bain, je m'occuperai d'elle comme si j'étais un animal.
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Le doux lait maternel était toujours bon pour une jeune fille, mais c’était aussi bon, pour Pamela, de sentir ses seins se faire traire. Quand le lait venait ainsi remplir les poches mammaires, c’était douloureux. Il gonflait en vous, remplissant vos seins, et s’imposait à vous. La sensation était loin d’être des plus agréables, et, partant de là, Ivy soupira donc de plaisir, caressant les deux belles têtes se serrant contre son corps, palpant ses seins, avalant goulûment tout le lait qui s’y trouvait. Ainsi, malgré la proposition de « Tata » Harley, Kyli se contenta de boire le lait de sa mère, encore et encore, tout en sentant l’un des doigts d’Harley se glisser dans son fondement, la faisant doucement couiner. Oh ! Voir le corps heureux de sa fille, voir son visage irradier de bonheur, voilà qui était terriblement excitant ! Pamela en souriait généreusement, et embrassait régulièrement Harley, enfonçant sa langue dans sa bouche. Son amie avait magnifiquement su incarner le rôle d’une « mère de substitution » auprès de Kyli, et, ensemble, les trois filles formaient presque une famille... Une famille atypique, mais assurément unie par les liens de l’amour. Indéniablement, la présence de Kyli allait changer la relation entre Pamela et Harley, la faire évoluer positivement...
« Haaa... Hhmmm, mes chéries, haaaa... »
Kyli but tout le lait, et se redressa alors. Ivy la sentait fébrile, toute excitée, et ne put que lui sourire en entendant sa demande.
« Oh... Nous baiser, hum... ? Ma foi... Pourquoi pas... »
Kyli grandissait sa vite, et le lait de sa mère l’avait visiblement rendue très assoiffée. Un tentacule-seringue se rapprocha alors, et s’enfonça dans le coud e la femme, répandant une substance chimique qui, au bout de quelques secondes, eut des effets à hauteur du bassin de la femme. La petite Kyli se dandina un peu sur place, puis, dans un cri, une magnifique verge apparut. Un phallus avec des testicules, le tout de couleur verte, sans poils, une queue qui se dressait vers le ciel. En la regardant, Ivy ne put que sourire.
Il fallait donc choisir laquelle se ferait prendre... Et, pour lui répondre, Pamela fléchit les genoux, et se mit à quatre pattes devant elle, venant bomber son petit cul en filant vers l’arrière, amenant ainsi son postérieur à caresser le sexe de sa fille.
« Vas-y, Kyli... Viens pénétrer ta Maman, baise-là bien fort... »
En ce moment précis, Pamela avait follement envie de sentir sa fille se répandre en elle, la labourer joyeusement.
Oh oui, rien qu’à cette idée, la femme en tremblait furieusement, et se mordillait férocement les lèvres. Sa fille allait venir la pénétrer, s’unir à elle... Et, soudain, la queue de Kyli tapa contre son corps, et un cri de plaisir traversa les lèvres de Pamela, qui crispa ses mains sur le sol, laissant par ailleurs le soin à Harley de choisir de qui elle allait s’occuper pendant ce câlin sexuel très incestueux...
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Après ce petit moment très doux en compagnie d'une Kyli assoiffée et d'une Pamy très laitière, voilà que la petite pousse voulait devenir une grande fille et jouer dans la cour des grands en venant baiser sa mère. Elle grandissait à une vitesse folle cette petite ! À son arrivée, elle était encore toute timide et hésitante et la voilà qu'elle voulait déjà rentrer dans la cour des grands. Halala, les enfants. Pamy lui accorda son nouveau jouet qui poussa dans un délicieux petit couinement de sa part avant que la petite Kyky ne pouvait pas se retenir et voulait déjà baiser une des deux. Pamy se porta volontaire et puis même, Harley voulait voir à quoi ressemblait une Kyli baisant sa maman adorée. Elle n'oserait pas voler cet instant.
« Amuse-toi bien ma Kyky d'amour, moi, je vais regarder... pour commencer. »
Après, elle viendra sûrement jouer avec l'une ou l'autre mais pour le moment, elle resta assise en observant la belle rouquine se mettre à quatre pattes avant d'attendre que sa fille ne vienne lui fourrer son petit trou arrière. Elle la savait coquine de ce côté-là mais là ! C'était une grande coquine pour faire ça avec sa propre mère. Non pas que ça déplaise à Harley, elle s'en amusait même. Elle resta assise en souriant, assistant avec un certain plaisir à cette scène hors du commun. Elle se masturbait même doucement un certain moment avant de venir à elle, d'abord dans le dos de Kyli où sa trique venait doucement tapoter à sa porte arrière pendant que que ses seins s'écrasaient dans son dos. Toujours dans sa tenue à moitié déchirée, elle enroula ses bras autour de son ventre en posant sa tête sur son épaule pour parler d'une voix calme et envoûtante.
« Tu te débrouilles très bien ma petite chérie. Oh oui, à voir Pamy chérie couiner comme ça, c'est qu'elle est très heureuse ! Mais tu sais, ta jolie Tata aussi est très heureuse. Tu le sens comme je suis très très heureuse ? Enfin, tata va pas t'embêter longtemps, elle veut juste savoir où elle doit ranger sa grosse queue ? Est-ce que je l'offre pour ton joli petit cucul ? Ou bien je m'en sers pour offrir une grosse sucette à ta maman chérie ? »
L'arlequin venait baiser la joue de sa petite plante d'amour en léchant son lobe d'oreille avant d'ajouter autre chose qui pourrait peser un certain poids dans a balance mentale.
« Je suis sûre que tu as déjà sentie comment ta maman savait déguster ses sucettes mais est-ce que tu l'as déjà vu s'occuper de ma sucette à moi ? Ta jolie maman est une grosse gourmande et je suis sûre et certaines que tu aimerais voir ça de tes propres yeux ? Alors ma petite poupée à la menthe, qu'est-ce que je dois faire de ma sucette ? Je la range dans ton petit cucul d'amour ? Ou alors je l'offre à ta maman pour que tu voies comment elle aime bien ses sucreries ? »
Dur choix pour la petite pousse peut-être ? Surtout qu'Harley la faisait frotter contre ses deux belles bosses arrière le tout en lui baisant le cou. Elle aimait faire hésiter les autres !
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Sans surprise, ce fut maman qui se proposa pour être la première. J'avais déjà expérimenté des tas de nouvelles choses avec elle, comme l'usage de mes tentacules ou créer des plantes à fonction sexuelle, mais c'était la première fois que j'allais utiliser une verge végétale. Pendant ce temps, à côté, tata Harley restait assise en observant. J'étais si assoiffée de sexe que, à la minute où maman se mit à quatre pattes et m'invita à venir la prendre, je me ruai sur elle pour mettre mon nouveau jouet dans son petit trou, l'enfonçant en elle d'un coup sec. Pourquoi par là ? Parce que j'avais fait tellement de choses à sa fente intime, mais si peu à sa rondelle, que j'avais décidé de commencer par là.
« Aahh... c'est... incroyable... »
La sensation d'être en elle était si puissante que je crus bien jouir sur le coup, mais mon corps résista et je pus entamer les vas-et-viens dans son anus. Chaque coup de rein que je donnais me faisait vibrer jusqu'au plus profond de moi-même et faisait couiner Ivy. Soudain, alors que j'étais perdue dans mon extase, je sentis l'arlequin venir derrière moi, écrasant ses seins dans mon dos et tapant sa trique contre mes fesses. Elle enroula ses bras autour de mon ventre et posa sa tête sur mon épaule. Sa voix était calme et séduisante quand elle parlait de vouloir mettre sa queue dans mon cul ou dans la bouche de maman. J'étais déjà bien excitée, mais ses mots, son baiser sur ma joue et sa léchouille sur mon oreille continuèrent de jeter de l'huile sur le feu qui brûlait en moi.
« Je suis sûre que tu as déjà sentie comment ta maman savait déguster ses sucettes mais est-ce que tu l'as déjà vu s'occuper de ma sucette à moi ? Ta jolie maman est une grosse gourmande et je suis sûre et certaines que tu aimerais voir ça de tes propres yeux ? Alors ma petite poupée à la menthe, qu'est-ce que je dois faire de ma sucette ? Je la range dans ton petit cucul d'amour ? Ou alors je l'offre à ta maman pour que tu voies comment elle aime bien ses sucreries ? »
En cet instant, je ne voulais plus être celle qui se faisait prendre, alors mon choix fut facile.
« Aahh...dans sa bouche... mets là... kyyaahh... dans sa bouche... »
Sur ces mots, Harley se détacha de moi et alla vers maman pour, comme je lui avais demandé, lui faire sucer sa queue. Et le moins que je puisse dire, c'est que le spectacle ne manquait pas de charme : ma maman adorée qui avalait goulûment la trique verte de son amie arlequin pendant que je continuais à la prendre par la porte arrière, balançant son corps d'avant en arrière et lui arrachant des gémissements étouffés dans sa gorge. Une scène puissamment érotique qui me faisait bander encore plus fort dans son fondement.
