You are our doll! [PV Kazumi Naeka]

L'heure avait enfin sonné pour les jumelles de préparer un nouveau coup fourré! Et d'ailleurs c'était aussi l'heure de la fin des cours, ce qui n'était pas plus mal. Les cours étaient finis et c'était le meilleur moment de faire chanter certaines personnes, d'avoir de nouveaux larbins pour le lycée ou même pour leur manoir mais ils sont rares ceux à obtenir ce noble titre! Il y avait pire, ceux dont rodent le fantôme de la malchance autour d'eux se voient attiré dans le pire des cas une cage en métal en attendant qu'une belle acheteuse ou un bel acheteur veulent avoir un humain venant de la Terre comme nouveau chien, servant ou jouet sexuel si ce n'est pire. Pour l'heure, les jumelles avaient une cible précise en tête. Après tout, elles avaient longtemps cherché qui serait l'heureux gagnant de leur concours hebdomadaire « Tu m'appartiens désormais! » qui était parfois si populaire qu'elle recommençait une deuxième fois voire une troisième fois dans la semaine! Mais ça, c'était quand les fruits étaient bien mûrs. Pour l'heure, c'était une de leur professeurs qui fut tirés au sort.

Ses formes généreuses lui donnèrent un bon point, sa beauté un second, son joli sourire un troisième et sa popularité un quatrième! Déjà quatre bons points pour l'heureuse gagnante de leur folie! Comment allait-elle pratiquer? Difficile à dire, ce n'était pas toujours réglé comme il fallait? D'habitude, elles ne chipotaient pas trop, elles rentraient dans la salle, un faux prétexte pour parler puis petit à petit elles refermaient le piège sur leur proie sauf qu'ici le hic était que la proie s'enfermait dans la salle, tout rideau tiré. Ce n'était pas la première fois en plus. Cette attitude mystérieuse leur donnait encore plus envie de voir ce qui se passait dedans! Et du coup, même en cherchant bien dans les couloirs, impossible de voir ce qui se passait dedans! Du coup, elles firent el tour en sortant du lycée pour tenter d'y voir plus clair dehors? Elles étaient au rez-de-chaussée mais avec de la chance il y avait une fenêtre mal fermer ou un rideau mal tiré? S'il y avait un dieu qui veillait sur ses jumelles, elles devront le remercier car c'était bel et bien le cas! Un tout petit coin du rideau mal tiré où elles pouvaient voir ce qui se passait. Le professeur se donnait à une petite activité intime.

C'était très amusant, d'autant plus qu'un portable, ça pouvait facilement prendre une vidéo avec un zoom de nos jours. Yuka se chargeait de prendre la vidéo depuis la petite cachette tandis que sa sœur examinait les fenêtres sans pour autant y toucher? Une nouvelle fois, leur bon dieu avait bien fait les choses. Une fenêtre entrouverte, presque fermé! Ensemble, elles attendaient le bon moment pour intervenir et une fois que leur professeur avait pris son pied, elles poussaient doucement la fenêtre, vérifiant que la vidéo était bien enregistrée, elle la copiait pour le portable de sa soeur, juste au cas où. La fenêtre coulissait bien sans le moindre bruit mais leur irruption à l'intérieure de la salle était loin d'être discret surtout que Yuka arriva en premier et sa sœur lui arrivait ensuite dessus avec son éternel sourire tordu. Qu'elle est eu le temps de faire comme si de rien n'était ou qu'elle soit paniquée ne changeait rien à la suite.

« Désolé Senseï mais comme la porte était fermée, on a fait le tour pour vous poser une question à propos de la dernière leçon. »

Yuko se rapprocha, suivie de sa sœur sur ses talons. Peut-être que Kazumi s'attendait vraiment à une question de leur part à propos de son cours, peut-être pas? Après tout, elles étaient réputées pour leur intelligence ici, ainsi que leur insolence à ne rien écouter en cours ou ennuyer les professeurs. Yuko démarra la vidéo sur son portable en le déposant sur le bureau pour lui faire montrer comment elle se faisait du bien.

« Pourquoi vous êtes seules? Ce serait nettement plus amusant à deux, non? Ou même à trois? Vous savez, plus il y a de monde, plus il y a de possibilité. »

Yuko laissait la vidéo défilé alors qu'elle se pencha sur le bureau, son visage de plus en plus proche de celui de Kazumi.

« Avez-vous déjà fait ça avec plusieurs filles? Avec des jumelles même? »

En vérité, ça faisait plusieurs questions mais ce n'était pas grave pour cette fois.

Je me relevai doucement, les jambes légèrement tremblantes. Cela faisait presque dix minutes que je me masturbais, enfonçant mes doigts dans mon intimité en fermant les yeux, la tête toute remplie de scènes plus que torrides, jusqu'à la jouissance ultime. Pour en témoigner, en plus des quelques gouttes de sueur qui perlaient encore de mes cheveux le long de mes tempes, il y avait, beaucoup moins discrètes, les deux traînées de cyprine qui coulaient toujours de mon antre humide sur mes jambes fuselées. J'enfilai ma culotte et mon soutien-gorge roses, ma minijupe noire et mon chemisier blanc, dont j'oubliais volontairement, comme à mon habitude, de refermer les derniers boutons, offrant par la même occasion une vue plongeante sur mon opulente poitrine. Je nettoyai rapidement les traces de mon récent orgasme, quand tout à coup un bruit me fit tourner vivement la tête vers la fenêtre qui donnait sur la cour intérieure. Avec une horreur grandissante, je contemplai les deux jumelles Karistal, Yuka et Yuko, qui pénétraient dans la salle de cours par l'une des fenêtres. Elles souriaient, ce qui ne me disait clairement rien de bon. Yuko s'approcha et prit la parole d'une voix assurée.

