[FINI] Ange & Démon [Sya]

Sya ne cesserait de le dire mais elle adorait être auprès de Mélinda, oui, son harem y était aussi pour quelque chose. Elle aimait sa maîtresse mais si en plus elle avait un large choix de partenaire sous la main, de soumise à dominante en passant par quelques cas à part, oui, elle aimait vraiment cet endroit à Ashnard. Et maintenant, elle pouvait y ajouter Samara en plus à sa liste de choses qui étaient un vrai plaisir ici. Il est vrai que l'ange observait la démone mais pas comme n'importe quelle femme. Cette démone à la peau rouge était si belle, autoritaire et douce à la fois, une langue délicieuse, une peau délicieuse et même son lait, pourtant il n'était pas aphrodisiaque. Elle en a connu des démones pourtant, que ce soit auprès de Lust ou dans ses aventures mais jamais une telle démone. Peut-être prenait-elle ce jeu de mère et fille trop au sérieux et elle commençait à voir en Samara une mère qu'elle n'a jamais connue ? Même dans ses rares souvenirs de Nymph, elle ne se rappelait pas d'une mère... Métatron et les autres, oui mais pas d'une mère.

Pourtant, ce qu'elle avait sous les yeux se faisait un plaisir d'entendre ses quelques lettres mises côte à côte. L’appeler Maman semblait la ravir autant que Sya. Mais il y avait peut-être de l'amour pur et simple dedans ? Pas de l'amour des femmes comme avec Mélinda, Limma et les autres filles. De l'amour comme avec Lust, Iinari et Saikai ? Oui et non. C'était trop tôt pour le dire, elle adorait cette démone autant que Mélinda mais... c'était peut-être comme pour Samara, l'addition des contraires ? Logiquement ennemie et pourtant si proche l'une de l'autre, c'était beau. Quoi qu'il en soit, sa « mère » voulait qu'elle passe à autre chose et voir ses cuisses s’écarter était déjà une chose merveilleuse pour l'esclave angélique alors entendre en plus ses mots. Elle n'avait pas peur d'échouer. Ses fesses avaient peur mais elle ferait honte à Lust si jamais elle échoue là-dessus alors pas question de jeter l'éponge !

« Merci Maman. Sya va se faire une joie de vous rendre heureuse ! »

Elle serrait ses mains sur les pans de sa petite robe, elle avait une folle envie de laisser le naturel revenir au galop mais non, le rôle avant tout ! Elle devait rester vierge à tout prix, savoir des choses sur le plaisir mais laisser Samara mener la barque à moins qu'elle ne demande le contraire. Elle devait donc se retenir. Elle se redressa sur ses genoux en posant ses mains sur ses cuisses, caressant le cuir. Elle arrivait à sentir les motifs en relief sur le cuir, pas nombreux mais présent. L'idéal était de ressentir la peau si douce et chaude. Elle venait installer sa petite bouche entre ses cuisses, reniflant doucement cette odeur. Pour bien des gens, ce n'était que l'odeur de la démone, peut-être un peu de la transpiration mais Sya maîtrisait la luxure comme personne. Elle n'est pas devenue une des favorites de Lust ni sa prêtresse que pour son joli minois. Elle pouvait tout deviner des désirs et de la personne en léchant, en touchant, en sentant. Même la plus fière des guerrières n'est qu'un livre ouvert pour Sya. Elle ne saura rien de sa vie mais sa vie sexuelle en revanche. Si elle voulait, elle pouvait tout savoir des plaisirs de Samara mais, elle va respecter son « intimité » si elle puis dire ainsi.

Glissant sa langue sur ce petit morceau de cuir entre ses jambes, sa langue glissa volontairement un peu en dehors pour goûter sa peau délicieuse. Ses mains gardaient appui sur ses cuisses mais sa tête s'enfonçait de plus en plus dans ce coin douillet et chaud, bientôt son nez venait se coller contre elle, laissant sa langue venir la lécher de haut en bas doucement, délicatement, glissant sans arrêt à la surface. Il était plus compliqué de savoir où en était le plaisir face de tels dessous mais heureusement, Sya savait où en était le plaisir de Samara. Elle ne voyait pas son joli petit bonbon mais elle le sentait doucement se réveiller et frapper sous cette couche de cuir, voulant sortir. Un peu de patience, Sya allait bientôt goûter ce délicieux bonbon. La démone devait à peine sentir sa langue pour le moment mais ce n'était que le début car bien vite, l'ange venait forcer sa langue sur ce dessous aguichant, venant trouver où se trouvait son merveilleux petit clitoris !

« Hihi, Sya t'a trouvé... »

Dit-elle doucement avant de partir plus chargé vers cette minuscule bosse à peine perceptible, elle le léchait de plus en plus, appuyait dessus avec ses lèvres, tentait de croquer son petit bonbon à pleines dents, quitte à ne faire que cela sur le cuir, elle semblait bien s'amuser avec si peu de choses mais l'entrejambe d'une femme, c'est si beau et merveilleux. Elle remuait de plus en plus son arrière-train en gémissant doucement, que ce soit involontaire ou que ce soit sa véritable nature qui refait surface, elle continua encore en encore à s'attaquer à cette petite barrière, à remuer doucement ses fesses. Laissant un petit moment de repis à son petit clitoris, sa langue glissa sur sa peau, coulant délicieusement dessus, très lentement. Elle cessa une seconde pour lever sa tête vers Samara, le regard comme le sourire toujours aussi joyeux.

« Sya adore jouer avec vous, Maman. »

Un dernier sourire puis la voilà de retour à l'attaque de son petit trésor. Elle repensait là où elle avait laissé la partie, léchant cette surface précise, appuyer dessus avec sa langue et ses lèvres, cherchant à l'atteindre avec ses petites dents. Une chose était sûre, elle s’amusait au moins. Même si elle regrettait de ne pas se laisser aller, elle aurait bien joué avec son petit bonbon en laissant ses cheveux se faufilé ici mais... non. Elle devait continuer le jeu !!! Si elle s'écoutait, elle en aurait fait autant pour Samara sauf qu'elle serait assise sur ses cuisses à l'embrasser à pleine langue ! Une chance que l'ange tienne à son rôle, elle ne va pas cesser avant de la voir jouir, elle ne cessera pas tant que sa mission ne serait pas remplie !

Si on avait demandé à Samara ce qu’elle pensait sur l’amour, elle aurait répliqué que c’était, pour elle, quelque chose de creux et de vide. Quelque chose qui n’avait pas de raisons d’être, et qui n’existaient que chez ces imbéciles d’humains. De fait, il était commun que les démons n’étaient pas connus pour être de grands romantiques. Et pourtant... L’amour n’avait-il pas ses propres causes ? Il existait des cas de démons amoureux. Dans la vie comme en chaque chose, il fallait se méfier des affirmations absolues et péremptoires, car la vie, comme toujours, était nuancée. Samara pouvait prétendre ne pas connaître l’amour, mais, dans les faits, sa position était bien plus nuancée. Sya en était une bonne illustration. Quand elle avait su que Mélinda avait une Ange, elle avait voulu l’avoir pour la dominer, et pour satisfaire ce vieil égo démoniaque à l’égard de l’éternel ennemi du peuple à cornes. Mais, maintenant que Sya était là, toute douce, toute timide, Samara devait bien admettre qu’elle avait désormais d’autres projets, et d’autres envies. Cette petite créature fragile était trop mignonne pour qu’elle puisse décemment choisir de la faire souffrir gratuitement. Samara éprouvait pour elle une curieuse affection, et, en la voyant entre ses cuisses, avec ses beaux cheveux bleus qui filaient en cascade le long de sa tête, elle ne pouvait s’empêcher de ressentir une profonde affection... Sentiment qui se développa encore quand la langue de l’Ange alla jouer entre ses cuisses, s’attaquant à ses cuisses.

La démone lui avait donné un ordre précis, et elle s’attendait à ce que Sya l’exécute sans rechigner. C’est donc tout naturellement que Sya se dirigea vers ses cuisses, et commença à la lécher. Samara serra les lèvres, soupirant de plaisir. L’Ange de la Luxure était douée, et elle allait lui prouver en ce moment. Sa langue filait de haut en bas, glissant sur sa tenue de cuir, veillant à ne pas s’attaquer à sa peau. Avec sa langue, elle commençait par ratisser le terrain, afin de mouler sa tunique en cuir, et ainsi pouvoir avoir accès plus facilement à son intimité. C’était une stratégie efficace, qui confirmait clairement les talents de la petite Ange.

