Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Doutzen Kroes le mercredi 05 février 2014, 01:39:02

Titre: Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 05 février 2014, 01:39:02
« Et bien, Doutz’, que signifie une telle timidité ? N’est-ce pas là ce que tu veux ? Ne m’occupe-je donc pas bien de toi ? »

Doutz’ rougit en baissant la tête, puis la hocha, de haut en bas, se mordillant les lèvres.

« Oui, Père... Je... Je vous suis infiniment reconnaissante de bien vouloir accepter de m’amener ici, mais... Ce n’est pas ça qui... »

Le père adoptif de Doutzen, Reto, hocha lentement la tête, en souriant, et posa une main sur la tête de Doutzen, la tapotant lentement. Sa fille rougit de plus belle, et se ratatina sur place, en se mordillant les lèvres. Le père et la fille étaient dans une salle d’attente d’un immeuble japonais, attendant que Kou-san arrive pour commencer un entretien. Doutz’ avait lu une annonce publicitaire dans un journal local, et avait réussi à en parler à Reto, en espérant que ce dernier aurait accepté. À sa surprise, et avoir l’avoir mis sur ses genoux pour la pénétrer, et avoir joui en elle, son père avait accepté de passer un rendez-vous. Doutzen avait été si heureuse qu’elle avait sans problème accepté de lui faire une fellation pendant qu’il mangeait. Reto n’était pas son père biologique, mais, aux yeux de la loi, il était considéré comme son père, depuis un jugement qui lui avait conféré l’adoption plénière, jugement reconnu au Japon, et donc adopté.

L’annonce que Doutzen avait trouvé concernait une jeune femme, une Japonaise dont la chevelure penchait vers le blond, ce qui était plutôt rare, Aoki Kou. Elle se définissait comme une « chercheuse de talents », et dirigeait une société ayant pour but de dénicher des talents potentiels dans le domaine artistique, ou dans celui des produits de beauté. Doutzen avait toujours rêvé d’être une artiste, comme Marilyn Monroe, qui avait toujours été son idole. Au lieu de ça, elle était devenue le petit chaperon rouge de Reto, un gangster travaillant pour le compte d’une mafia russe, et au nom de qui elle couchait avec quantité d’hommes, en profitant pour leur subtiliser des informations, ou les placer dans des situations embarrassantes. Cependant, elle n’avait pas encore oublié son rêve d’enfance : devenir une actrice, et avoir peut-être l’occasion, un jour, de se trouver à Hollywood, à subir la liesse de foule le long des grandes avenues de New York, comme Broadway.

Au Japon, l’âge de la majorité civile était fixé à 20 ans. Partant de ce principe, Reto s’était chargé d’appeler Kou-san, et avait indiqué que l’entrevue ne se ferait pas sans lui, car il tenait aux intérêts de sa fille. Le connaissant, Doutzen ne doutait pas qu’il avait du se renseigner sur cette Aoki Kou, et qu’il lui prévoyait une surprise. Quoiqu’il en soit, il avait tenu à ce que Doutzen se fasse belle pour cet entretien. Un maquillage discret sur les lèvres, des cheveux proprement coiffés, un parfum délicieux, et une belle robe rouge qui moulait ses formes. Elle avait aussi de belles bottes rouges sombres en cuir, et pas de collants. En revanche, faute d’une culotte classique, elle portait une sorte de ceinture avec deux godes enfoncés dans son corps (http://img98.xooimage.com/files/f/0/0/089-43b82cb.jpg). Si elle se tortillait sur la chaise, c’était tout simplement parce qu’elle sentait l’orgasme approcher, et se pinçait les lèvres. Reto en jouait, naturellement. Il portait un treillis militaire avec un débardeur blanc, permettant de voir qu’il était bien bâti, et une veste en cuir.

« Nous avons rendez-vous avec Kou-san pour 11h30... Et il est 11h32... Je te conseille de jouir rapidement. »

Ils étaient seuls dans la salle d’attente. Doutzen se pinça les lèvres, toute rouge, continuant à se tortiller, sans avoir le droit de se toucher. Reto le lui avait formellement interdit. Elle se détendit d’un coup, basculant sa tête en arrière, gémissant alors, avant de, lentement, réussir enfin à jouir. En soupirant faiblement, et en poussant un bref cri, elle balança sa mouille, puis se releva, en soupirant lentement.

« Voilà... Comme ça, tu dois te sentir mieux, non ?
 -  Ou... Oui, Père... Merci... »

Reto sourit lentement. Que manigançait-il donc ?

« Mais de rien. Il ne reste maintenant plus qu’à attendre cette chère femme. »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 25 février 2014, 21:49:19
Pour Aoki, cette journée était une journée comme une autre, elle avait déjà bon nombre de rendez-vous aujourd'hui, un emploie du temps assez chargé. Plusieurs entretiens, quelques castings et séance de shoot – un terme de photographe car il tire en rafale avec sa pellicule sur le modèle – et même quelques coups de fils important pour tenter de décrocher une ou deux places pour une émission télé de jeunes talents. C'est ce genre de choses qui frappe plus rapidement les gens et facilitent la montée de ses petites starlettes. De nos jours, avec internet, les plates-formes de partagent et les réseaux sociaux, il suffit d'une bonne chanson, voix ou d'une grande beauté pour faire le tour de la toile et propulser sa carrière. C'est même encore mieux si la personne a les trois réunis. Car si de nombreuses filles se précipitent vers la boîte où elle bosse pour devenir une idol, il y a aussi des hommes, jeunes ou plus de son âge, idem pour les femmes d'ailleurs. Mais bon, il est vrai que chez Aoi Kitsune, il y a facilement quatre-vingt voire quatre-vingt-cinq pourcents de femmes. Cette matinée, ça a été une mise au point de la carrière d'une demoiselle qui commençait à doucement grimper les échelons. Elle avait du potentiel, ses dernières photos dans un des magazines en vogue lui ont valu d'autres séances dans d'autres publications dont une Américaine! C'est assez rare de décrocher rapidement ce genre de photo à l'étranger mais c'est un plus pour sa carrière. C'est sur! En général il faut que la personne soit très connu pour avoir à quelques séances de photos à l'étranger ou pour un magazine étranger mais ni Aoki, ni son élève ne vont se plaindre.

Rapidement, midi approchait et en dernier rendez-vous, elle avait une candidate à examiner. Si son agence décroche quelques numéros dans les rues, par le biais de quelques publicités, certaines personnes y voit une chance et viennent d'elles-même. Parfois ce n'est qu'une perte de temps face à la ligne de beauté à avoir selon la tendance, la génération, le B.A.BA de la mode actuel mais parfois, elle rencontrait des personnes qui ignoraient tout leur potentiel. Elle redoutait un peu ce rendez-vous car c'était par elle ne sera pas seule avec la jeune femme mais aussi avec son père. En général, soit ce sont des pères qui ont accepté de les emmener mais refuse que ça aille plus loin qu'une entrevue ou au contraire, pour eux, leur fille est la plus belle des jeunes de nos jours et elle doit devenir célèbre. Parfois d'une bonne intention car ils n'ont d'yeux que pour leur fille, parfois en voulant récolter le maximum d'argent sur le dos de leur enfant. En général, c'était souvent les mères aussi qui avaient ce syndrome de se croire à la place de leur fille. Les séances photos, les interviews, les castings, elles forçaient leur fille à avoir ce qu'elles n'ont jamais eut. Et en général, la fille fini par se lasser, ce qui est dommage parfois. Arrivant avec un léger retard à son rendez-vous, elle tenait un gobelet de café à la main pour reprendre un peu de force en arrivant dans la salle d'attente, elle avait reçu un avertissement sur son portable car le « père » était assez louche. Oui, il lui arrivait aussi d'avoir ce genre de « papa » ou d'oncle ou même grand frère parfois.

Elle arriva dans la salle, la jeune femme en rouge, élégante et mignonne à première vue et le fameux papa. Oui, elle voit ce qu'on lui disait. Cette allure, quel père irait amener sa fille comme ça? Soit un type qui espère montrer le fruit de son entrainement ou ça pouvait être un mafieux, un yakuza? Mais en général, ils sont plutôt bien habillés. Oui, parfois les yakuzas tentaient de mener une carrière à une fille qu'ils « possèdent » pour rafler en gros quatre-vingt-dix-neuf de ses gains pour l'exploiter et lui laisser les miettes. Mais la maison avait pour but de ne pas travailler avec eux. Enfin, elle aura bien sa réponse plus tard. Dans un tailleur élégant et noir avec une chemise blanche, elle avait détaché les deux boutons du haut à force de travailler sans que cela soit aguichant ou vulgaire. Sous sa jupe, une paire de collants classiques avec des petites chaussures pour travailler. Avec ses lunettes sur le nez pour finir. Elle se rapprocha en venant saluer cet homme d'une petite poignée de main, en faisant de même pour la jeune femme avec un sourire plus affiché. C'était elle qui venait la voir, pas lui.

« Bonjour mademoiselle, je suis Aoki Kou, veuillez me suivre dans mon bureau, nous allons discuter. »

Elle ne le précisait pas mais l'homme pouvait les suivre. Il était rare qu'en général, les autres restent ici à se tourner les pouces. Passant dans un couloir, elle arriva au bout, les faisant entrer en les invitant à s'asseoir sur deux fauteuils confortables. Elle possédait un beau bureau blanc, un ordinateur posé dessus, quelques meubles qui contenaient surtout des dossiers, une ou deux babioles sans importance et un cadre numérique avec une photo de Rex et Kumaneko, ses animaux de compagnie. Bien sur, si l'on appuyait avec la télécommande, la photo se changeait pour laisser une photo de Félicia apparaître, sa belle Américaine qui dormait paisiblement. Un des rares clichés qu'elle avait d'elle. Ça ne faisait qu'un mois qu'elle ne la connaissait mais elle l'avait dans la peau! Son fauteuil était plus confortable mais s'ils vont rester sur le leur une heure au maximum aujourd'hui, elle, elle passait parfois sa journée dessus. Posant son gobelet en buvant une dernière gorgée, elle sortait le dossier bien mince de la jeune femme pour le moment. Un simple formulaire sur ses motivations et quelques informations personnelles. Observant le nom, elle leva les yeux vers la jeune femme.

« Doutzen Kroes, c'est bien ça? Je ne le prononce pas mal? C'est de quelle origine? »

Simple curiosité, des étrangères au Japon, c'était plutôt apprécier. Une belle jeune blonde aux yeux bleus, ils ne seront pas venue pour rien, c'est sur! Pourtant, elle n'était pas si étrangère? Elle avait les yeux bridée mais bleus, très rares mais en plus, ses cheveux viraient vers le blond, une beauté naturelle ou simple coloration? Elle devrait analyser cela de plus près mais pas tout de suite. Elle laissait quelques pauses entre ses questions pour leur laisser le temps de réponse. Elle espérait surtout entendre Doutzen mais dans ce genre de situation, elle se doutait que ce serait son « père » qui va surtout parler. Aoki tentait de lire entre les lignes pour en apprendre un peu plus sur cette fiche. Sur la carrière vers laquelle se diriger, Actrice était inscrit. Une future star? Cela pouvait se faire. La beauté seule ne comptait pas, il fallait des talents en plus sinon, le cinéma ne compterait que sur les beaux visages.

« Je vois que vous souhaitiez devenir actrice. Juste pour le Japon ou l'international? »

Bien entendu, le second choix était plus compliqué, devant parfois parler une seconde langue, l'Anglais le plus souvent mais en plus les choses étaient différentes.

« Avez-vous déjà pris des cours de théâtre, des notions de bases, une quelconque expérience, ce genre de chose? Rassurez-vous, ce n'est pas forcément une mauvaise chose, ça me permet simplement de voir ce que je pourrais être amené à prévoir pour vous. »

Dans ce simple rendez-vous, elle avait prévu d'autres choses, pas seulement bavarder mais chaque chose en son temps.

« Avez-vous soif d'ailleurs? Je peux vous apporter un peu d'eau, du thé, du café peut-être? »

Elle aurait dû commencer par cela mais quand Aoki travaille, elle pense d'abord à ça. Après tout, la jeune femme n'était pas un peu... pas trac?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 27 février 2014, 01:44:52
Doutzen sentit les godes enfoncés en elle se détendre. Ils étaient rétractables, et son père se montra visiblement suffisamment bon prince pour les retirer. Il appuya sur un bouton de sa petite télécommande, et, dans un léger soupir, la jeune femme se retrouva un peu plus libre. La culotte était cependant trempée par sa mouille. Jadis, elle avait toujours trouvé ça assez inconfortable, comme se faire pisser dessus, et, quand elle l’avait dit à son père, il avait attendu qu’elle ait envie d’aller aux toilettes. Reto était un homme patient, et il éduquait sa fille de manière très simple. Aussi avait-il attendu, et, quand Doutz’ avait voulu aller au petit coin, il le lui avait interdit. Doutzen s’en souvenait encore, tant elle avait été gênée. Il lui avait ordonné de se pisser dessus. Elle était restée plantée devant lui pendant un temps indéterminé, la tête basse, les joues rouges, essayant de se retenir... Mais, plus le temps passait, et plus l’envie était forte, jusqu’à lui faire mal à l’estomac, comme si ça remontait dans son corps. Elle s’était retenue de pleurer ou de supplier, car elle savait que son père n’aimait pas ça, et qu’il la giflait à chaque fois qu’elle pleurait sans raison... Or, une gifle de Reto, ce n’était pas une petite taloche sur le bout des fesses, ça vous remontait dans tout le corps et Doutz’ tombait sur le sol, avec la marque des mains de son père sur sa joue. Elle s’était donc retenue, gémissant silencieusement... Et avait bien du obtempérer, son père ayant été intransigeant. Elle avait ainsi pu sentir la différence entre l’urine et la cyprine. Depuis cette époque, il fallait bien reconnaître que ça la dérangeait moins. L’urine la brûlait, un liquide acide, mais elle avait retenu la leçon.

Elle ne comprenait pas ce qu’elle faisait là, ni ce que son père recherchait. Reto n’était pas un homme à agir de manière impromptue. Derrière ses muscles et son appétit sexuel prononcé, il était aussi un calculateur, un manipulateur, quelqu’un qui réfléchissait beaucoup. Il ne gagnait pas à ce que sa petite Doutzen soit connue. Si cette dernière venait à dire tout ce que son « père » lui avait fait, il finirait en prison, et il le savait. Pourtant, ils étaient bien là, et, s’il avait retiré du corps de Doutzen les vibromasseurs, c’était pour que cette dernière soit plus calme face à la dame qui viendrait les recevoir... Ou pour les remettre plus tard. Comment savoir ? Reto faisait partie d’une importante mafia, et sa spécialité concernait les secrets, les chantages. Il adorait faire ça, que ce soit en menaçant une personne de briser sa vie, ou de lui briser les os. C’était un tueur, et il effrayait Doutzen... Pour autant, la peur n’était pas la seule chose qu’elle ressentait face à son geôlier. Il y avait autre chose, un sentiment plus diffus, plus ténu, plus obscur, quelque chose qu’elle n’arrivait pas clairement à exprimer, et qui la terrifiait. Elle ne cherchait donc pas à rentrer dans les détails de ses propres sentiments, au risque d’y voir des choses qui ne lui plairaient pas.

Mademoiselle Aoki Kou ne tarda pas à entrer, et Doutz’ la salua poliment, à la japonaise, se redressant, et inclinant le buste, tandis que Reto se contentait d’un léger sourire et d’une poignée de mains. Doutzen le regarda brièvement, et put voir qu’il observait les fesses de la femme, alors qu’elle avançait devant eux pour les conduire vers son bureau. Il loucha pendant plusieurs secondes sur son cul, en se disant que cette femme était superbe, et qu’il l’aurait bien croqué. Le duo suivit la jeune femme, et Doutzen s’assit dans un fauteuil, laissant son père parler. Elle était nerveuse, intimidée, car elle redoutait ce qui allait se passer. Aoki était plutôt belle, et elle était maintenant convaincue que ce n’était pas par hasard que Reto l’avait conduite ici. Quel plan avait-il en tête ?

Il répondit aux informations demandées par Aoki.

« Doutz’ et moi venons d’Europe de l’Est. »

Il expliqua que sa fille avait des racines eurasiatiques, ce qui expliquait pourquoi elle était blonde, tout en ayant des yeux légèrement bridés. Au croisement des civilisations, les pays de l’Eurasie donnaient parfois lieu à des individus ayant un physique occidental ou arabe, tout en ayant les yeux bridés. Il suffisait de voir l’actuel Président d’Ouzbékistan pour le réaliser.

« Et vous prononcez bien mon nom, Madame » intervint Doutzen.

Elle savait qu’elle ne devait pas paraître trop intimidée, afin de ne pas donner l’idée que Reto était pour elle un tortionnaire. Doutz’ avait bien compris la leçon, et son père payait cher tout comportement qu’il assimilait à de l’incivilité. Aoki posa ensuite des questions sur son expérience personnelle, et ce fut, à nouveau, Reto qui répondit :

« Ma fille a participé à quelques cours de théâtre en étant au pays, avant que nous ne déménagions au Japon. On a toujours dit qu’elle avait un certain talent pour l’improvisation et le théâtre. »

C’était vrai, mais on ne pouvait tout de même pas dire qu’elle faisait office de prostituée de luxe, afin de subtiliser des informations auprès d’individus que Reto et ses alliés avaient dans leur ligne de mire. Aoki leur proposa ensuite un rafraîchissement, et ce fut le moment que Doutz’ choisit pour une petite confidence :

« J’ai toujours eu envie d’être comme Marilyn Monroe... lâcha alors Doutz’, en fixant ses pieds, avant de regarder Aoki. C’était mon idole quand j’étais petite, j’avais même un poster dans ma chambre d’elle !
 -  Et tu l’as toujours, répliqua Reto en lui caressant les cheveux, un geste d’affection qui fit frissonner Doutz’. Que voulez-vous, je suis un admirateur de cette époque où les stars de cinéma de sexe féminin n’étaient pas obligées de tourner en sous-vêtements, et où leur simple présence suffisait à illustrer leur beauté. Alors, quand je vois ma petite Doutzen, je me dis qu’elle ressemble plus à Rita Hayworth qu’à toutes ces putes siliconées et hollywoodiennes comme Megan Fox. »

Il avait dit un gros mot devant Aoki, et il y avait beaucoup d’hypocrisie dans ce que l’homme disait. La Mafia russe faisait dans la prostitution, et la garde-robe de Doutzen comprenait beaucoup de tenues en latex. Cependant, en un sens, il disait vrai. Les tenues de Doutz’ étaient assez complexes, ne se résumant pas qu’à un morceau de string sur le corps.

« Et nous n’avons pas soif, non, mais je vous remercie de votre hospitalité. Vous l’aurez compris, je nourris de grands espoirs pour ma fille. Elle a un talent indéniable, même si elle est trop timide pour oser se l’avouer. Tous les garçons du lycée lui tournent autour, c’est vous dire ! Aussi aimerais-je savoir précisément ce que vous proposez, et comment vous comptez la former, ou la faire connaître. »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 27 mars 2014, 21:36:33
Pour Aoki, elle avait dans son bureau une ravissante jeune femme avec qui, elle pourrait surement en tiré quelque chose, pour le cinéma même mais bon, ce ne sera pas une mince affaire. Et à côté, elle avait un père qui semblait un peu trop répondre pour Doutzen. Elle pouvait comprendre sa timidité ou sa gêne mais elle n'était pas là que pour parler, cet entretien était aussi un test pour en apprendre plus sur elle et pas depuis les lèvres de son père. La jeune femme resta silencieuse et calme mais Aoki en avait vu plus d'une dans sa carrière et même si ce point semble être un défaut pour toutes celles qui se disent que c'est un frein, c'est vrai. Mais ça se guérit heureusement. Aoki observa la jeune femme lui parler de cette célèbre actrice Américaine des débuts du cinéma. Américaine... elle ne put s'empêche d'avoir une pensée pour Félicia. Non pas dans une robe blanche comme Marilyn Monroe, ça ne lui irait pas vraiment mais bon, elle avait le droit de fantasmer sur elle même en entretien quand même. Une nouvelle fois son père ramena sa fraise mais il ne disait pas tellement de mensonge. C'est vrai que de nos jours, certaines choses se perdent et Aoki était plus pour un cinéma qui favorisait l'imagination, l'érotisme que dévoilé directement un sein ou même une fille nue pour faire vendre.

« Que voulez-vous, les valeurs changent malheureusement. Mais je vous prierais d'avoir un minimum de politesse ici, surveiller donc votre langage à présent. »

Elle ne disait pas ça par méchanceté, il n'y avait pas l'ombre d'une agression dans sa voix ou son regard mais Aoki n'aimait pas la grossièreté gratuite. Sous l'émotion, la colère, elle comprenait, même au lit mais là, il n'y a rien de tout cela. Mais le père de Doutzen vint à vouloir en savoir plus sur sa façon de faire, qui doit-elle promouvoir? Doutzen ou Reto? Elle n'aimait pas cela, elle avait clairement l'impression que c'est lui qui force presque sa fille et non elle qui décide de se lancer. Autant mettre les choses au clair tout de suite, cela évitera les quiproquos par la suite.

« Je peux rien dire de toute la phase car tout dépendra de Doutzen et de ses talents. Mais dans un premier temps, ce sera surtout des séances de photos, quelques shoots avec l'un de nos photographes sous diverses facettes, expressions faciales, éventuellement devant une caméra afin de la promouvoir dans toutes les boîtes aux alentours, pas forcément ceux et celles qui recherchent ce genre de personne bien précis. Et de là, tout viendra ensuite. En attendant la première offre qui pourrait faire démarrer sa carrière, nous n'allons pas rester les bras croiser, cours de théâtre principalement, divers conseils avec d'autres des personnes que nous avons pu lancer afin de la conseiller, de lui retirer certains doutes mais il y a un temps et un lieu pour chaque chose. Bien entendu, il est très probable que dans un premier temps, ce ne soit que de la figuration ou une simple apparition avec une phrase ou deux avec de la chance pour une série, une sitcom. Je pense pas qu'un studio de cinéma nous contacte dès le début mais ça peut quand même arrivée. »

Oui, il ne faut pas croire que sous prétexte qu'elle passe les premières étapes ici, elle va être sur toutes les affiches et qu'elle soit demain dans une grosse production Américaine. Ça, c'est fantasmer. Néanmoins, il était temps pour Aoki d'avoir quelques doutes en moins, quelques petites choses qui lui font dire qu'elle mise sur la bonne personne.

« Maintenant, je demanderais votre silence Monsieur Kroes et laisser Doutzen parler, en me regardant, seulement moi, Doutzen. » Une fois son regard dans celui de la jeune demoiselle, elle remonta sa paire de lunettes du bout des doigts avant de lui parler. « Sache que ce ne sera pas une partie de plaisir, il se peut que tu sois sur les planches du matin au soir à répéter et répéter encore et encore, que tu ne décroches rien de bien solide dans un premier temps. Ce ne sera pas simple mais j'ai besoin de savoir si tu es qualifié pour ça, que tu as assez d'énergie à revendre pour ça, que tu ait la rage de continuer et de persévérer malgré tout. Tu penses en être capable? »

Lui expliquer ce qu'elle voulait, ce qu'Aoki voulait obtenir de cette jeune femme et finir par une question, sur un doute? Doutzen va-t-elle avoir les tripes de dire oui, de la convaincre ou bien va-t-elle hésiter? Il y avait du vrai mais aussi du faux dans ce qu'elle disait. Vu son minois, même si c'est de la figuration Doutzen ne sera pas inaperçue bien longtemps dans le milieu avant qu'elle ne trouve plusieurs réponses aux CV de Doutzen envoyé à droite et à gauche. Mais maintenant, elle avait besoin de la réponse Doutzen, pas de Reto. Alors, qu'avait la belle à lui répondre?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le samedi 29 mars 2014, 02:23:32
Reto n’appréciait guère que cette femme lui donne des ordres. De manière générale, il n’avait jamais aimé qu’on lui donne des ordres, et encore moins qu’on le contredise. Pour lui, il était désormais sûr qu’Aoki allait passer sous le bureau. Soucieux de ne pas provoquer de suite un esclandre, Reto se tut, tandis que Doutz’, elle, se sentait mal à l’aise. Elle connaissait suffisamment son « père » pour savoir qu’il n’aimait pas qu’on le contredise, que ça vienne des femmes, ou de ses hommes. C’était un dominateur, un conquérant, et ce genre de personnes n’aimaient pas qu’on leur rappelle qu’ils n’avaient pas forcément toujours raison. Aoki essayait juste de lui rappeler que c’était l’audition de Doutzen Kroes, pas celle de Reto Kroes. Et Reto, quand bien même il avait furieusement envie de fourrer sa queue dans la bouche de cette salope, se devait d’attendre. Ah, elle n’aimait pas les insultes ? Et bien, elle allait être servie sous peu !

« Ce ne sera pas simple mais j'ai besoin de savoir si tu es qualifiée pour ça, que tu as assez d'énergie à revendre pour ça, que tu ait la rage de continuer et de persévérer malgré tout. Tu penses en être capable ? »

Doutz’ la regardait dans les yeux, et hocha lentement la tête, de haut en bas, tout en joignant ses mains entre elles. Si Reto avait pu parler, il lui aurait dit que Doutz’ venait d’Europe de l’Est, et qu’elle avait affronté suffisamment de trucs pour faire passer cet entretien pour de la franche rigolade. Elle était silencieuse, certes, mais ça ne signifiait pas qu’elle était faible. C’était Reto qui se chargeait de l’éduquer, après tout, de lui apprendre la vie. Bref, faire ce que tout bon père de famille se devait de faire avec sa fille.

« Oui, je peux le faire..., dit Doutzen, d’une voix calme et douce. Je... Je n’ai pas peur de la critique, Kou-senpai. »

Le ton était très respectueux. Doutz’ savait que les Japonais étaient à cheval sur la politesse, et que cette dernière s’exprimait notamment par le biais des suffixes. Elle ne saluait pas à l’occidentale, comme elle le faisait depuis l’enfance, mais bien à la japonaise, c’est-à-dire en ajoutant au nom de famille de la personne un suffixe, le suffixe indiquant la relation qu’on souhaitait entretenir avec l’interlocuteur. Senpai, c’était un terme très solennel, celui qu’on utilisait pour désigner un supérieur hiérarchique... Ou que Doutz’ utilisait pour désigner son « père », en public.

« Tout ce que je veux, c’est avoir une chance d’être reconnue, de briller dans les étoiles. C’est un sentiment égoïste, je sais, mais c’est ce que je veux. J’aime... J’aime ça, tout simplement. Le cinéma, le théâtre, jouer un rôle, incarner quelqu’un. Je veux amuser les gens, je veux leur donner l’occasion, pendant une ou deux heures, de pouvoir s’évader avec moi de notre monde, et de goûter aux joies d’un monde imaginé et maîtrisé, de goûter à un univers qui les captivera, leur videra l’esprit, et leur permettra d’aller mieux. »

Doutz’ se tut ensuite. Reto tendit une main, et lui caressa tendrement les cheveux. Elle soupira légèrement, se rappelant les fois où il faisait ça pour pousser ensuite la tête de sa « fille », et ainsi l’amener entre ses cuisses. S’évader pendant quelques heures... Reto avait bien un moyen de lui proposer de faire ça, mais il préférait ne rien dire, afin qu’Aoki ne monte pas sur ses grands chevaux. Quelle belle hypocrisie, en un sens ! Il savait ce que cette dernière faisait avec ses élèves, il avait vu des images. S’il le voulait, il pouvait déclencher un véritable scandale, et imaginait de là les gros titres racoleurs de la presse pour dénoncer une Japonaise qui, sous prétexte d’entraîner de jeunes femmes à devenir des actrices, couchait avec elles. La presse se ferait une joie de faire un amalgame entre le sexe et le showbiz, de surfer sur les thèmes classiques du sexisme et de la discrimination sexuelle.

Reto finit par reprendre, en se raclant la gorge.

« Comprenez bien que ma fille est timide, et a du mal à admettre ses propres qualités. Elle s’entraîne depuis des années. Ce truc, ça, c’est ce qu’elle souhaite faire... C’est sa passion. Et, quand on a une passion, on y met toute l’énergie du monde, vous ne pensez pas ? »

Il y avait un double sens derrière cette phrase.

« Ne doutez pas des capacités de ma fille, ou de sa résistance. Quand il s’agit de faire plaisir aux autres, elle est toujours particulièrement dévouée. »

Et lui-même se sentait l’âme particulièrement dévouée pour déboîter les fesses de cette femme.

Après tout, on ne pouvait pas dire à Reto de se taire, et croire que ça allait passer tout seul.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 30 avril 2014, 22:58:51
Le père de Doutzen et Aoki ne seraient pas fait pour s'entendre. De son côté, elle n'avait rien contre lui bien qu'elle le trouve légèrement étrange mais c'était son attitude à toujours vouloir répondre à la place de sa fille qui la dérangeait. Devait-elle promouvoir Doutzen ou Reto? Elle avait posé une question simple à la jeune femme, un peu pour l'effrayer peut-être mais justement, elle avait besoin de savoir si cette fille avait des tripes et qu'elle n'avait pas peur d'avoir quelques embuches sur sa route. Car si elle s'attendait à tout avoir sur un plateau qui ne demandait qu'elle pour choisir le film où elle veut tourner, elle peut quitter son bureau. Comme on dit, on n'a rien sans rien. Sa première réponse fut courte mais Aoki avait sa réponse. Cependant, la jeune femme rajouta certaines choses qui prouvaient que la demoiselle connaissait son sujet. Elle n'était pas venue ici simplement car elle avait vu une annonce intéressante. Cela dit, son père reprit rapidement la parole et dans un premier temps, ce n'était que quelques compliments envers sa fille, un message pour dire qu'il croyait en elle. Mais rapidement, son ton semblait étrange... Oui, y mettre toute son énergie dans sa passion était un point important pour réussir car si on fait cela pour avoir un beau chèque, pas sur qu'une belle gueule suffise à faire un bon film. C'était surtout sa dernière phrase qui était très tendancieuse. Aoki reconnaît qu'elle pourrait coucher avec Doutzen, elle était mignonne, certes pas autant que Félicia mais elle avait son charme. Mais il y a une différence entre deux personnes différentes et un père et sa fille, même si la jeune femme penche plus vers une adoption... une adoption étrange...

Mais bon, elle se fait peut-être quelques idées tout simplement? Elle préféra éviter ce sujet et elle médita plutôt sur les futures choses à faire avec elle pour se débarrasser de lui car un entretien avec lui, passe encore mais une journée avec un type pareil sur ses talons, elle risquerait la faute professionnelle en giflant un type pareil.

« Très bien Doutzen, cela m'a convaincu. Je te laisserais partir ensuite mais avant cela, j'aurais une dernière chose à te faire faire. Tu peux aller te placer devant ce mur? »

Elle indiqua son mur blanc, un coin dégager sans aucune plante ou meuble ni même de cadre, un véritable fond blanc. Aoki se leva à son tour en sortant une petite caméra ainsi qu'un pied pour le déposer, non loin de son bureau. Elle emporta le tour pour le placer en face de la demoiselle, plus proche du mur en face d'elle a vrai dire.

« Tiens-toi droite pour commencer en regardant vers moi, un ton neutre pour commencer. »

Le but étant d'avoir le plus de cliché possible ensuite à proposer à divers photographes travaillant avec eux pour en faire un Book et ensuite épaissir son dossier avant de faire le tour des petites boîtes de tournages dans les alentours. Pub, séries, films, il y avait un peu de tout avec un petit ou un gros budget. Elle lui demanda d'en faire de même sur les côtés et même de dos avant qu'elle ne revienne de face, Aoki en profita pour zoomer sur son visage, ce sera la partie plus importante à présent.

« Très bien. Maintenant Doutzen, j'aimerais que tu prenne différentes expression que je vais te dicter. »

Continuant, elle lui demanda d'abord la joie puis la tristesse, la surprise puis la peur pour passer à la fatigue et l'inquiétude avant de finir avec l'euphorie. Aoki éteignit sa caméra en souriant.

« Tu as un très beau sourire. Je pense qu'insister sur cette carte à l'avenir pourrait nous ouvrir quelques portes en plus ou en faciliter l'ouverture de certaines. Je ne vais pas vous retenir plus longtemps. Ceci étant que l'entretien, ça ne sert à rien de rester plus longtemps ici. J'ai votre dossier à monter avant de voir avec certains photographes de disponibles pour fixer un rendez-vous et une fois qu'on aura quelques séries de clichés, ton emploi du temps risque d'être plus occupé que cela. À présent, je n'aurais besoin que d'un numéro de téléphone pour pouvoir vous contacter un peu plus tard. Doutzen, tu as un portable ou bien je dois voir cela avec ton père? »

Elle pencha pour la seconde option, étrangement... Elle devait bientôt prendre sa pause pour déjeuner et comme elle l'avait dit, monter son dossier, cela pouvait être plus ou moins rapide selon les plannings de leurs partenaires. De même pour le contrat, elle lui montrera cela plus tard. Une fois le numéro pour les contacter, elle tendit d'abord sa main vers Doutzen en lui souriant, elle était peut-être sa future star. Puis vers son père, souriante toujours mais le coeur y était moins, c'est évident.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 02 mai 2014, 03:04:40
Reto sentait que cette femme ne l’aimait pas... Mais ce n’était pas grave. Elle était sûrement plus attirée par les femmes que par les hommes, et il ne pouvait pas trop lui en vouloir. Reto savait qu’il n’était pas vraiment un chouette type, après tout. Pas vraiment le prince charmant dont toutes les gamines écervelées rêvaient, mais il n’avait jamais prétendu l’être. Il se rapprochait plus du méchant des films Disney, et ce rôle lui convenait très bien. On abusait toujours d’un gentil, jamais d’un méchant. Il sentait qu’Aoki avait peur de lui... Et elle avait raison. C’était à croire que Reto inspirait naturellement la crainte. Doutz’, elle, était un peu plus rassurée, mais c’était aussi parce qu’elle savait de quoi Reto était capable, et que, si elle se mettait à paniquer, il n’hésiterait pas à violer Aoki contre le bureau. En attendant, Aoki demanda à Doutz’ de prendre une série de clichés contre le mur, afin de lui faire un book, et la jeune femme obtempéra, prenant des photos de profil, de face, l’air souriant, mélancolique... Elle était beaucoup plus belle quand elle prenait des photos de face, fronçant alors les sourcils, une partie de son visage cachée par sa frange. Elle prit également une photo avec un doigt sur ses lèvres, variant tout simplement les portraits. Assis sur sa chaise, Reto luttait pour ne pas bander, tout en conservant en tête les informations qu’il avait sur Aoki. La belle Japonaise allait rapidement déchanter quand il se déciderait à passer aux choses sérieuses avec elle.

La séance de photos dura un quart d’heure, et on pouvait lire un sincère plaisir dans les yeux de Doutz’. Elle ignorait ce que voulait son père, mais la simple idée de devenir une actrice faisait palpiter son cœur de joie. Elle se mordilla les lèvres en retournant s’asseoir, tandis qu’Aoki lui avoua qu’elle s’en sortait très bien avec les sourires. Voilà un compliment qui faisait plaisir. Aoki avait un dossier à monter, mais leur assura que l’entretien était terminé, mais qu’elle désirait avoir un numéro de téléphone pour reprendre contact avec eux. Reto n’était pas assez idiot pour ne pas deviner le sous-entendu derrière

« Doutzen, tu as un portable ou bien je dois voir cela avec ton père ? »

Doutz’ regarda légèrement son père, et répondit :

« Je... Euh... J’ai un portable, mais...
 -  J’ai un droit de regard sur ses contacts, surtout professionnels... Comprenez bien que je ne l’espionne pas, non, ma petite Doutz’ a droit à son intimité, mais je tiens à savoir quelles sont ses fréquentations. On rencontre tellement de mauvaises personnes, de nos jours, avec Internet. Je sais que je suis un père plutôt envahissant, mais je tiens à protéger ma fille. Elle ignore à quel point elle est belle, et à quel point ceci peut lui porter préjudice. »

C’était une interprétation grossière et mensongère. Reto était un vrai pervers, qui n’hésitait pas à inscrire sa fille à des sites de rencontre en ligne pour qu’elle se fasse sauter par des inconnus. Mais ça, Aoki ne pouvait pas le savoir, pas vrai ? Reto s’éclaircit la gorge, avant de reprendre, sur un ton calme et posé :

« Donne-lui ton numéro personnel, ma Doutz-chérie... »

Il lui caressa tendrement les cheveux, et Doutzen obtempéra.

« Bien... Attends-moi dehors, Doutz’, j’aimerais m’entretenir avec Kou-san, si tu n’y vois pas d’inconvénients. »

Doutzen n’en voyait pas, et elle se releva, puis salua Aoki, la remerciant de lui accorder son temps libre, et de sa sollicitude. Elle sortit ensuite du bureau, et Reto s’adressa ensuite à Aoki.

« Doutz’ a perdu sa mère, vous savez... C’est pour ça que nous sommes proches, elle et moi... J’essaie de l’éduquer comme je peux, et elle a toujours voulu faire actrice. Malheureusement, il y a bien des choses qu’un homme comme moi ne peut pas lui apprendre... Aussi est-ce pour ça que j’ai décidé de m’adresser à vous, car on m’a dit que vous offriez à vos candidats des aptitudes tout à fait particulières... »

Que sous-entendait-il par là ? Les choses sérieuses étaient en train de commencer, et Reto n’était nullement inquiet. Il reprit, après avoir ménagé une courte pause :

« Doutzen rêve réellement d’être une actrice, et je souhaite sincèrement que vous l’aidiez en ce sens, Mlle Kou... Mais il n’y a pas que cela que j’attends de vous. »

Comprendrait-elle où il voudrait en venir ? Il espérait ne pas avoir à être violent, mais, au cas où, il n’hésiterait pas à l’assommer afin qu’elle puisse se calmer, ou vociférer sa haine dans un endroit plus tranquille... Un endroit où on ne risquait pas de l’entendre.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 10 juin 2014, 21:47:18
Aoki avait facilement remarqué le potentiel de Doutzen. Oui, elle était débutante mais n'importe qui sait voir l'avenir. Un sculpteur sait y voir une œuvre d'art dans un simple bloc de pierre, un peintre voit son avenir sous mille couleurs sur une simple toile, un musicien à un discours fascinant en caressant son instrument.. N'importe quel autre agent aurait vu cela en Doutzen, que ce soit de sa boîte ou d'un concurrent. Elle avait ce don naturel d'attirer le regard par sa beauté, sa timidité était un frein comme un accélérateur, à double tranchant. Mais le plus freinant restait Reto. Il avait beau dire être son père, Aoki avait du mal à le croire. Combien de Yakuza ont déjà tenté de donner un nom à une de leurs esclaves pour qu'elle rapporte plus d'argent. Ce genre de situation était délicate à gérer et la sienne n'en faisait pas exception. Aoki se trompait peut-être, un père et une fille proche, tout simplement. Mais son cerveau ne semblait pas d'accord avec cela. Doutzen était prête pour se lancer dedans, elle l'avait ressenti à travers sa voix et ce petit exercice. Mais son père... il va être un problème, Aoki le voyait venir. Au final, elle avait quand même son numéro et quand bien même son père la surveille, il avait raison sur ce point et elle en ferait autant si sa fille passait ce genre de casting ou même pour le reste. De nos jours, un simple numéro de téléphone suffit à pister comme un criminel. Alors n'importe quel détraqué assez doué avec les machines pouvait jouer les stawlkers.

Se retrouver seule avec ce type ne lui inspirait pas confiance. Il pourrait tenter de la soudoyer pour qu'elle franchisse plus rapidement les étapes afin de la faire monter sur scène, passer par les menaces ou simplement vouloir tout savoir en détail. Aoki restait prudente. Elle avait le bouton de la garde sous son bureau, de même qu'elle avait son arme à feu de caché sous le bureau. On n'est jamais trop prudent et même si sa dernière utilisation a été que pour un stage pour s'en servir, elle ne va pas perdre la main dans ce genre de situation. Reto commença par parler de la mère de Doutzen, c'est triste mais en quoi elle va être utile? Elle ne connaît pas ce type et elle est bien trop vieille pour lui faire croire qu'Aoki pourrait jouer à la maman pour elle. Une façon de toucher la corde sensible pour la pousser à la prendre sous son aile et réaliser son rêve. C'est ce qu'elle comptait faire, son travail. Ce sous-entendu laissait supposer qu'il pouvait être au courant de certaines choses secrètes? Elle n'y croyait pas. Elle a toujours joué la prudence sur ce genre de chose, les photos sur son pc ou stocker ailleurs mais jamais avec une connexion internet et sinon... elle a été espionner? Ce n'est pas impossible mais on ne pourrait pas dire qu'elle se trouve sur des photos ou vidéos par hasard, on ne surveille pas une chambre d'hôtel ou son bureau par hasard. Elle reste prudente là-dessus, quand bien même les filles avec qui elle a fait cela étaient consentantes, certaines restent mineurs et ça reste donc un délit.

Elle savait gérer ce genre de situation ou des gens pourraient trouver une faille. Elle continua de le regarder en face sans même être surprise ou autres et resta dans la ligne droite, elle ne tournait pas dans un chemin bizarre.

« J'offre à ceux et à celles qui se donnent à fond une chance de réaliser leur rêve, leur passion. Avec moi, ils peuvent obtenir des rendez-vous, des entretiens qu'ils ne pourraient pas décrocher sans aucune aide en postulant simplement. Je fais mon travail et Doutzen a déjà un petit quelque chose en elle qui peut la faire réussir. Alors si elle y met du sien avec moi, dans son travail, pourquoi elle ne réussirait pas? Chaque chose à la fois, ça ne sert à rien de vouloir fabriquer un mur en empilant des pierres vous savez. Tôt ou tard, il va tomber si rien ne le retient. »

Une image réaliste. La boîte de production pour laquelle elle travaillait et donc, elle, pouvait fournir à Doutz', ce ciment qui va retenir ce mur, chaque activité qu'elle va lui proposer sera une pierre et chaque casting, chaque séance de shoot, chaque moindre effet d'apparition en figuration ou autres sera ce ciment qui maintiendra le mur. Cependant, la dernière phrase de Reto prêtait à confusion... Et voilà, il tentait de la soudoyer d'une façon ou d'une autre. Il est temps d'y mettre un frein. Parfois, même les gros durs ne savent pas quoi faire quand une femme en apparence fragile vient les bousculer.

« Je vous l'ai déjà dit Monsieur Kroes. Si Doutzen y met du sien, il y a peu de chances qu'elle reste dans l'ombre bien longtemps. Si dans vos propos, vous sous-entendez un pot-de-vin ou une intimidation, vous ferez que faire de la peine à votre fille car ça ne prend pas avec moi. Vous voulez quoi? Que Doutzen soit sur scène grâce à l'argent et qu'on parle d'elle comme ses « filles à papa Américaine » qui ne sont connus que par l'argent, leur dérapage, des télés réalité débile et leur soi-disant sex-tap voler? N'importe quel acteur de renommer, Japonais, Américain ou autres, n'a bonne réputation que par ses interprétations dans des films. Que ce soit à petit ou a gros budget, les gens retiennent deux choses dans un film. Les bons acteurs et l'histoire. Si Doutzen n'est pas scénariste ou metteur en scène, eh bien elle doit travailler sur la comédie. Si c'est tout ce que vous avez à me dire, je vous laisse rejoindre votre fille, j'ai son dossier à mon monter je vous ferais remarquer. »

Autant être clair, elle espérait avoir refroidi ce type ou lui avoir fait ouvrir les yeux mais qui sait ce qu'il a en tête à la base...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 11 juin 2014, 01:24:39
Il ne s’attendait pas à la voir céder si facilement. Cette femme avait du caractère, mais, pour l’heure, ça l’amusait. Reto n’était pas, en soi, un machiste qui s’énervait devant les femmes osant lui répondre. Il ressemblait plutôt à une espèce de bête sauvage, fonctionnant sur ce point comme un animal. Il voyait naturellement les femmes comme inférieures aux hommes, mais, si l’une d’entre elles venaient à s’affirmer, il la laissait faire... Dans la mesure du possible. Elle lui expliqua que l’intimider ne marchait pas, et il comprit qu’ils n’étaient pas vraiment sur la même longueur d’onde. Son sermon l’assomma, et il cherchait à en placer une, mais Aoki semblait décidée à écourter cet entretien.

