Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Erreur administrative [PV : Sya]

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Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 15 dimanche 10 février 2019, 19:53:44

Plus le temps défilait, plus ses actes étaient de pire en pire aux yeux de la loi. Faut-il encore que la loi puisse voir ce qui se passe entre ses murs. William était très excitée, de voir sa fille avec rien sous la ceinture, une petite chatte douce, épilée – ou imberbe ? – aussi délicieuse qu'avec une odeur agréable, ça le rendait fou de désir ! Mais il savait encore garder la tête froide et il voulait en profiter, faire en sorte que sa petite fille adorée puisse tout de même garder un bon souvenir de cette première fois avec son père. La dernière aussi ? Ça, c'était moins sûre. D'où cette absence de réponse ? Elizabeth préférait donc la chambre ? Très bien, il laissait ses collants, chaussure et culotte au pied du bureau avant de porter sa fille dans ses bras. Depuis quand cela n'était pas arrivée ? Sûrement, quand une de ses filles s'était endormie dans le salon, devant un film. Mais ça remonte à bien des années tout cela, quand la famille était encore unie et heureuse. Une main dans son dos et sous ses genoux, il la portait jusqu'à son lit, la déposant délicatement dessus.

Il était toujours habillé, son érection aussi était au premier rang, faisant face à Elizabeth.Il était toujours habillé, son érection aussi était au premier rang, faisant face à Elizabeth. Elle était ravissante, sa fille était si belle, le rose aux joues, elle était vraiment adorable. Il se pencha sur elle en lui souriant doucement, sa main passant sur sa joue.

« De quoi as-tu peur Elise ? Papa ne te fera jamais de mal. Ni à toi, ni à tes sœurs. »

Jamais il n'avait levé la main sur ses filles. Il avait déjà élevé la voix quand elles faisaient des bêtises, mais il faut bien ne pas se montrer trop doux avec ses enfants après tout. Sans se précipiter – malgré son envie – il continua de lui caresser le visage en baisant son front. Oui, il voyait un peu d'Amélia dans tout cela, mais il savait aussi que ça restait sa fille... et ça ne freinait pas pour autant son envie de continuer plus loin. Pour ne pas trop la mettre mal à l'aise, il n'allait pas se déshabiller, ni elle non plus, si elle le voulait, elle pourrait, mais il n'allait pas la forcer.

« Allonge-toi, ma chérie... mets-toi à l'aise, tu veux bien ? »

Retirant ses mains, il laissait sa fille s'allonger, placer les oreillers comme bon lui semble, il faut qu'elle se sente bien. Une fois le feu vert enclenché, il se rapprocha pour venir à nouveau l'embrasser, sa langue se fourra dans sa petite bouche, il jouait avec cette langue, savourait ce goût interdit et pourtant si délicieux. C'était un vrai régal. Ses mains parcouraient ses formes, venant caresser ses hanches, à nouveau ses cuisses bien plus douces et chaudes qu'avant.

« Ne t'inquiète pas pour la suite, Elise, tu vas avoir un peu mal quand Papa va venir en toi. Tu vas un peu saigner, car c'est ta première fois. Mais c'est normal. Puis tu n'as rien à craindre, tu es avec moi. »

Veillant sur elle comme la prunelle de ses yeux – chose qu'elle et ses sœurs étaient, d'où cette surprotection qui va arriver – il ne comptait pas les lâcher de sitôt, bien décider à veiller sur ses filles adorées. Se redressant un peu, il toucha son entrejambe avec sa main pour voir si elle était assez mouillée. Il fallait faciliter tout cela après tout. Mais... ça devrait faire l'affaire. Une main sur son pénis, il venait doucement guider son sexe à l'entrée de sa fille, son gland frottait dessus. Il en profita un peu, histoire de voir si elle mouillait un peu plus avant de franchir le cap.

« Tu es prête, ma chérie ? »

Une fois que le gland avait franchi ses douces lèvres, il se plaçait bien au-dessus d'elle avant d'y aller, forçant de plus en plus le passage, il avançait encore, encore, même cette petite barrière ne parvenait pas à le retenir.

« Chuuuuuuuuuuuut... Ce n'est rien, Elizabeth... C'est normal, Papa est là... »

Papa était surtout en elle. Il tentait de la rassurer comme il pouvait, remuant doucement pour que le plaisir prenne plus de place que la douleur. Et ce, tout en douceur. Inutile de la brusquer plus que ça.

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 16 jeudi 14 février 2019, 22:12:34

« De quoi as-tu peur Elise ? Papa ne te fera jamais de mal. Ni à toi, ni à tes sœurs. »

C’est vrai. Il ne leur avait jamais fais de mal. Cette pensée la rassurait vis à vis de Karen. Après tout, jamais son père ne lui avait fait de mal. Jamais il n’avait levé la main… oh, elles s’étaient fais engueuler, parfois, mais depuis la mort de Maman… Est-ce que Papa avait fait quelques choses de mal ? Est-ce qu’il avait été mauvais ? Non, pas du tout. Au contraire. Si elles avaient pu vivre une vie heureuse, normal… Et bien, c’était grâce à leur père… Oui, c’était entièrement grâce à lui… Elles leur devaient justement ce point… Après tout, ce qui se passait, n’était-ce pas normal que cela arrive ? N’était-ce pas normal que pour une fois, elle rende un peu tout ce qu’elles avaient eu grâce à lui… Permettre à leur père… D’être heureux… ?

« Allonge-toi, ma chérie... mets-toi à l'aise, tu veux bien ? »

« Ou… Oui... »


Elle s’installa assez rapidement, tout simplement car elle n’avait aucune foutre idée de comment se mettre, comment s’installer… Bref, elle n’en savait rien… Et elle savait pas exactement même ce qu’elle devait faire tout simplement… Bref, elle était dans une situation assez inconfortable, où elle ne connaissait rien ! Mais pas d’inquiétude, après tout, elle était là pour apprendre… Et là, il fallait qu’elle comprenne qu’elle était dans l’étape de ce qu’on appelle les préliminaires ! Elle se fit embrasser par son père… Mais encore ça, c’était du light… Bien que le baiser était un vrai baiser, plus un baiser timide comme elle avait fait auparavant. Les langues jouaient vraiment… Tandis que les mains continuaient de passer sur son corps…

« Ne t'inquiète pas pour la suite, Elise, tu vas avoir un peu mal quand Papa va venir en toi. Tu vas un peu saigner, car c'est ta première fois. Mais c'est normal. Puis tu n'as rien à craindre, tu es avec moi. »

« Oui... »


Oui, elle connaissait tout cela. Elle avait eu des cours d’éducation sexuelle, elle connaissait cela. Elle était sans doute pas aussi naïve et innocente que son père le croyait… Mais elle était bel et bien chaste, et s’offrait bien à son père pour sa première fois. Elle allait perdre son hymen, comme ça, dans les bras de son propre père. Elle n’arrivait pas à se rendre compte de cela, c’était impensable. Tout se mélangeait dans sa tête, et elle avait du mal à croire que tout cela était entrain d’arriver. Etait-elle entrain de dormir ? Si oui… Etait-elle dans un cauchemar ou dans un rêve ? Car oui, tout pourrait porter à croire qu’on serait là dans le domaine du cauchemar… Et pourtant, certains aspects, oui, certains, relevaient du rêves… De ce côté onirique et incroyable… Comme on allait en parler… Maintenant…

« Tu es prête, ma chérie ? »

Elle fit oui de la tête… Mais elle n’avait pas été prête d’une chose. Quoi donc me demanderiez-vous ? Et bien… Voir son père… Ainsi… Oui. Elle n’avait pas du tout été prête de voir son père… Heureux. Bon dieu, en effet, elle voyait son père heureux, chose qu’elle n’avait pas vu depuis si longtemps… Oui, faire cela, ce simple geste pourtant si tabou, pourtant si interdit que cela soit par la morale ou par la loi, et bien… Et bien, cela permettait à rendre son père heureux. Et c’était ça. C’était ça qu’elle avait tant voulu pendant tant de temps. Se rendre compte qu’elle avait enfin réussi à faire cela, après tant de temps, cela la rendait heureuse, vraiment heureuse. Elle avait envie de voir cela plus souvent, de voir son père heureux plus souvent. C’était rafraichissant… C’était… C’était ce qu’elle devait faire…

« Chuuuuuuuuuuuut... Ce n'est rien, Elizabeth... C'est normal, Papa est là... »

« Han… Papa… ! »

Voilà. Elle avait perdu sa virginité… Elle l’avait perdu, et avec son père. Comme prévu, un léger filet de sang vint tacher les draps familiaux, tandis qu’elle était maintenant entrain de se faire prendre par son père. Mais alors qu’au début, elle avait eu peur que cela soit brutal, qu’elle se fasse violer comme un animal et bien… Non, son père faisait d’une douceur qui faisait que certes, dans un premier temps, elle avait ressentie de la douleur, et que sa virginité faisait qu’elle avait toujours légèrement mal… Et bien, aussi, elle commençait… à… à s’habituer ! Bon sang, elle n’arrivait pas à le croire. Mais c’était vrai, elle commençait à ressentir du plaisir… Donc… C’était ça que son père et sa mère avait vécu...

