Ermy C. (Valithée)

Nom d'usage : Ermengarde "Lottie" Carrisford
Age : Semble ne pas avoir plus de vingt ans, mais le cycle de sa race est très différent : elle est née il y a trois-cent soixante quinze ans.
Sexe : Femelle
Race : Terranide Pieuvre
Orientation sexuelle : Pansexuelle. Préférences pour la soumission et le bondage (depuis qu'elle a fait la curieuse expérience avec un filet de pêche...)

Taille : 155 centimètres (plus de 2m50 quand elle se dresse sur ses tentacules)
Poids : 90 kilos ( la partie du bas en pèse plus de 40)
Mensurations : 95-60-90 (avec les jambes)
Particularités : Détecter la rareté + capacités naturelles des pieuvres (jets d'encre, aisance dans l'eau, manipulation de ses tentacules...)

Apparence : Dans ses heures de travail,  Ermy ressemble à une humaine ordinaire. La concoction qu'on lui donne et qui lui permet d'obtenir une paire de jambes pour quelques heures ne laisse pas supposer qu'on a affaire à une monster girl. Ses oreilles un peu plus longues que la moyenne laissent à peine penser à certains qu'elle pourrait être une elfe, malgré qu'elle ne soit pas aussi fine que ces créatures mystiques.
On a donc droit dans ces heures-là à l'image d'une jeune fille effacée, au teint de lait et aux cheveux châtains, retenus par un petit bonnet. Ses traits sont paisibles et délicats, et le violet de ses iris contient rarement de la colère. Le seul détail inquiétants pourrait résider dans ses dents qui sont pointues et coupantes, une particularité propre à sa race qui est carnivore. Et qui mange même des humains, à la base... pas dans le cas d'Ermy, heureusement, qui s'est trop bien incrustée dans la communauté terrienne.

Son uniforme est noir et blanc, composé du bonnet, d'une veste à manches courtes, d'une jupe et de bas avec chaussures. La seule fantaisie que la servante se permet est une opale incrustée dans le tour de cou. Ce sont des habits chéris et traités avec le plus grand soin : aucun pli ni aucune tâche ne sont permis.

Ses mensurations laissent penser à une silhouette fragile et fine. Elle ne fait pas pitié, cela dit : sa poitrine est assez conséquente pour satisfaire le plus grand nombre, et ses abdominaux se sont fait naturellement à force de nager toute la journée, ce qui lui confère un ventre extra-plat. Avec la silhouette humaine, naissent en même temps des fesses moelleuses et des jambes galbées, bien qu'un peu courtes peut-être, vu qu'elle n'est pas très grande à la base.

Sans l'effet de la potion, s'ajoute à ce corps vulnérable quatre paires de tentacules dont la peau est de couleur rose. Donc, huit tentacules épaisses et visqueuses habituellement entourées de chaussettes spéciales pour éviter de salir le sol. Ce sont des armes redoutables, bourrées de muscles,  et le fait qu'elles soient capables de casser un mur de béton, de rompre le cou d'un homme ou mieux, de le séparer en deux ne s'oublie pas sous prétexte que Ermengarde s'est intégrée dans un monde qui, à la base ne l'oublions pas, n'est pas le sien.

Caractère : Ermy est comparable à une mer paisible un jour de soleil, aussi bien dans son physique que dans son caractère. Contrairement aux autres membres de sa race, la jeune femme se révèle délicate et efficace, aussi bien avec les clients qu'avec les objets qu'elle manipule tous les jours. Son manque de bon sens causé par le fait qu'elle vienne d'une tout autre communauté avec d'autres habitudes et lois peut être réglé si on lui donne des ordres qu'elle suivra sans discuter, car elle est aussi très obéissante et reconnaissante. Elle adule son patron et hébergeur ainsi que le reste de la famille. Sans compter sa discrétion, qui est loin d'être une ombre dans son travail quotidien. La parfaite soubrette, prête au travail jour et nuit.

Sa capacité à détecter la rareté est sans faille et très utile dans une boutique d'antiquités magiques comme celle où elle travaille. Cela dit, c'est un talent qui ne se limite pas qu'aux biens matériels : Ermy peut flairer l'espèce rare, l'apparence ou la psyché peu commune, ce qui fait qu'elle rencontre le plus souvent des gens très intéressants qui ne se limitent pas à son apparence inhabituelle.

On la pense très coquette, avec ces artifices et l'heure quotidienne passé à se coiffer et s'habiller de façon à paraître impeccable, ainsi que sa manie d'enfiler à ses huit tentacules des bas adaptés et cousus par la femme du patron, manie que l'on peut trouver soit ridicule, soit mignonne : c'est une habitude prise pour éviter de souiller le plancher avec l'humidité dégagée par les appendices. Ça en dit long sur son obsession à ce que tout soit parfait et son désir de servir tout ceux qui peuvent avoir besoin de ces services. La jeune femme ne dit non que lorsqu'il s'agit de désobéir ou risquer de déshonorer celui qui la loge et la nourrit.

