Doutzen avait l’habitude d’obéir, et Aoki, tout en étant une belle femme, était aussi bien plus douce que les autres femmes que Reto employait pour la soumettre... Ou même Reto lui-même. Elle sentait qu’il y avait, en Aoki, malgré son autorité et sa perversion, une sorte de douceur innée, de gentillesse profonde envers les autres. Oh oui, elle était crue, et, quand elle parlait d’enfoncer son talon aiguille dans le cul d’une de ses élèves, Doutzen se doutait qu’elle l’avait
déjà fait... Mais elle savait aussi qu’il y avait autre chose derrière tout ça. Aoki n’agissait pas dans le but de faire souffrir ses élèves, mais bien parce qu’elle sentait qu’elles apprécieraient ça. Autrement dit, son « père » avait fait un très bon choix en optant pour elle. Aoki souleva sa tête, disant de l’appeler «
Maîtresse », puis termina en disant qu’elle allait lui faire un strip-tease.
Hochant lentement la tête, Doutz’ acquiesça. Aoki desserra ensuite ses jambes, et la jeune blonde put se relever, avant d’entendre autre chose sur ses sous-vêtements... Si elle avait des sous-vêtements rouges, Aoki la traiterait comme une pute, et, si elle avait un string, elle serait traitée... Comme une chienne. La nuance était subtile, et confirmait qu’Aoki avait un certain talent là-dedans. Oui, Doutz’ avait vu juste, et le petit sourire ravi qui alla sur ses lèvres, tandis qu’elle cherchait une musique d’ambiance, exprimait tout à fait cela. Les informations de Reto étaient justes. Quelque chose avait changé dans la vie d’Aoki, mais dominer ainsi des élèves lui manquait... Et ça, Doutzen pouvait le comprendre. La domination exerçait une sorte d’attrait terrible. Il était incroyablement gratifiant d’avoir
quelqu’un sous ses ordres, a fortiori quand cette personne était belle. Aoki donnait ses ordres, et Doutzen les suivait, en sentant une excitation lancinante remonter progressivement dans son corps.
*
Un strip-tease, donc...*
Reto lui avait déjà fait en faire, et elle avait appris à en faire auprès de strip-teaseuses travaillant pour lui. Doutzen se tenait donc au centre de la pièce, les bras ballants, et attendit que la musique démarre. Elle ferma les yeux, remit ses cheveux en arrière, puis commença à remuer. C’était une musique lente, douce, sensuelle et profonde, qui remontait progressivement, des gémissements féminins discrets s’échappant parfois le long des morceaux de musique. Yeux clos, elle commençait à remuer des hanches et des bras, se déplaçant sur elle-même, toujours dans sa tenue. Avant de se déshabiller, elle se devait de se laisser aller, et claqua dans ses doigts en se déplaçant. Elle tourbillonna sur elle-même, et, peu à peu, Doutzen s’emballait. La danse était une chose importante quand on voulait, comme elle, devenir une comédienne célèbre. Elle remuait de plus en plus, et, quand elle tournait sur elle-même, elle bombait ses fesses en arrière ou en avant, ou glissait encore ses mains dans ses cheveux, les soulevant. Aoki pouvait ainsi voir sa nuque, et Doutzen se retournait ensuite. Elle se penchait ensuite en avant, écartant les jambes, relevant la tête, en offrant ainsi à Aoki une belle vue sur son décolleté.
Elle se retrouva à glisser sur le sol, donnant des coups de reins de haut en bas, puis se releva, et continua à danser, en roulant des hanches, tout en déboutonnant, peu à peu, sa chemise et son jean, en profitant pour passer ses mains sur ses hanches et sur ses seins, gémissant à chaque fois qu’elle frottait ses seins.
«
Haaaannn... ! »
Peu à peu, elle se déshabillait, et fit sauter tous les boutons de sa chemise. Elle portait, sous sa tenue,
un soutien-gorge rouge et noir avec un string rouge à dentelle. Elle pivota sur elle-même, jusqu’à retirer son jean, et finit ainsi, en petite tenue, avant de danser sous les yeux d’Aoki, frottant son corps avec ses mains, n’hésitant pas à caresser son sexe, remuant le long de sa culotte, ses doigts creusant des plis sur son sous-vêtement en s’enfonçant, avant de se redresser, Doutzen allant alors les nettoyer en les suçant bruyamment.
«
Hummm... Haaaaa... !! »
Est-ce que sa danse plaisait à Maîtresse Aoki ?
Doutzen ne pouvait que l’espérer !