« Haaaa... Hnnn... »

Sya était douée, oh ça oui ! Elle s’évertuait à le lui montrer, et léchait, en conséquence, son corps, atteignant, au bout de quelques léchouilles, son bouton d’amour, sur lequel elle s’évertua à appuyer. Samara se tortillait sur place, sentant la mouille suinter hors de son trou, pour venir rebondir contre sa tenue, moulant davantage cette dernière, avant de glisser. Les soupirs et les gémissements de la démone étaient délicieux à entendre, et, pendant ce temps, sa main vint empoigner les longs et beaux cheveux bleus de Sya, les caressant et les serrant entre ses doigts.

« Hummm, ma chérie... Le minou de ta Maman est bon, hein... ? Lèche, lèche, lèche, ma puce, ne t’arrête, fais plaisir à ta Maman... »

Samara avait rarement été aussi douce avec l’une des prostituées de Mélinda. Ici, elle se faisait clairement plaisir, ce que Kazuha pouvait noter, avec un sourire sur le coin des lèvres. Elle se rapprocha des deux femmes, puis s’assit, elle aussi, sur le lit, juste à côté de Samara. Une main vint caresser l’une des joues de la démone, et elle l’embrassa sur les lèvres.

« Plus je vous vois, plus j’ai le sentiment de voir une mère en train d’éduquer sexuellement sa fille... Voudriez-vous adopter cette petite Ange, Maîtresse ? »

Elle posa cette remarque avec humour, mais Samara manifesta un court moment d’absence, comme si elle était surprise, avant de secouer la tête.

« Ne... Ne dis pas de bêtises, Kazuha... »

Mais en était-ce vraiment ?

Sya était planté entre les douces et chaudes cuisses de Samara, léchant avec tant de plaisir ses lèvres intimes moulées sous ses dessous de cuir. Il n'y a pas à dire, sa mère avait vraiment du goût ! Alors que l'ange appréciait tant les caresses que les petits mots, Kazuha vint vers elle, jouant avec Samara avant de lâcher une phrase qui avait fait des échos tant pour la démone que pour l'ange. La grande Samara avouait que ce n'était que des bêtises mais Sya cessa de la lécher pour lever la tête et la regarder, penchant doucement la tête sur le côté.

« Sya ne convient pas à Maman ? »

Agitant ses petites ailes dans son dos, elle arriva à hauteur de la démone, prenant place sur ses cuisses, enroulant ses bras autour de son cou en ne quittant ses yeux sous aucun prétexte. Était-elle triste ? Heureuse ? Jouait-elle un rôle ? Il était difficile cette fois de définir son regard mais elle ne semblait pas faire cela pour être puni ou récompensé, simplement pour parler ? Il faut croire que oui, du moins pour le moment.

« Sya va être franche avec vous. Quand Sya a été trouvé, elle n'avait rien. Pas de famille, pas de connaissance, pas même un nom. Mais petit à petit, Sya a obtenu une amie, puis un nom, une Déesse, des tas de copines qui sont devenue ses sœurs. Puis en continuant, elle a eu plein de nouvelles copines. Sya est même tombé amoureuse et maintenant, elle a deux petites amies neko ! » Une précision qui l'amena à sourire et à glousser avant de reprendre son sérieux. « Mais Sya à continuer, elle a découverte son ancien nom, ses vraies sœurs... » Elle n'aimait pas tellement parler de ce passé-là... il était encore assez effrayant pour elle. « Et la liste continue encore de grandir. Parti de rien, Sya à plein de copines, plusieurs sœurs, une Déesse, deux petites copines mais dans la vie de Sya, il manque quelque chose. Une maman. »

Elle offrait un très grand sourire à Samara. Évidemment, Sya avait vraiment une mère, elle n'était pas arrivée au monde comme ça mais que ce soit dans la tête de Nymph ou de Sya, elle n'a aucun souvenir de cette mère qui l'a mise au monde. De même, elle n'a jamais osé demander ce genre de chose à Métatron. Pourtant bien des fois, des maîtresses ont voulu être nommées Maman mais pas une seule fois Sya avait découvert ce manque en elle, alors pourquoi avec Samara.

« Vous ressentez la même chose, n'est-ce pas ? Sya a bien vu que vous n’étiez pas une femme comme les autres. »

Pourtant elle en a croisé des démones, entre les normaux et les Succubes, elle en a connu beaucoup mais comme Samara, aucune. Elle ignorait quel était ce lien mais si elle n'aurait pas eu Iinari et Saikai dans sa vie, elle aurait pu croire à de l'amour mais pourtant, quand elle entendait ce mot, elle avait l'image de ses deux nekos d'amour en tête. Alors, elle présumait que c'était une sorte de lien affectif ? Peut-être autre chose mais elle n'en avait pas la moindre idée alors.

« Sya vous le demande donc sérieusement, acceptez-vous de devenir la maman de Sya ? »

Inutile de dire qu’au-delà du nom, il y avait bien des avantages que certaines de ces maîtresses n'auraient jamais. Elle aurait bien pu demander cela à Mélinda mais il y avait pas ce lien. De plus, elle se disait déjà maman de tant de jolies filles, inutile d'en ajouter une de plus alors qu'elle baigne dans un amour maternel avec toutes ses filles. Mais Samara... avait-elle une fille au moins ? Une famille ? Sya était là pour combler ce manque, peut-être ? Quoi qu'il en soit, elle observait la belle démone en attente de sa réponse. Va-t-elle obtenir une maman ? Juste une nouvelle Maîtresse ou amie ? Elle va bientôt être fixée mais loin de là l'idée malsaine, elle la voulait d'abord contre elle, un câlin, oui, juste être proche d'elle.

Faite uniquement dans le but de plaisanter, l’intervention de Kazuha fut ensuite comme le petit caillou qui, en descendant, allait provoquer une avalanche. Sya, occupée à lécher l’intimité de Samara, se releva en entendant le trouble dans la voix de la démone, et, à la surprise de Samara, bondit alors contre ses bras. Machinalement, la démone tendit ses mains autour du corps de Sya, caressant ses cheveux, sentant cette aura angélique contre elle. Sya se pressa contre elle, et l’Ange se mit ensuite à parler, lui expliquant qu’elle était partie de rien, et que, petit à petit, elle avait réussi à se constituer une famille. Une main sur ses cheveux, l’Archimage l’écoutait parler, sans jamais l’interrompre, jusqu’à ce que Sya termina en disant qu’elle n’avait jamais eu de mère. Cet aveu amena Samara à cligner des yeux à plusieurs reprises. Une mère… Elle lui avait demandé de l’appeler « Maman » au début, uniquement dans un cadre sexuel, mais la plaisanterie avait fini par s’installer durablement, et, avec ses grands yeux bleus, l’Ange de Luxure demandait alors, sincèrement, à Samara, de l’adopter. C’était… Inattendu. Une démone adoptant une Ange…

Les mains de Samara continuaient à tenir Sya, et, comme on pouvait s’y attendre, la réponse ne vint pas tout de suite. Elle y réfléchissait sérieusement. Sya n’était pas qu’une simple Ange, elle était aussi une émissaire de Lust, et, à ce titre, son corps suintait la perversion et la corruption. Une perverse, voilà tout ce que Sya était… Une grande et coquine perverse, vicieuse jusqu’au bout des ongles. L’avoir comme fille conduirait assurément à une profonde relation incestueuse, mais présenterait aussi l’avantage que Samara aurait Sya en personne… Comme toujours, le point de vue de Samara était très centré sur sa propre personne, sur son ambition et sur son influence personnelle. Avec une Ange sur ses genoux lors de réceptions, elle attirerait forcément l’ambition. De plus, être une mère ne serait pas trop difficile avec elle, surtout qu’elle avait Kazuha pour l’aider. Hochant donc la tête, Samara caressa les longs cheveux bleus de Sya, et déposa un baiser sur son front.

« Je ne m’attendais pas à devoir adopter les esclaves de ma chère Mélinda… Tu sais, je suis une femme puissante, Sya. Je dîne avec des Conseillers Impériaux, je couche avec des duchesses, des maîtresses de clan… Je ne peux pas prendre à la légère une telle proposition, mon petit Ange… Et, quoi qu’il arrive, si tu veux que je t’adopte, ça ne pourra être qu’à la fin de ton service avec ta Maîtresse, quand tu ne seras plus officiellement une esclave. »

Samara n’adopterait jamais une esclave. Pour elle, ce serait le déshonneur, la disgrâce. Elle lui caressait les cheveux, continuant à maintenir cette petite créature chaude au corps délicieux contre le sien.

