Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie ! - { Validée }

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Otomo Anju

Prénom : Anju
Nom : Otomo
Âge : 22 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Date de naissance : 6 Mars 19**
Lieu de Naissance : Seikuzu
Groupe Sanguin : Peu importe
Profession : Mercenaire, Prostituée
Orientation : Hétéro

Description Physique :

Deux yeux noirs, bridés à la nippone ; un nez, dont on reconnait la valeur à sa discrétion ; des lèvres scintillantes sous l’effet du maquillage et deux oreilles courtes, sont les organes constituant mon visage. Une chevelure noire très longue, lisses au point qu’un beau jour, on me suggéra – avec humour – d’y-ouvrir une station de ski. Un teint pâle, le plus souvent baumé. Un front, des joues et un menton taillés à la serpe pour me donner les traits les plus gentils du monde.
Ma poitrine est très bien, quoi qu’en disent certains clients malotrus et subjectifs.
Ma taille est petite, mon corps est svelte, pourtant je dégomme les gros coriaces. C’est mon talent. Sûre de ma technique tirée des meilleurs arts martiaux nationaux, de ma promptitude et d’une préparation physique redoutable, je dispose dans certains cas d’un atout de poids, à savoir un flingue, un Beretta 92. Le muscle ne peut pas grand-chose contre du 9mm.
Côté fringue, j’affectionne la brassière. J’ai un gros blouson noir qui fait badass, avec caches intérieur pour chargeur, et pleins de pantalons noirs style treillis pour aller avec. Si je pars à la guerre, je prends mon holster. Pour faire le tapin, j’enlève quelques couches. Travaillant principalement dans les bars et de façon indépendante, j’évite de trop me trimballer en panoplie de salope, jupette en cuir etc. ; dans les bas fonds ça attire les macs, en surface ça fait mauvais genre.

Description Mentale :

J’aime bien tuer, car c’est un instinct carnassier essentiel à tout guerrier – existe-t-il un rang plus noble ? Le remord, grâce aux Dieux, est une entrave dont je suis exempte. Je ne fais pour autant pas partie de ces dits « détraqués » incapables de canaliser leur soif de sang aux limites du raisonnable. D’ailleurs ma fascination pour le combat ne se limite pas à son aspect sanglant : le combat est une science, un sport voire un art, mêlant tactique, technique, puissance et émotion. Et ça, c’est beau. Ma passion suivante, qu’est le sexe, ne s’intellectualise pas tant ; elle se ressent, et elle met tout le monde d’accord. J’y-suis une dominante, car la puissance m’enivre. J’y-suis aussi une dominée, car l’abandon est reposant. Je suis une pute flexible.
J’aime aussi la danse et la musique, la drogue et l’alcool, le chant des oiseaux, les fruits et les gadgets clignotants.
Je suis areligieuse, bien que certains préceptes shintoïstes me plaisent. En guise d’idéal j’ai un honneur, consistant grosso-modo à ne pas me laisser marcher sur les pieds. Aux élections je vote conservateur, par héritage familial et par patriotisme, cependant que je chie sur l’ordre étatique à la première occasion. Ma quête est le fric, mon rêve le pognon. J’ai parfois été riche, mais je croule plus souvent sous les dettes, la faute aux jeux d’argents et aux dépenses hâtives.
Je sais me tenir et aime avoir la classe, voulant séduire, même mes ennemis. Certains qualifieraient cette tendance d’hypocrisie, je les entends. D’autres parleraient de comportement naturel, je les entends aussi. Appelons donc ça la naturelle hypocrisie humaine.
Dit-on que les Japonais sont xénophobes ? Je crie au cliché, car je suis Japonaise et ne suis certainement pas xénophobe. Certains de mes meilleurs amis sont étrangers. Juste que, je pense, il-y-en a trop en ville.

