Ai se fit plaisir durant tout le repas, et Mélinda, vers la fin de ce dernier, estima que la pauvre devait avoir une trique de tous les diables. Fort heureusement, la vampire n’était pas cruelle, et, au fur et à mesure que le repas se prolongeait, elle écrivit un petit mot, et le transmit vers Shii. La jeune femme était poliment en train de manger, triturant son assiette avec ses baguettes, enfournant son bol de
rāmen sans rien dire. Elle avait les joues rougies, choquée et excitée parce qu’elle avait vu. Même en étant depuis aussi longtemps au sein du manoir de sa Maîtresse, il lui était toujours difficile de se faire à ce sexe omniprésent et perpétuel. Le mot finit par arriver, elle sursauta, et le déplia. Elle reconnut rapidement l’écriture soignée et appliquée de sa Maîtresse, et rougit encore plus en en lisant le contenu. Sa tête se redressa vers sa Maîtresse, qui se contenta d’un sourire affirmatif et d’une lueur espiègle. Shii rougit encore plus, et baissa la tête, serrant les cuisses. Ai, de son côté, continuait à tourner, faisant sursauter nekos et simples humaines par sa langue et par ses mains, venant se frotter contre elles.
Le repas se termina par le dessert, un ensemble de pâtisseries, tandis que les esclaves affectés aux cuisines débarrassèrent. Même les cuisines étaient un étalage permanent de sexe. Il était fréquent que les cuisinières soient prises par l’arrière, que les servantes doivent sucer des queues, et coucher ensemble. Parfois, certaines sauces arrivaient ainsi avec un goût très particulier. Pour autant, la cuisine restait propre, car elle était entretenue, et nettoyée quotidiennement de fond en comble. Mélinda ne voulait pas non plus que ses protégées tombent malades. Les pâtisseries arrivèrent donc, et on servit à Mélinda un morceau de gâteau. Alors qu’elle allait l’entamer, elle sentit une petite tête venir se frotter à ses jambes, et écarta machinalement ces dernières, tout en mordant dans sa fourchette, avalant un bout de gâteau. Ai se mit alors à lécher activement son intimité, et Mélinda soupira, gémissant. Indéniablement, cette fille était douée avec sa langue, et sa verge se mit à jaillir des tréfonds de son corps, tapant contre le nez d’Ai en sortant, faisant reculer sa petite tête.
La lycéenne alla ensuite la prendre en bouche, et tenta d’offrir une sorte de bouquet final pour ce dîner, en remuant contre le membre de la vampire, sa bouche partant à l’assaut de ce dernier.
«
Hummm... !! »
Une
gorge profonde. Ai enfonça ce membre aussi loin qu’elle le pouvait, et la vampire remua un peu son basin, de gauche à droite. Il était usuel, chez les chiennes, de finir par le morceau du Roi... Ou de la Reine, en l’occurrence. La vampire se pinça les lèvres, continuant à manger, clignotant des yeux. Sa verge tapait contre la gorge de la petite lycéenne, et elle sentait, contre sa jambe, le corps d’Ai venir se trémousser d’avant en arrière. Sa belle queue pulsait dans la bouche de la femme, et, au bout d’un moment, cette dernière finit par jouir. Il ne lui fallut que quelques minutes pour se lâcher, et un jet crémeux fila dans la bouche d’Ai, aspergeant sa gorge, son foutre glissant sur sa langue. Mélinda bascula ensuite sa tête en arrière, se sentant bien, sereine, comme à chaque fois qu’elle venait de se lâcher.
La tête d’Ai resta posée contre ses cuisses, et Mélinda aventura sa main pour la caresser, ses doigts glissant le long de ses mèches de cheveux. Elle les caressait et les empoignait tendrement, frottant sa tête comme une petite chienne venant réclamer l’attention de sa Maîtresse. Mélinda fut si gentille qu’elle récupéra un morceau de gâteau, le planta au bout de sa fourchette, et le tendit vers la bouche d’Ai, la laissant le manger. Le sexe d’Ai était dur, plein à craquer. Mélinda pouvait le sentir titiller ses doigts de pied, et elle se disait que la pauvre avait envie de se soulager. Un scénario classique : quand les chiennes humaines terminaient le repas, elles espéraient toujours se faire prendre, ce qui, généralement, se faisait en levrette.
Le repas se termina, et la vampire se pencha sous la table.
«
Tu peux sortir de la table, Ai... Je crois que tu as bien mérité ton cadeau... Suis-moi, ma puce. »
Mélinda la laissa se relever, et vit que sa queue était toute tendue, bien droite, bien raide. Une belle érection. Elle résista à l’envie de la masturber, et s’avança devant elle, rejoignant une chambre à proximité.
«
Vas-y, rentre... »
À l’intérieur, il y avait un beau lit deux places, et une femme se trouvait au centre. Ses joues étaient rougies, et des bougies étaient allumées dans un coin. Shii était là... Elle était allongée sur le lit, et regarda Ai en rougissant, tout en portant une
swimsuit bleue une pièce, tenue aussi excitante à voir
de face ou
de dos, moulant à la perfection son corps. Shii était légèrement trempée, et se mordilla les lèvres, en glissant un doigt le long de sa couette.
«
Je... Je suis à toi, Ai... »
N’était-ce pas un beau cadeau ?