Yuko avait toujours une idée derrière la tête, même dans une situation calme, elle savait qu'elles pourraient faire autre chose de plus amusant si elle tirait Pleione avec elle. Là, bien que ce soit pour se soulager un petit peu, rien ne les empêchaient d'en profiter un peu et de venir s'amuser. Yuko voulait jouer, de façon un peu plus cochonne en voulant voir sa chérie uriner puis venir la nettoyer. La Karistal n'était pas du genre à être fétichiste de l'urine, mais de temps à autre, pourquoi pas. D'autant plus que ça venait d'une neko et pas n'importe laquelle qui plus est. Elle savait manipuler les autres et s'en servait sans honte pour que Pleione, pas très tentée par cette idée, finisse par accepter. Après ça, elle la laissait faire, restant près d'elle en la voyant baisser en train de vidanger sa petite vessie. Une fois terminée, elle retourna près de l'arbre, les pans de sa robe dans sa main, demandant à sa maîtresse de venir la nettoyer.
« J'arrive, ma petite chatte. »
Mais Yuko ne sauta pas de suite sur l'occasion. Le visage près de sa petite fente, elle la regardait, la reniflait en levant les yeux vers sa chérie avec cet éternel sourire joyeux, mais qui affichait aussi une arrière-pensée pas si tendre que ça.
« Tu sens très bon, mon amour... Laisse ta maîtresse te nettoyer. Il ne faut pas que tu sois sale devant tes parents quand même ? »
Sa bouche venait se rapprocher, sa langue suivait la petite fente de bas en haut avant que sa bouche ne se colle à sa peau et ainsi débuta une séance, autre qu'un simple nettoyage. Yuko léchait sa petite fente, le goût de l'urine venait peu à peu à se dissiper pour sentir un goût plus habituel mais toujours aussi délicieux, celui de sa cyprine. Les mains de Yuko se posaient sur ses cuisses pendant qu'elle continuait de lécher cette dernière, jouant parfois avec son petit bonbon. Un petit coup de langue par-ci, un petit coup de dents, ça ravivait la flamme un peu.
« Hmmmm, ouh oui, ça c'est une gentille chatte toute propre... »
Mais Yuko n'arrêtait pas, ce serait même méchant de ne pas aller jusqu'au bout maintenant. Elle continua donc, laissant ses mains se mouvoir en restant coller sur sa peau, passant des cuisses à ses petites fesses qu'elle caressait et pressait avec amour, jusqu'à recevoir son divin nectar en bouche. Un goût si délicieux, un visage remplis d'amour et de joie, comment ne pas être aux anges en étant avec cette neko. Pleione se proposait de rendre la pareille, mais en inversant l'ordre, d'abord la langue, après le pipi. Yuko se redressa en affichant une fausse bouille boudeuse.
« Oh ? Moi qui me faisais déjà une joie de te voir me nettoyer le minou... Que tu es vilaine, ma Pleione chérie... Mais je ne vais pas te forcer à faire ça, je te ferais aimer ça. Mais plus tard, en compensation, tu auras une fessée. Mais qui ne comptera pas sur celles que je dois te donner. »
Il ne fallait pas abuser non plus, elle aura ses deux cents fessées, mais quand Yuko le décidera. Pour le moment, elle embrassa sa petite chatte sur la bouche avant d'abaisser son pantalon et sa culotte.
« Viens vite t'occuper de ta maîtresse ou sinon je ne pourrais pas garantir de séparer l'orgasme de mon soulagement... »
Elle voulait juste jouer avec le feu, elle pouvait bien faire les deux séparément en se contrôlant, mais elle voulait mettre une certaine pression à sa chérie. Il fallait bien la titiller un peu.
Côté des autres nekos, l'ambiance restait plus sage, même si Yuka se blottissait contre la généreuse poitrine de sa fiancée en voulant devenir un bébé chat bien au chaud dedans, Antares ne perdais pas de vue les promesses qui avaient été faites. Pour elle, Yuka restait ce bébé, surtout depuis qu'elle avait avoué avoir emporté de quoi réaliser son fantasme. Pour le coup, elle avait presque oublié avoir amené ça tiens. Mais cela n'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde quand ce fut prononcé, Antares devait être impatiente de déjà être enfermé dans sa chambre avec elle. Mais avant de succomber à ses pensées coquines, la neko proposa de faire une balade pour se dégourdir les jambes. Soit, ça, c'était possible puis même en s'éloignant des yeux de leurs serviteurs, les lapines pourront vite les rejoindre en cas de danger.
« D'accord, baladons-nous un peu, Maman. »
Yuka s'était attendu à ce que cet éloignement soit un prétexte pour profiter un petit peu d'elle, comme le faisait sûrement leur sœur, mais non, Antares venait à demander de quoi Yuka rêvait étant plus jeune ? Drôle de question. La neko continua en parlant de sa passion pour les étoiles, vouloir y aller. C'était un beau rêve, il fallait l'avouer. Mais maintenant qu'elle sait ça, qui sait, leur enfant pourrait porter le nom d'une étoile ? Il devait bien y avoir au pire, un prénom Edorassien qui signifiait « Etoile » ? Il faudrait questionner sa mère ou ses grand-parents sur ça.
« C'est si adorable. »
Elle ne se moquait pas. Elle imaginait bien cette petite tête blonde qui voulait décrocher une étoile pour sa famille, c'était très mignon. De son côté, Yuka n'avait rien de si original à offrir, petite ou grande, son rêve n'avait pas beaucoup changer dans le fond. Dans la forme, peut-être un peu maintenant qu'elle connaissait la luxure et les joies de la débauche, mais sinon, ça restait plus ou moins pareille.
« Petite, avec Yuko, on rêvait d'être de vrais nekos. Le genre avec beaucoup de poils sur le ventre et des petites griffes. On voulait être de vrais nekos, vivre comme tel avec tout plein de nekos avec nous. On ne pensait pas forcément à vivre comme ça dans la nature comme des nekos sauvages, mais au moins dans une grande maison, où l'on dormais tous ensembles, on jouerais tous ensemble, on mangerais tous ensemble... »
Bref, faire tout ensemble quoi. Son rêve de gosse n'était pas si loin pour se réaliser. Certes, elle ne sera pas une neko furry, ni même une vraie neko, techniquement parlant, mais d'ici quelques années, elle aura sa maison avec sa chérie et sûrement déjà quelques bébés à cajoler. Pas tous plein de neko tout autour d'eux, mais ça se fera petit à petit.
« Déjà toutes petites, nos parents étaient obligés de bien nous avoir à l'œil, sinon on tentait d'ouvrir les cages des esclaves pour venir se blottir contre eux ou les faire sortir pour jouer avec. »
Par chance – enfin, chance... pour elles en tous cas – les nekos étaient apeuré et ne leur avait fait aucun mal ni même tenter de fuir, mais la moindre blessure aurait pu être une grave erreur pour eux, vu le père très protecteur qu'était Setzer. Mais au moins, avec ce genre de comportement, elles ont eu droit à leurs premières nekos, qui servaient toujours au manoir plutôt qu'avoir été vendue. Dans un sens, déjà petite, les jumelles ont offert une belle vie à ses gentils matous.