« Aahh... maman... tu es... oohh... si excitante... et magnifique... »
A ce moment précis, maman n'était plus la grande nymphe forte et splendide que je voyais tous les jours, elle se montrait à moi comme une femme ordinaire, qui apprécie les mêmes plaisirs que les humains ordinaires, alors je comptais bien lui donner du plaisir jusqu'à l'en faire hurler. Mais hélas pour moi, mon corps était encore trop sensible pour tenir la distance, et je jouis bien avant maman.
« AAAHHH ! OOOUUUIII !!! »
Mon sexe expulsa une violente giclée de semence dans le cul de maman mais, au lieu de me retirer, je décidai de continuer à bouger en elle. Il n'était pas question pour moi de sortir avant de l'avoir faite jouir. Mais combien de temps allais-je encore tenir avant de m'écrouler de fatigue ?
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Telle mère, telle fille. La perversion d’Ivy avait déteint sur elle, et c’était très bien, car c’était là tout ce que Pamela souhaitait… Corrompre et pervertir doucement sa fille, en faire une magnifique petite perverse. Pour l’heure, Kyli partait très bien, et Ivy en fut d’autant plus convaincue quand elle sentit très rapidement la verge de sa fille s’enfoncer joyeusement dans son petit cul.
« HAAAAAAAAAAAAAAAA… !! »
Un long cri de plaisir s’échappa des lèvres de Pamela, qui crispa ses mains sur le sol. Yeux clos, elle hurla de joie, tout en sentant quelques larmes de bonheur filer le long de son visage, pendant que Kyli, dans son dos, se mit à remuer furieusement. Sa fille faisait preuve d’une impressionnante vitalité, une vigueur exceptionnelle, qui traduisait tout le désir qu’elle ressentait pour sa mère. Une magnifique relation incestueuse, tandis que Pamela soupirait profondément, s’accommodant, peu à peu, à la présence de ce gros mandrin planté en elle.
Comme elle s’y attendait, Harley ne tarda pas à se déplacer. Elle, se contenter juste d’observer silencieusement ? Impossible ! Une fois, Ivy, Catwoman et Harley avaient voyagé ensemble, et, pour tuer le temps, avaient eu la bonne idée de jouer à action ou vérité. L’une des actions imposées à Harley avait été qu’elle se taise pendant cinq minutes, et, comme pour la narguer, Pamela et Selina en avaient profité pour parler du zoo local, avec quantité d’animaux à voir. Harley avait tenu environ trente secondes, ce qui, en soi, relevait de l’exploit.
Tout naturellement, elle se glissa donc dans le dos de Kyli, se mouvant contre elle, mais la petite Alraune était, cette fois, résolue à ne sentir personne en elle, et demanda à Harley d’aller s’occuper de la bouche de Poison Ivy. L’Empoisonneuse ne put que sourire, en constatant que sa fille pouvait se montrer, comme elle, très autoritaire. Autant dire que tout ça promettait pour son avenir, un avenir qu’Ivy imaginait radieux, comme elle.
« Hmmm… Ooooh, ma Kyli, haaaa… »
Kyli avait très rapidement partagé les goûts sexuels de sa mère, y compris la sodomie. La rapidité avec laquelle Kyli avait appris le sexe, et l’utilisait, était typique d’une Alraune conçue par Lily et Raune, deux Alraunes très perverses, qui adoraient le sexe. Ivy, elle, aimait beaucoup avoir une Kyli incestueuse, car elle était conforme à ce que la femme souhaitait. En tout point, sa fille était parfaite, et, alors que la femme se faisait cette réflexion, elle sentit le sexe d’Harley taper contre ses lèvres, puis ouvrit la bouche, et l’engloba, sentant ensuite Harley taper contre elle.
Prise par les deux, Pamela était plutôt bien entourée, et sentait, avec le plus grand des délices, son corps se faire magnifiquement remplir par ses deux amantes.
« Hhmmmmmmmmmm… Mmmhmmmmmmmmmmmm… !! »
Kyli ne tarda pas à jouir, tandis que Pamela, elle, se mit à mouiller un peu plus fort, en sentant le sperme de sa fille. Et, comme pour la motiver davantage, un tentacule phallique émergea du sol, près du corps de Kyli, et caressa doucement ses jambes, comme une manière de l’inciter à l’enfoncer dans le dernier trou encore libre de Pamela… Après tout, une fille devait prendre soin de sa mère, surtout quand elle mouillait autant.
C’était ça, être une gentille fille.
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C'était amusant de jouer avec elles, elle avait l'habitude de jouer avec Pamy, surtout depuis leur retrouvaille au pays du soleil levant mais mai entant que la mini-Pamy venait jouer avec elles, c'était vachement mieux ! Plus de partenaires, plus de sexe, plus de plantes, minute... ça manquait d'arlequin du coup ? Bon ok, va falloir qu'Harley trouve aussi une mini-Harley à inviter dans son groupe. Va falloir commander une fille comme l'avait fait sa copine ou bien une lycéenne marchant dans ses pas fera l'affaire ? Elle verra cela une prochaine fois car pour le moment, il y avait une chose à faire et Kyli se devait donc de choisir où ranger la queue d'Halrey Quinn ! Entre ses deux petites fesses ou dans la bouche de sa petite maman adorée ? Hum, question difficile... ou pas ! Kyli avait répondu vachement vite mine de rien et donc, Harley allait donc devoir donner sa sucette à sa copine adorée. Ok donc, en avant ! Baisant la joue de sa petite plante verte, elle gloussa en se séparant d'elle.
« C'est toi la chef, Kyki ! »
Elle avança doucement vers Pamy, savourant les mouvements de Pamy à côté d'elle et les gémissements de sa petite Kyli qui prenait vraiment son pied avec sa Ivy. Bah, elle ne jetait pas la pierre, elle trouvait ça mignon. Quand Harley arriva face à la rouquine, sa trique était bien droite, venant faire sentir sa présence en se cognant contre sa joue, sans dire un mot de plus, elle contemplait simplement la belle Poison Ivy.
« Je suis là pour combler ta faim, Pamy chérie. »
En même temps, elle ne restait pas bien longtemps silencieuse. Sans aller trop vite, elle enfonça sa queue bien au chaud dans sa petite bouche humide, soupirant de plaisir en ressentant cela. Comme si sa petite bouche suffisait à calmer le plaisir qui brûlait en elle. Elle laissait ses deux mains sur sa tête, la tenait et passant ses dernières dans ses cheveux en basant ses mouvements sur ceux de Kyli, ainsi, quand Pamy avançait sous le coup de reins de sa fille, elle aussi, quand elle reculait, Harley aussi. Elle avait une double dose de queue bien enfoncée en elle. Puis à voir Kyli face à elle, comme ça, ça la rendait encore plus choupinette. Oui, choupinette, en baisant sa mère.... Bah quoi, ça restait mignon, ce n'est pas comme si Kyli était toute jeune, c'était une jeune femme même si en année sur le calendrier bah... si elle se souvient bien ce que Pamela lui a dit, elle a quelques mois, au mieux.
« Huuuuum, hou la grosse gourmande que voilà... Hmmm tu la n'aime ma grosse sève, heeiiiiiiin ? »
Chacune d'elles avaient une sève à distribuer, Harley comme Pamy comme Kyli et pour le moment, c'était Ivy qui restait sur la touche, elle allait recevoir double dose de crème ! Parlant de ça, la petite Kyli allait déjà rendre les armes ? Bah, elle est jeune et débutante, Harley aussi n'était pas fortiche au début quand elle avait eu sa queue mais maintenant, elle gère ! Cependant, après son premier assaut, comme elle voulait continuer, Harley lui conseilla autre chose, comme Pamy mais ça, elle ne pouvait pas le savoir.
« Kyki, change de trou... hum, tu as droit au meilleur morceau... Allez... prends la petite c-chatte à ta jolie maman ! »
Pamy était habituée et forte, elle n'allait pas agiter son drapeau blanc comme ça ? Cela dit, Harley prévoyait aussi une surprise avec sa petite Kyli, elle ignorait si Pamela l'avait déjà fait avec elle mais elle comptait bien le lui faire. Elle se pencha vers elle, écrasant plus ou moins la tête d'Ivy pour venir baiser le bout des lèvres de sa petite Kyli pour mieux la charmer.
« Après avoir fait jouir Pamy... je te montrais, ha, un autre endroit magique pour, hm, ton petit bambou. »
Il ne s'agissait pas d'un orifice mais c'était très confortable si on en avait les atouts. Cela fera un nouveau trou à sa tenue mais elle allait lui faire une cravate de notaire. Reste à savoir si elle laissera la crème de Kyli dans sa poitrine ou directement dans sa bouche ? Une occasion pour Ivy de venir lui bouffer les seins, non ? Ça pourrait être fun ! Allez, va pour ça. Comme pour teaser la suite, elle caressa sa poitrine, suivant la séparation entre ses seins alors qu'elle regagnait sa place. Ivy se doutait-elle de la suite ? Elle n'était pas dans sa tête... En tous cas, quel chouette moment en famille ! Il était temps pour Pamy de jouir et de recevoir sa récompense de la part de son petit clown et de sa petite fille. Reste à savoir qui était la plus gâtée parmi ses trois-là ? Ivy ? Kyli ? Ou Harley ?
