L'ange devient le joujoux de la reine [PV La Ruche]

Afin de décompresser un peu de ses journées riche en évènements, l'ange de la luxure s'autorisait parfois une après midi voir une journée de repos. Son travail était le meilleur qu'il puisse exister mais de temps à autre, ne rien faire et profiter de son temps de libre était loin d'être désagréable! Généralement, elle aimait acheter quelques friandises et se promener dans les bois ou voler dans le ciel, le plus souvent, c'était cette solution. N'échappant pas à cette petite tradition, elle usa quelques pièces de sa bourse pour acheter quelques friandises sur le marché à une vendeuse très gentille qui n'hésitait pas parfois à lui rajouter deux ou trois bonbons en plus vu qu'elle était si aimable et adorable. Cette fois-ci, elle se laissa tenter par du sucre naturel que certains insectes raffole, le miel. C'était pas mauvais, ça lui rappelait la liqueur de Celania. C'était si délicieux bien que ce soit de l'alcool. Mais ce genre de boisson, ça la faisait vite partir au quart de tour. Pour la quitte du programme, elle partit en forêt pour déguster ses petites choses en observant les animaux qui ne se souciait guère d'elle vu qu'elle ne leur faisait jamais de mal contrairement à certaines personnes.

L'ange aimait ce genre de chose naturel, des petits plaisir que personne n'ira qualifier de bizarre. Certes, elle aimait le sexe mais c'était son domaine de prédilection, on l'avait élevée ainsi depuis qu'elle est Sya alors ou était le mal? C'est moins pire que ses gens qui tuent par plaisir en plus. Bien que les lapins, les biches et autres animaux de la forêt étaient mignons, rien n'égalait la beauté des oiseaux! Ses petites boules de plume, ce qu'ils pouvaient être charmant! Et beaux en plus! Une des rares espèces ou Sya ne faisait pas de différence mâle et femelle, cela restait pour les petits oiseaux du moins, pas les gros rapace! Fidèle à sa réputation auprès de ses petits amis ailée, elle n'avait qu'a siffler pour que ceux des alentours se rameute près d'elle. Tous sans exception se laissait cajoler par la jeune femme qui ne pourrait se lasser de ses amis. Elle comprenait ses petits êtres qui adoraient voler dans le ciel, libre comme l'air. C'était vraiment grandiose et ce, à coup sûr! Bon, sauf les temps de pluie ou d'orage mais ça, c'était facile à deviner.

Alors qu'elle passait du bon temps avec eux, cela n'allait pas être le cas bien longtemps. Certains commençaient à s'enfuir en volant comme affoler et bien vite, ce fut tous qui étaient partit. L'ange se retourna pour voir un filet lui tomber dessus, d'abord paniquer comme n'importe qui, elle cessa bien vite de se débattre en voyant ses braconnières. Deux jolies jeunes femme ailée mais loin d'être des anges. Elles ressemblaient plus à des... abeilles? Pourquoi pas, leur ailes, leur antennes, ça en avait tout l'air? Elle n'en avait jamais rencontré en plus! Tout sourire comme si on lui avait donner une couverture chaude en pleine hiver glacial, elle regardait les deux jeunes femmes.

« Dites, vous voulez me faire quoi? Du moment que vous ne me tuer pas ni que vous tenter de me manger, ça me va! »

Drôle de proie n'est-ce pas? Elle se sentait en total confiance avec elle donc ou était le mal? Elle ne l'avait pas dit mais elle pourrait rajouter une chose, tant que ce n'est pas non plus pour faire quelques chose en rapport des sales mâles, alors ça lui allait!

"HEEEEEEY HOOOOO !!! HEEEEEEY HOOOOO !!! Hey ho hey ho on s'en va au boulot ..."

La petite ouvrière sortait de la ruche virevoltant gaiement en cassant les oreilles de ses congénères. Non seulement elle chantait fort, mais surtout elle chantait faux. Comme pour accompagner ses sifflements un manche de pelle fendit l'air en direction de son crâne et descendit l'enquiquineuse en moins de deux. L'auteur du tir fatal était assez fière d'elle, une guerrière aigrie qui ne supportait pas certaines de ses protégées ... Elle fut applaudie par l'assistance pour son adresse et le service qu'elle venait de rendre à la ruche en exterminant l'intruse, elles s'arrêtèrent quand l'ouvrière retrouva ses esprits. Vexée, la petite ouvrière trouva un peu abusif d’être interrompue de la sorte  et que l'assistance regrette presque qu'elle n'ai pas succombé. Heureusement pour la ruche la guerrière veillait sur elle et l'attrapa par les cheveux avant de la trainer dans la forêt, accompagnant le geste d'un sympathique :

"Au boulot feignasse ..."