« Tu seras ma fille, Sya, et tu vivras chez moi, tu pourras dormir avec moi, si tu parviens à te montrer digne de l’être. Satisfais-moi pendant toute la durée de ton service, fais en sorte que ta Maîtresse soit fière de toi, et je t’adopterai. Tu seras ma fille, et, comme ça, tu vivras avec moi, et tu pourras revenir au harem quand tu le voudras… »

Samara savait que, quand on avait Mélinda comme Maîtresse, même en étant affranchi, elle restait toujours un peu votre Maîtresse. C’était un conditionnement cérébral, mais aussi logique, car Mélinda avait naturellement tendance à dominer. Il n’y avait guère que les personnalités influentes et puissantes comme Samara qui pouvaient la calmer, la fesser, la fouetter, et la sodomiser sans problème. C’était indiscutablement un grand pouvoir, et Samara embrassa ensuite Sya sur les lèvres, tendrement et chaudement. Une fille… Samara n’en avait encore jamais eu, mais, pour le coup, elle devait bien admettre que cette perspective était terriblement excitante.

Terriblement excitante, même !

Samara lui lécha ensuite l’oreille, en souriant malicieusement :

« Sache que, si tu veux être ma fille, je serais beaucoup plus exigeante avec toi, Sya… Tu vas devoir le mériter, car, une Maman comme moi, ça ne se trouve pas partout… »

Si Samara n'aurait pas eu ce petit trouble dans la voix, Sya aurait sûrement continué son rôle en passant à côté de cette proposition mais c'est bien la preuve qu'elle aussi avait légèrement pensé à cette idée avant de « plaisanter » avec Kazuah. Sya avait pris soin de raconter rapidement les gros événements de sa vie, sa vie auprès de Lust et de toutes ses sœurs, Iinari et Saikai, la rencontre avec sa vraie sœur biologique et maintenant, la possibilité d'avoir une vraie maman. L'image ne serait pas banale. Une démone très belle à la peau bien rouge accompagné d'une délicate ange aussi mignonne que pervertie par la luxure, ce n'est pas rien. Samara évoquait ses repas et réunion en présence de personnes puissantes, chose qu'elle se fichait tant qu'il n'y avait pas d'homme dans le lot. Si ce n'était que des femmes puissantes et, ou importante, elle se fera une joie d'aider sa maman comme elle voudrait. Mais face à sa dernière phrase, elle gloussait un peu.

« Bien sûr. Sya ne va pas abandonner Maîtresse Mélinda alors que son contrat n'est pas fini. Mais Sya restera quand même et pour toujours la petite esclave de Lust. »

Peu importe sa situation, jamais elle n'ôte son collier autour du cou. Sans ça, elle n'est plus rien, elle n'est plus Sya... Même si sur Caelestis, elle a parfois de drôles de regards, elle s'en fiche, Sya restera Sya et pour toujours. Samara accepta l'offre à condition que Sya travaille bien ici au harem durant le reste de son contrat, une chose qui pour Sya était simple. Elle savait s'adapter à toutes les envies, aux plus romantiques aux plus salaces et hard. Cela dit, elle voulait quand même reparler d'un point car elle ne voulait pas nourrir Samara de faux espoirs.

« Sya compte habiter sur Caelestis avec sa petite amie et fonder une famille donc elle ne pourra pas vivre avec vous... Mais elle sera ravie de pouvoir vivre avec vous quand elle viendra travailler ici. Et au pire... Sya pourrait toujours en parler avec sa petite amie ? »

On ne sait jamais ? Saikai voulait vivre en paix mais plutôt que Caelestis, peut-être que la demeure de Samara serait assez grande pour faire venir une future petite famille ? Si Samara devient la maman de Sya, leurs futures filles pourront vivre avec leur grand-mère aussi ? Une famille peu banale qui se dessinait ! Une ange en couple avec une adorable neko qui donnera naissance à une angélique neko qui aura pour grand-mère une démone ? Que manque-t-il au tableau pour rendre la chose plus improbable encore ?! Enfin, elles n'en sont pas encore là pour le moment. Sya continua de câliner Samara en imaginant ses petites sorties en restant chez sa nouvelle maman, cela serait vraiment excitant et très intéressant. La belle démone vint à partager un tendre baiser avec l'ange sur ses cuisses avant d’avouer que pour la mériter, elle sera bien plus exigeante. Voilà qui était très alléchant. Toutes les prêtresses de Lust aiment les défis ! Combien de personnes se croient originale avec une idée bien précise et étrange alors que les prêtresses ont déjà vécu bien plus étranges et ça ne les ont pas empêché d'adorer.

Retrouvant un petit sourire bien pervers, Sya pencha sa tête sur le côté en se demandant si sa demande n'était pas un avertissement à ce qui allait se passer à présent dans cette chambre ?

« Oh ? Maman voudrait changer de jeux avec Sya ? Sya doit se montrer plus coquine peut-être ? Ou simplement sauter quelques pages pour arriver au plus amusant ? »

Quelques mèches de ses longs cheveux bleus s'élevaient dans les airs, ondulant légèrement avant de se poser en douceur sur les tempes de la démone, lui montrant deux phases différentes d'une même pièce. Des images du même jeu actuel où Sya était faussement timide et amatrice en sexe, laissant Samara la dominer. Ou bien une Sya qui ne se retient pas tant au langage qu'en ses actions, à genoux devant elle, la masturbant avec plaisir, faisant passer la fente de son gland sur l'un de ses tétons en attendant avec joie la crème brûlante de sa nouvelle maman ? Ses cheveux retombaient alors que sa tête penchait de l'autre côté en agitant ses petites ailes translucides dans son dos.

« Alors Maman ? Quoi que vous choisissiez, Sya restera encore vierge pour vous. »

Son changement d'attitude n'allait pas changer ça, Samara aura la joie de la déflorer une nouvelle fois. Son regard allait un instant sur la belle Kazuha qui après tout avait déclenché cette demande de la part de Sya envers sa maîtresse venue se détendre au harem de Mélinda.

« Si Kazuha veut jouer avec nous, Sya veut bien. Surtout si ça fait plaisir à Maman. »

La pauvre ne se régalait qu'avec ses yeux depuis tout à l'heure même s'il y a eu ce petit moment quand elle était fessée par la belle démone. Elle se demandait quand même quel choix sera celui de Samara ? Sya au naturel ou Sya dans son rôle de timide comme Samara l'a connu jusqu'ici ? Elle n'allait pas tarder à le savoir.

Sya précisa à la belle démone à la peau rouge quelques éléments biographiques intéressants. Ainsi, Sya était la servante de Lust, ce que Samara savait déjà, mais elle comptait aussi fonder une famille sur Caelestis... Une information très intéressante, et potentiellement dangereuse pour Sya et pour Mélinda. Les Ashnardiens voyaient Caelestis comme un « État-voyou », finançant des assauts terroristes sur les civils ashnardiens, afin de libérer les esclaves, sans trop se soucier des dégâts secondaires. Si les autorités impériales apprenaient que Mélinda hébergeait une Celkhane... Samara étant la responsable de Mélinda, sa responsabilité serait aussi engagée. Autrement dit, il allait falloir qu’elle s’occupe aussi de ce problème, et ce immédiatement. Tandis que Sya faisait onduler ses cheveux, et demandait à Samara ce qu’elle comptait faire, l’Archimage empoigna les cheveux de la femme, la soulevant un peu, et son visage se rapprocha du sien.

Revenant à la réalité, Samara l’embrassa doucement sur les lèvres, plaquant sa bouche contre la sienne, et sa langue s’enfonça dans la sienne. Ses doigts se crispèrent sur ses cheveux pendant quelques nouvelles secondes, et son autre main caressa ses hanches. Que faire de Sya ? Samara ne savait pas trop dans quoi elle s’engageait avec cette Ange. Elle rompit ensuite le baiser, puis l’un de ses doigts se posa sur ses lèvres.