« Si c'est tout ce que vous avez à me dire, je vous laisse rejoindre votre fille, j'ai son dossier à monter je vous ferais remarquer. »

Ce ‘‘je vous ferais remarquer’’ était très explicite Reto tendit alors sa main, et attrapa le bras d’Aoki, la retenant.

« Je sais que vous ne m’aimez pas, Kou-san. Inutile de le nier, je ne suis pas idiot. Mais je crois que vous ne m’avez pas compris. En aucun, je ne cherchais à vous intimider, ou à tenter de vous soudoyer. Oh, je pourrais le faire, mais ce n’est pas ce que je veux. Vous êtes une femme prudente, Kou-san, mais les secrets sont faits pour être dévoilés. »

Il laissa planer quelques secondes de silence, le temps de lui laisser le soin de comprendre là où il voulait en venir. Pour éviter qu’elle ne hurle, Reto relâcha alors son bras, et baissa les bras devant lui. Il la dominait légèrement, plus grand qu’elle, et nettement plus musclé. Difficile de ne pas être intimidé face à lui. Reto s’avança un peu, se plaçant à côté d’elle.

« Entendons-nous bien : je veux que vous aidiez Doutz’ à progresser dans sa carrière d’actrice, sans passe-droits, et sans quoi que ce soit d’autre. Mais je suis un homme intelligent, vous savez. Je sais que le sexe est omniprésent dans le showbiz, et je m’occuperais des passe-droits pour Doutz’. Ce que j’attends de vous est différent, ne vous engage à rien, et, si vous refusez, il ne vous arrivera rien. Si j’ai choisi de mener Doutzen auprès de vous, c’est parce que je sais que vous n’êtes pas contre l’idée de coucher avec vos élèves... Et que ça m’intéresse. »

Reto parlait du sexe sans ombrages. Il était vraiment conciliant, pour le coup, essayant de lui expliquer calmement les choses, tout en sentant, en lui, des fantasmes défiler. Il fallait juste que cette femme soit moins timide, moins timorée, et plus encline à comprendre ce que Reto voulait faire.

« Je ne suis pas le père naturel de Doutz’, vous savez... Je l’ai adopté, mais je sais très bien que, si elle veut faire actrice, avec son physique, on lui demandera forcément de faire des choses indécentes. J’aimerais la former, à se préparer à affronter l’influence du sexe dans le milieu du showbiz. Comprenez bien que je ne vous juge pas, Kou-san, ou que je ne cherche pas à vous menacer. Je vous ai dit que j’avais besoin de votre aide, et c’est exactement de ça dont il est question. »

Il laissa à nouveau planer quelques secondes, restant face à elle.

« Voilà ce que je veux... Améliorer l’initiation sexuelle de Doutz’. Vous pouvez appeler la protection de l’enfance, si vous voulez... Ou en savoir plus sur Doutz’. Je ne serais pas là au prochain rendez-vous, vous aurez tout le loisir d’en savoir plus sur elle. »

Reto la laissa alors, et sortit. Il avait balancé sa proposition.

À elle de voir comment elle allait s’organiser. Il n’était évidemment pas exclu qu’elle appelle les autorités, mais, dans la mesure où Aoki avait également fait des choses répréhensibles pour la morale publique, il était peu probable qu’elle s’y risque.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le samedi 05 juillet 2014, 21:52:52
Il y a des choses évidentes dans le monde, on ne soie si on reste trop longtemps sous l'eau, on meurt si on se jette dans le cœur d'un volcan ou du haut d'un immeuble d'une vingtaine d'étages comme on peut mourir avec une chose invisible à l'œil nue que l'on nomme virus. Et Aoki n'aimait pas Reto aussi, cela faisait aussi partie des choses évidentes. Elle ne savait pas sur quel pied danser avec lui, un yakuza, un profiteur, un père étrange, elle ne savait pas. Elle n'était pas un détective, elle n'allait pas enquêter sur lui et savoir à qui elle avait affaire. De même qu'elle ne demanderait pas à Félicia d'en faire autant pour elle. La Chatte Noire était avant tout une voleuse, pas une inspectrice. Le fait qu'il lui prenne le bras lui faisait serrer la crosse de son arme à feu sous le bureau, au moindre geste... tant pis si elle doit aller au tribunal, c'est de la défense. Il lui relâcha le bras mais elle resta prudente alors qu'il commençait à s'expliquer, sous-entendant qu'elle couchait avec ceux et celles qu'elle formait? Soit il savait d'une façon ou d'une autre, soit il tentait une forme de chantage... Elle préférait ne pas répondre, laisser son regard braqué sur lui. Si ses yeux pourraient tuer, elle l'aurait surement fait. Comment il aurait pu savoir s'il savait? Elle n'avait aucune photo ou autres sur un pc relié chez elle. Elle savait bien comment fonctionne la police et ce genre de chose est stocké dans une clé usb qu'elle utilise en coupant internet... Surement qu'elle a été surveillé par un de ses hommes ou un détective, une photo qui veut tout dire, ce genre de chose...

En l'écoutant, on croirait qu'Aoki est une tutrice pour ma former au sexe! Non mais quelle connerie! Aoki n'était en rien une entraineuse, elle offrait une récompense avec son corps à ceux et celles consentante, idem quand elle décide de « punir ». Mais en rien elle se prend pour une prof pute! Même si elle n'était pas sa vraie fille, pensée cela d'elle! Quelle honte! Oui il a raison pour le showbiz et le sexe mais cela reste surtout présent dans les milieux bizarres ou quand une fille comme Paris Hilton se retrouve star d'un film nullissime, c'est une promotion canapé à ne pas en douter. Mais les acteurs et actrice d'aujourd'hui ne sont plus comme ça, on juge ces derniers à leurs performances. Cela devait continuer dans certains milieux, avec certains producteurs mais Aoki ne lâche pas ses poulains dans les pattes de gros pervers, elle se dégoutterait de faire ça! Elle le laissa partir en se calmant sur son fauteuil. Elle ne pouvait pas prévenir la police, ce genre de chose car si on se penche de trop près sur elle, elle risque d'être passé au peigne fin... Quelle merde. Bien sur, à une époque, elle n'aurait pas rechigné à s'amuser avec Doutzen, autant dire la vérité. Mais depuis qu'elle connaissait Félicia, elle faisait de moins en moins ce genre de chose. Alors le proposer ouvertement, par le biais d'une autre personne, ça la dégoûtait. Elle n'allait pas ennuyer Félicia avec ça en plus, à cette heure, elle est surement en train de donner un cours... Puis, elle a ses problèmes elle aussi. En quoi son aide changerait quelque chose? Doutzen risque d'avoir des problèmes. Puis si ça se trouve, elle ignore que ce pervers n'est pas son père?

Que de problème.... Aoki fit son travail pendant ce temps, ne cherchant pas plus loin après tout ce truand avait bien dit que si rien ne se fait, ce n'est pas grave. Autant ne pas rentrer dans son jeu et faire de Doutzen une petite star avec la méthode légale. C'est très bien et c'est comme ça qu'elle devrait faire après tout. En faisant le dossier de Doutzen, elle avait réussi à obtenir un véritable rendez-vous avec un photographe le lendemain où elle fut le plus bref avec Reto pour lui transmettre la date et l'heure du rendez-vous. Ce sera cette fois un vrai book alors elle devrait venir bien habillée mais pas trop non plus, bien habillée comme une jeune. De toute façon il y aura de quoi se changer bien entendu...

Le jour du rendez-vous, elle avait donnez rendez-vous devant l'immeuble de son agence pour l'accompagner comme elle ne pouvait se rendre seule là-bas, de par l'emploi du temps de son « père » et ainsi de suite. Cela faisait partie du boulot d'Aoki donc ce n'est pas grave. Sans son père, la journée devrait bien être plus calme. Moins stressée aussi, elle accueilli la jeune femme avec un sourire en lui serrant la main.

« Bonjour Doutzen, prête? Tu n'as rien à craindre, ce sera comme dans mon bureau mais en plus poussé, plus de pose, de photo, d'essayage de vêtement, rien de bien spectaculaire. Tu n'auras qu'à suivre ce que le photographe te dit et tout se passera bien. »

Elle prit un taxi pour rejoindre le rendez-vous, elle n'avait pas le permis mais ce genre de déplacement était aux frais de la boîte alors peu importe. Naturellement, si elle avait des questions, des doutes, elle était là pour y répondre durant le trajet, le temps de se préparer un peu mentalement pour elle. Elle était toujours aussi charmante en tout cas mais bon, l'idée de coucher avec elle se faisait de moins en moins présente en sachant que c'est ce dont Reto voudrais....
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 07 juillet 2014, 01:22:24
Aoki n’avait pas eu de chance. Si Reto avait entendu parler d’elle, c’est parce qu’elle avait eu, à un moment, une élève répondant au nom de Jun Akizashi, et qui avait toujours été attirée par les arts et par le cinéma. Elle voulait devenir actrice, et son père était un banquier travaillant à la Sumitomo Mitsui Financial Group, une grosse banque japonaise. Il blanchissait l’argent sale d’un clan de Yakuzas, l’injectant dans différents comptes en banque appartenant aux ennemis des Russes. Quand les Russes l’avaient appris, ils avaient cherché un moyen de faire pression sur Akizashi, et s’étaient renseignés sur sa famille proche, en mettant des micros et des caméras un peu partout, notamment dans la chambre étudiante de Jun. C’était comme ça qu’ils avaient vu Aoki lui faire l’amour. Ils avaient pris une multitude de photos et de vidéos, et avaient flouté son visage en les montrant au père de Jun, afin qu’il collabore bien gentiment, s’il ne voulait pas voir l’avenir de sa fille être ruinée. Tout ça remontait bien à plusieurs mois, mais, entre-temps, les Russes s’étaient renseignées sur Aoki... Juste pour s’assurer qu’elle n’était pas une Yakuza. Ils n’avaient rien trouvé de suspect, et son nom était remonté aux oreilles de Reto, qui avait préparé tout ce petit stratagème.

« Tu t’en es très bien sorti, ma chérie, disait-il le soir à sa fille. Aoki te rappellera, et t’aidera à perfectionner ton talent... »

Doutz’ répondit en soupirant, et remua légèrement sur le lit. Reto esquissa un léger sourire, et déposa un baiser sur son front. Aoki rappellerait, oui. Elle avait le bâton et la carotte devant elle : une fille suffisamment belle pour être à l’affiche, et la menace de photographies compromettantes qui pourraient lui valoir un procès. Reto réfléchissait à la meilleure manière de s’en servir, et se redressa. Il se rapprocha de l’interrupteur de la chambre, et la ferma, avant d’appuyer sur un bouton d’une télécommande. Doutzen gémit en sentant les vibromasseurs remuer en elle.

« Passe une bonne nuit, Doutz’...
 -  Mmmmhhh !! »

Doutzen, dans sa position, en pouvait rien dire d’autre, et la porte se referma. Reto lui avait mis un pyjama (http://img105.xooimage.com/files/7/5/5/soumise-468c091.jpg) très particulier, et Doutzen remua faiblement dans son lit, sentant les draps en soie glisser contre son corps, ainsi que le contact du latex sur sa peau. Elle gémit en se tortillant, sachant très bien qu’elle allait passer une bonne partie de la nuit ainsi. Difficile de dormir dans ces conditions, et son esprit s’envola dans de nouvelles pensées perverses, où elle s’imaginait coucher avec cette Aoki, car elle savait très bien que c’était là ce que son « père » souhaitait.

La jeune femme savait que Reto n’était pas vraiment son père, et qu’il l’avait enlevé à sa famille, la capturant pour assouvir ses pulsions sexuelles en faisant d’elle une esclave docile et écrasée. Elle n’oserait pas se révolter contre lui, et ce d’autant plus qu’elle commençait à être victime du syndrome de Stockholm. Après tout, elle était bien logée, bien nourrie, et, même si elle se doutait que Reto avait d’autres idées derrière la tête, la perspective de devenir une actrice était réellement l’un de ses désirs profonds.

Elle passa donc une nuit rose et sensuelle.



Le prochain rendez-vous eut lieu assez rapidement, et Doutzen se retrouva, seule, avec Aoki... Sans culotte-gode, cette fois. On lui avait dit de venir bien habillée, et elle était donc venue avec sa belle robe rouge, qui épousait parfaitement ses formes. Aoki l’attendait devant l’immeuble, et ce fut là que Reto laissa Doutz’, après un bref regard vers Aoki. Elles se retrouvèrent dans un taxi, roulant vers le lieu où elles devaient rencontrer le photographe. Doutz’ restait silencieuse, observant ses mains, tandis que le chauffeur, professionnel, ne mettait pas de musique, roulant simplement vers l’atelier du photographe.

« Je suis vraiment d’être ravie ici, avoua Doutzen avec un léger sourire. J’espère que tout se passera bien. Vous pensez que j’ai mes chances ? J’ai fait un peu de théâtre quand j’étais petite, et on me disait que je m’en sortais bien... »

Elles parlaient pour tuer le temps, et arrivèrent ainsi à l’atelier du photographe. C’était un photographe professionnel, qui avait ses bureaux dans l’un des gratte-ciel du centre-ville. Aoki et Doutzen rentrèrent à la réception, et se présentèrent devant le réceptionniste.

« Oui, annonça l’homme. Vous connaissez le chemin, Kou-san... Par contre... Un coursier est venu nous remettre ce pli à votre intention ce matin. Je dois vous avouer que nous étions assez surpris, mais il nous a bien précisé que c’était l’adresse de livraison. Nous aurions du vous appeler, mais il y a eu beaucoup d’activité ce matin, et, comme nous savions que vous veniez tantôt... »

Le pli comprenait une belle enveloppe, comme si quelqu’un savait qu’elle allait venir ici. Si Aoki se donnait la peine de l’ouvrir, elle verrait un courrier comprenant plusieurs pages agrafées entre elles, ainsi qu’un disque gravé dans une poche plastique. Il y avait, sur la première page, une lettre, signée par Reto :

Citer
Chère Aoki,

Il est parfois plus facile de coucher à l’écrit ce qu’on pense oralement. Je tenais à vous présenter mes plus sincères excuses si ma conduite a pu vous inquiéter tantôt. Vous devez bien comprendre que je ne songe qu’au bonheur de ma petite Doutz’, et je tenais à vous préciser toute la gratitude que j’éprouvais pour vous. Vous trouverez ci-joint des copies des photographies que nous avons prises à votre insu lorsque vous êtes venue voir Jun Akizashi, et je tenais à vous remercier pour votre dévotion à satisfaire vos élèves. C’est involontairement grâce à votre aide que nous avons reçu à s’occuper d’un problème concernant le père de Jun, et ce dernier a été suffisamment intelligent pour comprendre qu’il était dans son intérêt de suivre nos consignes.

Les jours de Jun ne sont pas en danger, et nous n’entendons nullement mettre fin à sa carrière en diffusant ces images sur Internet. N’y voyez donc pas une menace, mais simplement la preuve que nous savons de quoi vous êtes capables.

Si vous avez le temps ce soir, j’aimerais prendre un café avec vous.


Reto

Derrière cette lettre, il y avait une série de clichés pris sous différents angles, où on voyait Aoki faire l’amour avec une femme qui était clairement mineure. Il ne fallait pas oublier qu’au Japon, la majorité civile était fixée à l’âge de 20 ans.

Et Doutz’, elle, était loin de se douter du contenu de cette enveloppe.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 30 juillet 2014, 21:52:33
« C'est normal d'avoir le tract mais tu n'as qu'à faire comme la première fois, suivre les consignes et tout ira bien. »

C'est le conseil  classique, de base mais qui était tout aussi utile que n'importe quel type de conseil. Pour elle, c'était le conseil utile pour beaucoup de choses, certes, elle ne devait pas dire ahmen à n'importe quoi sinon là elle tombera dans le piège de certaines personnes qui voudrait profiter d'elle mais quand on lui demande des choses en rapport avec le cinéma, les photos, ce genre de chose banale, elle peut très bien le faire. Elle ne risque rien. Une fois arrivée au studio situé dans un grand building où chaque étage était fait pour une chose en particulier – dont une bonne dizaine rien que pour tout ce qui touche le domaine artistique – Aoki fut surprise de découvrir un paquet pour elle mais elle se doutait que c'était un piège. Non, pas une bombe ou ce genre de colis piégé mais plutôt un mot du père de Doutzen avec quelques mots, quelques ordres plutôt et elle préférait largement ouvrir cela plus tard, comme par exemple après le départ de Doutzen. Comme ça si son pervers de père demande ce qu'elle a pensé de sa lettre, elle pourrait lui dire qu'elle ne l'a pas ouvert et donc, qu'elle n'a rien fait avec Doutzen. C'est bien la meilleure quand même, elle a une relation qui commence à devenir sérieux avec Félicia, elle limite de moins en moins les autres personnes à profiter de son corps et on lui pousse une jolie demoiselle dans les bras en lui disant de s'offrir à elle, de l'éduquer sexuellement. Ça ne tiendrait qu'à elle, elle enverrait de suite toute la police à ses trousses mais elle se savait en tort à son tour.

Elle accompagna Doutzen jusqu'au photographe où elle échangea quelques mots de routine avec lui avant qu'elle ne se mette sur le côté avec sa nouvelle élève. Elle devait encore lui annoncer une ou deux choses vu que ce sera sa première fois avec un véritable photographe.

« Ne panique pas. Suis juste ce qu'il te demande et si tu ne comprends pas la pose où ce qu'il te demande, n'hésite pas à demander. Nous somme là pour ça. »

Elle eut un léger sourire pour elle en tentant de faire tenir sa frange qui cachait son œil. Certes, cela avait son charme mais voir ses deux yeux pouvait aussi jouer en sa faveur. Elle laissa comme tel, ce n'est pas à elle après tout de décider si oui ou non, elle laisse cette coiffure comme telle. Ce n'est pas elle qui manipule l'objectif après tout. Aoki prit place sur une chaise, restant proche d'elle mais aussi bien entendu en dehors du fond blanc, de toutes ses lumières. Dessous, il ne faisait pas froid mais c'était ça aussi le monde du cinéma. Néanmoins, par curiosité, elle ouvrait le courrier, survolant rapidement ce qui était dit, quant au CD comme les photos, vu le monde autour d'elle, elle les laissait de côté en se doutant bien que ça la concernait elle ou bien Doutzen? Mais vu ce qui était dit, ça devait être elle, la fois où elle avait fait cela avec Jun. Elle n'en avait pas honte mais c'était désormais une chose qu'elle essayait de gommer de son passé. Quant aux derniers mots de Reto, il pouvait toujours se brosser! Jamais elle ne prendra un café avec un type pareil! Quand bien même elle accepterait sous la menace, Félicia et ses copains du SHIELD seront demandé, voir la police car le SHIELD ne doit pas faire dans ce genre de protection pour une simple connaissance d'une de leur membres? Quitte à faire un peu de prison, elle serait capable si ce Reto plongerait plus profondément. Mais bon, autant que possible, elle préfère se tenir éloigné de lui.

Elle observa Doutzen prendre diverses poses, parfois au naturel, parfois avec l'aide d'un ventilateur, assise sur une chaise ou même avec un accessoire anodin tel qu'une petite bouteille d'eau ou un livre. Elle se faisait vraiment mitrailler par l'objectif. Elle allait devoir s'y habituer car parfois, la photo qui fait tout se situe entre deux poses et entre deux poses, il peut y avoir près d'une dizaine de photo. Souvent, le meilleur résultat n'est pas la pose finale mais celle qui se joue quelques secondes avant. Doutzen se débouillait bien, même si Aoki refusait de jouer le petit jeu de Reto, il faut bien dire ce qui est, Doutzen était vraiment une ravissante jeune fille. Sa carrière va rapidement décoller et à son école, pour sûr, elle doit faire tourner les têtes, garçon comme fille. Même si la photographie ne semblait pas avoir grand-chose à voir avec le cinéma, avant de vendre ses talents, il fallait vendre le produit.  Certains acteurs ne sont pris que par leur apparence ou leur défaut dirait-on, un mal pour un bien. Doutzen est loin d'avoir le mot défaut mais autant attiré la curiosité de certains petits ou gros producteur avec le physique de Doutzen, ensuite ils jugeront par son talent. Donc pour aujourd'hui, pas de théâtre, surtout des photos mais ses cours lui serviront à jouer certaines émotions cité par le photographe. Aoki restait là, à l'observer, ayant un petit sourire pour elle entre deux pauses, le temps de changer d'objectif ou de ramener un élément pour elle. Elle devait être rassurée cette petite et cela faisait partie de son travail après tout.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 31 juillet 2014, 01:59:43
Doutz’ était bien loin de se douter du contenu du paquet, et elle n’y accorda pas plus d’attention que nécessaire. Le fait est que la jeune femme était réellement très excitée à l’idée d’être près d’Aoki, et de pouvoir accomplir une partie de son rêve... Elle avait beau avoir changé de continent, de famille, avoir perdu sa virginité, et avoir comme « père » un bourreau-violeur pour lequel elle ressentait des émotions contradictoires, elle n’avait pas oublié ses rêves. Elle n’avait pas oublié Marilyn Monroe, ni les films qu’elle regardait quand elle était petite. C’était un rêve d’enfant, un rêve idiot de fillette, mais il continuait à lui trotter la tête. Peu importe ce que Reto avait réellement en tête, le fait est qu’il lui offrait l’opportunité d’accomplir son rêve. Oui, elle était bien devant un photographe, suivant ses instructions. Remue la tête. Tête penchée à gauche. Petite moue sur le visage. Mine triste. Sourire ravi sur les lèvres. Jambes croisées. Ouverte. Corps penché sur le côté. Mine sensuelle.

Elle s’était déjà entraînée chez Reto, en compagnie de Khill, à faire des books amateurs, enchaînant les photos. Ici, c’était juste... Plus intense. Il y avait moins de rires, mais énormément de photos. Un véritable mitraillage. Le photographe insistait beaucoup, lui disant parfois de reprendre la même pose, parfois jusqu’à une dizaine de fois. Mains dans les cheveux. Buste en avant. Tête penchée vers le bas, yeux dans la caméra. Elle savait que ce book lui servirait de support pour toutes les demandes qu’elle ferait ensuite. C’était le rôle d’Aoki. Elle assistait les gens comme elle, servant d’intermédiaire entre ces personnes et les studios et les maisons de production. Comme à la télé, mais sans les caméras. Les photos se multiplièrent donc, ainsi que quelques compliments.

« Super ! Continue, Doutz’ ! Là... Parfait, parfait, ma chérie ! »

Devant avoir l’habitude de rencontrer des femmes, le photographe parlait sur un ton assez familier et chaleureux. C’était un confortable bureau, avec de grandes baies vitrées permettant de voir Seikusu. Doutz’ se sentait bien ici. Est-ce qu’elle continuerait à voir de tels endroits en vieillissant ? Ohlàlà, elle en frissonnait déjà ! Doutzen Kroes, future star ! Bon, le Japon, ce n’était pas Hollywood, mais il y avait beaucoup de films japonais qui étaient adaptés par les Américains... Et puis, ça ne la dérangerait pas de déménager à Los Angeles, une fois qu’elle se serait faite une bonne réputation ici. Elle travaillerait aussi longtemps qu’il le faudrait pour accomplir son rêve... Comme dans les mangas ! Le photographe continuait à la mitrailler, et finit par s’arrêter.

Entre-temps, Doutz’ avait eu droit à plusieurs pauses, buvant des verres d’eau, décontractant son dos. La fin de la séance sonna deux bonnes heures plus tard.

« Okay, ma chérie, je pense que j’en ai assez. Tu vas bien ?
 -  Oh oui, Monsieur !
 -  Je vois ça, tu as des étoiles dans les yeux... »

Doutzen lui sourit légèrement, amusée et fière. Le photographe partit ensuite, laissant Doutzen avec Aoki, seules dans le bureau. La jeune fille s’était relevée, et sourit à Aoki, un sourire poli et légèrement intimidé. Sans réfléchir, agissant instinctivement, elle se précipita contre elle, et lui fit un bref câlin, la serrant contre elle... Ce fut un geste qu’elle fit sans réfléchir. Elle se retira rapidement, en rougissant légèrement, et lui sourit poliment.

« Je... Euh... Je vous remercie pour ce que vous faites pour moi, Ma... Kou-san. C’est... C’est vraiment très gentil... »

Doutzen le pensait sincèrement.

Elle était émue.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 18 août 2014, 21:59:26
Ce Reto, il n'avait pas fini de la faire chier. Ce paquet était comme un acte de gentillesse mais ce n'est pas comme si ce connard n'avait pas de copie sur son pc ou même des montages plus obscènes, que ce soit vraiment elle ou non sur les photos. De nos jours, ça allait tellement vite ce genre de chose. Mais au moins, il y avait une chose qui venait de lui faire oublier tout ça, c'était Doutzen, elle en avait terminé avec sa première séance de photos et la jeune femme était toute souriante, une vraie fille ravie! Elle devait être loin de son quotidien qui, Aoki devinait aisément comment cela devait se passer. Elle la câlinait doucement pour lui renvoyer son étreinte et la laissait se dégager doucement. La voir si ravie lui faisait chaud au cœur. Elle passait une main dans ses cheveux en lui souriant sincèrement.

« C'est normal voyons... Continue comme ça Doutzen et ton rêve se réalisera. »

Hélas, ce n'était pas tout à fait vrai, certaines personnes se battaient avec plus d'acharnement qu'elle sans pour autant réussir leur rêve mais chacun avait plus ou moins de chance. Le physique de la demoiselle était déjà un atout et pour ce qui est de la photo, du mannequinat, elle serait parfaite si son projet ne réussit pas. Mais au moins, il restera encore d'autres tests pour elle afin de déterminer si elle est douée et si elle a une chance dans la carrière du cinéma? Elle pourrait bien lui dire la vérité, que son « père » voulait prostituer sa fille avec elle pour son bon plaisir mais non seulement Aoki ne voulait pas le faire, d'un point de vue professionnelle comme par envie. Est-ce de sa faute si elle est amoureuse et veut avoir le plus de chance d'être avec Felicia? Cela ferait trop plaisir à Reto... Mais en plus, elle n'allait pas briser la bonne humeur de Doutzen avec ce genre d'histoire.

« Si tu n'as rien de prévu demain, je pense que je pourrais te caser un petit rendez-vous théâtral, pour reprendre les bases au moins et que je puisse voir de quoi tu es capable dans ce domaine. »

Elle avait confiance en elle, pas de doute. Bien qu'elle ne se privait pas de penser que son père était un con, elle, c'était une fille en or qui a malheureusement eu la mauvaise famille. La jolie fleur qui pousse entre deux merdes de chiens...

« Par la suite, en attendant une véritable petite offre, je pense que peaufiner tes talents avec le théâtre ne sera pas une mauvaise choses. Il vaut mieux avoir le plus de facilité à jouer n'importe quel type d'acteur ou situation pour un futur casting. Attends-toi à de longues séances de théâtre et à toutes sortes de situations. »

Oui, il était préférable d'en voir le maximum avant un premier rendez-vous devant une caméra. Demain, cela sera comme elle a dit, une petite remise à niveau mais par la suite, il n'était pas impossible qu'elle passe plusieurs après-midi à jouer avec une petite troupe. Ceux dont le théâtre les passionne vraiment mais c'était aussi l'occasion pour qu'elle rencontre d'autres personnes de son âge, fille comme garçon. Il y avait d'autres boîtes de productions, donc plusieurs personnes qui ont le même rêve de Doutzen, cela ne pourrait que lui faire du bien.

« Et toi, qu'as-tu penser de cela, ça te plut? Tu peux me donner tes impressions, là où tu penses avoir été parfaites, là où tu penses devoir te corriger? »

C'était aussi son job de voir si elle savait voir ses points faibles et ses points forts. En sachant son passé, Aoki ne pouvait s'empêcher de vouloir la protéger, lui éviter le pire avec son horrible père. Elle lui rappelait Kanzaki, une autre de ses élèves, le genre de fille qu'on a envie de protéger, de prendre dans ses bras pour éviter qu'il ne lui arrive du mal. Cela dit, sa relation avec Kanzaki était plus fusionnelle, elle était un peu comme sa petite sœur.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 21 août 2014, 02:51:39
Le petit cœur de Doutzen fit des bonds dans sa poitrine sous les compliments appuyés d’Aoki. Réaliser son rêve... Devenir une grande actrice de cinéma, se produire à Hollywood ! Est-ce que, bientôt, le nom de Doutz’ sonnerait comme celui de Marilyn Monroe dans le firmament ? Elle avait bien le droit d’y rêver, de s’imaginer poser son empreinte le long de l’Hollywood Boulevard, de se produire dans les meilleurs théâtres de Broadway, et de faire des tournées dans le monde. Loin de se douter de ce que Reto faisait derrière elle avec Aoki, Doutz’ se contentait d’écouter Aoki. Elle lui disait qu’elle pourrait l’amener au théâtre demain, et que, par la suite, le mieux que Doutzen avait à faire était de perfectionner ses talents de comédienne dans le théâtre. La jeune blonde hocha la tête de haut en bas, acquiesçant à ce qu’Aoki proposait. Elle était son agente, donc il était normal qu’elle l’écoute. Son agente... Doutz’ peinait encore à y croire. Même si Reto avait un but caché derrière toute cette histoire, le fait est qu’il avait quand même choisi de l’amener ici. Même encore, la jeune femme peinait à percevoir les véritables pensées de son mentor... Mais il l’avait amené ici, et on pouvait clairement lire sur le visage de Doutz’ une franche lueur émerveillée et heureuse, insouciante et pleine d’un bonheur profond et enfantin.

Aoki lui demanda alors ce que Doutz’ avait pensé de sa propre prestation. L’intéressée cligna des yeux à plusieurs reprises.

« Je... Euh... Je n’en ai pas la moindre idée, avoua-t-elle. Fondamentalement, je pense que je n’ai été parfaite nulle part, car il faut toujours s’améliorer. Et puis, je n’ai fait que prendre des photos, ce n’est pas comme si j’avais vraiment du incarner un rôle, ou... Ou jouer quoi que ce soit. »

Certes, elle avait pris des expressions faciales, mais ça ne la dérangeait pas. Il ne fallait pas oublier qu’elle s’était déjà entraînée chez elle, avec Khill, à prendre de multiples photos d’elle-même, adoptant une multitude de visages et d’expressions, jusqu’à prendre des postures complètement débiles et idiotes. Khill lui avait toujours dit qu’elle était très photogénique, et, vu qu’Aoki semblait contente, et qu’elle allait jusqu’à proposer à Doutz’ de faire du théâtre, c’est qu’elle n’avait pas du se tromper... Doutzen avait donc toutes les raisons du monde de se sentir fière, elle qui doutait de ses propres capacités.

Elle se rappela alors, dans les pensées excitées de son cerveau, ce qu’Aoki lui avait dit, sur la possibilité de faire une représentation DEMAIN, et répondit :

« Il faudra voir avec mon père, mais... Il n’a aucune raison d’être contre. »

Cette évocation amena un léger silence entre les deux femmes. Doutzen n’était pas idiote, loin de là. Elle savait très bien ce que faisait son père, elle savait que ce qu’il lui avait fait était illégal, et elle savait qu’il avait du faire pression, d’une manière ou d’une autre, sur Aoki. La jeune femme sentait bien qu’il fallait qu’elle fasse quelque chose, qu’elle trouve un moyen de résoudre ce contentieux la concernant.

« Vous savez, il... Il ne veut que mon bien, c’est juste que... Reto aime bien tout contrôler, mais... Il tient à moi, et... Il tient vraiment à ce que je perfectionne mes talents d’actrice. Je... Je ne sais pas ce qu’il vous a dit, mais je sais que vous l’aimez pas. Je suis plutôt futée pour mon âge, alors... Tout ce que je peux vous dire, c’est... »

Que c’était un pervers sexuel ? Quelqu’un qui l’emmenait allumer de vieux pervers asiatiques pour pouvoir ensuite faire pression sur eux ? Qu’il lui avait fait l’amour à de nombreuses reprises, et avait confectionné pour elle une série de tenues en latex qui auraient fait fureur dans un film érotique ? Elle se mordilla les lèvres, et reprit rapidement, en attrapant chacune des mains d’Aoki, son regard croisant le sien :

« Il faut lui faire confiance. Sans lui... Je n’aurais jamais réussi à être là, je serais dans mon petit village perdu en pleine campagne, et... Je n’aurais jamais eu la chance de vous voir. »

Rencontrer Aoki était peut-être l’une des meilleures choses qui puissent arriver à Doutzen, car, avec elle, elle avait l’intime conviction qu’elle pourrait enfin réussir à percer, et à se faire, peu à peu, un nom. Comme Aoki le lui avait dit, elle avait bien le droit de rêver.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 08 septembre 2014, 21:47:46
Doutzen pouvait surement se dire que concernant la séance photo, ce n'était pas vraiment nécessaire de bien tout vérifier, de savoir ses qualités et défauts mais au contraire. Certes, elle visait le rôle d'actrice et non de top-modele dans un magazine mais disons que ça restait une certaine base. Déjà à afficher n'importe quelle expression face à un objectif. Quelle star de cinéma n'a pas posé plus ou moins sérieusement devant un photographe pour un magazine qui lui accordait une longue interview? C'est presque la base de ce genre de questions/réponses. Des photos glamour, belle, amusante qui laisse un sentiment que l'acteur ou l'actrice est aussi comme tout le monde et à la fois parfait dans ce domaine. Cela dit, quand elle avait répondu que pour les détails, il faudrait voir avec son père, cela avait de suite installé un blanc dans la conversation.... La vision de Doutzen à son sujet était normale en un sens, on croirait juste entendre une fille qui protège son père qui avait tendance à tout vouloir contrôler mais elle était légèrement à côté de la vérité. Dans un sens, c'était ce que Reto avait fait mais il n'y avait pas que ça. S'il lui aurait juste fait comprendre qu'il veut voir sa fille célèbre pour qu'elle réalise son rêve et soi heureusement, Aoki aurait revu son jugement à son sujet mais là... Lui demander de faire l'éducation sexuelle de sa fille, c'était dérangeant! S'il aurait mis en garde Aoki et les autres sur les rumeurs sur le showbiz, elle ne lui en aurait pas voulu mais ça... Quel père, même adoptif demanderait ça à celle qui va passer du temps avec sa fille? Ce père était une honte, tout simplement! Mais elle ne voulait pas le dire directement, comme ça à Doutzen.

Aoki soupira en souriant faiblement. Pour la fin, c'est vrai que la jeune femme pouvait lui être reconnaissant pour cela mais pour le reste... elle ne pouvait que le pointer du doigt en l'accusant de choses horribles. Dans un sens, elle voulait lui dire une partie de la vérité, que Reto voulait qu'elle lui apprenne ce qu'il y avait à savoir sur le sexe au cas où un producteur peu scrupuleux voudrait profiter de la situation mais Aoki serait du genre à lui apprendre à remettre cette personne à sa place. Mais dans un autre sens... Elle poussait peut-être le bouchon trop loin? Malgré cette proposition, Reto ne faisait peut-être rien à sa fille et il savait qu'elle grandissait et que tôt ou tard, sa fille couchera avec des hommes ou des femmes, il voulait la préparer... Quel père irait demander cela à une inconnue? Pour Aoki, cela n'était pas possible mais... Elle voyait Reto comme une mauvaise personne mais dans un autre sens, sa fille semblait être tout le contraire de son pervers de père. Aurait-elle un syndrome de Stockholm? Oui, elle devait beaucoup à cet homme mais quand même...

« Oui, c'est vrai, je n'aime pas ton père... Je n'ai pas à le cacher mais toi, je prends ta carrière en main, je veux que tu sois heureuse de travailler, que tu vives ton rêve, tout simplement. Même si au-delà, je veux aussi te protéger de tout le reste Doutzen... Je veux que tu aies une vie de jeune femme, tout simplement... »

Les cours, les copines, les copains et son apprentissage, pas mettre dans le même panier les activités louches de son père, le sexe et le reste. Oui, elle était en âge de comprendre cela mais avec un garçon ou une fille qui lui plaît, qui est plus ou moins à son niveau, pas avec de vieux pervers ou des hommes de main de son père ou pire encore. Aoki se rapprocha en prenant la jeune femme dans ses bras, une main dans son dos, la seconde lui caressant la tête. Cela avait une connotation presque maternelle la façon dont elle lui parle, la façon dont elle essaie de la protéger, de l'enlacer mais ce serait exagérer de dire qu'Aoki tente de remplacer sa mère. Elle connaît à peine cette fille, cette grande et jolie fille. Disons plutôt qu'elle aimerait la voir avec une vie normale.

« J'espère que je me fais simplement trop d'idées sur toi et ton père mais... C'est plus fort que moi. Doutzen. Si tu aimes ta vie, telle quelle, eh bien ce n'est pas à moi de décider mais si jamais tu aimerais vivre... normalement, je ferais tout pour que cela se fasse. »

Normalement, est-ce que sa vie était normale selon elle ou bien elle savait que son père ne devait pas agir de la sorte? Aoki n'était pas dans la tête de Doutzen, elle ne pouvait pas savoir. Elle ne la lâchait pas pour autant pour le moment, elle était bien décidée à ne pas faire plaisir à Reto en se rapprochant « trop » d'elle mais pour le moment, elle voulait être intime avec elle, sans trop l'être.

« Au-delà de ton agent, je serais aussi pour toi une confidente Doutzen, on peut parler ensemble de choses qui te tiennent à cœur, que tu ne peux pas parler avec d'autres personnes. Évidemment, ça restera entre nous aussi. Je veux simplement t'aider. »

L'aider à quoi? À avoir une vie normale. Si elle fait fausse route, au temps pour elle, si elle a raison, elle aidera Doutzen du mieux qu'elle peut.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 10 septembre 2014, 01:50:17
Avoir une vie normale... Doutzen avait le sentiment qu’Aoki sortait légèrement de son rôle, en insistant un peu trop sur son père. Elle voudrait bien prévenir cette dernière, la prévenir du danger qu’il y avait à vouloir menacer Reto. Il n’était pas son père, mais il était terrifiant quand on cherchait à s’attaquer à lui. Doutz’ savait tout ce qu’il y avait à savoir sur lui, car elle avait elle-même contribué, par sa plastique, à l’aider à capturer des ennemis, des rivaux, des concurrents, qu’il torturait ensuite dans des caves, parfois celle de la maison. C’était un homme cruel, violent, sadique, brutal, un pervers dominateur, qui, quand il s’énervait et se battait, devenait presque animal dans son comportement, grognant, mordant, et griffant. Cette petite Aoki à la vie qui semblait si soignée voulait-elle vraiment défier quelqu’un comme lui ? La pauvre ignorait dans quoi elle mettait les pieds... Mais Doutzen ne pouvait pas le lui dire, car elle placerait alors Aoki sur la liste des personnes que Reto capturerait. Elle préféra donc secouer la tête, et lui sourit gentiment :

« Je crois que vous vous faites des idées sur mon père. C’est vrai qu’il est... Assez brutal... Mais il ne me bat pas, et je ne suis pas sa prisonnière. J’ai beaucoup d’amies, vous savez. Je suis déléguée de ma classe, je participe au spectacle de théâtre de fin d’année, je vais à des concerts, je sors en boîte... Vous vous imaginez qu’il me torture ? Qu’il m’enferme chez nous ? »

Elle gloussa, comme si elle trouvait l’idée idiote, et secoua la tête de gauche à droite. Cette Aoki avait l’air d’être ce que Reto appellerait une « putain d’emmerdeuse », l’idéaliste se mêlant des affaires des autres, en ne comprenant pas qu’il était de bon ton, dans une société civilisée, de se mêler de son cul, sous peine de voir le cul des autres vous chier à la gueule. En lui souriant, Doutzen attrapa la main d’Aoki qui lui avait caressé les cheveux, une lueur séductrice dans les yeux.

« Je ne suis pas une petite fille, vous savez... Je sais très bien ce que Reto vous a dit, ce à quoi il veut que vous me formiez... Nous savons que vous couchez avec vos élèves, et c’est pour ça qu’il vous a choisi. »

Doutzen sortait de son rôle, mais, comme elle le disait à Aoki, elle n’était pas une petite fille. Reto ne lui en avait jamais parlé, mais, outre son intelligence, Doutz’ savait aussi comment obtenir des renseignements dans la maison de Reto. De fait, si elle le voulait, elle pouvait aller voir la police, ou, mieux encore, les concurrents de Reto, afin qu’ils le tuent. Si elle ne le faisait pas, c’était officiellement parce que la vie de ses parents était toujours en jeu... Mais la vraie raison était tout autre. Elle réfléchissait. Reto était un compromis, mais, si elle était restée dans sa ferme, elle n’aurait jamais eu la chance de pouvoir se produire sur scène. S’il disparaissait, elle risquait de retourner en Europe de l’Est, ou de connaître un sort encore pire, quelque chose qui ne la tentait pas particulièrement.

Ses lèvres allèrent se poser sur la paume de la main d’Aoki.

« Il n’est pas mon père biologique, alors, techniquement, ce n’est pas vraiment de l’inceste... Et puis, ça n’a rien de choquant. Je connais des personnes de vingt ans qui sont mariées avec des papys à la retraite. Je sais pourquoi vous n’aimez pas Reto, et je le comprends entièrement, mais il a aussi ses bons côtés... Je ne peux que vous encourager à ne pas vous opposer à lui, car je vous aime bien, et je n’aimerais pas qu’il rompe notre association. Je suppose qu’il a voulu vous faire chanter, mais il ne faut pas en tenir compte. C’est comme ça qu’il fonctionne... Les rapports de force, c’est sa manière d’appréhender les relations sociales. »

Elle continuait à tenir la main de cette belle Japonaise, en se disant que Reto pourrait la punir d’avoir fait ça, d’avoir pris une initiative personnelle... Mais elle n’y croyait pas trop. À force, elle finissait par le connaître plutôt bien. C’était un animal, et, quand Doutzen pensait ça, elle ne pensait pas qu’à une simple métaphore.

« Si vous voulez être ma confidente, il faudra vous attendre à des choses qui ne sont pas forcément très pudiques. Je suis élève au lycée Mishima, et j’ai dans mon répertoire Mélinda Warren... Ça, ça vaut tous les CV du monde. »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le samedi 20 septembre 2014, 22:24:23
Aoki avait tenté de lui tirer un peu les vers du nez pour tenter de trouver quelques réponses mais celles fournies par Doutzen étaient loin d'être celles à quoi elle s'attendait. Elle se disait que Doutzen ignorait tout des activités de son père ou qu'alors elle pouvait avoir un doute à ce sujet mais pas au fait qu'elle puisse être autant au courant. Au moins si elle lui disait la vérité et que Reto ne la maltraitait pas, c'était toujours ça de bon à prendre. Ce qui a été vraiment une claque pour Aoki, c'est surement d'entendre « nous savons... »... Si encore elle aurait dit qu'elle savait que son père avait des informations sur Aoki mais ça voulait dire que Doutzen savait ce que son père voulait et qu'elle dise oui comme s'il lui avait demandé de tout donné pour cette séance photo? Le monde tourne d'une bien curieuse façon... Même la suite, Doutzen savait que son père n'était pas le vrai – ça encore, ce n'était qu'un détail – mais elle-même jugeait que ce n'était pas de l'inceste. Oui mais non! Oui ils n'avaient pas le même sang donc aucun souci de ce côté mais il restait quand même son « père » ce qui veut dire selon son raisonnement que n'importe quel père adoptif pourrait coucher avec sa fille consentante sans soucis? Et l'image de la famille dans tout ça! Aoki était un peu perdue si bien que la fin de sa phrase lui passa vraiment au-dessus de la tête.