Histoire :

Maman faisait la cuisine quelquefois et la vaisselle souvent ; elle s’occupait tantôt du linge, et du jardin de temps en temps. Papa lui fit un bon époux puisqu’il l’aidait dans toutes ses tâches, en plus de nous ramener le sou. Papa vendait des assurances à qui n’en avait pas besoin. Maman avait été violoniste, dans une vie antérieure à la mienne. Pour moi, Maman fut juste maman, soit « un job à temps plein », à l’en croire. Commençons par elle : sociale, rigolarde, et d’une hypocrisie toute bourgeoise. Elle avait tout un réseau d’amies (avec un ’e’, malgré quelques hommes), qui se rassemblait chez nous environ une fois par semaine. Ca causait chiffon, ragots, ou même littérature ; se passant le plus souvent dans la véranda, autour d’une table nappée d’une horreur de tissu fleuri. Maman y-faisait l’impression d’une dame distinguée, cependant qu’elle planquait toujours un livre de cul au fond de sa commode. Quant à ses filles, elle les aimait, comme une mère se le doit. Papa était : beau parleur, charmeur, aimable. Il avait son bureau, son fauteuil, et sa chaise attitrée en bout de table. Quiconque l’usurpait en ces places se faisait battre ; car sa justice impliquait quelquefois sa ceinture. Un homme fort juste, mesuré et raisonnable, ne picolant que rarement et encore, seulement dans son bureau, en ayant d’abord pris soin de fermer la porte à double tour. Celui-là aimait sa femme, et un peu ses enfants.

Ils se seraient rencontrés au parc, par une magnifique après-midi d’automne, et une chose en entrainant une autre se seraient épousés. Cela me paraît plus romantique que réaliste. Quoiqu’il en fût, de leur union naquirent deux êtres : Chizu en premier, moi un an plus tard. L’on m’a rapporté que je fus un bébé joyeux, et que ma sœur pleurait beaucoup. Je ne m’en souviens pas. De cet âge on ne se souvient de rien ; je me rappelle d’une chose : j’avais une poupée qui s’appelait Hana, qu’un jour Chizu jeta dans une rivière. J’avais pleuré, Papa avait poursuivi Hana en vain. Peut-être n’est-ce qu’un événement mineur jamais oublié, ou bien une péripétie fondatrice de la future détestation vouée à ma sœur.

J’honnissais Chizu, craignais Papa, et buvais l’amour maternel tel l’assoiffé buvant l’eau stagnante : par défaut, avec dégoût et préjudice sanitaire. Je ne sus jamais m’épanouir dans le cadre familial.

A l’école, il me fallut m’accrocher comme une tique en maths et en lettres pour me maintenir dans la médiocrité. De nos cours, seul le sport trouva grâce à mes yeux. Seul le gymnase sollicitait mes nerfs et mes sens, quand les salles de classe m’assommaient de leurs notions informes. Je sympathisais avec les filles pas trop connes, ni trop chiantes, laissant les trop bonnes élèves entre elles ; ainsi formai-je une bande de copines avec laquelle m’entretenir. A cette époque de quiétude hormonale, nous n’intégrions guère le sexe opposé parmi nos relations, car ceux-ci étaient méchants et stupides, leur excitation en classe nous attirait injustement les remontrances des enseignants, et des devoirs supplémentaires. Forcément, l’école restera une belle période en ma mémoire. Certes, on s’y-faisait royalement chier, mais seulement jusqu’à ce que retentisse la divine sonnerie de la pause récréative. Cette jungle infantile où l’on pouvait enfin hurler impunément ; où les fayots se tapissaient dans leurs coins, et où les mauvais élèves régnaient en maître. Une version délicate de la rue en quelque sorte.