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Je venais juste de me vider de toute ma semence dans le cul de maman, et déjà je ne pensais qu'à repartir. Mais soudain, alors que je commençais à bouger, je sentis un tentacule phallique émerger du sol et venir se frotter contre mes jambes. Vu que je ne l'avais pas invoqué, il devait probablement être à maman, mais puisqu'il ne venait pas s'enfoncer dans un de mes trous, j'en déduisis qu'il n'était pas là pour moi. Juste après, tata Harley me conseilla de m'occuper de l'autre trou d'Ivy avec ma grosse queue verte. Je baissai les yeux pour voir à quel point maman mouillait et, en voyant la rivière de cyprine qui s'écoulait de son intimité, j'eus tout de suite envie d'aller mettre mon nouveau jouet dans ce trou si humide. Du coup, je sortis ma queue de son fondement pour aller m'insérer d'un seul coup dans sa chatte, et je pris le contrôle du tentacule phallique pour aller combler la dernière entrée qui n'était pas pleine. Ainsi, maman serait totalement heureuse, de même que moi et son amie arlequin.
Partie dans mon élan, j'avais l'impression que mon corps s'éloignait peu à peu de mon esprit. Jamais je n'avais ressenti un plaisir aussi grisant. Chaque mouvement d'avant en arrière me faisait du bien et me frustrait, me poussant à vouloir encore plus de plaisir, et donc à donner des coups de rein toujours plus puissants. En somme, j'étais plongée dans un cercle si vicieux que j'aurais voulu que mon sexe ne puisse jamais jouir, afin de connaître un plaisir permanent. Mais si ça arrivait, je m'évanouirais probablement après dix minutes à cause de la fatigue. J'avais beau avoir un appétit sexuel proche de celui de ma mère ou de ma nouvelle tata, j'étais encore loin d'avoir l'énergie nécessaire pour les suivre. Pour l'instant, je tenais bon, mais j'allais bientôt atteindre mes limites. Et à ce moment-là, je savais que maman et tata Harley se feraient une joie de me mettre leurs deux tétines dans la bouche pour me faire avaler une dernière rasade de lait, et ainsi finir de me mettre K.O afin de me mettre au lit sans que je ne proteste. C'était une technique délicieusement efficace.
Enchaînant les allées et venues, je prenais tellement de plaisir que cela me libérait du peu de timidité qu'il me restait : usant de mes pouvoirs, je fis sortir de terre deux tentacules phalliques et six tentacules suceurs. Les deux phalliques allèrent respectivement se loger entre mes fesses et entre celles de ma tata, tandis que chaque suceur alla se poser sur un téton. A présent, chacune de nous était prise entre de multiples assauts, et nos cris de plaisir emplissaient la pièce. Plongée dans cette merveilleuse ambiance de luxure, je sentais mon orgasme arriver à toute vitesse...
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Ce n’était pas la première fois qu’Harley utilisait un mandrin pour lui faire l’amour, et, depuis que Poison Ivy avait montré à Harley ses plantes spéciales, originaires de Terra, et qui permettaient ce genre de choses, Harley les utilisait assez fréquemment. Sentir sa verge remuer dans sa bouche était toujours aussi agréable, tout comme ses mains fermes qui la maintenaient. Le nez d’Ivy plongeait tout droit sur la combinaison de la femme, provoquant de délicieuses sensations de frottement, tandis qu’elle sentait, dans les mouvements continuels d’Harley, sa queue s’enfoncer de plus en plus en elle, se rapprochant ainsi de sa gorge, multipliant peu à peu les gorges profondes.
Kyli, elle, n’était pas en reste, et, tout comme il était bon de sentir Harley la prendre, il était encore plus délicieux de sentir sa propre fille la pénétrer. Kyli grandissait à toute allure, satisfaisant à merveille l’esprit maternel pervers et floral de Pamela. Elle la sentait remuer en elle, encore et encore, malmenant son cul, jusqu’à se répandre dans son corps. Un orgasme magnifique, qui ne sonna néanmoins pas la fin de ce moment, de cette séance magnifique. Pamela, qui papillonnait des yeux, était, au-delà de son excitation, très émue par ce qui se passait. Sa fille, elle, observa la scène, puis, constatant combien sa mère mouillait, enfonça sa verge, de nouveau tendue, dans son vagin.
« Hnnnnn... !! »
Les mains de Pamela se crispèrent sur le sol, tout comme le tentacule qu’elle avait fait sortir, et qui s’enroula un peu plus fort autour de la jambe de Kyli. Ce tentacule n’avait que pour seule fonction de montrer à sa femme tout l’amour qu’elle lui portait, et même, en un sens, toute la fierté qu’elle lui vouait, toute la fierté de voir ainsi cette jeune femme être excitée. Sa fille était pleine d’énergie, pleine de vitalité, pleine de force... Et, alors que la tête de Pamela se remplissait de compliments à l’égard de sa fille, elle sentit le contrôle de Kyli sur la flore se réveiller. Outre coucher abondamment avec elle, Pamela entraînait aussi sa fille à améliorer ses pouvoirs, et le fait est que sa petite Kyli disposait d’un contrôle inné sur la nature, un contrôle que Pamela ne pourrait jamais égaler. Ivy était ainsi très aimante, mais aussi très exigeante envers sa fille... Comme une mère se devait de l’être.
Elle sentit ainsi des tentacules jaillir du sol, deux tentacules phalliques s’enfonçant respectivement dans le cul de Kyli et dans celui d’Harley, maltraitant au passage sa combinaison, tandis que trois paires de tentacules-suceurs, c’est-à-dire des tentacules ouverts avec des petites langues roses multiples pointant à l’extrémité, s’attaquèrent aux poitrines des trois femmes.
« Mmmhmmm... !! »
Les mains de Pamela se crispèrent sur les touffes d’herbe situées au sol, tandis que tout son corps faisait l’objet de magnifiques et jouissives attentions de la part de ses amantes. Prise ainsi, Ivy ne pouvait que se laisser aller, fermant fréquemment les yeux, en mouillant joyeusement le long de la queue de sa chérie. Sa fille la prenait avec amour et dévotion, et, dans un recoin de sa tête, Pamela se demandait aussi quelle était la surprise qu’Harley lui préparait...
...Et elle soupira en sentant ses tétons se faire tirer, ses dents mordillant légèrement le sexe d’Harley, un spasme involontaire, même si elle ne mordit pas très fort, appuyant juste ses dents sur la verge de son arlequin. Ensuite, elle reprit ses soupirs, suçant cette queue, mais se laissant progressivement, surtout, faire. Après tout, quand on était prise par deux expertes pareilles, il n’y avait pas grand-chose d’autre à faire que suivre le mouvement.
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Quel drôle de manège ! Enfin, elle était mal placée pour juger, d'autant plus qu'elle aimait voir ce petit spectacle entre Ivy et sa petite fille. C'était aussi mignon que bandant ! Pour le moment, elle continua de caresser la chevelure rousse de Pamy en laissant son mandrin se balader dans sa bouche pour se rapprocher de plus en plus du plaisir, c'était si bon de sentir cette langue le long de sa queue tout comme sentir son gland se heurter aux parois de sa gorge de temps en temps. Elle ignorait jusqu'où cette petite sauterie allait durer avant de faire une pause mais là, elle était à son aide, trouvant que pour une débutante, Kyli tenait de sa mère et qu'une fois adulte... Pamy risquait de mal lui tenir tête en ce qui concerne le rythme sexuel. Elle se défend très bien, mais quand Kyli sera entraînée, c'est Pam qui criera stop la première entre les deux. Eh oui, place aux jeunes !
Voir la petite bouille de Kyli s'extasier était vraiment adorable mais sentir cette petite montrer son final en invoquant bien des tentacules, deux pour leur fondement et six pour venir s'occuper de leur poitrine. Une fois encore, elle était débutante mais elle savait y faire ! À moins que ce ne soit l'idée de Pamy ? Après tout, il n'y avait pas écrit leur nom dessus ? Harley n'eut pas plus le temps que ça de se questionner que voilà qu'elle sentait la fameuse plante phallique se mettre en elle, entre ses fesses pendant que les deux autres venaient s'occuper de ses tétons tout durs !
« Haaaan ! Je sais pas... à qui c'est ça... m-mais... Coquine va ! »
Ha bah oui, c'était une surprise qui faisait plaisir ! De plus en plus bercé par le plaisir de leur petite sauterie multiple, Harley ne savait plus tellement ou donner de la tête avec tout ce qui se passait autour d'elle mais heureusement, comme reliée l'une à l'autre, la petite famille poussait leur dernier soupire en jouissante, Harley et Kyli dans Pamela et cette dernière, grâce à elles. Fin du jeu, les plantes bonus retournaient doucement à la terre pendant qu'elle laissait sa chérie respirer sans sa queue dans la bouche, pleine de foutre. Cela ne l'empêchait pas de venir lui voler un délicieux petit baiser en lui caressant les joues.