Oui le lycée Mishima, le lycée public de Seikusu, elle avait des tas d'élèves aussi là-bas, pas forcément sous sa tutelle mais dans l'agence, il y en avait un certain nombre. De même qu'il y avait Felicia qui bossait là-bas, ainsi qu'Hitomi... à croire qu'elle avait un faible pour les professeurs travaillant là-bas. Tiens, à ce propos, elle ferait bien d'appeler Felicia ce soir, elle aurait peut-être une ou deux choses à lui dire à son sujet si jamais elle l'avait comme élève à ses cours. Savoir si elle était vraiment bien au lycée et qu'elle n'était pas persécutée plutôt que très bien intégré comme elle lui avait dit. Et puis Mélinda Warren? Elle était connue? On ne pouvait pas dire qu'Aoki sache vraiment qui était cette fille mais il est probable que plus tard, elle en apprenne plus sur cette drôle d'élève. Mais que Doutzen soit dans le camp de son père et apparemment en connaissance de cause, ça, ça lui avait vraiment mis une gifle! Elle prit sa main dans les siennes en lui souriant. Un sourire forcé, masquant autre chose mais elle ne voulait pas l'inquiéter ni même qu'elle croit que quelque chose avait changé entre elles. Aoki gardait ses objectifs en vue mais maintenant... elle avait bien envie d'un bon verre, voire même plusieurs.

« Désolé pour ses questions alors... Je vais pas nier la vérité, ce que tu as vu ou entendu à mon sujet est surement vrai et il y a quelque temps, même sans la demande de ton père, j'aurais surement pris cette direction avec Doutzen mais... les gens changent et.. Je ne veux plus agir de la sorte, juste me concentrer sur mon travail, notre travail, d'accord? »

Elle ne voulait pas dire qu'elle était amoureuse d'une autre femme, surtout pas indiquer le nom de Felicia Hardy. Oui, elle en était amoureuse mais elle ne savait pas si c'était réciproque alors quitte à ce que ce soit sexuel entre elles, autant que ce soit le plus longtemps possible. Elle ne voulait pas briser leur amitié en quelques mots. Elle posa sa main sur sa tête, lui embrassant le front avant de replacer une de ces mèches correctement.

« Et pas un mot à ton père de ce qu'on a dit. Je préfère qu'il pense que j'hésite plutôt que je tente de changer en évitant ce genre de débordement. »

Elle guida Doutzen pour quitter le bâtiment en sa compagnie, lui expliquant que le vrai book arrivera dans quelques jours, ce qui permettra d'armer un peu plus son CV mais pour le moment, elle aura surement quelques cours de théâtre à suivre, cela dépendra du planning mais elle tiendra Doutzen au courant de cela évidemment. Pour le moment, elles rentrèrent à l'agence en taxi, Aoki la briffant sur le parcours qu'elle pourrait suivre, le plus rapide. Un peu de théâtre pour s'habituer, s'entrainer, une ou deux pubs, télé ou non, un petit rôle en figurant, second rôle puis ensuite elle accumule un peu tout ça puis elle enchaine les passages télé, les propositions de travail puis petit à petit elle arrivera à son rêve. Enfin, ça, c'était le chemin le plus court. Elle attendit que Doutzen reparte en voiture où elle la salua poliment avant de retourner dans son bureau, finir son travail. Elle n'avait pas qu'elle a géré après tout. Mais une fois sa journée terminée, elle rentrait chez elle et en profita pour appeler Felicia. Non pas pour l'exciter ou l'invité chez elle cette fois.

« Bonsoir Felicia, tu vas bien? Dis-moi ma jolie, j'aurais une petite question pour toi, je viens d'avoir une nouvelle élève à charge et qui se trouve être dans ton lycée. Je sais pas encore à qui j'ai à faire alors tu pourrais peut-être me guider sur le genre de fille qu'elle est. Doutzen Kroes? Ça te parle? Tu sais si c'est une fille à problèmes, gentille, discrète, intelligente, doué en sport, ce genre de détail? »

Oui, pas question de sexe mais simplement professionnel cette fois.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mardi 23 septembre 2014, 01:24:10
DOUTZEN KROES

« Aaaahhh...
 -  Tu lui as tout dit, ma petite Doutz’, n’est-ce pas, hum… ?
 -  Haaaannn... O-Ouuuiii...
 -  Tu ne sais décidément pas tenir ta langue, ma chérie. »

Mains liées dans le dos, Doutz’ s’empalait le long de la puissante verge de Reto, cette grosse queue qui, comme à chaque fois, lui donnait l’impression qu’on lui perforait son bassin. Reto n’était pas quelqu’un de normal, Doutz’ le savait, à force de coucher avec lui. Comme elle l’avait dit à Aoki tantôt, avant que cette dernière ne refuse poliment ses avances, elle savait que Mishima abritait des élèves surnaturels, des individus qui n’étaient pas vraiment des humains, et elle était convaincue que Reto faisait partie de cette catégorie d’êtres exceptionnels. Lorsqu’elle était revenue au manoir, il lui avait demandé ce qui s’était passé, puis lui avait ensuite fait l’amour. Il l’avait d’abord pris en levrette, claquant ses fesses, et, maintenant, elle s’empalait sur lui, les joues rouges, gémissant et couinant en sentant ses grosses mains lourdes glisser sur son corps, caressant son dos, puis pelotant ses fesses. Elle soupirait, tournant lentement la tête en se pinçant les lèvres, poussant ensuite des cris.

Reto était debout, la prenant comme ça, les jambes de Doutzen plaquées contre son bassin, formant un appui qui permettait à l’homme de le prendre. Il aimait bien l’attacher, restreindre ses mouvements, l’immobiliser... Et elle, elle ne pouvait que subir. Aoki lui avait clairement dit, malgré la justesse de ses arguments, qu’elle ne comptait pas les rejoindre dans leur jeu sexuel. Doutzen avait été déçue... Pas parce qu’Aoki était un bon coup, mais parce que, si elle restait sur sa position, Reto cesserait de la voir. Elle ne se faisait pas d’illusions : Reto voulait avant tout que Doutzen continue à être le petit chaperon rouge parfait qu’elle était, la belle petite nana qui attirait à elle des ennemis de la famille, et permettait ainsi d’obtenir au grand méchant Reto d’obtenir de quoi faire pression sur eux. Or, si Reto ne voulait plus que Doutz’ voit Aoki, sa carrière d’actrice prometteuse s’arrêterait derechef. Cependant, la jeune femme ne voyait pas comment convaincre Aoki.

« Hum... Tu es toujours aussi belle, ma chérie... J’ai du mal à comprendre pourquoi cette salope ne veut pas de toi... Pourquoi... Pourquoi elle fait sa pimbêche, hum...
 -  Haaa... Je... Je n’en sais rien, haaannn !! »

Il posait ses lèvres sur les siennes, agrippant ses cheveux, et donna des coups de reins supplémentaires. Elle en avait du mal à avaler sa salive, tant il tapait fort. Chaque séance de sexe avec Reto était comme se faire intensivement baiser. Il avait une endurance phénoménale, et un appétit sexuel digne d’un ogre affamé. Seigneur, c’était tellement dur ! Sa queue était grosse, et il grognait... Parfois même, il la mordait. Il la plaqua contre le mur, et son corps rebondit contre ce dernier, la faisant hurler. Elle eut un violent orgasme, aspergeant le sol de sa mouille, mais l’homme, furieux, ne s’arrêta pas, continuant à l’envahir, enfouissant sa tête dans ses cheveux, humant sa belle odeur.
*
Quand il eut fini, dans une explosion de sperme, il relâcha la femme, et Doutzen tomba sur le sol en soupirant, épuisée, tout son corps en sueur. De la sueur coulait également le long du torse musclé et glabre de Reto, qui passa une main sur son menton, s’essuyant un peu.

« Tu continueras à la voir, je n’abandonne pas encore totalement l’idée de me servir d’elle. Elle a du talent, il faut juste trouver un moyen de la persuader. »
Le visage de Doutz’ avait atterri dans une flaque de mouille et de sperme, et elle hocha lentement la tête.

Voilà qui faisait plaisir, encore plus que ses orgasmes à répétition.

FÉLICIA HARDY

« Autant d’appétit, mes minous, ce n’est pas raisonnable... Est-ce que vous savez combien d’argent je dépense rien que pour remplir ces trous béants qui vous font office d’estomacs, hum ? »

Pour toute réponse, elle eut droit à un nouveau concert de miaulements. Félicia soupira, et continua à verser les croquettes dans la bonne dizaine de gamelles s’amoncelant dans la cuisine. Les chats de Félicia étaient nombreux, et, à chaque fois qu’elle revenait du lycée, elle était accueillie par un concert de miaulements émanant de toutes ces boules de poils, à tel point qu’on aurait pu la prendre pour une vieille fille. Une soirée assez tranquille s’annonçait, mais, n’étant pas du genre à regarder la télévision, Félicia allait probablement en profiter pour sortir, et espionner les Yakuzas... Trouver un objet précieux sur lequel mettre ses griffes, par exemple.

La Chatte Noire méditait là-dessus quand son téléphone portable se mit à sonner. Se relevant après avoir caressé massivement un chat, elle marcha vers son téléphone, posé sur sa table, et son cœur fit un bond dans sa poitrine en voyant le nom qui s’affichait dessus : « AOKI ». La relation entre elles commençait à atteindre le point de non-retour, cette zone dangereuse où Félicia ne pouvait plus simplement prétendre avoir affaire à une simple amie. Elles n’avaient rien de prévu ce soir, mais Félicia décrocha malgré tout l’appareil.

Les salutations d’usage passées, Aoki lui demanda ce qu’elle savait sur une certaine Doutzen Kroes, ce qui interloqua un peu Félicia. Doutz’...

« Doutz’... Une belle blonde qui fait tourner la tête des garçons. Ça me parle, oui. C’est une déléguée de classe, qui reçoit les félicitations du conseil de classe à chaque trimestre. Elle est souriante, avenante, et... Enfin, c’est une fille sympa, quoi. Pas vraiment une fille à problèmes, non... Pourquoi cette soudaine curiosité pour mes élèves ? »

Et, sinon, pourquoi lui avoir demandé si Doutzen était une « fille à problèmes » ?

Dans quoi est-ce qu’Aoki venait de se fourrer ?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 09 octobre 2014, 20:44:53
Bon choix ou non, Aoki avait décidé de voir ce que Félicia savait de cette fille, vois un peu ce que son passé allait révéler à l'école. Jouait-elle les filles très gentille là-bas ou bien ce n'était qu'une façade qu'elle utilisait pour Aoki? Entendre la voix de Félicia la rassurait un peu déjà, elle avait toujours adoré lui parler, passer un moment avec elle, même si ce n'était que le temps d'un café dehors car si l'une était chez l'autre, c'était comme des aimants, ça finissait toujours nue, collé l'une contre l'autre. Mais Aoki ne l'avait pas invité ce soir, elle laissait toujours au moins une soirée en paix avant de l'invité à nouveau. Sauf quand c'était elle qui voulait la faire venir. Enfin bon, elle ne voulait pas trop se montrer collante, elle ne voulait pas que la belle Américaine soupçonne les sentiments d'Aoki. C'était stupide mais on lui avait fait sa déclaration, la première fois avec son petit copain et ça avait mal fini. Avec Hitomi, c'était elle qui avait fait le premier pas et ça avait mal fini, plus rapidement. Alors cette fois, elle voulait que ce soit Félicia qui lui ouvre son cœur, sinon, ce n'était elle ou rien. Enfin bon, pour ce soir, elle évitait de rentrer dans le jeu en demandant les banalités avant de poser quelques questions sur Doutzen Kroes.

Apparemment, vu ce qu'elle lui disait, elle n'avait pas menti. Elle était même déléguée, surement des amies donc et déjà des garçons qui lui tourne autour? Cette fille aurait très bien pu finir top modèle sans problème mais son choix était tourné vers le septième art alors autant continué dans cette voie. Mais évidemment, Félicia lui demanda pourquoi cet intérêt pour elle, soudainement? Elle préférait éviter de dire toute la vérité sinon Félicia risquait d'une façon ou d'une autre d'intervenir et de voir ou arrêter Reto.

« Je prends juste mes précautions, son père me paraissait louche mais je pense donc que c'est juste un père protecteur et non un type bizarre. »

Oups, elle s'en voulait un peu de lui avoir dit ça... Elle se souvenait que Félicia n'avait pas grandi avec son père et elle espérait donc que cela n'avait en rien perturbé ses pensées. Si Félicia s'en tenait à ça, alors elle aura évité le pire. Ce sera à elle de faire de Doutzen une petite étoile montante sans couché avec elle. Si elle arrive à faire coincer son père d'une façon ou d'une autre aussi, ce ne serait pas un mal. Doutzen avait beau ne pas y voir le mal dans tout ça mais Aoki ne supportait pas que cette fille accepte d'être sa chose en l'appelant Papa. C'est simplement dégoûtant!

« Mais finit de parler de moi ou de cette fille, et toi? Ça va? »

Oui, quitte à avoir Félicia à l'autre bout du fil, autant continuer un peu à entendre sa voix qui faisait rendre la sérieuse Aoki en adolescente au téléphone avec la personne qu'elle aime. Faut dire que ce côté-là de son adolescence a été zapé puisque à cette époque, elle était l'élève brillante qui visait les grands lycées et les grandes facs. S'ensuivent quelques bavardages sur tout et rien mais Aoki évitait toute allusion au sexe, elle ne voulait pas être tentée par une quelconque perche tendue ni même tentée Félicia à venir la voir. Elle avait quand même un travail à finir. Racrochant enfin le téléphone, elle en profita pour nourrir sa chatte, Kumaneko et sortit Rex, son Berger Allemand avant de le nourrir lui aussi. Elle prit une bonne douche avant de finir sur son lit avec son pc portable, finissant de travailler sur le dossier de Doutzen, donnant quelques coups de fils pour organiser ses journées, que ce soit tenter de voir si la troupe avec qui elle travaillait avait de la place pour quelques-unes de ses élèves. Après tout, ce serait inutile de donner un cours séparé à chacune de ses élèves, alors comme d'habitude, elle tentait de faire venir aussi d'autres de ses élèves, à voir qui était libre pour ça demain. S'il n'y a pas de petit boulot ou de cours à côté. Le temps de passer à nouveau quelques appels qu'elle avait sa petite liste, quatre filles en tout dont Doutzen mais pas de garçon. Pourtant Aoki et ses collègues avaient plus de filles que de garçon à gérer mais pour cette fois, ce sera entre jeunes femmes. Elle envoya un dernier sms à Doutzen pour lui fixer l'heure du rendez-vous devant le bâtiment où auront lieu les cours, elle lui donnerait rendez-vous devant la société au pire si elle ne peut pas s'y rendre seule, ainsi que prendre des vêtements normaux pour la suite. Vu que le rendez-vous avait lieu après les cours.

Le lendemain, Aoki arriva devant le bâtiment, ses autres élèves étant plus habituées attendaient déjà dans le hall mais Aoki accueillait Doutzen avec le sourire avant de lui demander de la suivre. À peine avait-elle passé les portes que trois autres jeunes filles se levèrent en lui souriant.

« Contente de voir que personne n'a eu de contre-temps. Vous semblez toutes allez bien, ça me rassure. Laissez-moi vous présenter Doutzen Kroes, dernière arrivée dans notre petit groupe alors préparer lui un accueil chaleureux et n'hésitez pas à lui donner de conseil. Comme je me tue à le répéter, ça ne sert à rien de vous faire la guerre entre vous. »

Toutes les filles la saluèrent avant que son petit groupe ne la suive jusqu'à l'ascenseur pour se rendre à un étage plus haut, où avait lieu les exercices de théâtre. Ce bâtiment avait de multiples salles pour ce genre de chose.

« Je vais prévenir Kozonuha-san de notre arrivée, allez-vous changer dans le vestiaire. »

Aoki partait devant alors qu'une jeune femme avec un sourire complice l'attendait, la fameuse Kozohuna (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2431296) en personne alors que les filles prenaient une porte non loin de là.  Le temps de faire un peu connaissance. La première à prendre la parole était Maki (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2427235), une ravissante japonaise brune qui semblait souvent de très bonne humeur.

« Alors comme ça tu veut réaliser ton rêve? Tu sais que la boîte a déjà pas mal d'idoles qui sont passé par là? Et même en étant élève de Kou-san! D'ailleurs ton visage me dit quelque chose... T'es du lycée Mishima, non? Oh! Moi c'est Maki, je cherche à devenir actrice! »
« C'est un peu le cas de beaucoup dans la société. La grande majorité des gens cherchent à devenir acteur ou chanteur, moi c'est pour devenir actrice et moi c'est Haruka (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2424862)! »


Elle semblait aussi joyeuse que Maki bien qu'elle avait un air un peu plus béat sur le visage. Idiote? Qui sait. La dernière qui ne s'était pas présentée était Kohane, elle abordait un regard plutôt soucieux en se changeant.

« Elle, c'est Kohane (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=322433), il faut pas lui en vouloir si elle paraît dans son monde, elle est toujours comme ça avant et pendant les leçons, une fois fini, elle est super-sympa. Mais bon, c'est le genre de fille qui se donne a fond, même pour un exercice, tu vois le genre? »

Les présentations étaient faites même si Doutzen pouvait en dire un peu plus sur elle si l'envie lui prend.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le samedi 11 octobre 2014, 02:14:43
Reto l’avait autorité à continuer à voir Aoki, même si Doutzen craignait que ce ne soit désormais que temporaire. Quoi que son « père » ait voulu faire avec elle, ça n’avait pas trop marché, et Doutz’ savait qu’elle ne pouvait pas aller contre son avis. Il était Reto, et elle se devait de lui obéir. Elle passa donc l’essentiel de la journée dans l’incertitude, souriant à ses amies, partagée entre des sentiments contradictoires. D’un côté, elle était ravie de pouvoir enfin commencer à exercer son rêve d’enfance, mais, d’un autre, elle avait peur que tous ses espoirs ne finissent par échouer, si son père en décidait autrement. Les motivations de ce dernier étaient toujours difficiles à cerner, et Aoki ne réagissait pas comme il le voulait. Reto faisait partie de ces gens qui aimaient tout contrôler autour d’eux. C’était sa manière d’être, sa façon d’agir. Or, Aoki échappait à ce qu’il avait prévu, et ceci l’énervait. Doutz’ le connaissait plutôt bien, à force, et Reto était tout à fait capable. C’était pour cette raison que Doutzen avait parlé de cette manière hier à Aoki, afin qu’elle évite de faire des bêtises... Comme aller voir la police. Reto n’était pas très ami avec la police de Seikusu, une police qui était vendue aux Yakuzas, et qui attendait le moindre prétexte pour se débarrasser des Russes. La guerre des gangs était une chose que Doutz’ connaissait plutôt bien, dans la mesure où son père

Durant cette journée, elle reçut rapidement un SMS d’Aoki, lui donnant un lieu de rendez-vous, avec une heure, après ses cours. Le cœur de Doutzen bondit dans sa poitrine, et elle se mordilla les lèvres, réfrénant des sourires. À la pause, elle appela son père, afin de lui dire qu’elle avait rendez-vous avec Aoki, désirant savoir si ce dernier était d’accord pour qu’il aille la voir.

« Hum… Ça marche, Doutz’. »

La femme en fut rassurée, et continua ensuite à suivre ses cours, en discutant avec ses amies. Elles ignoraient qui Doutzen était réellement, mais elles savaient que cette dernière voulait être une actrice, et qu’elle avait été voir Aoki Kou. Cela, la jeune femme pouvait le leur dire, même si elle évitait d’en dire plus. Hors-de-question, par exemple, de leur dire qu’elle était une prostituée de luxe utilisant son corps et ses charmes pour piéger les rivaux de Reto, ou ses ennemis potentiels. Elle se contentait généralement de trouver une excuse pour éviter de passer des après-midis entre copines chez elle, un exercice avec lequel elle s’en sortait plutôt bien, même si, pour le coup, ses amies la charriaient souvent là-dessus.

Doutzen se retrouva ainsi devant le bâtiment où Aoki souhaitait la retrouver, après avoir pris le bus. Elle arriva la dernière, et sourit en la voyant, ainsi que d’autres personnes. Le petit groupe se retrouva rapidement dans une salle de théâtre, et, comme il n’y avait que des filles, ça se mit évidemment à papoter et à discuter. Doutzen arriva dans le vestiaire, tout en se demandant quelle tenue elle allait enfiler. Dans sa tête, elle souriait fugacement à l’idée qu’on puisse lui donner une tenue de Petit Chaperon Rouge... C’était son rôle préféré. Pendant ce temps, les autres filles se présentaient à elle. Doutzen leur sourit, se sentant... Heureuse. Presque comme si elle était dans un environnement familier.

« Ok... Moi, je m’appelle Doutzen, mais vous pouvez m’appeler Doutz’... Et... Et bien, sans surprise, je souhaite aussi être une actrice. J’ai de la chance que Kou-san ait accepté de me former. »

Outre Reto et ses plans tortueux et pervers, Doutzen devait aussi penser à elle. Elle était avec des graines d’actrices, des filles qui étaient plutôt belles. Reto aurait dit qu’elles étaient « bien baisables », et, s’il avait vu Kozonuha-san, il aurait probablement eu envie de la violer sur place. C’était un animal, avec des pulsions sexuelles violentes, qu’il avait bien du mal à réfréner... Et qu’il ne cherchait même pas à réfréner, de fait. C’était aussi pour ça que Doutz’ n’amenait pas ses copines chez elle : Dieu seul sait de quoi Reto serait capable face à de si belles adolescentes.

« Je suis ravie de vous voir... Vous... Euh... Vous êtes aussi des élèves de Kou-san ? »

Maki était visiblement une lycéenne, mais son visage ne lui disait rien. Quant à Haruka, elle avait l’air très joyeuse. De jeunes adolescentes qui sentaient bon la joie de vivre, même si Kohane semblait plutôt être du genre très sérieuse.

« Et, euh... Oui, je suis une élève du lycée Mishima. Une déléguée de classe, même. Tu es aussi au lycée, Maki, c’est ça ? »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 21 octobre 2014, 20:37:39
Aoki avait laissé les filles se changer le temps pour elle de bavarder un peu avec Kozonuha, parler de la séance qui va suivre et de choses diverses. Pendant ce temps, les filles faisaient connaissance avec Doutzen, chacune à leur façon même si Kohane restait fidèle à elle-même, perdue dans ses pensées en se changeant, faisant à peine attention à ce que ses camarades disaient à côté. Maki était apparemment la plus énergique et la plus sérieuse à la fois. Car Maki était surement LA plus énergique du groupe et Kohane LA plus sérieuse, elle, elle était au centre. Doutzen commençait à faire connaissance avec Maki qui, comme les autres commençait à retirer son uniforme pour quelque chose de plus banal pour pouvoir bouger facilement durant les exercices.

« Oui, ça m'est déjà arrivé de te croiser une ou deux fois dans les couloirs sans jamais vraiment y faire attention. Mais t'en fais pas pour ici, Kou-san à ses méthodes, parfois tu vas avoir l'impression que ça ne sert pas à grand-chose ou même que tu maîtrises parfaitement cet exercice mais elle sait te juger, même mieux que toi-même! Moi, je pensais être super doué en impro', je me suis un peu trop vanté et j'ai même refusé un exercice un jour, elle m'en a fait baver, elle était meilleure que moi alors que je croyais qu'elle faisait que réciter un manuel du genre « comment former votre futur acteur/actrice »! »
« Moi je te dis Maki-san, elle sait tout ça, c'est grâce à Kozonuha-senseï! »
« Encore cette histoire? »
« Mais tu as vu le sourire en coin de Kou-san et de Kozonuha-senseï quand elles se sont croisé du regard en arrivant ici? Moi je te parie mille yens qu'il a ou qu'il y a eu un truc entre elles! Je suis sûr que pendant que nous on se change, on n'est pas les seules à se dévêtir un peu. Ça doit être du genre à se rouler des pelles en cachette dans un coin en prêtant une oreille attentive à nos pas pour quand on va arriver! »
« Ok, pari tenue, si elles sont pas au moins collé l'une contre l'autre, tu me devras mille yens! »
« ça marche! »


Maki et Haruka se serraient la main en se dépêchant de se déshabiller pour enfiler un jogging pour le moment car la première partie, ça va être un peu d'échauffement en tous genres. Haruka lorgnait un peu sur les formes de Doutzen avec un petit sourire en coin, observant en se changeant.

« Doutz'-san, tu as plutôt de belles formes, tu dois être le genre de filles qui voit son casier à chaussure déborder de lettres en tous genres je parie? D'ailleurs avec ton petit air d'étrangère fraichement débarquer, tu dois faire des jalouses! Tiens d'ailleurs, tu es d'où? »

Ses origines bien sûr car contrairement aux autres, elle ne faisait pas japonaise. Simples curiosités entre camarades de classe. Deux minutes plus tard, elles étaient prête à agir et Kohane avait déjà fini, prête à franchir la porte mais Maki la stoppait bien rapidement.

« Attends! On va d'abord voir pour notre pari alors attend nous avant de venir. »
« C'est puéril comme pari. Elles font ce qu'elles veulent. On est là pour s'entrainer, pas pour jouer les commères! »
« Juste une seconde! On n'est pas là pour juger non plus, on est dans un pays libre mais bon, on a un pari en jeu... puis ça te tente pas de parier? »
« Pas vraiment... enfin bon, dépêchez-vous, plus vite on en aura fini, plus vite on se mettra au travail. »


Maki la remercia en attendant les deux autres avant d'ouvrir doucement les vestiaires en fermant la porte à clé le plus doucement possible avant de rejoindre leur salle en étant aussi discrète que des souris. La porte était ouverte et laissai un petit couloir de libre avant la salle où elles allaient s'entrainer. La porte était entrouverte et était étrangement silencieux. Chacune des filles y glissait un œil dans le peu d'espace de la porte, Haruka frôlant le sol, Maki au-dessus avec Kohane puis Doutzen si elle voulait. On ne voyait pas grand-chose mais les deux femmes étaient plutôt proches. Plus Kozohuna qui faisait de la drague à Aoki, qui restait les bras croisés mais pas insensibles à ses tentatives plutôt tactiles. Una main sur sa hanche, la seconde caressant sa nuque. Elles pouvaient à peine distinguer ce dont elles parlaient.

« …mieux que moi? J'ai souvenir que tu n'arrêtais pas d'en redemander il n'y a pas si longtemps de ça, hmm? »
« Que veux-tu que j'y fasse, on trouve toujours meilleure comme on dit. »
« Oui mais meilleure que moi, j'en doute un peu... Tu es sûr de pas vouloir passer ce soir, je me ferais toute gentille et tu pourras m'utiliser comme bon te semble... »
Kozohuna lui embrassait doucement le cou, ne laissant pas Aoki indifférente.
« Arrête... elles ne vont pas tarder... »
« Et je sais que ça t'excite en plus... Dis-moi oui et j'arrête... J'y crois pas une seule seconde que tu sois amoureuse... tu essayes juste de reposer ton petit cul... »


ça devenait cru mais ça ne semblait pas allez plus loin pour le moment, logique, elles allaient débarquer d'une seconde à l'autre mais Maki et Haruka se retiraient en souriant, enfin, une qui souriait.

« Tu me dois mille yens! »

fanfaronnait-elle en chuchotant. Cela dit, en jouant les espionnes, elles avaient appris certaines choses, plus cruciale pour certaines que pour les autres.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 23 octobre 2014, 01:40:38
Doutzen se trouvait au sein d’un groupe, et elle devait bien admettre que c’était plaisant... Tout comme le fait d’avoir été élue déléguée de classe par ses camarades. Avoir le sentiment d’appartenir à un groupe, à une petite collectivité, d’être au cœur d’une communauté, même quand elle ne comprenait que trois ou quatre personnes, c’était particulièrement gratifiant. C’était comme d’avoir, autour de soi, une sorte de cercle intime, privé, qui ne venait pas de sa famille, ni n’était imposée par personne... Des amis à soi, comme une manière de se sentir libre. Doutz’ vivait continuellement sous la coupe réglée de son « père », non seulement parce que ce dernier avait des projets pour elle, mais craignait aussi l’immixtion de la police dans ses affaires. En un sens, cette tyrannie ne rendait que plus jouissive et plus agréable encore le fait d’avoir des amis. Doutzen sourit donc en voyant les deux filles lui dire que Kou-san était une bonne prof’, tout en faisant ce que tous les élèves du monde entier aimaient faire quand ils avaient des profs’ sexys : s’interroger sur leurs activités sexuelles. Apparemment, des rumeurs circulaient sur une possible relation sexuelle entre Kou-san et Kozohuna-senseï.

*Peut-être bien que Reto n’avait pas totalement tort, alors, en estimant qu’Aoki avait des goûts sexuels très prononcés...*

Elle était pratiquement sûre que, si elle leur demandait si Kou-san avait couché avec des élèves, il y aurait quantité de rumeurs folles à ce sujet. Néanmoins, elle préférait rester discrète et silencieuse, tout en les suivant. C’est de cette manière qu’elle assista à une dispute entre les deux femmes et Kohane, la troisième voulant rentrer, et ne voyant guère l’intérêt de ce genre de jeu. Doutzen comprit ainsi facilement que, contrairement à Maki et Haruka, Kohane était vraiment une fille sérieuse, le stéréotype typique du Japonais travailleur et obsessionnel, passant son temps à travailler, et ne vivant que pour le travail. Les deux filles, en parfaites curieuses, se penchèrent dans l’embrasure de la porte menant à l’endroit où elles devaient répéter.

Nerveuse, Doutz’ était amusée malgré elle, et se rapprocha également, un sourire sur le coin des lèvres, se mordillant les lèvres. Elle entendit Aoki et Kozohuna parler entre elles, et Doutz’ comprit alors pourquoi Reto n’arrivait pas à obtenir ce qu’il voulait avec elle. Elle était amoureuse... Aoki avait probablement refusé à ses aventures avec ses élèves pour cette mystérieuse nana... Mais, manifestement, elle était encore sensible, et Kozuhane avait pu se rapprocher d’elle. Doutzen s’était également progressivement penchée, jusqu’à poser ses mains sur les épaules de Maki pour pouvoir voir, en se hissant sur la pointe des pieds.

« Woow... Elles vont se rouler une pelle ?! »

Elle devait bien admettre que c’était très joli à voir... Kozuhane s’était collée contre le corps d’Aoki, l’embrassant dans le creux, visiblement guère inquiète à l’idée que des élèves puissent l’apercevoir... Si bien que Doutzen se demanda aussi si cette prof’ ne couchait pas également avec ses élèves. Elle se mordilla les lèvres, amusée malgré elle... Sans savoir si les deux femmes à l’intérieur risquaient de les surprendre ou pas. Les quatre jeunes filles s’appuyaient en effet un peu trop contre la porte, et ce qui devait arriver arriva.

D’un seul coup, la porte s’ouvrit, et, dans un même cri, les quatre filles s’affalèrent sur le sol.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le samedi 01 novembre 2014, 22:14:09
Si les filles épiaient ce qui se passait, du côté des adultes, ça devenait de plus en plus chaud. Kozohuna ne semblait pas être le genre de femme qui aime qu'on lui dise non. Pourtant, il était arrivé qu'elle soit la soumise d'Aoki et inversement mais pour le moment, la prof' de théâtre avait les lèvres bien proches du cou de la jeune femme. Si elle aurait été une vampire, elle aurait surement aimé y planter ses belles canines. Mais pour le coup, l'ambiance se réchauffait entre elles. Il était difficile de voir cela vu qu'elle bloquait la vue aux petites fouineuses mais Kozohuna avait déjà détaché quelques boutons du chemisier d'Aoki pour y glisser ses doigts mais surtout sa langue. En les laissant seules, peu de toutes que cela se termine aussi innocemment que ça. Mais heureusement dans un sens, les filles avaient manqué de discrétion pour s'écrouler sur le plancher devant la porte. Kozohuna se retourna en cachant Aoki, gênée qui rattachait les boutons de son chemisier en se retournant.

« On ne peut même plus bavarder en paix? J'espère que votre petite mission d'espionnage vous a rapporter gros, mesdemoiselles! »
« Mille Yens Senseï. »
« Seulement? Mais je vaux plus que ça voyons! Allez, en piste les filles. »


Cette jeune femme semblait être du genre détendu, à rigoler avec ses élèves mais aussi à se montrer sérieuse, c'était un plus pour ses filles. Aoki rattachait aussi sa veste pour être impeccable dans son tailleur. Elle prenait place sur une chaise, observant chacune de ses élèves en pianotant sur son clavier pour noter certaines choses les concernant, les bons comme les mauvais points. Tantôt un regard global, tantôt focaliser sur une personne. Ses petites lunettes sur le nez, elle ne semblait plus être la jeune femme de la veille qui avait tenté de « sauver » Doutzen de ce monde étrange où pourtant, elle y était dans son élément. Doutzen était en droit de se poser certaines questions sur le but de son « père » avec Aoki, si Kozohuna était du même genre qu'Aoki a avoir une relation plus intime avec certains de ses élèves, c'était surement le cas mais ce n'était pas la question. À voir Aoki, on voyait que cette histoire, la veille, ne semblait plus la préoccuper même si c'était mentir, toute cette chose continuait de tourner dans sa tête.

Elle refusait que Doutzen soit en danger par sa faute mais elle refusait de jouer le petit jeu de Reto pour autant. Les filles faisaient leur exercice tant en solo qu'en duo, devant improviser certaines choses, certains scénarios parfois en duo, parfois avec une partenaire qui faisait tout pour déconcentrer sa partenaire, elles devaient passer par des tas de choses. Kozohuna était si gentille et parfois si sadique, agissant comme la dernière des pétasses, en leur coupant la parole, les corrigeant sans cesse, ignorant parfois totalement leur exercice pour bavarder avec une autre ou Aoki. Pourquoi donc alors? Eh bien pour quelles gardent la tête froide et endure parfois ce genre de scénario car quand on est inconnu, l'attention que les producteurs prêtent aux autres est si nulle que ça en devient ridicule. Bien que le but n'était pas annoncé, elles s'en sortaient toutes bien, devinant la chose ou se taisant pour ne pas se montrer impolie, il fallait redoubler de talent pour attirer à nouveau l'attention de leur prof' et évitez de jouer la starlette. De la petite troupe, c'était Kohane qui s'en sortait le mieux mais le théâtre, c'était sa passion aussi.

Passant enfin à des exercices un peu plus professionnelles, elle laissait une pause aux filles le temps qu'elle bavarde avec Aoki de certaines choses, le temps entre quelques gorgées pour se désaltérer de faire un peu plus connaissance entre les filles.

« Doutz'-san, c'est ta première fois ici je crois? »
« Alors tu vas avoir la chance de te rapprocher de Kozohuna-senseï! »
les filles gloussaient entre elles avant de lui en toucher deux mots, même Kohane écoutait sans vraiment participer au débat. « Tous les nouveaux qui débarquent ici, garçon ou filles ont ce genre d'exercices dans ce qui va suivre. Après, elle te laissera surement tranquille mais elle a toujours eu cette habitude. »
« Surement pour forcer à jouer dans une situation pas facile? »
« Ou en profiter! Moi elle m'a fait le coup de l'escorte girl, toi c'était quoi déjà? La stripteaseuse je crois? On va voir ce que ça va être pour toi! 
»

Une sorte de tradition mais justement, elle clapait ses mains pour attirer son attention avant de jouer avec les filles, tour à tour. Pour Kohane, elle devait jouer une espèce de loubarde des temps modernes qui cherchait des noises à Kozohuna, pour Maki c'était de jouer une prof' de danse qui corrige son élève sur certains point, Haruka était un banquier qui devait refuser un prêt à Kozohuna, jeune mère en détresse. Des rôles pas facile à jouer tant sur le mental que sur leurs connaissances dans ce domaine mais là étaient aussi le but, se surpasser dans un rôle qui ne leur collait pas. Place a la dernière du lot, toujours sous le regard d'Aoki qui observait en pianotant sur son clavier.

« Bien, place à notre dernière venue. Doutzen-san donc. Pour toi... Ce sera dans un bar ou une boîte de nuit, tu es seule, dans ton coin et moi, je suis le genre de nana ou de type si tu veux qui va tout faire pour ta draguer, te coller et tenter d'en profiter doucement mais surement. Tu es le genre de fille qui hésite un peu, c'est pas ton genre, tu as déjà quelqu'un dans ta vie et pourtant je ne te laisse pas indifférente pour autant. Tu as tout en tête? Trois, deux, un, go! »

Kozohuna se déhanchait doucement en se rapprochant de Doutzen face aux autres, il n'y avait certes aucune musique, aucune ambiance mais ça fait partie du jeu, de savoir s'immerger dans l'ambiance. Kozohuna posa une main sur le mur avec les miroirs dans le dos de Doutzen, se montrant déjà imposante face à elle, laissant son index se balader sur son menton puis sa joue et ses cheveux au fur et à mesure de ses paroles.

« Bonjour ma jolie, on est seule? Tu sais, je me trouvais dans mon coin et en te voyant toute seule, je me suis dit que c'était criminel de te laisser comme ça dans ton petit coin-coin. Tu sais, tu es vraiment mignonne, on aurait dit une jolie fleur qui aurait poussé au milieu d'une route. On se demande ce qu'elle fait là mais on refuse de l'arracher. »

Le départ était sonné, Aoki comme Kozohuna se demandait comment la suite allait se passer. Les trois autres n'en perdaient pas une miette non plus. 
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 03 novembre 2014, 01:19:46
Doutzen et son escouade de filles n’étaient clairement pas très douées pour écouter aux portes, et les deux adultes réagirent rapidement. Aoki ne dit rien, et Doutz’ vit clairement qu’elle avait l’air gênée, laissant le soin à Kozohuna d’agir, et de rapidement faire l’impasse sur ce que les filles avaient vu. Un peu surprise, et également gênée de s’être fait surprendre, Doutzen choisit sagement de ne rien dire, se mordillant les lèvres, et commença à assister à la leçon. Était-ce pour ça qu’Aoki refusait d’obéir à son père ? Parce qu’elle était déjà avec quelqu’un, et qu’elle était fidèle ? Son père aurait-il pu se tromper à ce point ? Reto savait combien l’information était cruciale dans son métier, et une telle erreur ne lui ressemblait pas... Et puis, vu la manière dont ses collègues se comportaient, coucher avec les élèves devait être récurrent ici. Doutzen ne savait plus quoi en penser, et choisit de se concentrer sur les exercices donnés par Kozohuna-senseï. Tout en les distribuant, cette dernière n’hésitait pas à faire autre chose.

L’Européenne se retrouva en duo avec Haruka, à camper les personnages d’une pièce shakespearienne, un éternel classique anglo-saxon, et visiblement très en vogue au Japon. Le studio d’Aoki optait pour permettre aux élèves de s’essayer sur des pièces plus susceptibles de leur plaire que les pièces de kabuki. Doutzen avait déjà assisté à plusieurs scènes de théâtre classique japonais, et avait été très impressionnée par l’importance accordée au maquillage et au corps. Les acteurs parlaient peu, s’exprimant essentiellement par la gestuelle, les regards des acteurs... De quoi rappeler à Doutzen toute l’importance de la gestuelle dans la communication. Autrement dit, parler n’était pas la seule chose pour exprimer une idée, et il était donc très important de coordonner les mouvements de son corps. Parfois, on pouvait exprimer bien plus de choses avec le corps qu’en parlant. Actrice, ce n’était pas un métier facile, et Doutz’ fit du mieux qu’elle put. Sa prestation fut loin d’être digne de celle de Kohane, et, à dire vrai, Doutzen voyait très bien une femme comme Kohane rejoindre une troupe de kabuki. N’étant pas une pure Japonaise, les chances de Doutzen étaient plutôt réduites, et, pour être entièrement honnête, ce n’était pas un style qui le tentait. Elle préférait plutôt le cinéma, même si elle savait que c’était une voie relativement bouchée, à moins de vivre à Los Angeles. Comme dans bien d’autres domaines culturels, les Américains exerçaient une grande influence, et cette influence était notable pour le cinéma. Cependant, le cinéma japonais entretenait d’étroits liens avec le cinéma américain, et Doutzen espérait bien que son statu de gaijin pourrait paradoxalement lui ouvrir des portes. Si elle réussissait à faire carrière au Japon, les grands studios hollywoodiens seraient assurément ravis de la prendre. Son grand rêve était toujours de voir son visage apparaître sur les écrans géants de Broadway Avenue.

Le temps passait, lorsque Kozohuna-senseï l’arrêta, afin de soumettre Doutz’ à un rituel. Méfiante, cette dernière se demanda de quoi il s’agissait. Ses collègues semblaient amusées, gloussant entre elles, et elle comprit qu’il s’agissait d’une sorte de simulation avec Kozohuna-senseï.

*La vache !*

Curieusement, elle sentit l’anxiété, le stress, envahir provisoirement son corps. C’était curieux, oui, car elle était une experte en simulation. Ne s’amusait-elle pas à jouer fréquemment le rôle du petit chaperon rouge devant les pervers de Seikusu pour son père ? Cependant, le rôle était plutôt facile... Là, elle allait devoir faire plus. La senseï lui expliqua son rôle : jouer le rôle d’une petite amie séduite par elle, et qui, tout en ne voulant pas tromper son amoureux, était malgré tout attirée par elle... Ce qui, vu le physique de la femme, ne devrait pas être trop difficile à jouer. Néanmoins, là où ça devenait compliqué, c’est qu’elle allait devoir jouer un rôle paradoxal, en étant à la fois hostile et en même temps attirée... Pas facile !

Elle hocha la tête quand Kozohuna-senseï lui demanda si elle avait bien tout compris.

« Oui, senseï ! »

Elle n’échouerait pas, voilà ce qu’elle se promettait. Kozohuna-senseï s’avança vers elle, roulant des hanches, faisant doucement sourire Doutz’, qui cligna des yeux, en la regardant brièvement, de bas vers le haut, avant de le regarder. Elle était déjà dans son rôle, agissant comme si elle était intriguée par cette femme qui s’approchait d’elle... Et se recula légèrement quand Kozohuna envahit son espace vital, avançant l’une de ses mains par la suite pour caresser son visage, ses doigts glissant agréablement sur sa peau. Kozohuna se mit ensuite à parler, et Doutz’ en profita pour écarter légèrement son visage de ses doigts, tout en s’adossant contre le mur. Jouer à la fois le dégoût et l’attirance... Pas facile !

Fort heureusement, Kozohuna n’était pas très douée pour draguer des gens, et ses remarques faillirent même la faire rire. Elle avait l’impression d’assister à une parodie de séduction, et elle hocha la tête :

« Elle attend quelqu’un... Quelqu’un qui a cru bon de me poser un lapin... Encore un. »

Dans sa tête, elle imaginait déjà le scénario se dérouler. Elle, une petite amie face à un mec infidèle... Un grand classique, surtout quand on était aussi belle qu’elle, mais c’était pour les besoins de la pièce. Doutzen regarda autour d’elle, comme si elle s’attendait à chaque instant à voir le prétendu petit ami débarquer avec un bouquet de fleurs, puis reporta son attention sur la femme, en décroisant légèrement ses bras.

« Et toi ? On t’a aussi posé un lapin ? Ça doit être le destin des filles bien roulées... » lâcha-t-elle en soupirant alors.

Elle entortilla alors une mèche de cheveux autour de son doigt. Généralement, les autres aimaient bien ça. Il n’y avait qu’à espérer que ce soit aussi le cas pour Kozohuna-senseï.