- Désolé Senseï mais comme la porte était fermée, on a fait le tour pour vous poser une question à propos de la dernière leçon.

De bonnes élèves, ces deux-là. Mais un peu trop effrontées. Il n'était pas impossible qu'elles ne m'aient pas surpris, et c'est cette pensée à laquelle je m'accrochais fermement qui m'empêcha de paniquer. J'attendais leur question sans même me formaliser du fait qu'elles étaient rentrées très indiscrètement par la fenêtre. Et pourtant je ne tardai pas à recommencer à paniquer. Arborant toujours son petit sourire fier, Yuko sortit son portable de sa poche et lança une vidéo. Je déglutit bruyamment lorsque je me vis, assise le dos contre mon bureau en train de me faire plaisir.

- Pourquoi vous êtes seule ? Ce serait nettement plus amusant à deux, non ? Ou même à trois ? Vous savez, plus il y a de monde, plus il y a de possibilités.

Cela ressemblait vaguement à une proposition. Carrément intéressée mais soucieuse de ne pas passer pour une salope prête à coucher avec les premières élèves venues, je répondis avec une fausse méfiance :

- Que veux-tu dire par là ?

Elle continua de rapprocher dangereusement son visage du mien, sa soeur légèrement en retrait.

- Avez-vous déjà fait ça avec plusieurs filles ? Avec des jumelles même ?

Plus aucun doute, c'était une proposition. Bien excitée déjà par la partie de jambes en l'air en perspective, je volai un bref baiser à la jeune fille et déclarai avec un sourire malicieux :

- Non, jamais. Si tu veux mon avis, c'est un tord.

Que le chantage commence! Les Karistal frappaient et ça faisait toujours mal! Yuko, Yuka, c'était du pareil au même, on ne savait jamais sur quel pied danser avec elles! Un coup fourbe qui approchait pour faire chanter? Un coup direct sans laisser le temps de se poser de questions. Apparemment c'était direct, sans tourner autour du pot, une qualité à ne pas négliger. Yuko lâchait sa proposition, se demandant sa réaction? La peur? La joie? La panique? Nier l'évidence en vidéo? Ce serait bien la première fois avec de telles preuves! Mais quand Kazumi lui fit un baiser, même court, ça signait le but de son existence! Une nouvelle proie était repérée et en mauvaise posture! Mais il ne faut pas gâcher un tel moment, il faut attendre un peu et lui avouer à la fin du jeu ce qu'elle a gagné, sinon ce n'est pas drôle!

« Une grosse erreur même! Enfin, heureusement que nous somme là, hein? J'ai toujours eu un faible pour ce genre de collant. »

Ficelé, ça lui évoquait le bondage, la domination et tout autres petites choses agréables à voir et à faire, le genre de chose qui rendait Yuko si heureuse, Yuka aussi mais quand c'était elle qui subissait! N'oublions pas que d'un côté de la pièce, il y a domination et de l'autre, soumise. Yuko fit glisser son doigt le long de ses carrés qui laissait sa chair, sa peau bien visible. Mais son regard était forcément attiré par son décolleté, merveilleuse arme de séduction massive! Surtout avec des obus pareils, peu de monde oserait la provoquer! Yuko tirait doucement dessus jusqu'à retirer les boutons, un à un pendant que sa sœur se rapprochait, souriante mais un air plus dur que sa sœur. Pourtant, c'était tout le contraire, tout! De même avec son soutien-gorge, il n'aura pas regagné sa place très longtemps celui-là. À elle seule, Yuko libéra ses énormes obus à la vue du trio. Diable, quelle femme! Sans soutif', elle semblait encore plus grosse comme poitrine!

« C'est vrai quoi, seule, il est impossible de faire cela et à deux, il n'y a pas de jaloux! »

Yuko caressa le sein droit alors que Yuka le gauche. Caressant cette peau si douce, elles semblaient si heureuses de pouvoir bientôt faire plus que caresser. Kazumi n'allait pas regretter sa petite aventure en solitaire après les cours. Presque en même temps, leur langue se frottait contre cette peau douce, jouant autour de ce petit bout de chaire qui se tendait sous l'excitation, surtout quand la langue mouillée se rapprochait dangereusement de la zone sensible. Suçant cette œuvre d'art, Yuka était très douce, ça en était presque mignon la façon dont elle faisait ça alors que sa main caressait sa jupe, juste à l'endroit où se trouvait sa petite culotte! Yuko montrait enfin quelques aspects de sa véritable personnalité en mordillant doucement son téton sans pour autant lui faire très mal. Sa main se trouvait si bien sur ses fesses qu'elle pinçait de temps à autre.

« Profitez aussi, Senseï! C'est pas tous les jours que deux adorables jumelles s'offrent à vous~ »

- Une grosse erreur même! Enfin, heureusement que nous somme là, hein? J'ai toujours eu un faible pour ce genre de collant.

Yuko déboutonna lentement mon chemisier, bouton après bouton, avec un plaisir non feint. Ensuite, elle dégrafa mon soutien-gorge et le lança sur le bureau. Mes seins rebondirent quelques secondes alors qu'ils sortaient à l'air libre et la jeune étudiante reprit la parole :

- C'est vrai quoi, seule, il est impossible de faire cela et à deux, il n'y a pas de jaloux !

