La capacité éjaculatoire d’Ai était l’une des plus surprenantes que Mélinda avait vu. Ses filles avaient désigné cette capacité particulière sous un terme particulier : «
pregnancy shoot ». Car c’était bien ça que faisait Ai. Chaque fois qu’elle jouissait dans un corps, elle balançait de telles quantités de foutre que le ventre de la personne enflait et grossissait, donnant l’impression qu’elle était enceinte. Et c’était précisément ce qu’Ai allait faire avec Honoka. La petite chatte de latex se tortillait sous le sol, prise en levrette, et Ai, avec Honoka devant elle, et sa Maîtresse lovée dans son dos, qui pinçait et palpait ses seins, ne pourrait guère se retenir trop longtemps. L’appel était tout simplement trop fort.
Le sang d’Ai carburait dans ses veines, ce qui finit par l’amener à la jouissance. Dans un grand soupir, elle se relâcha,e t Mélinda sentit son sang exploser. Elle soupira, et sentit la femme s’abandonner, balançant de multiples filaments de foutre, répandant sa crème blanche dans le corps d’Honoka, jouissant longuement et généreusement. Le ventre de sa chatte ne tarda pas à se gonfler, à devenir plus rond, tandis qu’Ai continuait à se répandre. La belle lycéenne aux cheveux verts continua à la prendre, jusqu’à, progressivement, se calmer.
Le volcan avait explosé, et l’éruption se traduisit par un joli ventre rond sur Honoka, bien tendu, tirant sur sa combinaison. La petite chatte en était toute sonnée, et Noémie, qui observait la scène, n’hésita pas à caresser ce ventre. Elle sourit en glissant sa main sur son estomac, appuyant dessus.
«
Eh bien, Ai... Elle t’a inspiré, notre petite chatte... »
Ai ne se retira pas immédiatement. Elle aimait bien conserver sa queue dans la femme qui venait de subir sa décharge, pour sentir son sperme remonter le long de son sexe. Mélinda attrapa le menton d’Ai,e t tourna son visage vers le sien, en lui souriant, et déposa un premier baiser sur ses lèvres, avant de se retourner vers Noémie.
«
Va chercher un gode, ma chérie. »
Noémie obéit, et, pendant qu’elle allait en prendre un, Mélinda embrassa plus longuement Ai, fourrant sa langue dans sa bouche, l’empêchant toujours de se retirer du corps d’Ai... Du moins, jusqu’à ce que Noémie ne s’approche. Cette scène avait excité Mélinda, qui aimait toujours autant voir ses esclaves se faire l’amour, mais elle avait encore des surprises pour Honoka... La plus importante des surprises, en réalité. Noémie finit par revenir vers elles, en tenant le gode, et Mélinda leur donna ses instructions.
Ai se retira, et, très rapidement, Noémie enfonça le gode dans les fesses d’Honoka, puis remit en place sa combinaison.
«
Voilà... Comme ça, ma petite chatte, tu sentiras le sperme d’Ai plus longtemps en toi ! »
Le gode empêchait en effet le sperme de sortir... Ou, du moins, l’atténuait en de grandes quantités. La vampire caressa le cou d’Honoka, et l’embrassa encore, pendant que Noémie, de son côté, choisit de sucer la queue d’Ai, se mettant à genoux devant elle, et venant la nettoyer avec sa langue et ses lèvres.
«
Repose-toi, Honoka... Ton corps a beaucoup servi, et sache que, quand tu te réveilleras, tu auras droit à une grosse surprise ! »
Pour l’aider à dormir, Mélinda mit un bandeau noir autour de ses yeux, puis l’incita à se coucher sur un tapis rembourré figurant au sol. Elle se coucha ensuite à côté d’elle, et caressa son ventre rebondi, avant même d’aller l’embrasser. Honoka étant transformée en neko, le sommeil allait venir plus facilement que quand elle était une humaine, et, même si elle ne voyait pas, les soupirs et les gémissements d’Ai et de Noémie l’accompagneraient dans ses songes... Ça, ainsi que le gode niché dans ses fesses.
Quelques heures après...
«
Honoka... Honoka ! Il faut te réveiller, ma chérie ! »
Les mains de Mélinda attrapèrent le bandeau, et elle le retira, rendant à la chatte de latex la vue. L’élixir des Karistal faisait toujours effet, et elle était donc toujours transformée en neko. Elle était couchée sur le tapis, et Noémie et Ai n’étaient plus là. Il y avait un autre couple, qu’Honoka ne put pas voir sur le coup, car il n’y avait que le visage de sa Maîtresse devant elle... Qui l’embrassa sur la bouche.
«
Tu sais, ce sont tes parents qui t’ont amené ici... Il est temps maintenant que tu saches la vérité sur eux, Honoka, et que tu comprennes pourquoi ils t’ont amené chez moi. Tu es assez grande pour le savoir. Honoka... Depuis ta naissance, ton rôle était d’être une de mes esclaves... Regarde ! »
C’était un pari risqué. Qui sait comment Honoka allait réagir en découvrant la vérité ?
Devant elle, il y avait
un homme qui léchait les bottes d’une femme, mais ce n’était pas n’importe qui. C’était...
Son père et sa mère !