Mine de rien, Doutz’ était en train de s’éclater !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 24 novembre 2014, 21:07:08
Aoki restait assise sur sa chaise à superviser tout ce qui passait, pianotant sur son pc ce qui se déroulait ses ses yeux, les plus et les moins de ses élèves. Elles se débrouillaient bien dans l'ensemble mais chacune d'elles avait encore des choses a faire après tout, des choses a travailler, à corriger. Pour Doutzen qui était sa dernière élève en date, elle ne pouvait pas vraiment dire ce qu'elle devait corriger, elle allait bien voir ç au fur et à mesure. Justement, voilà son tour d'improvisation avec Kozohuna. Elle savait que son amie ce petit bizutage de prévu à chaque fois, garçon ou fille, toujours quelque chose dans le même genre. Elle lui disait souvent que c'était normal de faire ça en premier, face à une femme plus mature qu'elles, qui lui fait – ou eux – du rentre dedans, ils en perdaient leur moyen. Et justement non, elle voulait les voir réagir correctement. Pour le moment, elle continuait d'observer tout cela sans avoir son mot à dire car après tout, c'était Kozohuna qui menait la danse, Aoki repérait juste les progrès et les faiblesses de ses élèves.

La jolie jeune femme faisait un peu rire, volontairement ou non mais pour le moment, elle s'en fichait, remuant doucement comme si elle était la seule à entendre cette musique d'ambiance dans sa tête. Quels genres de musiques ils passent en boîte? Des trucs technos, un peu pops, un peu rock? Oui surement. Les boîtes, ce n'était pas son truc, elle arrivait facilement à trouver quelqu'un pour s'éclater une fois le soir venu, pas besoin d'aller dans ce genre d'endroit. Bien, Doutzen jouait donc celle qui attendait encore son mec qui devait regarder sous la jupe des autres filles, d'accord. Voilà qui sera encore plus simple.

« Oh moi mon lapin ne date pas d'aujourd'hui... je cherche juste quelqu'un avec qui m'éclater et je crois que ça va être toi mon p'tit lapin! »

Kozohuna lui laissait un peu plus de liberté sans la bloquer dans son coin en s'écartant un peu en tirant sur son bras pour la faire avancer – pendant qu'elle, reculait -  et elle commençait à se déhancher sur un rythme qui était que dans sa tête. Rien de bien métalleux ou trop techno, le genre de chanson à la mode où bouger un peu suffit, quelques mouvements comme madame tout le monde dans une boîte de nuit. Kozohuna dansait autour d'elle, venant parfois se rapprocher un peu trop d'elle, leurs corps se touchant un peu, parfois beaucoup, sans pour autant utiliser ses mains. C'était parfois ses cuisses, parfois son ventre, parfois sa poitrine qui la frôlait un peu.

« C'est ça, laisse la musique t'accompagner et laisses-toi bercer par elle. »

Kozohuna se rapprocha de plus en plus, venant poser ses mains sur ses hanches et se baser sur son rythme, la suivant comme si elle était son reflet. Elle se faisait proche mais elle avait ce don de savoir en un regard si elle pouvait franchir certaines limites ou bien si elle le fait, elle risque quelques problèmes. Et ce, même si elle dirait que c'est pour le bien de l'exercice. Elle ne l'embrassait pas, elle ne la caressait pas vraiment non plus, elle avait juste ses mains sur ses hanches et son visage plutôt près du sien mais seule leur front se touchait.

« Voilà qui est mieux... Et toi alors mon joli petit lapin, tu ne veux pas en profiter un peu? »

Elle rapprocha sa bouche de son oreille, soufflant doucement dessus en prononçant quelques petits mots qui vont lui montrer quel genre de fille il s'agit?

« Pose tes mains sur mes fesses ma mignonne... »

Ce n'était pas du harcèlement ou même un exercice bidon... quoiqu'un peu mais elle avait pour but de voir si Doutzen pouvait faire de ce genre de chose osé devant un public, voir si elle en était capable. Même si dans une pièce, elle peut faire ça devant plusieurs centaines voir milliers de personnes, dans un film, même sans être porno, il n'y aura pas qu'elle et l'acteur ou actrice en face, il y aura les ingénieurs du son, caméra-man, producteur, ect... Doutzen serait trop timide pour faire ça? À voir mais aucune des spectatrices n'en perdait une miette!
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 27 novembre 2014, 01:17:15
Ce petit jeu avait quelque chose d’amusant. Doutz’ avait toujours aimé l’idée d’être une actrice, l’idée de jouer un rôle. Elle trouvait ça très amusant. Les explications profondes remontaient peut-être à son enfance, où elle avait toujours été une jeune femme réservée et silencieuse, mais qui adorait se mettre dans la peau d’un autre. Quand elle devait faire un exposé en cours, elle s’imaginait dans la peau de quelqu’un d’autre, et elle comme une simple spectatrice fantomatique qui tournerait autour de son corps, donnant une répétition en se voyant faire. Depuis lors, elle avait toujours été intéressée par cette idée. Voir des films était pour elle une véritable fascination, car, avec le temps et l’expérience, elle arrivait à voir les bons acteurs des mauvais, à dissocier ceux qui jouaient sans conviction, et ceux qui se donnaient vraiment à fond dans leur rôle, en essayant vraiment d’incarner quelqu’un de crédible. C’est ce qui faisait qu’elle avait toujours préféré les films hollywoodiens aux films venant de sa propre région. Les films produits en Europe de l’Est étaient nuls, avec des acteurs médiocres, des films aux budgets insignifiants… Du moins, c’est ce qu’elle avait pu dire jadis. Avec le temps, elle avait aussi vu que, quand un acteur était passionné, même quand il jouait dans un mauvais film, son talent d’acteur était tellement bon qu’il en éclipsait tout le reste. Inversement, à Hollywood, la tendance aux films à gros budget, aux blockbusters remplis d’effets spéciaux, faisaient que le jeu d’acteurs avait tendance à s’aseptiser, à s’uniformiser au milieu des effets spéciaux, de la performance capture, et des grosses explosions. Le jeu finissait par devenir secondaire, et c’était pour ça qu’elle préférait les films d’auteurs, ou les films datant du noir et blanc, des années 1950’s… Ces films avaient une empreinte marquée, et des acteurs très convaincants. Elle adorait Henry Fonda, par exemple, ces légendes du cinéma hollywoodien comme John Wayne, Humphrey Bogart, ou encore, d’un point de vue féminin, Rita Hayworth, ou Marilyn Monroe. Elle avait été l’image flamboyante de la belle Amérique, l’Amérique glamour, chic et élégante… Une femme si influente qu’elle avait été l’amante de personnalités extrêmement importantes de l’époque, jusqu’au Président Kennedy himself. Partant de là, Doutzen avait toujours eu, en elle, ce vieux rêve de devenir une actrice légendaire. Même aujourd’hui, Hollywood continuait à produire des superstars, extrêmement médiatiques : Brad Pitt, Georges Clooney, Leonardo DiCaprio… Autant d’exemples pour elle, et tous avaient commencé petit. Même si le cinéma était une voie très fermée et où le piston marchait bien, il fallait toujours commencer petit. Tous ces acteurs avaient une importante carrière théâtrale, et Doutz’ savait que le théâtre était le meilleur moyen de rejoindre les studios de cinéma.

Pour elle, cet entretien était donc très important. Sans y être aussi sérieuse et disciplinée que Kohane-san, Doutzen ne voulait pas se rater. Elle ne pensait alors pas à Reto, mais simplement à elle. Kozohuna-senseï lui avait demandé de jouer un rôle, et Doutz’ le choisit. Elles se mirent à danser sur un air de musique s’échappant des haut-parleurs, et elle se laissa progressivement aller. Kozohuna dansait très près d’elle, optant pour des contacts corporels, sortant peu à peu du rôle de la simulation et des décences morales. Difficile pour Doutz’ de le réaliser, quand son père adoptif était un pervers sexuel, brutal et violent. Néanmoins, elle sentait progressivement la tension monter, et se forçait à danser, à faire mine de s’écarter un peu quand la femme cherchait à se rapprocher d’elle. Kozohuna agissait comme une espèce de veuve noire. Doutzen avait déjà rencontré plusieurs de ces femmes quand elle jouait son rôle de Petit Chaperon Rouge. Elle tombait sur des femmes mariées, tellement fatiguées par leurs maris incapables, qu’elles draguaient ouvertement les jeunes femmes comme Doutzen. Combien de femmes avaient-elles touché ses fesses, ou lui avaient montré sa culotte, avec des sourires suggestifs ?

Kozohuna lui proposa alors de toucher ses fesses, et elle vit, à la lueur dansante dans les yeux de la femme, qu’elle se demandait si Doutz’ allait vraiment le faire.

*Tu ignores ce que j’ai fait, Kozohuna…*

Aoki aussi l’ignorait. Doutz’ se mordilla les lèvres, et sourit légèrement. Elle tendit ses mains et les posa sur les hanches de la femme, son corps venant se blottir contre le sien.

« Je crois que Kenji serait très jaloux s’il me voyait faire ça avec une autre femme… »

Kenji, le nom de son petit ami fictif, qu’elle imaginait déjà comme possessif… Normal, quand on sortait au Japon avec une belle blonde naturelle. Les mains de Doutzen se déplacèrent alors, et se posèrent sur les fesses de la femme.

« Mais tu sais ce qu’on dit… Quand le chat n’est pas là, les souris dansent… Et, faute de lapin, je crois que je me contenterais bien d’une souris. »

Doutz’ approcha alors ses lèvres de Kozohuna, et l’embrassa tendrement, se hissant sur la pointe des pieds. Ses lèvres se posèrent aux siennes pendant quelques secondes, avant qu’elle ne rompe le baiser, dans un sourire mutin, une lueur de plaisir malicieux brûlant dans ses pupilles.

Elle était en train de follement s’amuser.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 30 décembre 2014, 20:54:40
Kozohuna s'amusait bien dans son propre cours. C'est ça qu'il y a de bien avec le théâtre, il y a toujours un moyen de se faire plaisir et de s'amuser à la moindre occasion, que cela aille dans les deux sens ou non. Car après tout si la personne veut pas, formule magique « c'est pour le cours » et hop, au moins, elle s'amuse ! Aoki continuait de les observer pour son travail, savoir repérer ce qui allait ou non dans leur jeu. Mais Kozohuna se demandait si dans son regard il y avait de l'envie ou de la jalousie ? Elle qui se la jouait mademoiselle je-suis-amoureuse. C'était du pipeau son histoire ou la vérité ? Bonne question. La jeune femme continuait d'aguicher la demoiselle en se demandant comment elle allait réagir ? Pour le moment, elle semblait gérer la situation mais avec sa demande, est-ce que Doutzen allait montrer une faiblesse ou bien Kozohuna avait mal choisi la scène. Qu'à cela ne tienne ! Elle en profitait aussi. Venant lui demander de lui toucher les fesses pour le bien de la scène, cette petite avait un charmant sourire qu'elle-même pouvait avoir de temps à autre quand elle était en chasse. La jeune européenne venait placer ses mains sur elle, se blottissant en plus contre elle. Hmm, ça sentait la bonne note pour cette fille, non ?

« Et tu as bien raison. »

Kozohuna venait l'embrasser elle aussi doucement, de dos, pour ses spectatrices, ça donnait une impression de vrai, sauf que c'était vrai ! Elle préférait rester quand même prudente, même si les trois jeunes filles dans son dos avait toutes étés consentantes lors de ce genre d'exercice plus ou moins privé, elle préférait faire ce genre de chose en comité beaucoup plus restreint, à deux par exemple. Décollant ses lèvres des siennes doucement, elle avait le même de sourire que son élève. Un peu plus grande qu'elle en taille, à sa façon de la regarder, on croirait qu'elle la prend de haut mais elle était juste contente de son élève.

« Tu danseras avec moi ma souris mais sache une chose. Ton Kenji serait peut-être jaloux de te voir faire ça avec un autre homme mais avec moi... il donnerait tout ce qu'il y a dans son portefeuille pour voir ça... Et bien plus encore pour nous voir faire... autre chose. »

Kozohuna lui fit un petit clin d’œil qui voulait tout dire. Toutes les deux prolongeaient leurs petits jeux même si cela se faisait surtout de petits murmures dans les oreilles ainsi que de jolis déhanchés qui devait faire plaisir à plus d'une fille ici présente. Mais au bout de cinq bonne minutes, Kozohuna reprenait son sérieux.

« Bien. Petite pause les filles, allez souffler un peu, on doit voir ce que ça a donné pour vos prestations. »

Clapant des mains, les filles se levèrent pour quitter la salle pour attendre dehors. Il y avait un distributeur de boissons comme de confiserie, gratuit évidemment à leur disposition. Une fois les élèves sorties, la porte n'était pas fermée mais à quoi bon, c'est censé rester privée ce qui se dit ici mais elles pourront quand même entendre ce qui allait ou pas en revenant. Là, c'était juste le temps de faire le point, bavardant de chose et d'autres sur leur prestation. Décapsulant sa canette de soda, Haruka soupirait d'aise.

« Tu étais plutôt pas mal dans cet exercice avec la senseï. Au moins on voit que tu as un certain potentiel. Bon ou mauvais, après, c'est pas mon rayon ! Mais tu avais l'air plutôt à l'aise. »
« Hmm, c'est plutôt Kozu-chan qui l'avais mis à l'aise. Je parie qu'elle ta vraiment embrassée, non ? Ce serait bien son genre. » enchérit Maki

Même si c'était plutôt Doutzen la coupable. Du côté des jeunes femmes, après la mise au point sur leur élève, il était temps de bavarder de choses plus amusantes.

« Allez, je n'y crois pas à ton histoire. Tu es vraiment amoureuse ? »
« Eh bien oui, je pense ? »
« Aoki, tu sais que t'adore mais je préfère que tu y repense à deux fois... La dernière fois que tu avais été ''amoureuse'' de cette ancienne copine de fac, tu était en petit morceau. Combien de soir tu as passé dans mes bras à pleurer avec tes idées noires ? J'ai pas envie de te revoir dans cet état. »
« Je sais bien, c'est pour ça que je préfère laisser couler un peu. Passé plus de temps avec elle et cette fois, ce sera à elle de me déclarer sa flamme. Moi, j'attendrais juste le bon moment.  Et si je vois que ça marche pas... »
« Rhooo arrête d'être pessimiste ! Une nuit avec moi et je te ferais oublier ta petite chérie. »
« Je garde ce conseil de côté. »
« Et ta nouvelle élève, la petite Doutzen, elle donne quoi en intimité ? »
« Ça aussi j'ai décidé d'arrêter. D'un point de vue sécurité puis par amour aussi. »
« Sécurité, mon cul. Il y a dix ou vingt ans je dis pas mais de nos jours, les Japonaises sont comme les petites américaines, bien en avance ! Tu leur proposes de coucher avec toi, soit ça hésite un peu, soit ça saute sur l'occasion. Y a quelques années, je dis pas. Rien que ce que j'ai fait avec Doutzen, j'aurais pu risquer gros mais avec tout ce qui passé à la télé, sur le net, tout ça, c'est presque aussi naturel qu'une tape amicale dans le dos d'un élève. »
« Je sais pas... Peut-être je me lasse de ses jeunettes, je cherche sûrement quelque chose de sérieux et stable ? »
« Pff, tu m'en diras tant... »


Cela continuait un peu, mais elles n'allaient pas tarder à faire le point avec les filles.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 31 décembre 2014, 17:21:36
Elles s’étaient vraiment embrassées, et, tandis qu’elles le faisaient, Doutz’ comprit pourquoi Reto l’avait envoyé ici. Son « père » était doué pour obtenir des informations confidentielles, et il avait dû entendre parler de la réputation sulfureuse de ces professeurs... Peut-être aurait-il dû se tourner vers Kozohuna, qui avait l’air nettement plus perverse qu’Aoki. Il avait dû se passer quelque chose dans la vie d’Aoki, quelque chose qui l’avait changé, et Doutz’ en avait peur. D’un côté, elle était contente qu’Aoki ne couche plus avec ses élèves, mais, d’un autre côté, elle savait aussi que ce regain de moralité pouvait la condamner auprès de Reto à arrêter ce qu’elle faisait, ce à quoi elle ne tenait pas particulièrement. La jeune femme se retrouva donc avec ses collègues, le cœur battant la chamade, non seulement à cause du baiser et des propositions sexuelles de Kozohuna-senseï, mais aussi pour le plaisir de pouvoir enfin faire du théâtre, de la comédie... Et peut-être même du cinéma.

Doutzen se retrouva devant le distributeur de café et le distributeur de boissons, et se commanda un chocolat chaud, tout en discutant avec les filles. Un petit sourire ornait le coin de ses lèvres. « Un certain potentiel »... Elle rougit légèrement devant ce compliment poli. Maki revint alors sur le baiser, et Doutz’ leur sourit d’un air espiègle, tout en buvant un peu de son chocolat.

« On s’est embrassées toutes les deux... Et ses lèvres ont un délicieux goût de fraise. »

Elle était sûre que, en d’autres circonstances, Kozohuna lui aurait fait l’amour... Et Doutz’ savait aussi qu’elle aurait apprécié ça. Sa vie à Seikusu l’avait changé... Elle avait cru que Reto était un pervers, mais elle avait remarqué que le sexe était partout, et qu’il était omniprésent au lycée Mishima. Mélinda Warren, les jumelles Karistal, Isley-senseï... Le sexe était omniprésent, et, si Doutz’ avait réussi à masquer ce qu’elle était vraiment, ici, elle avait le sentiment qu’elle pouvait se lâcher... Et elle n’oubliait pas ce que Reto avait voulu faire en l’amenant ici.

C’est ce qui l’amena à poser une question aux femmes qui l’entouraient :

« Est-ce que... Euh... Est-ce qu’il est fréquent que les senseïs se livrent à... À ce genre de choses ? »

Il lui fallait bien se renseigner davantage !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le samedi 17 janvier 2015, 21:43:56
Si du côté des adultes, ça parlait intimités, du côté des élèves, ça parlait aussi relation avec des adultes, des choses qui pourraient faire un double scandale, si ce n'est plus. Non seulement, c'est une mineur et une adulte mais en plus, du même sexe ! Certes, ce n'était qu'un petit baiser pour « entrer dans la peau du personnage » mais une mauvaise langue pouvait obtenir bien plus même si dans le cas, sans la moindre photo ou vidéo, Doutzen comme Kozohuna nierait la chose et pas de chantage car les deux étaient pour ainsi dire consentantes. La jeune femme avait lancé la balle mais son élève n'avait pas apparemment repoussé cette même balle. Partant sur cette histoire de baiser, les filles étaient gourmandes en détail mais ce goût de fraise, oui, c'était un souvenir commun, à croire qu'elle aimait user de ce genre de rouge à lèvres ou de petit produit donnant un goût de fraise à ses lèvres. À moins que ce soit naturel ? Non ? Mais si Kohane restait légèrement en retrait, restant aussi sérieuse, elle semblait avoir elle aussi déjà goûter à ce goût de fraise. Mais passons.

Doutzen venait à poser le doigt sur une question qui n'avait pas encore de réponse malgré que les trois autres étaient ici depuis plus longtemps qu'elle. Maki haussa les épaules en buvant un peu de son thé.

« On sait pas trop ? Je sais pas si c'est juste des sex friends ou si c'est le coup du ''je t'aime, moi non plus''. Quand on observe en cachette, elles sont relativement proches... »
« Ta bien vu tout à l'heure, Kou-senseï s'était retourné pour rattacher les boutons de son chemisier ! »
« Mais elles semblent loin de paraître en couple. Plusieurs fois, je les ai suivis après les cours et y a rien eu de spécial. Soit elles partent chacun de leur cotés, soit elles allaient prendre un café, rien de plus. Après, je ne les ai pas suivis toute la soirée, j'ai quand même mieux à faire que jouer les espions. »


Car rien ne disait si après ce café, elles ne s'étaient pas séparée pour mieux se préparer à leur soirée ? Bref, leur pause passait tranquillement, le temps de souffler qu'elles devaient reprendre. Kozohuna avait établi avec Aoki les points forts et faibles de chacune, même si une séance était trop peu pour jauger les capacités de Doutzen. C'est pour cela qu'elle eut le droit à quelques remarques bonnes comme mauvaises mais en précisant bien que pas encore définitif puisqu'elles en savent peu sur elle. Les leçons continuaient de plus belle pour elles, sur divers exercices. Après quelques échanges de numéro, de mails, que ce soit entre les filles ou par Kozohuna, pour raison professionnelle... évidemment. Les filles allaient pouvoir communiquer ensemble mais avant de partir, Aoki attendait dans son tailleur (http://img15.hostingpics.net/pics/4034027933460696e0e0d4bfe0a9d2cd74c1e2.jpg) à la sortie des vestiaires, elle comptait bien bavarder un peu avec Doutzen, la conversation avec Kozohuna avait amené certaines idées.

« Doutzen ? Tu peux me suivre, on doit discuter de certaines choses... »

Des choses confidentielles. Aoki allait vers le distributeur pour bavarder avec elle, seule à seule. Une fois la jeune femme, elles pouvaient parler de certaines choses.

« J'ai réfléchi à ce qu'on a dit hier et je suis d'accord pour au moins essayé mais si c'est un oui pour toi, ce sera maintenant, sans prévenir ton père ou une autre personne. Je veux pas tomber dans une sorte de piège. Non pas que je t'accuse mais je ne fais pas confiance à ton père. Bien entendu, tu devras suivre mes ordres, jusqu'à être seule. Tu en pense quoi ? »

Aoki avait les bras croisés, adossé contre la machine à café, elle attendait la réponse de la demoiselle. Elle ne voulait pas la voir tripoter son portable pour X raison, quitte à devoir « suivre » les désirs de Reto, elle préférait que ce dernier ne soit pas au courant de ce qui se passe. Autant qu'il croit Aoki toujours dans le doute ou le non catégorique alors que sa fille s'amusait en avançant à petits pas vers son rêve...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 19 janvier 2015, 02:20:20
La journée se poursuivit donc, avec moult conversations, puis avec le retour de leurs exercices. Visiblement, l’expérience sexuelle des professeurs passionnait autant les étudiants de cette école privée que ceux du lycée public. Doutzen n’avait guère insisté longtemps. La relation entre Kozohuna et Aoki ne l’intéressait que par rapport à Reto, et pour comprendre ce qui avait changé chez Aoki. Elle ne couchait plus avec ses élèves, ce qui était embêtant pour Reto... Et aussi pour elle. Clairement, Doutz’ avait adoré cette journée, mais, plus elle filait, plus les cours de théâtre et les répétitions passaient, et plus elle redoutait la soirée à venir, ce moment où, penaude, la tête basse, elle devrait annoncer à Reto, que, et bien non, Aoki ne pourrait pas les aider. Reto s’énerverait, la violerait probablement, puis abandonnerait ensuite l’idée de se rapprocher d’Aoki. En définitive, c’était lui qui avait le dernier mot, lui qui décidait ce qu’il convenait de faire... Et Reto n’était pas un homme qui aimait qu’on lui dise « Non ». Clairement pas. Doutzen avait donc de plus en plus peur, et, malheureusement, la journée finit par se terminer.

Elle se trouvait dans les vestiaires, désormais seule, après avoir salué ses nouvelles amies, et pris leurs coordonnées. Elle prenait son temps, et entendit alors des bruits de pas à l’entrée... Tournant la tête, elle rougit en voyant Aoki arriver, dans un tailleur sévère, mais terriblement sexy. Elle se tint face à elle, un peu surprise, voyant, dans les yeux de la senseï, une étrange lueur... Lueur qui l’amena à froncer els sourcils. Est-ce qu’elle avait appelé la police ? Contacté les services de protection de l’enfance ? Il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre, après la conversation avec Reto, que c’était un homme dangereux, un prédateur... Doutzen déglutit lentement, serrant les poings, n’osant tout simplement pas parler. Aoki se mit alors à parler, balayant les angoisses de Doutz’, ce qui, concrètement, se manifesta sur son visage par une expression de curiosité et d’étonnement. Avait-elle bien entendu ?

*Oui, je n’ai pas rêvé...*

Elles se tenaient devant le distributeur de cafés, seules, et Aoki venait de lui dire qu’elle comptait faire ce dont elles avaient discuté hier... Une manière bien polie de dire qu’elles allaient faire l’amour. L’étonnement laissa place à une lueur de surprise, que Doutz’ ravala, ainsi qu’un frissonnement remontant le long de son échine. Oui ! avait-elle envie de scander. Elle allait pouvoir rester ici, continuer à se former, et, peut-être un jour, accomplir enfin son rêve... Devenir actrice, finir à Broadway, dans des robes magnifiques, avec un sourire enchanteur, saluer de la main des foules entières de fans en délire... Secouant la tête, Doutzen revint à la réalité. Aoki se méfiait toujours de Reto, et elle voulait s’assurer que Doutzen soit bel et bien consentante.

Ravalant donc sa bonne humeur, elle hocha lentement la tête, sur un ton un peu plus sérieux.

« J’en pense que c’est une très bonne idée... Et je peux tenir ça caché de Reto, au moins au début... Mais Reto ne veut pas vous piéger, Kou-senseï. Il... Il est juste particulier, mais, croyez-moi, s’il voulait vous piéger, vous ne l’auriez jamais vu. »

Elle se tut, se retenant de ne pas en dire trop... Doutzen pensait qu’Aoki apprécierait de savoir à quoi Doutzen se livrait quand Reto l’envoyait coucher avec des gens, afin de briser leurs vies par la suite. Doutz’ sourit donc à Aoki, joignant ses mains dans son dos.

« En tout cas, ce tailleur vous va très bien... Vous voulez qu’on commence quand ? »

Droit au but.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 11 février 2015, 21:03:45
[Site correcteur en panne donc navré pour les petites fautes restantes...]

Eh oui, Aoki venait finalement de dire oui. Mais pour quelle raison ? Sa petite discusion avec Kozohuna l'avait fait penser à une chose et pour voir où elle en était vraiment, elle avait vraiment besoin de faire ça. Tant qu'à faire, autant jouer ce petit jeu cette fois pour non seulement faire le point à ce sujet mais aussi laisser Reto de côté. Cet être ignoble qui utilisait sa fille à ses propres fins allait avoir ce qu'il voulait mais Aoki était maligne. Elle n'allait pas faire ça dans son jeu, bien laissé ça au hasard, ne lui laissez aucune chance de préparer un piège ou autres. Doutzen semblait plutôt contente déjà, bon point.

« Libre à toi de t'en vanter après ou de tout lui raconter dans les détails. Je veux juste faire ça selon mes règles. »

Elle choisi l'heure, l'endroit et cela est non négociable. Elle ne voulait pas d'une suite royale déjà payer où elle n'avait qu'à « travailler » avec Doutzen, quitte à user un peu d'argent, Aoki le fera sans l'aide de ce type. Oui, elle ne pouvait pas encadrer ce type et elle ne s'en était pas privé de le lui dire. Même si la demoiselle jouait sur les compliment sur sa tenue, maintenant qu'elle était sûr de la suite, la Japonaise restait sérvieuse en l'observant à peine, préférant garder un œil sur les couloirs, voir si personne ne jouait les espions.

« Garde tes compliments pour la suite, tu en auras besoin. À ce propos, suis-moi, je vais te raconter comment ça va se passer. »

Prenant le chemin pour quitter le bâtiment, Aoki lui prit son portable, qu'elle rendra naturellement après leur petites galipettes mais à peine l'avait-elle en main, qu'elle détachait la batterie et la puce de ce portable. On n'est jamais trop prudente. Déjà que ce type avait des preuves sur elle, elle ne voulait pas fournir de nouvelles preuves à ce mettre sous la dent. Rangeant le tout dans sa poche, elle arriva en bas pour prendre une voiture avec chauffeur de la société. Elle lui expliqua rapidement la marche à suivre une fois la vitre abaissé.

« J'ai réservé une chambre au nom de la société, il te suffira juste de demander les clés, il s'agit normalement de la chambre D-27. J'arriverais quelques minutes plus tard pour ne pas éveiller les soupçons et ensuite commencera ta leçon. »

Doutzen pouvait noter que la jeune femme n'était plus aussi gaie et chaleureuse que cette après-midi et la veille quand elles étaient seules, un avant-goût de ce qui risquait de se passer dans cette chambre ? Elle la laissait deviner ça par elle-même. La voiture ne mit que quelques minutes avant d'arrivée à l’hôtel où Aoki demanda une nouvelle fois à Doutzen le numéro de la chambre. Libre à elle ensuite de se mettre en condition ou se tenir à carreaux, elle n'avait rien dit de spécial. Quittant la voiture à son tour, elle fit mime d'aller dans un café juste à côté de la voiture pour faire croire que leur chemin se séparait vraiment. Elle observa son portable pour attendre cinq bonnes minutes. Elle avait réservé la chambre avant d'aller chercher Doutzen en stipulant bien qu'elle ne voulait être déranger sous aucun prétexte alors elle avait décider de couper la ligne de sa chambre. Elle avait confiance en cette fille mais on ne sait jamais jusqu'où irait son père alors elle avait préférer éviter de se faire avoir par le petit chaperons rouge. Terminant son café, elle prit le chemin de l’hôtel pour prendre une autre chambre à son nom. Un paiement inutile mais on n'est jamais trop prudent, ainsi, elle avait loué une deuxième chambre, à son nom cette fois, même si celle-là restera vide.

Arrivant dans la chambre, elle ouvrit la porte en la fermant à clé derrière elle. Elle observa Doutzen avec un léger sourire avant qu'elle n'aille prendre place sur un fauteuil. Cette chambre n'avait rien d'un cinq étoile mais ce n'était rien de minable non plus, il y avait une certaine qualité de vie ici. Débotonnant simplement son chemisier, elle s'installa donc sur le fauteuil, posant son coude sur l'accoudoir en observant Doutzen. Son index fit signe de s'approcher et de s'intaller sur ses cuisses.

« Dis-moi tout, Doutzen. Je suppose que tu sais clairement ce que veux ton père donc, est-ce qu'il veut vraiment que je te forme ou bien c'est simplement une excuse pour que tu t'amuse un peu ? »

Cela serait étonnant que Doutzen soit encore vierge et ne sache pas quoi faire en réalité. Vu son père, la jeune fille devait savoir autant de chose qu'Aoki, au moins assez pour deviner ce qui pourrait bien se passer par la suite. Mais elle voulait l'entendre de sa bouche, savoir ce qui allait se passer ensuite, entre elles. Muette ou non, elle posait sa main de libre sur sa hanche, la caressant doucement en laissant un petit sourire naître sur ses lèvres. Ce serait mentir de dire que ce genre de chose ne lui a pas manqué. Il était temps de voir comment la belle allait se débrouiller à présent. Aoki allait-elle devoir vraiment la former ou bien seulement laisser libre court à leur pulsion ?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 13 février 2015, 01:39:20
Ce retournement de situation était aussi surprenant que bienvenu. Doutzen était heureuse, très heureuse, car elle savait que, si Aoki acceptait de la former, sexuellement parlant, Reto ne verrait aucune objection à ce qu’elle continuez ses cours. Certes, il faudrait l’en informer, mais Doutz’ le ferait en temps et en heure. Cependant, il ne fallait pas croire qu’elle voulait une relation de ce type avec Aoki juste de manière intéressée. Non, Aoki l’intéressait aussi en tant que telle. C’était triste à dire, et un peu glauque, mais, à force d’être le Petit Chaperon rouge de Reto, Doutz’ avait fini par prendre goût au sexe, notamment avec les femmes, qui, généralement, connaissaient un peu mieux le corps féminin, et étaient moins brutales que les hommes, soucieux avant tout de leur propre plaisir, et se moquant bien du plaisir de la femme. Or, quand le partenaire était un partenaire féminin, très souvent, l’autre femme veillait aussi à ce que Doutz’, même en la faisant souffrir, atteigne le plaisir suprême. Oh, et Doutzen sentait bien que ce serait magnifique avec Aoki !

C’est pour cette raison qu’elle accepta qu’elle prenne son téléphone, et ne se retrouve dans la chambre indiquée. Son cœur battait lourdement dans sa poitrine, et elle frissonnait sur place. Doutzen s’assit sur le lit, dans une chambre unique, avec une porte latérale menant à la salle de bains. Elle se mordilla les lèvres, observant le mobilier. Ce n’était pas un love hotel, mais une simple chambre d’hôtel... La belle blonde ne disait rien, se pinçant les lèvres, serrant ses mains sur ses cuisses... Et puis, Aoki arriva, dans son sublime tailleur, affreusement sexy, qui lui donnait un air très autoritaire, ce qu’elle avait illustré avec sa voix.

Elle s’assit sur le fauteuil, et Doutz’, qui n’osait pas parler, rougissait sur place, la regardant lentement s’installer. Finalement, Aoki se mit à parler, et Doutz’ déglutit silencieusement en l’entendant, un peu intimidée, les joues rouges :

« Dis-moi tout, Doutzen. Je suppose que tu sais clairement ce que veux ton père donc, est-ce qu'il veut vraiment que je te forme ou bien c'est simplement une excuse pour que tu t'amuses un peu ? »

Doutz’ se pinça les lèvres, et décida d’être honnête. Restant assise sur le bord du lit, elle releva la tête, et son regard croisa celui d’Aoki. Non, elle ne comptait pas lui mentir, et c’est ainsi qu’elle se mit à parler :

« Je dirais... Que c’est un peu des deux. Mon père... Je sais que vous ne l’aimez pas, Kou-san, et... En un sens, je le comprends... Mais il n’y a pas que lui derrière ça... Je... Euh... Je ne sais pas trop comment dire ça, c’est un peu gênant... »

Doutz’ avait à nouveau baissé la tête, se mordillant les lèvres, les pinçant, en se frictionnant ses mains ensemble.

« Je vous trouve très belle, Kou-san... Et... Enfin voilà... »

Curieusement, elle se sentait un peu intimidée... Mais c’était normal, vu ce qu’elles comptaient faire. Doutz’ s’humecta à nouveau les lèvres, et releva la tête vers Aoki, son regard venant croiser le sien, et elle se força à dire, avec ses belles joues cramoisies :

« J’ai envie de vous, Kou-san. »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le dimanche 01 mars 2015, 21:10:00
Aoki avait finalement cédé mais pour une bonne raison. Elle n'avait pas décidé de replonger comme avant, croquant cette chair fraîche à pleine dent, faisant d'eux des proies idéals, non. Là, même si elle va y prendre du plaisir, c'était pour une bonne raison. Ôter certains doutes de son esprit. Sa relation avec Félicia était naissante, était-ce de l'amour ? Une simple fan devant une nouvelle sex-friend ? Un simple amour de passage ? Après s'être amusé avec Doutzen, elle en aura le cœur sûr. Son amie lui avait mis quelques idées en tête, des idées qui ont bien chamboulé tout ce dont a quoi elle pouvait penser d'habitude. Maintenant face à face, elle posa quelques questions, elle y trouva au moins un semblant de réponse mais rien de bien concret de son côté. Elle afficha juste un petit sourire face à son compliment. Aoki posa sa joue contre son poing alors que son coude était sur l'accoudoir. Le visage légèrement penché, son regard observait lentement ce corps qui lui faisait face. Depuis le premier regard, elle l'avait toujours trouvé sexy. Elle pouvait facilement devenir mannequin après tout. Actrice, pas de problème non plus mais il va falloir travailler un peu plus.

« Je compte bien te faire ce petit plaisir, Doutzen-chan mais avant ça... On va s'amuser un peu toutes les deux. »

Il ne fallait pas croquer la pomme tout de suite, il fallait s'amuser un peu. Pas besoin de se mettre à nue dès maintenant. Aoki avait bien une ou deux idées en tête pour tout ça. Levant sa main de libre vers elle, elle tendait son index en lui indiquant d'approcher alors qu'elle se redressait un peu sur son fauteuil. Elle la fit s'installer sur ses cuisses. Gardant le sourire, elle ne fit pas le plaisir de venir l'embrasser de suite et pour le lui faire comprendre, elle venait placer son index sur ses deux lèvres, comme pour les sceller.

« Tu vas m'écouter, d'accord. Caresse-moi, lèche-moi, embrasse-moi si tu veux mais, pas sur les lèvres, pas tout de suite. Tu as le droit de balader tes mains où tu veux, sur mes vêtements ou en dessous si l'envie te prend. Pour le moment, je ne bougerais pas mes fesses de ce fauteuil alors je te conseille de trouver les bons arguments pour l'en relever, d'accord ? »

Son doigt caressait ses lèvres de gauche à droite puis de droite à gauche avant de doucement se glisser entre ses deux lèvres une fois arrivées au milieu. Elle gloussait en la regardant, retirant son doigt avec une lenteur digne d'un estragon lent. C'est pour dire la vitesse à laquelle elle retirait son index. Elle pouvait quitter ses cuisses si elle pensait pouvoir réussir mais pourquoi pas en profiter un peu avant pour voir si elle arriverait à la faire quitter ce fauteuil sans avoir besoin de faire un striptease ou de remuer dans tous les sens ? Aoki approcha son visage de son oreille, sa langue venait lui lécher son lobe d'oreille, très doucement, venant presque la suçoter. Ses mains ne restaient pas inactives pour autant, elles se posèrent sur ses hanches, les caressant doucement, remontant pour finalement redescendre. Cette Doutzen était vraiment mignonne et sexy, il est évident que lorsqu'elle aura son âge, elle sera diablement sexy !

« Tu sais que tu est vraiment belle ? Et dire que ta beauté n'a pas fini de se développer... D'ici six ou sept ans, peu de femmes seront aussi belles que toi. Tu en as seulement conscience de ça ? »

Mieux vaut ne pas gaspiller un tel potentiel à servir ce « père » qui ne fait que s'en servir à de mauvaises intentions. Une beauté pareil dans le monde du cinéma, couplé à des bons court de théâtre et une bonne formation pour devenir actrice... Hollywood n'avait qu'à bien se tenir ! Dire que tout ce potentiel est entre ses mains... Elle a intérêt à faire attention à ce que ça coule pas de ses mains. Si elle devient son agent par la suite, il est évident qu'elle aura aucun soucis d'argent. Et si elle vit avec Félicia, ça ne sera que bénéfique. Dans plusieurs sens en plus.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 05 mars 2015, 01:12:30
Doutzen avait déjà couché avec des femmes. De manière générale, les choses étaient bien différentes avec le beau sexe. Les femmes... Elles étaient plus retorses, et, surtout, se contrôlaient bien plus facilement. Elles savaient comment le plaisir féminin fonctionnait, elles savaient se retenir, et jouer avec elle. En fait, plus Doutzen faisait l’amour avec les femmes, et plus elle adorait coucher avec elles. C’était infiniment différent du sexe avec un homme, où ses amants avaient tendance à être dominateurs, agressifs, brutaux, voire violents. Avec une femme, il y avait toute une dimension ludique, reposant sur la frustration et la séduction. Bien sûr, ce n’était pas systématique. Parfois, elle tombait aussi sur des femmes sauvages, agressives, qui la pilonnaient avec de gros godes. Elle se souvenait ainsi de cette fois où elle avait dû faire l’amour avec un couple, se tapant le mari sous les yeux de sa femme, une quadragénaire vicieuse qui s’était frustrée, et avait méchamment baisé Doutzen. Elle en avait eu mal au cul pendant des jours, ainsi que des courbatures et des marques sur tout le corps : morsures, griffures... Comme quoi, une femme âgée était très expérimentée.

Maintenant, Doutz’ était face à Aoki, une femme plus jeune, et cette dernière commençait à donner ses instructions. Les joues légèrement rouges, la belle Européenne entrouvrit les lèvres pour acquiescer à sa demande, mais Aoki posa alors un doigt sur sa bouche. C’est à ce moment, en la voyant ainsi, décontractée et posée, mais avec une attitude empreinte d’une certaine autorité, dans ce beau tailleur sexy et élégant, que Doutzen comprit, sans la moindre hésitation possible, qu’elle était tombée sur une femme talentueuse, et qu’elle avait déjà couché avec des élèves. Quelque chose en elle avait changé, quelque chose qui avait amené Aoki à se désintéresser du sexe. Pour une fois, Reto, son père, était en retard. Il lui manquait des informations essentielles, et, là, en ce moment, Doutzen le comprenait très bien. Le doigt d’Aoki glissait sur ses belles lèvres, et la femme ne bougeait pas. La belle adolescente sentait des frissons de plaisir la traverser, de part en part. Elle aventura sa langue sur ce doigt, surtout quand Aoki le glissa en elle.

« Hmmm... »

Elle pouvait compter sur les doigts d’une seule main le nombre de fois où elle était tombée sur des amantes aussi expérimentées. Pour le coup, Doutzen ne pouvait pas mentir. Ce qu’elle allait vivre avec cette femme promettait d’être fabuleux, et ceci l’excitait énormément. Elle était face à une amante belle, jeune, et talentueuse. Sa langue remuait le long de ce doigt, ses lèvres s’y crispaient... Elle le suçotait tendrement, jusqu’à ce que ce doigt se retire, partiellement recouvert de la salive de la femme. La belle élève se tenait face à Aoki, et sentait ses ovaires en feu. Elle se mordillait les lèvres, une lueur de désir dans les yeux, et laissa Aoki lui parler, la félicitant sur sa grande beauté. Les joues de Doiutzen s’empourprèrent à nouveau, mais ce n’était pas sous l’effet de la gêne, mais bel et bien du plaisir. Belle ? Oh, mais ça, elle le savait ! Si elle était laide, Reto ne l’utiliserait pas comme Petit Chaperon Rouge. Néanmoins, il était plaisant de l’entendre venant de cette femme, car elle sentait bien que, dans sa bouche, ce n’était pas qu’une manière de dire qu’elle était bien baisable. Non, elle le comprenait davantage comme une beauté profonde et sincère. Doutzen se comparait fréquemment à Marilyn Monroe, en essayant d’être aussi glamour qu’elle. Pour autant, elle savait que Marilyn était un rêve de silicone. Sa chevelure magnifique avait été continuellement modifiée, faisant l’objet de teintures spéciales, de produits de maquillage, de flacons spéciaux... Les stars hollywoodiennes vieillissaient mal, et, vers la fin de sa carrière, Marilyn avait perdu tous ses cheveux, arborant une perruque. Cette face obscure de son modèle, Doutzen la connaissait, mais ça ne l’empêchait pas de continuer à admirer cette femme. Or, Marilyn n’avait pas une beauté baisable, mais une beauté sincère, et honnête.

Doutzen lui sourit donc, et embrassa le dos de la main d’Aoki, la tenant entre ses doigts, puis sa paume, son regard louvoyant vers le visage de la femme.

« Oui... Et non à la fois. »

À quoi ressemblerait-elle d’ici six ou sept ans ? Serait-elle vraiment encore plus belle ? Doutz’ l’ignorait, et elle avait du mal à se projeter sur si longtemps. En attendant, Kou-san lui avait donné un ordre, et Doutzen relâcha sa main, puis se pencha vers elle. Ses mains se posèrent sur les épaules de la femme, et elle s’affala contre son corps, lentement, avant d’embrasser son tailleur. Sa langue fila sur les boutons de sa veste. Elle les mordilla un peu, puis embrassa et lécha ensuite sa veste, descendant lentement, en profitant pour sentir, sous les vêtements, la peau d’Aoki. Elle descendait ainsi, jusqu’à se retrouver à même le sol, où elle s’empressa d’embrasser et de lécher les jambes d’Aoki. Suivant ses instructions, elle n’embrassait à aucun moment sa peau directement, léchant et jouant avec ses vêtements.

Ses collants et ses longues jambes fuselées l’attiraient. D’une main, elle les caressait, et son corps se frottait contre elles, sa bouche mordillant les collants, tirant sur eux avant de les relâcher. Elle les léchait ensuite, sa langue filant dessus, son cœur palpitant dans sa poitrine. Ce contact était merveilleux, délicieux et magnifique, et elle finit par relever la tête, au bout de plusieurs minutes, pour lâcher, à son tour, quelques mots :

« Vous aussi, Kou-san... Vous êtes très belle. »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le samedi 21 mars 2015, 21:59:30
Il était temps de vérifier certaines choses mais aussi de s'amuser aussi. Pourquoi pas joindre l’utile à l'agréable ? Doutzen sur ses cuisses, elle lui donna quelques directives pour commencer le jeu sans pour autant se bousculer. Tout d’abord la question de savoir si elle s'était imaginer des années plus loin, oui et non, ça voulait tout dire. Mais comme elle était jeune, elle se doutait bien que ce genre de chose ne trottait pas dans son esprit. À son âge, Aoki s'imaginait plus ou moins à ce qu'elle est aujourd'hui, la perversion en moins. Difficile de croire en la voyant qu'à l'âge de Doutzen, elle avait le nez dans ses bouquins et était absolument vierge, pas le moindre baiser, pas même le moindre doigt entre ses jambes. On peut dire qu'elle a bien rattrapé ce retard. Doutzen descendait bien doucement, venant lécher certaines parties de ses vêtements mais... elle parlait bien japonais ? Elle comprenait le japonais ? Oh, autant utiliser cela pour la taquiner un peu.