« Ne dis à personne que tu viens de Caelestis, ou que tu envisages de t’y installer... Cet État est mal vu, et, si tu le fais, tu mettrais ta Maîtresse, et ta mère, dans l’embarras. D’accord, ma petite puce ? »

C’était une question purement rhétorique. Il suffisait juste de lui dire. Sya n’était peut-être pas au courant des vives tensions politiques existant sur la scène internationale à l’égard de Caelestis. Les multiples raids celkhans avaient fait parler d’eau, et, sur ce point, aussi bien Nexus que l’Empire d’Ashnard, s’accordaient à condamner les agissements de l’Archipel celkhan, et à œuvrer pour sa destruction. Si la polémique avait diminué depuis plusieurs mois, Samara n’avait nullement envie qu’elle reparte, a fortiori si elle tournait autour du harem Warren, dont le nom revenait un peu trop souvent aux oreilles des Conseillers Impériaux. Samara enfonça donc son doigt dans la bouche de Sya, l’invitant à le suçoter, et, avec son autre main, elle caressa plusieurs de ses mèches de cheveux. L’Archimage se concentra ensuite légèrement, et ne tarda pas à faire pousser, entre ses cuisses, un sexe tendu.

Kazuha, elle, restait encore sur le côté. Elle restait une esclave, après tout. C’était un élément qu’il ne fallait pas oublier, car il était important pour justifier sa position actuelle. Seule Samara déciderait du moment où Kazuha aurait un rôle plus actif avec elles. Pour l’heure, elle restait au rôle de spectatrice... Et, même si Kazuha était excitée, elle se faisait à ce poste. Son seul objectif, après tout, était de satisfaire aux requêtes de sa Maîtresse.

Le sexe de Samara caressait les fesses de Sya, se dressant contre ses hanches, après avoir écarté sa tunique noire.

« Caresse mon sexe avec tes cheveux, Sya... Enserre-les dans ta belle chevelure, et masturbe ta Maîtresse... »

Et, pendant ce temps, Samara continuait à jouer avec ses doigts dans la bouche de Sya, amenant ainsi la belle petite Ange à sucer chacun des doigts que l’Archimage glissait dans sa bouche.

Oui, Samara choisissait de rester douce... Pour le moment.

Sya aimait déjà sa maman de tout son être, la belle démone était si gentille, si sévère parfois mais si belle aux yeux de l'Ange. Elle lui avouerait la moindre petite chose de sa vie si elle lui demanderait. Pour le moment, elle restait sur ses cuisses à jouer avec ses cheveux d'une façon ou d'une autre, jouant avec la langue de Samara, partageant sa salve avec elle alors qu'elle venait lui demander de ne pas avouer ses origines. Du moins, sa vie sur Caelestis. Elle acquiesça en se disant qu'elle prononcerait la formule habituelle, avouant cette part de vérité quand elle avait une chambre dans la « Lune Rose » à Nexus, quand elle vivait avec Saikai ? Ce n'était pas un problème. Sya ne voyait pas le mal sur Caelestis, pour elle, c'était un petit paradis. La grande majorité était des femmes, vivants en paix, pour Sya, c'était un rêve. Le vrai rêve serait une île peuplée de femme où Sya baiserait sans arrêt avec tout le monde mais comme elle avait Saikai, c'était un autre genre de paradis, moins sexuel. Elle voulait simplement fonder sa famille là-haut, loin de tous les problèmes.

Pour elle comme pour Saikai, toutes deux ont été violées et torturer par les hommes, un monde sans homme, avec que des femmes qui aspirent à une vie heureuse, là est son souhait, tout simplement. Mais si cela risquait de causer du tort à sa mère ou à Mélinda, alors elle tairait cette information, tout simplement. Sentant le doigt s'enfoncer dans sa bouche, elle le suçait avec plaisir en observant la belle démone dans les yeux, savourant chacune de ses caresses sur ses cheveux puis esquissant un sourire en sentant cette chose qui venait de se frotter contre ses fesses. Elle savait ce que c'était... et ça lui plaisait, évidemment. Mais face à la douceur de Samara, Sya ne voulait pas aller trop vite à son tour mais elle obéit quand même non pas à sa maîtresse mais à sa mère. Ses cheveux vinrent s'enrouler autour délicatement, ne rendant visible son membre que par le gland bien rouge de sa queue ainsi que par la base. L'ange continuait de sucer doucement ce doigt en masturbant doucement le sexe de sa mère.

Kazuha restait là en esclave, se servant simplement de ses yeux pour regarder. C'est dommage, Sya aimait voir les esclaves avoir un peu de liberté mais en soi, cela ne la dérangeait pas tellement non plus d'avoir à être avec une véritable esclave qui ne bouge pas sans en avoir reçu l'ordre. Elle masturbait sa mère délicatement avant de prendre doucement sa main avec les siennes pour en retirer le doigt et demander quelque chose à sa mère, sa nouvelle maman.

« Est-ce que Maman pourrait me prendre dans ses bras ? Comme après ma punition... »

Plus de phrase a la troisième personne ? Une façon de faire le tri entre une Sya coquine et une Sya sincère. Là, elle ne voulait pas de sa mère pour bien se faire baiser par elle, elle voulait juste avec sa mère, un câlin de sa maman. Une chose que chaque enfant demanderait normalement, sans arrière-pensée. Elle ne cessait pas de la masturber, c'était une chose que sa mère lui avait demandé, alors elle continuait de le faire mais elle blottissait son visage contre son épaule en suçant son index. Un gros bébé, c'était l'image qu'elle devait donner mais elle s'en fiche. Elle ne pensait pas au sexe en ce moment, elle pensait aux bras réconfortant de sa mère, rien de plus. Une sensation des plus agréables et des plus apaisantes la saisissait. Restant blottit dans ses bras, Sya restait ainsi quelques minutes, elle aurait pu s'y endormir mais après cet instant mère-fille, il était temps de réveiller des choses en elle pour que la relation devienne mère et petite salope.

Ne serait-ce qu'à la façon de sucer son doigt, Sya avait changé un petit quelque chose ? Remuant un peu sur elle, elle se plaçait de façon à lui faire face, légèrement surélever sur ses cuisses. Sa queue masturbait sa mère de façon toujours aussi agréable, toujours aussi doux avec le contact de ses cheveux. Mais son gland caressait une partie de Sya, sa culotte, plus précisément, entre ses jambes, cette petite partie qui s'humidifiait au fur et à mesure de ses passages dessus.

« Est-ce que Maman aime passer sa jolie queue sur la culotte de Sya ? Elle est impatiente de s'offrir à Maman, toute entière... »

Oh oui, sentir sa semence aussi chaude que l'enfer en elle ou sur elle, elle allait adorer ça. Sentir les douces mains de Samara sur elle, être puni à coup de biffle aussi, être le petit jouet de sa maman lui convenait tout aussi. L'ange aimait sa Maman, qu'elle soit gentille ou méchante, Samara aura le dernier mot. Son petit net se frottait doucement contre le sien, ses lèvres les frôlaient aussi et son regard se noyait dans celui de la démone.

« Toutes les Maîtresses ont trouvé le petit cul de Sya très étroit et très agréable, comme sa petite chatte... Sauf que Sya s'est rendu totalement vierge, comme si personne n'avait jamais rien enfoncer en elle... Donc, Maman sera la première à déflorer Sya dans tous les sens du terme... à nouveau. »

Un joli cadeau en somme. Mais tout ça n'était qu'un mince cadeau à ce qu'elle allait offrir à sa mère à force d'être à ses côtés.

Les deux femmes continuaient à se découvrir et à s’explorer mutuellement, avec lenteur, douceur, et passion. Sya voulait devenir la fille adoptive de Samara… Une curieuse évolution dans leur relation, mais qui, en toute honnêteté, ne gênait pas énormément la démone. Esquissant un léger sourire sur ses lèvres, Samara la laissait se frotter contre elle, et, quand elle lui demanda un câlin, l’Archimage la souleva naturellement, et plaqua le petit corps de Sya contre le sien, venant, dans la foulée, poser l’une de ses mains sur ses fesses. Elle s’appuyait dessus, et, pendant ce temps, elle continuait à sentir les cheveux de Sya… Ses beaux cheveux bleus avaient des propriétés magiques étonnantes, confirmant le statut de Sya… Elle était une Ange de Lust, et ce culte avait toujours intrigué Samara. Elle y était ancrée, car elle connaissait l’importance de la religion auprès de la population. Une monarchie tenait grâce à ses deux piliers : la Couronne, et la Religion. Le noble et le pèlerin, l’un garantissant la sécurité de la populace, l’autre son éducation religieuse. Même à Ashnard, les prêtres enseignaient énormément, et ce alors que l’éducation civile se développait, parallèlement à une éducation religieuse ancrée dans les campagnes, et dont l’intérêt était de donner à l’Empire un statut sacré. La propagande impériale s’appliquait par le biais des préceptes religieux, par le biais d’une morale reposant sur la nécessité de civiliser les peuplades sauvages, de leur inculquer les bienfaits de la civilisation. C’était un domaine dans lequel Samara s’impliquait, comme le prouvait ses relations avec Sha… Et avec le culte de Lust. Outre être une démone qui venait régulièrement lors de leurs cérémonies religieuses, elle allait maintenant avoir, comme disciple, l’une des Anges de Sya. Quelle chance, non ?