« Attend mamour, je vais porter le coup de grâce à notre petite Kyli. »
Ou un avant-dernier coup de grâce si jamais elles arrivent à lui donner un double biberon avant de lui faire faire une petite sieste, voir nuit de sommeil ? Arrivant sur elle à quatre pattes, elle la laissait allongé sur le sol en venant lui baiser doucement les lèvres, avec tendresse en venant, elle aussi, se faire caresser les joues.
« Tu es très douée ma petite Kyli, c'est très bien. Mais garde ta belle sucette encore un peu, je suis sûr qu'il reste encore un peu de ton nectar. Et puis... tu ne vas pas me priver d'une belle sucette bio au bon goût de minou de Pamy-chérie quand même ? Il faut que je la nettoie bien après tout. »
Se penchant sur elle, elle astiquait doucement son membre, sentant encore dedans une petite flamme qu'elle devait transformer en un brasier. Elle la masturbait doucement en donnant quelques coups de langue sur le bout de la queue avant de reprendre...
« Regarde bien trésor, je nettoie les belles queues comme ça ! »
Et pouf, elle la faisait passer entre ses seins qu'elle compressait doucement sur sa tige verte. Déjà, elle la sentait un peu plus dure.
« Hahaha ! La dernière fois que j'ai vu une queue aussi confortable ici, c'était à Pamy-chérie ! Telle mère, telle fille. Allez poupette, fait montrer à maman Harley comme tu est une Grande fille, bien dure... »
Vive les sous-entendus ! Harley la masturbait doucement en frottait ses seins dessus, compressant sa tige entre ses seins, léchant le bout de sa queue pour espérer goûter à sa petite crème à la menthe. Pamela devait se reposer un peu après avoir été prise ainsi par ses deux femmes mais... rien ne l'empêchait de se rincer l’œil comme il se doit !
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A force d'allées et venues, en plus du ressenti de mes tentacules qui pénétraient et léchaient un peu partout, je finis pas exploser joyeusement dans la fente humide de maman, la remplissant de mon sperme tandis que tata Harley se vidait dans sa bouche. Maman aussi put jouir joyeusement. Après cet orgasme de famille, mes tentacules retournèrent sous terre, et je retirai mon sexe du corps d'Ivy pour aller m'allonger une minute. Ce que je venais de faire était la chose la plus intense que j'ai fait de la soirée, il me fallait un temps de pause. Mais à peine le temps de me remettre les idées en place que l'arlequin s'approcha de moi à quatre pattes, en annonçant qu'elle allait me porter le coup de grâce, et elle avait sûrement raison. Avec le peu d'énergie que j'avais encore, je pouvais tenir au maximum deux orgasmes de plus. La blonde m'embrassa tendrement sur les lèvres tout en me caressant les joues, et je savourais cette douceur qui se contrastait avec la fougue encore récente de la baise à trois. J'eus droit à quelques compliments, puis je vis la main d'Harley descendre jusqu'à ma verge encore pulsante, qu'elle se mit à masturber doucement en donnant parfois des coups de langue sur le bout.
« Aahh... tata... Harley... »
Je gémissais doucement en tremblant. Ma trique était encore sensible, et ces petites caresses au rythme lent me torturaient plus qu'autre chose. Heureusement, on en vint vite à la partie intéressante : l'arlequin coinça ma queue entre ses seins et se mit à remuer de haut en bas, tout doucement, en léchant parfois le bout de mon gland. Là, ce n'était plus seulement de la torture, c'était du plaisir dans la torture.
« Aaahhh... oh là là... tata Harley... j'adore ça... ooohhh... »
Et comme elle l'avait si bien dit, je redevenais une grande fille bien dure en peu de temps, trop contente de me faire lustrer la queue par ces deux jolis globes de chair.
A partir de ce moment précis, je n'étais plus qu'une marionnette entre les mains de ma tata. Frustrée et satisfaite en même temps, je restais allongée sur le sol du donjon, la tête en arrière, baladant mon regard dans le donjon. Partout, je ne voyais que des instruments de SM et les lucioles éclairant les murs. Je tremblais à chaque seconde des délicieux frissons qui me parcouraient l'échine grâce à la fellation doublée de masturbation mammaire que m'offrait ma tata. C'était la première fois que je faisais quelque chose de ce genre et, le moins que je pouvais en dire, c'était que j'aimais ça.
La frustration et les orgasmes enchaînés précédemment firent durer le jeu pendant un long moment, m'arrachant soupir sur soupir pendant que Harley s'amusait avec moi. Mais au final, j'atteignis quand même l'orgasme, et j'envoyai des filaments de semence végétale dans la bouche, sur le visage et sur la poitrine de ma tata, qui semblait s'en réjouir. Après ça, mon sexe masculin commença à régresser jusqu'à finalement disparaître, signe que j'étais arrivée au bout de mes limites. Et effectivement, je ne pouvais pas nier être fatiguée. Mais comme d'habitude, quand j'étais confrontée à mes limites, en particulier sur la question du sexe, je n'avouais jamais être allée au bout de ce que je pouvais faire. Du coup, quand maman approcha en disant qu'il était temps que j'aille au lit, je ne me laissa pas docilement faire.
« Haann... non... je peux... continuer... même sans mon... pénis végétal... »
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Les tentacules sonnaient comme le point d’orgue de cette folle séance de sexe, une séance entre deux perverses confirmées et une néophyte, un jeune espoir de la perversion. Telle mère, telle fille, même si, à son âge, Pamela était loin, bien loin, d’être à son niveau. Elle était alors une jeune élève timide, avec des boutons d’acné qui refusaient de partir, et d’épaisses lunettes rondes. Les gènes s’affinaient de génération en génération, et Kyli avait, devant elle, un grand avenir d’ouvert, et Pamela serait ravie de la guider. Elle avait conçu Kyli pour que sa fille la surpasse en de nombreux domaines, si ce n’est en tous, et sa fille était bien partie pour le faire. Ce fut donc avec un plaisir certain que Pamela eut un orgasme, prise de partout, par Harley, par Kyli, et par des tentacules qui s’enfonçaient en elle ou pompaient ses seins, tirant dessus en maltraitant ses tétons.
« Hmmmm… !! »
Ses deux amantes s’abandonnèrent également, et Pamela s’écroula ensuite sur le sol, reprenant lentement ses forces, tandis que la petite Kyli, épuisée, dut supporter une dernière fois la gourmandise de leur clown adoré. Pamela, elle, resta assise sur le coin, en voyant Harley, le corps toujours moulé dans sa combinaison, masturber la queue de Kyli avec ses seins… Et avec sa combinaison, puisque cette dernière était toujours là, moulant ses formes à la perfection. Le plaisir ne tarda pas à irradier sur tout le corps de Kyli, sa queue se redressant, se durcissant au contact de la sensuelle Harley.
Comment résister à l’attraction alchimique du corps de la jeune femme ? Harley était une amante fascinante, incroyable, et magnifique. Pamela sourit en la voyant faire, en entendant les crissements de sa combinaison, tout en se disant que, encore une fois, Harley avait détruit l’une de ses tenues. Heureusement que la femme avait une garde-robe très fournie !
Couchée sur le sol, Kyli couinait et soupirait, et finit par jouir, au bout de longues minutes, un ultime orgasme qui éclaboussa la poitrine d’Harley, puis le phallus de Kyli disparut, tandis que Pamela se redressait. Elle sourit à Harley, et embrassa cette dernière, caressant de sa main sa combinaison, là où le sperme s’était posé, et lécha un peu ses doigts, goûtant ainsi au liquide naturel s’échappant du sexe de sa fille, sa belle petite fille, qui était épuisée, et gisait, presque inanimée, sur le sol.
« Allez, ma petite Kyli, toutes les bonnes choses ont une fin, il est temps que tu ailles te coucher… »
La jeune Kyli protesta alors, comme une sorte de petit enfant qui refuserait d’aller se coucher, mais la jeune fille n’arrivait même plus à se lever. Pamela hésita un peu, mais, après avoir été baisée de partout, et prise dans tous ses trous, du sperme et de la mouille continuant encore à couler de son corps, elle eut une autre idée.
« Très bien, ma chérie… Dans ce cas… »
Pamela avait également rétracté son phallus, et se mit derrière Kyli, jambes écartées à droite et à gauche de sa tête, puis, lentement, elle se mit à genoux, offrant ainsi à sa fille une vue phénoménale sur son intimité, luisante et trempée. Elle aurait pu s’asseoir sur son visage, mais elle s’arrêta à quelques centimètres, et enfonça alors deux de ses doigts dans sa chatte, faisant tomber sur le nez et sur les lèvres de Kyli sa douce et bonne mouille végétale.
Tout en se doigtant ainsi, Pamela invita également Harley à s’asseoir sur le ventre de Kyli.
« Puisque la petite Kyli ne veut pas aller se coucher, elle va dormir ici… Avec nous deux. »
C’était bien une mère attentive qui proposait ça ! Elle comprenait tout à fait l’engouement de Kyli, car elle ne voyait pas encore beaucoup de monde de l’extérieur dans son cercle intime. Pamela savait qu’elle allait devoir déménager pour assurer à Kyli un train de vie plus humain, et lui permettre d’inviter plus facilement des amis chez elle, mais, pour l’heure, mis à part sa mère, Harley était la première étrangère avec laquelle elle faisait vraiment l’amour, qu’on pouvait tout à fait considérer comme un membre de sa famille.