Elle la laissait jouer avec ses jambes et ses collants avant qu'elle ne lâche un peu plus tard quelques compliments. Aoki esquissa un fin sourire. Il y avait bien longtemps qu'elle n'avait pas ressenti ce genre d'envie. Était-ce à cause de son air innocent ? D'un manque qui voudrait dire que cette sensation est comme une drogue ? Elle parlait de la domination. Il est vrai qu'avec Félicia, elle prend bien souvent le rôle de dominante, à part où de rares fois où la jolie chatte voulait bien se laisser dominer, elle semblait avoir une préférence pour soumettre Aoki. Et face à cette petite « novice » qui l'aguichait, ce sentiment remontait doucement à la surface, dévoilant peu de mots mais eux, voulait tout dire.

« Je sais. »

Elle connaissait sa propre beauté, elle se savait belle mais surtout dominante et face à Doutzen, c'était ce qui allait se produire. Aoki relevait doucement sa jambe, sa jambe caressant la joue de la jolie petite européenne... C'était sa première fois avec une Européenne d'ailleurs. Il y avait eu Félicia pour Américaine mais en Europe... voilà sa première fois, quel honneur !

« Cela dit, tu m'as mal compris Doutzen. » D'un habile mouvement, elle retira sa chaussure, pliant le genou pour venir caresser et redresser son menton avec son pied. « Je t'ai dit de ne pas m'embrasser mais rien ne t'empêche de passer tes lèvres et ta langue sur ma peau. »

Jouant un fabuleux jeu de jambes, Aoki retira sa seconde chaussure avant de passer cette jambe dans son dos puis la seconde – celle qui avait caressé son menton - derrière sa tête pour l'attirer entre ses jambes. Un petit coup d’œil sous sa jupe et Doutzen pourrait se rendre compte qu'Aoki avait une jolie culotte de couleur noire mais surtout un porte jarretelle accrochée à ses collants et assortie à ses dessous. Inutile de dire que sans son tailleur, elle serait diablement sexy. Toujours accoudé à son fauteuil, son petit sourire en coin, elle observait son élève avec une lueur bien perverse, cette sensation était agréable à retrouver, il ne faut pas nier l'évidence. Elle resserra un peu plus ses jambes pour la forcer à mettre le nez dans cette zone privée et interdite pour le moment, savourant bien quelques petits coups de langue.

« Mais tu vas bien avoir du mal à profiter de ma peau si tu n'arrives pas à me forcer à quitter ce fauteuil. Allez ma jolie Doutzen, trouve le moyen de m'attirer à toi sinon ta première leçon avec moi sera la frustration sexuelle. Oh tu vas jouir mais sans jamais passer ta délicieuse petite langue sur ma peau... » Abaissant sa main de libre vers sa joue qu'elle caressait, son sourire s'étira un peu plus. « Tu ne veux pas connaître ça quand même ? Si ? »

Aoki pouvait parfois être aussi belle que sadique si on lui en laisse l'occasion. La Japonaise se mordait doucement la lèvre inférieure en l'observant. S'imaginait-elle la torturer avec plaisir ou bien une façon qu'elle trouverait pour lui faire quitter ce fauteuil ? Mystère...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 25 mars 2015, 01:25:39
Aoki était une femme expérimentée, confirmant tout ce que Reto avait pu obtenir sur elle. Une femme forte et intrépide, qui n’avait visiblement aucune pudeur face au sexe. Il avait fallu du temps, mais Doutzen était convaincue d’avoir réveillé cette femme, d’avoir réveillé sa perversion. Elle la vit retirer ses chaussures, puis frissonna quand ses pieds la caressèrent, glissant sur son menton, relevant son visage. Le fétichisme, a fortiori avec des collants, était toujours agréable. Elle avait déjà couché avec des femmes qui adoraient jouer avec leurs pieds et leurs collants en nylon. Doutzen avait ainsi vu une femme qui faisait jouir son fils ainsi, et elle avait dû l’aider à remuer ses pieds. Une expérience aussi troublante qu’excitante, mélange d’inceste et de formations sexuelles. Ça avait été une expérience fascinante. La femme était assez âgée, et avait refusé toute forme de contact corporel entre la peau de Doutzen et celle de son fils, arguant qu’une petite catin ne toucherait jamais à ce dernier. Elle avait donc dû palper son corps avec des collants en nylon, puis, par la suite, la femme l’avait prise entre ses bras, et lui avait donné des instructions pour masturber le sexe de son garçon entre ses pieds, tout en la doigtant lentement, la femme ayant également des gants. De fait, Doutzen, qui était dans sa tenue de petit chaperon rouge, n’avait jamais pu toucher le moindre centimètre carré de leurs corps respectifs. Pour elle, cette expérience avait été fascinante.

Maintenant, elle avait le sentiment qu’elle allait vivre quelque chose de similaire. Les jambes d’Aoki guidèrent cette dernière sous son tailleur, face à sa culotte. Doutzen sentait son cœur s’emballer rapidement, et se pinça les lèvres, son nez venant caresser ce tissu. Elle lécha ce morceau de tissu, de haut en bas, tout en écoutant les instructions de celle qui, en cette soirée, allait pouvoir se targuer d’être sa Maîtresse. Cette situation, Doutz’ l’acceptait extrêmement bien, avec un relent de désir qui remontait dans tout son corps. Sa langue remontait le long de cette culotte, et elle sentit, à travers cette dernière, les lèvres intimes d’Aoki, et une absence de poils pubiens. C’était une femme qui avait pris grand soin de s’épiler, qui prenait soin de son corps, de sa féminité, et cela, Doutzen le sentait. Aoki lui donna alors des instructions supplémentaires, sa main venant caresser sa joue. Elle lui demanda de trouver un moyen de l’extirper du fauteuil, et Doutz’, un peu surprise, s’assit sur les genoux, en relevant un peu la tête.

*Qu’est-ce qu’elle veut dire par là ?*

La faire sortir de son fauteuil… C’est-à-dire ? Doutzen cligna des yeux à plusieurs reprises, réfléchissant à la manière dont elle allait pouvoir agir, puis elle se releva alors, une lueur venant éclater dans ses yeux. Bien sûr, elle aurait pu juste s’écarter, mais elle n’oubliait pas qu’elle allait devoir jouer avec le corps d’Aoki, en suivant ses instructions.

« La frustration sexuelle… J’en connais un rayon, Maîtresse Kou… »

Elle posa ses mains sur les cuisses de la femme, en soutien, et se pencha vers elle, puis lécha l’emplacement de ses seins, s’attaquant à son tailleur. Elle tira sur ce dernier, le coinçant entre les dents, puis le relâcha, et appuya dessus, sentant, à travers les couches de vêtements, les seins d’Aoki. Pour une Japonaise, elle avait vraiment une magnifique poitrine, et Doutzen s’amusait à la chercher, jusqu’à ce que sa langue puisse sentir le téton, tandis que ses propres mains s’aventuraient le long des cuisses de la femme, se crispant dessus. Doutzen était loin d’être une novice en matière de sexe, et elle savait qu’Aoki le savait. Autrement dit, Doutz’ s’évertuait à lui montrer tout son talent… Et, tout en se focalisant sur ses seins, elle ne dénigrait évidemment pas le reste, remontant parfois sa bouche pour lécher son cou, glissant sur sa joue, frottant son nez contre elle, veillant alors bien à ne pas l’embrasser.

« Il y a longtemps que vous n’avez pas couché avec une élève, Maîtresse Kou, je peux le sentir… Cette sensation vous manquait, ce sentiment de domination… »

Ce n’était qu’une supposition, et Doutz’ pouvait tout à fait se tromper… Mais quelque chose lui disait que ce n’était pas le cas, et qu’il y avait réellement, chez cette femme, un manque… Comme si quelque chose, dans sa vie personnelle, l’avait éloigné de ce qu’elle avait fait pendant longtemps. Doutzen avait été l’élément perturbateur, ramenant Aoki sur son passé, lui offrant une brèche vers des temps qu’Aoki avait laissé derrière elle, mais sans totalement oublier.

N’était-ce pas merveilleux ?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 22 avril 2015, 21:13:50
L'aventure s'apprêtait à être intéressante, Aoki faisait une chose à laquelle elle n'avait pas participé depuis déjà un petit bout de temps. Avec la venue de Felicia dans sa vie, c'était très récent quand même, récent comparé à certains couples ou non. Après tout, savait-elle ce que la belle Américaine pensait d'elle ? Pas le moins du monde et c'était assez effrayer de nager dans ses eaux troubles. Mais voilà, entre le chantage de Reto, Kozohuna qui lui donnait des conseils – peut-être pas les meilleures – Aoki était troublé. Dans un sens, si elle faisait ce que Reto voulait, elle aura la paix ? Mais si elle le fait sans que cela soit programmé dans son agenda, ça évite les pièges ? Elle avait tout fait depuis le début pour que Doutzen ne finisse pas nue à ses côtés, la repoussant gentiment à chaque fois. Et là, quand elle a dit oui, ce fut à certaines conditions, sur un coup de tête alors, avait-elle évité un piège ? Sûrement mais ne crions pas victoire trop vite. La jeune femme reprenait goût à une chose qu'elle a souvent laissé de côté avec Félicia. Autre le fait que d'avoir une autre partenaire que sa belle chatte, c'était la domination. Oui, auparavant elle avait pour habitude selon ses humeurs d'être docile ou dominante et en compagnie de la super héroïne, elle était très souvent docile entre ses pattes. Les quelques fois où elle put avoir la joie de dominer Felicia, c'était quand cette dernière avait envie de se sentir soumise. Hélas, ce n'était pas tous les jours ainsi.

Alors avec Doutzen, elle tentait de rattraper ce retard, venant la prévenir qu'elle risquait la frustration si elle ne jouait pas son rôle. Mais la petite européenne savait y faire elle aussi, jouant longuement avec sa poitrine et simplement avec sa bouche. Chapeau. Mais sa petite Doutzen parlait en croyant peut-être bien faire ? Elle pensait vraiment que dire ce genre de chose ne gênerait pas Aoki ? Elle levait sa main et passait son index sous son menton en souriant doucement. Ce genre de petit sourire qui laissait comme un arrière-goût pas forcément bienveillant rien qu'en l'observant.

« Ha bon et depuis quand tu connais ma vie Doutzen-chan ? Peut-être qu'hier je me suis amusé à fesser une jolie petite paire de fesses ? Peut-être que je me suis amusé à enfoncer l'un de mes talons aiguille dans son petit trou du cul ? Peut-être que tu seras la prochaine ? Oh et je t'accorde le droit de m’appeler Maîtresse Aoki. Tu as bien travaillé, tu as bien le droit à ça ma petite Doutzen. »

Aoki gardait ce petit sourire sur ses lèvres en caressant le visage de la belle, passant ses mains sur ses joues puis quelques doigts dans ses beaux cheveux blonds ? Doutzen ressemblait à une grande poupée, cet air innocent sur son visage mais pourtant, tout le monde sait que ce sont ce genre de personne qui, avec les timides, se révèlent bien souvent être de grandes coquines !

« Tiens, je sais ce que tu vas faire ma mignonne. Tu vas te lever et me faire un petit strip-tease. Mais attention, je vais te poser deux conditions que tu es obligé d'accepter car de toute façon, même si tu pars perdante... eh bien tu n'auras pas le choix que de me montrer la vérité. »

Partir perdante donc ? Pas forcément, tout dépendra d'elle ou du moins de son choix de vêtement ce matin à son réveil ou même avant de venir, qui sait si elle s'était changé entre-temps ? Aoki venait lui baiser les lèvres rapidement, sans lui faire un vrai baiser, juste un bisou sur ses lèvres.

« Si tu portes des dessous de couleur rouge, je te traiterais comme une petite pute ma chère Doutzen-chan. Et si tu portes un string, je te traiterais comme une vraie chienne ! »

La Japonaise venait poser son index pour sceller ses lèvres, elle s'attendait à une question ou peut-être à une réponse mais elle ne voulait rien savoir ! Elle voulait l'apprendre en le découvrant avec ses yeux.

« Et si par malheur tu as les deux sur toi... je te réserve une petite surprise que tu n'oublieras pas de sitôt. Allez maintenant, bouge ton joli corps et donne-moi envie de te sauter dessus et de te baiser ! »

Elle racla son index sous son menton avant de lui sourire en la laissant se dégager de ses cuisses quand elle le voudrait. Elle cherchait rapidement un petit quelque chose en brandissant son index pour lui demander de patienter encore un instant. Elle n'allait pas la filmer ou prendre des photos, elle n'avait pas le matériel pour ça. Elle cherchait simplement une musique d'ambiance qu'elle trouva entre plusieurs musiques. Le genre de truc typique qu'on peut entendre pour ce genre de petits shows, le genre de chanson typique qu'on entend dans les films érotiques ou pornos. Deux femmes seules dans une chambre d’hôtel, ça collait bien à l'ambiance de ce genre de chanson après tout. Aoki acquiesça un instant pour la laisser se lancer. Elle était prête à en prendre plein les yeux et à voir comment elle va traiter sa Doutzen ?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 24 avril 2015, 01:51:21
Doutzen avait l’habitude d’obéir, et Aoki, tout en étant une belle femme, était aussi bien plus douce que les autres femmes que Reto employait pour la soumettre... Ou même Reto lui-même. Elle sentait qu’il y avait, en Aoki, malgré son autorité et sa perversion, une sorte de douceur innée, de gentillesse profonde envers les autres. Oh oui, elle était crue, et, quand elle parlait d’enfoncer son talon aiguille dans le cul d’une de ses élèves, Doutzen se doutait qu’elle l’avait déjà fait... Mais elle savait aussi qu’il y avait autre chose derrière tout ça. Aoki n’agissait pas dans le but de faire souffrir ses élèves, mais bien parce qu’elle sentait qu’elles apprécieraient ça. Autrement dit, son « père » avait fait un très bon choix en optant pour elle. Aoki souleva sa tête, disant de l’appeler « Maîtresse », puis termina en disant qu’elle allait lui faire un strip-tease.

Hochant lentement la tête, Doutz’ acquiesça. Aoki desserra ensuite ses jambes, et la jeune blonde put se relever, avant d’entendre autre chose sur ses sous-vêtements... Si elle avait des sous-vêtements rouges, Aoki la traiterait comme une pute, et, si elle avait un string, elle serait traitée... Comme une chienne. La nuance était subtile, et confirmait qu’Aoki avait un certain talent là-dedans. Oui, Doutz’ avait vu juste, et le petit sourire ravi qui alla sur ses lèvres, tandis qu’elle cherchait une musique d’ambiance, exprimait tout à fait cela. Les informations de Reto étaient justes. Quelque chose avait changé dans la vie d’Aoki, mais dominer ainsi des élèves lui manquait... Et ça, Doutzen pouvait le comprendre. La domination exerçait une sorte d’attrait terrible. Il était incroyablement gratifiant d’avoir quelqu’un sous ses ordres, a fortiori quand cette personne était belle. Aoki donnait ses ordres, et Doutzen les suivait, en sentant une excitation lancinante remonter progressivement dans son corps.

*Un strip-tease, donc...*

Reto lui avait déjà fait en faire, et elle avait appris à en  faire auprès de strip-teaseuses travaillant pour lui. Doutzen se tenait donc au centre de la pièce, les bras ballants, et attendit que la musique démarre. Elle ferma les yeux, remit ses cheveux en arrière, puis commença à remuer. C’était une musique lente, douce, sensuelle et profonde, qui remontait progressivement, des gémissements féminins discrets s’échappant parfois le long des morceaux de musique. Yeux clos, elle commençait à remuer des hanches et des bras, se déplaçant sur elle-même, toujours dans sa tenue. Avant de se déshabiller, elle se devait de se laisser aller, et claqua dans ses doigts en se déplaçant. Elle tourbillonna sur elle-même, et, peu à peu, Doutzen s’emballait. La danse était une chose importante quand on voulait, comme elle, devenir une comédienne célèbre. Elle remuait de plus en plus, et, quand elle tournait sur elle-même, elle bombait ses fesses en arrière ou en avant, ou glissait encore ses mains dans ses cheveux, les soulevant. Aoki pouvait ainsi voir sa nuque, et Doutzen se retournait ensuite. Elle se penchait ensuite en avant, écartant les jambes, relevant la tête, en offrant ainsi à Aoki une belle vue sur son décolleté.

Elle se retrouva à glisser sur le sol, donnant des coups de reins de haut en bas, puis se releva, et continua à danser, en roulant des hanches, tout en déboutonnant, peu à peu, sa chemise et son jean, en profitant pour passer ses mains sur ses hanches et sur ses seins, gémissant à chaque fois qu’elle frottait ses seins.

« Haaaannn... ! »

Peu à peu, elle se déshabillait, et fit sauter tous les boutons de sa chemise. Elle portait, sous sa tenue, un soutien-gorge rouge et noir (http://img110.xooimage.com/files/5/5/0/ensemble-soutien-...c-goth-c-4aebc8c.jpg) avec un string rouge à dentelle. Elle pivota sur elle-même, jusqu’à retirer son jean, et finit ainsi, en petite tenue, avant de danser sous les yeux d’Aoki, frottant son corps avec ses mains, n’hésitant pas à caresser son sexe, remuant le long de sa culotte, ses doigts creusant des plis sur son sous-vêtement en s’enfonçant, avant de se redresser, Doutzen allant alors les nettoyer en les suçant bruyamment.

« Hummm... Haaaaa... !! »

Est-ce que sa danse plaisait à Maîtresse Aoki ?

Doutzen ne pouvait que l’espérer !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 25 mai 2015, 21:22:44
Aoki en connaissait un rayon à ce sujet, c'est sûr. Mais les choses qu'elle disait le montraient bien, là ou un amateur ne verrait aucune différence entre une pute et une chienne, Aoki voyait un fossé entre ses deux choses. Mais avant d'y songer, il faut voir ce que la belle cache sous ses vêtements. Le rouge, couleur de la luxure. Là où le rose laisse place à un peu d’innocence – comme le blanc – et de romantisme, le noir se voulait assez sobre, élégant voire érotique dans certaines situations. Mais le rouge, c'est la tentation, la luxure, l'appel. Après, le string veut purement et simplement tout dire, un appel au sexe. Alors c'est sûr qu'un mélange des deux était une chose qui allait forcément faire monter la température. Aoki laissait donc Doutzen faire son petit show, elle ne bougeait pas un pouce en observant chaque mouvement de son corps. Les mouvements, ses cheveux, son regard, elle n'en perdait pas une miette. Là ou de simples pervers iraient observer les zones les plus « sexy », les plus intimes, Aoki faisait bouger son regard partout, que ce soit sur son cou, ses doigts, ses coudes, tout passait sous son regard. Ce genre de chose, c'était plus que du sexe. Il fallait voir plus loin, comme un cinéphile, un critique. Il faut TOUT analysé, l'histoire, le jeu des acteurs, les effets, les décors, tout passait sous le regard des fans les plus attentifs. Ici, elles ne seront que deux a avoir ce souvenir mais Aoki notait tout dans sa mémoire.

La belle Doutzen se déhanchait, montrant aussi une certaine expérience ou alors un talent inné mais elle penchait plutôt pour la première option. Aoki affichait un léger sourire en découvrant son soutien-gorge rouge déjà traitée comme une pute. Une petite victoire pour Aoki mais quand le petit show se poursuivait, elle découvrit un autre détail qui fit montrer ses belles dents blanches dans un petit sourire très... étrange. Un string rouge... C'était le super bingo pour elle. La belle Doutzen se plaisait à se donner en spectacle à se toucher doucement pour la faire venir à elle. Est-ce qu'elle ne va pas regretter ça ? Elle verra bien mais dans un petit rire, elle se redressa, quittant enfin son fauteuil. Une petite victoire pour Doutzen donc. Aoki resta devant son fauteuil en retirant simplement sa veste, restant donc en chemise avant de se rapprocher de Doutzen avec un grand sourire. Elle se colla contre elle en la caressant délicatement, gardant son regard dans le sien. Elle vint même l'embrasser délicatement, un baiser passionnelle, très doux et très agréable. Pourtant, n'avait-elle pas dit que du rouge et un string risquaient d'être très... eh bien, étrange ? Alors quoi ? C'était une chose qui la faisait craquer ? Pas vraiment car en terminant ce baiser, elle mordait doucement la lèvre inférieure avant de la relâcher vraiment. 

« Hum je ne suis pas daltonienne... c'est bien du rouge que tu portes ? Et cette fesse... que fait-elle à l'air libre ? » dit-elle en pressant une de ses deux fesses. Une des mains d'Aoki était dans le dos de Doutzen remontant dans ses cheveux en les caressant alors qu'elle maintenait son regard dans le sien. « J'ai un minimum de respect pour les putes et les chiennes... mais vu que tu es les deux à la fois... je ne vais pas en avoir pour toi ! »

D'un geste presque brute, Aoki la repoussait pour qu'elle tombe sur le lit. Avançant en gardant le sourire, elle retira doucement sa chemise pour dévoiler un joli soutien-gorge noir, de même qu'elle retira sa jupe en abaissant la fermeture éclair pour dévoiler une culotte similaire (http://www.cfeminin.com/16468-large_default/ensemble-lingerie-soutien-gorge-eleanor-noir.jpg) Elle gardait ses collants par contre et c'est ainsi qu'elle se rapprocha de Doutzen, marchant à quatre pattes au-dessus de son corps. Non, elle ne s'arrêta pas pour s'allonger sur son corps et l'embrasser. Elle se mit à genoux au-dessus de son visage, venant poser ses fesses sur sa poitrine. Une vue et une posture qui disait tout de suite qui dominait dans cette pièce.

« Tu seras ma chose quand tu sera dans cette chambre... Et je vais bien faire en sorte que cela soit bien imprimé dans ton cerveau. »

Ailleurs, elle restait Aoki, celle chargée de faire de Doutzen une célèbre star de cinéma, dans cette chambre, elle ne sera rien d'autre que sa chose. Le bout de ses doigts se posèrent sur son front alors que la belle ne perdait rien de son sourire. Elle se pencha un peu en avant pour mieux la regarder avant de lui donner son premier ordre.

« Tu vas commencer par me bouffer la chatte... » Elle retira ses doigts pour la laisser bouger sa tête mais avant de pouvoir arriver sur son entrejambe, elle plaquait de nouveau sa tête sur le lit en insistant bien sur son ordre. « J'ai bien dit me bou-ffer la chatte... »

Oui, donc elle va devoir se faire très vorace la petite Doutzen... voire même y aller au pied de la lettre, à pleine dent ? Ça, c'était à elle de juger ce que sa maîtresse venait de lui dire...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 27 mai 2015, 01:25:14
Doutzen ne pouvait que s’avouer vaincue ; Reto avait visé juste dès le début. Aoki avait fait bien des efforts pour tenter de devenir une simple professionnelle, pour tenter de maintenir une certaine distance entre elle et ses élèves... Mais, comme le disait le vieux proverbe, chassez le naturel, et il revient au galop. En ce moment, c’était précisément ce qui était en train de se passe.r Pour une obscure raison, Aoki avait choisi de se ranger, mais, sous l’insistance jugulée de Doutzen et de Reto, elle avait fini par s’avouer vaincue, et par succomber à ses délicieux vices. L’érotique danse de Doutzen confirma ce qu’Aoki voulait, et elle se délaissa de sa veste. La jeune femme arrêta sa danse, et entrouvrit les lèvres, accueillant délicieusement son baiser, en fermant les yeux. La bouche d’Aoki, de sa Maîtresse, était magnifique, et, pour une fois, Doutzen sentait qu’il n’y aurait absolument rien de forcé dans ce rapport... Oui, elle était totalement consentante, et elle-même avait du mal à s’en expliquer les raisons. Il ne s’agissait rien de plus que l’un des jeux de Reto, l’un de ces petits jeux pervers uniquement destinés à raffermir son emprise sur Doutz’, mais Aoki n’était pas comme les autres... Elle n’avait pas sauté tout de suite sur Doutzen, et elle avait accepté de l’avoir comme élève. Autrement dit, elle ne la voyait pas que comme un morceau de viande... Et, pourtant, Doutz’ avait insisté pour qu’elles fassent l’amour. Aussi horrible que ce soit, le sexe était ancré dans sa vie. Il était devenu quelque chose de familier, et de rassurant, car c’était un élément qu’elle connaissait, qu’elle maîtrisait, et avec lequel elle savait comment réagir.

*Le sexe est devenu une partie intégrante de ma vie, et, plus que ça, de ma personnalité...*

Aurait-elle dû en être effrayée ? Oui, dans un sens... Mais c’était aussi quelque chose de tellement bon ! Oh, certes, elle avait rencontré des amants affreux, et, la plupart du temps, c’était ce à quoi elle avait droit... Mais, parfois, on tombait sur des Aoki, sur des femmes qui vous embrassaient délicieusement, vous palpaient les fesses, vous murmuraient des propos salaces, et on sentait qu’elles jouaient, qu’elles n’étaient pas des affamées se jetant sur vous comme la dernière des hyènes. Finalement, la femme finit par la pousser sur le lit, en lui disant qu’elle allait prendre cher.

Un sourire vorace sur les lèvres, Doutzen saliva devant le corps d’Aoki. Sa Maîtresse se déshabilla rapidement, restant avec de beaux sous-vêtements noirs, puis grimpa sur le lit, marchant à quatre pattes. Un nouveau frisson traversa le corps de la jeune blonde, qui s’appuya sur ses avant-bras en s’allongeant sur le lit. Elle s’humecta les lèvres, et Aoki s’assit ensuite sur ses seins.

« Ufff... » soupira Doutzen.

Assise ainsi, Aoki lui avoua qu’elle serait, ici, « sa petite chose », et Doutzen rougit légèrement. Oui, chacun des actes et des mots d’Aoki confirmait son amour pour les relations de domination... Elle était sûre qu’elle n’était pas la première « petite chose » d’Aoki, et, loin de la dégoûter, cette constatation silencieuse l’excita encore plus, l’amenant à se dire que, dans le fond, Aoki devait être une femme très expérimentée... Reto le savait sûrement, et c’était pour ça qu’il l’avait encouragé à éduquer Doutzen... Dans tous les sens du terme. Aussi horrible soit-il, son « père » avait vu juste. Aoki finit par se retourner, et lui donna son premier ordre, qu’elle répéta bien en plaquant la tête de Doutzen contre le lit : lui « bouffer » la chatte Les joues légèrement rouges, la jeune femme acquiesça en opinant du nez.

« T-Tout ce que vous voulez, Maîtresse... »

Doutzen soupira lentement, reprenant son souffle, puis passa ensuite à l’action.

Ses mains se crispèrent sur la culotte de sa Maîtresse, une belle culotte à dentelles, et elle sentit ensuite Aoki avancer son bassin, venant tout simplement s’asseoir sur elle. On put entendre Doutzen soupirer sous ce contact et sous ce poids. Il lui fallut bien quelques secondes pour s’y adapter, et elle ouvrit les lèvres, puis planta ses dents sur la culotte, les serrant sur le tissu, griffant au passage la peau d’Aoki. Elle n’avait pas de poils pubiens, signe qu’elle s’épilait donc... Et prenait donc soin de son corps... Doutzen appréciait ça.

Ses mains caressaient les hanches de la femme, et elle attaquait donc, tirant sur la culotte, enfonçant sa langue en elle pour atteindre ses lèvres intimes. Elle grognait et haletait, remuant sa tête, ses mains se crispant sur la peau nue et chaude de sa Maîtresse. Elle continuait à lécher, encore et encore, et tirait sur la culotte. C’était une belle culotte, elle n’avait pas envie de la déchirer... Mais elle se devait aussi d’obéir aux ordres de sa Maîtresse, et c’était ce qu’elle était en train de faire.

« Hummm... Hmmmm !! »

Elle léchait activement, nerveusement, tirant et mordant, remuant faiblement ses jambes. Sous le corps de sa Maîtresse, la petite Doutzen était aux anges, et elle espérait bien que la femme apprécierait ce qu’elle était en train de lui faire.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 01 juillet 2015, 21:05:47
Aoki avait de l'expérience, c'est vrai. Pourtant, elle avait aprit du retard, à l'âge de Doutzen, elle était encore innocente, rougissant en voyant un couple s'embrasser et n'osait même pas s'imaginer en train d'embrasser un homme et encore moins une femme ! Et maintenant, il était temps d'éduquer cette petite demoiselle. Arrivée plus tôt, elle n'en aurait fait qu'une bouchée, Reto n'aurait eu besoin d'aucune demande, Doutzen serait tombé dans les griffes d'Aoki qui lui aurait appris comment elle récompense les bons élèves et comment elle les punit. Peut-être va-t-elle lui en donner un exemple aujourd'hui ? Pour le moment, c'est juste s'amuser, lui « apprendre » des choses qui tentaient la Japonaise. Doutzen devait connaître bien des choses aussi mais Aoki ne comptait pas lui demander ce qu'elle connaissait, elle comptait bien voir sur le tas.

Assise sur elle, sa bouche était en contacte avec sa culotte et ce qu'elle couvrait, naturellement, la belle jeune femme gardait un œil sur son élève, son long sourire était à la fois joyeux et très strict. Elle avait été très claire, elle voulait se faire bouffer la chatte. Si elle utilisait les dents, au point de faire frissonner Aoki, elle aura réussi, si elle reste douce et n'ose pas y mettre les dents, elle va devoir montrer d'un cran sa domination. Heureusement pour elle, Doutzen s'y tenait à la lettre en venant user de ses dents sur son entrejambe, tirant sur sa culotte, griffant la peau derrière, c'est bien, ce petit frisson était agréable. Elle observait son élève avec un sourire ravie sur le visage mais un sourire toujours aussi double sens. Le bout de ses doigts venait caresser sa joue pour venir jouer avec ses cheveux, entourant une mèche autour de son index. Aoki adoptait une attitude douce mais qui ne l'était pas tant que  ça, attention à elle si elle dérape !

« Bien... Pour le moment, tu me bouffes bien... Mais je te préviens me petite bouffeuse de chatte... Si tu fait mal ton boulot... Je n'aurais aucune hésitation à pisser dans ta belle petite bouche ! »

Aoki n'avait aucune chose à cacher, elle avait des goûts très ouverts et très larges. Bien sûr, ce n'était pas le genre de chose qu'elle préférait mais une fois de temps en temps, il n'y avait pas de mal à franchir le cap pour éduquer ses élèves ou même pour se faire plaisir... Eh oui, tous les goûts sont dans la nature ! Mais pas de panique pour Doutzen, elle s'y prenait bien pour le moment alors pas de citronnade pour elle, mais Aoki continua de caresser ses en ne la lâchant pas du regard, infligeant donc un poids en plus de son poids à son élève. Elle avait bien des choses à lui faire dans cette chambre mais elle ne pouvait pas se dédoubler alors une chose après l'autre.

« Je te laisse une devinette ensuite... Si tu trouves la bonne réponse... je te laisse savourer... Si tu échoues ? Hum je te réserve une petite surprise ! »

La fameuse citronnade made by Aoki ? Non, elle l'aurait clairement dit sinon, il ne faut pas la sous-estimer, elle avait bien des idées après tout pour la punir ou la récompenser. Elle restait silencieuse, laissant quelques secondes pour que Doutzen se pose des questions, tant sur la chose demander que sur la mystérieuse punition. Mais pour en terminer avec le suspense, elle retira doucement son doigt d'autour de sa mèche pour lui caresser le bout du nez avec son index.

« Soit tu glisse un de tes doigts dans ton petit cul... Soit tu me griffes le cul avec tes jolis doigts... à toi de deviner ce que je préfère... Sachant que si tu es doué, tu peux me faire aimer ce qui était le mauvais choix. »

Seuls les talents de sa Doutzen va déterminer ce qui est bon ou non. En vérité, la réponse était plutôt le doigt car se faire griffer les fesses, moui, ce n'est pas génial sans les bons instruments et en dehors de Félicia, les autres ne sont pas douées. Quoique certains noms lui venaient à l'esprit pour accompagner Félicia mais pas celui de Doutzen pour le moment. Plaçant ses mains autour de sa tête, elle la maintenait bien, remuant très doucement sur elle, comme si sa bouche était aussi un membre qui la pénétrait doucement... voilà qui lui donnait une idée ! Mais voyons voir comment la demoiselle s'en sort déjà ?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 03 juillet 2015, 01:53:21
Il y avait chez Aoki une sorte d’autorité sexuelle naturelle. Doutzen aurait payé fort pour connaître son passé, car elle était, en ce moment, intimement convaincue que cette femme était une dominatrice... Quand elle menaça de pisser dans la bouche de Doutz’, elle le sortit avec un tel naturel qu’elle convainquit Doutz’ d’avoir déjà, dans le passé, pissé sur des filles... Probablement d’autres jeunes femmes comme elle qu’Aoki dominait de la même manière. Oui, impossible que cela soit sa première fois, ses gestes étaient trop assurés, sa voix trop calme et trop vibrante pour relever de l’amateurisme. La tête coincée entre ses cuisses, Doutzen léchait la chatte de cette femme, convaincue d’avoir affaire à une vraie professionnelle, qui alternait à la perfection fermeté et douceur, comme il fallait le faire... Car c’était un bon moyen de détendre sa prisonnière, tout en la maintenant aussi sous pression, un moyen de lui montrer qu’on pouvait autant faire preuve de douceur que de fermeté. Belle et magnifique, cette Japonaise aux formes magnifiques avait de très beaux dessous, et Doutzen se faisait plaisir, enfonçant ses dents et sa langue, ses mains se crispant sur ses fesses. Elle continuait à la lécher, Aoki jouant avec sa main sur sa tête, jusqu’à poser un doigt sur son nez.

En clignant des yeux à plusieurs reprises, la silencieuse Doutz’, qui était bien incapable de se défaire de la délicieuse étreinte d’Aoki, la regard. Elle reprenait son souffle, ses mains tremblant toujours sur le délicieux cul d’Aoki. Physiquement, cette femme était la perfection même, et, mentalement, elle était aussi une grande perverse. Doutzen en était toute troublée, et sincèrement ravie d’être l’élève de cette femme... Qui avait une petite devinette à lui faire. Doutzen écouta soigneusement, ce qui n’était pas si facile que ça, vu qu’Aoki était toujours assise sur son visage, et qu’elle pouvait sentir sa mouille dégouliner sur son visage.

Doutzen devait maintenant utiliser ses mains pour, soit doigter Aoki, soit la griffer, à charge pour elle de trouver quoi faire. Aoki jouait avec elle, et Doutzen pouvait le voir dans ses yeux. Elle adorait ça, et réagissait comme une femme qui avait été longtemps privée de son jouet, et qui en profitait pleinement maintenant qu’elle l’avait retrouvé. Reto avait eu raison d’insister, et, en toute honnêteté, Doutzen ne regrettait nullement de coucher avec elle, ou d’être traitée de cette façon. Elle avait tellement l’habitude de devoir satisfaire les fantasmes de vieux pervers que tomber sur une aussi belle jeune femme était, pour elle, une magnifique aubaine.

« Hmmm... ! »

C’était sa manière d’acquiescer à ce que la femme venait de dire. Elle lui laissait donc le choix, et cette dernière, après quelques hésitations, choisit d’écarter à l’aide de l’une de ses mains la culotte de la femme, de manière à dévoiler l’accès à ses fesses. La tâche était assez délicate, car Doutzen était écrasée contre Aoki, qui était allée jusqu’à poser ses mains sur ses cheveux, plaquant ainsi davantage son visage contre le sien, faisant couiner et gémir la jeune femme. Néanmoins, Doutzen comptait bien se montrer à la hauteur, non parce que Reto le lui avait ordonné... Mais tout simplement parce qu’elle aimait bien cette femme, et qu’elle avait envie de lui faire l’amour. En ce moment, il n’y avait aucune autre raison que celle-ci.

Tout en écartant sa culotte d’une main, elle avança l’autre, et tâtonna un peu, puis réussit à enfoncer un doigt dans ses fesses, et le remua lentement, son regard se relevant pour fixer, par-delà les monts de chair d’Aoki, ses yeux. Elle voulait voir le plaisir se dessiner sur le visage de cette femme. Doutz’, elle, remuait encore légèrement les jambes, et déplaça son doigt, le remuant de plus en plus rapidement, au fur et à mesure que sa position était en train de s’affirmer et de s’assurer.

« Hmmm-hmmmm... » gémissait-elle.

Et, sincèrement, elle espérait bien qu’Aoki apprécierait son traitement, car elle était en train de rapprocher un second doigt du cul d’Aoki...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 06 août 2015, 21:20:26
La situation était très simple, ici, c'était elle qui décidait, c'était elle la chef ! C'était simple à deviner en même temps, de sa position, elle dominait la belle Doutzen qui avait la bouche bloquée entre ses cuisses était loin de porter la culotte. Elle risquait de bientôt la perdre d'ailleurs mais elle y viendrait plus tard, il faut qu'elle le mérite après tout. Ce n'est pas n’importe qui qui a le droit de jouir en compagnie d'Aoki. Doutzen le pensait si fort et elle n'avait pas tort, Aoki était une très belle Japonaise, elle avait fait tourner plus d'une tête, aussi belle qu’intelligente et aussi très perverse comme elle pouvait s'en rendre compte. Elle lui avait laissé une devinette pour cette fois, aimait-elle qu'on lui griffe le cul ou bien qu'on le lui doigte ? Question épineuse car dans les deux cas, elle semblait aimer ça mais... quelle serait la bonne réponse ?

Cela dépend des fois à vrai dire, parfois elle aime sentir quelque chose s'insérer en elle, parfois c'est juste la sensation des ongles ou objets glissant sur sa peau. Là, elle était d'humeur à sentir quelque chose se faufiler entre ses délicieuses fesses. Et c'était apparemment ce qu'avait décidé la belle petite putain, de fourrer son doigt dans cette antre inconnue et ô combien aguichante ! Elle allait la laisser faire, pourquoi elle refuserait après tout ? Elle sentait ses mains trembler sur ses fesses mais elle écartait doucement les côtés de sa culotte pour venir glisser son index en elle. Aoki esquissa un sourire, laissant donc supposer qu'elle avait gagné. Elle la laissait faire, se plaisant à la fusiller du regard, à maintenir sa tête contre elle, sa main se mélangeant à ses cheveux. Elle se plaisait vraiment dans ce rôle. Mais avoir une poupée aussi chanceuse ou douée dans ses choix, ce n'était pas drôle, il fallait la punir malgré tout !

Elle laissait donc Doutzen continuer un peu car elle se défendait bien la petite putain en rouge. Elle aussi gémissait doucement en se frottant contre sa bouche. Mais il était temps de changer un peu, elle plaquait sa tête contre le lit en gardant toujours son regard sur sa petite pute en rouge.

« Retire ton doigt de mon cul saleté de petite putain... tu as eu faux, j'aime qu'on griffe le cul ! »

Ce qui n'était pas tout à fait faux, sa première nuit avec Félicia avait été très bestiale et son petit cul s'en souvenait très bien, de la belle Chatte Noire qui a utilisé avec joie ce gant de vampire sur son joli petit cul, c'était délicieusement douloureux ! Elle se retira de son corps, la laissant respirer alors qu'elle prenait place sur le bord du lit en observant Doutzen.

« Qu'est-ce que tu attends, petite chienne en chaleur ? Allonges-toi sur mes cuisses et vite ! Tu as perdu, je dois donc te punir. »

Elle devait très bien douter de ce qui allait lui arriver du coup mais bon, il est vrai qu'Aoki en avait vraiment envie. Claquer ses deux petites fesses ne devrait pas être désagréable du tout. Au contraire, ça avait l'air très confortable ! Alors que la belle Doutzen se rapprochait d'elle, elle prenait son visage dans une main, pinçant ses joues, lui donnant un air de poisson... Elle approchait son visage en gardant ce ton froid, autoritaire et pourtant excitant.

« Comme tu as aimé me bouffer la chatte et que tu aimes ça, je vais être un pei plus souple avec toi mais sache petite putain que cela ne sera que le début. »

Le début de quoi ? Leur initiation ? Sa punition ? Elle lui laissait cette part de mystère en la laissant s'installer sur elle, ce n'était que le début mais Aoki resta immobile, attendant une chose très simple qui tardait à venir mais elle vint lui rappeler de quoi il s'agissait aussi.

« Et alors ? Tu attends quoi ? Demande moi de te punir ! »

Aoki savait être aussi belle que stricte et elle savait parfaitement associer les deux. Et détail à part, le cuir lui va très bien mais ça, la jolie Doutzen devait s'en douter vu comment elle était parfaite dans ce rôle.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 07 août 2015, 23:28:50
Doutzen jouait avec Aoki, avec cette femme qui avait refusé les avances de Reto, puis les siennes, avant de finalement y succomber. Dans ce love hotel, elles étaient en train de mutuellement se découvrir, et ce qu’elles vivaient toutes les deux en ce moment n’était qu’un prélude, une introduction... Du moins, c’est ce que Doutzen espérait. Honnêtement, elle n’avait pas trop compris pourquoi Reto avait entrepris toutes ces démarches auprès de cette femme, ou ce qu’il cherchait vraiment à obtenir. La former sexuellement ? C’était l’argument qu’il avait avancé, mais, elle, elle se demandait si, dans le fond, Reto ne voulait pas vraiment que sa fille progresse et accomplisse son rêve. Est-ce que tout ça, autrement dit, avait pour but de la perfectionner dans son rôle de Petit Chaperon Rouge, ou de faire d’elle une future actrice ? Reto était parfois si impénétrable... Mais toutes ces questions, pour l’heure, n’avaient aucune chance d’avoir la moindre réponse, car, pour le résumer simplement, Doutzen était en ce moment surexcitée par sa belle amante. Aoki était douée, terriblement douée, et sentir les traitements de cette dernière était magnifique. Elle enfonçait maintenant deux doigts dans son cul, tout en léchant sa culotte, le visage écrabouillé sous ses cuisses... Une situation qu’elle connaissait, mais, la dernière fois qu’elle l’avait fait, la personne dessus avait un bide énorme, et elle avait senti tout ce ventre graisseux se plier contre son nez. Davantage une vision de cauchemar qu’autre chose... Mais là, c’était nettement différent. Aoki était belle, terriblement belle, et était en réalité aussi belle que douée. Doutz’ aurait payé cher pour connaître son passé, pour savoir ce qu’elle avait bien pu faire...

Autoritaire, elle lui reprocha de l’avoir doigté, alors qu’elle aurait voulu être griffée. Devant ce ton véhément, Doutz’ rougit, la laissant s’écarter.

*Si je l’avais griffée, je suis sûre qu’elle aurait dit qu’elle aurait aimé être doigtée...*

Ce qu’elle faisait était une tactique classique de retournement de la culpabilité, d’exonération de responsabilité. Aoki allait se faire battre, mais ce ne serait pas de la faute d’Aoki, mais de la sienne. C’était le même schéma qu’un parent punissant son enfant parce qu’il avait commis une bêtise... Et, dans ce domaine, Aoki s’en sortait bien. Rien ne filtrait. Son corps était ferme, son visage autoritaire... Une vraie pro’ !