« Papa, soit… Vas-y… Fais le… Comme avec Maman… Retrouve ta joie de vivre... »

Oui, elle devenait donc officiellement la « maman ». Comme j’ai dis plus tôt, depuis la mort de sa mère, Karen avait pris le côté « mère » auprès de Mary, mais Elizabeth n’avait pas hésité à le prendre avec son père. Au début, cela n’était pas allé jusque là, mais on devinait que les choses avaient changés progressivement. Bref, là… Elle prenait du plaisir. Oui, elle prenait du plaisir alors que son père était entrain de lui faire l’amour. Ce n’était même plus du viol, car elle était d’accord, elle l’acceptait… Et le fait qu’elle l’acceptait débloquait son cerveau, qui enfin pouvait apprécier ce qui était entrain de se passer. Elle avait décidé de laisser la moralité, toutes pensées parasites en dehors de cela pour se concentrer uniquement sur ce qui se passait… là.

« Fait de moi une femme... »

Oh, ce fut dit ! Elle considérait ouvertement que son père venait de faire d’elle… Une femme ! Ce n’était pas léger comme déclaration, ce n’est pas une déclaration que dis comme ça, sans qu’elle ait de l’importance. Vous imaginez bien que cela a un poids, un poids non négligeable. Donc, ainsi, elle n’acceptait pas d’embrasser entièrement le fait de devenir la « mère » de la famille, mais aussi le fait de devenir une femme, et que celui qui lui avait appris à devenir une femme… C’était bel et bien son propre père. Dans un sens, c’était logique. En l’absence d’une mère, son père avait accepté de s’occuper de sa fille. Elle trouvait ça normal que son père arrive à faire d’elle une femme, pleine et entière… Attendez quoi ? Oui, vous avez bien entendue… Tandis qu’elle commençait à gémir, elle était dans une pensée qui disait que oui… C’était normal ce que faisait son père. Vous avez bien entendu, normal.

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 17 mardi 19 février 2019, 20:50:09

Le pas était franchi, l'interdit était brisée. Son bassin contre elle, il avait franchi cette fine barrière de chair qui prouvait bien que, pour certaines personnes, William avait commis l'irréparable. Il sentait cette chaleur, le sang chaud coulant en elle, sur son membre, la chaleur de sa fille. Il avait connu ça, non pas que l'une de ses filles avaient déjà connu ça avec lui, mais le fait de prendre la virginité d'une fille, une seule fois, sa défunte femme. Une chose qui rapprochait une fois de plus sa petite Elizabeth à sa chère Amélia. Face à ses mots, sa petite voix, il lui souriait doucement, tout en caressant son visage avec une extrême douceur, parlant doucement. Personne ne risquait de les entendre, mais ce n'était pas non plus une raison pour hurler.

« Non, ma chérie... Ta mère... je ne peux pas retrouver cette chose que je partageais avec ta mère mais ne t'en fait pas. C'est très plaisant pour autant. »

Qu'importent les efforts, Elise ne pourra remplacer sa mère, mais il restait tout de même heureux, c'est ce qui compte après tout. Qui sait, avec Karren et Mary, il retrouvera en chacune d'elle ce petit quelque chose qui lui manquait ? Peut-être en réunissant ses trois filles dans le même lit ? Non... Quoique ? On n'est pas à l'abri de ce genre d'idée après tout. Doucement, il remuait en elle, sa queue se logeant toujours plus loin, toujours sans être trop brusque ou autres, ça restait sa fille, sa première fois. Il ne pouvait pas agir comme s'il tournait une sorte de porno, non, douceur était le maître-mot de cette séance interdite. Surplombant son corps, il allait d'avant en arrière pour mieux faire gémir sa fille qui voulait devenir une femme. Dans un certain sens, elle l'était déjà, sexuellement parlant et aussi un peu à ses yeux. Certes, elle restera toujours sa petite fille adorée, mais elle est loin cette époque ou elle n'était qu'une petite fille qui lui sautait dans les bras et où sa seule pensée était de la serrer contre lui. Maintenant, c'était bien plus.

« Oh oui... hum, tu es, ma petite femme à moi... »

Était-ce le signe que cet acte interdit ne sera pas unique, mais juste le premier d'une longue série ? Ou bien simplement une phrase en l'air, dans le feu de l'action ? William continua de doucement la pénétrer, il s'appuyait avec ses coudes sur le lit pour l'embrasser, sans l'écraser. Il sentait son gland être au bout, heurtant son utérus, sans lui faire mal évidemment. Mais il s'y sentait bien, pénétrant la chair de sa chair, toute cette peine, toute cette tristesse de ses cinq longues années semblaient suspendue, ailleurs, il savait que cela allait revenir, mais c'est comme s'il venait de retirer ce poids. Il se sentait si bien, grâce à sa douce Elizabeth.

« Hum, ma chérie.... c'est tellement bon... Hum... Tu aimes ça, Elizabeth ? »

Lui en tout cas, il adorait,il délaissait ses douces lèvres parfois pour embrasser son cou, sentir ses doux cheveux passer le long de son visage, elle sentait bon, sa petite fille était devenue une femme. Délicieuse, douce et délicate. C'était sa fille, son amante, rien qu'à lui... Et personne ne viendra lui retirer ce rare bonheur qu'il touchait. Ce simple petit bonheur semblait immense face à toute cette traversée de solitude. Oh oui, rien ne viendra lui retirer une telle dose de plaisir.

« Ma chérie... écarte les jambes... ça passera mieux... »

Et si ça peut l'aider à se sentir mieux, pourquoi pas lui rendre la tâche plus simple ? Se tenant qu'avec un coude, il écrasait doucement – non pas de tout son poids – sa fille, sa main venant caresser sa douce peau, sa jambe était si douce, comme tout le reste de son corps, mais pour le moment, il n'y avait que cette partie de son corps qui était vraiment nue. Qui sait, plus tard, ça viendra ? Pour le moment en tout cas, inutile de brûler la bougie par les deux bouts. Il avait tout son temps, elle était rien qu'à lui... Pour toujours.

« Han, je t'aime ma chérie... Papa t'aime si fort ! »

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 18 jeudi 21 février 2019, 20:55:18

« Non, ma chérie... Ta mère... je ne peux pas retrouver cette chose que je partageais avec ta mère mais ne t'en fait pas. C'est très plaisant pour autant. »

C’est vrai. Elle se sentit un peu rouge de honte après ses déclarations. Ce qui pouvait sembler anecdotique quand on savait qu’elle était rouge du fait qu’elle était entrain de faire l’amour… à son père ! Donc, ouais, une petite gène suite à un truc que t’as dis mais que t’assumes plus… Ouais, ça paraît totalement secondaire, n’est-ce pas ? Sauf que cela ne l’était absolument pas… Et ouais, absolument pas ! Car elle tentait de prendre une place qu’elle n’aurait jamais. Elle n’était pas sa mère, elle ne pouvait pas rétablir et remettre son père dans un bonne état comme ça, aussi facilement. Elle avait clairement péché d’orgeuil, en plus de clairement péché de luxure. Mais bon, cela, cela se remarque limite encore plus aisément, si vous voulez mon avis. Quoiqu’il en soit, son père n’en tenait pas rigueur, visiblement, vu qu’il était trop occupé à faire ce qu’il était entrain de faire...

« Oh oui... hum, tu es, ma petite femme à moi... »

« Oui papa... »


C’est à dire se faire sa fille ! On voyait la différence entre les deux déclarations… D’un côté, elle continuait de l’appeler « papa », cette forme donc affectueuse, digne d’un enfant, et non digne d’une femme, montrant que bien qu’elle était devenue femme par le fait que bah… euh… On venait de lui faire l’amour, et bien… Elle restait pour le moment celle qu’elle avait toujours été. Mais ce n’était pas ce que pensait son père, et c’était là que ça devenait intéressant. Il n’avait pas dit -comme il avait dit auparavant-, qu’elle était sa fille… Mais elle était « sa petite femme à lui », oui, je sais, normalement en citation faut mettre entre crochet les modifications mais j’ai la flemme,… Ce qui était bien différent, et plus proche de ce qu’elle avait pensé avant. D’ailleurs, vous pouvez remarqué qu’il l’appela, juste après, « Elizabeth », un peu comme s’il abandonnait le surnom affectueux pour reprendre le vrai nom de « [sa] femme » ! (Et ouais, cette fois, je l’ai mis !

« Hum, ma chérie.... c'est tellement bon... Hum... Tu aimes ça, Elizabeth ? »

« J’aime ça… »


Loin était la Elizabeth qui ne voulait pas ça et qui faisait tout pour empêcher. Elle semblait avoir accepter ce qui était entrain de se passer… Et absolument pas sous la contraint ! Elle en avait oublié ses limites, ses craintes, le fait qu’elle ne voulait pas. Elle acceptait corps et âme la situation, estimant que visiblement, c’était devenue une bonne chose ! Et elle aimait tout. Elle aimait le fait qu’elle était entrain de découvrir l’amour… Mais aussi ce que faisait son père. Comment ses lèvres n’hésitaient pas à venir en contact avec sa peau… Oui, c’était absolument délicieux. Elle n’avait pas cru l’importance de tout cela… Et cela, cela a son importance ! Non mais vraiment, je ne déconne pas, c’est vraiment important dans notre situation, vu que cela lui apportait du plaisir, mais aussi des conseils pour mieux faire ce qu’elle devait faire...

« Ma chérie... écarte les jambes... ça passera mieux...  Han, je t'aime ma chérie... Papa t'aime si fort ! »

« Je t’aime aussi mon Papa... »

Elle l’aimait. Elle avait de suite obéit, et avait bien écarté ses jambes, facilitant grandement la situation… Elle était totalement soumise, corps et âme, à son père. Des trois, c’était sans doute la plus facile à avoir, mais quand même, cela ne retirait en rien au talent du père, qui avait réussi à mettre finalement la fille dans son lit, mais pas uniquement. Il avait réussi à prendre son coeur, à s’en emparer… Et cela, sans passer par la force. Elle l’avait accepté, et elle en était heureuse. Car elle aimait son Papa. Elle l’aimait vraiment… Et finalement, peut-être était-ce l’extase du moment qui lui faisait dire ça, mais… Le moralité, la loi… Est-ce que c’était si important que ça ? Est-ce qu’il fallait absolument s’aveugler et y obéir totalement ? Franchement… Pourquoi s’obliger à devoir s’y soumettre ? Elle pouvait bien avoir un peu de liberté… Non ?