Au constat de mes piètres rendements scolaires, les parents songèrent à m’inscrire à un club extrascolaire ; ils n’eurent pas à insister longtemps. La gym, deux ans : on y-distinguait ceux qui savaient faire la roue et l’équilibre, et ceux qui ne réussissaient que le poirier et les galipettes. Les bons et les nuls. J’étais donc bonne, et même un peu plus puisque comme disait le prof, j’avais « du talent plein les chaussettes ». Puis la danse, quatre ans : Maman voulait m’inculquer grâce et féminité, et œuvra de suggestions (par exemple, me demandant à table ce que je pensais de la danse, ou lâchant lors de silences prolongés « Quelle superbe danseuse tu ferais ! ») jusqu’à susciter en moi l’idée de m’y-lancer. Aujourd’hui encore, j’entends la voix guindée du maître de danse, récitant en boucle son compte de quatre. J’y-appris ce qu’étaient le travail, la rigueur et l’exigence. La radiation également. Le club me mit à la porte un jour où je tentai de détourner du matériel (un ruban).

Pointa l’heure du collège, qui nous transforme de moult manières. Les seins enflent, les cycles s’enclenchent... Les garçons, qui ne m’inspiraient jusque là pas grand-chose d’autre que du vague mépris, devenaient mystérieusement un centre de préoccupation important, voire crucial. Intellectuellement, j’entrais dans l’âge « bête », contestataire et nihiliste. Travailler en classe ou faire ses devoirs relevant de l’asservissement à des normes futiles de la société de consommation capitaliste, mes notes s’effondrèrent. Certaines de mes copines adhéraient – plus ou moins – à ma vision des choses ; les autres furent remplacées par des personnes moins recommandables, parmi lesquels délinquants et fils de Yakuzas. C’est avec eux, dans la rue, et jusqu’à pas d’heures que je finissais mes journées. Ils m’apprirent à cracher, à boire, à rouler des joints et à tailler des pipes. Ce fut aussi sous leur influence que je m’inscrivais au club de Jujitsu du collège.

Enfin, j’allais apprendre à me battre. Enfin venait le temps pour moi d’éveiller le samouraï qui sommeillait en moi, comme dirait Benzo Sensei. Tout commença avec cet homme, chauve mais moustachu, les sourcils fort épais, toujours froncés pour témoigner de sa perpétuelle mauvaise humeur. Par ses intonations, ses gestes et ses grimaces, et malgré sa laideur objective, ce type me fascinait. Chaque fois qu’il cognait dans le vide, une exclamation rauque que chacun s’accordait à traiter de grotesque sauf moi ; un cri dont on ne savait trop s’il devait exprimer la colère ou la jubilation. En deux ans, il me fit progresser tant et si bien qu’il me prit en affection et me nomma officiellement sa « meilleure élève de tous les temps ». Pour parfaire mon enseignement, il me battait et me forçait à sécher les cours ; en l’apprenant, le collège jugea de bon ton de nous limoger tous les deux.

Benzo Sensei m’avertit qu’il se rendrait au domicile du proviseur, histoire de lui casser la gueule devant sa femme et ses gosses ; il tint parole et écopa de deux ans fermes. Je partais quant à moi pour être transférée dans quelque établissement de basse renommée, mais les choses prirent une tournure plus originale. Ce renvoi m’excéda et excéda encore davantage mes parents, si bien qu’ils devinrent excédants. La famille me gavait, j’allais donc voir ailleurs – autant que Papa le tolérait. Une des amies chez qui je traînais s’appelait Mitsube Ishimura ; fille unique de Nifume Ishimura, masseuse prostituable, et de Denshi Ishimura, en recherche d’emploi/agent du clan Yomi des Yakuzas. Ces derniers me fascinaient, mais ils ne recrutaient pas les femmes. Les rejoindre n’était qu’un vague et inaccessible fantasme. Jusqu’au soir où, à leur table, en cette période de haute exaspération et prise d’un élan féministe je demandais si je pouvais devenir gangster ; et Denshi de me répondre : « Faut voir ». Ces mots me remplirent d’effroi, tout simplement. Me mettaient à deux doigts d’être une killeuse, pour de vrai, plus en fantasme. M’ouvraient une porte, quand je cherchais une issue à l’amas de merdes recouvrant ma vie. Ce soir là, je noyais le poisson. Deux jours plus tard, Denshi fit sonner mon portable pour m’annoncer avoir tout arrangé. Il me convoqua chez lui, où il me présenta deux hommes en tout point opposables. L’un élégant trentenaire, portant cravate et lunettes ; l’autre musculeux jeune homme, tondu, tatoué et balafré. Le premier s’appelait Eisuke Sakayoshi, précepteur spécialisé dans le redressement scolaire. Avec lui, les pires imbéciles brillaient à chaque examen, car il leur enseignait les méthodes de triche les plus indécelables. Lorsque le soir même je le présentai à mes parents, Maman fondit sous son charme et Papa le félicita pour ses références, avant d’ouvrir le portefeuille.

