Nom/Prénom/Surnom : Pipa... je crois que j'étais quelqu'un d'autre, avant, mais aujourd'hui, je suis tout-simplement Pipa.
Âge : Il parait que j'ai dix-sept ans... pourtant, mes souvenirs ne dépassent pas les trois dernières années.
Sexe : Chienne ? C'est comme-ça qu'on m'a appelait toute ma vie... ah non, oui, c'est vrai : je suis une femme.
Race : Terranide-oiseau de type harpie.
Orientation sexuelle : Qu'est-ce qu'une orientation sexuelle ? Je connais le mot "sexuelle", mais pas orientation. Préférence ? Je ne sais pas... on m'a appris à satisfaire les désirs du maître, de la maîtresse, des clients... de tout ceux qui viendront me donner des ordres et réclamer mon talent. On peut dire qu'on peut me faire toucher à tout, j'obéirais.
Description physique : Je suis la fusion parfaite entre une maginfique jeune-femme au physique d'adolescente et un oiseau... de ce fait, mon corps à pris les traits d'un être mince et particulièrement agile. Mes courbes gracieuses semblent être faites pour les déplacement rapide et silencieux... bien que dans ce cas-ci, elles me servent surtout à danser de la manière la plus délicate et la plus séduisante possible, dont le but est d'exiter la libido du plus coincé des clients. Mon corps mince et élancé me donne l'apparence d'un être fragile, d'une adolescente que le moindre souffle de vent pourrait briser en mille morceau... et cela est mi en-avant par un visage enfantin qui garde presque toujours une expression timide et soumise. Mon petit nez et ma bouche finement taillé sur ma peau blanche et lice sont surmontés par deux yeux bleus brillants comme comme deux saphirs, ayant cependant perdus toute lueur d'espoir ou de sauvagerie au fil de mon dressage parmi les autres esclaves. Mes iris sont perçants comme ceux d'un rapace, me permettant de remarquer chaque détail dans le paysage qui m'entoure, ou sur les gents. Une longue crinière de cheveux couleur de miel entour ma tête et me descendent en cascade jusqu'au bas du dos, où ils rejoignent une queue duveteuse faite de plumes blanches telles celles des cygnes. Mes bras, mes jambes, mon mains et mes pieds ont été remplacés par une peau dure couleur dorée et par quatre serres. Les griffes au bout de celle-ci ont été limés et arrondis, de façon assez fines afin de ne pas altérer la beauté sauvage qui est la mienne. Sa ne se voit que si on y fait attention, mais cela les rend ainsi moins tranchantes et moins dangereuses. Partant de chacun de mes coudes, tel des élongations de mes bras, sortent deux ailes aux plumes roses bonbons, aussi douce que le poil d'un petit chaton. Lorsque je marche, elles se déplacentautour de moi à la manière de deux rubans, en suivant l'allure de mes bras. De façon générale, en réalité, chacun de mes déplacement ressemble à une danse. Lorsque je suis sur mes pieds, je marche généralement sur la pointe des serres, autant par reflex naturel que parce que ceux qui m'ont dressés disaient que ça me rendait plus élégante. Mon allure générale et mes couleurs douces me donnent un côté exotique faisant penser aux oiseaux des terres tropicales... un détail que les maîtres apprécient généralement, chez-moi.
Caractère : La première chose que l'on se dit, en me voyant, c'est "tien, ce que cette fille à l'air timide", car j'ai toujours l'habitude de garder la tête baissée, les mains jointes et de rester silencieuse... c'est surtout la posture soumise que j'adopte généralement, ayant appris très vite que regarder les "gents libres" droit dans les yeux était malpoli... mais effectivement, je suis d'un naturel très timide et craintif. Je crains même les personnes que je connais, et je préfère généralement rester dans mon coin, éviter les altercations temps que personne ne fait appel à mes services. Calme et silencieuse, beaucoup de personnes pensent que je suis muette... en réalité, je ne parlerais jamais par moi-même, car je n'ai jamais rien à dire... je me contente de répondre quand on me parle, d'être sage, et d'obéir. Je garde toujours mes pensées pour-moi, ce n'est pas de ma bouche que vous entendrez des répliques, des plaintes, des sarcasmes... rien de plus que quelques gémissement et des paroles qu'un esclave se doit de prononcer de temps-en-temps à son maître. Pourtant, j'ai l'esprit vif, je remarque beaucoup de détails que je ne devrais pas voir et j’apprends souvent des secrets que je ne devrais pas connaître grâce à mon ouïe fine et à mes yeux perçants... mais je n'en parle jamais, je me contente d'en discuter avec ma propre tête. Naïve, je crois généralement toujours tout ce qu'on me dit, car je décrouvre toujours un le monde... il existe encore beaucoups de mots que je ne comprend pas. D'un caractère enfantin, je me suis créé toute sorte d'amie imaginaire avec qui je parle par pensée... ils sont toujours là, me soutiennent, me rassurent, je discute avec eux par la pensée, personne ne sais qu'ils sont là, personne ne peut les voir ni les entendre, et ils sont surement la seule chose que personne ne pourra me retirer... oui, vous pouvez appeler ça du "dédoublement de personnalité", si vous le souhaitez. Esclave docile, je suis en mesure de supporter toutes paroles, tout traitement... j'ai eu l'occasion de m'entraîner durant les trois années de ma captivité parmi les dresseurs d’esclaves à tout recevoir, en me sentant même contente de le recevoir... ou au moins en ayant l'air d'être contente. Je ferais toujours tout ce que vous me demanderez, sans me plaindre, sans supplier... je pleurnicherais peut-être un peu si vous êtes violent, mais vous n'entendrez pas plus de réplique que ça de ma bouche.
