Sous le sourire amusé et le regard pervers d’Himeko,
Kanna se faisait vigoureusement baiser par Junko, qui savait qu’elle ne devait pas semblant de lui faire l’amour. Si elle négligeait de bien la prendre, Himeko le leur ferait payer à toutes les deux. Junko voyait donc sa fille pleurer, gémir, se tortiller, déchirée par le fait de se faire prendre par sa mère, et Junko pleurait aussi en la prenant, en la pénétrant le plus fort possible, enfonçant jusqu’à la garde son gode. Himeko se surprenait même à rire, un rire cristallin, presque enfantin, mais qui ne faisait que trahir toute sa cruauté, et toute sa perversion.
«
Ka-Kanna, haaaa... Ma chérie, je... Je suis désooooléééééee... Hggggnnnnn... !! »
Junko n’avait jamais été une guerrière. Elle était une Japonaise traditionaliste, qui avait grandi en suivant une éducation rigoureuse et conservatrice, cette éducation où la finalité était de se marier, et de se sacrifier pour son mari. Junko n’avait jamais osé se rebeller, et, quand on avait menacé de l’envoyer à Bangkok, elle et sa fille, elle avait tout signé. Junko savait que ce que les Kedamono faisaient était horrible, mais c’était aussi le moindre mal. Son propre mari, le père de Kanna, les avait vendus comme esclaves, des cautions pour réussir à survivre, et à tenter, en vain, d’honorer ses dettes. C’était horrible, impensable au 21
ème siècle, mais c’était pourtant bien ce qui était arrivé. Elle et Kanna avaient perdu leur liberté, et Junko, en ce moment, se sacrifiait pour sa fille. Elle la violait, oui, mais, si elle avait refusé de le faire, Kanna aurait eu droit à un virulent gang-bang entre les habitants de la région. Ainsi, et de manière aussi horrible et cynique que ce soit, Junko était en train de la
protéger.
Himeko observait donc ce spectacle, en se mordillant les lèvres, et se déplaça encore un peu, en se redressant. Elle alla juste à côté des deux femmes, se penchant un peu vers Kanna, voyant la sueur perler sous son corps, tandis que le costume de Junko, ses lanières et ses cordes, crissaient contre sa peau. Elle haletait, et, soudain, la main gantée d’Himeko fila entre leurs cuisses, se faufilant sous la culotte de Junko, la surprenant... Puis Himeko retira ses doigts, en souriant, et les présenta à Kanna.
«
Regarde... Ta mère mouille ! Elle adore te pénétrer, et je ne peux que la comprendre... Tu es vraiment magnifique, ma chérie. Vous ferez de merveilleux sacrifices, toutes les deux... »
Aucun
kami ne viendrait en effet la sauver, car, si le
kami de la région les observait, il devait avoir une sacrée trique en ce moment. Himeko gifla alors les fesses de Junko, en souriant, et posa une main sur son menton, venant l’embrasser sur la bouche, fourrant sa langue dans sa bouche, tout en enfonçant son doigt contre la croupe de la femme, là où il y avait un
plug, niché en elle.
«
Allez, baise-là, et ne fais pas la feignante, petite chérie... »
Junko rougit et reprit ensuite, s’affalant presque sur Kanna. Himeko continuait à les regarder, à voir le corps de Kanna se dandiner sur le sol, puis finit par se déplacer à nouveau, désireuse de participer davantage.
«
Toutes les deux, vous êtes vraiment trop belles... Savoure, savoure, Kanna, ce n’est que le début d’un plaisir sans fin. »
Ses mains se posèrent sur les seins de Kanna, et elle les pinça, tout en s’asseyant sur le visage de la femme, venant frotter sa culotte contre elle, glissant sur son nez, cherchant à se masturber sur son nez ou sur son
gag-ball... Ce qui donnait
une position très spéciale, avec une Kanna qui était prise de partout.
«
Haaaa... Tu aimes ça, hein, salope ? Hahaha, c’est si bon, putain... !! »
Là, Himeko prenait vraiment son pied !