Étant donné que Ermengarde sort très peu et n'est finalement en contact qu'avec les clients de la boutique, sa naïveté est inévitable. Elle a été sauvée de nombreuses fois uniquement par son obéissance légendaire qui lui rappelle son patron lui interdisant de franchir la porte de la boutique sans autorisation. De toutes façons, même quand elle est forcée de le faire, elle est terrifiée. Et quand elle est terrifiée, elle a le hoquet. Un détail amusant pour tout le monde, sauf sa personne.

Histoire :
Elle avait bien tenté de s'échapper, comme toutes ses camarades, en partant dans la direction opposé. Une chose qu'elle regretta et qu'elle regrette encore aujourd'hui : en s'éloignant par instinct de ses sœurs qui s'étaient alliés pour repousser le filet, elle se condamnait automatiquement comme traître et déserteuse pour le reste de sa vie. Elle l'avait lu dans leurs regards, empreint d'un dégoût qui ne disparut que lorsqu'elles réussirent à s'échapper, et uniquement parce qu'elles tournèrent la tête vers l'horizon de la cité sous-marine.
Cela suffit à déconcentrer la jeune terranide qui poussa un cri à travers l'eau en sentant les mailles du filet se refermer sur son corps. Tel un poisson pris au piège, elle se débattit longuement, avant de comprendre qu'il était presque ridicule de vouloir détruire ce puissant artefact juste en se débattant.

L'idée d'utiliser ses dents ou de pousser avec ses tentacules ne vint pas.
Car il y eut autre chose.

Au fur et à mesure que les liens semblaient s'enfoncer dans sa chair, la créature se sentait partir. Croyant au début à une quelconque faiblesse, son esprit mit du temps à admettre qu'il n'en était rien.
Ce n'était pas une histoire de faiblesse : c'était une histoire de soumission...
La soumission que n'acceptait pas son peuple depuis des générations rentrait en elle en même temps que les mailles revêches de ce filet, et la terranide se surprit à ressentir quelque chose de nouveau, une sorte de félicité qui s'accroissait à chaque mouvement du filet contre sa peau nue. Malencontreusement, lorsqu'on la sortit de l'eau, elle s'emmêla plus que de raison, et les pêcheurs retrouvèrent finalement une proie entremêlé dans leurs piège, formant une sorte de tableau tracé entre la peau, la corde et les nœuds.


Ermengarde possédait, dans un temps plus ancien, un nom et un prénom, ainsi qu'un titre différent. Mais très peu de gens savent de quoi il en retourne puisqu'elle n'a jamais eu ou pris le temps de raconter son passé à quiconque. La mélancolie l'envahit trop vite pour dévoiler plus de détails, et aujourd'hui, elle préfère largement se consacrer à son nouveau statut de servante à temps plein, au sein de la petite boutique tenu par l'antiquaire qui l'aura acheté il y a de cela quatre printemps.

Au-delà de cela, il y eut son histoire d'esclave à vendre, parfaite au niveau du caractère, mais dont personne ne voulait à cause de sa condition si différente. Une douce neko, ou une fidèle inu, valait de l'or à côté d'une terranide-poisson visqueuse. Jusqu'à ce transfert dans les quartiers chics de Nexus, où le vendeur finit par se débarrasser de ce poids en le revendant à ce qui semblait être un collectionneur...


Rapport numéro 3, 13 juillet, Nexus

Nous nous sommes finalement installés au centre de la ville, dans une petite rue sans autre nom que « L'Antiquerie ». Je qualifierais personnellement ce coin de très tranquille, mais les habitants préfèrent en parler comme de quelque chose où s'approvisionnent seulement les mauvaises personnes. Il est vrai que ce quartier est composé aux trois quarts de commerces étranges et que les étalages sont tenus par des individus au statut visible par leur visage ou leur accoutrement : magiciens, sorciers, shamans... des personnes que je déconseille régulièrement à ma famille. J'ai simplement déplacé mes locaux jusqu'ici et j'ai bien fait, car les affaires n'ont jamais bien aussi marché. Il va sans dire qu'elles marchent encore mieux depuis que j'ai acquis cette jeune servante et son talent si spécial...

C'est d'ailleurs principalement pour celle qui me tient compagnie que je rédige ces rapports. Les lignes me concernant ne sont que parenthèses : je ne suis après tout qu'un simple marchand de rêves, un antiquaire spécialiste de l'occulte, qui a eu la chance de tomber sur une espèce de terranide rarement vu sur les terres de Nexus.