Ainsi, pendant que Pamela était assise, elle continua à parler :
« Alors, Harley, dis-moi… Est-ce que tes recherché pour retrouver la Lapine qui t’a permis de sortir d’Arkham ont progressé ? »
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Malgré les apparences, c'est qu'elle avait de l'énergie à revendre la petite Kyli, Harley n'y aurait pas cru et pourtant, c'était bien elle qui continuait d'avoir la gaule en cachait sa partie masculine entre ses seins. Harley était contente que ce cadeau plaise à la petite Kyli car après tout, elle avait l’impression que sa mère lui avait déjà tout apprise. Elle ne savait pas si ce genre de chose avait déjà été essayé entre la mère et la fille mais vu la réaction de la petite tige, ça devait être une première. Un point pour Harley donc ! La voir se trémousser sous l'effet de ses seins était amusant, ça la rendait choupi et sexy, un curieux mélange mais plein de bonnes idées, après tout, elle faisait partie de la famille, la Tata Harley ! Elle pourrait presque se prendre pour sa mère, un peu comme Ivy sauf que la rouquine est vraiment sa mère.
Au fur et à mesure Halry avait quand même réussi à la faire jouir, étalant sa sève dans sa bouche, un peu sur son visage et les dernières gouttes pour sa poitrine. La voilà achevée, elle pourra faire de beaux rêves ! Si Kyli n'avait plus de petit bambou entre les jambes, Harley aussi, à croire qu'ils étaient synchroniser ses petites choses ? Bref, elle voyait la petite se débattre, refusant d'aller se coucher pour voir Pamy céder et préparer quelque chose de bizarre ? Elle s'attendait un peu à la voir la bercer ou la porter à la limite mais elle préférait se doigter à quelques centimètres de sa bouche en invitantr Harley à venir sur son ventre en faire de même ? Elle voyait l'intérêt de le faire au-dessus de sa bouche, elle voyait l'intérêt de toucher des cailloux, elle voyait l'intérêt de caresser une main mais elle ne voyait pas cet intérêt-là !
« Hahaha, elle va nous servir de matelas ? Moi je veux ses deux oreillers alors ! »
Ha oui, quels oreillers ! Elle les caressait en chevauchant la petite Kjyli, pressant doucement ses tendres seins entre ses mains, bien doux et bien moelleux, de quoi faire de beaux rêves en dormant dessus. Mais étant la petite fille du trio, ce sera plutôt à elle de dormir avec sa petite famille, Harley agissant un peu comme une seconde – même quatrième vu qu'elle avait déjà trois mamans si sa mémoire est bonne – maman ! Pamy continuait ses question, presque comme si de rien n'était, interrompant Harley et son jeu de pouette pouette nichon.
« Tu parles, j'ai beau assommer tout les zouzous du coin, personne n'a de réponse. Et quand je demande où est passé le lapin blanc, on me prend pour une folle à en croire leur regard ! »
Ils n'auraient pas tort, une étrangère qui assomme les gens à coup de maillet ou autres et qui cherche un lapin blanc, on a vu plus logique. Oui, elle devrait préciser que c'est une femme tout droit sortie d'un casion déguisé en Bunny Girl mais même en précisant cela, elle était sûr de ne pas avoir de meilleures résultats. Car oui, quand elle ne traînait pas avec Ivy, elle était à la fois une criminelle et une justicière dans la ville, braquant une banque le lundi, mettant fin à des gangs qui usent de combat de chien le mardi, faisant sauter un camion de livraison de billet le mercredi, nettoyant son quartier de la petite racaille le jeudi, elle était la Solomun grundy croisé à Double-Face quand elle était seule. Comment juger une criminelle qui fait de bonnes actions aussi ? Difficile non ?
« C'est dingue quand même que cette ville soit un repère à super-héros et criminelle et que personne n'ai vu de lapin blanc ? Tu penses que je devrais plutôt chercher en forêt ? Y a une usine de carotte dans le coin ? Elle se cache peut-être là-bas ? »
Oui si elle ne veut pas se faire voir en ville, le lapin blanc cherche peut-être à rejoindre les siens en forêt ? Elle ne lui cherche pas de mal comme avec la chauve pourris, elle cherche juste à la remercier, c'est dingue ça ! Elle veut se montrer gentille, on l'évite et elle veut du calme et tout Gotham lui tombe sur la tête !
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Après avoir refusé d'aller dormir, je m'attendais à ce que maman et tata Harley s'injectent le produit provoquant la lactation des seins, et qu'elles viennent me mettre K.O. Avec un double biberon. Mais à ma grande surprise, maman décida de laisser passer mon caprice et vint s'asseoir au-dessus de mon corps, m'offrant un vue parfaite sur sa fente humide tandis qu'elle commença à se doigter, envoyant sa cyprine sur mon visage. Gourmande et perverse que j'étais, j'avalais toutes les gouttes passant à portée de ma langue. Très vite, l'arlequin vint à son tour se placer au-dessus de mon corps, derrière Ivy. Cette dernière annonça que, puisque je ne voulais pas aller me coucher, j'allais dormir ici avec elles. Dans les secondes qui suivirent, Harley annonça qu'elle voulait utiliser ma poitrine comme oreiller, et se mit à me tripoter les seins, les caressant et les pressant, ce qui me faisait doucement gémir. Selon les normes humaines, j'avais un corps très bien formé pour une fille de mon âge, mais pouvait-on vraiment user de mes seins comme oreillers ? Pour ma part, je le faisais souvent avec maman, mais sa poitrine était digne des plus grandes déesses de la beauté et de la fertilité, rien à voir avec la mienne.
Maman et tata Harley se mirent à discuter à propos d'un lapin blanc qui aurait permis à l'arlequin de recouvrer sa liberté. N'ayant aucune information sur le sujet, je me contentai d'écouter, doucement assommée par le plaisir ressenti au cours de cette soirée et par la fatigue qui me rattrapait. J'avais beau nier avoir sommeil, la réalité était tout autre, et mes yeux commençaient à se fermer. Je n'étais maintenu éveillée que par les voix d'Ivy et de son amie, qui me rappelaient tout ce que j'avais pu vivre en si peu de temps, que ce soit dans cette pièce ou dans l'autre. De merveilleux souvenirs qui m'accompagneront cette nuit et les prochaines. Mais pour que la soirée finisse vraiment en apothéose, il manquait un élément crucial. Quelque chose que j'espérais obtenir par mes protestations de petite fille têtue, mais que j'allais devoir demander de vive voix, quitte à passer encore plus pour une perverse ou pour une gamine que je ne l'étais déjà. D'une petite voix timide, je m'adressai à Ivy.
« Euh... maman. Si... si je promets d'aller me coucher sagement... comme une gentille fille... j'aurais droit à ton bon lait... et à celui de tata Harley... pour m'endormir ? »
Oui, j'avais honte de le demander malgré l'envie qui me rongeait, parce que j'admettais avoir fait un caprice dans le but d'obtenir ce que je voulais. Et il n'y a que les petits enfants humains pour faire ça.
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Qui mieux qu’une mère pour connaître sa fille ? Ivy connaissait la gourmandise de Kyli, et son grand appétit sexuel. C’était assurément une conséquence de Lily et Raune, deux Alraunes très perverses, car même Ivy estimait ne pas avoir un tel degré de perversion. Kyli était très précoce, et cela promettait, pour l’avenir, une femme très aimante, qui aurait sûrement d’innombrables amants. Pas de quoi gêner sa mère, bien au contraire, qui ne souhaitait que le meilleur pour sa fille. Se masturber sous son nez était une manière de l’exciter légèrement, ce qu’Ivy avait déjà fait avec elle. Elle lui avait appris le sexe féminin en s’asseyant sur elle, et en se masturbant, afin de lui montrer son clitoris, et Kyli, par la suite, avait fourré sa langue en elle. Depuis lors, Ivy prenait parfois cette position, assez incongrue, qui servait à marquer sa supériorité sur sa fille, une supériorité émanant du fait qu’elle était sa mère. Kyli, elle, aimait plutôt bien cette position, car, outre pouvoir caresser le corps de sa mère, elle pouvait aussi, et surtout, avaler sa douce semence, un nectar que Kyli adorait beaucoup. Une telle adoration avait même conduit Pamela à utiliser ses tentacules sur les lycéennes qu’elle utilisait pour recueillir la mouille, afin d’en faire une sorte de source naturelle pour Kyli, qui pouvait ainsi y boire comme on buvait de l’eau.
Là, assise sur elle, Pamela reprenait des forces, tout en se doutant très bien de ce que sa fille voulait, en refusant ainsi d’aller se couicher… Soit se faire punir, soit davantage d’attention… Mais Pamela lui enseignait à dire les choses envers elle, et, tandis que Kyli réfléchissait, Pamela se retourna, afin de se tenir face à Harley, qui massait les seins de la jeune fille. Ivy la rejoignit, massant également les seins de sa jeune fille, appuyant parfois ses cuisses directement sur sa tête, ses fesses s’enfonçant contre ses yeux et son front, avant de se relever.