*Je suis sûre qu’elle doit bosser dans des soirées privées, ou des trucs comme ça...*

Aoki était trop douée pour être une simple amatrice occasionnelle. Elle lui fit signe d’approcher, et la belle adolescente obtempéra, avant de sursauter quand la main d’Aoki se crispa sur ses joues, écrabouillant son visage. Ses yeux bleus croisèrent ceux de la femme, qui lui annonça qu’elle allait tout de même être « un peu plus souple », tout en lui maltraitant les joues. Elle retira ensuite sa main, et Doutz’ déglutit, n’osant pas parler, restant à côté d’elle, sans trop savoir quoi faire.

La jeune femme se mordilla les lèvres, et Aoki lui demanda alors de se remuer.

« Oh... Euh... Oui, Maîtresse ! »

Obéissante, Doutzen alla alors s’allonger sur ses cuisses, ses fesses se relevant un peu. Elle se pinça alors les lèvres, serrant ses mains sur la couverture, mais tourna la tête vers elle, et précisa quelque chose, d’une voix chargée d’excitation, avec ses joues toujours rouges :

« Je... Je ne veux pas d’un traitement de faveur, Maîtresse. Je... Je n’ai pas été à la hauteur de vos attentes, alors... Je mérite d’être punie. Alors... Punissez-moi, Maîtresse, s’il-vous-plaît... Battez le cul de votre esclave indisciplinée ! Punissez-moi !! »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 01 septembre 2015, 19:48:05
Afin d'avoir la tranquillité avec cette histoire et afin d'être sûre de ses sentiments envers Félicia, Aoki était prête à recommencer ce genre de choses, comme avant. C'était aussi l'occasion d’assouvir ses besoins de dominatrice, souvent laissé au second plan avec Félicia mais que voulez-vous, elle ne peut rien refuser à sa belle chatte noire. La jeune femme était toujours en petite tenue, face à Doutzen à qui elle avait ordonné de prendre place sur ses cuisses pour lui mettre sa première punition. Cela était plus un test, elle voulait voir et entendre comment était la petite Doutzen dans cette situation. La belle prit place sur ses cuisses, sa peau chaude et douce sur ses cuisses, elle faisait du bon boulot en quémandant sa punition, certes, Aoki le lui avait demandé mais au moins, c'était correct dit comme ça.

« Oh mais compte sur moi, petite putain. Je vais te punir et crois-moi, tu te souviendras toujours de cette punition ! »

Elle passait sa main une première fois sur ses fesses, c'était une peau douce, agréable, à se demander si la belle connaissait la fessée ? Il y avait plusieurs stade pour une simple fessée mais c'est sûr que si on compare une chose basique au niveau d'Aoki, ça fait un sacrée différence. La première fois que Félicia à fessée Aoki, elle en avait gardé les marques plusieurs jours. Levant sa main droite, elle la fit claquée une première fois dessus. Un son si beau en sortit, c'était tellement... bon. Tellement bon mais tellement peu aussi.

« Et alors ? Pourquoi tu ne dis rien ? Je veux qu'à chaque fessée que tu reçoit, tu me remercies, petite chienne en chaleur ! Tu peux crier autant que tu veux, ici, les chambres sont insonorisés. »

Aoki levait une nouvelle fois la main pour la fessée, plus fort encore. Elle brûlait peut-être les étapes pour certains mais parfois, il n'y a pas de mal à aller rapidement d'un point A à un point B, le but n'était pas de la punir vraiment mais de la faire souffrir dans le bon sens. Et Aoki était prête à cela, ça, ce n'était qu'une mise en bouche de leur soirée. Toujours plus stricte et plus belle aussi, elle continuait de lever et d'abaisser sa main sur sa paire de fesses. Parfois en fessant plusieurs fois de suite la même fesse, parfois, allant claquer la seconde. Parfois Aoki faisait une pause, une pause où sa main se reposait, allant tirer un peu sur ce string rouge de petite putain, parfois en se montrant plus douce en caressant les belles fesses rouges de la chienne. Elle aura les fesses aussi rouges que la couleur de ses dessous.

« Tu sais qu'une femme, même un homme, peut jouir sans même toucher une partie intime ? Sans aucune caresse, juste avec des coups ? J'ai déjà eu l'occasion de voir ça une fois, elle a tellement aimé ça, cette sale petite trainée, qu'elle a joui sur moi. Et toi alors ? Doutzen ? Serais-tu pire qu'une chienne en chaleur ? Ça te fait mouiller de savoir que je pourrais te fesser jusqu'à ce que tu prennes ton pied ? »

Sa voix était à la fois si douce et si stricte, c'était un curieux mélange vocal et pourtant, on sentait bien la douceur de sa voix enroulée de barbelé de son penchant de domination. Sa main n'avait toujours pas repris les coups, sa main gauche allait d'ailleurs caresser ses lèvres, elle voulait savoir si elle aimait ça au point de baver. Ou peut-être elle bavait à force de dire merci et de crier ? Sa main droite passait son string, fonçant entre ses cuisses, sous son string pour caresser cette petite zone humide qui faisait naître un beau sourire sur les lèvres d'Aoki. Voyait-elle cela ? Aurait-elle l'audace de tourner son visage vers elle alors qu'elle semblait presque faire preuve de douceur après tant de violence ?

« Tu mouilles vraiment comme une petite fontaine... à peine point tu aimes ça, petite putain de Doutzen ? Tu aimes quand je te donne la fessée ? Mais si j'utilise une planche ? Un martinet ? Et s'il me prenait l'envie d'enfoncer une petite mignonnette du minibar dans ton petit trou du cul ? Tu aimerais ça, boire de l'alcool avec ton anus ? Ou dans ta petite chatte peut-être ? Tu mouilles tellement que je serais prête à parier que mon poing pourrait rentrer. Ça doit rentrer comme dans du beurre hein, ma petite putain à moi ?! »

Fin des caresses de minou, elle retirait sa main pour la battre encore, elle la fessait joyeusement, maltraitant ce petit cul d'amour ! Elle n'était peut-être pas un mec super bien membrée mais elle va lui prouver que demain, elle n'osera pas d’asseoir à cause d'elle. Ça n'aura rien à voir avec la sodomie. Il ne faut pas croire qu'elle se contentait de passer ses nerfs en la fessant simplement, non, dans cette simple série de claques, il y avait l'amour, la passion, la domination ! Quand sa main la fit trop souffrir – après une bonne vingtaine de claque – elle se pencha sur elle, sa poitrine frottant ses épaules, ses lèvres effleurant son oreille.

« Tu vas pouvoir te relever, vilaine Doutzen mais avant, je veux te poser une nouvelle question. Si je vide une petite bouteille du minibar dans ta chatte... tu crois que j'aimerais ce cocktail d'alcool et de mouille ou bien tu es bien trop vilaine pour que j'apprécie boire ton petit jus de chatte ? »

Drôle de question mais ça prouvait bien à quel point Aoki était perverse et experte en la matière. Ce n'est pas le genre de proposition qu'elle ferait à Félicia. Mais comment elle s'y prendrait pour ce qu'elle a évoqué ? Il suffit de vider une des mignonnettes dans son vagin, avant de venir lui lécher sa petite chatte en la laissant debout, Aoki sous elle. Prendre une cuite en léchant une chatte, ce n'était pas bien banale ! Surtout quand on sait qu'Aoki devient pire avec de l'alcool. Enfin, elle va dans les extrêmes, soit elle devient encore pire que maintenant, soit elle devient très fleurs bleues, jouant les petites romantiques qui rougirait et glousserait au moindre regard avec Félicia. Mais Félicia n'était pas là après tout. Se reculant doucement, elle tapota doucement sa fesse, comme on tapoterait un chat sur ses genoux pour qu'il file. Bien, elle voulait voir sa réaction, entendre sa réponse et la voir si elle en avait les larmes aux yeux ? Et puis... pense-t-elle que sa question ait un piège selon sa réponse ou non ? Haaa, elle préférait laisser planer le doute !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le dimanche 06 septembre 2015, 09:23:29
Et les claques s’abattirent, filant sur le beau petit cul de Doutzen, qui se mordilla les lèvres au début, soit à la première claque… Avant que sa Maîtresse ne la reprenne. Elle lui indiqua qu’elle ne devait pas juste se contenter de subir, mais qu’elle devait aussi hurler tout son plaisir, afin de montrer à quel point elle aimait bien se faire battre. Les joues rouges, et avec la conviction, de plus en plus assurée, d’avoir affaire à une véritable professionnelle, Doutzen hocha la tête de haut en bas, puis la main de Maîtresse Kou claqua à nouveau sur son cul. Doutzen sursauta, remuant d’avant en arrière, ses mains appuyées sur les belles cuisses de sa Maîtresse, mais elle obtempéra : »

« Haaa… O-Oui, Maîtresse, hum… Encore, haaaann, encore… !! C’est si bon de vous sentir… Frapper mon petit cul de salope ! »

Doutzen s’insultait volontiers, et, vu la facilité avec laquelle elle s’accomplissait, Aoki ne devrait avoir aucune difficulté à comprendre que Reto ne lui avait pas menti, que Doutzen était vraiment une soumise, et qu’elle aimait ça. Peu à peu, les deux femmes étaient en train de vraiment se découvrir, dans la mesure où les masques qu’elles portaient pour vivre de manière civique, en société, s’effaçaient rapidement, derrière les murs insonorisés de ce love hotel. Qui sait jusqu’où elles pourraient aller ? Ces deux femmes étaient toutes les deux de grandes perverses, et cette perversion se confirmait en ce moment, alors qu’elles continuaient à se découvrir, et à aller de plus en plus loin dans leurs jeux.

Aoki alterna donc entre fessées et caresses, et, quand sa main s’approcha des lèvres de Doutzen, la jeune adolescente les lécha. Effectivement, Doutzen était en train de mouiller, salissant les jambes de sa Maîtresse, mais aussi le rebord du lit. Elle frissonnait et soupirait à chacun des contacts tactiles de sa Maîtresse sur son corps. Cette dernière s’attardait avec expertise sur son délicat fessier, appuyant là où il le fallait, caressant les parties qu’il fallait, ne cessant, à chaque fois, de montrer à Doutzen combien elle était talentueuse, et ô combien la petite Doutz’ était chanceuse… Clairement, Doiutz’ ne regrettait rien de ce moment ici, ce qui était sans doute la plus belle preuve que le Petit Chaperon Rouge, après avoir tant de fois côtoyé le Grand Méchant Loup, n’avait plus grand-chose d’innocent. Aoki, quant à elle, lui parlait chaudement, de sa belle voix ferme, multipliant des mots sales et pervers, qui n’avaient que pour effet d’exciter davantage encore la belle Doutz’.

« Oui, Maîtresse, hum… Doutzen n’est qu’une pute qui adore se faire fesser et maltraiter par vous… !! »

Elle raffolait de ça, et aurait pu continuer à se faire battre pendant des heures encore, mais sa Maîtresse avait une imagination fertile, et lui proposa alors autre chose, consistant à utiliser une mignonette, soit une petite bouteille d’alcool, le genre de trucs qu’on servait dans les bars ou les boîtes de nuit, et qu’on pouvait boire rapidement. Doutzen en connaissait, évidemment. Il lui était déjà arrivé d’être attachée à une table, et de recevoir des coulées de vin sur ses seins, avec des langues qui filaient entre ses seins. Elle se rappelait de cette soirée, une immense orgie dans un manoir luxueux, où chaque invité portait des masques. Rien ne semblait effrayer sa Maîtresse, qui en avait encore profité pour la gifler, faisant hurler Doutzen, chacune des gifles de la femme étant de plus en plus fortes… Et, à terme, le cul de Doutzen était bien rouge, tandis que la respiration de la jeune élève était haletante.

Maîtresse Aoki proposa alors de remplir sa chatte d’alcool, ce qui la fit rougir. Comment est-ce qu’elle comptait procéder ? Dans sa petite tête, elle se mit à imaginer la femme approcher la bouteille pour la glisser dans son sexe, et y déverser l’alcool… Ce qui la faisait frissonner, sans qu’elle ne puisse déterminer avec précision si ce frisson était un frisson de peur ou de plaisir. En tout cas, elle rougissait, excitée par l’imagination fébrile de sa Maîtresse, qui l’insultait avec une telle facilité, et avec un tel désir dans la voix, qu’on sentait en elle la femme frustrée, frustrée de ne plus pouvoir battre ou jouer la dominatrice.

« Hum… Je… Je pense que ma mouille est suffisamment bonne pour n’importe quel palais, mais… Votre palais est celui d’une Maîtresse, et il est donc délicat. Doutzen ne veut pas que sa mouille de petite pute vous déplaise, et, si vous voulez l’accompagner d’alcool, elle sera ravie de vous obéir. »

Elle parlait d’une voix chaude, vibrante d’excitation, et se redressa.

Maîtresse Aoki lui tendit ensuite la petite bouteille, et se mit sous elle. Doutzen écarta bien les jambes, et suivit les instructions, en venant tenir la bouteille, dont on glissa le bout dans son sexe, après avoir retiré le capuchon. Elle pencha ensuite la bouteille, en arquant son corps vers l’arrière, et frissonna au contact froid du verre… Tout en mouillant.

Ce faisant, ce qui déferla le long de ses cuisses fut surtout de l’alcool, mais avec de la cyprine.

« Hnnn… Hnnnn… !! »

Yeux clos, Doutzen gémissait de plaisir, encore et encore.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 15 septembre 2015, 21:45:12
Aoki avait beau tout faire pour changer un peu par amour et éviter les soucis comme Reto lui montrait depuis leur rencontre, chasser le naturel et il revient au galop. Cette phrase n'avait jamais été aussi bien utilisée qu'en compagnie de Doutzen. Finie la fessée, elle laissait reposer sa main endolorie en insultant et avouant bien des choses à cette salope de chienne. Des choses que peu de gens auraient sûrement dit à voix haute ou même y penser. Mais Aoki était aussi intelligente que perverse et quand on sait qu'elle sort d'une grande école, sa perversité atteint des sommets ! Doutzen en semblait pas vraiment effrayé par ce qu'elle proposait, verser de l'alcool en elle pour se faire un cocktail de cyprine avec du wiksy ou de la vodka, cela devait être un cocktail savoureux. Peut-être imaginait-elle qu'elle allait juste verser le contenue sur sa petite chatte avant de lécher mais non, ça, c'est pour des novices et Aoki, elle joue dans une grande école !

Doutzen accepta, commençant à vouloir lui servir ce savoureux cocktail spécial. Elle invitait sa maîtresse à s'allonger avant de commencer son petit mélange. Que faisait cette sotte ? Elle ne disiat rien en observant avant de se redresser, venant quand même lécher quelques gouttes qui coulait le long de ses cuisses.

« Quelle idiote tu fait ! Tu fais déborder mon cocktail comme ça ! Allonges toi ! Je suis obligée de tout faire moi-même ici ! »

Vu le ton d'Aoki, Doutzen venait de mériter sa prochaine punition mais avant cela, Aoki avait une petite soif ! Aoki repoussa Doutzen pour l'allonger sur le lit avant de prendre une nouvelle petite bouteille, de whisky précisément avant de retourner vers elle, un petit sourire en coin qui montrait bien que Doutzen allait prendre cher ! Avait-elle déjà laissé couler sa cyprine alcoolisée sur le lit ou non ? Ce n'est pas grave, peu importe la réponse.

« Tu vas me servir de checker petite putain ! Alors lèvre moi ce bassin pour commencer. »

Aoki venait quand même lui retirer ce petit string rouge qu'elle remettra sûrement au cours de la soirée pour mieux s'amuser encore. Du bout de ses doigts, elle caressa cette petite chatte bien trempée avant de l'écarter avec deux doigts, venant même sentir cette petite odeur de sexe dans l'air.

« Ne craint rien, si je suis de bonne humeur ensuite, j'en ferais autant pour toi. Tu as peut-être déjà goutté à de l'alcool, c'est de ton âge mais jamais servit dans une petite chatte je présume ? »

On ne pouvait pas dire que ça courait les rues ce genre de pratique. Devissant le petit bouchon, elle venait lécher une petite goutte de cette mignonette avant de doucement l'enfoncer dans son petit trou. Elle laissa couler le tout dans ce petit trou, on peut pas dire qu'il y avait des litres dans cette mini-bouteille. Une gorgée ou deux à peine ! Aoki laissait la bouteille enfoncée en elle, la tenant quand même à deux doigts avant de la retirer lentement en gardant ce petit sourire en coin qui montrait qu'elle aimait infliger ce genre de supplice.

« Quand on parle de cockatil, il faut bien mélanger, câtin. Alors secoue-moi ces petites fesses le temps d'aller chercher un petit verre. »

Retournant dans le bar, elle sortit deux verres à vin, ils étaient de taille normale puis elle retourna vers Doutzen, posant un verre loin d'elle sur le lit. Elle se rapprocha et tendit le verre à sa petite putain en lui faisant signe de se redresser.

« Maintenant qu'il est bien mélange, il est temps de me servir, ma petite pute. Tu vas jouir dans ce verre... Mais te connaissant, je préfère te donner un coup de main. »

Elle laissa Doutzen tenir le verre au-dessus de ses lèvres intimes alors qu'elle venait pincer son clitoris, pas très fort mais si elle tardait trop, oui, elle va augmenter la pression mais pour le moment, la japonaise restait relativement douce, venant même embrasser son nombril doucement, en lui demandant de temps à autre de jouir.

« Si tu me sers mon verre rapidement, tu auras le droit de te reposer sur mes cuisses le temps de ma petite dégustation alors... saisi cette chance. »

Il n'en était plus qu'à Doutzen de choisir ce qu'elle veut ? Un peu de douceur avec Aoki pour se reposer les fesses ou en prendre encore plein le cul ? Ou ailleurs qui sait ?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 18 septembre 2015, 10:09:04
C’était quoi, le problème de cette femme avec l’alcool ? Une ancienne alcoolique qui avait trouvé un moyen de lutter contre son problème en utilisant l’alcool à des fins sexuelles ? Doutzen avait déjà rencontré ça lors des fêtes... Le fantasme du mec vidant une bouteille d’alcool entre les seins de l’une des prostituées présentes, pour ensuite lécher l’une des lignes. Dans les films, ça rendait toujours super. Dans la réalité, il fallait bien reconnaître que c’était un peu ridicule. De l’alcool, Doutzen en avait déjà bu, mais elle ne pouvait guère prétendre avoir aimé ça. En réalité, si on le lui avait demandé, elle aurait dit qu’elle préférait le jus d’orange. Néanmoins, elle n’allait pas décevoir sa Maîtresse, et obéit donc en se couchant sur le dos, un peu intriguée par tout ce que cette dernière lui demandait, ou par le fait de remplir sa chatte d’alcool.

Ça lui rappelait juste quand ion l’avait rempli d’eau à l’aide de seringues, sensation assez désagréable. L’idée était de faire gonfler son ventre, puis de l’inciter à tout relâcher ensuite. Aoki proposait quelque chose de similaire, et s’approcha de son sexe, toujours avec cette redoutable maîtrise d’elle-même. Les joues rouges, Doutzen la sentit rapprocher l’autre bouteille, et déglutit en comprenant ce qu’elle avait en tête... Elle enfonça la mignonnette dans sa croupe, et Doutzen soupira longuement, sentant ce contact froid et en verre heurter sa peau douce et sensible. Elle se tortilla sur place en sentant l’alcool venir en elle pendant quelques secondes.

« Haaaa... Haaaaa... »

La petite bouteille se vida rapidement, mais l’alcool ne repartit pas tout de suite, car sa Maîtresse avait veillé à bien l’enfoncer dans son derrière. Sentir ce bout froid partir procura néanmoins à Doutzen le plus grand bien, mais elle sentait l’alcool remonter en elle pour remonter dans son estomac, où elle ne tarderait pas à repartir... Tremblant sur place, Doutz’, qui avait enfin compris où Aoki voulait en venir, se dandina donc sur place. Elle s’était mise à quatre pattes, remuant ainsi plus facilement son corps, sans trop savoir si cela avait un quelconque intérêt. Aoki expliqua ensuite qu’elle comptait boire ça, et revint donc, avec un nouveau verre.

*Je ne suis pas sûre que ce sera toujours de l’alcool qui viendra...*

Doutzen se retrouva ainsi avec le verre sous elle, coincée entre ses cuisses, et Aoki vint l’aider à la faire jouir. Étant déjà très excitée, la belle blonde n’avait plus aucune résistance à fournir. L’imagination perverse d’Aoki avait même réussi à la surprendre... C’est dire à quel point cette dernière était une redoutable Maîtresse ! Doutz’ était frappée de voir à quel point cette situation l’excitait, alors qu’elle aurait normalement dû l’effrayer. Reto avait réussi à la perfection son travail sur elle. Doutzen était devenue une redoutable perverse, n’ayant rien à voir avec les Princesses des contes de fées. On venait de lui enfoncer une bouteille, et de remplir son ventre d’alcool.

En se pinçant les lèvres, elle se dandina donc au-dessus du verre, sentant Aoki venir embrasser son nombril.

« H-Huuunn... Maî... Maîtresse... »

La sentir si proche d’elle était terriblement excitant...

...Ce qui finit par la faire jouir, dans de longs soupirs, sa cyprine se déversant dans le verre... Accompagnée d’un autre liquide et de multiples soupirs de plaisir...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 05 octobre 2015, 21:21:42
Aoki était redoutable, experte en la matière, c'est le moins que l'on puisse dire. Combien de personnes sur Terre avaient eu cette idée si originale ? Elle n'était peut-être pas la seule, ni la première mais on ne pouvait pas dire qu'elle avait copié, elle l'avait simplement imaginé. Puis en réalité, la belle Japonaise n'avait pas de soucis avec l'alcool, elle a déjà connu la gueule de bois plus d'une fois mais elle buvait pour s'amuser entre collègues après le boulot, ni plus, ni moins. Là aussi c'était pour s'amuser et former son élève. Et puis ce n'était pas une mignonette qui allait avoir raison d'elle, c'est à peine s'il y avait une gorgée complète dans cette minuscule bouteille ! Même dans un bar, on en sert plus que ça. Après avoir vidé cela en Doutzen pour faire d'elle son checker, elle plaçait son verre entre ses jambes en embrassant son mignon petit nombril, jouant aussi avec sa petite chatte tant qu'elle le pouvait.

Son élève était parfaite dans ce rôle, elle n'avait plus qu'à se laisser aller et à lui servir son verre. Aoki ne disait rien à ce sujet mais si de l'urine il y a... elle risquait de le payer cher. Elle n'était pas une grande fan de ce genre de pratique, elle avait déjà essayé quelques fois mais même avec Felicia, ça ne lui plaît pas. Alors en avaler, ce serait pire qu'en recevoir sur soi et ça... Doutzen risquait de se souvenir de ce détail. Mais passons, elle continua de jouer, voulant réussir ça, elle fit enfin jouir son élève, voyant le verre se remplir d'un liquide transparent mais assez foncé malgré tout. Ce n'était pas clair comme de l'eau de roche. Puis il y avait une légère teinte orange plutôt foncé. Cela dit la question que se posait la jeune était, whisky ou urine ? Dur était la question. Son verre a vin avait un joli petit fond, l'équivalent d'une bonne petite gorgée, rien de plus. Son cocktail était près !

Aoki prit place sur le lit, entre les deux oreillers, la belle était toujours en sous-vêtement mais qui allait le lui reprocher après tout. Bien calée, son verre dans sa main droite, elle écartait doucement les jambes en invitant sa petite Doutzen à venir s'installer ici. Elle ne donnait cependant pas plus d’indication. Coucher entre ses jambes, allongé de façon à avoir sa tête sur sa poitrine, assise devant elle ? Telle était la question mais en vérité, la jeune fille pouvait se placer comme bon lui semble, tant qu'elle ne la prive pas de son verre. Elle passait une main dans ses cheveux, se montrant douce même si sa voix gardait encore une pointe d'autorité.

« Repose-toi quelques instants Doutzen. Ensuite, je penserais à la suite. Tu aimerais goûter ce petit cocktail ? En le faisant sur moi bien entendu. »

Elle n'allait pas boire de l'alcool avec sa propre cyprine. Elle aurait le droit mais avouons le, l'image serait bizarre si elle y prend goût de le faire ainsi, toute seule... Le verre à vin entre ses doigts remuait doucement, faisait tourner le liquide au fond du verre en le reniflant doucement. On pourrait croire Aoki experte en vin vu ses manières mais elle n'y connaît rien. Elle en a déjà bu quelques verres mais de là à dire qu'il a une belle robe, qu'il est moelleux ou autres, ce n'est pas le cas. Et pourtant, elle passait plus de temps à l'observer sous tous les angles plutôt que le mettre en bouche. Dans un sens, une fois en bouche, elle en ferait qu'une bouchée. Elle continuait de caresser Doutzen, ayant de petits gestes doux avec elle pour le moment. Bon, l'instant de vérité ! Elle porta le verre à ses lèvres en faisant couler le liquide vers sa bouche, buvant son contenu en une seule gorgée avant d'imposer le silence. Qu'était-il du goût ? Bénédiction ? Punition ? Après quelques secondes d'un visage figé en dehors de sa bouche qui semblait chercher la réponse, elle finit par avoir un petit sourire.

« Ma petite Doutzen, du whisky avec ton petit jus de chatte de salope, ça reste une très bonne chose ! »

Mais comme on dit pour l'alcool, avec modération ! Alors si elle lui impose ça de nouveau, ce sera une prochaine fois. Gardant à la fois le sourire et son côte supérieure, elle tendait les bras à son élève.

« Allez, viens te blottir contre moi petite putain. Tu sais quoi ? Ton petit cocktail t'a fait gagner un bon point. Alors demande-moi quelque chose et je verrais si je peux répondre à tes attentes. Allez, je t'écoute. »

C'était un peu un piège car si elle demandait quelque chose de trop gros, elle va surtout surbir une nouvelle punition mais si ce n'est pas grand-chose, Maîtresse Aoki pourrait le lui accorder dans sa grande bonté. Mais pour le moment, elle lui offrait ce câlin délicat et doux, son corps contre le sien avec cette possibilité d'avoir un petit cocktail à la sauce Aoki ou bien même tout autre chose ! Aoki était un jeton d'othello. Entièrement blanc, d'une extrême gentillesse ou bien entièrement noire, devenant une vraie sadique qui prend son pied dans la douleur. Donc, le risque de voir le jeton debout était mince lors d'un pile ou face.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mardi 06 octobre 2015, 10:11:11
Ce qu’Aoki lui faisait subir était... Typiquement japonais. Typiquement japonais dans le sens où c’était bien zarbi, et en même temps terriblement excitant. Elle contemplait ce verre, rempli d’un mélange assez improbable de mouille et de whisky... Et de quelque chose d’autre ? La question intriguait aussi Doutzen, mais elle ne pensait pas avoir uriné. Elle en aurait sûrement envie après, mais, pour l’heure, et elle était bien placée pour le voir, sa vessie était plutôt calme. Est-ce qu’Aoki était du genre à aimer jouer avec l’urine ? Doutzen se posait la question en toute légitimité, car elle avait déjà rencontré des ondinistes. Il y avait des fantasmes zarbi’ partout, et les ondinistes n’étaient pas que des Japonais. Néanmoins, malgré ce qu’elle avait vécu, il y avait chez Aoki quelque chose de différent des autres. Maintenant qu’elle venait de jouir, que sa respiration était lourde, la jeune blonde avait les idées un peu plus claires, et vit très bien, à la manière dont Aoki venait de s’allonger, dont elle contrôlait la situation, et dont elle l’invita à se coucher sur elle, qu’elle n’était pas sa première fois... Mais qu’elle devait l’être malgré tout sur la durée.

Plus intelligente qu’on pouvait le croire, Doutzen alla donc se coucher sur le ventre de la femme, la tête nichée contre son estomac, sous ses seins. Elle sentait la respiration précipitée de la femme, mais toutefois calme, maintenue, une autre façon de trahir son expertise de la manière... Le genre de calme soutenu qu’une première expérience ne pouvait certainement pas fournir. Prenant tout son temps, elle faisait tourner le verre à vin, et, silencieuse, Doutz’ la laissait faire. Elle savait où était sa place, et, alors qu’elle venait de jouir, elle s’interrogeait aussi sur l’étonnante fascination qu’elle ressentait pour ce moment.

*Jusqu’à quel point mes soirées avec les victimes de Reto m’ont changé ? En un sens, c’est un peu effrayant...*

Doutzen avait changé. Elle avait changé, et elle ne savait pas si elle retrouverait un jour l’ancienne Doutzen Kroes. À force de goûter à toute cette perversion ambiante, elle avait fini par s’y insérer, et, dans ces rares moments de lucidité, elle s’abritait derrière un cynisme qu’on ne trouvait normalement pas à un âge aussi jeune. C’est surtout ce qui expliquait pourquoi elle avait plaqué Alex Sanderson. Où serait-elle dans cinq ans ? Dans dix ans ? Une toxicomane marginale dévastée par une dépression ? Ou une égérie vivant dans les étoiles ? Est-ce que sa culpabilité finirait par prendre le dessus, ou est-ce qu’elle s’enfoncerait à ce point dans la perversion qu’elle en finirait par perdre son humanité, comme dans tous ces hentaïs hardcore sur la soumission, où la personne soumise finissait par devenir une poupée de chair entre les mains d’indéfinissables pervers.

Couchée sur l’estomac d’Aoki, les questions se multipliaient dans son esprit, l’une de ses mains posées sur la peau de la femme, mais elle releva malgré tout la tête pour la voir boire... Et boire sans aucune hésitation, ce qui la fit rougir. Honnêtement, Doutzen était, en ce moment, incapable de dire si ce qu’elle buvait était bon ou non. Mais ça semblait lui plaire, car elle avala tout d’une traite, puis son visage sembla s’éclairer, ce qui, pour une inexplicable raison, fit davantage rougir la belle Doutz’.

*Incroyable, elle a tout bu... Tout bu d’une traite !*

Elle finit par lui demander que ce cocktail était effectivement bon, et Doutzen sourit légèrement, se sentant... Étrangement gênée.

« Et bien... Merci, Maîtresse... »

Aoki lui demanda ensuite de se rapprocher, et Doutzen, docilement, s’exécuta, et alla s’allonger contre le corps de la femme, venant nicher son visage contre le creux de son épaule, et alla embrasser sa peau. Sa Maîtresse était en train de lui faire une fleur, Doutzen en avait conscience, mais elle, elle avait une question à lui poser, et elle se mordilla les lèvres, avant de la balancer... Car, après tout, Maîtresse lui avait bien dit de demander « quelque chose ».

« Vous avez rencontré quelqu’un, Maîtresse, c’est ça ? Je suis sûre que c’est pour ça que vous ne couchez plus avec vos élèves... »

C’était la donnée manquante dans les investigations de Reto, et, quand Doutzen posait cette question, elle était purement rhétorique.

« Je... J’adore que vous me torturiez, Maîtresse, mais... Je ne voudrais pas que ça vous pose de problèmes par la suite avec la personne que vous aimez. Et, si je vous dis ça, c’est parce que... »

Elle se pinça les lèvres, et reprit son souffle, avant de poursuivre :

« J’ai envie que vous soyez ma Maîtresse sur la durée. Je sais que vous n’avez pas Reto, mais... J’aimerais vraiment que vous reconsidériez son invitation, et que... Vous veniez de temps en temps me... Me former à domicile... Mais je comprendrais tout à fait que vous n’ayez pas ! C’est juste... Une envie de ma part. Ne le faites pas pour Reto, mais... Pour moi... Ce... »

Doutzen se pinça encore les lèvres, se demandant si elle avait raison de poursuivre, ou si elle ne faisait que s’enfoncer, mais, comme il était trop tard pour faire marche arrière, elle poursuivit :

« Vous serez une personne... Extérieure au système de Reto, alors... Ce... Ce serait mieux pour moi... J’aurais la garantie que personne d’autre que vous ne viendrait me soumettre chez moi... Car vous êtes une Maîtresse parfaite, et je ne peux qu’envier votre amour pour ses talents et pour être capable de contenir une telle dose de sexe qui brûle en vous. »

C’était un compliment bizarre... Mais, au point où elle en était, Doutzen n’était plus à ça près.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 14 octobre 2015, 20:52:58
Aoki était bizarre ? Non, Aoki était lucide, très clair, naturelle. Elle avait été dans son enfance un exemple pour les parents Japonais typique. Calme, bonne élève, douée dans tout ce qu'elle faisait que ce soit par pur talent ou à la sueur de son front, elle avait été parfaite. Mais elle n'avait du coup pas profiter de sa jeunesse, les joies du sexe, même les plus innocentes, elle ne les avait découvert que bien plus tard, à plus de dix-huit ans. Et en rattrapant ce retard, elle a vite fini emporté par ce torrent, finissant par devenir ce qu'elle était aujourd'hui, une perverse qui s’assume mais qui se cache aussi. Compréhensible, elle n'allait pas serrer la main d'une inconnue lors d'un rendez-vous et lui proposer un collier et une laisse qui irait bien avec son tailleur.

Allongée sur le lit, elle savourait ce verre comme une victoire. Soyons honnête, même en étant une maîtresse, ce n'est pas tout le monde qui irait faire ce qu'elle a demandé dans sourciller. Elle laissait donc Doutzen se coucher contre elle, un verre dans une main, des cheveux qu'elle caressait dans l'autre. Aoki était douée, pas parfaite sinon elle ne se serait pas faite piéger par Reto mais elle était douée. Elle savourait ce silence qui accompagnait bien son petit cocktail qu'elle but avec un sourire. Comment décrire ce goût ? C'était une chose impossible, certes le whisky, c'est du whisky, mais la mouille... c'est comme vouloir décrire un nuage, tous sont similaires et tous sont différents à la fois. C'est pousser la comparaison loin mais comme comparer un ADN, en apparence, c'est pareil mais il n'en existe pas deux identique.

Elle laissa à Doutzen une petite fleur, l'occasion pour elle de vouloir peut-être demander quelque chose de plus classique ou d'audacieux ? Même si en vérité, elle comptait voir où ses envies allaient l’amener, dépassant ou non la bonne grâce d'Aoki. La belle demoiselle se blottissait un peu plus contre elle avant de poser une question qui l'étonnait. Aoki avait quelqu'un dans sa vie ? Oui et non... Elle était amoureuse, elle avait envie d'aller plus loin avec Félicia mais... elle avait fait le premier pas avec Hitomi et elle avait tout gâché alors elle ne voudrait pas que cela recommence une nouvelle fois...

Doutzen parlait, évoquant non pas qu'Aoki dévoile ce qu'elle pourrait cacher mais plutôt l'envie de rester avec elle, de continuer ce chemin, sa formation, ses rêves... Elle gardait un regard sur elle, sans insister, sans changer de ton, d’expression, elle la laissait parler en caressant doucement ses cheveux d'or. Aoki resta silencieuse un petit moment, même une fois que Doutzen avait fini de parler, réfléchissant à tout cela. C'est vrai que former, c'est son métier, son boulot, sans parler sexe bien sûr, elle faisait en sorte de faire grimper des jeunes vers les étoiles, qu'ils tentent de faire briller la leur plus longtemps possible. Et Doutzen avait vraiment du potentiel, ce serait dommage de jeter une telle chose... Elle évita de parler de ses histoires de cœur pour le moment, peut-être un piège de Reto – même si Félicia saurait se défendre – mais aussi, elle n'avait pas envie de repenser à ses peines de cœurs.

« Je ne veux pas être une personne extérieure à son système, je veux que nous soyons des personnes extérieures à son système Doutzen. Il n'est peut-être pas ton vrai père, je ne peux pas m'empêcher de trouver ça ignoble la façon dont il se sert de toi. Tu n'as pas sourcillé une seule fois avec tout ce que j'ai fait, proposer, tu... tu es si jeune et pourtant, tu as jurement vécu bien que ça ce soir... Tu n'a pas mérité tout ce que tu as vécu, tu mérites mieux... »

Aoki la gardait contre elle, dans ses bras en posant sa tête sur ses cheveux. Il n'était plus question de domination là mais... de quelqu'un, d'une présence, de la rassurer.

« Tu as du talent Doutzen, tu veux devenir une star de cinéma, tu le pourras ma chérie, je ferrais tout pour que tu réussisses ton rêve, je te le promets. Tu sais quoi ? Je ne vais pas être ta maîtresse sur la durée, enfin oui mais non. Je serais ta maîtresse jusqu'à ce que tu sois vraiment célèbre, que les producteurs s'arrachent ton nom que ce soit pour une pub ou un grand rôle ! Comme un oisillon avant son premier vol, je prendrais soin de toi de A à Z, quand tu seras une star... je ne serais plus ta maîtresse. Mais jusqu'à ce que ce jour arrive, je veux une chose de toi Doutzen, une seule chose... Je veux être l'unique maîtresse à tes yeux, l'unique personne qui te dira quand rire, quand pleurer, quand sourire, quand t’énerver, quand jouir... Je ne veux pas que Reto se serve de toi, cela a trop duré, tu as assez donné pour lui. S'il t'aime vraiment comme sa fille, il doit dire oui et te laisser prendre ton envol. Je ne te dis pas de le renier... même si personnellement, je verrais cela d'un bon œil. Je te dis juste que dorénavant, tu n'es plus sa chose... tu es la mienne Doutzen... »

C'était étrange, Aoki se montrait à la fois très protecteur et très... maîtresse justement. À la fois libre et sa possession. Elle ne savait pas sur quel pied danser... Il était évident que cet abruti de Reto ne risquait pas de lâcher Doutzen comme ça mais Aoki aimerait tant que ce soit le cas, pas pour vraiment en faire sa chose, pour qu'elle soit libre d'être une jeune femme. De vivre selon son envie. Doutzen était comme Aoki en sa jeunesse, en son opposée. Aoki avait été baigner par l'éducation, privilégiant les études avant tout le reste et Doutzen avait été un objet pour son père, pour ses affaires, faisant passer son argent avec sa « famille ».

« Je ferais en sorte que ton rêve se réalise ma chérie... »

Oui, loin de ce gros porc, quitte à ce qu'elle enfonce elle-même le couteau et le dénonce. Doucement elle passa sa main sous son menton pour lui faire redresser le visage, la regardant dans les yeux.

« Suis-je ta seule Maîtresse désormais ? »

Il est évident que désormais, elle va tout faire pour obtenir Doutzen, tant pour que son rêve devienne réalité que pour en profiter aussi. Joindre l'utile à l'agréable. Et puis en toute franchise, si Doutzen venait à refuser ses avances un jour, elle comprendrait et s'en ficherait. Elle était là pour l'aider, pas pour profiter de son corps.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 15 octobre 2015, 23:13:25
Doutzen avait subi une évolution étrange, atypique. Elle était la victime de Reto, clairement, mais elle était aussi terriblement intelligente. Serait-elle née ailleurs que dans des fermes abandonnées dans un pays pauvre d’Europe de l’Est qu’elle aurait pu faire de grandes études, devenir une astrophysicienne, et gagner une grande influence. Au lieu de cela, elle était née dans un endroit pauvre, et avait été vendue par ses parents. Silencieusement, elle écoutait donc Aoki, appréciant les caresses sur ses cheveux, tout en souriant légèrement. Un tel discours aurait pu faire écho à ses oreilles il y a encore quelques mois... Quand il y avait eu l’épisode Sanderson. Alex Sanderson, un play-boy multimillionnaire, l’héritier d’un vaste empire de l’immobilier, qui avait été la cible de Reto. Quelqu’un qui avait pensé tomber amoureux d’elle, et qui, convaincu qu’il y avait quelque chose de louche chez Reto, avait tenté de la faire changer. Leur rupture avait été... Houleuse. Mais elle avait confirmé quelque chose chez Doutzen. En cela, elle pouvait remercier Alex, car, par ses tentatives maladroites de se montrer romantique, il avait confirmé aux yeux de Doutzen, non seulement ce qu’elle était devenue, mais aussi ce qu’elle voulait.

Aoki était donc à la fois dans le vrai et dans le faux en lui proposant d’être sa Maîtresse exclusive, mais en disant qu’elle ne voulait plus que Reto se serve d’elle. Doutzen ne put que sourire, amusée.

« Mon âge... Je n’ai pas dix ans, Aoki, j’approche de la vingtaine. Je ne suis plus une petite fille, loin de là. Reto m’a abusé, oui... Il n’est pas mon père biologique, mais... »

Elle haussa les épaules.

« Est-il plus moralement condamnable que mes propres parents ? Ils m’ont vendu à la Mafia pour une bouchée de pain, et j’aurais pu me retrouver prostituée dans la rue, ou être vendue à des émirs gros et gras qui ne prennent leurs pieds qu’en battant et en torturant leurs amantes. Je n’ai aucune cicatrice. Oh, bien sûr, Reto peut parfois se montrer violent et brutal, mais... Il ne franchit pas les limites. »

Cette ultime phrase tomba comme un couperet, annonçant clairement que Doutzen n’avait pas envie de jouer le couplet de la petite femme fragile.  Elle faisait, au contraire, preuve d’une lucidité terrifiante, quelque chose qu’elle avait eu du mal à expliquer à Sanderson à l’époque, ce qu’elle regrettait... Mais, avec le temps, elle avait eu tout le moment nécessaire pour faire le point sur sa propre existence, et elle se redressa, se mettant à califourchon sur le corps d’Aoki.

« Je suis élève à Mishima, déléguée de classe. Je sais ce qui se passe dans ce lycée, et même dans cette ville. Mishima, sous ses allures de lycée efficace, abrite quantité de clubs sexuels. On y baise à tour de rôle, et les délégués qui sont membres du conseil des élèves de Mishima peuvent participer à des réunions très spéciales, où on se fait subir ce que Reto me fait subir. Tu comprends, Aoki ? Toutes les atrocités que Reto m’a fait subir... À Mishima, on les fait pour s’amuser ! »

C’était une sacrée ironie ! Doutzen soupira encore, puis ses mains allèrent caresser l’une des mains d’AOki, ses doigts glissant délicatement sur sa paume.

« Je ne fais que te dire la vérité, Aoki... Reto n’est pas là pour me surveiller ou pour me dire quoi faire. Je suis son Petit Chaperon Rouge... Il vend mon corps à des sales types pour les faire chanter ensuite, car, légalement parlant, je suis mineure. Alors, oui, j’ai voulu le quitter, jadis... Mais je suis une fille lucide. Que se passera-t-il se je pars ? Reto ne pourra plus me protéger, et je suis une menace pour lui et son organisation. Ses amis n’hésiteront pas à me tuer, et à maquiller ça en incident. Que voudrais-tu que je fasse ? Que j’aille porter plainte à la police ? J’ai été sodomisée par un lieutenant de police... Et même, personne ne protègera éternellement une prostituée, et les Russes, eux, ont tout le temps. Et, quand bien même, je n’ai aucune raison de me retourner contre Reto. Il est mauvais, oui, mais il ne l’est pas autant que tous ces politiciens qui pactisent avec des dictateurs pour combattre des terroristes islamistes. C’est la même chose ici... Reto purifie la ville, à sa manière. Les gens avec qui je couche sont des sales types, des pervers, des pédophiles, des salopards qui aiment brutaliser les femmes. Reto s’assure de les briser. »

On aurait pu dire que Doutzen avait été victime du syndrome de Stockholm, ce syndrome qui avait fait que, en 1973,n suite à une prise d’otages dans une banque, on ait noté un rapprochement entre les otages et le preneur d’otages, Jan Erik Olsson. Doutzen, de son côté, continuait à parler, et finit par poser ses lèvres sur la paume de la main d’Aoki.