Yuka vint donc rejoindre sa soeur, et chacune d'elle me malaxait un sein, faisant jouer la chair ferme et opulente de mes globes de chair entre leurs doigts fins. D'un même mouvement, elle se penchèrent très légèrement et gratifièrent mes mamelons d'un petit coup de langue mutin. Ensuite, elles accélérèrent le rythme, tantôt elles contournaient les pointes de mes seins, tantôt elle la mordillait légèrement, m'arrachant tout de même quelques soupirs plaintifs. Une morsure plus importante de Yuko, qui semblait être celle qui prenait le plus d'initiatives, me fit réellement mal et mes dents du haut mordirent ma lèvre du bas. Cependant je ne puis retenir un gémissement de douleur. Heureusement, les jumelles savaient y faire et en s'occupant correctement de ma poitrine, elles me firent oublier la douleur en un rien de temps.

- Han... ! C'est... Bon !

Pendant ce temps, Yuka caressait ma minijupe, pile à l'endroit où se trouvait ma culotte, qui me pénétrait légèrement de son tissu mouillé au rythme des caresses de la jeune fille. Yuko, elle caressait mes fesses, tout en les pinçant de temps à autre. C'était loin d'être désagréable, et mes gémissements témoignaient du bon travail qu'elle faisaient sur moi en ce moment.

- Profitez aussi, Senseï ! C'est pas tous les jours que deux adorables jumelles s'offrent à vous !

Cela, il ne fallait pas me le dire deux fois ! Je leur aurais bien dit, d'ailleurs. En fait, je crois bien que je leur ai dit. Oui, maintenant j'en suis certaine.

- Oh, ça il ne faut pas me le dire deux fois !

Avec un sourire, je relevai mes bras qui juste avant étaient contre le mur, derrière moi, et caressai la joue de Yuka. Elle avait un petit quelque chose d'adorable, alors que Yuko semblait plus... Expérimentée, dominatrice. Je lâchai sa joue pour, d'une seule main diablement experte, lui enlever la moitié supérieure de ses vêtements, histoire qu'elle se retrouve en jupe. Je jouai avec l'un de ses mamelons, dans une position trop agréable pour m'occuper correctement d'elle. J'étais impuissante, tant le traitement qu'elles m'infligeaient me plaisait. Et c'était encore loin d'être terminé...

- Han... Vous êtes... Formidables !

C'était une belle proie! Cette prof' était si sexy et voilà qu'elle ne refusait pas leur invitation! Mieux encore, elles avaient de quoi la faire chanter autant qu'elle le voulait! Merci la technologie terrienne! Ça serait facilement trouvable dans Tékhos ce genre de bidule mais pourquoi voyager si loin? Chacune des filles se tenait à ses mamelles, comme deux petites chattes désirant téter leur mère. Il y aurait aucun mal vu le lait qu'elle pourrait contenir! Mais à défaut d'avoir du lait, elles avaient au moins du plaisir alors qu'elles l'invitaient à ne pas faire sa timide et jouer un peu avec elles aussi. Ce n'est pas tous les jours qu'elle a dû pouvoir faire ce genre de choses, surtout avec de telles jumelles!   Venant caresser la joue de Yuka, cette dernière fermait les yeux sous cette douceur. C'est sur que son dada, c'était plus la douleur mais un peu de douceur de temps à autre, ce n'était pas désagréable non plus. Devant cette douceur, elle léchait et suçait son sein plus doucement encore, délicatement et sensuelle, voilà qui devait être rassurant. Yuko ne changeait rien, continuant de bien pétrir cette chair moelleuse et si délicieusement croquante! Elle s'amusait à pincer son téton un peu plus fort pour voir sa réaction sous la surprise de la douleur! C'était charmant!

D'une seule main, elle réussit à retirer le haut de Yuka et elle se trouvait de suite nue, sans le moindre soutien-gorge. Une idée de Yuko qui avait décidé qu'elle n'en porterait pas aujourd'hui, une bonne idée finalement! Jouant à son tour un peu avec sa poitrine moins grosse que la sienne, leur professeur semblait tout de même heureuse, surtout à cause d'elles en fait! Mais elles n'allaient pas s'en plaindre, elles étaient là pour jouer avec elle et vice-versa.

« Merci senseï mais vous n'êtes pas mal non plus! Huhu, regardez-moi ses belles petites fesses... j'ai envie de les croquer comme des belles pommes! »

La main de Yuko se faisait plus entreprenante, passant sous sa minijupe pour la remonter en même temps que sa main qui caressait une si belle chose.

« Comment on n'a pu agir qu'aujourd'hui? C'est dès votre arrivée qu'on aurait dû commencer par ça. »

ça aurait été bien mieux d'ailleurs! Yuko se mit sur la pointe des pieds pour venir l'embrasser tendrement, loin des petites morsures sur sa poitrine. C'était bon aussi comme ça. Puis sa jumelle n'était pas à plaindre, elle avait déjà trouvé un nouveau terrain de jeu en tombant à genoux. Laissant le tissu de sa culotte encore en place, elle venait lécher à même le tissu pour la faire mouiller, jouant avec ses lèvres intimes à travers le tissu, ressentant un petit point qui durcissait. Le fameux clitoris! Yuka ne perdait pas de temps pour venir le lécher et jouer avec! Pauvre Kazumi, elle va avoir peu de temps à elle si elle voulait tant profiter d'elles car pour le moment, c'est elles qui profite d'elle.

- Merci senseï mais vous n'êtes pas mal non plus! Huhu, regardez-moi ces belles petites fesses... j'ai envie de les croquer comme des belles pommes !