Et cette Sya avait visiblement eu une vie bien remplie, afin d’avoir un logement sur Caelestis… Ça, c’était risqué. Samara espérait bien que Sya la suivrait, car, si l’Archimage pouvait fermer les yeux, elle se mettait théoriquement en tort, au vu de ses positions proches avec le Conseil Impérial. Étant un « rogue state », Caelestis et les Celkhanes étaient persona non grata au sein de l‘Empire. Cependant, Samara se voyait mal repousser cette belle Sya, qui continuait à tendrement la masturber, sous le regard admiratif de Kazuha. La belle blonde intervenait peu, car elle ne voyait pas trop comment le faire. Elle se contentait d’observer le duo en train de se câliner, et trouvait cette image magnifique… Elle avait trouvé son cadeau d’anniversaire : un beau tableau qui présenterait cette scène. « Samara & Sya »… Avec cette main sur ses fesses, cette verge rouge visible, les cheveux bleus s’entremêlant autour, compressant ce sexe, avant de se relâcher, et d’appuyer à nouveau… Deux grandes perverses se faisant face, et, peu à peu, la doucereuse et chaste affection dont elles se faisaient preuve allait faire preuve à quelque chose de plus fort, de plus brutal, et de beaucoup plus sensuel.

Samara caressait le dos de Sya, qui lui expliqua qu’elle avait rendu tous ses trous vierges, ce qui la fit sourire. Samara l’embrassa sur les lèvres.

« Et tu as très bien fait, Sya… Il faudra que tu fasses comme ça à chaque fois que je voudrais te faire l’amour… »

Les Prêtresses de Lust faisaient volontiers ça sur les prostituées et sur les jeunes femmes ne voulant pas que leurs parents, ou leurs futurs époux, apprennent qu’elles n’étaient pas vierges. C’était d’ailleurs de cette manière que le culte avait gagné beaucoup d’argent… En partie. Leurs prêtresses faisaient des consultations très onéreuses, car elles allaient voir les personnes fortunées, les grandes familles, en promettant le respect de la confidentialité. Le résultat final était bluffant de réussite. Samara embrassait donc Sya, et déplaça sa main de ses fesses, pour venir masturber l’Ange. Ses beaux doigts rouges glissèrent le long de sa culotte, sentant son trou intime, sa petite fente de plaisir.

« Oui… Je vais te prendre par là, ma chérie… Tu as bien dressé mon sexe… »

Sa main joua avec la culotte, l’écartant pour dévoiler l’accès à son intimité. Son membre était maintenant bien raide, dressé et tendu, pointant en avant. Il caressait les cuisses de la femme, frottant ses vêtements.

« Utilise tes cheveux pour le guider dans ton minou, Sya… »

Elle-même utilisait ses mains pour plaquer Sya contre son corps, et, de cette manière, leur câlin ne se terminerait pas.

Il n’y aurait aucune interruption, simplement une dose de plaisir en plus.

Sya était certes digne de servir Lust tant elle était aussi perverse que mignonne mais l'ange avait aussi des besoins plus normaux à combler, celui d'avoir une famille par exemple. Elle y pensait déjà avec Iinari et Saikai, porté leur enfant serait la preuve que leur amour est véritable. Mais même si Métatron était sa sœur de sang, elle avait une sœur plus comme elle, Lyli mais même en faisant le calcul avec ses connaissances, il lui manquait une chose. Une maman. Et elle venait de la trouver. Câliner dans ses bras, sexe ou pas sexe, elle était heureuse comme ça, blotti contre son corps chaud, tendre et qui sentait si bon, cette peau si rouge ne lui faisait pas peur, elle était envoûtante. Elle pourrait passer des jours entiers sans sexe, à dormir et à rester blotti contre ses bras rassurant, apaisant. Elle avait beau ne pas connaître Samara depuis longtemps, le fait qu'elle accepte d'être sa mère la rendait aussi parfaite que si elle était vraiment sa génitrice. Elle ne demandait pas la lune, juste qu'elle soit là pour elle quand elle en aura besoin, juste de faire des choses que seule une maman fait avec sa fille. Bon, elles peuvent passer les étapes et sauter la petite enfance, pas besoin de jouer à la poupée et à la dînette mais au moins être comme elle est aujourd'hui. Douce et gentille. Un beau tableau que voilà, si on regarde la partie supérieure, c'est une mère et sa fille, une ange et une démone qui s'aimait comme si leur lien était vrai. On descend le regard et l'on voit cette main rouge sur sa fesse blanche, ses cheveux bleus entourée autour de son sexe si rouge et chaud. Mère et fille, deux amantes. Un tableau digne d'être en place dans le culte de Lust. L'âge et les origines n'ont pas de limite, seul l'amour les conduit à être ainsi.

Face à son annonce d'être entièrement vierge de tous ses orifices, Samara l'embrassait tendrement en lui demandant d'être ainsi à chaque fois, elle hochait sa tête de bas en haut en lui souriant avant de se blottir à nouveau contre elle.

« Oui Maman. »

Elle était si bien là, son dos étant caressé, elle ne pensait à rien, le bonheur était si bon en ce moment. Pourtant il est difficile à Sya de faire oublier le sexe mais là... Quoique frotter son pénis contre sa culotte devait calmer ses envies ? Elle savait qu'elle allait être si bien avec sa mère que le sexe restait secondaire dans son esprit car elle savait comment allait se dérouler la suite ? En parlant de ça, elle n'avait plus de main sur ses fesses mais un simple doigt titillant ses lèvres intimes, écartant la culotte de sa peau suffisait à la faire doucement gémir alors que sa mère voulait enfin prendre sa fille. Gardant Sya dans ses bras, la belle démone demanda à ce qu'elle utilise ses cheveux pour commencer leur petite amourette. Elle acquiesçait doucement en lui souriant.

« Soit gentille avec Sya pour sa première fois, s'il te plaît, Maman. »

De toute façon, il y aura bien des premières fois entre elles mais cette vraie première fois, elle la voulait douce avec sa mère. Après, elle pourrait la prendre sauvagement, la violer durant son sommeil, peu importe mais d'abord, elle voulait la douceur de sa maman. Levant la tête pour regarder les beaux yeux de la démone, elle fit glisser le gland sur ses petites lèvres humides, frottant de bas en haut, elle soulevait doucement ses fesses et abaissa doucement ses lèvres sur la pointe de son sexe, doucement, elle y allait progressivement, le plus doucement possible. Elle avait été déflorée plus d'une fois mais jamais par sa mère alors, elle ne voulait pas en perdre une miette. Son regard dans le sien, elle approcha ses lèvres des siennes pour l'embrasser doucement, fermant doucement ses paupières en laissant son poids faire le travail pour elle et faire enfoncer cette queue chaude et rouge en elle. D'abord bloquée à une certaine partie, elle força doucement le passage, aidé par sa mère, sentant son hymen se déchirer. Un petit instant de frisson, une légère douleur et cela pouvait reprendre. Même si cette sensation de sang entre ses jambes n'était pas des plus agréables, l'amour qui les entouraient en ce moment rendait ce détail anodin.

Très doucement, elle remuait sur cette délicieuse queue bien dur en elle, de bas en haut, sans décrocher ses lèvres de celles de sa mère, elle prolongeait ce baiser en gardant ses mains bloquées entre leurs deux corps, ses cheveux ayant rempli leurs rôles, ils n'étaient plus autour du membre de sa mère mais ils caressaient plutôt l'intimité de sa chère mère. Des caresses qui ressemblaient presque à des chatouilles, elle y allait tout en douceur, aimant frotter sa langue contre celle de sa mère, ne voulant pas rompre ce baiser, pas tout de suite. Elle gémissait doucement contre elle, c'était ce genre d'amour qu'elle aimait aussi, tendrement. Comme avec Saikai. Mais là, c'était sa mère. On oubliait bien vite ce genre d'ébat. Ange de la luxure voulait souvent dire pour les gens, y aller aussi fort que possible avec tout leur fantasmes et rares étaient les douces fois comme celle-ci et Sya pourtant n'avait rien contre ce genre de douceur, au contraire. C'est ce genre de chose qui lui fait aimé sa mère de plus en plus.

