Nom : Olga Sapriska Mientovitch
Age : 27 ans
Race : E.S.P.er
Sexe : Futanari
Orientation sexuelle : Tant qu'il y a du plaisir...
Description physique :
Olga est sans conteste un canon. Elle possède les formes qu'il faut, là où il faut, voire un peu plus à l'entrejambe. Légèrement musclée, la taille fine, des jambes immenses portant sa taille à 1m92, son corps est désirable – et désiré. Son regard pourra vous envoûter, et si vous n'y prenez pas garde, vous risquez de vous retrouver dans son lit sans avoir eu le temps de comprendre pourquoi. Ses grands yeux turquoise ont clairement un effet qui attire les gens vers elle, d'autant plus mis en valeur par sa longue chevelure rose à la coiffure complètement déstructurée.
Au niveau de l'habillage, c'est le strict minimum. Seule une petite partie de son corps est recouvert, et on peut facilement l'imaginer nue comme un ver. C'est bien entendu volontaire, à la fois pour aguicher et provoquer, deux choses dans sa nature. Elle porte donc un mini-short en jean déchiré dont le bouton reste ouvert en permanence, et sans rien porter dessous. Des talons-aiguilles viennent renforcer la hauteur vertigineuse de ses jambes, tout en lui conférant une démarche sensuelle où se lit le désir. Pour le haut, on trouvera un simple débardeur qui fait plus office de cache-poitrine qu'autre chose. S'arrêtant juste en dessous de celle-ci et laissant un très large décolleté, les bretelles tombant souvent sur les épaules, il ne tient que grâce à la taille plutôt volumineuse de ses seins.
Pour terminer, elle ne sort jamais sans quelques accessoires, tel un collier de chien autour du cou, sa casquette dictatoriale chérie, sa cravache qu'elle ne lâche jamais et une paire de menottes, le plus souvent pendant au mini-short.
Caractère :
C'est une personnalité complexe, faite de multiples facettes. La facette que l'on côtoie dépend entièrement du contexte.
Dans la rue, elle semble chauffer tous ceux et celles qui croisent son regard, telle une prédatrice sexuelle en chasse et en manque de viande fraîche. Oh, elle n'est pas nymphomane, mais elle aime le sexe et ne voit pas pourquoi elle devrait se priver de pratiquer dès que l'envie lui en prend.
Ses employés/clients la voient comme quelqu'un d'autoritaire, avec qui c'est marche ou crève. Tu obéis, ou c'est la punition. Certains viennent même la rencontrer expressément pour cette partie très sadique de son caractère.
Pour ses proches, enfin, ceux qui la connaissent un peu mieux, elle est plutôt docile, ayant plus tendance à suivre les ordres qu'à en donner, à proférer des conseils plutôt que des coups de cravache.
Si elle en vient à utiliser son pouvoir contre elle-même, ce qui arrive parfois, elle devient complètement soumise et masochiste.
La dernière facette est celle que l'on voit peut-être le moins, mais la seule présente quelque soient les circonstances. C'est une manipulatrice invétérée qui ne saurait tolérer l'échec de ses ambitions, ou de celles de l'éventuelle personne qu'elle laissera la commander.
Histoire :
D'origine slave, et très probablement russe, elle ne connait que peu de choses sur ses origines. Ses parents avaient émigré aux états-unis d'Amérique juste avant sa naissance. Son père trouva rapidement du travail, malgré ses difficultés dans la langue locale. Un an seulement après que Olga ne vienne au monde, ceux qui lui avaient permis de voir le jour moururent en la protégeant. Victimes de plusieurs balles perdues dans les rues de San Francisco, ils furent placés dans la case « dommages collatéraux » d'une guerre des gangs qui faisait rage depuis déjà plusieurs mois.
Le services sociaux la placèrent tout d'abord dans une famille d'accueil, mais il y eut un problème. Contrairement à ses parents biologiques, les nouveaux n'étaient pas prêts à accepter le fait qu'elle soit une futanari. C'est à contrecœur qu'ils durent l'élever jusqu'à ses trois ans, âge où elle rejoindrait l'orphelinat. Elle ne reçut que le strict minimum de leur part, et certainement pas de l'amour. Mais de cette période, elle ne s'en souvient pas.
Arrivée dans l'établissement pour enfants esseulés, comme préférait l'appeler le personnel encadrant, elle rentra dans le parcours scolaire. Plutôt douée, elle noua vite des liens avec ses petits camarades. D'un côté, elle écoutait bien les adultes, et travaillait correctement, mais de l'autre, elle saisissait le premier prétexte pour faire une bêtise avec ses amis.
A huit ans, elle dirigeait naturellement sa petite bande. Elle n'avait pas spécialement cherché à le faire, mais elle possédait déjà une autorité que les autres n'osaient pas remettre en question. En tête de la classe, elle serait bientôt une sorte de princesse au milieu de ses comparses, restant toujours très polie et disciplinée aux yeux du personnel.