- Han... Ne te gêne pas... Elles sont toutes à toi !!!

J'étais presque au paradis. C'était tellement agréable, tellement... Bon ! Yuko remonta lentement ma jupe... Décidément, elle n'avait vraiment pas froid aux yeux. Alors qu'elle me pinçait un téton avec force, je ressentis une sorte de décharge électrique qui, par conséquent, me fit pincer celui de Yuka qui gémit de telle façon que je pouvais aisément comprendre qu'elle aimait ressentir ce genre de douleur couplée au plaisir... Très intéressant. C'était bon à savoir pour la suite. D'ailleurs, à propos de suite, voilà que Yuko parlait à nouveau :

- Comment on n'a pu agir qu'aujourd'hui? C'est dès votre arrivée qu'on aurait dû commencer par ça.

- Ça ne fait rien... Maintenant on y est... Alors autant profiter du moment présent !!!

La jeune lycéenne se mit sur la pointe des pieds pour déposer un petit baiser sur mes lèvres qui apparaîtrait comme timide vu de l'extérieur, mais qui compte tenu de ce qu'il s'était passé juste avant ne méritait pas cet adjectif. Je l'accueillais avec délice, glissant ma langue contre la sienne, bravant la muraille de ses dents pour me plonger dans sa bouche avec gourmandise. Pendant ce temps, sa soeur jumelle s'était laissé tomber sur ses genoux et avait commencé à donner des coups de langue joueurs sur ma petite culotte, juste à l'endroit où se trouvaient mes lèvres intimes. Je gémit. J'étais totalement à la merci de mes deux élèves préférées, et elles auraient pu me faire faire n'importe quoi, ou presque. En espérant qu'elles n'avaient pas de mauvaises intentions à mon égard...

- Oui... Oui, oui, ouiiiiii !

Je me mordis les lèvres, rompant dans le même temps le baiser fougueux avec Yuko. La petite étudiante à genoux devant moi me faisait plaisir comme jamais, et j'étais secouée de tremblements incontrôlables sous l'afflux de plaisir. Yuka continuait de joue avec le tissu de mon sous-vêtement, léchant même mon clitoris qui était en train de durcir et s'ériger rapidement sous l'excitation incroyable que je ressentais. C'était tout simplement parfait. Je ne pouvais rien faire d'autre que rester passive... Et apprécier.

Kazumi, cette prof' était si sexy que là, elles devaient réaliser le fantasme d'élève par centaines! Profiter seule à seule de Kazumi, la faire jouir, profiter d'elle et bientôt plus! Mais ne passons pas de l'entrée au désert. Tout d'abord, il fallait savoir déguster. Yuko s'occupait de sa petite bouche, partageant un doux baiser avec elle, sa main adorait ses fesses, ses envies la prenaient. Plus ses douces fesses glissaient sous ses mains plus elle avait envie de les claquer! Faire résonner tout cela en classe! La voire mendier plus! La voir en train de demander de cesser! L'un comme l'autre, c'était si bon! Mais une fois de plus, ne passons pas du coq à l'âne. Chaque chose doit être faite dans l'ordre rationnel. Yuka voulait plutôt déjà passer à ce qu'elle cachait sous sa petite culotte, ce qu'elle s'amusait à doigter il y a encore peu de temps. En temps normal, elle lui aurait puni d'y toucher avant elle, sa maîtresse – cette semaine et même en général quand il s'agit de sexe – mais elle lui pardonnait. Kazumi semblait bien aimer ça, plus qu'aimer! Autant commencer par ce qu'elle aimait bien, une manière de la mettre bien en confiance...

« Senseï, nous allons vous faire une petite langue de chatte, c'est comme ça qu'on appelle ça nous. »

Yuko se glissa à genoux à son tour pour rejoindre sa sœur et lécher sa petite culotte trempée et ce n'était pas que la salive de sa sœur. Dans ce cas présent, elles pouvaient même nommer cela une petite langue de chatte affamée. Toujours un peu plus dominante, un peu plus gourmande, Yuko caressa la cuisse la plus proche, de haut en bas, sentant le bas résille sous ses mains, c'était terriblement excitant ouais! L'une des Karistal abaissait sa culotte pour laisser sa belle intimité à l'air libre, si proche de leur bouche, soufflant dessus pour faire embraser son petit feu intime!

« Prête, Yuka-chan? »
« Oui, Onee-sama. »

L'heure de la jouissance surement? Kazumi n'aura pas le temps de dire ouf que les jumelles vont la faire jouir et va mieux comprendre la fameuse langue de chatte. Toutes les deux se jetèrent sur son intimité avec envie, que ce soit son petit jus intime, ses lèvres ou même son clitoris, elles s'affrontaient à coups de langue pour lécher tout ça, coller ou séparer, ses deux langues coquines se fourraient partout, cherchant la moindre partie plus érogène qu'une autre. Yuka restait la petite soumise bien sage qui léchait ce qui la faisait elle-même mouiller et Yuko rajoutait ses mains pour caresser tant de chose à porter de main. Si elles auraient eu la place, elles auraient surement mis un doigt ou deux mais leurs langues folles étaient déjà suffisamment prises pour faire tout autre chose. Que ce soient l'une comme l'autre, elles sentaient des caresses dans leurs cheveux d'or, à moins que ce soit un signe pour leur dire de stopper? Pas question! Les petites chattes avaient soif d'un lait bien particulier! Elles attendaient qu'une seule chose, que Kazumi jouisse! Car si Yuko faisait balader ses mains, mine de rien, Yuka se doigtait discrètement. Pas de sa faute! Kazumi l'excitait tant!