« Je n’ai aucune envie d’être libérée de l’emprise de Reto, Aoki. J’ai besoin de lui... Mais aussi de toi. Tu n’as pas froid aux yeux, Aoki, et... Je veux bien que tu sois ma Maîtresse, mais ça ne se fera pas au détriment de Reto. Si tu veux vraiment m’aider... »

Elle se tut un peu, consciente de l’aspect très culotté de ce qu’elle allait demander. Néanmoins, elle était prête à prendre ce risque, et, après quelques hésitations, se lâcha :

« Je veux que tu me formes, aussi bien artistiquement que... Que sexuellement. Je veux que tu te rapproches de moi, et que tu interfères auprès de Reto si jamais tu penses qu’il dépasse les bornes. Et... Hum... Disons que, si tu acceptes, on va se fixer une période d’essai d’un mois. Si, au bout de ce délai, tu n’es pas convaincue... Je reconsidérerai très sérieusement ta proposition de devenir ma Maîtresse unique. »

Doutzen reprit ensuite, après quelques secondes de silence, sur un ton nerveux et peu assuré :

« Est-ce que ça t’intéresse ? »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 02 novembre 2015, 19:30:47
Malgré le sexe de façon très pervers et poussé qu'elles venaient d'avoir, il était temps de bavarder un peu, d'être sérieuses quelques minutes, Aoki abordant le fait de vouloir la protéger, de l'avoir pour elle aussi mais de façon moins... Reto. La possédée de façon sexuelle certes mais de façon consentit, non abusive mais le dialogique ne serait pas aussi simple que cela. Doutzen appréciait Reto mais pas Aoki. Pour elle, ce « père » qui n'était pas le sien était immonde. Oui il n'y avait pas de liens de sang, non les vrais parent de Doutzen n'étaient pas mieux mais, cela restait sa « fille », Reto devait se comporter comme un père, non comme un proxénète ! Si encore il aurait été ce mafieux sans abuser de sa fille, Aoki aurait eu un peu plus de respect pour ce personnage mais pour elle, il avait dépassé les limites que Doutzen disait, au contraire, qu'il n'avait pas franchi. Enfin, cela n'était question de point de vue après tout.

Cependant elle apprenait certaines choses sur le lycée Mishima, jamais elle n'avait fréquenté ce lycée. Ses parents voulaient pour elle le meilleur et elle avait donc étudié ailleurs, dans une école privée et non ce lycée public qui semblait si... étrangement effrayant ? Elle savait que de nos jours, les jeunes étaient plus en avance mais de là à avoir des clubs sexuel secrets, c'était à la fois scandaleux et... un peu excitant aussi mais vu ce qu'elles venaient de faire, logique qu'Aoki ne soit pas en condition pour bien raisonner  à ce sujet. Mais les paroles de Doutzen étaient aussi vraies qu'effrayantes. Le pays était corrompu de bien des façons et c'est dans ce genre de moment qu'Aoki regrette de ne pas être comme les amies de Félicia. Elle lui avait parler de femme indestructible, super-forte, qui repoussait les balles comme des mouches, si seulement elle aurait été ainsi il y a quelques années, elle aurait protégé Doutzen et non lui laisser subir ça...

Gardant la demoiselle dans ses bras, elle la serrait contre elle, posant sa joue contre sa tête...

« J'aurais voulu être là pour te protéger Doutzen, sincèrement... »

Sauf que lors de son « adoption », Aoki était sûrement encore mineur pour commencer. Aoki était une grande perverse mais elle n'en restait pas moins femme avant tout et elle aurait tout donné pour la protéger à cette époque. La demoiselle venait lui proposer quelque chose qui la rendait presque « justicière » pour la protéger, durant un mois, devant arrêter Reto quand elle le pouvait. Cela risque d'en énerver plus d'un mais Aoki compte bien cesser ce cirque. Doutzen était censé être sa fille, pas son jouet. Il veut qu'elle reste à ses côtés ? Qu'il se comporte en père ! Aoki abuse d'elle ? Et alors, non seulement Doutzen le voulait mais elle n'avait pas de lien familial avec elle contrairement à celui qui est censé être son père. Cela dit, Aoki avait beau ne pas être aussi influente que Reto ou aussi doué en armes à feu, elle avait des as dans ses manches, Félicia et ses amis ne laisseront pas une jeune femme rester l’objet sexuel d'un tel homme censé être son père alors dans le pire des cas, elle avait un atout à jour pour contre-attaquer. Elle va devoir en parler avec Félicia du coup, qu'elle se tienne prête un jour...

« Tu sais que si on fait ça, Reto n'est pas prêt de profiter de toi au moins ? Comprends bien une chose Doutzen, j'ai vu ton talent, je sais qu'en te formant, tu réaliseras tes rêves, je te le garantis. Alors je ne veux pas que tu restes auprès de lui et ses fréquentations, c'est bien trop dangereux. Lui qui donne l'air de tout contrôler, si un jour il se fait dépasser par les événements et te met en danger par la même occasion ? Je pourrais pas accepter une telle chose, tu es innocente dans cette affaire Doutzen, tu n'as pas eu la chance de grandir avec quelqu'un qui devrait te protéger et non t'utiliser et te mettre en danger. Je ferais le contraire, je te protégerais Doutzen et plutôt que te tirer vers le bas, je te pousserais vers le haut. »

Aoki était prête à redoubler d'efforts pour éloigner Doutzen au plus vite de ce monde de criminels dangereux pour la pousser ailleurs. Hiollywood n'était pas mieux – quoiqu'un peu sûrement – mais en restant son agent exclusif, elle était sûre de garder un œil sur elle et la protéger comme il se doit. Mais Aoki n'avait pas que ça en tête, elle avait des choses plus douteux en tête, c'est vrai mais toujours moins pire que ce qu'elle a pu vivre...

« Puis Reto a bien trop profité de toi, ma petite Doutzen, il est temps que tu apprennes tout le plaisir qu'une femme a à t'offrir... tu seras une toute autre personne après t'avoir formé ma petite chérie... N'ai pas peur, dorénavant, je vais te protéger, ma petite Doutzen... »

Caressant autant ses cheveux que son visage, elle venait doucement l'embrasser. Qu'elle cela pour un oui à sa proposition. Il va y avoir de l'orage dans l'air à présent entre elle et Reto mais Aoki, même si elle n'était pas un exemple vu ses projets étaient toujours un meilleur choix que Reto. Il veut piéger ses ennemis ? Qu'il trouve autre chose que Doutzen. Stopper des pédophiles ? Une bonne chose mais il peut très bien engager un bon hacker qui va fouiller son pc et livrer le tout à la police pour coincer ce dégueulasse. Doutzen n'était pas la solution à ses problèmes. Il avait bien trop usé d'elle.

« Crois-moi, ta vie sera différente à mes côtés... »

Très différente, oui. Elle n'allait pas la forcé à détester Reto, ça ne servirait à rien mais elle pouvait toujours lui montrer combien son monde était mieux que celui de son « père ». Il faudra qu'elle ait une discussion plus privée avec lui aussi, à ce sujet, qu'elle montre qu'elle n'est pas si piégée que ça, elle aussi à des cartes à abattre mais si elle les abats, il n'y aura pas de second round.

« Souhaites-tu un peu de douceur ou bien encore un peu de domination ? »

Elle était prête à reprendre leur jeu ou à continuer sur cette douce longueur.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le dimanche 08 novembre 2015, 16:44:59
Il y avait comme une sorte d’incompréhension entre les deux femmes, une incompréhension qui tournait autour de Reto Kroes, son « père » adoptif. Un homme qui avait abusé d’elle, un homme qu’elle détestait. Reto avait abusé d’elle à maintes reprises, il l’avait prostitué, utilisé comme un Petit Chaperon Rouge… Un homme détestable… Mais aussi un homme puissant, influent, dangereux, et les explications de la jeune Doutz’ n’avaient visiblement guère convaincu Aoki, qui lui expliqua qu’elle comptait la protéger, la hisser vers le haut… Doutzen entendait tout cela, bien sûr, mais les explications de la jeune femme la convainquirent qu’elle n’avait pas saisi certaines choses. Elle goûta néanmoins à son baiser, puis Aoki lui demanda si elle comptait faire de la douceur… Ou opter davantage pour son rôle de Maîtresse. La jeune femme se mordilla les lèvres, et lui répondit :

« Non, Aoki… Je… Tu ne comprends pas… Reto ne me tire pas vers le bas. Il… Il souhaite vraiment que je devienne une actrice, que… Que je progresse. »

Est-ce que Reto l’aimait ? C’était une question dont la réponse était difficile. Voyait-il simplement en elle une prostituée à utiliser pour piéger les autres ? Il ne pouvait pas vraiment la considérer comme sa fille, car ils faisaient régulièrement l’amour ensemble. Doutzen, en toute honnêteté, s’était à de maintes reprises demandé ce que l’homme ressentait pour elle, sans jamais réussir à avoir une réponse claire. C’était toujours quelque chose de très compliqué, et ça l’était encore plus avec un homme comme Reto, qui était, par nature, très changeant.

« Je ne veux pas que tu te heurtes à lui, Aoki. Reto m’a fait des choses horribles, je le sais, mais… Le monde est ainsi. Si ça n’aurait pas été lui, ça aurait été mes camarades ou mes professeurs à Mishima. J’ai couché avec plusieurs de mes profs, Aoki. Qu’est-ce qui rend ça moins acceptable que ce que Reto me fait ? Ou ce que tu me fais ? Soyons honnêtes, Aoki… Je ne crois pas que ton contrat t’autorise à coucher avec des élèves, encore moins si elles sont mineures… »

Au Japon, la majorité civile était à 21 ans, et, même si la majorité sexuelle était à 13 ans, Doutzen n’était pas sûre que des juges auraient pu faire une différence. Légalement parlant, Aoki avait couché avec une mineure. Alors, elle pouvait continuer à jouer la moralisatrice, mais Doutzen n’était pas dupe. Reto lui avait enlevé son innocence, il lui avait montré que le monde n’avait rien de féérique, et que le sexe en avait une place prépondérante.

Doutzen esquissa donc un léger sourire, presque désabusé, tout en restant contre Aoki, mains posées sur ses épaules :

« Reto m’a éduqué… Je le déteste, mais je lui suis reconnaissante. Il m’a montré que, peu importe nos talents, la beauté d’une femme reste toujours l’élément prépondérant. Il m’a montré comment m’en servir, comment l’utiliser. Si je veux devenir actrice, c’est une chose que je dois apprendre à faire. Tu sais… »

Elle se tut un peu, se pinçant les lèvres, avant de reprendre :

« J’ai toujours voulu ressembler à Marilyn Monroe. Je la voyais comme mon idole… Et j’avais raison. Crois-tu que le succès de Marilyn est dû à son talent, ou à sa beauté ? C’est une sex-symbol. Le monde entier est hypocrite. On nous bassine depuis l’enfance qu’on se fout du physique, mais c’est la seule chose qui importe. Tous ces mecs que j’ai embobinés, tous ces pervers et ces pédophiles, je n’aurais pas pu le faire si Reto ne m’avait pas montré de quoi le monde était réellement fait. »

Est-ce qu’Aoki comprenait où elle voulait en venir ? Elle ne faisait concrètement que répéter ce qu’elle avait déjà eu l’occasion de dire il y a quelques minutes, mais sous un angle différent.

« Je ne veux pas choisir entre toi et lui… Tu es ma Maîtresse, il est mon père, et c’est comme ça. »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 24 novembre 2015, 20:07:11
Doutzen se heurtait à un mur, Aoki n'arrivait pas à avaler le fait qu'elle puisse ne serait-ce que pardonner à son père. Oui ses parents biologiques n'étaient pas mieux, oui, elle aurait pu avoir pire ailleurs mais... de là à se dire que c'était « normal » ? Non, ça, elle avait beau tenter de l'avaler, elle finissait par le recracher avec sa bile. Elle tentait de comprendre, d'accepter mais c'était plus fort qu'elle, elle n'y arrivait pas. Doutzen avait beau avoir de bons arguments, elle n'y arrivait pas, tout simplement. Elle la laissa parler encore et encore, se rendant compte que même en lui montrant par A plus B que sa situation n'était pas acceptable pour elle, elle ne voudrait rien entendre. C'était peut-être juste à cause du fait que Reto était le « père » de Doutzen qui bloquait tant Aoki ? Ce serait un simple mafieux qui est accroché à Doutzen ou elle qui s'accroche à lui... une sorte de syndrome de Stockholm mais là... Comment lui faire comprendre simplement ce qu'elle pense ? C'était inule. Aoki resserrait l’étreinte de ses bras, laissant la jeune femme contre elle, lui baisant les cheveux en enfonçant le clou une bonne fois pour toutes.

« Alors faisons comme ça, Doutzen. »

Elle restait sa maîtresse, il restait son « père ». Gardant la tête de la jeune femme contre son sein, elle continuait de la câliner, sans prononcer le moindre mot. Il est évident que cette discussion devrait rester sous terre le plus souvent possible et éviter d'en parler, Aoki était parfois vraiment têtu alors, restons en là. Ce petit câlin était le point final à cette discussion, Aoki restera sa maîtresse et fera d'elle une star, comme promis mais il ne vaudrait mieux pas jouer avec le feu. Après quelques minutes de tendresse, elle levait sa main, redressant le menton de sa petite Doutzen pour lever ses lèvres et venir l'embrasser doucement, pas de maîtresse à la cravache pour le moment, juste une douceur infinie avec elle... une douceur qui va rapidement virer à la perversion avec la belle Japonaise.

Rapidement, ce doux baiser avait un goût de luxure... Aoki qui avait gardé sa main sous le menton de son élève lui tirait doucement le menton pour lui faire ouvrir sa bouche, ouvrant la sienne pour laisser leur baiser au grand air. Gardant un œil sur elle, elle cessa de l'embrasser sans pour autant fermer la bouche de la demoiselle.

« Alors, où en étions-nous ? Hum ? »

Sans lui faire quitter son corps, sans lui faire fermer la bouche, elle crachait dans la sienne, sans pour autant être violente, accumulant la bave sur ses lèvres pour lui cracher dans la bouche. Pourquoi ? Elle était sa maîtresse alors elle fera ce qu'elle lui demande, sans rien dire. Le B.A.BA d'une esclave sexuelle après tout. Aoki était affamé, venant lécher ses lèvres et sa langue avant de lui refaire un vrai baiser, lèvres contre lèvres.

« Viens me faire jouir... »

Et hop, le train était de nouveau en marche !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 27 novembre 2015, 13:16:20
Doutzen, en toute honnêteté, ne voyait pas en quoi son raisonnement était compliqué à comprendre. Reto était dangereux, certes, mais, à sa manière, il voulait le bien de Doutzen. Autrement, il n’aurait jamais laissé la jeune femme suivre des cours de management et de théâtre. À sa manière, Reto voulait faire amende honorable sur ce qu’il lui avait fait subir, et Doutzen était intelligente... Suffisamment pour savoir qu’il n’était pas dans son intérêt de partir, de fuguer. De fait, si elle avait vraiment voulu fuir l’emprise de Reto, elle aurait eu quantité d’occasions de le faire. Aoki avait du mal à le réaliser, et Doutz’ pensait que c’était parce qu’elle ne vivait pas au quotidien avec Reto, et qu’elle avait donc une vision biaisée. Doutz’ avait essayé d’être la plus claire possible, en lui expliquant que, si Aoki voulait vraiment l’aider, le meilleur moyen était de se rapprocher de Reto.

Semblant comprendre qu’elle n’arriverait pas à faire changer la jeune femme, Aoki finit par admettre, brièvement, qu’elles feraient  « comme ça », sans en dire plus... Ce qui était à la fois frustrant et encourageant. Doutz’ sentit ensuite le sein d’Aoki, et soupira contre ce dernier, mais elle sentait bien que, dans les deux parties, le cœur n’y était plus vraiment. Il y avait un abcès à crever, et, si Doutzen avait réussi à s’en sortir sans devenir folle, c’était bien parce qu’elle ne cachait jamais rien. Cependant, Aoki n’avait visiblement pas envie de discuter, car, après ce contact sur sa poitrine, leur jeu sexuel reprit... Et Doutzen se mit à rougir pendant leur baiser, quand elle sentit clairement Aoki lui... Lui cracher dessus !

La salive de sa Maîtresse filait en effet dans sa bouche, et les yeux de Doutzen s’écarquillèrent de surprise... Puis elle gémit silencieusement, puis elle lui ordonna ensuite de la faire jouir. Doutzen restait là, face à elle... Elle avait encore l’occasion de revenir sur leur conversation, ou de reprendre les choses sérieuses... Choix difficile ? Pas vraiment ! Un sourire vint illuminer ses lèvres, et elle hocha la tête.

« Oui, Maîtresse... Je suis à vos ordres... »

Aoki avait visiblement envie d’être une Maîtresse... Ou, plutôt, d’en redevenir une. Elle aussi, elle avait quelques histoires à raconter, visiblement ! Doutzen se pencha donc, et glissa sa tête entre les cuisses de la femme. Elle portait encore ses longs collants, ainsi que sa culotte, et, si Doutzen aurait pu la retirer, elle choisit de ne pas le faire. Elle était obéissante, et, dans la mesure où Aoki ne lui avait donné aucune instruction de ce type, elle n’allait pas agir autrement que comme une esclave dévouée et perverse.

En se raclant donc la gorge, elle se pencha vers la culotte, et entreprit de la lécher, relevant parfois les yeux pour observer le visage de sa Maîtresse... Puis ses mains se posèrent délicatement sur les cuisses de sa Maîtresse, et elle continua à lécher, à hauteur de son intimité, sa langue remuant sur ce morceau de tissu. Doutzen savait les Japonais fétichistes, et c’était un fantasme qui avait déteint sur elle.

« Hmmmm-mmmhhmmmm... »

Lentement, elle continuait à lécher l’intimité de la femme, y allant néanmoins de plus en plus vite...

...Pour la faire jouir !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 17 décembre 2015, 20:48:50
C'était une chose difficile à comprendre pour Aoki, cette histoire père-fille-inceste. Si encore ce serait qu'un pervers qui jouerait à ce genre de jeux avec Doutzen de façon consentante, elle serait plus clémente. Ce rejet était sûrement dû au fait que, même adoptif, ça restait vraiment son père et... il abusait de sa fille. Enfin bon, l'heure n'était plus à ça, elle comptait accepter ça tôt ou tard, avec Doutzen ou Reto, elle verra, peut-être même que Félicia pourra l'aider à comprendre ça ? Mais pas pour le moment. Aoki montrait bien un stéréotype qui était loin d'être abusé, les Japonais sont de sacrés pervers, elle le prouvait bien. Pourquoi cracher dans sa bouche ? Simple envie, à défaut d'être un homme et d'avoir un peu de « lui » en elle, elle avait à présent un peu « d'elle » en elle. Puis avouons-le, c'était sacrément excitant ! En général, elle faisait surtout ça sur les lèvres intimes mais... eh bien dans la bouche, elle ne l'avait encore jamais fait avec quelqu'un comme Félicia, Doutzen était donc chanceuse.

S'abaissant, elle venait se diriger sur sa culotte, venant lécher la surface, sa petite langue épousant les petites bosses et autres recoins cachées par le tissu. Mystérieux et pourtant commun, ce royaume était encore à découvrir pour la petite Doutzen mais elle en profitera, ça oui, c'était une promesse. Mais une chose à la fois, il ne faut pas croquer la pomme trop vite. Aoki observait sa petite Doutzen, si elle l'aurait rencontré avant Félicia, Chatte Noire ou non, elle serait sûrement rester sa chose exclusive en dehors de la femme qu'elle aimait. Mais si elle s'en serait privée, elle aurait été sûrement celle qu'elle regrettait le plus. Ses mains caressaient ses cheveux alors qu'elle soupirait doucement, la jeune femme caressait son sein en la regardant faire ce travail, c'était bien agréable. La Japonaise léchait son index avant de le poser sur le nez de son élève, pressant doucement dessus pour lui demander de reculer son visage. Qu'elle regarde sa culotte ou Aoki, elle avait le choix alors que sa main descendait sur sa culotte. Elle pinçait le contour du tissu avant de tirer doucement dessus, de plus en plus fort, le tissu s'étirait pour laisser à découvert un peu de sa peau, laissant un long trait de tissu qui cachait toujours l'essentiel.

« Alors Doutzen ? Vas-tu goûter ma peau à cet endroit si intime... Ou bien tu vas continuer de lécher cette ravissante culotte ? »

Peut-être la lui fera-t-elle porter ensuite ? En espérant qu'elle ne soit aps trop large pour elle ? Au pire, ça fera un bon bâillon pour retenir ses cris. Le jeu était simple mais il privait à la fois du plus important si elle voulait lécher sa peau. Et elle laissait le plus important si elle visait le tissu. Dans cette ligne, il y avait ses lèvres mais aussi son petit bonbon... voilà qui va lui donner envie.

« Tu veux que je tire encore un peu dessus, coquine ? »

Reste à savoir qui était la plus coquine des deux mais pour le coup, c'était sûrement Aoki, y a pas photo. Si la pauvre savait tout ce qu'elles vont faire dans cette chambre, Aoki risque de la surprendre et de la fatiguer à bien des égards ce soir.De sa main de libre elle lui caressa la joue en lui offrant un sourire presque innocent, comme sa voix douce et mielleuse et pourtant, ce qu'elle sortait était aurait étonné bien des prudes...

« Maintenant, déchaînes-toi sur ma chatte, d'accord ? »

Elle voulait voir comment allait s'en prendre sa petite Doutzen ? Façon douce ou bien en se déchaînant dessus ? Que de surprise.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mardi 22 décembre 2015, 01:55:24
Avec Aoki, Doutzen pensait avoir trouvé sa véritable maîtresse en manière de sexe. Oh, des pervers, elle en avait rencontré plein. Les fétichistes, les sodomites, et les hommes aimant les fellations (les « fellationistes » ? Doutzen ne savait pas trop comment les appeler) étaient légion, mais, dans cette foule, il y avait aussi des ondinistes, hommes ou femmes. Il était fréquent qu’un homme, ou qu’une femme, lui demandent de boire son urine. Doutzen trouvait ça dégoûtant, même si, entre-temps, elle avait appris que, contrairement à une idée reçue, l’urine était loin d’être aussi désagréable pour le corps humain que ce qu’on pouvait penser. Au contraire, l’urine avait même des vertus curatives. Il existait même une pratique consistant à boire sa propre urine pour entretenir sa santé : l’amaroli ! Doutz’ le savait, car elle avait vu la page Wikipedia qui en parlait... Alors, ça relativisait un peu, même si ça ne rendait pas la scène moins dégradante. Doutzen avait donc connu bien des pervers, mais, avec Aoki, il y avait cette espèce de douceur et d’assurance innée, ce mélange de tendresse, d’autorité, d’amour et de fermeté, le tout gravitant autour d’une forte dose de perversion, qui faisait que Doutzen se sentait toute excitée. Elle avait rarement ressenti une telle attirance envers quelqu’un d’autre, et, en voyant la culotte toute trempée de sa Maîtresse, elle déglutit lentement.

Les joues légèrement rouges, Doutzen voyait cette dernière tirer sur sa culotte, afin de dévoiler l’accès à sa chatte... Puis sa belle Maîtresse blonde l’invita ensuite à venir lécher sa chatte, ou, plutôt, à se « déchaîner » dessus. Doutzen, en tant qu’esclave attentive, écouta silencieusement, et hocha la tête de haut en bas.

« Bien, Maîtresse... »

La discussion avec Reto avait disparu pour le moment, ne laissant plus que leur perverse relation. Doutzen se pencha donc rapidement, et vint enfoncer rapidement un doigt en elle, jusqu’à sentir son bouton de plaisir, qu’elle pressa, en se mettant à remuer. Son autre main s’appuyait sur l’aine de Maîtresse Kou, avant de caresser sa peau, puis elle vint lécher son sexe, fourrant sa langue à l’intérieur, et lécha rapidement, en gémissant et en soupirant, tout en alternant avec ses doigts.

Elle agissait comme sa Maîtresse lui avait dit...

En espérant que ça lui plairait !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le vendredi 29 janvier 2016, 22:22:57
Aoki tenait sa chose entre ses mains, laissons de côté les détails et les soucis qui peuvent ruiner cette soirée, laissons plutôt parler le sexe et rien d'autre que ça. D'autant plus qu'elles n'avaient pas toute la nuit devant elles, la soirée à peine, elle ne comptait pas la maintenir ici jusqu'à tard dans la nuit. Doutzen était son élève, pas son amante et passer la nuit ici ferait mauvais genre. Passe encore en privé chez elle mais ici... non, bien trop risqué. Sa culotte était étirée entre ses jambes, même ainsi, très coquine, Aoki ne laissait pas le plus important être dévoilé. Son dessous délicat était tiré, ne formant qu'une fine ligne de tissu mais une ligne qui cachait quand même le plus important, eh oui. Son élève observait cela avant de passer à l'attaque en venant retirer cela pour s'attaquer à ce qu'il y avait de mieux. Bien visé...

« Voilà ma jolie... Lèche bien surtout... »

Qu'elle y mette tout son cœur, c'est important. Une main maintenait sa culotte, la seconde offrait une caresse sur la tête de Doutzen, c'était une brave petite quand elle y mettait du sien, c'est évident. Ses doigts caressaient doucement ses cheveux, un peu comme un chien, oui mais un chien sexy alors. Elle s'y prenait bien, elle léchait doucement, ses doigts s'y mettaient aussi, Aoki gémissait doucement en la laissant faire, la Japonaise approchait doucement de l'orgasme mais il y avait encore du chemin avant d'en arriver là. Pour le moment, elle savourait ce moment de douceur en lui rendant la pareille...

« Tu vois ? Elle est bonne ma petite chatte... et si tu fait du bon travail, tu auras le droit de la manger autant que tu le voudras, huuuum... »

Et inversement, si elle faisait mal son travail, ce sera une Aoki plus stricte et plus sévère qui lui fera face. Lui offrant avec joie ses lèvres intimes mais en la traitant comme un chiotte sexy, pissant sur ou en elle. S'amusant à claquer ce superbe cul qu'elle avait, lui montrant les délices de la douleur jusqu'à son paroxysme ! Mais inutile de l'inquiéter avec ça, la jeune femme la laissait continuer sur ce chemin pour le moment, tant qu'elle avait son plaisir, c'est ce qui comptait.

« Laisse mon minou tranquille deux secondes et fait moi rêver... Qu'est-ce qui a été ton meilleur coup ? Que ce soit avec ton ou ta ou même tes partenaires ? Quelle position, combien de temps, combien d'orgasme ?! Fait moi voir à quel point tu aimes être salope... »

Rien de mieux que de savoir certains détails croustillants pour savourer plus encore cet ébat. Elle continua de la caresser, de même qu'elle était libre de continuer avec ses doigts en lui racontant ses cochonneries, Aoki attendait d'entendre avec joie ce qu'elle avait vécu dans sa petite vie...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le samedi 30 janvier 2016, 10:10:56
Qui aurait cru que Maîtresse Kou puisse être aussi perverse ? C’était presque à se demander si Reto ne l’avait pas fait exprès... Non, en réalité, Reto l’avait sûrement fait exprès, puisqu’il savait très bien à quel genre de personnes il confiait Doutzen. Le criminel était loin d’être un enfant de chœur, et c’était tout à fait son style de faire ce genre de trucs. Doutzen finissait entre les mains d’une experte, afin d’améliorer sa formation dans tous les domaines : le théâtre, bien sûr, mais aussi, et surtout, le sexe sauvage et dominateur. Aoki était une vraie Maîtresse, une pure dominatrice, et elle semblait rattraper, avec Doutzne, le temps perdu. La femme qui avait réussi à restreindre les pulsions dominatrices d’Aoki devait assurément être une créature d’une grande puissance et d’un grand talent, car, vu la manière dont Aoki se comportait en ce moment, Doutz’ ne voyait pas trop comment c’était possible.

Tandis qu’elle léchait l’intimité de la femme, elle pouvait sentir, régulièrement, des claques s’abattre sur son postérieur, la faisant gémir. Cependant, outre les claques, elle sentait aussi, à plusieurs reprises, Aoki se vider contre elle... Au sens urinaire du terme. Doutzen clignait alors des yeux, mais ne retirait pas sa bouche, Kou-san, de plus, en profitant pour poser sa main sur sa tête, afin de la maintenir contre elle.

« Hm... !! »

Le jet doré filait en elle, comme une dose d’humiliation supplémentaire, et la jeune femme, ensuite, poursuivait son œuvre. Sa langue s’enfonçait dans la cavité intime de la femme, allant chercher son bouton de plaisir, afin d’appuyer dessus. Elle faisait du plaisir à Maîtresse Kou, Doutzen le sentait, mais la jeune femme finit par l’interrompre, en lui posant une question... Très intime.

Relevant la tête, Doutzen dut réfléchir un peu, avant de lui répondre :

« Et bien... »

La jeune femme se mordilla les lèvres, ses joues venant à légèrement rosir, avant de lui répondre :

« Il y a eu cette fois... À une soirée, avec deux femmes, dont l’une était... Euh... Hermaphrodite. »

Doutzen glissa cela d’une petite voix, car elle savait que ça pouvait être ridicule, mais c’était pourtant vrai. Doutzen avait remarqué que cette femme avait une verge ! Et ce n’était pas un simple gode, non, non, mais une vraie verge !

« Elles étaient un couple incestueux de sœurs jumelles, et... Elles m’ont fait l’amour pendant des heures, en me pénétrant de partout. J’en garde un excellent souvenir, car je trouve que les filles sont infiniment plus perverses, dans ce domaine, que les hommes. Elles... Elles voulaient que je m’insulte tout en me pénétrant dans le cul. »

C’était curieux à dire, mais, oui, c’était bien l’un de ses meilleurs souvenirs... Cette fois dans cette belle chambre, à se faire prendre dans tous les sens.

Que du bonheur !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 03 mars 2016, 20:25:27
Belle petite chose, c'était pas n'importe quelle chose, c'était la sienne, sa chose à elle. Pas vraiment une propriété privée, Aoki ne serait jamais ce genre de personne de toute façon. En plus elle éprouvait plus que la joie du sexe avec Félicia mais quand oserait-elle faire le premier pas ? Que ce soit elle ou Félicia, elle ne voulait rien précipiter et justement, comme cela n'avait rien d'officiel, elle suivait les conseils de son amie pour se faire plaisir avec elle. Elle avait un très joli fessier sous le nez qu'elle s'amusait à fesser, parfois caresser mais ce petit cul méritait bien plus que ça en tout cas. Aoki venait même à poser sa main sur sa tête pour bien la maintenir entre ses jambes avant de se lâcher un peu, côté vessie. Elle ne pensait pas aller aussi vite là-dedans avec elle mais, prise dans le feu de l'action, voilà sa récompense qui montra à Aoki si elle est prête à tout pour être son élève et grimper vers les étoiles d'Hollywood ?

Certes, elle pourrait proposer plus humiliant et dégoûtant mais Aoki aimait le fait d'uriner de façon sexuelle avec quelqu'un alors faire pire ? Non, elle en serait bien incapable. Voyant que Doutzen n'avait rien recraché était déjà une bonne chose en soi. Qu'elle se rassure, elle avait réussi le test et ne comptait pas recommencer de sitôt, sauf si la Doutzen fait du mauvais travail peut-être ? Relâchant prise, elle cherchait à savoir ce qu'elle avait déjà vécu de mieux et sa réponse avait eu de quoi l'étonner ? Une hermaphrodite ? C'était vrai ? Ce genre de malformation chez une femme n'était pas impossible mais dans le monde, il ne doit pas en avoir des masses ? Aoki ne pensait pas que les femmes à queue que l'on nommait communément futanari étaient ailleurs que sur des planches de manga, il y avait même un sacré paquet sans le savoir ! Elle avait cessé de jouer avec son cul en réfléchissant et en imaginant ce couple de jumelles prendre Doutzen, dont une comme un homme... ça avait un côté excitant, c'est vrai mais... elle peinait à croire à cette histoire. Pourtant, pourquoi elle mentirait à ça ? Au mieux, elle a fait ça avec une femme avec un gode ceinture mais elle était assez grande pour voir la différence entre plastique et chair ?

Aoki posa sa main sur ce cul pour la repousser, la faisant allonger sur le lit pour s'allonger sur elle, elle glissa une de ses mains entre elle et le lit, venant caresser doucement son intimité. Sa poitrine écrasait son dos, sa langue titillait son oreille, la mordant du bout des lèvres alors qu'elle gesticulait sur elle.

« Hum donc tu aimerais que je me ramène avec un gode ceinture pour te prendre par le cul si fort que le matelas garderais les marques de ton joli corps, c'est ça que tu cherches petite traînée ? Maîtresse Aoki exaucera ton souhait si tu travailles. Puis cela serait aussi une récompense pour moi, rien qu'être ton petit cul, j'ai chaud à la chatte... Ce jour-là, je te préviens que je ferais ça sans vaseline et les chaises deviendront ta hantise tant tu auras mal au cul après avoir passé un moment avec moi. Je te ferais gémir et couiner si fort, compte sur moi ma belle Doutzen... »

Lui laissant un avant-goût de ce jour-là, elle s'amusait à donner des coups de reins contre elle, même si rien ne dépassait de ses jambes pour lui faire mal à son petit anus, elle pourra aisément imaginer ce moment qui viendra tôt ou tard. Aoki retourna la jeune femme pour la regarder avec ce regard à la fois doux et autoritaire, caressant doucement sa joue.

« Je vais t'offrir un dernier orgasme, après on quitte cet endroit. Tout cela n'était qu'un avant-goût de ce qui t'attend si tu travailles bien. Dans ce cas, si tu veux recommencer, travaille bien, comme ça tu progresses dans tes rêves et tu auras la garantie d'en prendre plein le cul la prochaine fois. Tu vas me dire comment tu veux jouir ma petite Doutzen, je te laisse le choix mais avant ça... tu vas d'abord me téter un peu, d'accord ? »

Aoki venait à se mettre à l'opposé de Doutzen, de façon à ce que son sein tombe dans sa bouche et qu'elle, puisse aussi profiter de ce petit morceau de chair, chacune peut jouer avec le sein de l'autre comme ça.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 09 mars 2016, 23:05:45
Aoki savait s’y faire avec les femmes. Elle était lentement en train de la rendre folle, de lui faire perdre tous ses moyens. Comment lutter contre cette femme ? Doutzen se sentait comme une peluche entre les mains expertes de sa Maîtresse. Aoki jouait tout simplement avec elle, et le prouva en se lovant dans son dos, et en la narguant, une main en appui sur son sexe. Silencieuse, avec le goût de l’urine de sa Maîtresse qui flottait encore sur ses lèvres, la jeune femme soupirait lentement. Elle se mordillait les lèvres, tout en écoutant le discours d’Aoki, un discours très… Alléchant. En substance, la femme promettait de lui faire méchamment l’amour à hauteur du cul, et ponctua cela par des coups de reins prononcés contre ses fesses.

« Hmmm… »

Dans l’imagination débordante de Doutzen, celle-ci se mit à imaginer un scenario fait de cuir, de latex, de cordes, et où Aoki, en grande Maîtresse dominante, viendrait méchamment la sodomiser en la faisant hurler. Une image qui l’amena à se mordiller les lèvres tout en mouillant sur place.

*Qu’est-ce qui m’arrive pour que cette image puisse autant m’exciter ?*

Quand est-ce que Doutzen avait changé ? Quand est-ce qu’elle était devenue la femme qu’elle était actuellement, cette perverse qui ne reculait devant rien pour coucher avec les autres ? Difficile à dire… C’était un changement progressif. Si la jeune femme avait jadis pu être horrifiée de ce que Reto voulait faire d’elle, son esprit s’y était comme lentement adopté, dans une sorte de variante du syndrome de Stockholm. Elle avait perdu depuis longtemps son « innocence » d’enfant, et, maintenant, Doutzen acceptait pleinement la nouvelle femme qu’elle était devenue, cette jeune adolescente perverse qui aimait le sexe, surtout quand il devenait intense, lourd, et bien pervers. Elle était ainsi, une femme à la beauté angélique à l’extérieur, mais à la forte perversion à l’intérieur, et elle laissait peu de gens voir cette facette-là d’elle-même. En réalité, elle-même était surprise de se délivrer à ce point face à Aoki, et c’était bien la preuve, s’il en fallait encore une, qu’Aoki était une bonne Maîtresse, talentueuse et expérimentée en la matière.

Après les coups de reins, Aoki lui glissa qu’elles allaient jouir une dernière fois, et que Doutzen était libre de choisir ce qu’elle voulait. La jeune esclave cligna les yeux sans rien dire, car, très rapidement, sa bouche se retrouva contre le sein d’Aoki, et elle le suça, ses mains se serrant sur le dos de la femme. Gémissant silencieusement, Doutz’ entreprit de s’attaquer à ce sein, le serrant et le pressant entre ses lèvres, tirant sur le téton, sa langue venant s’activer dessus avec énergie.

« Hhmmmmm… !! »

Ce contact était très agréable, comme à chaque fois avec Maîtresse Kou. Doutzen agit donc, tirant sur ce sein, jusqu’à ce que sa Maîtresse en ait assez. Les deux femmes se regardèrent alors, et Doutz’ se mordilla les lèvres, les yeux pétillant de malice, avant de lui répondre :

« Je vous laisse voir comment vous voulez me faire jouir, Maîtresse, glissa-t-elle alors, une réponse surprenante, puisqu’elle allait à rebours de ce que sa Maîtresse avait ordonné. Car ce que j’ai en tête, en réalité, en pourra, je pense, se faire que lors d’une prochaine séance. »

Souriant légèrement sur le coin de sa bouche, elle reprit :

« Je le sens en vous, dans vos baisers, dans votre… Ardeur. Votre perversion égale la mienne, ou la surclasse. La prochaine fois, je veux… Je ferais tout mon possible en tant qu’élève pour décrocher la récompense maximale. Vous et moi dans des combinaisons en latex, et vous à me sodomiser et à me baiser de toutes vos forces avec des vibromasseurs, à me fesser, et à m’attacher… Car je sais que vous en êtes capable, et c’est ce que je souhaite. Avoir une Maîtresse qui soit à la fois aimante et brutale, perverse et joueuse… »

Doutzen déglutit un peu, le timbre de sa voix trahissant son excitation, et elle reprit, toujours allongée devant Aoki :

« Je pourrais même vous montrer la combinaison que je souhaite porter… »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 18 avril 2016, 20:43:39
Doutzen était son élève, elle en vivra de toutes les couleurs, tant dans sa carrière qu'auprès de sa nouvelle maîtresse mais peu importe, les deux femmes vont adorer ça. Et pour Aoki le boulot reste le principal, elle emmènera la jeune femme au sommet de son art mais une fois tout ses devoirs finis, elle aura ses récompenses ou ses punitions avec elle. Dans son bureau ou dans un hôtel comme maintenant. Peut-être chez elle ? Non, elle devrait d'abord en parler avec Félicia puis... bon, elle ne sort pas vraiment avec Félicia mais elle avait peur de tout briser en parlant de cette affaire, alors elle se taira pour le moment, elle verra bien une fois le moment venu mais si c'est dangereux, dommage pour Doutzen mais elle sera juste son élève, Aoki préférait avoir une petite amie plutôt qu'une chose. Elle avait pourtant l’avantage d'être dominante avec elle mais, elle préférait de loin jouer les soumises entre les mains de Félicia qu'avoir des Doutzen par dizaines qui l’appel Maîtresse.

Lui laissant le choix sur la façon de jouir, la jeune femme en profita pour se jeter sur sa poitrine pour la sucer, la lécher et même la mordiller doucement. Hou la coquine, enfin, si ça lui faisait plaisir, elle la laissa faire même si elle voyait mal comment jouir si elle ne faisait que ça, sans se toucher ou se frotter contre elle. Aoki la laissa faire en lui caressant la tête, un petit moment doux avant de retrouver bien vite ce qui pourrait faire le charme d'Aoki, son autorité. Mais non, le torrent  s'était calmé, elle voulait certes jouir une dernière fois mais sans en venir à la manière forte, attendons qu'elle fasse des efforts pour lui offrir ses récompenses. Après un moment, elle retira ses lèvres de son sein alors que Doutzen se livrait en lui laissant le choix car la façon dont elle voulait jouir impliquait des combinaisons, des jouets, bref, un programme alléchant. Aoki fini juste par dire « Chuuuuuut... » en baissant son index sur ses lèvres.

« Ne viens pas me tenter trop vite ma petite. Garde cette jolie image dans ta tête, je la verrais par moi-même le moment venu. Pour le moment, après t'en avoir fait légèrement baver, place à un petit moment de douceur avant de s'arrêter là pour ce soir. »

Premier soir d'une longue série évidemment. Retirant son index, elle souleva une des jambes de Doutzen pour la faire passer par-dessus son épaule, approchant son intimité contre la sienne, déjà si humide – l'une comme l'autre. Autant finir sur de bonnes bases, elle sait que c'est idéal pour conclure une soirée, un moment intime comme celui-là.

« Huuuum voilà... un baiser de chatte bien douce.... hum, voilà ma petite, prend ton pied comme il faut... laisse-moi faire... »

Aoki bougeait doucement, venant baiser sa jambe par endroits, près du genou comme sa cuisse en continuant de doucement l'amener sur la route du plaisir. Leurs lèvres trempées mouillaient tellement que la moindre pression suffisait à les faire glisser longuement entre elles. Le moindre petit fortement était un pur délice entre elles, Aoki ne se lassait pas de la faire couiner comme il faut. C'était tellement bon après tout !

« Huuum, tu as aimé... me téter ? Moi j'aime frotter ta petite chaaaaaatte... Regarde... comme elle aime la mienne... elles s'entendent si bieeeeeeen ! Je sais... comment rendre ç-ça meilleure ! »

Glissant son majeur entre leurs lèvres, elle l'enfonçait à moitié en elle, faisant des mouvements plus longs, plus rapide entre elles, de même que son doigt en elle s'enfonçait de plus en plus pour vite lui faire atteindre le septième ciel, elle comptait bien l'amener là-haut, lui faire adorer cet avant-goût de leur future collaboration ensemble. Aoki se donnait vraiment pour vouloir faire jouir Doutzen à tout prix, peut-être pour jouir plus ou moins en même temps qu'elle ? Il faut dire que la Japonaise avait joui quelques secondes après son élève, gémissant de plaisir avant de relâcher sa jambe et s'allonger sur elle en l'embrassant doucement.

« Tu vois ? Ta Maîtresse peut être gentille aussi ? Profitons de nos derniers instants de la journée, d'accord ? »

Aoki l'embrassa tendrement une dernière fois en lui caressant de nouveau les cheveux, doucement... une fois debout, elles regagneront leur coin chez elles et se reverront demain pour un nouveau programme tant artistique que sexuel pour elles. Doutzen devra donc redoubler d'énergie pour tenir le rythme dans les deux sens.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 18 avril 2016, 22:27:18
Décidément, avec Kou-san, Doutzen avait rencontré une sorte d’alter ego, d’acolyte. Elle n’aurait jamais cru ça possible, et elle en était toute excitée. Ce moment avec cette femme, c’était aussi l’ultime preuve dont Doutzen avait encore besoin pour se convaincre qu’elle n’avait plus rien de la jeune femme innocente, essentiellement au vu des fantasmes qui la traversaient à l’idée de faire l’amour avec Aoki. Elle avait goûté à ses délicieux seins, et était vraiment très excitée à l’idée d’être avec une telle femme. Aoki n’avait rien à voir avec ses autres amants, et Doutzen devait bien admettre qu’elle préférait largement les amantes expérimentées, ces femmes qui, tout en étant très belles, savaient se maîtriser, sexuellement parlant, afin de se lancer dans des fantasmes osés.

*Difficile de l’expliquer, mais... Je me sens si bien avec elle, comme si je pouvais laisser parler qui je suis vraiment, sans avoir peur de quoi que ce soit...*

Peut-être que, inconsciemment, elle commençait à voir Aoki comme une sorte de « mère de substitution » ? Il était clairement trop tôt pour évoquer ça, mais, dans la mesure où Aoki semblait envisager une relation longue durée, Doutzen, en son for intérieur, pouvait le penser. En tout cas, Doutz’ ne mentait pas en disant qu’elle voulait qu’Aoki se rapproche de Reto. Elle pensait vraiment que le caractère d’Aoki pouvait influer sur celui de Reto, car Reto aimait bien les femmes fortes. Il les appelait ses « louves », et il les respectait, preuve des multiples paradoxes de l’homme, qui pouvait se montrer autant respectueux envers le beau sexe que brutal et violent.

