Nom : Glaw.
Prénom(s) : Meredith Bellatrix.
Surnom : Bellatrix tout simplement, parce qu'elle n'aime pas Meredit. Ou appelez-la Bee.
Âge : 22 ans.
Sexe : Féminin.
Race : Vampire.
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle.
Situation de départ : Peu expérimentée.
Caractère :
Il y a moi. Et la personne que l’on croit que je suis.
Je suis plutôt débauchée. J’aime le sexe, du moins la théorie, j’aime la littérature érotique, etc.. J’aime fumer aussi. Et pas que du tabac. J’apprécie également quelques drogues, mais jamais avec excès. J’aime les mauvais garçons. Je suis assez impulsive, ce qui me met souvent dans l’embarras. Mais je n’ai honte de rien. Absolument de rien. Quand je n’aime pas quelqu’un ou quelque chose, je le dis, je ne me cache pas derrière des simagrée hypocrites et mensongères. J’aime vivre dans l’instant, un peu trop peut-être. En gros, je ne suis pas un ange, j’ai mes défauts. Parmi ceux-là, on peut peut-être me croire naïve. J’aime à penser que tout homme n’est pas foncièrement mauvais. J’essaie de voir le bon côté en chacun. Bon, en même temps, après, j’aime pas les trop-gentils donc je ne les fréquente pas. Non, mon idéal, je le connais. En chair et en os même. Sauf que... Vous saurez la suite dans mon histoire.
Concernant ma personne que l’on croit que je suis.. C’est une jeune femme timide, renfermée, naïve, maladroite, très sage, ce genre de chose. On me dit fleur bleue. On me dit choupinette. On pense que je serais incapable de faire du mal à une mouche. On pense aussi que je rêve encore au prince charmant. On ne connaît ni mes tendances à m’emporter vite -soupe au lait on appelle ça- ni ma piètre opinion de l’amour. La bonne blague. Mais j’entretiens cette image. C’est pratique. Et puis malgré tout... J’aime aussi ce qui est futile, et faire les magasins n’est pas une corvée.
Physique :
Je suis la digne descendante de Jessica Rabbit. Haha. Non. Sérieusement, je suis presque le portrait craché de ma mère -qui s’appelle bien Jessica, qui est rousse, pulpeuse, et qu’on surnomme Rabbit à cause de ses incisives proéminentes- sauf en ce qui concerne ma dentition. Deux jolies rangées de perles blanches (plus deux canines nouvellement rétractables), couvertes par deux lèvres sensuelles couleur grenat (que l’on voit mal en général car j’ai pour habitudes de.. D’aspirer mes lèvres quand je réfléchis, et je réfléchis beaucoup), au centre d’un visage au teint pâle, accentué dernièrement. Je possède deux jolis yeux -d’après ma mère- couleur océan. Récemment, ils passent à la mer de sang lorsque j’ai faim. Enfin, pour encadrer mon visage, ma chevelure, rousse, lustrée, soignée, souple et ondulée. Longue aussi.
Ensuite, j’ai un corps agréable à regarder. Je m’entretiens, justement pour ça. Une poitrine haute et ferme, sensuelle et généreuse, un ventre presque plat, une taille fine, des hanches un peu plus large et des jambes galbées et athlétiques terminent mon corps. Même si je ne suis pas grande (1m58 à tout casser). Au creux de mes reins, un tatouage représentant une étoile à six branches. Et deux petits points blanchâtres, cicatrices, au niveau de mon artère fémorale. J’ai les même cicatrices d’ailleurs à la naissance de mon sein gauche, et à l’emplacement de ma carotide. J’en ai un peu partout sur le corps d’ailleurs. Longue histoire. Que voici d’ailleurs.
Histoire :
Il était une fois la vie. Et ma vie, elle commença un soir pluvieux d’Août. Sale temps pour un été. Je vis le jour à la maison, et non pas en hôpital. A cette époque, mes parents habitaient New York. Ils y habitent toujours d’ailleurs. Moi j’en suis partie. Mais vous saurez ça plus tard... Quoique.. Qu’y a-t-il à dire de mon enfance qui sorte de la banalité ? Hm... J’ai jamais eu d’cadeaux à Noël ? Pour Halloween j’étais toujours déguisée en lapin ? Non, rien. En fait, tout commence vraiment à devenir intéressant au lycée. C’est là que ma personnalité a dévié de l’image que mes parents se faisaient de moi.