- Senseï, nous allons vous faire une petite langue de chatte, c'est comme ça qu'on appelle ça nous.

Oh oh. Une bonne nouvelle ? Ce délicieux petit nom semblait le présager... Langue... Chatte... J'étais très intéressée mine de rien... La jeune fille rejoignit sa soeur en se laissant tomber. Elles étaient plus petites que moi, et la position dans laquelle elles se trouvaient me plaçait clairement en position de supériorité. J'avais envie de m'amuser avec elle. De devenir leur maîtresse. De me faire obéir et respecter. Yuko commença elle aussi à lécher tendrement ma petite culotte toute humide de plaisir tout en caressant ma cuisse. C'était tellement bon !!! J'allais en devenir folle tellement c'était bon. Elle abaissa lentement mon sous-vêtement, dévoilant à leurs yeux avides ce qui faisait de moi une femme. Je sentais comme un courant d'air plus qu'agréable sur mes lèvres intimes. Elles soufflaient doucement et mon bas-ventre s'était métamorphosé en véritable brasier.

- Prête, Yuka-chan ?

- Oui, Onee-sama.

Mais prête à quoi ? Je pressentais ce qui allait se passer. Et j'avais hâte. J'avais hâte de sentir leurs langues s'infiltrer en moi, pénétrer mon intimité avec délice jusqu'au plus profond de mon corps... Et elles s'exécutèrent. Leur langues se mêlèrent pour me procurer le maximum de plaisir possible. Je gémissais à n'en plus finir, elles me gratifiaient d'un double cunnilingus, leur fameuse « langue de chatte » qui correspondait effectivement à ce que j'avais deviné. Yuko joignait même ses mains et ses longs doigts fins à sa bouche, triplant l'ampleur des sensations que je ressentais. Incapable de faire grand chose d'autre, je caressai leurs cheveux avec entrain, c'était une manière implicite de leur dire de continuer ce qu'elles faisaient si bien. Une de mes mains, celle qui était encore inoccupée, commença à malaxer la chair d'un de mes gros seins. Et là... Ce fut le septième ciel.

- Fff... Fff... Fffyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan ! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !

J'ai joui. Tout simplement. Mon nectar de plaisir s'écoula à grandes vagues sur les deux visages angéliques qui l'accueillirent avec grand plaisir. Tremblante, je tombai doucement en position assise, toute essoufflée. Je remarquai à ce moment-là que Yuka se doigtait, sans doute depuis un moment déjà. Je m'approchai donc d'elle en remuant des fesses et m'allongeai sur elle en l'embrassant langoureusement. À mon tour de lui renvoyer l'ascenseur !

Les deux jumelles n'avaient honte de rien! Coucher avec un prof', ce n'était pas la première fois pour elles mais c'était si excitant ou du moins, elle était si excitante! C'était ce genre de professeur qu'elles adoraient toutes les deux, une belle poitrine, super bonne comme le dirait certain garçon de leur classe, un joli petit cul, tous les ingrédients étaient là pour avoir affaire aux Karistal! Manquait plus qu'elle soit une neko mais si tel était le cas, elle ne reviendrait plus ici, elle sera pour toujours avec les jumelles à combler tout leur désir. Les deux petites blondes se battaient pour lécher l'antre intime de Kazumi, elle était si délicieuse! En même temps, jamais elles n'avaient léché de cyprine infecte mais bon, il serait difficile de classer celles qui ont un meilleur goût que les autres? Elles en ont léché tellement de lèvres intimes depuis qu'elles se sont intéresser aux plaisirs de la chair. Exécutant leur petite langue de chatte, la main de leur professeur caressait leur tête une à une jusqu'à enfin jouir sur leur visage. Yuka et Yuko ouvraient la bouche pour mieux en recevoir mais elles furent plus arrosé qu'autre chose. Ce n'était pas grave, même le lécher sur le visage de l'autre, ce n'était pas dérangeant. Les deux petites chattes ne tardaient pas à se lécher le visage alors que Kazumi ne supportait plus son poids sur ses jambes. Déjà? Ce n'était que le début pourtant.

Se léchant, Yuka n'avait pas cessé de se doigter et cela avait attiré l'attention de Kazumi qui ne tardait pas à venir chiper sa petite Yuka à Yuko, s'allongeant sur elle. Hum, la belle prof' à la poitrine généreuse qui tentait de dominer un peu sa sœur? Ça pourrait être une optique bien intéressante que voilà? Yuko la laissait faire en observant ce spectacle avec envie et amusement. Kazumi en profitait pour l'embrasser langoureusement, elle était vraiment dans le feu de l'action alors! Tant mieux! Yuka se laissait faire, gémissant devant cet assaut si doux, la jeune femme fermait les yeux en remuant sa langue dans cette bouche, savourant chacune des choses qui rendait cela si bon. L'odeur, ses lèvres, sa langue, sa poitrine qui l'écrasait, tant de choses qu'elle adorait sentir pour la faire jouir doucement mais surement. Sa main quittait son entrejambe pour remonter et caresser la hanche de Kazumi en remontant vers son dos alors que sa seconde main était plus haute, allant se perdre dans ses cheveux alors qu'elle gémissait de plaisir devant ce baiser. Yuka était la plus douce, moins adepte du fouet que sa sœur mais ses tortures étaient surtout morales que physique mais pour le moment, elle était la chose de sa sœur, elle n'avait pas son mot à dire.

