Rachel était un magnifique cadeau de la part des Tekhanes. Quand Abathur avait posé ses pattes, ses pinces, et ses tentacules sur la jeune femme, il avait vu qu’elle avait fait partie d’un projet scientifique militaire, soutenu par un homme, un homme suffisamment intelligent pour avoir réussi, à Tekhos, à obtenir un poste de choix, ce qui, en réalité, n’était pas donné pour les mâles : Hojo. Au-delà du plaisir procuré par ce moment, Sarah savait qu’elle allait devoir se méfier de cet homme, et de ces expériences. Rachel avait été un cobaye du Projet « L », « L » pour « Leurre », programme visant à injecter de l’ADN formien dans un corps humain, avec Dieu seul sait quelles applications concrètes. Améliorer les performances militaires ? Améliorer le taux de reproduction ? Ou permettre d’avoir de faux-Formiens, des femmes se faisant passer pour des Formiennes afin d’infiltrer la Fourmilière ? Pour Sarah, un tel projet semblait, de base, voué à l’échec, car l’ADN formien était très versatile, et, surtout, très parasitaire. Il agissait comme un cancer dans le corps humain, contaminant l’ensemble des cellules eucaryotes du corps, exactement comme un cancer le ferait, sauf que, chez les Formiens, ces contaminations entraînaient des mutations cellulaires. Ce projet était, pour l’heure, un projet farfelu, mais Kerrigan, qui connaissait l’ingéniosité humaine, savait qu’il faudrait se méfier. Hojo avait tout du professeur fou, mais elle ne se faisait pas d’illusions ; l’armée n’aurait pas confié à un mâle la gestion d’un laboratoire de recherches s’il n’était pas génial. En définitive, outre être une fantastique amante, Rachel était aussi une aide précieuse, l’ayant, bien involontairement, informé de certains projets tekhans.
Il n’y avait donc que des raisons de lui faire l’amour, et, sur ce point, Sarah se montrait particulièrement efficace et gourmande. Rachel, en réalité, était d’une incroyable beauté. Aussi belle que perverse, elle se dandinait entre Sarah et Irina, magnifiquement prise en sandwich, sa belle combinaison crissant contre leurs corps. Kerrigan l’admettait, la reproduction était l’une des composantes essentielles des Formiens, et elle-même baisait souvent longuement, et avec force, entrain, et appétit.
« Hmmmm... Rachel, haaa !! »
Elle l’invita à y aller doucement, chose toujours un peu difficile dans ce genre de moments. Craignait-elle pour ses bébés ? Oh, il n’y avait aucun risque, car ces derniers étaient très bien protégés dans le ventre maternel ! Et Irina, de son côté, serrait les dents en couinant. Comme Rachel, elle avait été incorporée récemment au sein de la Horde, mais on pouvait dire qu’elle se faisait très bien à son nouvel environnement, là encore, comme Rachel. Abathur, quand il avait pu étudier Rachel, avait fait accroître son gène formien, lui offrant ainsi la possibilité d’alterner entre une enveloppe humaine, et une enveloppe formienne. Du très grand art, révélant tous les talents du technogénéticien.
Rachel finit alors par comprimer ses muscles, et poussa en avant. Sarah se retrouva étalée sur le sol, et Irina, prenant alors Rachel en levrette, renforça ses coups de reins, crispant ses mains sur les fesses de la femme, s’y appuyant, tout en soupirant en la prenant. Sa verge disparaissait intégralement en elle, un magnifique mandrin de chair.
« Haaa... Rachel !! »
Sous elle, Sarah remuait effectivement lentement, et posa une main sur les cheveux de la femme, l’autre allant rejoindre Irina pour lui fesser et lui palper le cul. La salive de sa Formienne coula sur ses lèvres, et la Reine des Lames alla l’embrasser, pendant que sa combinaison, encore et encore, crissait sous les ébats forts. Irina se donnait à fond, généreusement, sa peau bleue se dandinant d’avant en arrière, sans que jamais son sexe ne ressorte trop du doucereux cul de Rachel.
« Hmmmm... !! »
Irina soupirait.
« Ouuuuiii, ouiiii, je... Je vais te b-baiser co-comme... Comme jamais, Raaaaachel !! »
Et elle ponctua cela d’une belle gifle, bien prononcée sur son cul, et continua à la prendre. Cette femme était d’une pure beauté.
La baiser, c’était un vrai délice !