Pamela savait qu’Harley recherchait une bunny girl, une femme qui avait permis de la libérer de prison il y a de cela quelques temps. White Rabbit, sous les ordres de Bane, avait organisé une évasion à Arkham, et, depuis lors, les informations d’Harley lui avaient permis de la traquer jusqu’à Seikusu. Avec l’aide d’Ivy, Harley avait même infiltré le commissariat central de Seikusu, afin de se renseigner. La police n’avait cependant que quelques bribes d’informations, mentionnant une bunny girl qui, d’après les auditions et les plaintes, sévissaient le long de la fête foraine. Ayant néanmoins d’autres chats à fouetter qu’une bunny girl qui semblait s’amuser à faire de légers rapts, l’enquête n’avait quasiment pas avancé, mais Pamela savait qu’Harley voulait retrouver cette femme, afin de la remercier… Et sans doute aussi parce que White Rabbit avait l’air d’être un peu folle, comme elle.
« De mon avis, on devrait plutôt continuer à focaliser nos efforts sur les alentours de la fête foraine, et les bars. Cette petite aime bien les endroits festifs, et manipuler les hommes, visiblement. »
Soudain, Kyli se rappela à elles, indiquant vouloir boire du lait maternel, ce qui fit sourire Ivy, qui tourna sa tête, avant de se retourner à nouveau, plaçant à nouveau son intimité devant le visage de sa jeune fille.
« Alors, c’est donc ça que tu veux, hum ? Petite gourmande… »
Elle tendit sa main, et posa un doigt sur le nez de Kyli.
« Tu sais comment on appelle ça, Kyli ? Du chantage… Ou un caprice. Si je refuse, tu vas te mettre à pleurer, c’est ça ? Alors, je devrais te fesser… »
En réalité, Kyli était une fille adorable, très gentille, mais Pamela aimait bien la titiller, car elle savait que sa douce fille aimait ça. Et, tandis qu’elle parlait, deux tentacules se déplaçaient, avec, à leur extrémité, une aiguille. Une pointe qui alla s’enfoncer dans la nuque d’Harley et dans celle de Pamela, faisant légèrement durcir leurs seins, les remplissant de laits.
« Haaa… Je t’aime vraiment trop, Kyli… Mais tu as intérêt à… Bien tout boire… »
Poison Ivy se redressa ensuite, libérant le corps de Kyli, et attrapa Harley par la main. Ensemble, elles allèrent se poser sur un grand fauteuil végétal, si grand que les deux pouvaient s’asseoir, avec un espace creux au milieu pour que Kyli y vienne.
« Tu… Tu as intérêt à te dépêcher, Kyli, car… Hum… Sinon, je crois que Tata Harley va aller boire mon lait, et que j’irais boire le sien… »
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Former Kyli, c'était une chose mais la petite avais les yeux plus gros que le ventre et donc, il était temps pour elle de faire un gros dodo. De quoi laisser les deux femmes parler boulot car il est vrai que depuis son denriers séjours à Arkham, elle n'avait pas retrouvé ce lapin blanc. Sa priorité fut Pamy – même si en vérité ce fut le Joker mais chut – et maintenant bien installé avec elle, elle voulait au moins dire un petit merci à la petite lapine mais cette dernière se cachait bien alors la trouver n'était pas simple même si elle serait dans cette ville. Mais où ? Selon Pamy, elle devrait voir du côté de la fête foraine et des bars où les mecs trainaient ? Hum pourquoi pas ? Elle n'aime pas trop les fêtes foraines, les jeux y sont truquer et pas moyen de gagne la grosse peluche quand on gagne. C'est toujours le truc merdique. Enfin, en général après quelques menaces, elle gagne quand même la peluche mais elle aimerait bien gagner sans laisser parler Batty la batte.
« Hum ? C'est à voir, on sait jamais. »
Kyli se faisait de nouveau entendre car elle souhaitait quand même avoir un peu de lait avant de se coucher. Personnellement, Harley aurait dit oui de suite, elle est tellement choupinette mais elle n'était que sa tante, c'était Ivy sa mère. Se faisant piquer par surprise, elle sentait de nouveau ses seins devenir deux nouveaux biberons alors qu'Ivy invitait sa petite à s'asseoir avec elle pour elle profiter. Ha oui mais elle l'avait dit, attention à Harley ! Elle se jeta déjà sur sa poitrine pour sucer doucement l'un de ses seins et en absorber le délicieux lait bio qu'elle fabriquait. Elle s'en léchait même les babines.
« Désolé Kyky mais je serais une mauvaise tata si je n'essayais pas avant. Faut bien vérifier s'il est bon et d'ailleurs... »[/b]
Attrapant son amie par la tête, elle la plaqua contre elle pour qu'elle en fasse de même pour venir voir que son lait était bien conforme pour une grande petite fille comme Kyli. Elle la laissait faire quelques secondes avant de relâcher son étreinte et laisser Kyli venir près d'elles. Une fois installée, elle se pencha sur Ivy en lui souriant, faisant frotter son sein contre le sien.
« Viens Kyli, viens boire notre lait en même temps... Régale-toi ma chérie. Quant à toi... Faut que tu sache que t'est sacrément sexy en maman, hahaha ! »
Frottant son sein contre le sien, de même que son nez, Harley embrassait doucement la belle rouquine avec un langoureux baiser. Elles vont peut-être jouer à deux durant la sieste de,Kyli ou alors dormir à trois mais ça n'empêchait pas Harley de passer un peu de temps en douceur avec sa Pamy chérie. En se tournant un peu vers Kyli, ce sera simple qu'emle aoy meir mamelon dans la bouche en même temps.
« Je t'adore ma Pamy d'amour. »
Harley savait être plus romantique que ça mais c'était déjà pas mal.
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Je m'attendis bien à ce que maman me taquine sur mon caprice, mais je ne pensai pas qu'elle irait jusqu'à menacer de me fesser si je pleurais parce qu'elle aurait dit non. Je réagis à sa provocation avec un peu trop de force.
« Non je ne vais pas pleurer ! Je ne suis pas un bébé, je suis une jeune fille. Et c'est méchant de ta part de penser que je pourrais me mettre à chouiner pour un simple refus. »
Heureusement, il n'y eut ni fessée, ni moquerie supplémentaire, ni refus, car maman accepta finalement de planter ses aiguilles dans son cou et celui de tata Harley, gorgeant leurs seins d'un délicieux lait maternel que j'allais me faire une joie d'avaler jusqu'à la dernière gorgée. Ensemble, elles allèrent s'asseoir sur un grand fauteuil végétal, laissant un espace creux au milieu pour moi. Mais alors que j'avançai vers elle, l'arlequin se jeta sur l'un des seins de maman et se mit à sucer doucement son téton, aspirant le lait à ma place.
« Hey ! »
« Désolé Kyky mais je serais une mauvaise tata si je n'essayais pas avant. Faut bien vérifier s'il est bon et d'ailleurs... »
Non contente de me priver d'un des seins d'Ivy, elle plaqua la tête de cette dernière contre l'un de ses seins, et elle se mit elle aussi à boire le lait qui coulait dans ce globe. J'étais en train de perdre deux seins gorgés de lait mais je ne pouvais pas me plaindre, sinon ça aurait voulu dire que maman avait raison, et que j'étais une petite fille capricieuse.
A la fin de leur étreinte, il leur restait encore un sein plein chacune, et ces deux-là étaient pour moi. Tandis qu'elles s'embrassèrent fougueusement, j'approchai rapidement et je me calai entre elles, attrapant leurs seins pour les coller l'un contre l'autre. Une fois les deux tétons à portée, je collai ma bouche contre eux et je me mis à aspirer calmement, ne voulant pas précipiter les choses. C'était ma dernière rasade de la soirée, et la première fois que je goûtai un mélange de deux laits différents, c'était donc une expérience à savourer. Lentement, j'avalai chaque gorgée de ce doux nectar, appréciant son goût unique, le laissant filer dans ma gorge jusqu'à mon estomac. Chaque seconde passée m'enfonçait de plus en plus dans le sommeil. Déjà, mes yeux papillonnaient et les voix autour de moi devenaient moins audibles. Une merveilleuse sensation de bien-être naissait en moi, m'envahissait lentement, comme si une boule de coton se formait autour de mon corps. Je sentais encore les caresses des mains douces de maman et de ma tata.
Une fois les deux seins vidés, j'étais complètement crevée. Il était inutile que je continue à lutter contre le sommeil, je le laissai donc m'envahir tandis que je me blottissais contre maman et Harley, le sourire aux lèvres.
« Aahh... bonne nuit. »
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Kyli allait pouvoir se remplir la panse... Du moins, c’était ce que Pamela, de prime abord, pensait, avant de se rappeler qu’il n’y avait pas qu’une seule gourmandise dans cette pièce. Harley était également très gourmande, et ne tarda pas à le prouver, en sautant sur l’un des seins de Pamela, surprenant cette dernière, dont les yeux s’écarquillèrent pendant quelques secondes... Avant de se plisser sous l’effet du plaisir. Un délicieux gémissement s’échappa ensuite de ses lèvres, et elle se mit à frissonner de plaisir, gémissant en sentant Harley ponctionner son sein. L’une de ses mains se crispa sur ses cheveux, tandis que son corps frémissait.