« Huhu, deux belles petites coquines qui se font du bien. Continuez mes chéries, continuez... »

Yuko était à genoux, observant les deux créatures de rêve se faire du bien, caressant la fesse de Kazumi, qu'elle fesse si douce! Elle l'avait déjà caressé mais là, dans cette position, ça semblait encore mieux. La Karistal dominante se mit entre leurs jambes et malaxait ce joli petit cul qui lui donnait tant envie de la claquer, de faire résonner ce bruit dans la salle, de même que ses cris mais chaque chose en son temps, fait être trop pressé sinon c'est moins drôle. Elle plongea sa tête dans la raie de Kazumi, se mettant à lécher son petit trou si doucement, si tendrement, Kazumi pourrait même se sentir reine en ce moment... mais attention à ne pas prendre ses rêves pour des réalités.

La petite Yuka ne repoussait pas mon soudain assaut, loin de là, elle l'accueillait même avec de nombreux gémissements qui m'excitaient encore plus ! Sa main recouverte de sa propre cyprine remonta lentement vers ma hanche, puis mon dos, et de l'autre elle me caressait les cheveux. Contre ma langue, je sentais la sienne qui remuait au fil de ses gémissements étouffés, engloutissant sa bouche dans la mienne pour l'empêcher de trop faire de bruit... Doucement et tendrement, je posai mes mains sur ses petites fesses, les caressant avec délice, les griffant même du bout des ongles par moment.

- Huhu, deux belles petites coquines qui se font du bien. Continuez, mes chéries, continuez...

Tiens, Yuko avait eu la même idée que moi. Je sentais sa main sur ma fesse gauche et ne tardai pas à sentir l'autre aussi. Elle me malaxait énergiquement le fessier, et bien que je ne pouvais pas pouvoir son visage, j'imaginais bien le sourire qu'elle devait avoir... Et c'est là que tout bascula. On passa d'un plaisir total à une atmosphère plutôt désagréable. En effet, je venais juste de sentir la langue de la jeune fille glisser sur mon cul... Ça aurait pu être bon à me rendre folle... Mais cet endroit... Me gênait.

- Ha ! Non, je... Yuko, pas là ! C'est sale !

Même si Yuka, toute à son plaisir, n'avait pas entendu mes paroles, elle avait certainement senti mes mains se retirer de ses fesses et ma langue de sa bouche. Je m'étais retournée pour faire face à la lycéenne, un air à la fois désolé et dégoûté sur le visage.

C'était amusant de voir que tout le monde en général se jetait sur Yuka quand elle lui appartenait. En même temps, qui résisterait à ce petit air tout gentil, presque innocente qu'elle affichait en permanence? Faut dire qu'elle aimait appartenir à sa jumelle, oh oui, elle adorait tout ce qu'elle lui faisait subir même quand elle osait dire le contraire. Caressant ses belles petites fesses, Yuko glissa ensuite sa langue mais cela ne l'avait pas vraiment fait craquer. Elle n'aimait pas ça? Non seulement, c'est bizarre car ça peut être étrange quand on n'a pas l'habitude mais c'est agréable ensuite! Et deux, d'où cette femme ose lui dire quoi faire? C'est plutôt à Kazumi de demandé si elle aime son petit cul! On aura tout vue! Des choses qui refusent qu'on les touches! Leur professeur appartenait déjà aux jumelles et ce, sans même avoir remarqué la cage qui était dessinée autour de sa petite vie! Elle allait bientôt se heurter à ses propres barreaux quand elle les enverra bouler en croyant à un mauvais chantage ou pire, une mauvaise blague! Ce sera les jumelles après qui vont bien rire.

« Mais, c'est pas drôle! Dans ce cas, faut pas m'en vouloir si je change de tactique. »

Toujours visée sur l'anus, elle laissait sa main caresser sa fesse, puis l'autre, en ignorant totalement la raie au milieu, Yuko pouvait agir lentement mais surement. Mais pas trop lentement non plus. Comme ça, ça laissait à sa sœur l'occasion de jouer un peu plus avec le corps de Kazumi, ça serait gâché de ne pas y toucher! Yuka continua de baiser les lèvres de leur professeur, frémissant de bonheur en sentant la poitrine de cette dernière s'écraser sur la sienne, c'était toujours si agréable. Sa main passait de ses cheveux à sa joue, Yuka semblait si douce. Comment se douter que derrière ça, il y avait une folle qui adorait faire souffrir mentalement sa proie? Et pourtant... Si douce et calme, Yuka profitait un max, ses mains étaient de la soie qui caressait le corps de leur enseignante, même Yuko se prêtait au jeu jusqu'à corser un peu les choses. La douce main de Yuko claquait une première fois plutôt doucement sur la fesse juste dessous sa main.

« Je vais vous dire ce qui est sale, senseï. C'est vous~ vous n'êtes qu'une sale petite coquine qui ne demande qu'à être abusée par ses élèves blondes et jumelles. »

Petite provocation mais elle commençait doucement, grimpant doucement vers le maximum mais échelon après échelon. Une nouvelle petite claque sur sa fesse alors que Yuka se faisait un plaisir de continuer son baiser. Après tout, elle adorait la douleur elle, alors une copine, où était le mal?

Mais c'est quoi ce délire ? Qu'est-ce qu'elle croit, qu'elle me lèche le cul, comme si elle était une chienne ? Bon, dans un sens c'est vrai, mais pas littéralement ! Un cul, c'est sale, c'est pas fait pour, ça sert juste à aller au petit coin ! Je n'y comprends plus rien, sur le coup. Et en plus, ça ne lui va pas ! Elle se dépêche de protester, comme si j'avais marqué "Propriété publique" sur mon derrière. Non mais oh !