Au fil du temps, certains étaient adoptés, mais le gros de la troupe restait entre ces murs qu'ils connaissaient maintenant comme leur poche. Lorsqu'arrivait l'heure de la détente après les devoirs et autres corvées, ils savaient où se mettre à l'abri des regards pour faire leurs jeux, ou les choses interdites. A 14 ans, elle eu sa première expérience sexuelle. Elle adora cet acte et décida d'en faire profiter tous ses petits camarades. Un par un, les garçons furent déflorés de ses soins, une par une, elle séduisit toutes les filles de la classe. Quelques mois après, elle organisait des parties en groupe, puis de grandes orgies où tout le monde participait. Bientôt, elle commença à prendre goût aux jeux SM, et fit sombrer le groupe dans sa perversion. C'est là que se déclencha son pouvoir pour la première fois. Tout le monde était bien plus dans son rôle qu'à l'accoutumée, et prenait beaucoup plus de plaisir. Elle apprit par la suite à le maîtriser grâce à un entraînement quotidien rigoureux et... jouissif.
Cette période dura le temps d'arriver à la majorité, âge auquel l'orphelinat cessait de s'occuper de ses pensionnaires pour les lâcher dans la dure réalité de la vie. Séparée de son groupe, elle décrocha une bourse suffisante pour vivre grâce à ses bons résultats scolaires, et prépara des études de langues. Quelques années plus tard, alors âgée de vingt-cinq ans, elle savait parler anglais, français, russe, espagnol, portugais, chinois et japonais.
Cependant, c'est un métier improbable qui s'offrit à elle, mais elle y prit goût. Elle était devenue coach dans le catch professionnel. En bonne dominatrice autoritaire et sadique, elle prenait un malin plaisir à voir ses clients souffrir lors de leurs entraînements, pour ensuite les voir se défouler sur leurs adversaires. Lui vint alors une idée bien plus lucrative, pour autant de plaisir.
Dans le feutré, elle monta un camp d’entraînement. Elle recruta des volontaires masochistes, et en fit les meilleurs gardes du corps du monde grâce à son expérience dans les sévices physiques et le catch. Deux ans plus tard, toutes les plus grandes dictatures et même la maison blanche se fournissaient chez elle, même si son activité était officiellement illégale à cause des méthodes inhumaines qu'elle faisait subir à ses recrues. Il n'y avait pourtant qu'une moyenne de vingt pour cent de pertes...
Un candidat russe à l’entraînement allait une fois de plus changer sa vie. Il avait connu les parents d'Olga avant leur départ de Russie, et reconnut un air de famille dans la jeune fille. Il lui en parla, glissant le nom des personnes en question. Elle avait beau ne jamais les avoir véritablement connus, elle savait quels étaient leurs noms, ils étaient indiqués sur le livret de famille. Curieuse, elle le questionna à leur propos, et il ne se fit pas prier. Elle n'en revint pas tellement les informations qu'il lui divulgua étaient incroyables. Ils étaient des descendants de la famille du dernier Tsar. Il y avait une résistance dans le pays qui voulait voir le retour de la lignée sur le trône. La résistance fut vaincue, et ils avaient été chassés de leur pays. L'homme raconta qu'il avait été le second de son père lors de cette époque tumultueuse, et il fut prit d'un intense chagrin lorsqu'il apprit leur décès.
Mais ce n'était pas tout. Elle n'était pas l'héritière. Elle avait un cousin, réfugié au Japon dans son jeune âge qui lui pouvait régner si l'on revenait à la monarchie. Ses plans de grandeur se mirent à s'agencer dans sa tête. Elle commençait à avoir de l'argent, possédait une couverture solide et était capable de mettre des taupes loyales dans les services de sécurité de certains gouvernements ou hommes importants. Elle devrait commencer par retrouver son cousin, puis, par la ruse et la manipulation, elle devrait restaurer le régime perdu. Elle deviendrait alors une véritable princesse.
Elle pensa à tuer le dernier membre de sa famille afin de pouvoir elle-même monter sur le trône, mais si elle était d'un sadisme exacerbé, elle n'était pas méchante ni cruelle pour autant, et surtout heureuse d'avoir quelqu'un du même sang à qui elle pourrait parler. Elle fit route pour le japon, dans la ville de Seikusu. Elle utilisa ses quelques ressources – ses activités ne rapportant pas tant d'argent que ça – pour ouvrir un club échangiste/SM qui lui servirait à la fois de base d'opération pour ses recherches, de source secondaire de revenus, et de loisir puisqu'elle comptait bien passer un certain temps au milieu des clients.
Autres :
Son pouvoir, utilisable à volonté et sur simple pensée, consiste à faire ressortir la nature profonde d'une personne afin d'en faire, pour une durée limitée de quelques heures et sous condition de rester dans les cinquante mètres autour d'Olga, soit un être totalement sadique, soit un pur masochiste.
Elle peut faire rentrer et sortir son membre masculin de son corps à volonté, afin de ne pas effrayer les personnes un peu trop sensibles à ce genre de bizarreries.