Le deuxième s’appelait Ryu Juugo, Rhino de son surnom. Amoureux de la violence, éternel bagarreur et xénophobe convaincu, soit un Yakuza parmi d’autres. Physiquement il en imposait grave, et ses pupilles noires lui filaient un air ténébreux qui me plaisait bien. Aussi, quand on m’annonça que j’allais monter dans sa voiture d’où il nous mènerait à une ferme désaffectée et ressuscitée en repère, j’hochai servilement la tête, tout en essayant de me convaincre de mon engagement nouveau. Il conduisait une berline japonaise ultra-customisée : aileron arrière, enjoliveurs dorés, sièges en cuir, propulseurs nitro... et deux énormes enceintes crachant sans cesse la déferlante métalleuse chère à son cœur. Sacrée bagnole. Un baisodrome redoutable. La ferme, en revanche, tenait moins fière allure. Il s’agissait d’une ruine de porcherie, vautrée quelque part, dans la campagne environnante. Infestée par les rats, les termites, et par tout ce qu’on trouve de vermine sur terre. Ni électricité, ni chauffage, un puits asséché, mais beaucoup de calme. Camp de base de deux extorqueurs de la population paysanne : Soko Matakawa, un grand maigre aux dents proéminentes, et Atashi Gokumura, dit « le Chinois » à cause de son nez plat. Ce sera ici que, douze heures par semaines, je ferais mes classes.

J’y-enchaînais les exercices physiques et les passes d’armes, sous la tutelle d’un Ryu sévère comme un tyran. De lui j’appris le maniement des armes à feu, car l’isolement de l’endroit le permettait. De Soko et Atashi j’appris à jouer aux cartes et à la guitare. J’étais mise en concurrence avec deux autres aspirants prénommés Fumino et Eitachi ; deux abrutis de la première heure délicieux de mépris à mon endroit, ce qui me stimula férocement. En dehors de ces heures passées à la ferme, il nous était demandé d’une part de parfaire notre éducation dans une démarche personnelle : j’étudiais un peu avec Eisuke – devenu ami intime de la maison – m’entraînais et bouquinais – principalement sur le thème martial. D’autre part, nous devions prouver par nos actes la dévotion et l’intégration au clan. C’est-à-dire qu’on me prostituait, tirant de mon œuvre un certain bénéfice. Moshibo Eizu, un richissime banquier, eut l’honneur de ma virginité.

Grâce à la triche, je déchirai les examens d’entrée du lycée Mishima. Presque aussitôt, on m’intronisait chez les Yomis. Pendant la cérémonie, je rencontrai pour la première fois Asayoshi Tsuoko, chef du clan.