- Mais, c'est pas drôle! Dans ce cas, faut pas m'en vouloir si je change de tactique.

Elle avait quand même un faible pour mon cul, celle-là. Je la comprends, évidemment, mais je suis la seule qui peut y toucher, normalement ! Et là, elle me masse les fesses avec entrain... Bon, ça au moins ça ne me gêne pas. C'est agréable, et tout... Mais me lécher le trou de balle, c'est quand même pas la même chose ! Je n'en reviens pas ! Heureusement, j'arrive à faire semblant de rien et les jumelles ne semblent pas avoir remarqué à quel point ça m'a perturbée. Alors que Yuko, sans doute frustrée de ne pas pouvoir faire ce qui l'arrange, me malaxe le postérieur, Yuka m'embrasse avec passion, et je dois avouer que je ne déteste pas ça, loin de là ! Ma poitrine est en contact avec la sienne, sa petite poitrine si mignonne ! Dans le même temps, elle me caressait les cheveux, le visage... Sa main ressemblait à un morceau d'étoffe de luxe, le genre qui vient de loin et qui coûte super cher. Le genre qu'une fille comme moi peut pas s'offrir. Alors, c'est une expérience plutôt agréable. Sous l'afflux de plaisir qu'elle m'offrait avec ses mains et sa bouche, j'en aurais presque oublié ce petit souci avec mon derrière.

Mais Yuko n'avait pas dit son dernier mot. Je sentis plus que je n'entendis la fessée dont elle me gratifia. Plutôt inattendu. C'est un peu con, parce que du coup j'ai un peu mordu la lèvre de Yuka, de surprise. Je tente de me rattraper en léchant tendrement l'empreinte de mes dents dans sa lèvre. Pendant ce temps, Yuko essaie de me provoquer – J'ignore ce que j'ai bien pu faire pour mériter tout ça.

- Je vais vous dire ce qui est sale, senseï. C'est vous... Vous n'êtes qu'une sale petite coquine qui ne demande qu'à être abusée par ses élèves blondes et jumelles.

Mais quand s'arrêtera-t-elle ? C'est dingue, alors que Yuka est en train de me combler, voilà que sa soeur jumelle me donne l'impression de faire tout pour me refroidir. Sur le coup, elle me déçoit un peu. En plus, elle ponctue sa phrase par une nouvelle claque sur mes fesses. Le pire dans tout ça, c'est que j'aime bien ses fessées. Mais j'espère qu'elle ne va pas exagérer. En plus, je ne peux même pas lui répondre, sa soeur m'embrasse encore avec ardeur, m'empêchant d'ouvrir la bouche.

D'un côté, Yuka se faisait très sage, très gentille à embrasser Kazumi doucement, tendrement, un ange cette fille! Oui, si on veut car si elle aurait décidé de la faire souffrir, elle aurait facilement trouvé quelque chose pour s'amuser avec elle mais pour le moment, juste l'embrasser lui suffisait. De l'autre côté, Yuko qui s'amusait elle aussi mais qui voyait ses approches repousser. S'occuper de son petit cul, refuser! Elle devait donc la punir un tant soit peu mais ça, ça marchait, étrangement. Pour lécher son petit cul, elle refuse mais pour lui faire mal, elle adore hein! Toutes les mêmes! Après la première gifle qui l'avait étonné, la seconde passait mieux. Yuko adorait faire souffrir physiquement mais elle adorait surtout placer un rythme qui surprenait. Pas d'instant SM puis douceur ou bien une claque, une caresse. Non, ça pouvait bien être très doux puis soudainement très fort et elle allait en faire de même en glissant sa main entre ses jambes pour caresser ses lèvres intimes, humides. Voilà qui était délicieux au toucher, mieux encore avec les lèvres! Mais elle va la laisser se reposer, elle a déjà gouter son jus il n'y a pas très longtemps.

C'était plutôt Yuka qui s'agitait. Elle savourait ce baiser et cette poitrine qui écrasait la sienne aussi mais elle avait faim, elle voulait plus à présent! Elle se défit difficilement des lèvres merveilleuses, surement hésitait-elle à en vouloir plus ou en rester là?

« Senseï... Occupez-vous de mes seins! »

Ce n'était pas un ordre, plutôt une supplication. Elle posait ses doigts sur sa poitrine, se caressant un peu pour l'aguicher alors que Yuko profitait de cet instant pour la conseiller. Elle voulait que toutes les trois s'amusent après tout. Revenant près d'elle, elle lui parlait doucement à côté de son oreille en gardant son sourire et sa douce voix.

« Profitez-en pour lui mordre doucement ses petits bouts... elle adore çaaa~ N'est-ce pas ma petite Yuka? »
« Oh oui, Senseï, s'il vous plaît? »

Yuka se tortillait un peu plus alors que sa jumelle venait lui caresser sa joue, passant même ses doigts le long de ses lèvres et cette dernière lui léchait les doigts. Elles étaient aussi perverses que mignonnes! Une fois qu'elles seront vraiment adultes – d'ici quelques années – pour sur, ce seront des jumelles inoubliables. Elles risquent de faire tourner la tête de n'importe qui! Mais bon, elles se débrouillaient bien pour leurs dix-sept ans.

