Mélinda allait être, comme elle le voulait, l’élément clef qui achèverait de corrompre Honoka. Que la jeune élève n’ait pas choisi de partir en hurlant était déjà, en soi, la preuve de sa corruption déjà très avancée. Mais Mélinda savait que les humains étaient très étranges dans leur relation entre la famille et le sexe, excluant les deux cercles, alors que, selon elle, ils pouvaient au contraire se superposer sans difficulté. Mais Honoka, confuse, avait encore besoin d’aide pour accepter cette évolution, ce qui fit qu’elle se retourna vers sa Maîtresse... Tout comme ses parents. Ils avaient fait le choix de doter Honoka d’une éducation japonaise typique, et ne savaient guère comment réagir, tant, pour eux, ce moment avait été attendu, attendu, chéri, craint et redouté. Et, même s’ils étaient désormais des adultes accomplis, dans ce genre de domaines, rien ne valait l’expertise de leur Maîtresse.
La vampire se releva donc finalement, et claqua ses mains entre elles, signe évident qu’elle reprenait le contrôle.
«
Très bien ! Dans ce cas... J’ai une idée ! »
Mélinda sourit alors, cherchant à mettre fin à ce contentieux familial, et, surtout, aux atermoiements d’Honoka. La petite famille regarda alors leur Maîtresse, qui attrapa la main d’Honoka, et l’approcha d’elle, avant de l’embrasser sur les lèvres.
«
Je vais baiser ma petite chatte sous les yeux de ses parents... Mais, pour ça, Honoka, tu vas commencer par te remettre dans ta tenue de petite chatte coquine ! Je veux ma nekoquine ! » s’exclama-t-elle, reprenant à son compte le néologisme favori des sœurs Karistal.
Elle laissa ensuite Honoka se changer, en se montrant assez insistante sur ce point, ce qui fit que son esclave n’eut pas d’autre choix que d’obtempérer. Mélinda se retourna ensuite vers ses parents, qui étaient relativement nerveux.
«
Est-ce que nous avons bien fait, Maîtresse ? -
Je ne sais pas si on aurait dû lui dire qui nous étions vraiment maintenant, elle est encore trop jeune pour... -
Elle est tout à fait prête, ne vous en faites pas ! Il faut juste la motiver un peu, je sais comment faire... »
Mélinda était, fort heureusement, douée pour ça. Et, pendant qu’Honoka se changeait dans une pièce à côté, elle-même se changea aussi. Plusieurs instants après, quand la jeune Honoka revint, bien évidemment à quatre pattes, Mélinda se dressa devant elle,
dans une superbe tenue noire en latex, bien évidemment moulante, et avec une verge pointant de sa culotte noire brillante, ouverte à hauteur de son sexe. Elle lui sourit malicieusement, observant, encore une fois, le corps parfait d’Honoka, aux formes sensuelles et très agréables à voir.
«
Ma nekoquine est toujours aussi belle ! Allez, grimpe sur le lit, petite chatte ! »
Elle la laissa faire, puis fila ensuite dans son dos. Le visage d’Honoka était orienté face à ses parents. Sa mère avait remis sa tenue en latex, elle aussi, et l’observait, jambes croisées, tout comme son père, assis sur un autre fauteuil. Tout ça devait être très gênant pour Honoka, mais Mélinda allait lui montrer qu’elle était capable de prendre son pied, même dans de telles circonstances ! Les mains de la vampire se crispèrent alors sur les hanches de la femme, et sa verge s’approcha de son intimité.
«
Et n’oublie pas... Tu es une nekoquine maintenant, alors... Tu hurles, tu miaules, tu gémis... Mais tu ne parles pas ! »
Mélinda la pénétra alors rapidement, enfonçant sa verge dans son intimité...