J’ai commencé à fréquenter les mauvaises personnes. Et je suis devenue un poil plus sombre. J’ai naïvement été attachée à un garçon qui était en terminale lorsque j’étais en seconde. Je traînais avec des amis à lui, donc je le voyais souvent. Il me regardait étrangement parfois, et j’étais flattée. Pour l’impressionner, j’ai testé divers trucs. En fait, je lui parlais souvent. Et on se lançait des défis. Ses défis étaient toujours plus inventifs, plus audacieux. Et je les relevais tous. Comme il relevait les miens avec facilité. Les années ont passées, j’ai ensuite été en Terminale à mon tour. Lui, il restait dans les parages, m’attendant souvent après les cours. J’étais accroc à cette lueur d’intérêt que je voyais dans son regard. Cette lueur de.. Surprise, à chaque fois que je relevais ses défis. Cette lueur de... Concupiscence. Si seulement je savais qu’il n’y avait pas que le sexe qui l’intéressait...
Entre temps, ma mère et mon père ont divorcés. Je m’entendais très bien avec les deux. Jusqu’à ce que mon père se remette en ménage avec une autre femme. Qui ne m’aimait pas du tout. Dès que j’ai pu d’ailleurs, j’ai quitté la demeure paternelle pour aller dans un appart’. Je ne voulais pas embêter ma mère, qui avait aussi un nouveau compagnon (plus cool que ma belle-mère cela dit). J’ai cohabiter avec des amies. J’me suis trouvée un job. Secrétaire dans une compagnie d’assurance et de comptables. Pas forcément le Nirvana, mais ça payait bien. J’ai acheté un chat. Je me suis ensuite installée toute seule vers mi-août. Tous les jours, je voyais ce garçon. Silvester. Et mes autres amis. Puis il fit une fête. Et m’invita.
C’était un soir d’Halloween. J’avais eu dix-neuf ans en été. Ce soir-là, je fêtais Halloween avec ce garçon que j’aimais bien, avec toute notre bande d’amis. Pas les seuls que j’avais, non. Je m’entendais très bien bien avec tout le monde. Mais je les préférais eux. Donc on s’organisait Halloween. Une fête alcool, drogues et autres substances. Une fête avec des défis plus fous que d’autres. Je m’étais déguisée en sorcière. Maléfique, sombre, et pourtant sexy. Lui, il s’était déguisé en vampire. Quelle ironie. Quand j’arrivais, il faisait semblant -je croyais- de mordre une des filles qu’il avait invitée en plus de notre bande. Le sang était très réel. J’ai été impressionnée par le réalisme de son déguisement. Pas si factice que ça. J’ai été conduite près du bar, avec les autres. Il a raccompagnée les filles que je ne connaissais pas, et on s’est retrouvés en groupe habituels. On a commencé à boire, danser, manger. Fumer aussi. Et danser à nouveau. J’ai dû danser avec tout le groupe. Que des garçons. Sauf lui. Jusqu’à ce qu’il m’invite à danser sur Scorpion. Still Loving You.
Subjuguée. J’étais subjuguée par son regard. Par son odeur. Par ses canines qui ne me paraissaient pas si factice que ça. On a dansé. J’ai eu l’impression que ça durait des heures. Et puis la musique à prit fin. Horace, un des garçons du groupe, m’a arrachée à son étreinte pour me bander les yeux. « Surprise, surprise ! » qu’il disait. J’ai été conduite dans une pièce de la maison, et on m’a laissé le bandeau sur les yeux. J’ai entendu tout le monde s’installer. Parler. Puis le silence. Une voix froide a parlé. Celle de Silvester. Il m’a demandé si j’étais prête à relever un nouveau défi. Sûre de moi, j’ai acquiescer avec enthousiasme. Ils ont parlé entre eux, chuchotant. Puis le défi tomba. « Donnes-toi à nous ! ». Silvester avait parlé. Surprise, en effet. J’ai trouvé ça bizarre, mais j’avais lu pas mal de trucs sur le sexe. Et j’ai accepté. Peut-être à cause de l’alcool. Ou des yeux de diamant de Silvester. Ou bien par curiosité.
Immobile dans ce que je supposais être le centre de la pièce, j’ai attendu. Puis des mains légères m’ont effleurées. Presque timidement. M’ont déshabillée. Je ne bronchais pas. Jusqu’à ce que des bras puissant m’attirent contre un torse tout aussi puissant. Ce parfum... Silvester. J’ai sentis ses lèvres contre les miennes. Sur ma joue. Contre mon oreille. Dans mon cou. Je sentais également les mains des autres contre ma peau. Leurs lèvres aussi. Un peu partout. Puis j’ai sentis les dents de Silvester qui mordillait doucement mon cou. Jusqu’à ce qu’il morde. Violemment. J’ai lâché un cri. Surprise. Douleur. Peur peut-être. Mais je n’ai pas bougé. Pas résisté. Je ne pouvais pas de toutes manières. Une voix impérieuse dans ma tête m’ordonnait de ne pas bouger. De subir. D’aimer.