Sya voulait faire l’amour doucement. Une telle pudeur était amusante, surtout si on la comparait avec cette odeur de Luxure qui émanait d’elle. Samara connaissait les cultes religieux ashnardiens, et elle savait très bien que, au sein du culte de Lust, la chasteté était une qualité inexistante. Après tout, elle-même participait régulièrement aux multiples orgies et invocations démoniaques organisées dans le temple. Elle savait donc très bien à quoi s’attendre avec une Ange de Lust, et voir Sya demander à ce que ce soit doux la faisait donc sourire... Car ce n’était sûrement pas la première fois que Sya remettait son corps en forme. Néanmoins, Samara était de bonne composition aujourd’hui, et bien décidée à satisfaire sa belle « fille ». Sya ne s’en rendait pas compte, mais sa présence et son rapprochement avec Samara seraient très utiles pour cette dernière. Les Dieux jouaient dans ce monde, et ils représentaient une force dont les États tenaient compte, et qui pouvaient leur être utiles... Car tous les Dieux n’étaient pas politiquement neutres, et bénéficier du soutien des Dieux était toujours une bonne opportunité, à saisir quand elle se présentait à vous. Samara ne serait pas actuellement si bien implantée au sein de l’Empire si elle n’avait pas su saisir, au bon moment, les bonnes opportunités.

Elle sentit les cheveux de Sya se contracter autour de sa verge dressée et tendue. Pour le coup, Samara avait une formidable érection, et la pénétrer doucement, de manière « gentille », risquait bien d’être difficile. Esquissant un léger sourire, sa main caressa les cheveux bleutés de la femme, et elle répondit à son baiser, puis déplaça son autre main le long de son dos, ce dos doux et beau. Sya avait une peau terriblement douce, un corps magnifique, et les mains de Samara caressèrent tendrement son corps, glissant le long de ses hanches pour empoigner ses belles petites fesses, tandis que son membre disparaissait lentement dans son hymen. Inerte, Samara laissait pour l’heure Sya rythmer le tempo.

« Hummm... ! »

Elle pouvait comprendre les besoins de douceur de Sya, qui devaient changer par rapport à ce qu’elle faisait dans ce harem. Samara savait que Mélinda était en train de vouloir prendre du galon, que son ambition démesurée était à la hauteur de la sienne. L’image de matrone qu’on lui attachait n’était plus suffisante pour la vampire, qui lorgnait du côté des clans vampiriques, mais aussi du côté des Dieux... Et, vu la nature de ses activités et la notoriété de son harem, Lust était un excellent choix. Samara était convaincue que la présence de Sya n’était pas totalement anodine, et qu’elle arrangeait beaucoup les affaires de Mélinda. Cette belle petite vampire savait décidemment bien s’entourer... Et, pendant ce temps, le corps de Sya s’empalait progressivement sur son verge, son hymen broyé répandant sur la verge de Samara un délicat sang intime.

C’était magnifique, et Samara, tout comme Sya, ne comptait pas rompre ce baiser. Elle l’embrassait donc tendrement, fourrant sa langue dans sa bouche, en approchant sa main de la porte arrière de Sya, et en envoyant dans son esprit des messages télépathiques.

*[MT] Je vais prendre soin de toi, ma fille... Puis je laisserais Kazuha te faire l’amour... Mais, d’abord, il faut que je m’occupe de ta virginité... Après tout, c’est au rôle d’une mère aimante et dévouée qu’il revient de déflorer sa fille, tu ne penses pas, mon ange ? [/MT]*

Et c’était encore plus vrai quand cette fille était une Ange ! La main de Samara s’était ainsi rapprochée de son trou, et elle enfonça un doigt à l’intérieur, le déplaçant d’avant en arrière, lentement et délicatement.

C'est sûr que Sya qui sert fidèlement Lust est surtout habitué à devoir user de son corps dans des ébats que la nature humaine pourrait trouver contre nature, insoutenable ou trop fort pour le corps humain et pourtant, son corps est une véritable encyclopédie du sexe qui a tant essuyé. Quant à son envie de douceur, qui n'en aurait pas envie en étant auprès de sa mère ? En général, quand on parle d'une relation mère fille, on pense à des choses plus douces et pas incestueuse mais c'est la mère de Sya après tout. Nymph a sûrement eu une maman, Sya l'ignorait et ne voulait pas savoir pour le moment... Mais Sya a grandi sans sa maman alors en avoir une était un vrai bonheur pour elle. Elle embrassait doucement Samara, continuant de presser son pénis entre ses jambes en se relevant doucement pour mieux s'empaler lentement.

Ses bras continuaient de la serrer tendrement contre elle, ce baiser était toujours aussi long et délicieux et doucement, elle posait tout son poids dessus, elle sentait son hymen se déchirer sous la puissance de cette grosse queue rouge. Cela avait braqué Sya un instant, laissant le temps de supporter la douleur avant de bouger doucement contre elle doucement. La démone faisait bouger sa main sur elle, venant palper ses fesses, son index tournant près de son petit trou sous sa culotte. La belle Samara parlait dans sa tête, avouant que Kazuha allait aussi jouer avec elle mais qu'elle tenait à honorer sa fille avant alors que son doigt commençait à s’enfoncer dans son petit trou. L'ange ne répondait que par un long gémissement de plaisir, tant sa queue que son doigt lui offrait beaucoup de bien ! Une de ces longues mèches bleues venait caresser le front de Samara, bavardant aussi avec sa maman sans être gêné par les vagues de plaisir intense, sans rompre ce baiser non plus.

'' Oui Maman. Sya est si heureuse que sa maman s'occupe d'elle... Elle jouera avec Kazuha après. Mais le petit cul de Sya est aussi un cadeau pour Maman, son petit trou est aussi vierge et bien étroit ! Sya est sûre que Maman aime ce genre de cadeau, hihi ! ''

Reste à savoir si Samara voudra prendre son cadeau avant ou après que Sya ai joué un peu avec Kazuha ? D'ailleurs elle devait voir l'esclave comment ? Comme une simple amie ou peut-être sa sœur ? Non, sûrement une simple esclave pour elle et donc une amie pour Sya ? Cela ne la dérangeait pas, elle aimait toutes les femmes après tout. Son corps se pressait contre le sien, sa menue poitrine écrasé contre la belle poitrine de la démone, son ventre se frottait parfois contre le sien et sa queue, si belle, si grosse, si chaude remuait en elle, c'était tellement bon. Elle ne faisait que gémir encore et encore sans rompre le baiser avec sa mère qu'elle serait contre elle. Son rythme n'était pas rapide, plutôt doux comme elle avait demandé mais petit à petit, son rythme semblait devenir de plus en plus rapide, plus vite elle montait son bassin, plus vite elle s'écrasait contre elle. Comme on dit, chasser le naturel et il revient au galop ! Ce n'était pas encore un rythme endiablé, digne d'une prêtresse de Lust mais pour le moment, elle profitait de sa mère, de cette rencontre unique avec elle pour mieux profiter de son corps chaud.

Quand elle rompait enfin son baiser, elle enfonçait son visage dans son cou, se frottant contre elle en faisant profiter Kazuha de sa belle voix empli d'émotion et d'amour envers sa mère, gémissant et couinant à chaque fois qu'elle enfonçait jusqu'au bout de sa queue.

« Haaaaaa ! Haaaaaaaaaaan ! Ma... Maman ! Oooooui ! »

Son visage se tordait de plaisir, les yeux à demi clos, un large sourire alors qu'un petit peu de bave coulait de la commissure de ses lèvres le long de son menton. Elle haletait, son souffle se heurtait à la peau bien rouge de Samara sur laquelle allait adorait rebondir alors qu'elle semblait non pas vraiment observer la démone dans les yeux – quoique un peu – elle observait surtout sa bouche, observant si sa langue sortait de sa bouche. C'était le petit plaisir de Sya, sucer la langue de ses partenaires, de ces délicieuses femmes exceptionnelle dans sa vie. Mais même si elle n'arrivait pas à avoir cette petite langue délicieuse pour le moment, elle irait juste coller ses lèvres contre les siennes. Samara avait un si bon goût, elle était délicieuse et la lécher entièrement serait une belle récompense mais pour le moment, elle laissait sa mère le soin de la déflorer comme il se doit et lui offrir sa douce et sûrement chaude semence en elle... Sya était impatiente de goûter à la semence de sa maman.