L'appel au travail était implacable, contrainte et forcée la cantatrice du dimanche dû se résoudre à remplir sa fonction première : ramener de la bouffe. Après quelques minutes de marche la guerrière entendit quelque chose dans son dos :

"Hey ho hey h ..."

"Tu tiens vraiment à rentrer à la ruche avec une attelle ?"

"N-non ..."

Elles marchèrent encore quelques temps avant de repérer l'ange, la guerrière compris immédiatement que c'était une découverte intéressante, mais pas son abrutie de comparse.

"CIBLE EN VUE MA CAPITAINE !!!"

S'en suivit deux bruits : le bruissement des ailes des petits oiseaux qui s’enfuyaient devant l'abeille bruyante et le bruit sourd du poing de la guerrière s'écrasant sur le crâne de la fautive. Par miracle l'ange ne semblait pas avoir entendu, la guerrière eu le réflexe de balancer le filet sur elle avant qu'elle ne se rende compte de leur présence. Et hop l'affaire était dans le sac, hum dans le filet. Elle s'avança, suivie de son boulet attitré pour embarquer le colis et répondit à l'ange :

"Hum, d'une certaine façon on va te manger oui."

La guerrière agrippa le filet et décolla avec sans difficulté apparente le portant tandis que l'autre abeille se tournait les pouces. Elle porta tout ceci sans grande difficulté jusqu'à la ruche, une petite tour noire composée d'alvéoles de différentes tailles dépassant du sol. Les alvéoles s'écartèrent d'elles-mêmes pour laisser passer les deux abeilles et leur prise. Les alvéoles se refermèrent immédiatement derrière elles, les laissant dans un véritable labyrinthe de couloirs, éclairés par une étrange lumière violette.

La guerrière déposa l'ange dans une salle, tandis que les alvéoles composant le sol se surélevaient pour former une sorte de lit. Puis des tentacules d'énergie violette s'enroulèrent autour des chevilles, des poignets, des hanches et du cou de l'ange qui ne pouvait plus bouger. Pendant ce temps d'autres tentacules plus longs s'occupaient de "palper" le corps de la jeune proie pour l'étudier dans ses moindres recoins. Bien évidement les deux abeilles en profitèrent pour se rincer l’œil au passage.

L'ange venait de se faire avoir par les abeilles qui rodaient dans le coin mais par chance, les petits oiseaux n'avaient pas été prit dedans. Quant aux objectifs de ses abeilles, elle avait bien sa petite idée puisqu'elles comptaient la manger, en quelque sorte. Méfiance quand même, bien qu'elle ne connaissait pas de femmes abeilles qui mangeaient des humains, au moins des personnes qui y ressemblait. Ne donnant pas plus d'indication à l'ange, elle se laissait transporter jusqu'à leur ruche, une tour? Soit, après tout pourquoi pas! Elles n'en restaient pas moins plus ou moins humaines, plus humain qu'abeilles d'ailleurs.  Restant bien sagement dans le filet, elle profita de la vue comme la jeune femme la transportait. Inutile de préciser que ce n'était pas le paysage mais les formes de la demoiselle qu'elle analysait. Ça avait ses avantages d'être dans un grand filet, elle avait une jolie vue d'en dessous! Sa partenaire semblait ne pas pouvoir faire grand chose et suivait donc sa supérieure.

Après avoir passer bon nombre de couloir dans cette « ruche », elle ne saurait retrouver son chemin du premier coup, c'est une évidence. Mais si elles comptaient lui faire ce qu'elle pensait, elle n'était pas presser à la minute prêt et pouvait très bien les aider un peu. Étant finalement déposer au sol, sur de drôle d'alvéole qui se surélevaient un peu, plusieurs tentacules vinrent lui bloquer jambes, hanches et poignet, même qu'un tentacule était enrouler autour de son collier métallique pour plus de précaution. Sya se laissait totalement faire en étant actrice et spectatrice de la scène. De nouveau tentacules étaient apparut et passait sur son corps comme pour l'examiner de plus près. Elle se laissait toujours faire en ayant un grand sourire. Surtout que certains se se privait pas de passer dans certains coins intime de son anatomie. Elle en riait même plutôt que d'en prendre peur ou d'être gêner. Seule avec ses choses, ça serait différent mais comme elle avait deux admiratrice, pourquoi chipoter? Son regard restait braquer sur elles comme personnes d'autres n'étaient avec elle.