Elle s'appelle Ermengarde Carrisford, un nom choisi sans imposition, je tiens à le préciser. Ma fille avait gardé plusieurs livres de son correspondant de l'Autre Monde (qui venait d'un pays froid et humide, une sorte d'île il me semble...) et elle a proposé ce prénom qui semblait provenir d'un ancien temps. Ici, sur Nexus, il est parfait et s'accorde à merveille avec notre propre nom de famille dont nous avons fait cadeau à celle qui le porte aujourd'hui avec beaucoup de distinction, malgré son simple statut de domestique (et même parfois, je me le demande, d'animal de compagnie...)
Ermengarde (ou de son petit nom Ermy, comme aime l'appeler les enfants), a un pouvoir très particulier et précieux dont m'a fait part le vendeur. J'ai cru à une plaisanterie, au début. Détecter la rareté ? Mais après quelques preuves et une période d'essai, ça s'est avéré vrai. Je devais être dans un jour de grâce quand j'ai croisé le regard de cette chère servante.

Elle ne voulait pas garder son ancien prénom, et l'appellation de « octopi », le mot que mentionnent les ethnologues de Terra lorsqu'ils parlent de cette race de terranide, ne lui plaisait pas. Je peux comprendre, puisque je n'apprécierais pas moi-même que l'on me soudoie sans arrêt avec un « humain » sec et fade. Bref, pour parler clairement de sa race en général, je dois dire qu'il a fallu fouiller un nombre considérable de bibliothèque pour trouver quelques lignes écrites sur les octopii. Le singulier en est octopus, un mot d'une langue inconnue, mais en fin de compte, il est tellement rare de trouver des documents sur ces terranides marins et tellement impossible de dénicher le moindre petit document officiel que l'appellation peut changer à volonté : on peut parler de terranide-pieuvre, ou poulpe, ou calmar, et quelqu'un semblait en parler avec le mot tako... mais j'ai par contre remarqué que faire le rapprochement, de prés ou de loin, avec la race des sirènes, semblait mettre Ermy dans une colère froide qui ne lui est pas habituelle.

Elle ne m'a jamais vraiment parlé de son passé. La demande de changement de nom a été faite par elle-même, en mentionnant qu'elle voulait « oublier », mais elle n'a jamais précisé quoi, ou qui. Moi et ma famille n'avons jamais posé de questions non plus, sous couvert d'une certaine intimité, j'imagine. En réalité, nous ne prenons jamais vraiment le temps d'imaginer que, sous cette robe de soubrette, ce petit sourire timide et ces impeccables gants blancs, il y a eu un jour un autre usage à ces huit tentacules, que celui d'aujourd'hui qui consiste à tenir, nettoyer et ranger à la fois le plus d'objets rares possibles...

Expérience : Les essais dans sa période d'esclave à vendre n'ont pas été nombreux, mais ils ont été là. La violence de la chose a probablement influencé et nourri les fantasmes qu'Ermengarde a aujourd'hui.

Comment avez vous connu le forum : Dou-dou-doublette !
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Si les pervers dans ma future fac se manifestent... Parce que j'irais pas les chercher. ('<')

Une amie de la mer ! bienvenue

Et re-bienvenue parmi nous belle femme !
"fais une révérence"

*Se change en Kurage*

(Re)Bienvenue parmis nous petite pieuvre ^w^ Tiens... C'est la première fois que j'utilise cette forme pour un bienvenu moi

*Regarde de plus près*

En fait... C'est très exactement ma forme o.O Alors ça... Je suis devenue toi avant même de te rencontrer

Miam, tu es le genre de sushi que je pourrais dévorer sans modération^^
Rebienvenue ma demoiselle.

*se dandine en rougissant*
Merci tout le monde ^x^

Et, heu, je suis pas comestible... je crois pas, en tout cas...
Sakura, je suis sûr que ça pourrait devenir drôle en cas de RP ça x) (plus sérieusement, j'ai pas fait exprés en tout cas, désolé...)

Oui, tu risques de me prendre pour une soeur jumelle dont tu n'avais jamais entendue parlée >,<

Franchement, c'est pas grave, c'est la première fois que ça arrive. Et ma forme Kitsune ressemble bien à Louane, même si elle ne se connecte plus

Et accessoirement à ma horo^^
Comment ca c'est normal^^
Bon, et bien tant pis si tu es pas comestible.
Amuse toi bien quand même^^

Welcome, and have fun

Bienvenue !

Hum...ça doit être pratique d'avoir 8 bras...

Bienvenue

Encore une petite chose fragile que je vais m'empresser de prendre dans mes filets :3 j'espère que tu aimes les laisses.

Miam!

Bienvenue

*Envoie un petit message à Ermy par sa flute*

♪Bienvenue parmi nous. Je peux toucher un de vos tentacules ? ♫

*Lui montre sa flute, fait en un bois uniquement trouvable sur sa cité-ile, en échange*

Bienvenue belle pieuvre! 

De la seiche ! *0* Miam !
Bienvenue ! :p