« Papa… C’est vraiment… Si bon… Je... »

Allez, on a été trop propre pour le moment… Il est temps d’être plus graveleux. Car bon sang, son père n’était pas qu’un amant attentionné, qui prenait soin de sa fille qui était entrain de découvrir avec lui les joies du sexe… Non, c’était aussi, et plus généralement, une putain de bête au lit ! Et ouais, le père d’Elizabeth était bon. Mais vraiment bon au lit. Alors, certes, elle était vierge, et donc n’avait aucune autre expérience en la matière, mais voilà, il savait s’y faire. Il n’y allait pas comme un gros bourrin qui jouerait de son énorme bite. Non, il était beaucoup plus subtil et intelligent que ça : il maîtrisait sa bite. Oui, cela peut vous paraître risible, voir ridicule comme phrase, mais c’était vrai, c’était bel et bien le cas ! Il savait manier sa bite, et il savait faire ce qu’il devait faire… Pour… Pourquoi me demanderiez vous ?

« Je vais pas tenir longtemps... »

Et bien l’amener à la jouissance ! Car oui, vous avez deviné ce qu’elle était entrain de dire par là : elle était proche de jouir. Mais vraiment, elle était proche d’atteindre son premier orgasme ! Alors, enfaite, non. Son premier orgasme véritable avec un partenaire. Elle devait l’avouer : elle s’était masturbée, plusieurs fois, non en réussissant toujours à atteindre l’orgasme, néanmoins, il faut bien relativiser. Mais voilà, elle allait avoir son premier vrai orgasme, son premier orgasme avec un compagnon ! Et là, c’était quand même à marquer avec une pierre blanche. Elle ne l’avait pas encore atteint, mais cela arrivait, et c’était inéluctable. Son père pouvait être fier. Elle allait connaître la joie, le grand plaisir de devenir une femme, une vraie ! Bref, cela allait être grandiose !

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 19 dimanche 24 février 2019, 20:59:13

Il est vrai que William a toujours comblé sa femme de plaisir, sans être digne de l'endurance d'un acteur porno, il était bon. Il arrivait parfois avec sa femme d'être un peu plus dans le feu de l'action et d'être plus grossier, rapide, fort, mais là, en ce moment, pour la première fois avec sa petite Elise, il ne se voyait pas la clouer au mur pour lui faire l'amour. Un peu de douceur dans ce monde de brute ! Alors oui, il sortait de cinq ans d'abstinence, une chose qui le pèse plus qu'il ne voudrait pas l'avouer, il le ressentait bien avec sa fille en ce moment. Il ne tiendra pas la cadence d'avant même si en contre-partie, il avait plus d'une cartouche dans son chargeur, à défaut de tenir la distance, il pourra recommencer bien des fois pour calmer toute cette longue attente. Sa fille était belle, douce, aimante, et bien qu'il commençait à peine à imaginer garder ses trois filles rien que pour lui, pour les protéger évidemment, il voyait sa petite Elise comme celle avec qui il sera doux. Bien sûr, il pourrait varier les plaisirs, mais sa fille méritait la douceur, douceur certes, avec une pointe de maturité. Elizabeth était une petite femme, sa petite femme. Il allait prendre son temps avec elle, inutile de tout lui montrer d'un coup, ils avaient tout leur temps.

« Mhhh, vas-y, ma chérie... détends-toi. »

Il continua doucement de remuer, sa queue venant toujours s'enfoncer en elle avec plaisir, il avait beau déjà touché le fond, cela ne l'empêchait pas de recommencer encore et encore. Tant c'était délicieux de sentir sa queue au chaud, entre ses parois intimes si serrée, si chaude. Un pur régal. Ses lèvres revenaient régulièrement l'embrasser, parfois rapidement, parfois longuement, il voulait juste arrêter le temps et profiter de ce moment aussi longtemps que possible, avant que ses filles ne reviennent. Que se passera-t-il d'ailleurs pour elles ? Déjà pour Karen, il devait avoir une discussion avec elle, c'était sa priorité, pour Mary, ça attendra. Il ne savait pas encore comment l'aborder, mais il verra par la suite. Karen était sûrement le plus urgent. Pas question qu'elle ai le moindre sentiment d'amour envers ce sombre petit fils de catin ! Quand elle commençait à montrer des signes de faiblesse, avouant être proche de l'orgasme, il souriait, sans freiner son propre plaisir.

« Relâche-toi ma chérie... Papa va continuer encore un peu... »

Il n'allait pas tenir cinq minutes de plus comme ça mais au moins une bonne minute, voir deux ? Il continua toujours de lui faire l'amour, même quand il sentit sa fille jouir, rependant son jus intime sur le lit. Il se délecta de ses grimaces de plaisir en venant l'embrasser juste après ça jusqu'à lui aussi y arriver. Cependant, il ne l'avait pas averti. Elle aurait pu le deviner en voyant son visage peu à peu changer, mais il n'avait rien dit du tout. Et quand le dernier coup de reins fut donner, il resta tout au fond en remplissant son utérus du même nectar qui l'a fait naître dans le ventre de sa mère.

« Oh bon sang, Elise ! »

C'était... C'était... une véritable délivrance, il se retenait de l'écraser, venant doucement se retirer d'elle avant de s'écraser à ses côtés, et non sur elle. La queue humide perdait de sa vigueur maintenant déchargée temporairement, il souriait en caressant les cheveux de sa petite fille. Sa jolie petite tête blonde était ravissante, belle, un petit air d'Emilia après l'orgasme, c'est vrai.

« J'espère que tu as aimé, ma chérie ? Je suis en tout cas heureux d'avoir partagé ça avec toi... Cela restera notre petit secret, ma chérie... Mais si tu veux recommencer, dans la journée, ce soir, plus tard, tu peux venir me rejoindre dans mon lit, Elise. »

Oui, ce n'était plus une unique fois, c'était maintenant un rendez-vous où Elizabeth pouvait le rejoindre quand elle voulait, mais nul doute aussi que parfois William va vouloir venir l'avoir dans son lit avant qu'elle ne le décide. Il venait la prendre contre lui, non pas pour recommencer – pas dans l'immédiat – mais pour la câliner, une main dans le dos, une autre sur sa tête, caressant ses cheveux.

« Si tu as la moindre question, tu peux m'en parler, Elise... Tu as été là pour moi depuis que ta mère n'est plus... Et moi, je n'étais pas vraiment là pour vous trois... Je veux me rattraper, si tu as la moindre question... J'y répondrais, ma chérie. »

La scène pourrait être touchante... Si Elizabeth ne serait pas dans le lit de son père, sans culotte, l'entrejambe débordant de sa semence et lui, la queue à l'air.

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 20 jeudi 28 février 2019, 19:30:06

Elle était entrain de le faire ! Elle était vraiment entrain de le faire ! Elle avait qu’avait tant résisté, qu’avait tant fait en sorte que cela n’arrive pas… Et voilà qu’elle se retrouvait à faire l’amour avec son propre père. Et le pire, c’est que si quand elle avait commencé, elle avait ressenti de la gène, de la honte, qu’elle était entrain de faire l’un des trucs les plus tabous qu’elle n’avait jamais fais… Et bien maintenant alors que l’acte était bien entamé (oui, ça je crois qu’on peut le dire sans soucis que l’acte est bien entamé, hein), et bien… Voilà qu’elle considérait cela comme normal, comme si de rien n’était, comme si elle faisait quelques choses que n’importe quelle fille pouvait faire avec son père… Alors que dans les faits, non, ce n’est pas non plus si communs…

« Mhhh, vas-y, ma chérie... détends-toi.  Relâche-toi ma chérie... Papa va continuer encore un peu... »

Débutante en sexe, elle obéissait au doigt et à l’oeil à son père. Faut dire celui-ci ne donnait pas des ordres méchants, au contraire. Il n’y avait rien de violent ou méchant dans cet amour, ce qui faisait qu’elle l’approuvait totalement. Au contraire, tout était douceur et on s’occupait bien d’elle. Elle ne pouvait que aimer. Elle ne pouvait que approuver. Elle ne pouvait qu’aimer. Ainsi, elle se détendait, se relachait, se laissait faire, offrait donc à son père aussi bien son entière soumission que son entière coopération, appréciant de plus en plus ce qui était entrain de lui arriver… Bon sang, son père était bon, c’était le coup parfait pour une première fois, et elle était heureuse de ce qui lui arrivait… Cela se sentait dans ses gémissements, dans ses actes, dans ces dires…

« Oh bon sang, Elise ! »

Et voilà ! Le double orgasme, une magnifique scène ! Enfaite, dans les fait, ce n’était pas tout à fait un double orgasme, elle avait orgasmé, elle, peut-être une bonne minute avant son père. Mais vous connaissez la licence artistique de l’écrivain : on peut se permettre de faire quelques choses d’un peu différents, tant que c’est beau ! Vous connaissez Dumas ? C’est celui qui a dit « on peut violer l’histoire, tant qu’on lui faire de beaux enfants ! » Et bien, là, c’est pareil, on peut violer tant qu’on fait un bon RP… Mmh… Je crois que je me suis trompé. Bref, quoiqu’il en soit, elle était dans un état de grand bonheur, de jouissance, elle était heureuse, vraiment heureuse de ce qui lui arrivait. Mmh, que de bonheur ! Et ainsi, quand son père commença à lui demander comment ça c’était passé, elle n’hésita pas avant de répondre :