« Haaa... Petite voleuse ! Hmmm... »
Inutile de la repousser, Pamela n’en avait aucune envie, et, quand Harley l’invita à boire son lait, elle obtempéra rapidement, absorbant le délicieux lait maternel de la jeune clown. À son tour, elle buvait ce lait, sentant ce dernier défiler dans sa gorge. Un lait chaud, tendre, terriblement agréable. Kyli, elle, semblait s’impatienter sur place, mais, en un sens, la faire attendre n’était pas une si mauvaise chose que ça. Ivy, en effet, avait peur de trop la gâter. Éduquer un enfant, mine de rien, ce n’était pas comme veiller à la pousse des plantes, c’était légèrement plus complexe. Kyli avait ses propres sentiments, ses émotions, sa manière d’agir et de réfléchir. Elle aimait bien le lait, elle aimait bien sa mère, Pamela la trouvait formidable, mais il est vrai que, souvent, Kyli avait l’habitude de faire quelques crises.
Pamela s’attaqua donc à ce sein, puis, au bout de quelques instants, se retira, et fit finalement signe à la jeune Kyli de venir.
« Viens, ma belle, viens... »
Kyli obtempéra sans attendre, car Harley et Ivy avaient pris une curieuse position, rapprochant leurs seins encore gorgés de lait, de telle sorte que els tétons étaient proches l’un contre l’autre, se caressant mutuellement.
« Oui, Kyli, hmmm... »
Tandis que sa fille buvait à leurs seins, Harley et Pamela continuèrent à goulûment s’embrasser. Leurs lèvres se pressaient ensemble, encore et encore, pendant que la petite Kyli continuait à boire. Leurs langues jouaient ensemble, Harley et Ivy continuant à se caresser. Encore, elles s’embrassèrent donc, jusqu’à ce que Kyli ne finisse par se retirer, et, les paupières lourdes, ne leur souhaite une bonne nuit.
Pamela, elle, se contenta d’un léger sourire, sa main allant caresser les cheveux de sa fille.
« C’est son truc... Elle s’endort très vite une fois qu’elle est rassasiée. »
Et Kyli avait plutôt tendance à bien dormir. Elle s’affala donc, laissant Harley et Ivy seules... Ensemble. Après quelques instants, plusieurs tentacules vinrent caresser les épaules d’Harley, tandis qu’une lueur malicieuse brûlait dans les yeux de Poison Ivy. Elle se rapprocha un peu d’elle, et ses doigts caressèrent ses lèvres...
« Rassure-toi, ma chérie, je n’en ai pas encore fini avec toi... »
Sur cette note, Pamela alla l’embrasser... Et passa au reste.
« Je pense que je vais déménager. »
Kyli dormait sur elle, sa tête posée entre les seins de Pamela. Encore en sueur, la femme à la peau verte caressait d’une main les cheveux de Kyli, et, de l’autre, jouait avec la main d’Harley, qui était couchée à côté d’elle. Elles avaient fini la soirée ensemble, dans un hommage à ce que les deux femmes faisaient de mieux à Gotham : des tentacules sexuels, et Harley en plein milieu de la jungle. Maintenant que la vague était passée, les deux femmes étaient couchées sur le lit, et Pamela pouvait enfin se confier à Harley, et lui avouer le projet qu’elle caressait depuis maintenant quelques jours, depuis que Kyli était avec elle.
« Kyli grandit très vite, et je pense que ce serait mieux, pour l’intégrer à la société, d’avoir un appartement. Je pense à quelque chose d’assez grand, où je pourrais développer mes plantes, et accueillir des amies... Comme toi. »
Elle lui sourit doucement.
« Kyli t’aime bien, après tout. Et puis, ce n’est pas moi qui l’initierai aux jeux vidéos. »
Pamela la regarda à nouveau, pour conclure :
« Tu en penses quoi ? »
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Héhé, oubliez Harley était une grossière erreur ! On la quittait des yeux une seconde et elle en profitait ! Puis elle avait raison de goûter le lait d'Ivy, non seulement elle veut savoir si le lait maternel à le même goût que le lait aphrodisiaque, mais en plus, on ne sait jamais qu'elle redonne un petit coup de boost à sa fille pour prolonger la soirée. Mais après avoir goûté, rien à craindre, c'était bien du lait ! Différent de celui en brique dans les super marchés, ça avait en plus un petit côté... bio. Harley en profitait un peu pour le savourer un peu plus longtemps avant d'en faire autant avec son lait, laissant Ivy y goûter à son tour avant d'enfin laisser la petite Kyli savourer tout ça. C'était pour elle après tout. Tout en embrassant doucement sa belle plante, elle sentait la petite bouche de Kyli venir à elle, léchant sa poitrine, suçant son petit lait. C'était aussi délicieux que mignon.
Après un petit moment, elle finit par s'endormir une fois repu, comme le disait Ivy, c'était son truc, ce qui faisait glousser Harley qui lui caressait aussi la tête.
« C'est vraiment un joli bébé dans un corps de jeune femme... »
C'était vrai, un bébé, une fois rassasier, ça fait son rot et ça dort comme un bébé. Comme elle. Mais si la petite Kyli s'envolait au pays des rêves, les deux jeunes femmes de Gotham avaient autre chose à finir, cela se voyait dans le regard de la rouquine qui faisait déjà pousser ses plantes autour d'elle.
« Faire ça juste à côté de ta petite qui dort ? Quelle coquine cette maman ! »
Et quel plaisir ! Mais ce ne fut qu'après leur longue sérances qu'elles se calmaient en prenant place à côté de Kyli, en sueurs mais elles aussi comblée. Ivy fit part de son envie de déménager pour trouver un endroit plus normal pour Kyli, plus sein. Ce n'est pas le docteur Harleen Frances Quinn qui allait dire le contraire ! Un enfant avait besoin d'un certain équilibre dans sa vie et d'un endroit sain. Comment elle invitera ses copines de classe si elle doit les emmener ici ? Ce ne serait pas cool pour elle comme pour ses copines. Mais le fait de penser à elle pour aussi jouer à la maman comme elle, ça la touchait. Elle avait toujours aimé Ivy mais là, elle touchait sa corde sensible. Jusque-là ses seuls bébés étaient les animaux qu'elle sauvait et gardait plus ou moins longtemps.
« Ooooh ma p'tite rose à moi... Je serais ravie de jouer les mamans avec toi et je promets d'essayer de ne pas lui apprendre de bêtise ! Mais du coup, moi aussi je serais aussi sa maman ou je reste sa tata ? »
Elle a bien dit « essayer », ce n'est pas sans garantie mais si sa conscience fonctionne, elle va éviter les mauvais choix. Caressant la main d'Ivy, elle se voyait déjà rentrer du travail dans son tailleur de psy et prendre des nouvelles de Kyli et son école avec Ivy aux fourneaux. Mais parlant de ça, de cette histoire d'école, tout ça, il y avait un truc qui la chiffonnait même si elle se doutait de la réponse...
« Comment tu vas faire pour elle, au fait ? Je veux dire, elle est verte et même si les jeunes sont habituées à voir des trucs bizarres à la télé, là, ce n'est pas le cas. Moi, j'ai rien contre mais les enfants son cruel parfois... »
Harley parlait encore un peu de ses craintes et ses questions sur cette nouvelle vie de famille. Adieu son idée du Gang d'Harley – à moins de laisser cette idée au chaud et en faire un projet secret – mais si c'est comme ça, elle va refaire revenir Bernie ! Elle l'avait laissé dans son hangar de stockage et mine de rien, il lui manquait son castor ! Même s'il a souffert le pauvre. Bref, la nuit passait et si Kyli serait la première à ouvrir les yeux, elle serait enlavcer entre les bras de ses mamans...
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Une fois rassasiée, il ne me fallut que quelques secondes pour trouver le sommeil dans les bras de maman et tata Harley, et si profondément que je ne sentis même pas leurs corps s'éloigner du mien, me laissant seule dans le fauteuil tandis qu'elles allaient jouer sans moi.
Mon repos se fit sans la moindre interruption ou gêne, je ne sentis même pas ce qui se passait près de moi ou quand les deux femmes revinrent sur le canapé pour m'enlacer dans leurs bras. Pour moi, tout ça n'existait même pas. J'étais perdu dans le néant, enlacée si fort par Morphée que même un tremblement de terre ne m'aurait pas réveillé. Je rêvais que la Terre était devenue un jardin aussi paradisiaque que l'était la forêt dans laquelle j'étais née, et que j'y vivrais heureuse pour toujours avec maman et son amie arlequin. Et même si ce n'était qu'un rêve, je le vivais comme s'il était bien réel.
Sans même que je m'en aperçoive, la nuit céda la place au jour, et mon long repos m'avait bien remise en forme. Tandis que je m'éveillais doucement, je devinais les silhouettes de maman et de tata Harley. Leurs corps étaient blottis contre le mien, ma tête était posée entre les seins d'Ivy et l'arlequin se collait à moi en me faisant un gros câlin. C'était tellement confortable d'être prise entre elles que j'eus envie de me rendormir. Après tout, elles dormaient encore et je n'allais pas les réveiller. Je fermai donc à nouveau les yeux, profitant d'un rallongement de ma nuit.