« Dites, v-vous préférer pas plutôt q... que je m'amuse avec vous plutôt que ça? »

Son sourire était étrangement pervers et attirant et elle comptait bien au moins servir ses deux abeilles plutôt que ce truc. Elle remuait doucement du bassin en sentant un des tentacules passer entre ses jambes pour remonter dans son dos en soulevant sa petite jupe. Laissant apercevoir ses dessous blanc, elle n'attendaient plus qu'une ou plusieurs partenaires pour s'amuser avec elle. Si personne ne pouvait la toucher ou profiter d'elle, ça ne sera pas très drôle.

En voyant l'ange si docile l'ouvrière ne put s’empêcher de s'avancer vers elle pour tenter de profiter de la situation, mais elle fut vite rappelée à l'ordre par la rabat joie de service qui lui attrapa le bras en lui disant :

"Le boulot d'abord, on s'amusera après."

L'envie ne manquait pourtant pas à la guerrière de sauter sur cette jolie jeune femme ailée, mais le devoir envers la ruche prévalait sur leurs envies, bien que l'ouvrière ne partage pas ce point de vue ... Ainsi les tentacules continuèrent leur travail durant quelques minutes, cartographiant le moindre recoin de son corps pour que toute ces infos soient conservées dans l'immense mémoire de la ruche. Elles permettrons d'améliorer les futures générations d'abeilles, d'optimiser la traite de leurs femelles d'élevages et de satisfaire leur curiosité en recensant les différentes espèces.

Pendant ce temps, Sya était petit à petit débarrassée de ses vêtements et les tentacules se faisaient plus insistants, poussant l'inspection à la limite du viol par moment. Les passages répétés de ces choses sur son corps ont inévitablement stimulés la jeune proie, ainsi que ses spectatrices. D'ailleurs l'ange qui avait visiblement bien comprit son intérêt semblait jouer le jeu, se tortillant sous les caresses prétendument scientifiques de ces étranges membres. L'ouvrière oubliait tout ses devoirs, heureusement que la guerrière était là pour la ramener à l'ordre et l'inciter à patienter au moins jusqu'à la fin de l'examen.

Puis les tentacules se sont brusquement arrêtées et se sont dissipées, ne laissant que celles qui maintenaient fermement l'ange captive sur cette table. La guerrière pris le bras de sa comparse avant de la forcer à sortir son dard pour l'enfoncer dans le ventre de l'ange qui ressentit une brève et très supportable douleur. Brusquement, l'entre-jambe de Sya se mit à produire une quantité invraisemblable de cyprine et elle pu sentir ses petits seins se gonfler de lait. La guerrière attrapa sans ménagement l'ouvrière par les cheveux et lui colla la tête entre les jambes de l'ange. Cette dernière protesta d'un :

"HUMMMMRFF !!!"

Ce qui ne changea strictement rien. Après l'examen il fallait récolter et la guerrière avait justement un petit creux, donc autant profiter de la situation pour joindre l'utile à l'agréable. Tout en se vengeant de son incapable de subordonnée qui était en train de se noyer entre les cuisses de Sya, aspirant tout ce qu'elle pouvait. La langue de l'ouvrière s'agitait frénétiquement tandis qu'elle avalait tout ce qu'elle pouvait pour ne pas que tout cela termine dans ses poumons, provoquant au passage d'avantage de cyprine à cause de l'excitation qu'elle provoquait. Quant à la guerrière, elle regardait tout cela avec un grand sourire sadique, visiblement satisfaite de l'évolution de la situation.