« J'espère que tu as aimé, ma chérie ? Je suis en tout cas heureux d'avoir partagé ça avec toi... Cela restera notre petit secret, ma chérie... Mais si tu veux recommencer, dans la journée, ce soir, plus tard, tu peux venir me rejoindre dans mon lit, Elise. »

« Voyons Papa, j’ai dis, ça ne serait qu’une seule et unique fois ! Mais… C’est vrai que j’ai adoré papa... »

Elle tint bien à le préciser… Mais elle n’avait aucune idée de si cela allait vraiment rester le cas, franchement. Elle avait aimé, et ne ressentait plus de honte à cela. Après tout, c’était son père, et c’était un secret entre lui et elle. Donc… Il n’y avait pas de soucis non ? Personne ne saurait jamais rien de cette escapade et des… mmh… prochaines ? Elle ne savait vraiment pas s’il y en aurait pas, mais elle pouvait pas non plus ignorer que peut-être que cela arriverait. Elle décida de ne pas y penser pour le moment, et de laisser cela dans le champ des possibles, mais sans plus de détail. Oui, elle avait l’impression que c’était un bon compromis pour le moment. Ouais, elle décida donc de laisser ainsi… Quoiqu’il en soit, elle écouta attentivement les déclarations de son père, déclaration très important...

« Si tu as la moindre question, tu peux m'en parler, Elise... Tu as été là pour moi depuis que ta mère n'est plus... Et moi, je n'étais pas vraiment là pour vous trois... Je veux me rattraper, si tu as la moindre question... J'y répondrais, ma chérie. »

« Papa, tu as toujours été là. Sans toi, on aurait été seule et à la rue. T’as au contraire jamais pris soin de toi. »

Sans hésitation, elle se laissa tomber dans les bras de son père, et lui offrit un câlin. Elle trouvait totalement absurde quand il disait qu’il n’avait pas vraiment été là. Au contraire, il avait toujours été là, il avait tenu malgré le désastre et le malheur. C’étaient elles qui n’avaient pas fait assez, et Elizabeth estimait qu’elle avait fait un grand pas pour que son père aille mieux. Car au contraire ce qu’il disait, il a toujours pris soin d’elle, et jamais de lui, ce qui fait qu’il était dans cette dangereuse pente de l’autodestruction. D’ailleurs, elle estimait même que s’il avait prit soin de lui, sans aucun doute que tout cet épisode n’aurait jamais eu lieu. Mais voilà, il y a eu lieu. Donc inutile de faire comme si cela lui avait déplu -au contraire même-, mais voilà… Elle déclara alors d’un ton joueur, qui lui avait manqué ses dernières heures :

« Allez, Papa, je me rhabille ! Imagine Karen entre maintenant hihi ! »

Elle avait retrouvé son état d’avant tout ça ! Ce ton joueur, taquin, qui ressemblait tant à celui de sa mère. Elle avait retrouvée sa bonne humeur, et ne stressait plus. Même l’histoire de Karen et son « petit copain » meurtrier, et bien, voilà qu’elle y pensait plus, contrairement à son père. Non, elle avait retrouvée un ton innocent et content, comme si elle était elle-même contente de ce qui s’était passé, et qu’elle en avait eu bien besoin. Ouah, c’est quand même totalement fou, vous imaginez ! Voilà qu’elle aurait besoin de cela ? Bref, quoiqu’il en soit, elle termina de totalement se rhabiller, mettre bien ses vêtements, laissant quand même -cela serait absurde de penser à de l’intimité après ça-, son père voir son corps alors qu’elle se rhabillait. Une fois cela fait, elle se tourna vers son interlocuteur et déclara :

« Va falloir s’occuper de ces maudits papiers ! Karen et Mary vont sans doute bientôt rentrer en plus ! »

Entièrement habillé, elle revenait sur le sujet de base, un peu comme si rien n’était arrivé, bien qu’elle était toute contente. Toute contente, car elle avait prit son pied, qu’elle avait découvert l’amour et qu’elle avait passé un super bon moment malgré ses premières réticences… Et aussi, deuxièmement et plus important encore… Son père avait passé un bon moment. Sans aucun doute qu’il avait passé une des meilleures après midi depuis bien longtemps, depuis que leur mère était morte. Elle était heureuse qu’elle ait pu faire quelques choses de pour elle si simple, mais sans doute si important pour son père.  Donc, elle était contente. Mais retour à la réalité, elle devait s’occuper de ces maudits papiers ! C’était vraiment important, si elles voulaient s’émanciper un jour, et vivre au Japon ou retourner en Angleterre…

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 21 mardi 05 mars 2019, 20:34:12

Unique fois ? Oui, Elizabeth avait supposé cela, mais maintenant qu'il avait goûté à ce fruit défendu, il en voulait plus. Surtout que de son point de vue, le mal était fait donc, une fois ou dix, si la vérité venait à être découvert, ça serait ignoble pour tout le monde. Mais soit, pour le moment, son esprit était apaisé, léger, il fallait reconnaître qu'il se sentait très bien. Sa fille récupérait ses affaires – bien que le plus important était dans son bureau, car ici, à part défroissé sa jupe et ses vêtements, il n'avait rien retiré – avant de déjà songer encore à ses maudits papiers. Lui aussi avait ranger son engin, remontant sa braguette et hop, le voilà déjà présentable. Il se rapprochait de sa fille venant poser sa main sur sa tête.

« Va te reposer, Elise, je vais m'en occuper, d'accord ? »

Pas de la même façon dont pensait sa fille, évidemment. Cela dit, il était encore entre deux chaises... devait-il vraiment s'en débarrasser au broyeur, ou au feu pour que cela soit inutilisable ou bien il acceptait cette unique fois, faisant confiance à sa fille pour garder ce secret entre eux ? Il hésitait, même si une petite voix le guidait vers une mauvaise route bien sombre et sans retour possible... Mais dans le doute, pour ne pas laisser cela arrivé dans n'importe quelle main, il rangea les papiers dans son petit coffre fort. Il y avait dedans quelques papiers important, en plus de quelques souvenirs de sa femme et à présent, les papiers de ses filles. C'était une roue de secours sur le chemin de la moralité. Évidemment, le code était secrets, rien de trop simple comme les dates de naissance ou autres, beaucoup trop simple. Seul dans son bureau, il repensait à tout cela, à ce qui venait de se passer, et même ce qui pourrait se passer ensuite. Autant en bien qu'en mal. Si ses filles vivent ici comme des étudiantes, si elles se font des amis, ect, bien que l'idée de perdre ses filles le terrorisait ! Perdre dans les deux sens. Morte à cause d'un quelconque accident ou détracteur, ou bien elles sont tombé amoureuse d'un petit nippon qui deviendra son gendre.

Mais l'idée tournait, elle tournait pour devenir de plus en plus glauque... Les souvenirs dans sa chambre étaient encore très frais, le corps chaud et doux de sa fille, ses petits gémissements, son visage tendre et ravissant, tordu par le plaisir. Il sentait déjà sa queue recommencer à vouloir un second tour ! Cela faisait bien longtemps que ça ne lui était pas arrivée, pensée à une femme comme ça, autant ! Et dans ce sens. Mais bon, sa fille se reposait, elle faisait ce que bon lui semble dans son coin, il n'allait pas la déranger. Mais il avait encore son portable, et surtout ce SMS de Karen. Et de suite, l'envie de sexe laissait place tout de même à une colère silencieuse... Il n'allait pas battre sa fille ou lui faire mal, mais pas question qu'elle revoit ce sale petit con. Ce qu'il allait lui dire pourrait lui déplaire, elle pourrait même le détester pour cela. Mais il préférait avoir sa haine pendant un certain temps que de renier sa fille en la voyant dans les bras de ce sale petit enfoiré !

Attendant près de l'entrée, il vit Mary passé, lui souriant, il la laissait elle aussi faire sa petite vie dans la maison, il attendait surtout son ainée, car à peine était-elle revenue en ayant franchi le pas de la porte, qu'il allait à sa rencontre, pour faire une mise au point.

« Karen, vient me voir ma chérie, on doit parler. »

Pas la peine d'être brusque, installé dans le salon, c'était bien. Évidemment, juste eux, pas besoin de ses autres filles pour influencer dans un sens ou dans l'autre. Il sortit de sa poche le portable d'Elisabeth, lui montrant le message.

« Il va falloir qu'on parle de ça. Et n'accuse pas ta sœur de quoi que ce soit, le portable était près de moi quand elle a reçu le message et le peu que j'ai vu m'a intrigué. »

Elle pouvait le prendre pour un père espion, bien qu'il n'ai jamais espionné ses filles, pour le coup, il avait vu ce message avant sa fille. Mais avant de se montrer dur dans ses propos, il voulait entendre ses « excuses », en quoi sa vision des choses allaient rendre ça plus normal ? Surement une vision plus amoureuse de la chose, mais pour lui, ça ne passerait pas, avec un autre jeune garçon, certes, pas avec l'assassin de sa femme.