Suivant les dents de Silvester, qui aspirait mon sang, d’autres me mordirent. Un peu partout. Juste mordre. Enfin, les dents s’écartèrent. Ce furent des baisers qui remplacèrent les morsures. Silvester se fit tendre également, m’allongeant sur ce que je supposais être un divan. Silvester s’est allongé contre moi. C’est là que j’ai pris conscience qu’il était nu. Et excité. Très excité. Son membre semblait dur comme un roc contre mon ventre. Contre mon intimité lorsqu’il s’insinua entre mes cuisses. En moi. Je criais. Parce qu’il n’y est pas allé de main morte pour briser mon hymen. Un coup de rein brusque. Brutal. Sauvage. J’avais mal. Mais j’ai aimé. Et il a continué. Encore. Encore. Se retirant par moment pour venir mordre mon artère fémorale. Aspirer du sang. Mordre ma poitrine. Et recommencer. Avant de se retirer pour de bon. Il a attiré ma tête vers lui. Vers son bas-ventre. Et la petite voix à l’intérieur de ma tête me hurlait de le sucer. De l’embrasser. De le laisser s’insinuer entre mes lèvres. Alors c’est ce que j’ai fait. Et pendant ce temps, un autre sexe s’inséra entre mes cuisses, se frayant un chemin à nouveau. D’autres dents me mordirent. Et je reçu l’extase de Silvester. Qui m’ordonna d’avaler. Comme la petite voix.
Je n’ai que peu de souvenir pour la suite, si ce n’est que Silvester n’était pas encore rassasié. Et pendant que je chevauchais -un peu passivement- un autre des garçons, il s’est glissé derrière moi. Ses dents se sont enfoncées dans mon cou au même moment que son sexe en moi. Dans cet antre encore vierge. Toujours dur. Toujours brutal, sauvage. Je crois que j’ai perdu conscience au bout d’un moment. Le lendemain, je me suis réveillée sur mon canapé. Seule. Nue. Et mon chat qui miaulait pour que je lui donne à manger. J’ai cru avoir rêvé. Jusqu’à ce que je vois les petits trous encore à vif qui perçaient ma peau. Mais je n’ai pas eu peur. J’ai continué ma vie. Durant deux mois, plus rien. Plus de nouvelles de Silvester ou des garçons. Et puis pour Noël, ils vinrent me rendre visite. A nouveau ce bandeau sur les yeux. Sauf que cette fois, il n’y a que Silvester qui m’a mordue. Et uniquement pour satisfaire sa gourmandise. Ensuite, à nouveau du sexe. Je ne sais pas si j’aimais vraiment ça. C’était vraiment brutal et sauvage. Mais la petite voix dans ma tête me disais de ne rien faire pour arrêter ça. Même quand, au lieu d’un sexe érigé, c’est un poignet qui se présenta à mes lèvres. L’odeur de la peau était celle de Silvester. Il a plaqué son poignet contre mes lèvres. Du sang sortait d’entailles profondes. Silvester me susurra de boire. La voix aussi. Alors j’ai bu. Et j’ai eu un regain d’énergie. Mais à la fin, je suis restée un moment seule avant de me rendre compte qu’ils avaient fini par partir.
Le lendemain, je travaillais. Je suis allée voir mon père avant, confirmer ma présence au repas de Noël deux jours plus tard, et j’ai été m’acheter une nouvelle paire de chaussure. Encore. Avant d’aller au travail. En rentrant, à pieds, j’ai traversé la route alors que mon feu était vert. Une camionnette arrivait, à griller son feu rouge, et m’a renversée. Juste en face de chez moi. ‘Poc’ que ça a fait. Et je suis morte.
Deux jours plus tard, j’ai ouvert les yeux. Un drap était posé sur ma tête, et je sentais qu’on s’affairait autour de moi. J’avais froid au niveau du ventre. Quand j’ai bougé, quelqu’un à crié. Un bruit métallique m’a signalé que quelque chose tombait au sol. J’ai viré le drap de ma tête, et je me suis retrouvée face à... Un légiste... Mort de peur. J’ai baissé les yeux, et j’ai crié.