Voyant au moins une des deux abeilles s'approcher lui avait fait avoir un grand sourire qui disparu bien vite en voyant la seconde la retenir. Pourtant, elle aussi aurait aimer s'occuper de Sya, elle le sentait, cette fameuse envie au fond de leur corps. A croire qu'elle devait d'abord finir de jouer avec ses tentacules avant de pouvoir servir ses deux jolies jeunes femmes. Tant pis, elle devait faire avec en espérant que ce soit bien ça. La seule contrainte avec ses machins, c'est qu'elle ignorait si ça avait un sexe? Mâle ou femelle? Elle était donc mêlée entre envie et dégout. Si cela n'avait pas de sexe et était juste une tentacule comme une autre, elle pouvait très bien les considérer comme femelle, ça l'aiderait à prendre son pied et à servir plus efficacement ses abeilles. Continuant leurs inspections, ils retiraient tout les vêtements de l'ange en déserrant parfois leur étreinte pour ne pas arraché leur vêtements. Tout y passa, du simple gant en passant par la cape et même sa culotte. Sya était du genre à ne pas porter de soutien gorge, c'était déjà cacher par sa tunique alors pourquoi rajouter une couche supplémentaire? Il n'y avait que son collier autour du cou qu'ils n'avaient pu lui retiré, il avait beau être assez large, si on tentait de lui ôter, il rétrécissait pour éviter de lui enlever ça.

Continuant de passer sur son corps, les tentacules avaient décider de pousser l'inspection en elle en s'enfonçant dans ses deux petits trous intime, jugeant que la bouche était comme n'importe quels humain. Sya étouffa quelques gémissements en ne lâchant pas les deux jeune femmes du regard. Elle voulait les faire venir à elle, elle voulait être leur petit jouet, leur partenaire, leur amie. Mais vu la situation, c'était surtout être un jouet qu'elle voulait. Si celle qui semblait être la moins forte des deux semblait facilement vouloir la rejoindre, elle était toujours retenue par la seconde femme. Son petit regard sadique était plus qu'attirant et Sya voulait surtout profité d'elle, voir ce qu'elle serait capable vis-à-vis d'elle. Attention, elle n'en oubliait pas moins de vouloir aussi s'occuper de l'autre. Mais qu'importe la façon dont elle remuait ou qu'elle gémissait, aucune des deux ne venait la voir pour sa plus grande tristesse. Deux si jolies femmes avec qui elle ne pouvait pas passer un peu de temps.

Mais vint enfin la libération, après avoir bien mouiller grâce aux tentacules à présent partit – les autres continuait de la retenir – Sya tentait de nouveau de faire venir les jeunes femmes et sa prière vu exaucer. Celle au regard sadique tira sa partenaire par le bras, apparemment, elle voulait encore se rincer l'œil celle-là? Étirant son petit sourire en les voyant s'approcher, elle sentit une piqure lorsque la plus docile des deux lui toucha le ventre. Dans les secondes qui suivirent, son intimité semblait déverser plus de cyprin que d'ordinaire. Elle aurait aimer pouvoir se doigter pour se sentir mieux mais ses tentacules la retenaient bien fort pour véiter ça. De plus, ses petits seins étaient devenue soudainement plus dur et plus gonflé. Rare était les fois ou elle avait pu connaître cette sensation avec ses sœurs prêtresse mais si elle ne se trompe pas, c'était su lait qu'elle avait à présent dedans. Gémissant sans aucune honte, elle ne résistant pas à l'envie de voir une des deux – voir les deux même – s'occuper de l'esclave. La sadique envoya sa subordonné entre les jambes de l'ange qui poussa un petit cris en sentant la langue qui venait récolté son précieux jus.

« Aaaaaahhh... En... encore... p-plait... s'il vous plait... Aaaaa-annnnn.... ça me f-fait mal... aider moi Maitresse...Mmmhhhhh »

Elle tentait tant bien que mal de se toucher les seins pour retiré un peu de ce lait mais on l'empêchait d'agir à sa guise ce qui était dommage. Elle espérait bien voir l'abeille s'occuper d'elle après son petit message de détresse. Cette fois-ci, elle n'avait pas demander d'autorisation pour la qualifier comme sa Maitresse, à voir son regard, c'est sûr que ça devait lui plaire d'être appelée ainsi. Remuant son bassin, elle ne tenait plus sous les coups de langues qui accélérait encore plus la coulée de son nectar. Elle en allait elle-même à bloquer la jeune femme entre ses jambes pour qu'elle ne s'échappe pas tant qu'elle ne se sentait pas mieux.