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 22 samedi 09 mars 2019, 23:45:09

Une fois… Vraiment ? C’était impossible de savoir… Peut-être que finalement, notre chère Elizabeth allait changer d’avis, et elle allait rejoindre la prochaine fois de sa propre initiative le lit de son père… ? Ouais, c’était tout à fait possible, mais bon, on ne pouvait pas être sûre. Son « ça » et son « sur-moi » si on commencer à parler de psychanalyse carrément, et bien étaient en plein combat, et après cette première victoire du ça, il était possible qu’il en gagne d’autre plus tard ! Quoiqu’il en soit, tout cela, c’était du plus tard, elle avait d’autres choses à faire, là, maintenant, donc, elle devait se concentrer sur autres choses… Heureusement, ou malheureusement, et bien… Elle fut déconcentrée de cette tache par :

« Va te reposer, Elise, je vais m'en occuper, d'accord ? »

« Oki papounet ! »


Etait-elle naïve ? Stupide ? Bref, en tout cas, elle fit confiance à son père. Elle ne pouvait pas douter que les papiers allaient être donc conservés bien loin d’elle dans un coffre fort. Elle n’allait pas pouvoir y accéder. Mais voilà, peut-être euphorique à cause du sexe, voilà que notre chère Elizabeth décidait de faire confiance à son père, et allait tranquillement dans sa chambre. Une fois dans sa chambre, elle commença à jouer avec sa 3DS, et tranquillement faire une petite partie de Smash Bros en ligne, ignorant complètement le fait qu’elle s’était jetée presque sciemment dans la gueule du loup… Quel mauvaise idée… Mais voilà, elle était piégée maintenant, et elle avait presque acceptée son sort…

***

La première à rentrer fut Mary. Elle avait passée une super journée, et offrit un sourire à son père, tandis qu’elle retournait à sa chambre pour… Pleurer. Ouais, elle avait le mal du pays, mais tenta de faire le plus possible pour cacher cela à son père. Elle voulait rentrer voir ses amis, rentrer de nouveau à la maison, car le Japon, cela ne lui plaisait pas pour le moment. Ok, c’était peut-être temporaire, peut-être qu’elle allait aimer au final… Mais pour le moment, c’était si difficile ! Elle avait jamais vécue ça, et même le choc de la mort de sa mère, elle avait été si jeune qu’elle s’en souvenait plus tant que ça. Pour elle, c’était le plus gros choc de sa vie. Mais elle, on allait s’occuper de ces jolies fesses plus tard. Là, c’était autour d’une autre personne… Une personne plus importante dans cette situation :

Car quand Karen revint…

« Karen, vient me voir ma chérie, on doit parler. »

« Coucou Papa ! »

Elle était rayonnante, comme d’hab. C’était la plus vieille, et sans doute objectivement la plus belle du trio des sœurs. Elle avait une belle poitrine, des beaux cheveux, bref, elle était ravissante. Elle était contente de voir son père après cette journée, et elle comptait bien tranquillement discuter avec lui de ces premières journées au Japon ! Elle avait été réticente au début, mais y rester un peu avant de rentrer en Angleterre, cela lui plaisait plutôt ! Mais malheureusement, sa bonne humeur fut douchée… Visiblement, il… Il avait lu les SMS. Les SMS que la fameuse Karen aurait tenté de le cacher totalement… Mais voilà , comme il déclara :

« Il va falloir qu'on parle de ça. Et n'accuse pas ta sœur de quoi que ce soit, le portable était près de moi quand elle a reçu le message et le peu que j'ai vu m'a intrigué. »

« ... »


Ouh là… Le blanc fut glaciale. Mais quand je dis glaciale, c’est vraiment glaciale. Autant, comme j’ai dit précédemment, on sentait que le « coucou Papa », avait été un « Coucou Papa » content, là, elle était visiblement énervée. Énervée contre sa sœur surtout. Elle était furibonde contre Elizabeth. Déjà, car elle ne savait pas si elle pouvait croire son père. C’était bien le genre d’Elizabeth de cafter, elle n’aurait pas du lui faire confiance… Mais voilà, surtout… Même si elle n’avait pas fait exprès, elle aurait du faire gaffe putain ! C’était le texto que son père ne DEVAIT pas voir. Mais bon, quoiqu’il en soit, elle savait bien qu’elle n’allait pas pouvoir rester muette comme ça, aussi longtemps… Elle allait bien devoir parler. Et quand il faut parler… Et bien, elle commença alors à déclarer :

« En quoi ça te regarde ? J’tente de ramener un ancien criminel dans le droit chemin. Il peut être racheté, et Maman l’aurait voulu. »

Oui, totalement. Elle usa volontairement de l’image de sa mère pour faire comprendre à son père que c’était la bonne chose à faire. Après tout, il était de son devoir d’aider quelqu’un comme lui. Elle savait que le tueur de Maman, et bien… C’était pas un mauvais gars. Il avait fait une bêtise, une énorme, grosse, infiniment grosse même bêtise… Mais voilà, ça arrivait. Maintenant, elle estimait qu’il était inutile de le punir toute sa vie. Elle voulait l’aider à se relever elle voulait l’aider à qu’il retrouve le droit chemin. Et si l’une d’entre elles était morte à cause de lui, elle savait que leur maman aurait aidé à le faire revenir dans le droit chemin. D’ailleurs, ainsi, elle commença à déclarer, comme pour achever le coup :

« Et ça marche. »

Elle ne précisa pas que cela marchait au point qu’elle en était tombée amoureuse de cet homme… Mais passons. De toute façon, ce n’était pas à son père de se meler de ça ! Ouais, car là, le papounet, aux yeux de notre Karen, il était VRAIMENT entrain de se méler de ce qu’il ne le regardait absolument pas ! Qu’il se concentre plutôt sur d’autres trucs, car là, bah… Elle n’aimait pas du tout ça. Elle préférerait largement qu’il se concentre sur son installation ici, étant donné que bah, c’était à lui de s’en occuper. Ouais, elle aimait vraiment son père, mais le fait qu’il tente de se mettre dans SA vie privée, visiblement, c’était suffisant pour commencer à vraiment l’agacer… Donc, voilà… Ouhlalal… On allait voir comment cela allait se terminer, mais sans doute mal si vous voulez mon avis.

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 23 mercredi 13 mars 2019, 20:38:04

Il était venu le temps de mettre cela au clair. Karen allait vraiment sur une mauvaise pente – à son sens – car il y avait une différence entre pardonner et tomber amoureuse de lui. Il n'avait pas bousculé sa femme dans la rue ou, accidentellement casser son bras – par exemple – il ne l'avait pas non plus agressé ou autre, il l'avait tué. Elle n'était plus là, pour lui, pour elles, elle avait créé un vide dans la famille par son absence. Et ce qu'Elise venait de vivre et ce qui pourrait bien arriver par la suite était la faute de cet homme. Installant devant elle la preuve de son crime, il y eut un blanc auquel il s'attendait, mais ce n'était pas grave, elle avait tout son temps pour s'expliquer. Elle ne quittera pas la pièce sans avoir étalé ça et en avoir parlé ensemble. Fixant son aînée, il attendait la réponse, pourquoi en était-elle arrivée là ? Il s'attendait à certaines raisons que, de base, il jugeait stupide, mais qui sait, elle pourrait avoir raison ou le surprendre ?

Évoqué Emilia, forcément, il s'attendait à cette réponse et dans un certain sens, oui, elle aurait été pour le remettre dans le droit chemin. Sauf que là, l'exemple se tenait pour sa propre famille. Un parent pouvait-il pardonner le meurtre de son enfant, même accidentelle ? Même en ayant le cœur sur la main, il n'y croyait pas vraiment. Il est plus simple de pardonner quand cela ne nous touche pas directement, mais là, il ne disait pas avoir la réponse juste, mais selon lui, sa réponse était plus vraie que la vision idéal de Karen.

« C'est faux. »

Le ton était calme, presque froid. Mais il continua sans se laisser distraire.

« Inversons la situation, si ça aurait été moi à la place de ta mère, tu penses qu'elle aurait été d'accord pour que tu le fréquentes ? »

Sur ça, peut-être, elle-même aurait pu accepter cela comme lui avait fait l'effort qu'elle aide ce sale petit con.

« Tu penses qu'elle aurait été ravie d'entendre que tu sois amoureuse de lui ? Tu crois qu'elle aurait été contente de te voir enlacer ce sale connard qui m'aurait tuer ? Il y a une différence entre avoir le cœur sur la main et être stupide, Karen. »

Oui, il ne retenait pas ses mots quand il pensait à ce merdeux, pourquoi il prendrait des pincettes, ce sale connard a détruit sa famille et il devrait être poli et le respecter ? Ça, jamais de la vie ! Cela dit, sa fille pouvait avoir des arguments à ses mots, elle pouvait dire des choses censées, mais il avait la parade ultime contre laquelle elle ne pourrait pas riposter, sauf si elle arrivait à le surprendre, ne sait-on jamais.

« Enfin, pense à ton avenir avec lui ?! En admettant que tu as des gosses avec ce sale petit con, qu'est-ce que tu diras à tes gosses ? Comment tu l'a rencontré ? Oh bah Papa a tué votre grand-mère, ah oui, bel exemple pour la jeunesse ! Cesse de penser comme une idiote Karen ! Que tu veuilles l'aider, lui pardonner, ça te regarde et dans un sens, je pourrais même dire que c'est noble... Mais en tomber amoureuse ? Je veux bien croire que ce sont des choses qui ne se contrôlent pas, mais quand même ! Il a tué ta mère ! Tu m'a vue erré comme un zombi depuis cinq ans ! Tu as vu ta petite sœur perdue sans sa mère avec qui elle était toujours, tu as vu Elise aussi attristé que nous tous, et toi, tu voudrais faire de ce connard un membre de la famille ? À quel moment tu t'es dit que ce sera une bonne idée ? »

Bien que son visage n'avait rien de neutre et que la colère se lisait facilement dessus, il restait encore assez calme, sa voix n'était pas en train de faire trembler les murs, il parlait, tentant de garder son calme, sans pour autant hausser le ton... sauf en de rares exceptions bien sûres...