Histoire : Je me sentais vraiment étrange, ce jour-là... engourdit, j'avais mal à la tête, ainsi que partout sur le reste du corps... mais surtout à la tête. C'était comme si mon crane était devenu trop petit pour mon cerveau, que celui-ci se faisait presser comme une orange. J'ignorais où j'étais, et ce que je faisais là... d'ailleurs, j'ignorais ce que j'étais, et quel était mon nom. J'ouvris lentement les yeux... une lumière blanche me fit mal, donc je les refermais rapidement. Il fallut que j'attende un court instant que les larmes humidifient mes yeux, avant que je puisse totalement les ouvrir, et que je puisse regarder autour de moi. Cette puissante lumière qui m'avait aveuglé n'était autre que la flamme d'une bougie posée près de moi... lorsque j'avais ouvert les yeux, cette lueur m'avait pourtant paru si puissante. Perdue et encore à moitié endormie, je tentais de me redresser... un bruit de chaînes se fit entendre et je sentis que quelque-chose me retenait. Mon cou, mes mains et mes jambes étaient entourés par d'épais rubans de cuir, et une chaîne passé à travers un anneau passait à chacune d'entre-elle et me raccroché au sol. Mes pieds étaient attachés entre-eux et mes mains étaient liés dans mon dos... je fus seulement capable de me mettre à-genoux.
Étrange... je savais ce qu'étaient des chaînes, une bougie, une flamme... pourtant je n'arrivais pas à me rappeler de ce que j'étais, ni de mon nom. Je regardais longuement autour de moi. J'étais enfermé dans une salle sombre sans fenêtre... je remarqua alors les ailes couvertes de plumes roses de chaque côté de mon corps. Etais-je une sorte d'oiseau ? Il y eut un bruit de serrure qui me fit sursauter, et je me tourna vers une porte en-train de s'ouvrir. Un homme corpulent, couvert avec un tablier taché, s'approcha de moi avec une lanterne. Il s'agenouilla devant-moi et me saisit le menton, me forçant à tourner la tête de droite à gauche, m'observant sous tout les angles. J’ouvris la bouche pour protester, mais seul un sifflement aigu sortit de ma gorge en sortit... je ne savais plus parler... mais avais-je déjà su le faire, à un moment ou à un autre ?
L'homme se mit alors à me sourire avec ses chicots fatigués... je ne savais pas qui il était, mais il me faisait déjà peur... et me demanda :
-Est-ce que tu comprends ce que je dis ?
Je le regarda avec de grands yeux surpris... oui, je comprenais ce qu'il me disait, mais je ne savais pas comment le lui signaler. Il me donna la solution :
-Bouge la tête de haut-en-bas quand tu veux dire "oui".
Ce que je fis. L'homme parut satisfait et continua... son haleine sentait l'oignon et me faisait monter les larmes aux yeux..
-Parfait. Connais-tu ton nom ? Sais-tu qui tu es ? D'où tu viens ?
Ce coup-ci, je ne fit pas de signe de la tête... car non, tout-cela, je ne le savais pas, et je ne savais pas comment dire "non". La satisfaction de l'homme sembla monter à son comble. Il me lâcha, se redressa et resta devant-moi, me regardant de haut.
-Parfait ! S'exclama-t-il : le petit breuvage de Marcus à eu l'effet espéré. Dorénavant, sache, mon petit oiseau des îles, que ton nom sera Pipa.
L'homme trifouilla quelque-chose sur son pantalon et en fit sortir une longue chose flasque et malodorante. Dégoûté, je voulus m'en éloigner en sautillant sur mes genoux... mais il m'attrapa par les cheveux et me força à plaquer mon visage dessus.
-Ceci est un sexe d'homme, continua-t-il, et ce sera une chose qui aura beaucoup d'importance durant le reste de ta vie. Ton but doit être de satisfaire l'homme à-qui le sexe appartient. Ton dressage commence maintenant, et avec moi... maintenant, ouvre grand la bouche. Ce que je vais te faire faire s'appel une "pipe".