Les trois années suivantes furent complètement folles. J’emménageai dans le pensionnat Mishima pour m’éloigner le plus possible du domicile parental ; dès lors, je partageai mon temps entre le Lycée et le clan. Le premier n’était qu’un ramassis de vampires, succubes, demi-dieux, surhommes et autres créatures extraordinaires toutes mieux gaulées les unes que les autres. Je rencontrais par exemple Lucienne, élève modèle le jour et tueuse psychopathe la nuit, avec qui je partageai Levikos, un Grec dont je ne me rappelle plus les ascendances divines. L’effervescence fantasticosexuelle de Mishima me transforma en quelqu’un de moins complexé (car je l’étais, carrément) et attisa en moi ce que j’appellerai la flamme du délire. Ma vie parallèle menée avec les Yakuzas fut tout aussi déstructurante. En effet, le clan Yomi, allié aux clans Gama et Utsuhime, entrait en compétition avec une alliance rivale constitué du clan Gahamaru, des Darks Shinobis et des Zubongamis, occasionnant une guerre de gangs sanglante au sein des bas quartiers de Seikuzu. A laquelle je participais activement (je tuais mon premier homme à 16 ans, d’une balle dans le gosier), tout en continuant de combler les fantasmes de clients libidineux.

Parmi eux était Danzo Sumura ; un habitué pervers, violent, dérangé et sociopathe, complètement fasciné par mon corps. Un rire gogol, un air ahuri, mariés à une habileté déconcertante à la torture physique et morale. Sadique, mais aussi masochiste. Un jour que je le suçais – il était alors aux anges – il murmura dans sa folie « Oh oui. Mords-là fort, par pitié… » J’aurais pu ne pas être assez conne pour obéir mais, que voulez-vous ? Il m’a tenté. Les conséquences, c’est l’histoire de ma vie. Pour ma faute, j’eus le choix entre témoigner de ma profonde repentance envers le clan (ce qui m’aurait coûté une phalange), et prendre la porte. Je choisis la porte.

Le lycée se terminait, j’entrais à l’université malgré mon cursus désastreux. Ma vie de criminelle fut mise en pause deux ans, et il s’en fallut de peu qu’elle ne reprît jamais. Seulement Maman apprit tout de mon passif Yakuza, par Eisuke devenu son amant. En tant que mère aimante, elle me promit de ne rien révéler à Papa, mais il fut vain d’espérer la convaincre de n’en rien dire à Chizu, la fille qu’elle préférait. Deux jours plus tard, Papa savait tout et, moins aimant que Maman, me coupait les ponts. J’avais donc besoin d’argent, et connaissais un moyen sûr d’en obtenir. Je m’établissais dans un taudis des bas-fonds, d’où en plus de vendre mon corps j’usais de mes restes de contacts avec le milieu pour obtenir des jobs illégaux, dangereux et aux payes juteuses. Ainsi irait ma vie jusqu’à ce jour.

Situation de départ : Experte.

Autres : Je participerais à n’importe quelle compétition de tir que je finirais parmi les derniers, mais à défaut de viser très bien, je vise très vite. C’est-à-dire que j’enchaîne mon monde au corps à corps et à courte distance, et que je peine dès que ça s’éloigne.

Comment avez-vous connu le forum ? DC

Avez-vous les moyens de faire connaître le forum ? Ptet ben que non
« Modifié: dimanche 06 octobre 2013, 11:28:37 par Adelheid Friedrich »
Essentielle à la lecture,
Elle ne requiert pas de monture.
Elle varie selon le pays,
Et vient de Mésopotamie.

L'écriture.

Lyan Rose

Terranide

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 1 samedi 05 octobre 2013, 19:49:47

SAAAAALUT Sele... euh, Otomo ! :D

- T'as pas lu ?

Non.

Nouvelle fiche - Suivi RP/Trames

Thème [Standard] - Thème [Alternatif]

Ça se prononce "Layanne" fils de pute.

Oh, et ce kit génial a été fait par Connor. o/

Cassidy Green

Avatar

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 2 samedi 05 octobre 2013, 20:18:12

Bienvenue ^^
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D

Silence

Légion

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  • FicheChalant

    Description
    Silence, mercenaire, capitaine de la guilde des Griffes d'Ammoth.

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 3 samedi 05 octobre 2013, 20:21:11

Bienv'nue o/

- Génial, une pute !

Toi, taggle. Et arrête d'imiter Lyan.