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 24 jeudi 14 mars 2019, 19:44:45

Pas contente, voilà ce qu’était Karen. Pas contente envers son père surtout, mais pas contente aussi envers elle-même. Elle savait que cette discussion aurait lieu un jour, mais elle aurait voulu la contrôler, elle aurait voulu que ce soit ELLE, et ELLE SEULE qui amène la discussion sur le tapis, histoire de ne pas se retrouver fort dépourvue, quand la discussion fut venue. Vous comprenez ? Voilà pourquoi elle était donc fort embêtée de la situation. Mais bon… parfois, tout ne se passait pas comme vous voulez, et bien, vous n’avez pas d’autres choix que d’accepter que la situation n’est pas celle que vous voulez ! Il fallait donc faire avec, accepter, et se tenir prête à la situation donnée, en espérant qu’on arriverait à gérer ça…

Donc, elle l’écouta. Elle écouta ses arguments. Evidemment, Karen manqua de rouler les yeux hors de ses orbites tellement elle s’attendait à toutes les déclarations évidentes. Le coup des petits enfants fut la goutte d’eau qui débordait le vase. Ouais, il tentait de la faire culpabiliser. Putain, elle, elle avait fait des efforts ! Tandis que Mary avait ignoré, que William avait déprimé, et qu’Elizabeth avait tenté de tout garder difficilement en place, elle, elle avait tenté de comprendre, de pardonner… Donc, tenter de la faire culpabiliser… Elle allait vraiment pêter les plombs. Quel con pouvait-il être parfois ! D’ailleurs, elle allait lui faire comprendre, étant donné qu’il était de son devoir de faire comprendre à son père deux trois trucs.

« C’est ridicule. Tu connais rien de lui ! Tu sais pas à quel point sa vie a été difficile, et à quel point il regrette cette erreur ! »

Là, elle n’avait pas tord. Sauf qu’encore une fois, et bien… Son père ne lui reprochait pas du tout le fait d’avoir été gentille, le fait d’avoir voulu aider, le fait d’avoir voulu le ramener dans le droit chemin. Ce qu’il reprochait, et bien, c’était qu’elle était tombée amoureuse. Alors, bien entendue, c’était tout aussi stupide, étant donné qu’elle n’avait pas pu contrôler le fait qu’elle était tombée amoureuse… Mais voilà ! Donc, quoiqu’il en soit, il fallait bien préciser qu’elle n’était pas tombée amoureuse de l’homme qui avait tuée sa mère, mais bel et bien l’homme qu’il était devenue, après plusieurs années de prisons, après s’être racheté. Maintenant, il faisait des études, il commençait à se réintégrer… Il y avait de l’espoir pour lui ! Ainsi, elle déclara :

« Arrête d’imaginer des « si ». C’est arrivé, c’est arrivé. Maintenant, si tu veux t’aveugler dans la haine et être malheureux toute ta vie, c’est ton problème... »

Voilà. Voilà ce qu’elle proposait. Soit tourner la page, accepter l’avenir, soit rester aveuglé par le passé, et donc, rester malheureux. Elle… ? Elle avait fait son choix, depuis un moment. Son choix avait été prit, étant donné qu’elle était tombée amoureuse, elle avait donc prit le chemin du pardon, et avait décidé d’être heureuse. Maintenant, son père, lui, qu’allait-il faire ? S’aveugler dans sa haine, sa tristesse, le passé ? Pour Karen, visiblement, cela ne faisait aucun doute. Bon sang, elle n’aurait jamais cru que son père aurait pu être aussi stupide, et aussi peu intelligent ! Quoi ? Comment ça c’est la même chose ? Oui, mais euh… Elle est énervée… Faisant les cents pas, elle déclara plus pour elle-même.

« Bon sang, que j’ai été conne d’en parler à Elizabeth ! »

Elle ne faisait pas confiance en Elizabeth. Elle avait toujours été proche de papa, pensa-t-elle. Si ça se trouve, c’était elle qui l’avait cafté. Car ouais, le coup qu’il avait vu le téléphone COMME PAR HASARD au bon moment, elle n’y croyait pas. Sans doute qu’Elizabeth n’avait pas su quoi faire devant une telle situation, et donc, avait prévenue son père. Elle avait toujours été comme ça ! Mais bon, la seule coupable, dans l’histoire, c’était elle après tout. Elle reconnaissait qu’elle n’aurait pas du faire confiance à Elizabeth, et elle aurait du gérer tout cela toute seule. Elle ne pensait pas, car elle ne pouvait pas savoir que… Et bien, Elizabeth avait énormément sacrifié pour que justement, elle n’ait pas trop de soucis… Visiblement sans succès.

« De toute façon, t’inquiète. Tu ne voudras pas le voir ? Tu nous verras pas. Mes enfants n’auront pas à savoir que leur grand-père était un aigri qui n’a pas accepté qu’un homme pouvait se réformer. »

Bam, elle sortait ouvertement le fait qu’elle couperait les ponts sans aucun soucis. Après tout, elle était adulte ! Donc, elle pouvait décider qu’il était temps d’arrêter d’obéir aux ordres du paternel, et décidé qu’elle pouvait se débrouiller toute seule. Après tout, il suffisait de prendre son passeport, et ainsi, rentrer en Angleterre fissa. Elle n’avait pas du tout envie d’en arriver là, mais si son père ne lui laissait pas le choix, en restant aveuglé par sa pensée Moyen-Ageuse, et bien, tant pis ! Elle, elle n’avait pas envie d’être malheureuse toute sa vie en repensant à sa mère. Elle avait aimée sa mère, et celle-ci était morte trop tôt. Il était temps de faire le deuil, d’aller de l’avant, et de pardonner. C’est comme ça. Donc, ainsi, la jeune femme regarda son père. Qu’allait-il dire à ça ? Allait-il être intelligent, et chercher à comprendre ? Elle espérait.

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 25 mardi 19 mars 2019, 20:44:35

Il fallait que sa sorte. Que sa fille aille voir celui qui a tuer sa femme, ça ne le rendait pas heureux, mais elle tenait ce côté de sa mère... Qu'elle l'aide un peu trop, ça ne l'aidait toujours pas. Peut-être était-ce aussi une forme de jalousie ? Pourquoi aller aider ce petit con alors que lui affichait une mine de zombie et à part Elizabeth, ses deux filles ne l'aidaient pas trop. Passe encore pour Mary, elle était proche de sa mère alors bon, elle restait proche de ses sœurs, soit. Mais Karen, pourquoi tendre la main à ce sale type et pas à lui ? Mais tomber amoureuse de lui, là, il devait prendre son rôle de père au sérieux. Si des regrets de sa part suffisaient à faire revenir sa femme, il pourrait lui pardonner, mais preuve du contraire, elle n'était pas revenue à la vie ? Pourquoi pardonner à un petit con qui a pourri leur vie ? Il regrette, tant mieux pour lui, ça ne l'aide pas à se sentir mieux ! William était quasiment sûr qu'en inversant les rôles, sa femme aurait eut la même pensée que lui, peut-être pas en étant aussi borné, mais de son côté quand même...

« Comment tu veux que je tourne la page si tu agites sous mon nez la source de mes problèmes ! »

Oui, pour le coup, il avait quelque peu hausser le ton, sans non plus hurler, la discussion avait du mal à rester simplement calme, il fallait bien parfois ce genre de choses pour évacuer sa haine. Il est vrai que venir ici était une façon de tourner la page et tenter de se redresser, mais si Karen continue de parler de lui, de tout faire pour le voir et pire, maintenant d'envisager de le revoir et faire sa vie avec lui... Comment il peut changer et avoir un second souffle dans sa vie ? Il ne dit rien concernant Elizabeth, il avait précisé qu'elle n'avait rien à voir dans cette histoire, mais ça serait parlé à un mur que de le souligner à nouveau. Cependant, quand Karen évoquait qu'elle cesserait de le voir si jamais elle finissait avec lui, cela lui fit un pincement au cœur... Séparer de sa fille aînée, elle dans les bras de ce sale type ? Préférant avoir une famille avec celui qui a brisé leur famille plutôt que d'aider sa propre famille ? Et elle osait le prendre pour un idiot ? Mais c'est son comportement qui était stupide !

« Karen... Tu es ma fille, ma première fille, et je souhaite par-dessus tout ton bonheur à toi et tes sœurs... Mais ce que tu fait.... je ne peux pas l'accepter... Imagine si tu vit la même chose plus tard ? Tu accepteras que ton enfant soit en couple avec une personne qui a tuer ton mari ? Tu te dirais simplement ok, elle fait ce qu'elle veut, c'est la vie ? Ta mère était toute ma vie ! Grâce à elle, j'ai eu trois magnifiques bébés qui deviennent peu à peu des femmes aussi belle qu'elle l'était. La perdre elle, c'était sûrement la chose la plus dure que j'ai eut à vivre dans ma vie... Alors te perdre toi... à cause de lui... C'est comme s'il t'avait toi aussi enlever de ma vie... Tu peux comprendre ça ? »

Il faut croire que sa « menace » l'avait fait réagir, plus calme, un peu paniqué peut-être à l'idée de perdre sa fille ? Il ne la laissera pas fuir loin de lui, oh ça non, mais pour le moment, ses idées n'étaient pas lubriques, elles étaient juste celle d'un père ayant peur de voir sa fille disparaître de sa vue, à tout jamais... Comme ce fut le cas pour sa femme... Combien de criminel ont dit changer en faisant pleurer juge et avocat pour sortir plus tôt pour au final recommencer leur méfait très rapidement une fois le pied dehors ? Ce petit con cherchait sûrement la même chose, pourrir sa vie jusqu'à la fin ?