Et c'est ainsi que je commença mon apprentissage en-temps qu'esclave sexuel. J'appris très vite les noms des deux marchands d'esclave à qui j'appartenais... ils se nommaient Flint et Marcus, deux frères qui travaillaient ensemble en parfaite collaboration. Flint s’occupait de dénicher et de ramener des esclaves... et Marcus, doué en alchimie, s'occupait de les préparer au dressage et à la vente. Il avait créé tout sorte de potion pour les aider dans leur tâche, dont celle qu'il m'avait fait prendre avant que je ne me réveille dans cette vie : un breuvage qui avait effacé chacun des souvenirs de ma vie, ne me laissant qu'assez de mémoire pour savoir comment respirer et donner un nom sur les choses que je voyait. Cette potion m'avais tout-simplement fait perdre mon identité. Les deux frères avaient une très bonne réputation, grâce à leur technique. J'ignore qui j'étais avant qu'ils ne me capturent... mais cette personne est aujourd'hui morte, remplacée par moi, l'oiseau des îles soumis aux humains.
La première année de ma vie de servitude consista à me réenseigner les bases des choses de la vie... en outre, réapprendre à parler plus ou moins convenablement, se contentant cependant de ne m'enseigner que les mots les plus banals que quelqu'un dans ma situation a à prononcer. Je dus également réapprendre à marcher, à me nourrir, et à faire d'autres choses dont j'aurais besoin. Les maîtres se montrèrent patient... enfin, c'est ce qu'il me sembla, bien qu'ils me frappais souvent car ils trouvaient que je n'apprenais pas certaines choses assez vite... cependant, ils ne m'ont jamais vraiment abimés, ni tué... couverte de cicatrice ou morte, je perdrais beaucoup de valeur. Et, sur eux, je dus apprendre les rudiments de mon futur "métier". Ils n'eurent pas vraiment de mal à me briser et à m'apprivoiser... j'avais à l'époque autant d'esprit qu'un nouveau né, et lorsqu'on prend un animal très tôt, on peut lui enseigner tout ce qu'on veut. J'appris donc que faire plaisir et faire du bien aux autres, c'était bien, me taire et ne parler que lorsqu'on s'adressait à moi, c'était bien... répliquer, me rebeller, pleurer, ou rendre les coups, c'était mal. On ne mort pas la main qui nous donne à manger, ni le sexe dont on doit s'occuper... on ne mord pas, tout-simplement. Ils m'apprirent à me montrer reconnaissante lorsque je recevais une récompense, quel qu'elle soit, et à m'excuser pour ma faute, que je la comprenne ou non, lorsque j'étais puni. Ils s'occupèrent de moi jusqu'à ce que je n'ai pas plus d'esprit qu'un chien bien dompté.
Les deux dernières années furent consacrées à parfaire mon art... les esclavagistes me louèrent à un harem... dans quel but ? Que j'apprenne. Durant deux années, je fus offerte quotidiennement à toutes sortes de personnes, de créatures, qui venaient ici afin de prendre un peu de bon temps. Et je vécu toutes les sortes de fantasmes et de sévices sexuels possibles et imaginables. J'ai appris qu'il était de mon devoir, et dans mon intérêt, de tout accepté. Trois jours plus tôt d'aujourd'hui, alors que j'attendais sur mon perchoir mon prochain client, je dus étonnée de voir revenir les hommes qui m'avaient dressés...
-Nous venons te chercher, mon oiseau des îles, dit Flint avec un grand sourire. Tu es prête, et le grand-jour approche pour toi : il est temps que tu nous rapportes le fruit de notre labeur, et que tu devienne l'objet de fantasme d'un maître ou d'une maîtresse. Tu es contente ?
Je ne savais pas si j'étais contente ou pas... mais j'avais peur, ça, c'était certain. Cependant, ils m'avaient appris à toujours dire "oui", alors je hocha la tête de bas-ne-haut.
-Parfait ! Maintenant, descend de là, et toi, Marcus, va chercher sa cage...
Situation de départ : Esclave sexuelle expérimenté, qui n'attend plus qu'un maître ou une maîtresse à servir.
Autres : Mes ailes duveteuses devraient normalement me permettre de voler, mais je ne sais pas le faire... les marchands d'esclaves m'ont appris à faire des fellations, à recevoir une pénétration, à jouir où et quand il faut... mais il ne m'ont pas appris à voler, et même, lorsqu'ils voyaient que je le tentais instinctivement, ils me battaient, prétextant que je tentais de m'évader... il ont ainsi étouffé mon désir et mon besoin de voler. Cependant, je sais me servir de mes ailes, aux plumes douces, de façons bien différentes et plus utiles... en tout-cas aux maîtres : je les remue à la manière de rubans lorsque je danse, ou encore elles rendent la masturbation plus agréable...
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