A mon second réveil, environ une heure plus tard, elles dormaient toujours. Bien que la situation était agréable, il était idiot de gâcher une si belle journée à rester dormir, et mon premier réflexe pour réveiller maman fut de coller ma bouche à l'un de ses seins pour la téter joyeusement. Elle n'avait pas de lait à me donner, mais la sensation restait agréable. Peu à peu, ma langue la stimula jusqu'à ce qu'elle ouvre enfin les yeux, et je l'accueillis avec mon plus beau sourire.
« Bonjour maman. Tu vas bien ce matin ? »
Évidemment, elle ne put s'empêcher de faire une petite blague sur le fait que, dès le matin, j'étais agrippée à ses seins.
« En fait, je crois que j'avais tort : j'ai beau être une grande fille, il y a encore beaucoup de mes instincts qui sont ceux d'un bébé, comme faire des caprices ou m'endormir après ma tétée. Et me coller contre toi dès le matin, c'est aussi un de ces comportements. »
Kyli était un peu étrange, mais sa mère et elle faisaient bien la paire, alors il n'y avait pas de raison que ça aille mal.
« Dis, quand tata Harley se réveillera et qu'on aura pris notre petit-déjeuner, on pourra aller faire une sortie shopping ? J'aimerais que vous m'aidiez à choisir de nouveaux vêtements... voir peut-être même des sous-vêtements. »
Kyli avait beau être une petite fille dans un corps d'adolescente, elle aimait aussi certains plaisirs plus matures de la Terre. Et si elle voulait se fondre au monde des humains, autant commencer par l'agréable: se mettre de jolies choses sur le dos.
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Elles ne firent pas l’amour ce soir. Avoir une fille semblait les assagir, car, si Kyli n’avait pas été là, Ivy aurait sûrement pénétré encore Harley. Au lieu de ça, elles se contentèrent de parler de leur avenir. Pour que Kyli s’immisce dans la foule, Pamela avait conçu une fiole, un mutagène qui lui offrirait, comme sa mère, la capacité de changer de forme. Afin de réussir cela, Pamela s’était vaguement inspirée de la plante
houttuynia cordata, la plante caméléon, dont la couleur changeait en fonction de son éclairage à la lumière ou non. Grâce à cela, comme sa mère, Kyli pourrait avoir une apparence humaine, où elle ressemblerait à n’importe quelle fille. Ivy l’avait même inscrite au lycée. Harley, de son côté, envisageait de former un gang. Elle avait déjà son projet en tête, l’aide de Bernie, son castor empaillé, un entrepôt dans le quartier de la Toussaint, et comptait passer des entretiens d’embauche pour former ses Quintettes. Le cas échéant, Pamela était bien disposée à l’aider, et elles finirent ainsi par s’endormir.
Pamela dormit du sommeil du juste, une main caressant les cheveux de Kyli, et, quand sa fille se réveilla une première fois, sa mère dormait... Et elle dormait encore, ce qui amena sa fille à la réveiller. Naturellement, Pamela ouvrit les yeux. Pour la réveiller, Kyli avait pris l’habitude de suçoter ses seins, mordillant ses tétons. C’était un réveil des plus agréables, et Pamela ne put que sourire, rassurant Kyli sur son côté enfantin.
«
C’est ça que j’aime chez toi, Kyli... Tu es une grande fille avec des caprices de petite fille, et c’est ça que j’aime beaucoup. Ne grandis pas trop vite, il faut bien que je profite un peu de toi. »
Elle lui sourit à nouveau, l’embrassant doucement sur les lèvres.
«
Tu as aimé les vêtements d’Harley, hein ? Sache aussi, ma douce petite fleur, que nous allons également déménager. On va emménager dans un appartement en centre-ville, ce sera mieux pour toi. »
Une nouvelle vie se profilait à l’horizon. Kyli allait rejoindre le lycée, tout en continuant à perfectionner ses talents d’Alraune. Quant à cet endroit... La Nature continuerait à pousser ici, et à fleurir, comme une sorte de sanctuaire végétal, sous terre, que personne ne viendrait déranger. Un paradis vert, tandis qu’elles, elles retourneraient à la surface.
Pour mener une nouvelle vie...
ÉPILOGUE
Les coups de feu résonnaient, et le criminel filait à toute allure.
«
Il faut l’arrêter ! -
Il a tiré sur Harvey ! Ne le sous-estimez pas ! »
Les deux agents de sécurité avançaient le long des couloirs, filant à toute allure vers les cuves chimiques de l’usine.
ACE Chemicals Processing Plant (http://s3.accelerated-ideas.com/news/images/arkham_knight_ace_chemicals.jpg) était l’une des usines les plus connues de Gotham City. Fermée à maintes reprises, et rouverte grâce aux industriels véreux et à une batterie d’avocats se souciant fort peu de l’impact environnemental de l’usine, cette dernière avait été fermée une première fois, quand il y a des années, le chef du gang des Red Hood était tombé dans une cuve. Son corps n’avait jamais été retrouvé, mais avait donné naissance au redoutable Joker, qui avait par la suite revisité l’usine, pour balancer Harleen Quinzel dans l’une des cuves, symbolisant sa transformation en Harley Quinn.
Actuellement, l’usine était en train de s’ouvrir, et les cuves fonctionnaient à nouveau, utilisant un produit toxique qui filait ensuite dans les égouts. C’était là que le rôdeur se rendait, un individu qui avait tenté de détruire l’usine, mais avait été surpris par les gardes. Il en avait tué un, blessant un autre en lui tirant à l’épaule, et, depuis lors, l’alarme résonnait dans l’usine. C’est ainsi que l’homme courait à bride abattue, filant le long du hall central, avec une série de cuves et de pompes comprenant un liquide verdâtre.
Épuisé, il se retourna, et tira sur les gardes le pourchassant, les balles rebondissant contre la rambarde. L’un d’eux sembla paniquer, et tira alors. Un individu qui avait gagné une compétition de tir il y a quelques années, et qui ne trembla pas. Le tir atteignit l’homme à l’épaule, le faisant hurler... Et il bascula par-dessus, tombant dans la cuve dans un grand hurlement de douleur.
«
Oh merde... -
Ce con est tombé ! »
Ils se pressèrent près de la pompe... Se penchant vers elle.
«
Je ne vois rien... -
Il est sûrement mort... »
Des bulles flottaient à la surface, avant de se calmer... Puis des bruits de pas se firent entendre de l’autre côté de la plateforme Surpris, l’un des agents brandit son pistolet, disposant d’une lampe-torche, éclairant une massive silhouette qui se rapprochait.
«
Que... Qui êtes-vous... ?! »
La cuve se mit alors à remuer, de multiples bulles venant se former à sa surface.
«
N’est-elle pas magnifique ? Ma chère a élève a bien progressé depuis que je la formais... Je suis si fier d’elle, si vous saviez... -
Que... Y se passe quoi, bordel... ?! -
N’ayez peur, votre existence égoïste sera bientôt insérée dans un tout qui vous dépasse et vous transcendera... C’est un moment un peu douloureux, certes, mais tellement gratifiant après. »
Les deux gardes continuaient à déglutir, et des tentacules jaillirent alors de la cuve, les agrippant. L’agent tenant son arme de service fit feu en vain, atteignant la silhouette mystérieuse qui se rapprochait, puis, dans des hurlements paniqués, tombèrent dans la cuve, disparaissant dans cette dernière. Sans que la balle ne semble gêner le mystérieux individu, puisque cette dernière avait rebondi contre son torse, la créature s’avança jusqu’au-dessus de la cuve, et vit le liquide toxique continuer à remuer, rougissant furieusement.
«
Oui, tu avais faim... Et c’est bien normal, ta Maîtresse t’a oublié, mon pauvre petit. Elle s’est trouvée une autre fille, et je sens ta jalousie, ta colère... Tu dois me reconnaître... J’ai créé ta mère. »
Les tentacules émergèrent de la cuve, se rapprochant de cet être massif. Lui qui avait jadis été un humain avait maintenant connu l’élévation. Celui qu’on appelait jadis Jason Woodrue était maintenant le redoutable
Plant Master (http://static3.comicvine.com/uploads/original/3/31666/3426492-alec+seeder+3.jpg), et tendit sa longue main griffue, caressant l’un des tentacules. Un immense corps sortait de la cuve, renversant du produit toxique tout autour, tandis que l’alarme rugissait, furieuse.
«
Et toi ? Comment dois-je t’appeler ? »
La forme émergeait maintenant de la cuve, et sa voix, tonitruante, jaillissant de multiples bouches, comme autant de ses victimes, se mit à parler, énonçant toute sa rage, toute sa haine, envers la femme qui l’avait créé, et qui l’avait ensuite abandonné pour se doter d’une fille, qui était maintenant l’objet de la haine de cette créature furieuse :
«
Appelle-nous... HARVEST (http://img110.xooimage.com/files/6/6/7/detective-comics-823-pg20-5013f8f.jpg) !! »
FIN (?)