Cassandre Harmington

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 26 mercredi 20 mars 2019, 13:51:22

La situation était l'exacte inverse de ce qu'on aurait pu penser de prime à bord. En effet, on aurait pu penser dans un premier temps qu'on aurait une Karen calme, tentant de défendre son poisson, contre son père qui lui, serait complètement furieux, incapable de garder son calme, et dans une fureur explosive... Sauf que même si son père commençait à quelques peu s'agacer du comportement de sa fille, et bien, celle qui était la plus en colère, dans cette situation, cela restait Karen. C'était aucunement William, qui arrivait bien à rester calme... Même si comme dit précédemment, disons que certaines déclarations commençaient à montrer un agacement de plus en plus avancé...

« Comment tu veux que je tourne la page si tu agites sous mon nez la source du problème ? »

Ouais, euh là, c'était pas faux. On va pas le cacher, hein, Karen rappelait quand même la source du problème à son père... Mais dans un sens, enfin... C'était extrêmement égoïste ce qu'elle allait dire, mais voilà, il faut bien le dire, ce n'était pas son soucis. Elle était grande, elle avait 18 ans, elle était adulte, et responsable ! Il était temps que cela soit à elle de gérer ce genre de situation, hein, il faut bien le dire ! Elle n'était pas une jeune fille comme Mary, ou bien une soumise à papa comme Elizabeth, elle était une indépendante, elle était caapable de se débrouiller bon sang de bonsoir ! Ainsi, elle écouta les bras croisé, tapotant du pieds, les déclarations suivantes de son père...

« Karen, tu es ma fille, ma première fille, et je souhaite par dessus tout ton bonheur à toi et à tes soeurs... Mais ce que tu fais... je ne peux pas l'accepter... Imagine si tu vis la même chose plus tard ? Tu accepterais que ton enfant soit en couple avec la personne qui a tué ton mari ? Tu te dirais simplement ok, elle fait ce qu'elle veut, c'est la vie ? Ta mère était toute ma vie ! Grâce à elle j'ai eu trois magnifiques bébés qui deviennent peu à peu des femmes aussi belle qu'elle l'était. La perdre elle, c'était sûrement la chose la plus dure que j'ai eut à vivre dans ma vie... Alors te perdre toi... à cause de lui... c'est comme s'il t'avait toi aussi enlever de ma vie... tu peux comprendre ça... »

« Non. »


Outch. Un non court, rapide, sans aucune hésitation, et après à peine quelques nanosecondes -c'est pas possible-, après qu'il ait dit sa longue tirade. On va pas le cacher, Karen ne tentait plus de comprendre son père. Elle n'essayait même plus, car elle en avait marre, elle était énervée. Elle en pouvait plus du comportement de son père, qui en gros, à ses oreilles, se résumait qu'à une seule chose : « JE VEUX PAS ». C'était à ses oreilles toujours, un caprice, une tentative de tout contrôler et de ne pas la laisser murir tranquillement. Elle était grande, comme dit précédemment, c'est elle qui choisissait sa vie.

« Non, je ne peux le comprendre, car tu t'es infiltrée dans ma vie privée, et que tu veux m'imposer ta vision de la vie, en me mettant de suite coupable. »

Ouais, bon, là, c'est vrai qu'elle avait de quoi être énervée. Je rappelle que le SMS mentionnait le fait qu'elle commençait à peine, tout juste à penser à cette situation qui était donc totalement inédite pour elle. C'est pour cela qu'elle n'avait jamais parlé de ça avant. Là, c'était entièrement la faute d'Elizabeth, si son SMS n'avait pas été vu, sans doute que la situation aurait pu être expliquer plus simplement, avec moins de tensions et de soucis... Vous voyez ce que je veux dire ? Mais malheureusement, là, cela avait été fait de façon brutal, et donc, les deux étaient braqués... Et campaient sur leur position, refusant de bouger le moins du monde... Et ainsi, ce fut autour de notre chère Karen de reprendre la parole de façon assurée...

« Pour répondre à ta question : J'irais tenter, moi, de comprendre ce qui s'est passé. Et je tenterai de comprendre ma fille, au lieu de critiquer son choix qui n'est pas acté ! Je crois avoir des sentiments, mais je ne sais même pas si c'est réciproque, je ne sais pas ce qui va se passer, tout ce que je sais, c'est que je veux, en la mémoire de Maman, aimer et ne pas haïr ! »

Plus facile à dire qu'à faire ma vieille. Mais il fallait mentionner qu'elle n'avait pas tord sur un point : le fait qu'elle croyait juste, et donc, que rien n'était acté. Son père était allé très vite en besogne dans cette situation, estimant qu'ils avaient déjà une relation, alors que dans les faits, rien n'était fait. rien n'était acté, au contraire même ! Elle était au Japon, elle ne pouvait pas vraiment assurée que tout était fait, que tout était donc fini ! Ce n'était même pas fini, mais papa avait décidé de jouer les forceurs... Et bien, tant pis pour lui, il avait perdu dans l'histoire... Et ainsi, elle déclara d'un ton volontairement dramatique :

« Bravo, Pa'. C'est pas lui qui aura réussi à m'enlever de ta vie. C'est toi qui l'a fait seul comme un grand. Vas-y, déteste moi, engueule moi, emmène Elizabeth qui te suivra dans ta haine, j'm'en fous ! Je continuerai de vous aimer, de loin. »

Elle se dirigea vers la porte. Elle était peut-être -totalement- dans le mélodrame, mais elle voulait bien faire comprendre qu'elle était furieuse contre son père. Oh, enfaite, c'était pas tant « définitif » que ça. En temps normale, Karen restait une femme intelligente, sans doute qu'elle aurait la sagesse de réfléchir, et de revenir, s'excuser, et inviter son père à discuter plus calmement. Souvenez-vous dis plus haut ? Ce qui l'énervait grandement, c'était le fait que son père avait fouillé sa vie privée, et avait tenter de la juger, la critiquer, avant que rien ne soit vraiment fait. Peut-être une fois « cette » colère descendue, elle reprendrait un peu ses esprits, et les deux pourraient discuter paisiblement... Mais le problème, c'est... est-ce qu'il y aurait vraiment un après ? Comment allait réagir son père après de tels coups d'éclat ? Là, c'était une bonne question sans réponse pour le moment... je dis bien pour le moment...

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 27 mercredi 03 avril 2019, 15:15:16

C'était en soit un peu mieux, il commençait à moins réfléchir avec la haine, bien sur, il ne pourrait aimé un tel personnage mais il voulait faire confiance à sa fille, même si pour cela, il essayait de la faire culpabiliser, de se montrer minable même mais il ne pouvait pas accepter de voir sa fille s'éloigner de lui. Ni elle, ni ses sœurs. Il avait de plus en plus de mal à voir une solution possible pour rester en accord entre eux. Certes, Karen n'avait rien d'officiel avec ce connard mais pour lui, c'était comme allumé la mèche d'un bâton de dynamite, il est déjà trop tard alors que non, tout pouvait encore changer. Avec la colère, comment réfléchir convenablement ? Comment se souvenir des détails de ce SMS ? Pour lui, elle l'aimait et voulait le rejoindre, pas question ! Alors que bon, il y avait du vrai et du faux dans sa pensée lié à ce message. Évidemment, Karen continua de défendre son opinion. Il ne se mêlait pas de sa vie privée, il avait vu par hasard ce SMS – en embrassant Elizabeth mais inutile de le mentionné – et évidemment, le sujet ne lui plaisait pas. Elle était libre de faire ce qu'elle voulait mais quel parent ne s’inquiéterait pas un peu des fréquentations de ses enfants ?

Il était facile de dire qu'on ferait ceci ou cela, elle n'avait pas encore d'enfant et il espérait qu'elle ne vivrait pareil drame. Mais même si elle tentait de rendre « hommage » à sa mère en ne haïssant pas ce type, William était persuadé qu'en inversant les rôles, elle n'aurait pas pu pardonné à ce type de l'avoir tué et encore moins de voir sa fille se rapproché autant de cette personne. Après, il faisait peut-être fausse route mais il n'aura jamais une réponse à cette question... Mais quand Karen mit un point définitif – pour le moment – à cette discussion, il agit une dernière fois, pas de la colère dans la voix mais plus de la détresse.

« Non, ne m'abandonne pas toi aussi ! »

Certes, ce sale petit con, il ne pouvait pas le voir en peinture mais c'était peut-être aussi ce qui effrayait William, de ne plus être avec sa fille ? Si elle aurait dit être amoureuse d'un autre garçon, ça aurait été la même chose ? Peut-être avec moins de colère mais une fille indépendante et qui quitte la maison, c'est une part de lui qui s'en va à son tour. Sa moitiés était déjà partie, pas dans les mêmes conditions et il ne pouvait pas la revoir, elle.

« Sans ta mère, je suis devenue un véritable zombie et même avec l'aide de ta sœur... Si toi aussi tu pars... Qu'est-ce que je vais devenir ? Je refuse de perde la moitié de ma famille comme ça ! »

Non, il ne risquait pas de lui faire de mal, ni à elle ni à ses sœurs mais lui ? Pouvait-il faire une bêtise ? Normalement non mais ne sait-on jamais ce qu'un être dépressif peut bien penser de cela ? William ne fera jamais une telle chose, il espérait juste dégonfler le problème, qu'au delà de son dégoût pour se type, Karen se dise que c'est surtout le fait de la voir partir qui lui faisait peur, ça pourrait bien arranger les choses effectivement... Dans un sens du moins car peu à peu, il avait de drôle d'idée notre William, depuis ce petit moment avec Elizabeth en vérité... Il avait déjà eu de drôle d'idées avant, mais maintenant qu'il était passé à l'acte... C'est plus proche d'un projet que d'un fantasme immoral.

