C’en fut trop pour la petite Kanna. Sous le rire pervers et cruel d’Himeko, elle finit par tourner de l’œil, et s’effondra sur place. La redoutable blonde la regarda s’écrouler, pendant que Junko gémissait et couinait, les queues continuant à labourer son corps. Ces hommes étaient des mâles en rut, en manque de sexe, et, face à une femme comme Junko, terriblement sexy dans son harnais en latex, ils étaient particulièrement motivés. Et ça, Himeko ne pouvait que les comprendre. Sa main caressa les cheveux de Kanna, et elle alla se rapprocher d’elle, léchant l’une de ses joues, recueillant au passage un peu de sa propre urine, avant de déposer un baiser sur le coin de ses lèvres.
«
Dommage, petit opiseau, tu rates un sacré spectacle... Quelle fille ne serait pas heureuse de voir sa Maman prendre un tel pied, hum ? Mais rassure-toi, ma chérie, j’ai encore plein de projets pour toi... »
Oh, si Kanna pensait pouvoir s’en tirer si facilement, la jeune fille se trompait lourdement ! Sa vie avait changé, et il était temps qu’elle le comprenne. On ne pouvait pas prétendre bénéficier de l’hospitalité des Kedamono juste en claquant des doigts ! Himeko se pinça les lèvres, et entendit Junko gémir encore plus fort. Yeux clos, elle venait d’atteindre un orgasme. Elle était prise en levrette, et ne voyait même plus sa fille, car un homme ventripotent la forçait à sucer sa grosse queue, avant qu’il ne jouisse dans sa bouche, et ensuite sur son visage.
Himeko, de son côté, finit par détacher Kanna, et fit signe à deux hommes restés à côté, ses propres gardes de sécurité (si jamais l’un de ces mâles voudrait s’approcher d’elle) de venir l’aider.
«
Transportez-là dans la pièce d’à côté. Laissons Junko s’amuser... »
Kanna avait encore besoin de formation avant de véritablement devoir se faire à son rôle. Himeko suivit donc les deux hommes, qui transportèrent Kanna en la soulevant par les épaules et par les cuisses. Ils arrivèrent dans un petit salon, et, là, Himeko déshabilla intégralement Kanna, et sourit en voyant sa toison de poils le long de son sexe. Sa première action fut donc de l’épiler à cet endroit précis, ce qu’elle fit tranquillement et consciencieusement, puis elle passa ensuite aux choses sérieuses.
La femme était, non seulement perverse, mais aussi une redoutable experte en
kinbaku, l’art d’attacher les gens, le
bondage à la japonaise. Elle avait suivi de multiples formations pour pouvoir exceller dans ce domaine, et récupéra plusieurs cordes. La pièce dans laquelle elle était venue comprenait une série de boucles et de sangles au plafond et aux murs, et elle y fit passer plusieurs cordes, puis commença à s’exercer sur le corps de Kanna, les faisant passer le long de ses bras, de ses jambes, et de son corps.
Sous un tel traitement, Kanna ne put guère rester inconsciente longtemps, surtout quand Himeko enfonça un gode dans sa bouche, puis la remonta à l’aide d’un treuil relié aux cordes.
Finalement, le
résultat final était tout à fait réussi, et Himeko ne put que sourire. Elle avait encore une touche finale à faire, un gode à mettre dans la petite chatte de Kanna, et un autre dans ses fesses. La redoutable blonde s’approcha donc de la jeune fille, qui ne pouvait plus voir, à cause des cordes obstruant ses yeux, et caressa avec les deux godes, qu’elle tenait dans chacune de ses mains, le dos de la femme.
«
Bien dormi, ma petite chérie ? Ne t’inquiète pas, je compte encore m’occuper longuement de ton corps, car je sens que ton corps a encore très envie qu’on le prépare, et que je m’occupe de lui... »
Elle l’embrassa dans le creux du cou, et sourit en sentant les cordes vibrer quand Kanna bougea. Loin d’être désagréable, à terme, le frottement des cordes sur la peau pouvait même s’avérer excitant, mais, en ce moment, Himeko doutait que Kanna doive beaucoup s’amuser. La petite avait encore du mal à réaliser tout le traitement qu’elle subissait, alors Himeko vint à l’aider... En enfonçant les vibromasseurs, un dans le vagin, l’autre dans l’anus, les maintenant en les enfonçant bien... Puis appuya sur une télécommande, et fit vibrer les trois godes nichés en elle.
Trois godes... Pour trois fois plus de plaisir !
«
Vas-y, prends ton pied, ma chérie ! » l’encouragea même Himeko.
Après tout, c’était bien pour ça qu’elle était là !