Harleen Quinzel

Humain(e)

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 4 samedi 05 octobre 2013, 20:23:40

Bienvenue ma mignonne

Mia Unielfe

Créature

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 5 samedi 05 octobre 2013, 20:34:12

Bienvenue !
Mes différents comptes :
Kasja Dubrinov, professeure de Musique extravertie
Mia l'Unielfe, elfe guerrière violente et parano

Les Trames de Mia

Les Trames de Kasja


Le linceul ne fait pas le mort, mais le tien sera écarlate.

Anéa

Administrateur

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  • FicheChalant

    Description
    Ancienne archange, devenue à moitié démone.
    Adore le sang et faire sauter des têtes.

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 6 samedi 05 octobre 2013, 20:40:07

J'ai pensé à la même chose que Lyan. x)

R'bienvenue !





-En souvenir du bon vieux temps-

Limma Darts

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    Description
    Limma : Humaine esclave
    Limma Darts : être mélanger et instable cyborg démone
    Ximma : être mélanger et équilibré demi démone
    Xia : Démone

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 7 samedi 05 octobre 2013, 20:48:23

Bienvenue et magnifique Avatar j'aime beaucoup.

Otomo Anju

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 8 samedi 05 octobre 2013, 21:15:25

Merci du Rebienvenue o/

- C'est 100 Yens par caractère ♥

La ferme salope.
Essentielle à la lecture,
Elle ne requiert pas de monture.
Elle varie selon le pays,
Et vient de Mésopotamie.

L'écriture.

Yukio Onoki

Humain(e)

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 9 samedi 05 octobre 2013, 21:23:05

Bienvenue ma belle.

Yukio et Irys s'associent pour saluer ton esprit, fière et noble guerrière. Nous attendrons le moment où nous pourrons nous rencontrer.

Serenos I Aeslingr

Modérateur

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    Description
    Le Roi des Trois Royaumes et le personnage le plus influent d'Ayshanra. Derrière ses allures détendues et son sourire charmeur, Serenos est un homme dangereux et incontrôlable, et une constante menace pour les royaumes continentaux. Son mépris pour le protocole lui ont attiré le titre de "Roi Fou".

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 10 samedi 05 octobre 2013, 22:43:25

[;_; Pourquoi... pourquoi me rappeler Selene... ;_;

*Va être obligé de sauter sur Otomo, et ça, c'est pas bien*]

Néanmoins, bienvenue, jeune demoiselle ^^

Arillé

Créature

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 11 samedi 05 octobre 2013, 22:46:30

SAAAAALUT Sele... euh, Otomo ! :D

Selena Gomez?                                                                                                                                                                                               *Sort*

Sinon Rebienvenue! :D

Maelie

Humain(e)

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    Description
    "Ce qui n'apparaît pas sur l'avatar du personnage" ;
    Eh ben...
    ♥
    Un corps de rêve,
    une niaiserie intempérer,
    des fautes de participe-passé.
    ♥

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 12 samedi 05 octobre 2013, 23:00:49

Ah la vache. C'est bien. J'avais pas lu un truc aussi bien depuis 1987. Ah la vache.

Ah.

Putain.

Rebienvenu.

Je t'aime.

<3

Adelheid Friedrich

Avatar

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie !

Réponse 13 dimanche 06 octobre 2013, 11:28:01

Re-velkommen ! :)

J'aime ! Et je valide ! Bon jeu à toiiii :)
{ T h è m e } - { F i c h e }

Mens vinteren er stille hvit og mens våren er golden sollys
Den gamle vandreren går mens høsten er blodig rød, evig og evig




Otomo Anju

Re : Ribaude ! Tapin ! Fille de mauvaise vie ! - { Validée }

Réponse 14 dimanche 06 octobre 2013, 18:03:50

Merci pour votre indulgence oo
Et pour la validation o/
Essentielle à la lecture,
Elle ne requiert pas de monture.
Elle varie selon le pays,
Et vient de Mésopotamie.

L'écriture.


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