Nom : Azikamü
Prénom : Shunï
Surnom : Echo 8-5, lors de ses missions
Âge : 26 ans, c’est encore plutôt jeune pour une Lieutenant.
Orientation sexuelle :
Lorsqu’elle porte l’uniforme, elle est Hétérosexuelle. Lorsqu’elle le retire, elle est une bisexuelle affirmée.
Caractère :
En fait, le terme ‘’militaire’’ exprime tout ce qu’il y a à savoir sur le caractère de cette jolie rouquine, pour plusieurs raisons : À l’armée, l’ordre est de rigueur, elle a donc appris à détester toute forme de saleté ou encore de désordre, son appartement dans le centre-ville de Seikusu en est un parfait exemple; il est toujours immaculé. Une femme dans l’armée, ça doit avoir un caractère des plus forts, sinon ses camarades ont vite fait de lui saper le moral; Donc, comme beaucoup de femmes qui ont décidé de grimper les échelons dans ce métier, elle a su se construire une armure d’indifférence face à ses collègues masculins. Elle éprouve même un malin plaisir à leur faire remarquer qu’elle est meilleure qu’eux dans certains domaines.
En dehors de l’armée, Shunï est une femme tout à fait adorable; elle n’a pas peur de sourire, de faire la fête. C’est une femme tout sauf intravertie, qui n’a pas peur de dire ce qu’elle pense, ni de charmer homme ou femme.
Lors de ses missions, elle fait preuve d’un sens de la détermination que peu peuvent se vanter d’avoir, ce qui l’amène à souvent devoir tirer dans des situations plus ou moins périlleuses, ou encore à se dévoiler pour pouvoir accomplir sa mission.
Physique :
Ne vous fiez pas à la photo qui a été prise lors d’une fête, organisée par ses collègues de l’armée, elle n’est pas toujours vêtue ainsi. Généralement, un chandail relativement décolleté ainsi qu’une bonne vieille paire de jeans avec ses bottes d’armée, montant jusqu’à la moitié des mollets, constituent son habit de tous les jours.Pour les soirées, elle a sa robe noire fendue à partir de la cuisse gauche.
Côté physique, elle est semblable à toute autre femme dans le domaine militaire; taille fine, corps recouvert d’une fine musculature, surtout au niveau des jambes. Du haut de ses 175 centimètres, ses yeux couleurs noisette vous regarderont parfois avec fermeté, ses fins sourcils froncés, parfois avec tendresse, ses petites lèvres esquissant un sourire. La rouquine passe très peu de temps à s’occuper de ses longs cheveux, se contentant de les faire tenir en queue de cheval, qu’elle attache généralement avec un élastique jaune,et retient une mèche rebelle à l'aide d'une pince à cheveux, ornée un joli crâne sur le dessus.
Les messieurs voudront probablement avoir les mensurations de celle-ci? Eh bien soit. Peu de graisse recouvre le corps de la jeune femme, la majorité se concentrant au niveau de la poitrine. Celle-ci est peu corpulente, mais juste assez pour qu’on puisse la remarquer. Grâce à ses années d’entraînement, et bien malgré elle, les fesses de Shunï sont rondes, plus grosses que la moyenne, et c’est ce qui constitue son complexe; elle préférerait ne pas en avoir que d’avoir celui là.
Cependant, ce n’est pas une femme qui est mal dans sa peau, elle sait qu’elle est belle, et peut même utiliser ses charmes pour pouvoir se sortir d’un mauvais pétrin.
Histoire :
Ses parents étaient pauvres; son père, un simple soldat, et sa mère qui ne savait rien faire d’autre que de s’occuper de sa fille unique et d’entretenir la maison, il était difficile de pouvoir joindre les deux bouts, mais ça n’a pas empêché la petite rouquine d’avoir une belle vie, avec l’amour de parents qui étaient là pour la supporter dans ses peines, célébrer avec elle dans ses joies… Non, l’argent ne fait pas le bonheur, et c’est ainsi qu’on peut le prouver.
Dans ce temps, c’étaient les années tranquilles au Japon pour les soldats, il y avait très peu de guerre ou encore de manifestations, ces derniers étaient donc simplement payés pour s’entraîner, juste comme précaution, une police d’assurance pour le pays que personne n’oserait s’attaquer à eux, le souverain étant un pacifique, il n’irait jamais trahir ses convictions profondes pour simplement s’emparer d’un bout de territoire. Cependant, le général des armées et bras droit du dirigeant du bout de terre qu’on appelle Japon, voyait autrement plus grand et, après plusieurs efforts, réussi à convaincre son chef de partir en guerre contre la Chine, qui était soupçonnée de préparer une invasion. Toutes les troupes étaient appelées à prendre les armes et se diriger vers le port de Niigata, où des bateaux les attendraient pour défendre leur pays. Malgré l’effet de surprise, le Japon avait pris la raclée du siècle et avait subi de lourdes pertes sur les terres chinoises.
Des vingt mille soldats qui avaient quittés le port, quelques mois auparavant, cinq mille huit cent soixante quatre en sont revenus. Shunï avait seize ans lorsque son père est parti en Chine pour trouver et détruire des armements massifs, elle ne l’a plus jamais revu depuis.
Deux ans, c’est le temps qu’elle et sa mère ont pris pour faire leur deuil. Mme Azikamü a réussi à tourner la page en faisant le ménage et en travaillant dans une usine de Tôkyô, mais ce n’était pas le cas de sa fille majeure. Celle-ci avait donc décidé de faire quelque chose d’impensable pour une jeune femme qui avait perdu son père à la guerre, devenir soldate.
Tu es nulle en combat rapproché, Shunï. Toi, ton truc, ce sont les armes à feu… J’aurais peut-être un poste assez intéressant pour toi…
Même si ça lui avait fait mal de savoir que son évaluateur lui avait dit qu’elle ne serait jamais douée en combat à mains nues, elle avait accepté de suivre des cours pour devenir TDE, un tireur d’élite. Après seulement quelques mois, elle avait passé de recrue de front à TDE recrue, et elle y prenait goût. En fait, dès son premier tir avec une dragonuv à lunette ajustable, elle était devenue accroc.
À 18 ans elle a commencé le programme et à vingt ans elle fût diplômée, mais il fallait à présent trouver un endroit où habiter. Il y a plusieurs raisons qui ont poussé Shunï à venir s’installer dans le village de Seikusu, après l’obtention de son diplôme de l’école militaire japonaise, mais la plus convaincante était qu’elle avait toujours vécu ici. Donc, une fois bien installée dans un petit appartement dans le centre-ville, elle commença sa vie de TDE, une mission à la fois.
Six ans, une vingtaine de missions et quatre grades plus tard, elle s’occupe désormais d’une classe de six recrues TDE à sa base militaire, située à trente minutes de vélo de Seikusu. La suite? À vous de voir…
Autre :
Elle possède un tatouage : Les trois lettres « TDE » en écriture stylisée, de couleur turquoise, à l’intérieur de la cuisse droite. Elle ne sort jamais sans son couteau de chasse bien à l’abri des regards dans son sac à main noir.
Avez-vous un moyen pour faire connaître le site autour de vous?:Non
Comment avez-vous connu le site?:
Doublette!