Difficile de dire la nature exacte de la relation liant Kazuha à Samara. Samara, de base, avait acheté Kazuha comme étant un peu plus qu’une simple majordome. Kazuha devait remplir auprès de l’Archimage un nombre très élevé de conditions : être belle, intelligente, cultivée, servir d’assistante, de secrétaire, de garde du corps, et de tueuse… Et également d’amante et de cobaye magique. Samara avait acheté à prix d’or Kazuha, auprès de guildes élitistes de l’Empire d’Ashnard. Kazuha avait été très bien éduquée, dès l’enfance, et elle était donc une parfaite esclave. Samara était sa Maîtresse, mais aussi autre chose… Kazuha n’irait jamais jusqu’à dire qu’elles étaient amantes, mais elle préférait se voir comme la confidente et la conseillère officieuse de Samara. Après tout, Kazuha était la seule à vivre avec Samara au quotidien. Elle était plongée dans les intrigues politiques et les jeux de cour du pouvoir. Elle avait torturé de nombreuses personnes, en avait tué tout autant. Si un juge devait l’interroger, elle en aurait assez pour condamner Samara, mais, à Ashnard, la justice impériale avait tendance à s’écarter dans les affaires politiques, et à ne s’appliquer que pour faire sombrer les plus faibles, ceux qui avaient faibli. Tout cela pour dire que Kazuha aimait Samara, et qu’elle savait que cette dernière avait déjà fait, en toute discrétion, des tests de grossesse… Il y avait un secret tournant autour de Samara et autour de son passé. La démone ignorait d’où elle était originaire, et ce que les mages l’ayant invoqué lui avaient vraiment fait subir. Et, ce que Kazuha savait, c’est que le passé de Samara la rendait très triste, et que le fait d’être inféconde la faisait pleurer. Oui, les démons pouvaient pleurer… Mais ils ne le montraient pas. Kazuha devait être la seule personne sur Terra à avoir vu Samara pleurer.

Samara s’était peu à peu convaincue que sa peur du sexe masculin était un traumatisme lié à cette enfance, et Kazuha avait essayé de l’amener à faire l’amour avec d’autres hommes, mais sans trop de succès. L’Archimage perdait tous ses moyens quand il fallait coucher avec un homme, et elles avaient tué assez d’esclaves et de gladiateurs comme ça. Kazuha cherchait maintenant une autre stratégie, et se disait qu’elle avait peut-être trouvé quelque chose avec Sya… Bien sûr, Sya n’aimait pas non plus les hommes, mais le fait qu’elle souhaite être la « fille » de Samara pouvait provoquer chez Samara le déclic tant voulu. Et Kazuha ne souhaitait, elle, qu’une chose : le bonheur de sa Maîtresse.

« Hum… »

Les longs cheveux bleus de Sya se relevèrent, et allèrent caresser l’une des joues de Samara, tandis qu’elle continuait lentement à remuer sur la queue de sa Maman, tout en rappelant à cette dernière qu’elle était aussi vierge des fesses. Cet aveu amena sur les lèvres de l’Archimage un léger sourire. C’était ce qu’elle avait prévu, mais ça ne l’empêchait pas de tâter le terrain avec son doigt. Sya était vraiment une belle créature, une Ange aussi belle que perverse… Et, même si elle avait modifié son corps pour être « vierge », Samara sentait toute la perversion… En fait, elle la sentait même encore plus de cette manière, car Sya n’avait fait ça que pour renforcer le moment. Mais ça ne la dérangeait pas. Diable, la perversion ne risquait franchement pas de déranger Samara ! Elle regardait donc Sya se dandiner sur elle, allant de plus en plus vite. Son gros sexe s’enfonçait de plus en plus en elle, et, tandis qu’elle continuait à remuer son doigt dans ses fesses, son autre main caressait longuement ses cheveux. De beaux cheveux bleus, soyeux, propres, qui glissaient le long de sa main.

Alors que Samara sentait le plaisir affluer en lui, en explosant autour de sa verge, elle vit également le regard de Sya, se fixant sur sa bouche. Samara sentit alors ce que Sya voulait, et elle entrouvrit la bouche, après un sourire mielleux, et fit pointer sa langue, un beau morceau rose, comme pour l’inciter à venir, à venir sans aucune hésitation… Car elle était maintenant sa mère, et elle… Elle, et bien, elle était son adorable fille.

*[MT] Oui, je te prendrais les fesses, ma belle Sya… Une Maman se doit d’être douce avec sa fille, c’est vrai, mais… Et bien, nous ne vivons pas dans un monde fait de douceur, alors je dois aussi t’apprendre à être forte… Mais d’abord, je crois que ma langue t’intéresse, non ? Viens… Viens, ma puce, viens. [/MT]*

Sya n'avait pas la moindre idée du passé de sa nouvelle mère. Grosso modo, elle pensait à un passé banal , soit celui d'une succube qui apprenait les joies du sexe, soit celui d'une démone qui... bah elle ne savait pas grand-chose sur les démones si ce n'est qu'elles sont très attirantes et tentatrices avec un penchant pour le sadisme. Elle n'avait pas idée de ses tracas personnels, de ses tourments et pourtant, si elle savait, elle aimerait encore plus sa mère car au final, Sya était comme elle. Elle n'avait pas de passé. Elle était née ce jour-là, entourée par des cadavres de monstres et de démon, sourde, blessée, elle n'avait plus rien, elle n'était plus rien jusqu'à trouver cette prêtresse de Lust qui lui avait offert à nouveau l'ouïe puis elle avait eu une nouvelle identité, une nouvelle vie. Depuis peu, elle en savait plus sur sa première vie mais elle n'aimait pas ça, elle avait peur de cette Nymph qu'elle était, de cette ange. Car elle aimait sa vie comme étant Sya. Là où les gens verraient simplement la vie d'une esclave, d'une nymphomane qui aime être le jouet, le fantasme de toutes les femmes, elle, elle y voyait une vie de rêve. Oui, elle aimait tout ce qu'elle subissait mais en plus, elle avait deux femmes, une déesse aimante, des sœurs qu'elle adorait, des maîtresses si gentilles – comme Mélinda – et maintenant, elle avait même une maman.

De son ancienne vie, il y a que sa sœur qu'elle tolère, Métatron, même si elle avait peu de Nymph, son but était de rendre les femmes heureuses et Métatron, ce qu'elle aimait, c'était passé du temps avec sa sœur alors... Elle faisait un effort mais retrouver ses souvenirs l'effrayait car elle avait peur de ne plus être Sya... Mais pour le moment, la petite esclave adorait être sur les cuisses de sa mère, sentant sa verge s’enfoncer toujours plus loin et plus fort en elle, même si elle avait voulu que ce soit doux, son penchant pour la sauvagerie a fait qu'elle voulait que ce soit plus brutal. Le doigt que la démone enfonçait en elle était aussi très excitant, ce doigt rouge, dur et souple à la fois, ça ne faisait que titiller son envie d'en avoir plus en elle ! Serrer contre elle, elle gardait ses bras autour de sa nuque, refusant de quitter sa gentille mère d'un millimètre, son corps de frottant contre le sien au rythme de ses déhanchements. Samara caressait aussi ses beaux cheveux bleus. Même si ce n'était pas la même situation, les femmes semblaient avoir un faible pour ses cheveux, Anna et Inni devaient encore s'amuser à renifler ses cheveux pour mieux s'amuser entre elles ou avec des amies ?

« Haaaaan ! Ma... Maman !!! P-Plus fort ! »

Sya avait connu bien plus éreintant, évidemment mais le faire avec sa mère était si nouveau pour elle, elle avait l'impression de revivre ce sentiment de nouveauté, comme quand elle avait rencontré Iinari, et même Saikai. Les rapports sexuels, il faut vraiment creuser profondément pour trouver une chose que Sya n'a jamais faite avec une femme et pourtant, même si ce genre de rapport doux avait été explorer par l'ange des milliers de fois, avec Samara, c'était aussi bon que sa véritable première fois. De plus, sa jolie maman avait deviné son péché mignon en venant pointer son petit bout de langue, l'incitant à venir la déguster. Avec un petit sourire en plus sur son visage, elle se rapprochait pour venir sucer, lécher ce petit moreau de langue. Elle ne saurait expliquer son attirance pour cette pratique, elle-même était bien placée pour savoir qu'il y avait bien mieux comme plaisir sexuel mais... c'était son pécher mignon, son petit côté fétichiste. Elle aimait sucer, lécher, garder entre ses lèvres et même parfois ses dents ce petit organe qui savait dire des choses si belles, si excitante. Elle pouvait jouer avec des heures entières sans se lasser, elle trouvait ça tellement... bon !