Je me plaisais bien, en fin de compte, avec ces deux jumelles perverses. J'avais un peu peur, mais finalement elles n'étaient pas si diaboliques. Juste sadomasochistes... J'adorais jouer à la maîtresse avec Yuka, même si je n'avais pas beaucoup d'expérience dans ce domaine, mais être dominée par Yuko ne m'excitait pas particulièrement... Dommage pour elle, c'est donc sa soeur qui repart avec le premier prix ! Je comptais bien lui montrer qu'elle me faisait du bien, et lui rendre la pareille. Je continuais de l'embrasser goulûment, caressant son petit corps, quand Yuko vint tripoter mes lèvres intimes. Cette fois, je la laissai faire. Excitée comme je l'étais, je pouvais au moins accepter cela. Dans le même temps, Yuka rompit notre baiser et prit la parole en caressant sa petite poitrine d'un air aguicheur :

- Senseï... Occupez-vous de mes seins !

Alors là... Inutile de me le dire deux fois, d'autant plus qu'elle n'adoptait pas le même ton autoritaire que sa soeur jumelle ; je projetai mon visage sur sa poitrine, embrassant l'un de ses globes de chair, jouant avec l'autre d'une main, tandis que les doigts de mon autre main étaient dans sa bouche après avoir visité mon antre humide... Elle me goûtait, elle aussi. Ses seins avaient beau être encore petits, ils étaient agréable à prendre en main, et avaient l'air très sensibles. Je sentis à nouveau le souffle de Yuko, contre mon oreille cette fois, elle me chuchota :

- Profitez-en pour lui mordre doucement ses petits bouts... elle adore çaaa ! N'est-ce pas ma petite Yuka ?

- Oh oui, Senseï, s'il-vous-plaît ?

Et sur ce, Yuko offrit ses doigts à sa soeur qui les lécha d'un air lubrique. Ces deux étudiantes étaient décidément les filles les plus perverses que j'avais jamais vu. C'en était impressionnant ! Donc, elle voulait que je lui morde les tétons ? Pas de problème ! Aussitôt dit, aussitôt fait, mes lèvres entourèrent l'un de ses petits bouts tout durs, et je me mis à aspirer, suçotant son mamelon comme je le ferais avec un bonbon particulièrement délicieux. Ma langue faisait des mouvements circulaires autour, tandis que son autre sein restait sous la responsabilité de ma main droite, qui s'en occupait plutôt bien, pinçant et tirant son téton dans tous les sens. Ma main gauche, quant à elle, ne restait pas inactive : je la glissai lentement sous le corps de Yuka pour malaxer ses fesses, les griffant légèrement du bout de mes ongles.

Et finalement, excitée comme j'étais, je me résignai et, relâchant, pour quelques instants seulement, la poitrine chérie de la lycéenne, je tournai mon visage vers sa soeur en agitant mon derrière et je lui dis :

- Et si en fin de compte je te laisse mon cul, tu promets de ne pas me faire mal ?

Cela commençait bien, même si leur professeur avait surtout une préférence, ça ne changeait rien pour Yuko. Même si pour le moment, elle était en retrait, elle savait comment retourner la situation. Avec un collier et une laisse autour du cou, même cette enseignante pourrait être aussi soumise que sa sœur. Eh oui, la soumission avait ce côté magique, une simple laisse attachée à un collier et on lui obéit au doigt et à l'œil et si ce n'est pas le cas, c'est pour mieux se faire battre que les soumises agissent de la sorte. Il en allait de soi avec Kazumi, rares sont les personnes qui résiste vraiment. Si Yuka se laissait faire, savourant avec plaisir ce suçage de téton et les légères douleurs dessus, que ce soit avec les doigts ou la bouche de leur professeur, Yuka était naturellement heureuse, étant la soumise des deux, ce genre de traitement était ce qu'elle adorait. Yuko continuait de jouer doucement avec Kazumi et de jouer aussi avec sa jumelle, lui faisant lécher les doigts couverts de mouille de leur cible du jour. La petite gourmande léchait avec plaisir cette substance intime, sous le regard d'une troisième personne qui n'était pas insatisfaite d'avoir été surprise.

Et finalement, leur professeur accepta que Yuko s'occupe de son derrière si elle ne lui fait pas mal? Oh, elle en demande un peu beaucoup mais le fait de demander est déjà une preuve de soumission. Quelle coquine celle-là!

« Voyons, un cul que je ne peux pas faire souffrir, pas lécher, je suppose pas doigter? Ça me laisse que des caresses du coup? Et je suis pas trop emballé là... Surtout quand je vois deux belles coquines qui se font plaisirs. »

Yuko ouvrit sa chemise, retira sa jupe et abaissa sa culotte avant de prendre place aux côtés de sa jumelle en lui caressant la joue, la regardant tendrement.

« Pourquoi ne pas s'occuper de nous deux, en même temps bien sur. On pourra voir si vous avez le doigté pour cela? »

Elle se tourna un peu vers Yuka en lui caressant le ventre, l'observant avec son classique petit sourire avant de s'approcher d'elle en l'embrassant, allant même passer sa main dans ses cheveux. Elle se rapprocha de son oreille pour lui murmurer quelque chose qui la fit sourire, presque au point d'avoir un petit ricanement. Les jumelles écartaient les jambes, une main posée sur leur entrejambe et l'index et le majeur écartaient délicatement leurs lèvres intimes humides à souhait. Et à l'unisson, elles lâchèrent quelque chose qui en aurait excité plus d'un ou plus d'une!

« Occupez-vous de nos minous, Kazumi-Senseï! »

Un charmant sourire plus ou moins aguicheur accompagnait leur phrase déjà bien agréable à l'oreille.