Les humains étaient naturellement éduqués à rejeter l’inceste, une sorte d’ultime tabou moral, de frontière à ne pas franchir. C’était d’ailleurs quelque chose qui allait au-delà de l’éducation sociétale, quelque chose de naturel... Que les vampires n’avaient pas. Ici, au sein du domaine de Mélinda, cet interdit moral se heurtait, comme tous les autres interdits, à ce sentiment collectif de masse, ce sentiment grisonnant de violer les interdits, et de ne rien craindre en retour. Mélinda ne se refusait presque aucune limite avec ses esclaves, qu’elle corrompait et pervertissait au point de les amener à franchir cet ultime tabou moral que constituait l’inceste. Était-ce, somme toute, pour cela que la vampire appréciait tant les relations incestueuses ? Sans aucun doute. Elle voyait cela comme une sorte d’ultime étape, la transgression suprême, celle qui ferait à jamais de la personne son esclave. Il n’y avait désormais plus aucun retour en arrière possible, et c’était le cas pour la famille d’Honoka. Elle avait éduqué chacun des membres de cette famille, et elle continuerait à le faire, bénéficiant de l’avantage de ne pas vieillir.
Honoka était peu à peu en train de sombrer définitivement, continuant ainsi à avaler le membre tendu de son père. Kenji soupirait longuement, crispant ses mains sur le rebord du lit, observant volontiers sa fille, appréciant son talent. Bien sûr, le couple savait que leur fille avait pratiqué bien des fellations ici. Mélinda l’avait formé bien comme il le fallait, et elle n’était plus du tout innocente... Mais elle n’en restait pas moins leur fille, ce qui faisait qu’Asuka voulait partager ce moment comme si c’était la première fois de leur fille... Ce qui, après tout, n’était pas faux, si on considérait le caractère incestueux de la chose. Elles avaient tout fait pour l’éduquer de la façon la plus normale possible, afin que son dressage avec Mélinda se passe le mieux possible. Peut-être agiraient-ils autrement pour la suite ?
« Haaaa, ma chérie... »
Honoka avait du mal à se concentrer, car Asuka n’hésitait pas à glisser ses doigts dans son intimité, et à titiller son bourgeon, caressant sans hésitation ses lèvres intimes. De quoi exciter la jeune fille, ce qu’Asuka escomptait bien faire. Elle y allait encore, tout en déplaçant son autre main, palpant ses seins. Ceux-ci étaient après tout magnifiquement mis en valeur dans sa combinaison en cuir, et elle s’amusa à se presser contre elle, usant de tout son talent avec sa fille.
« Là, ma belle, oui... Tu as vraiment bien grandi, Honoka-chan, tes formes ont poussé de partout bien comme il faut ♥ ! »
Ce qui était un véritable régal pour Asuka, qui ne se manquait pas de le lui faire savoir, la titillant encore. La mouille affluait ainsi entre ses doigts, et elle continua donc à agir, pinçant son clitoris, bien décidée à la faire jouir. Kenji, de son côté, approchait de plus en plus du point de rupture, peinant à se retenir, à se contenir. Son sexe l’élançait douloureusement, et, finalement, dans un ultime râle... Il se mit à jouir en elle. Son sperme afflua dans la bouche d’Honoka, venant se répandre en elle, la remplissant copieusement et généreusement.
Pour Asuka, c’était le signe qu’elle attendait. Elle tira alors sur les cheveux de sa fille, et, sans lui laisser l’occasion d’avaler ce sperme, approcha sa bouche de la sienne.
« À moi... »
Et elle l’embrassa, fourrant sa langue dans sa bouche, partageant avec elle la crème de son mari, serrant son agréable corps, posant sa main sur ses fesses, amenant ainsi progressivement Honoka à se retourner, de manière à lui faire face, leurs poitrines s’écrasant moelleusement l’une contre l’autre, dans un spectacle de toute beauté... Qui laissait de moins en moins indifférente leur Maîtresse !