« Mmmmmhhh ! Mmmmmmmmmmhhhhhh !!! »

Sya n'en pouvait plus de gémir, d'être inondé de bonheur, si bien qu'elle venait de jouir une première fois grâce à Samara. Sa mouille avait arrosé la belle démone, arrosant ses beaux et délicats dessous de cuir mais ce n'était pas fini. Sa mère n'avait pas encore arrosé sa fille alors, il faut continuer. Incapable de parler et ne voulant pas relâchant sa petite langue, elle remonta une de ces mèches pour caresser une des tempes de sa mère pour échanger quelques mots avec elle. C'était moins sexy dis comme ça mais plus pratique.

« Pardon Maman, Sya a joui sans toi et avoir toi... Mais Sya est prête à recevoir ta crème, elle veut jouir avec toi. Et si Maman veut jouer avec la petite langue de Sya... elle sera heureuse de partager ce jeu avec elle. »

Qui sait si après, elle aura directement le droit à une belle sodomie ou un câlin, l'un comme l'autre était tenants. Tant qu'elle restait avec sa mère, ça lui convenait après tout. Bientôt elle va jouer avec Kazuha mais elle profite encore un peu de Samara d'abord. Encore un peu... on ne va pas lui reprocher de vouloir partager des moments mère-fille quand même.

En ce domaine, on ne pouvait pas mentir à Samara. Bien que son passé ne lui soit pas connu, Samara était intimement convaincue qu’elle devait avoir, dans le sang, des gènes de succube. Elle avait analysé son sang afin d’essayer de retrouver une descendance, naturellement, mais ceci n’avait rien donné. Néanmoins, ses capacités innées avec le sexe tendaient à confirmer sa théorie. Et, là, alors que sa queue était plantée en Sya, elle percevait au-delà des délicieux artifices faits par cette dernière, et voyait une expérience sexuelle hallucinante, qui défiait la logique. Une expérience qui confirmait les incroyables talents des Anges. Sya était un ancien Ange, un ancien Ange des Cieux, qui s’était rapprochée de Lust. En soi, un tel changement n’était pas impossible, car les Anges, fondamentalement, étaient des messagers divins... Mais ce n’était pas banal. Samara aurait été très intriguée de connaître le passé de ce petit bout qu’elle était en train de pénétrer, et Mélinda devait vraiment se sentir flattée d’héberger Sya, d’être sa Maîtresse, même si c’était relativement artificiel, car à titre provisoire. Ce n’est pas tous les jours qu’on pouvait coucher avec une Ange, et encore moins quand on était une démone. Deux races complètement opposées, qui se détestaient cordialement, mais qui, pour Samara, n’étaient que les deux facettes d’une même pièce.

Leurs langues jouaient ensemble, et Samara serrait Sya contre son corps, la tenant fort entre ses beaux bras. Son sexe remuait en elle, et elle caressait effectivement les cheveux bleus de Sya, car elle sentait qu’ils étaient magiques, et que l’Ange semblait y apporter une grande attention. Dans l’esprit de Samara, les idées déferlaient à toute allure. Sya était une personne très importante au sein du culte de Lust, dont l’Archimage avait déjà entendu parler quand elle se rendait au temple de Lust, et couchait avec les élèves et les Prêtresses du temple.

« Hmmm... »

Samara continuait donc à l’embrasser, et sentit Sya jouir alors, contre elle, ce qui la fit sourire. Elle rompit alors le baiser, mais son sexe resta planté en elle, toujours aussi dur, toujours aussi tendu. Elle la regardait avec un léger sourire sur le coin des lèvres. Sya aimait sentir sa langue, mais s’excusa d’avoir joui avant sa mère, ce qui la fit sourire. Elle posa l’un de ses doigts sur ses lèvres.

« Ne sois pas gênée par l’idée de jouir avant moi, Sya, au contraire... Plus tu jouiras avant ta Maman, et plus je serais contente. »

Elle lui sourit, et se releva alors, décidée à la prendre debout, et serra ses bras contre son corps, en descendant une pour s’appuyer sur ses fesses, et continua à la pénétrer, plus fort, plus rapidement. Pour que son corps glisse mieux, Kazuha se rapprocha alors, et posa ses mains sur le dos de Sya, agissant comme une sorte de contrepoids pour permettre à Samara de prendre l’Ange plus rapidement, tout en retournant l’embrasser... Et laissa Sya jouer avec sa langue.

Ensemble, elles continuaient à faire joyeusement l’amour.

Le bonheur se limitait parfois à peu de choses, Sya serait très heureuse aujourd'hui en compagnie de sa mère. Que ce soit sexuel, simplement platonique, elle serait heureuse de passer sa journée à ses côtés. Mais bon, puisqu'elles étaient en train de faire l'amour, Sya, fidèle prêtresse de Lust ne pouvait qu'être ravi de ce qui se passait dans cette chambre. Elle n'avait pas encore joué avec Kazuha mais en toute honnêteté, c'était pas le principal pour le moment, elle avait juste envie de savourer ces moments intimes avec sa mère. Elle aimait se faire prendre par elle, sentir son bâton de chair si chaud venir et sortir en elle, remuant en elle, c'était plus que plaisant ! Cerise sur le gâteau, elle suçait cette petite langue pendue et par toutes les déesses du sexe... elle aimait ça !

Sya pourrait rester des heures entières dans cette position, savourant chaque seconde de ce rapport et ce, même si le bonheur l'avait trop poussé à jouir trop rapidement, sa mère lui avait pardonné car elle aimait ça. Samara aimait voir Sya jouir ? Alors pour son plus grand bonheur, elle sera une véritable femme fontaine ! Pressée contre son corps, elle sentit les mains de la belle démone empoignées ses petite fesses avant de se relever. Ainsi, il lui sera plus simple de s’empaler sur elle, laissant le poids de son corps faire office de gravité pour s'empaler dessus mais elle sentait bien que dans son dos, elle n'était pas seule puisque Kazuha venait se coller à elle, profitant aussi de ses formes en aidant Samara et Sya à faire l'amour. Ainsi, pour son plus grand plaisir, Sya continuait à profiter de cette petite langue, espérant que cela était aussi plaisant pour elle que pour Samara alors que la belle blonde venait les aider. Toujours dans sa petite robe blanche, Sya ne cessait de se dire qu'elle avait bien de la chance de profiter de tout cela à la fois.

Ses bras enlaçaient le cou de la démone, se serrait plus contre elle, toujours plus assoiffée par cette langue qui pendait, elle avait envie de fermer les yeux, de savourer cela pleinement mais si elle ferme ses yeux, elle ne verra plus le visage de sa mère ! Cruel dilemme ! Mais elle préférait quand même garder ses paupières ouvertes pour mieux observer la peau si rouge de sa mère et son visage si beau. Le tout mélangé, cette beauté, cette sensation de bien-être, de plaisir sexuel, ce parfum agréable, l'ange était déjà au paradis avant même d'avoir fait des tonnes de choses sexuelles. Même si Kazuha aidait à s’empaler sur elle, elle trouvait toujours cela plaisant, l'amour de sa mère, de sa nouvelle amie, elle n'allait pas se lasser si tôt. Elle profita de rouler ses hanches en s’empalant sur elle pour jouir à nouveau, de façon plus intense. Plus de cyprine et plus de plaisir. Étant prêtresse, elle pouvait contrôler ce genre de choses, sauf qu'elle ne se forçait pas, il lui suffisait d'observer sa mère et de prendre entièrement plaisir à tout cela. Ce petit moment où elle jouissait, ce petit moment où elle laissait du répit à cette langue démoniaque, le temps de gémir en frottant son visage dans son cou, empoignant la combinaison en cuir de la démone.

« Ma...man... Sya... elle veut... hummmmm... Elle veut la semence... de Maman ! Elle a chaud, haaan... si chaud ! »

C'était tellement, tellement bon, quand elle allait enfin recevoir sa récompense, elle va vraiment être la plus heureuse de toutes les anges sur Terra et même dans le royaume des cieux. C'est vrai que cela va arriver mais elle attendait tellement ça qu'elle ne s'en lassera jamais !

« Maman ! Oh Maman !!! Ouiiiii ! Plus fort !!! »

L'ange était à deux doigts de jouir encore !