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 28 samedi 06 avril 2019, 22:50:27

Cela avait été dramatique, expressif, bref… Presque caricatural, théâtrale, mais… Karen avait voulu bien faire comprendre à son père que c’était hors de question qu’il tente de contrôler sa vie. Elle avait sa vie, elle faisait ses choix… Elle était adulte maintenant, elle était capable de vivre, et elle était capable de se débrouiller. Et là, son père avait tenté de s’introduire dans sa vie… Et pas du genre subtil, non, du genre j’ENFONCE LA PORTE AVEC UN ENORME COUP DE PIED LOL ! Voilà un peu le style… Donc vous devinez que ce n’était pas trop une super bonne chose. Mais pas du tout. Bref, quoiqu’il en soit, Karen était prête à sortir, à quitter cette vie… Ouais, elle était totalement prête et...

« Non, ne m'abandonne pas toi aussi ! »

Et après cette phrase de son père, elle n’était plus du tout prête. Car elle avait entendue le mot « abandonner ». Vous vous rappelez du départ, quand on parlait de Karen ? C’était une personne empathique. Trop empathique. C’était justement pour cela qu’elle s’était attaché au meurtrier de son père, alors qu’on pouvait se dire que cela n’avait aucun sens, et que normalement, elle devrait fuir l’homme, le meurtrier, comme on fuit une horde de moustique ? Et bien, voilà que c’était son empathie qui avait parlé… Et dans le cas de son père, le fait d’entendre cela, le fait qu’il se sentirait abandonner, si elle partait… Cela lui fit mal, d’un coup, elle eut vraiment mal à la poitrine en pensant cela… Ainsi, elle écouta :

« Sans ta mère, je suis devenue un véritable zombie et même avec l'aide de ta sœur... Si toi aussi tu pars... Qu'est-ce que je vais devenir ? Je refuse de perde la moitié de ma famille comme ça ! »

« ... »

Elle resta donc encore un bon moment, la main sur la poignée de porte… Elle pouvait partir là, elle pouvait partir et ne pas revenir, laisser son père dans sa haine… Mais non, enfaite, elle ne pouvait pas partir. Jamais elle n’arriverait à partir comme ça, comme si de rien n’était… Non, elle appréciait  trop sa famille, et elle savait que son père avait eu des difficultés, que cela avait été extrêmement difficile pour lui, toute sa vie… Et voilà qu’il se retrouverait tout seul… Enfin, non, pensa-t-elle, il y avait… Il y avait Elizabeth, après tout… Mais quand même… Finalement, après un long moment, vraiment long, qui dura bien une minute voir deux… Et bien, elle se décida… Elle recula, et se retourna vers son père, et vint jusqu’à lui...

« Je suis désolée Papa, je me suis emportée. »

Elle déclara cela d’une voix timide, et gênée. Et c’était vrai. Dans l’histoire, c’était elle qui s’était emporté… Après tout, elle reconnaissait qu’elle avait pas tant cherché à comprendre son père sur le coup, et qu’elle s’était de suite braquée… Elle devait faire des efforts pour mieux tenter de comprendre son père, et faire en sorte que tout se passait bien. Oh, je vous rassure, ce n’était pas un appel de pied à la soumission et au refus de ces propres principes, non, bien entendue ! C’était le fait qu’elle essayait de comprendre, comme toujours, ayant fait toute sa vie sur la tentative de comprendre les gens, de les comprendre pour les aider… Ainsi, si elle n’avait pas abandonner le tueur de sa mère pour une faute… Elle se devait de pardonner à son père pour une faute aussi, n’est-ce pas ?

« Je t’abandonnerai pas, Papa, je suis juste un peu perdue ok ? Je suis désolée, j’ai surréagi… Je voulais vraiment pas te faire du mal. »

En effet, elle était vraiment un peu perdue… Pour elle, cela faisait beaucoup de choses… Comme Elizabeth, le deuil de sa mère avait été fait d’une façon extrêmement différente que son père, ce qui pouvait amener des confusions… Elle l’avait fait en se plongeant dans le caritatif, et surtout, en espérant pouvoir aider, vraiment, le tueur de sa mère, en espérant que tout allait s’arranger par la compréhension… Bref, elle espérait que son père pourrait comprendre, mais voilà, elle ne devait pas passer par l’agressivité et la méchanceté. Non, elle devait passer, encore une fois, comme avec l’assassin de sa mère. Elle devait rester donc par la douceur et la gentilesse. Après tout, son père avait énormément souffert, donc… Elle se devait de le comprendre. Et surtout, de dire ce qu’elle pense sur ce point...

« Je t’aime Papa. »

Elle attrapa la main de son père, et lui offrit un véritable sourire. Bien sûr qu’elle aimait son père, elle avait toujours aimée son père, et jamais elle ne l’abandonnerait, jamais elle ne le laisserait de côté. C’était son père. Elle regrettait jusqu’à où elle s’était énervé tout à l’heure, tout juste un peu plus tôt. Ainsi, tenant la main dans ses mains soigneuse, elle plongea son regard dans le regard de son père… Elle n’était pas Mary, elle n’avait pas les yeux de sa mère, elle n’était pas Elizabeth, qui était très proche de sa mère, mais elle était bien une de ces filles, et cela se voyait, à son allure générale, et dans sa gentilesse… Ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’elle était la seconde captive de son père…

Sya

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Re : Erreur administrative [PV : Sya]

Réponse 29 mercredi 10 avril 2019, 20:29:54

Perdu ? Oui, il ne mentait pas en disant cela, si pour une raison ou une autre, ses filles venaient à quitter la maison, il ne sera pas à son aise, il sera perdu, désemparer. Certes, c'était un peu joué la carte de la culpabilité pour la faire rester, mais c'était aussi un appel à l'aide. Pourquoi un sale petit meurtrier mériterait son attention alors que son père n'en méritait pas ? Il était sa famille, il était celui par qui elle était née. Il a peut-être eut la partie la plus simple de sa conception, mais elle partageait la moitié de son patrimoine génétique. Après un long silence angoissant, Karen se retourna pour s'excuser et venir vers lui pour résumé rapidement le fait qu'elle restera auprès de lui aussi, terminant tout cela par la plus belle des phrases prononcé par sa fille, elle l'aimait. Bien entendus, de façon normale, comme une fille aime son père et inversement et c'était le cas aussi pour lui. Mais il faut bien reconnaître qu'il avait un peu d'amour en plus pour elle, le même genre que celui qu'il a donné à sa petite Elizabeth il n'y a pas si longtemps. Il retira ses mains pour l'enlacer et la prendre dans ses bras.

« Ma petite Karen... »

Il était trop tôt pour lui faire subir la même chose que sa petite Elise, mais elle y aura droit, sûrement une fois la nuit tombée et chacune dans sa chambre et sauf si une de ses deux autres filles méritait son attention ce soir, c'était sa petite Karen qu'il irait voir pour lui montrer combien il l'aimait et qu'elle devait rester avec lui, à ses côtés, pour toujours. En tant que père, il se devait aussi de prendre sa virginité, sauf quelqu'un d'autre était déjà passé par là ? C'était la plus âgée de ses filles, le risque était donc plus fort. Il ne surveillait pas ses filles, chaque fait et geste. Sa fille dans ses bras, il se sentait déjà plus soulager, venant lui embrasser le front, ça faisait vraiment un poids en moins sur ses épaules.Il était trop tôt pour lui faire subir la même chose que sa petite Elise, mais elle y aura droit, sûrement une fois la nuit tombée et chacune dans sa chambre et sauf si une de ses deux autres filles méritait son attention ce soir, c'était sa petite Karen qu'il irait voir pour lui montrer combien il l'aimait et qu'elle devait rester avec lui, à ses côtés, pour toujours. Une chose à la fois.

« Oublions tout ça pour le moment... »

Libérant sa fille, il semblait vraiment soulager, il lui souriait en la laissant faire ce qu'elle voulait, maintenant qu'il était sûr qu'elle n'allait pas fuir et qu'ils s'étaient plus ou moins réconciliés. Karen, c'est bon, Elizabeth, elle est de son côté. Il reste sa petite dernière, qui était aussi celle avec laquelle il fallait l'avouer, il avait passé le moins de temps. Non pas que son âge ai spécialement quelque chose à voir – même si techniquement oui, elle était la plus jeune donc il avait passé moins de temps avec elle que ses sœurs. Mais il avait tenté de se rapprocher d'elle, surtout après la perte de sa femme, mais Mary restait bien silencieuse et dans son coin, il avait bien vue qu'elle était plus à l'aise avec ses grandes sœurs. Non pas qu'elle n'aimait pas son père ou qu'elle lui en voulait pour une chose ou une autre – du moins, il l'espère – mais il pensait qu'être avec ses sœurs serait plus simple pour elle, pour digérer tout cela ou pour parler. Son père avait beau être de sa famille, il restait moins proche d'elle qu'Elizabeth ou Karen. Mais justement, il devait quand même s'assurer qu'elle aussi allait bien, autant continuer sur sa lancée. Il rejoignait donc la chambre de Mary où il frappait à la porte quand même. La politesse anglaise.

« Mary, je peux entrer ? »

Il était temps de s'assurer que tout allait bien, que sa fille brise le miroir et qu'ils se rapprochent comme le ferait une vraie famille... Même si William avait une arrière-pensée derrière tout cela...


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