Ouverte... J’étais ouverte ! Je me suis empressée de rabattre les morceaux de peau, non sans dégoût, sur moi, et j’ai sauté à bas de la table. Le légiste s’est évanoui. Comme je desserrais accidentellement mes bras d’autour de mon corps pour me rééquilibrer, j’ai remarqué que j’avais cicatrisé. Déjà. J’étais refermée. Et aucune trace des coups de scalpels.
J’ai piqué des vêtements de légistes dans une armoire, et de grosses chaussures peu confortable. J’ai remonté en toute vitesse les escaliers. Merde ! J’étais morte ! Ouverte ! Sous le choc, je me suis évanouie dans les escaliers. Et oui. Choc à retardement. Ou alors faiblesse, parce que j’étais affamée. Un autre employé passant par là m’a sans doute ramenée en bas en constatant ma mort et ma mie à la vas-vite. Si bien que quand je me réveillais à nouveau, vingt-quatre heures plus tard, j’étais dans un cercueil. Avec du tissu rêche comme matelas. Et un affreux costume appartenant à ma belle-mère. Oh elle... Elle lorgnait mes chanels et autres marques quand je la voyais. Je suis sûre qu’elle me les a piqué.
Sous le coup de la colère, j’ai défoncé le panneau de bois. Et je suis sortie. J’étais encore dans la morgue. Mais dans un autre endroit. Je me suis tirée en vitesse de ce lieu. Dehors, j’étais face à un miroir. J’avais le teint pâle, très pâle. Mes yeux étaient effroyablement cernés. Et je portais un tailleurs rose ! Rose ! Horrible ! A ma belle-mère ! Trébuchante, je suis sortie. J’ai couru. Rapidement. Je me suis arrêtée dans une ruelle, brusquement. L’odeur du sang. Des pleurs. Des grognements. J’ai vu une femme, à la lèvre fendue, assaillie par une brute. Mon sang n’a fait qu’un tour. Adieu la brute. Mes crocs, que j’ignorais posséder, se sont plantés dans sa carotide, et j’ai avalé goulûment presque tout son sang. Quand j’ai redressé la tête, la femme en pleur était à genoux et me remerciais. Peu habituée à ça, j’ai été un peu maladroite. J’ai blablaté sur mon affreux costume un moment, avant de prendre congé maladroitement. Encore. J’ai filé chez moi. Mon chat était sur le canapé. Mes amies avaient dû passé. Voire même, une de mes amies était toujours là. A contempler un espèce d’autel érigé à ma mémoire. Mon chat est venu vers moi. A miaulé. Mon amie s’est retournée. Et a eu un choc. Elle ne s’est pas évanouie non. Elle a lâché un hurlement strident, et m’a sauté dessus, me serrant dans ses bras.
Après, j’lui ai expliqué c’qui m’était arrivé. Je me suis rendue compte que ma belle-mère avait pris toutes mes chaussures et tout mes vêtements. On est allé les récupérer. Et lui foutre la frousse (D'ailleurs au départ, elle m'a lancé 'Mais tu ne pouvais pas rester morte, comme tout le monde ? Non, il faut que tu sois chiante jusqu'au bout !' chouette, non ?). Puis j’ai repris le travail, arguant d’une erreur des services funéraires. Non, je n’étais pas morte. Juste assommée. Bien évidemment, j’avais du mal avec la lumière du jour. Aussi, je mettais de la crème solaire quand j’étais obligée de sortir le jour. Et je m’armais d’une ombrelle. J’ai demandé des horaires de nuit. C’était pas possible. On m’a virée. Et un soir, en février, j’ai revu Silvester. Et les autres. Il a été très surpris de me voir transformée. Et mécontent. Ils sont partis, sans un mot. Juste... Pfuit ! Disparus. J’ai été blessée. J’ai fais mes valises. Et j’ai déménagé. Sans avertir personne. J’ai pris la direction du japon. Je suis arrivée à Seikusu. Et j’ignore encore comment bien me débrouiller avec mon nouveau statut.
Ma priorité pour l’instant ? Me trouver un job. Et m’acclimater.
Voilà, c’était mon histoire. Moi, Meredith Bellatrix Glaw. Appelez-moi Bee.
Autres : Pouvoirs vampiriques basiques quoi (Hypnose, vitesse, force, etc..).
Et la faculté de repérer les meilleurs prix pour le shopping.. Héhé...
Comment avez-vous connu le fow’ : Un hasard.
Moyen de faire la pub ? : Non, désolée.