Aoki lui intima donc de se taire dans l’exposé de ses fantasmes, et Doutzen rougit. Un tel emballement... Oui, il y avait quelque chose de profondément pervers en elle, quelque chose qui l’avait durablement imprimé. Elle n’était pas un parangon de vertu ou d’innocence, et des gens comme Sanderson l’avaient cruellement remarqué. Reto l’avait très bien formé, et Aoki semblait, elle aussi, avoir saisi la véritable nature de Doutzen. Ainsi, tout en lui promettant de passer aux combinaisons la prochaine fois, elle se mit doucement en position, attrapant les mains de Doutzen, soulevant l’une de ses jambes.

En soupirant, Doutzen comprit ce que sa Maîtresse avait en tête. Une position qu’elle avait rarement l’occasion de faire avec d’autres femmes. Généralement, que ce soit les hommes ou les femmes, quand il s’agissait de coucher avec Doutzen, c’était souvent la position de la levrette qui y passait. Mais là, avec Aoki, elle pouvait véritablement faire l’amour avec une femme expérimentée.

« Haaa... Hmmmm... »

Leurs mains se crispaient l’une contre l’autre, venaient s’appuyer sur leurs chevilles, et les cuisses claquaient entre elles. Doutzen et Aoki se caressaient mutuellement, à hauteur de leurs sexes respectifs.

« Hmmmmm... Mmmhmmmmmmmmmmmmm... !! »

Le lit crissait et couinait, tandis que les deux corps filaient d’avant en arrière, claquant ensemble, la mouille se mélangeant à la mouille... Et c’est ainsi, au milieu des cris et des soupirs, que les deux femmes se mirent à jouir, Doutzen se vidant contre les cuisses de sa Maîtresse en criant joyeusement.

Son corps se relâcha ensuite, et elle soupira longuement, avant de sentir Maîtresse Kou se dresser sur elle. Doutzen goûta à son baiser, et sourit ensuite, en caressant les joues d’Aoki, maintenant son corps contre le sien, afin de pouvoir mieux sentir la chaleur de cette dernière.

« O-Oui, Maîtresse, hmmm... Vous... Vous êtes parfaite dans votre rôle... »

Reprenant son souffle, Doutz’ l’embrassa tendrement sur les lèvres, et continua ensuite à caresser l’une de ses joues. Elle se mordilla ensuite nerveusement les lèvres, et, après quelques hésitations, reprit :

« Je... Je vous en prie, Maîtresse... Faites-le au moins juste une fois, rien que pour moi, mais... Envisagez de venir me faire l’amour chez moi... »

Elle rougit en le disant, ayant bien conscience des réticences d’Aoki en la matière...

Mais ça ne l’empêchait pas d’essayer !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 30 mai 2016, 20:25:49
Une dernière petite séance de sexe avec Doutzen pour aujourd'hui, elles reprendront cela plus tard mais pour le moment, il était temps de retourner à leur vie respectif. Si Doutzen travaille bien – ou mal – elle aura droit de recommencer avec plus ou moins de liberté mais pour le moment, elle devait mettre un terme à cela. Ne pas trop la récompenser et puis même, Aoki avait fait cela en suivant les conseils de son amie pour savoir si elle aimait vraiment Felicia ? Si c'était le cas, se sentait-elle coupable ou bien pas du tout ? Eh bien un peu, c'est vrai mais tant qu'elles ne se sont pas clairement dit d'être ensemble, il n'y a aucun mal à voir ailleurs ? Si Félicia en faisait de même avec ses élèves, elle s'en fichait.

Mais faire face à Doutzen après avoir joui, après avoir vu son joli minois si heureux, elle la complimentait en la caressant dans le sens du poil mais elle en faisait autant en baisant le bout de son petit nez.

« Toi aussi tu es parfaite dans ton rôle. »

Celui d'une ravissante petite poupée qui ne demandait qu'à jouir encore et encore. Mais Aoki évitait de donner plus de détail à sa phrase, elle ne voulait pas continuer encore et encore, elle avait des choses à faire après tout ce soir donc, Doutzen ne pouvait pas l'avoir pour elle ce soir. Prenant son courage à deux mains, elle demanda une chose, celle d'avoir Aoki un soir chez elle pour lui faire l'amour... Elle vivrait seule, elle lui aurait dit oui mais Reto était cette éternelle bûche sur son chemin. Mais si elle fiat cela, craignant un coup fourbe de son père, elle devra sûrement se protéger. Pas avec une arme mais avec une chatte plutôt. Cela dit, demander à Felicia de la surveiller pendant qu'elle fait l'amour à son élève... ça pourrait mettre de l'eau dans le gaz ou chauffer un certain minou, au choix.

« Je verrais quand je pourrais le faire mais ce ne sera pas pour tout de suite. Tu dois aussi bien travailler de ton côté pour obtenir une telle récompense. »

Il fallait bien un petit quelque chose en plus pour ajouter cela à la motivation de voir son rêve devenir réalité. Avant de se redresser, elle déposa un petit baiser sur son cœur avant de reprendre ses vêtements et les enfiler un à un. Moins sexy que le fait de les retirer mais ça restait tout de même très agréable à l’œil.

« Si nous en avons l'occasion une prochaine fois, je te montrerais ce qu'est un vrai massage. »

Le genre avec huile de massage, comestible de préférence – oui ça existe – afin de ne rien craindre quand la langue parcourra son corps. Mais dans la vision d'Aoki, entièrement huilée, il faut un minimum de protection pour ne pas saloper la chambre par exemple. À voir donc. Une fois prête, Aoki retourna s'asseoir sur le lit pour caresser le visage de Doutzen avec une infinie douceur, elle savait être une véritable maîtresse avec un grand M mais elle savait aussi être douce comme une grande sœur ou une mère.

« Allez, habilles-toi ma chérie. Je vais te donner un petit conseil pour la suite, on pourrait recommencer ça dans un hôtel ou dans un coin tranquille, n’importe quand... au prochain cours, dans une semaine, on ne sait jamais. Alors soit prête pour ça et garde des dessous... élégant, sexy, sans pour autant faire trop... sauf si je te le demande. »

Oui des dessous chics et sexy sans faire trop vulgaire, ce serait parfait. Mais comme Aoki le disait, ça pouvait arriver n'importe quand alors Doutzen devra être prête pour cela.

« Tu veux être déposée quelque part ? »

Il ne faut pas oublier qu'il est préférable de quitter l’hôtel sans être vue ensemble. Elles se sont retrouvé ici sans entrer en même temps, il était temps d'en faire autant pour noyer les soupçons. Aoki pouvait bien la laisser partir la première, ce n'était pas un souci.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 01 juin 2016, 12:56:52
Après cette première séance avec Aoki, la vie reprit son rythme. Au Japon, les activités extrascolaires étaient institutionnalisées, et étaient considérées comme ordinaires. Par exemple, il existait une activité nippone typique, qui consistait, pour les élèves, à nettoyer les classes après les cours. On appelait cette pratique le « sōji », une tradition locale où plusieurs élèves, à la fin de la journée, étaient chargés de nettoyer le lycée. Les équipes de nettoyage étaient très faibles dans les lycées, et, en faisant ça, le système éducatif japonais encourageait ainsi les élèves à ne pas dégrader les locaux, car ils en étaient les premières victimes. C’était une tradition ancestrale, mais qui illustrait plusieurs choses. Surprenante au demeurant, elle permettait de renforcer la cohésion et contribuait à la discipline. Mais, surtout, elle illustrait le fait que, pour un Japonais, la journée ne se finissait pas en terminant les cours. De fait, les activités périscolaires étaient organisées par les écoles elles-mêmes, et les activités qui étaient réellement extrascolaires, soit en-dehors de l’école, étaient plutôt rares.

La société d’Aoki, partant de là, n’avait que peu de rivaux, et Doutzen finit par y aller presque chaque soir. Elle était motivée et énergique, non seulement pour plaire à celle qu’elle considérait comme sa « Maîtresse », mais aussi parce qu’elle avait toujours rêvé d’être une actrice. Cependant, et il aurait été hypocrite de le nier, elle attendait aussi de pouvoir se rapprocher davantage d’Aoki. À chaque séance, elle se débrouillait toujours pour trouver un moment afin de l’appeler « Maîtresse », mais, pour l’heure, les deux filles n’avaient encore rien fait d’aussi intense que depuis leur séance dans le love hotel.

Toutefois, ce soir, soit Vendredi, Doutzen avait reçu une missive de la part de Reto. Elle savait que son père gênait Aoki, car elle avait très bien compris que l’homme était peu recommandable, et proche de la Mafia russe. Les Petrovski n’avaient pas forcément une bonne réputation auprès des habitants de Seikusu. Tout le monde savait qu’ils trempaient dans des affaires louches, mais Reto voulait sincèrement convaincre Aoki de sa bonne foi.

Ce soir, Doutzen était dans le bureau d’Aoki, fermé à clef. Il n’y avait plus qu’elles, ce soir, et, pour fêter la fin de la semaine, sa Maîtresse avait rêvetu une tenue qui faisait très dominatrice : du noir, du latex, un corset, de longs gants, des collants, des hussardes avec talon… Dans cette tenue très sadomasochiste, elle masturbait Doutzen, qui était assise sur son bureau, la jeune femme portant un corset rouge. Comme promis, elle était venue à chaque séance avec des dessous sexy, généralement des corsets, mais parfois des culottes moulantes, et même, une fois, une ceinture de chasteté utilisée à des fins sexuelles, ou encore une culotte avec une fermeture à l’arrière, pour accéder à ses fesses. Parfois, Aoki l’embrassait. D’autres fois, elle se contentait de lui faire des attachements, en susurrant quelques mots salaces dans le creux de son oreille… Et là, elle la récompensait pour son assiduité.

« Haaa… Hhhmmm… »

Ce soir, Doutzen avait enfilé un corset rouge et noir, des jarretelles rouges, et de longs gants rouges, en soie. En revanche, elle avait sciemment choisi de ne pas porter de culotte, ce qu’Aoki avait rapidement constaté en lui palpant les fesses. Là, sa Maîtresse faisait encore montre de toute son expertise, et réussit à la faire jouir au bout de plusieurs minutes, les deux femmes venant ensuite tendrement et sensuellement s’embrasser.

Doutzen cligna des yeux à plusieurs reprises après son orgasme, et resta blottie contre Aoki encore un peu, pour finalement reposer ses pieds sur le sol.

« Merci pour vos encouragements, Maîtresse… »

Aoki avait beau être perverse, elle était aussi très exigeante, ce qui faisait que, avec elle, on joignait étroitement l’utile à l’agréable. Cette philosophie était, bien entendu, loin de déranger Doutzen, et c’était même tout le contraire. S’étirant un peu, elle finit par lui parler.

« Maîtresse, je… Hum… »

La jeune femme rougit un peu, puis sortit un petit papier situé dans ses affaires normales (parce qu’elle ne se déplaçait pas dans la rue avec des gants rouges en soie), et le lui tendit.

« Je… Euh… Reto veut vous inviter, ce soir, dans un grand restaurant de la ville, pour discuter avec vous… De… De moi. »

Le carton d’invitation lui proposait une soirée dans un restaurant situé le long de la plage, un restaurant « neutre », puisque situé ailleurs que dans les quartiers populaires, où il y avait beaucoup de Russes. Doutzen en était un peu rouge, et très gênée, mais elle savait que, tant que Reto serait là, la relation entre elle et Aoki ne pourrait pas évoluer. Elle se mordillait donc les lèvres.

« Vous êtes libre d’accepter ou de refuser, Maîtresse… »

Mais Doutzen espérait bien qu’elle accepterait !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 30 juin 2016, 19:55:49
Cette Doutzen était une perle rare, une perle qu'Aoki comptait bien polir afin de la rendre la plus brillante possible. Belle et rare et elle sera sienne d'une façon symboliquement ou non. Les jours passaient et Aoki ne manquait pas de s'occuper de sa petite perle rare, soit en étant très proche, soit en lui laissant une petite récompense, faute de temps ou de ses compétences aujourd’hui. S'occuper de Doutzen avant de finir était un réel plaisir, c'était un véritable délice qui lui faisait attendre la prochaine séance. Surtout quand cette petite faisait des efforts pour lui plaire ! Tout en cuir noir, digne de la maîtresse SM, elle s'occupait bien de son petit chaperon rouge, pas de méchancetés aujourd’hui, sa tenue était pour le plaisir des yeux mais son attitude était très douce avec elle. Ferme, certes mais douce. La belle était assise sur son bureau, les jambes écartés pendant qu'elle la doigtait en embrassant le creux de ses seins, le petit gouffre que formaient ses deux seins, donnait naissance à ce Y visible dû à la compression de ses beaux seins.

« Huuum, quelle gentille petite poupée tu fais ma chérie... Tu aimes quand mes doigts te font du bien, n'est-ce pas ? Bientôt ma chère, je te baiserais sur ce même bureau et ce ne sera pas avec des doigts. Mais patience, il faudra attendre la semaine prochaine, je t'ai dégotté une petite séance pour un casting pas loin... ce n'est que pou une pub pour un produit de beauté mais ce sera tes vrais premiers pas qui te feront connaître du public. Pour ton bien, brille ce jour-là, tu seras récompensée dans le futur par ton envol et le soir même... par moi. »

Une journée où Doutzen va devoir se donner à deux cent pour cent ! Mais finissant par bien faire jouir sa petite protégée, elle la rattrapait en la prenant dans ses bras afin de la laisser souffler entre ses bras avant qu'elle ne vienne lui tendre avec hésitation une lettre. Vu ce qu'elle disait, évidemment cela ne la tentait pas. Mais elle devait aussi faire des efforts. Mais pour ce soir, elle avait une raison, vendredi soir, on ne demande pas au dernier moment ce genre de choses. Elle ouvrait quand même la lettre afin d'y avoir plus de détails puis elle  soupira en refermant la lettre.

« Désolé ma chérie mais pas ce soir. J'ai déjà quelque chose de prévus mais si ton père y tient vraiment, qu'il me demande ça à l'avance, pas au dernier moment. »

Car ce soir, elle avait déjà un dîner de prévu avec Félicia. Elles n'étaient pas encore ensemble mais Aoki voulait y croire et puis même si elles se voyaient de plus en plus, rien n'était concret. Enfin si, elles aiment se retrouver chez l'une ou l'autre pour baiser comme jamais, comme le premier soir, Aoki avait garder avec plaisir les marques sur ses fesses dus aux griffes de la belle chatte. Et ce soir... le dîner sera sûrement avec une pointe de miel, un peu de romantisme peut-être mais une fois chez elle ou chez Félicia... au diable le romantisme et bonsoir le sexe ! Rien que d'y penser, elle était impatiente de manger le dessert pour passer à ça !

« Mais ne t'en fais ma chérie, je m'occuperais bien de toi sous peu. Tu tiendrais sans moi, n'est-ce pas ? »

Et puis Aoki avait confiance en cette petite, moins en son père. Elle comptait bien ce soir avoir un moment pour évoquer sa situation avec Doutzen afin d'avoir la Chatte Noire qui veille sur elle à distance car... elle n'avait jamais confiance en cet homme, peu importe ses « bonnes » intentions. La jeune femme remuait doucement sur son siège en observant Doutzen, un peu déçu mais ce n'était que partie remise, promis.

« Tu es bien gentille Doutzen mais... je me sens toute humide entre les jambes, tu ne veux pas venir nettoyer tout ça avec ta petite langue ? »

Elle portait une culotte en latex aussi mais tenue par une ficelle sur les côtés, plus pratique pour la retirer sans avoir à lever les fesses. Elle baisa le cou de sa petite chose en caressant son corps si doux. Ses petites attentions comme le choix de ses dessous étaient noté dans son esprit et ne faisait que faire grimper sa note, elle pourra ainsi la récompenser comme il se doit au moment venu. Elle continua de lui baiser le cou en la caressant, c'était à elle de se retirer pour se mettre au travail.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 01 juillet 2016, 13:00:08
Maîtresse lui expliqua qu’elle n’avait pas le temps ce soir, ce qui déçut un peu Doutzen, tout en étant compréhensible. Reto s’y était pris au dernier moment, mais son père était patient, et, de toute manière, Aoki allait être obligée de passer par lui. Chaque fois qu’un contrat était fait, il fallait que Reto signe, car Doutzen était encore mineure. Ainsi, pour cette publicité à tourner, ce clip à faire, il y avait un contrat, et ce contrat ne pouvait pas être signé par Doutzen. Qu’Aoki ne veuille pas le voir ce soir n’était donc pas si grave que ça, car il faudra qu’il vienne signer le contrat avant le clip, pour que tout soit en règle. Doutzen ne perdait donc rien au change, car la jeune femme espérait toujours qu’Aoki se rapproche de lui. Elle comprenait volontiers les réticences qu’Aoki avait, car Reto était, après tout, un mafieux, quelqu’un qui ne saurait être considéré comme un saint homme. Mais, pour autant, il allait bien falloir qu’elle se rapproche à nouveau de lui.

Pour l’heure, Doutzen se consolait en observant le corps magnifique d’Aoki. Cette femme était vraiment une merveille, car, outre être sa Maîtresse, elle songeait vraiment à sa carrière. Autrement dit, elle ne se contentait pas que d’abuser de sa position pour obtenir des faveurs sexuelles, mais, derrière, accomplissait vraiment un boulot de mandataire, contactant des entreprises, parvenant à décrocher des contrats pour ses élèves. Elle avait donc un esprit professionnel qui, en soi, ne pourrait que plaire à son père.

« Hmmm… Je devrais survivre, Maîtresse… »

Néanmoins, avant d’aller à son dîner, Maîtresse voulait qu’elle s’occupe d’elle. Doutzen avait entendu parler des rumeurs sur l’amante d’Aoki, et avait même pu la voir, une fois. Elle avait été surprise de reconnaître Hardy-senseï, une professeur de sport au lycée Mishima, toujours très énergique, puisque participant aux exercices, amenant généralement les garçons à bander en voyant ses fesses, tout comme certaines filles (dont Doutzen). Quand on voyait ces deux beautés s’embrasser… Doutzen se souvenait notamment d’une fois où Hardy-senseï était venue près de l’heure de fermeture, et, alors qu’elle venait voir sa Maîtresse, elle s’était arrêtée sur le palier de la porte, en voyant les deux femmes s’embrasser sensuellement, le corps d’Aoki écrasé contre un placard, les deux femmes s’embrassant à pleines bouches !

Forcément, à l’idée d’un dîner Vendredi soir, Doutzen se faisait déjà tout plein d’idées, et, tout en s’agenouillant devant Aoki, elle y réfléchissait encore. Plutôt que de retirer sa culotte trop vite, elle commença par lécher et par mordiller cette dernière, tirant dessus, savourant, comme toujours, le goût magnifique du latex sur ses lèvres. Sa belle Maîtresse avait un corps magnifique, Doutzen ne cessait d’y repenser, et elle lécha donc sa culotte pendant plusieurs minutes, avec calme et passion, avant de le dégrafer lentement, précautionneusement, puis observa l’intimité de cette femme.

« Maîtresse… Puis-je vous demander un souhait ? »

Elle papillonna des yeux, avant de reprendre :

« Je sais que vous êtes avec l’une de mes professeurs, je l’ai souvent vu venir ici… Et je sais aussi que, d’après les rumeurs circulant sur elle, elle est très énergique au lit… Et vous aussi… »

On pouvait voir la jeune femme rougir tout en faisant cette demande.

« Vou… Voulez-vous me conter, pendant que je nettoie bien proprement votre intimité, comment elle et vous vous… Vous faites l’amour ? »

Des détails croustillants, voilà ce que Doutzen voulait, mais elle comprendrait aussi que sa Maîtresse ne lui en souffle mot.

En tout cas, ça n’empêcha pas Doutzen d’aller lécher l’intimité d’Aoki, enfouissant sa tête entre ses cuisses, afin de faire preuve de toute son expertise buccale sur elle…
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le dimanche 07 août 2016, 19:49:56
C'est vrai que cette excuse tombait bien, Aoki n'allait pas voir Reto ce soir à cause d'un nom, Félicia. Il pouvait la menacer ou cracher sa haine, son rendez-vous avec la Chatte Noire était plus important que le reste. Elle comptait bien lui faire essayer un nouveau jouet bien moulant pour son corps ce soir, espérant que son gros matou va adorer jouer avec elle. Aoki savourait quand même le talent de sa petite élève pendant qu'elle songeait à ce soir et aux restes. Elle allait laisser Doutzen se reposer ce WE mais en début de semaine, les choses vont reprendre et elle va devoir donner le double d'effort en tant que future star, pour ce qui était de leur relation, ça dépendait... des disponibilités d'Aoki comme du travail de Doutzen, car c'était bien gentil de jouer à ce genre de jeux mais elle n'avait pas que Doutzen comme élève et elle devait faire réussir plus d'une future star.

Quand elle venait à demander un souhait, elle venait la regarder en baissant la tête, se demandant bien ce qu'elle voulait. Bien qu'elle ne donnât pas son nom, elle évoquait clairement Félicia, chose déjà qui l'intriguais autant que cela la dérangeait, même si Félicia était assez grande pour se défendre seule, qu'un seul des sbires de son père ne vienne lui jeter une photo de Félicia, banal ou non, simple manager qu'elle était, il ne fallait pas mettre une femme en colère car elle irait se fâcher ! Mais soit, elle avait confiance en elle et comptait bien lui faire ce petit plaisir donc.

« On ne t'a jamais dit que la curiosité est un vilain défaut ? Tu sais que je pourrais venir lui raconter que tu nous as observées en secret... je suis sûre qu'elle sera très contente de venir te punir avec moi pour ça. »

Oui, même si Aoki avait tenue cela secret au début, elle avait fini par le dire à Félicia, bien sûr sans parler d'amour, juste une de ses aventures de bureau pour pimenter leur soirée, de même que Félicia en avait autant avec elle. Puis pour le moment, elles n'étaient pas vraiment ensemble, Aoki avait toujours peur de se lancer en croyant que ça pourrait tout faire foirer si elle se jette à l'eau, elle attendait donc le premier pas de Félicia qui ne venait pas. Sa main caressant son visage allant la plaquer entre ses jambes, prenant un long soupir de plaisir avant de lui raconter une jolie histoire.

« Hummm... J'aurais bien des choses à te raconter sur elle, han, sur ce qu'on fait quand on se croise et qu'on dort ensemble... mais nous n'avons pas le temps... Donc, je vais juste te dire une chose, haaa, c'est une femme qui obtient toujours ce qu'elle veut et qui prend son pied de bien des façons. Y a quelques jours... Huuum, elle m'a enfoncé sa main entre mes jambes, hmmm... Je sentais chaque muscle, chaque petit mouvement de sa main en moi... Haaaaa, je l'ai arrosé de ma cyprine pendant qu'elle me fistait ! Huuuuum ma petite Doutzen ! »

Pour sa défense, elle avait été très vilaine et elle avait un peu picolé. Quand Aoki est pommettes, elle n'a pas de limites et recevoir ce poing en elle ne la dérangeait pas plus qu'un petit bisou sur la joue. Elle avait adoré, pourtant elle ne pratiquait pas ce genre de pratique mais là, ce fut grandiose ! Ses doigts se crispaient sur ses cheveux alors qu'elle tirait doucement dessus pour la regarder dans les yeux, même si elle n'avait pas finie son travail.

« Et toi, tu aimerais que je te fist ? Que ce soit ta petite chatte ou ton petit cul, je suis sûre que tu hurlerais de plaisir sale petite catin... »

Aoki avait parfois ce regard et ce sourire si pervers, comme actuellement. Relâchant son emprise, elle la laissait terminé en se demandant si, lors d'une partie à trois, elles pourraient faire ça avec Félicia ? Que ce soit la fister ou non, pour le moment, Aoki était toujours avec Félicia, jamais elles n'avaient élargie leur cercle intime avec qui que ce soit. Pas même avec Kanzaki qu'elle prenait pour sa petite sœur mais bon, son élève n'aimait pas vraiment les rapports sexuelles avec elle, elle n'était pas lesbienne mais elle avait au moins essayé alors Aoki respectait son choix. Elle avait aussi de grands projets pour elle, elle va bientôt lui décrocher un petit quelque chose qui va booster son démarrage. Kanzaki et Doutzen, elle avait beaucoup d'espoir en elles.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 08 août 2016, 02:42:40
La curiosité, un vilain défaut ? Ah ! Pas quand on jouait au Petit Chaperon Rouge. Collecter des informations, c’était la première fonction d’être de Doutzen. Elle était un cheval de Troie avec une paire de seins, une fille que les corrompus de la ville invitaient chez eux sans se méfier, et qui ramenait quantité de documents compromettants. Reto avait beau être une ordure, Doutzen avait le sentiment que, en travaillant pour lui, elle aidait à améliorer un peu cette ville. Convaincre Aoki de se rapprocher de Reto était difficile, voire irréalisable, mais Doutzen était têtue, et était sûre qu’elle trouverait un moyen de le faire. Sa Maîtresse avait beau l’éviter, elle ne pouvait pas décemment continuer à jouer son rôle sans jamais croiser Reto, puisque la jeune fille était encore mineure. Sa langue filait sur l’intimité de la femme, goûtant à cette dernière, pendant qu’Aoki, en soupirant, peinant à garder son calme, lui confirma toute la teneur de sa relation avec Félicia, en indiquant que cette dernière l’avait fisté. Une pratique très douloureuse, que Doutzen avait déjà subi,  et qui l’avait amené à préférer des rapports plus classiques... Une verge, il n’y avait rien de mieux. Et, à ce sujet, elle avait justement une petite surprise pour sa Maîtresse...

Mais, pour l’heure, elle léchait, remontant sa langue dans sa fente rose, humide, sentant la mouille de sa Maîtresse, se félicitant, encore et encore, de la servir de cette manière. Aoki était vraiment une amante d’exception, et lécher ainsi son sexe était, pour Doutzen, un très grand honneur. C’était donc avec la plus grande joie qu’elle le faisait, jusqu’à ce qu’Aoki ne lui demande si elle voulait sentir son poing en elle. Doutzen releva alors la tête, papillonnant des yeux, et se mordilla les lèvres.

« Hm... À vrai dire, Maîtresse, je... J’ai une autre proposition à vous faire. »

Doutzen se pinça une nouvelle fois les lèvres. Elle regarda autour d’elle en se relevant, consciente qu’il était trop tard pour reculer. Elle se déplaça alors, et fouilla dans ses affaires.

« Vous savez, je... Je suis une élève douée, et déléguée de classe. Alors, pour me féliciter, Isley-senseï, ma professeur de biologie, m’a... Elle m’a fait une... Hum... Une sorte de remerciement spécial, et... Et... »

La jeune femme s’embrouillait, rougissant en se rappelant ce souvenir, son corps entortillé dans des tentacules verts dans le bureau de la senseï, pénétrée ainsi pendant plusieurs heures, sous le regard amusé de sa professeur, qui caressait tendrement ses jambes, en les écartant, et en la prenant, encore et encore. Dieu, rien qu’à y repenser, Doutzen en ressentait des picotements. Elle déglutit donc, et brandit une petite fiole abritant des gélules vertes.

« Elle m’a donné ça... Et m’en avait même fait manger un. Je... Ça... Ça m’a... »

De la main, elle mima un geste à hauteur de son sexe, une sorte de bâton qui remontait.

« Je les garde précieusement, pour des occasions spéciales... Vous êtes la première à qui j’en donne une, et, comme vous êtes bien excitée, ça marchera très bien sur vous. »

Ayant ouvert la fiole, elle lui tendit la gélule, en déglutissant encore :

« Vous voulez bien en prendre une, Maîtresse ? »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 13 septembre 2016, 20:45:29
C'est sûr que ce souvenir de fistage était douloureux, c'était plaisant mais douloureux. Mais au moins, c'était aussi la preuve que les deux femmes poussaient leurs fantasmes le plus loin possible avec peu de restriction, c'était si bon. Actuellement, elles n'étaient pas encore ensemble et étaient simplement de bonnes copines, des sex'friends au mieux. Mais Aoki voulait y croire à leur histoire. Elle tentait de voir si sa petite Doutzen était tenté par cette histoire mais cette petite avait une autre proposition à lui faire ? Aoki écoutait donc en la voyant sortir un petit flacon avec des pilules et si elle comprenait bien... elle serait hermaphrodite en avalant ça ?

Elle observait cela en se questionnant. Elle connaissait cette Isley que de nom, Félicia lui en avait parlé puis cette rousse lui rappelait un peu Hitomi, la première fille dont elle était tombé amoureuse et sa dernière peine de cœur aussi. Elle avait pu du tout de ses nouvelles mais passons cela. Aoki, sur le coup, se demandait si cette petite n'avait pas amené une sorte de drogue qui ferait croire à ce que Doutzen avait dit ? Ou alors, cela ne lui plaisait pas, c'était bien une sorte de drogue offerte par Reto pour tendre une sorte de piège ? Elle n'aimait pas cette idée mais ce n'était pas impossible non plus. Elle remit la pilule dans son liquide avant de le refermer et déposé cela sur son bureau.

« Tu sais Doutzen, je n'aime pas qu'on me mente... »

Devenir soudainement une hermaphrodite, et puis quoi encore. Elle aurait un gode ceinture avec elle, elle aurait pu voir cela comme une sorte d'aphrodisaique mais une queue qui pousse comme ça ? Ce n'est pas possible ! Félicia lui avait dit que Pamela contrôlait les plantes, pas qu'elle s'amuse à transformer les filles en hermaphrodite. Avec Félicia, elle savait que des choses incroyables pouvaient se produire mais Pamela qui joue comme ça avec ses élèves et leur distribue ce genre de choses, c'est illégal non ? Tirant la demoiselle par l'avant-bras, elle l'a fit s'allonger sur ses cuisses avant de lever la main et fesser ses petites fesses, une vraie fessée aussi douloureuse que délicieuse. Ponctuant sa première phrase de bien des claques qui résonnaient si bien ici.

« C'est ! Pas ! Bien ! De ! Me ! Mentir !!! Sache que la prochaine fois qu'on se verra, je sortirais mon gode-ceinture, version XXL pour te punir. Là, tu comprendras. »

Elle restera gentille, si le lendemain elle ne veut pas venir travailler car elle marche comme un canard, elle ne dira rien car c'est vrai que son jouet ne faisait pas de cadeau. Libérant sa petite Doutzen, elle l'embrassait fougueusement en mordant une de ses lèvres avant de la relâcher. Aoki gardait un certain sourire qui faisait croire que ce « mensonge » tombait bien.

« Je t'appellerais entre-temps si jamais je te décroche un petit quelque chose mais en attendant, on se voit en début de semaine pour ton cours de théâtre. Allez, rhabille toi et file, tu ne voudrais pas me mettre en retard quand même ? »

Sinon, double punition ! Après cette soirée avec Félicia, quelques jours plus tard, Aoki avait vécu bien des choses tout d'abord elle a dû prendre un congé car son élève Kanzaki fut assassiné par un être qui se trouvait être un dieu maléfique et... bref, ce fut une sacrée aventure qu'elle avait vécu mais cela lui avait ouvert les portes du SHIELD. Même si elle commençait seulement sa formation, elle a par ailleurs rencontrer cette Pamela Isley et il se trouve qu'elle peut effectivement faire pousser des choses sur un corps humain. Elle en a eu la merveilleuse expérience avec Félicia. Après cette petite semaine de repos, son deuil était fait, sa vie reprenait doucement avec son double job, il était temps de retrouver Doutzen, parmi tant d'autres. Les leçons finies, il restait la petite séance pour Doutzen, sa punition qui en sera pas autant au final. Car une fois seule dans son bureau, Aoki avait déjà pruis une de ses petites pillules en son absence et cela faisait déjà effet. C'est qu'elle lui avait confisqué cela après tout.

« Approche ma petite, tu n'as pas oublié que je devais te punir, non ? Ne t'en fais pas, j'ai apporté mon gode personnel pour ça et, je te laisse le choix de l'orifice... Allongée sur mon bureau ou appuyé dessus pour me montrer ce vilain petit cul à punir ? Hum ? »

Elle était toujours habillée, sa chemise à peine décolleté sur ses dessous noir, elle avait une bosse sous sa jupe de son tailleurs mais difficile vu comme ça de savoir si c'est un jouet ou un vrai pénis ? Pour se stimuler, Aoki avait commencé à regarder une vidéo porno sur son ordinateur, elle était toujours en marche même si le son était coupé. On pouvait y voir deux femmes se faire sauvagement plaisir avec divers jouets, de quoi mettre Doutrzen sur une fausse piste. Aoki la caressait du bout des doigts, se disant que durant cette fausse punition, elle allait devoir s'excuser pour ses fessées mais, quelque chose lui fait dire que ce n'était pas grave et que leur petite séance sera que plus plaisante ! Évidemment, toute la boite était au courant pour Kanzaki même s'ils n'avaient pas fourni aux gens tous les détails , justes que la pauvre jeune fille était décédée et, vu sa proximité avec Aoki qui la voyait comme une petite sœur, on comprenait son congé exceptionnel et vu ce qu'elle proposait, elle allait mieux, inutile de remuer le couteau dans la plaie.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 14 septembre 2016, 10:42:08
Après l’échec de la pilule rose, plusieurs semaines s’écoulèrent, où les choses évoluèrent. En effet, Seikusu accueillait le festival international de rock, un évènement local très important, et, pendant cette période, il y eut plusieurs meurtres, provoquant une polémique qui faillit remettre en cause la tenue du festival. Parmi les victimes, il y avait, hélas, une élève d’Aoki, Kanzaki. Une élève que Doutzen connaissait peu, mais dont la mort affecta Aoki. C’est ainsi que, pendant toute une semaine, Aoki ne se rendit pas au studio, afin de faire son deuil. Même si elle n’avait aucun lien de parenté avec Kanzaki, c’était bien la preuve que Kou-san tenait beaucoup à ses élèves.

Doutzen, elle, continua aussi sa vie, et, tout en continuant les cours de théâtre, multiplia également les expériences sexuelles chez elle, que ce soit avec Reto, ou avec une autre élève, Mélinda Warren. Ce n’était pas la première fois que Doutz’ couchait avec elle, mais c’était généralement dans l’enceinte du lycée, ou parfois dans son manoir. Mais, un soir, quand elle rentra chez elle, elle eut la surprise de voir Mélinda en compagnie de Reto. Doutzen savait que Mélinda était une vampire esclavagiste, originaire de Terra, tout comme Reto, et les trois firent l’amour, la belle et perverse vampire expliquant à la jeune femme qu’elle se rapprochait de Reto afin d’étendre son influence sur Terre, en développant des films pornographiques. Visiblement ravi de sa présence, Reto avait laissé Mélinda « dormir » avec Doutzen. Autrement dit, Mélinda lui avait fait l’amour une bonne partie de la nuit, buvant finalement son sang pour la faire dormir.

Pour autant, malgré ce qu’elle avait vécu, Doutz’ n’avait jamais oublié sa Maîtresse, Kou-san. Aoki finit par revenir au studio, et fit comme si de rien n’était, n’évoquant pas Kanzaki, et se montra tout aussi autoritaire qu’à l’habituel... Mais sans être sèche. Et Doutzen ne vit pas, dans le firmament de ses yeux, une lueur de tristesse, mais, au contraire, un regard pétillant et plein de malice. Le cours se poursuivit donc, et Doutzen fut finalement la dernière à le quitter. Cependant, alors qu’elle s’apprêtait à partir, Aoki lui demanda de la rejoindre dans le bureau.

*Oh...*

En réalité, la jeune femme se demandait si Kou-san ne lui en voulait pas. La dernière fois qu’elles s’étaient parlées, Doutz’ lui avait fait cadeau des pilules d’hermaphrodisme, mais Aoki, sceptique, l’avait sévèrement fessé en lui reprochant de mentir, avant de l’embrasser sauvagement. Doutzen, qui n’avait pourtant pas menti, s’était par la suite demandée si Aoki avait été sérieuse à ce moment, ou si tout ça faisait partie de son jeu. Difficile de comprendre cette femme, car elle savait très bien masquer ses sentiments. Quoi qu’il en soit, Doutzen la suivit dans son bureau, et sentit rapidement que quelque chose n’allait pas...

Ce dont elle eut confirmation en voyant une bosse déformer la minijupe de la femme. Elle écarquilla les yeux en voyant ça, et remarqua également, sur l’écran de la femme, un film pornographique, ce qui ne manqua pas de la faire rougir. Une femme se faisait prendre en levrette par une autre, qui la sodomisait à l’aide d’une culotte équipée d’un gode. Kou-san précisa alors qu’il était temps de la punir, mais elle lui laissait le choix de la position, et Doutzen rougit plus furieusement, serrant les poings tout en se pinçant les lèvres.

« Je... Très bien, Maîtresse... Mais ça fait longtemps, vous savez, alors... Il faudra me punir bien fort. »

Cette précision faite, Doutzen se retourna, présentant son dos à Aoki, et posa ses mains sur le rebord du bureau, le regard tourné vers l’écran de l’ordinateur, et écarta les jambes. Son choix était ainsi fait, et elle tourna légèrement la tête vers Aoki, pour faire cette précision :

« Allez-y... Prenez-moi avec ce que vous avez entre les cuisses, Maîtresse... Je suis toute prête pour vous ! »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le samedi 22 octobre 2016, 19:55:53
Difficile pour le moment de bien gérer sa nouvelle vie, depuis une semaine environ, elle en avait vécu des choses et désormais, elle reprenait son travail habituel, suivant aussi après ce même boulot un entraînement au SHIELD que ce soit avec Félicia ou la Veuve noire quand elle était disponible. Elle n'était pas encore agente de terrain alors mené à bien ses missions ou aider Félicia pour former un duo très félin, c'était seulement pour le lit actuellement. Avec son aventure qui était encore bien ancrée dans sa mémoire, elle ne pouvait pas vraiment dire qu'une semaine soit un vrai repos, surtout quand désormais, l'entrainement se devait d'être quotidien. Pas à vie heureusement mais tant que la jeune femme ne saura pas se défendre seule contre un ou deux individu lambda, ce sera quotidien. C'était important quand même après tout.

Mais passons plutôt aux retrouvailles avec Doutzen, lors de leur dernière entrevue, elle ne lui en voulait pas le moins du monde. Elle avait pris cette histoire de pilules pour une mauvaise blague mais après la petite soirée à quatre avec Ivy et Harley, elle savait que ce genre de chose était possible et elle avait donc essayé ce qu'elle avait confisqué... On peut dire que désormais, elle devait punir sa petite Doutzen, pour la dernière fois et puis pour se faire pardonner. La jeune fille se présenta simplement à sa convocation avant de s'approcher et semblait gêner devant sa petite mise en bouche. Eh bien quoi ? En une semaine elle serait devenue prude et chaste ? Ça, elle n'y croyait pas ! Au moins, vu qu'elle devait être punie bien fort, c'est qu'elle n'avait pas changé, tant mieux ! Présentant ses fesses devant elle, elle lui laissait la carte blanche, Aoki n'allait pas se gêner de toute façon pour ça. Elle avait presque le nez entre les fesses et cette vue lui avait manqué. Ce cul n'était pas aussi attirant que celui de Black Cat dans sa tenue si belle et sexy mais là ou celui de Félicia lui donnait envie de lécher et de mordre, celui-ci lui faisait démanger la main ! Ainsi que sa queue.

Doutzen avait vu sa bosse mais prenait-elle cela pour le jouet qu'elle avait promis ? Se doutai-elle que durant son absence, elle avait goûté à une futa et qu'elle adorait se faire baiser comme ça ? On peut dire que Doutzen serait chanceuse car pour le moment, elle n'avait jamais utilisé de queue, même avec Félicia. Elle préférait être habituée et au top niveau pour prendre sa belle Américaine. Restant bien assise dans son fauteuil de bureau, elle caressa ses fesses, griffant ses dernières à travers sa tenue alors qu'elle venait doucement lui remonter sa jupe pour voir ce fessier de plus près... Oh ? On ne peut pas dire que la belle se soit fait belle pour ses retrouvailles, sa culotte était banale... Pas si banal que ça, il y avait un peu d'effort de fait mais pour Aoki, ce n'était pas grand-chose. Elle qui s'attendait à quelque chose de sexy ou d'érotique, là, c'était presque une culotte de jeune femme sans pour autant que ce soit le grand soir ! Raison de plus pour la punir !

« Je dois avouer que ton petit cul m'a manqué durant mon absence... j'ai eu bien des choses à m'occuper et pour m'occuper mais ce petit cul... je ne l'avais pas à porté de main. »

Aoki continua de le caresser en venant glisser un doigt dans sa culotte, par le dessus en l'abaissant doucement, sans la lui retirer complétement, elle la laissait à mi-cuisse avant de doucement se relever, jetant un œil sur la belle blonde que sur le film qui tournait encore sur son pc.

« Crois-moi ma petite Doutzen, ta maîtresse va te faire voir combien elle est contente de te revoir. Mais n'oublie pas que je dois te punir aussi alors, tu vas autant m'adorer que me detester une fois partie car tu auras mal au cul... Je te le jure... »

Ce fut à son tour d'abaisser la petite fermeture sur le côté de sa jupe pour laisser tomber la jupe de son tailleur, abaissant aussi sa culotte trop étroite pour son nouveau jouet réel. La queue bien dresser et palpitante sous l'effet de la délivrance du tissu, elle devait donner sa fameuse punition désormais ! Elle abattit d'abord sa main sur ce petite cul avec un large sourire carnassier.

« Ce petit cri et ce bruit... C'est plaisant de les retrouver, non ? »

Tombant à genoux, elle fit face à son cul qu'elle caressait à deux mains, faisant parfois claquer sa chair avec une petite gifle avant de cracher dessus, usant de ses doigts pour lubrifier ce petit trou. Comment serait la sensation ? Son cul était étroit ? Ça allait lui faire mal ? Elle n'en savait rien mais elle allait bientôt le savoir.

« Au fait ma petite pute, désolée de ne pas t'avoir cru la dernière fois pour tes petits bonbons... Pour m'excuser, je n'utiliserais aucun jouet, juste ma grosse bite pour te prendre le cul ! »

Elle claquait de nouveau la chair pour ponctuer sa phrase avant de laisser sa queue se frotter entre ses petites fesses. Elle se pencha sur elle en se tenant à ses hanches où elle y planta ses griffes, sans aller jusqu'au sang mais elle devait les sentir ses ongles.

« J'espère que tu es prête car moi... je te tiens plus ! »

Guidant sa queue d'une main, elle s'enfonça doucement dans son petit trou en gémissant doucement puis d'une façon un peu plus forte une fois bien entrée en elle. C'était ça une sodomie ? C'était un peu serré, mais c'était bon !

« Haan ! C'est bon te retrouver... Je compte bien... mmmrrraaaa te faire hurler... pour fêter ça ! Ma petite putain à moi... Ma petite Doutz-chan ! »

Reprenant de nouveau appuie sur sa hanche, elle commença de petits mouvements de vas et viens en y allant de plus en plus vite et plus fort aussi. Oui, ce furent de belles retrouvailles en effet.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 24 octobre 2016, 13:35:18
Doutzen ne pouvait pas s’imaginer que Kou-san avait finalement choisi d’opter pour sa pilule rose. En voyant cette bosse, elle ne pouvait que le supposer, mais, dans son for intérieur, elle imaginait plutôt un gode-ceinture, qu’Aoki adorait. Cependant, elle devait bien admettre que cette scène était particulièrement troublante. Le film pornographique, tout ce décor... Sur l’écran, Doutzen voyait les femmes continuer à se faire l’amour, les coups de reins remuant devant l’écran. Tout émoustillait déjà Doutz’. La jeune blonde se pinça les lèvres en soupirant profondément, avant de fermer les yeux, gémissant quand elle sentit la main de sa Maîtresse tirer sur sa culotte, l’arrêtant à hauteur des cuisses.

« Haaa... Maî... Maîtresse... »

La belle Doutz’ ne pouvait que soupirer et saliver face aux efforts de sa Maîtresse. C’était bien elle, c’était bien sa Maîtresse, si douée dans le sexe... Mais, outre sa maîtrise, Doutzen sentait aussi autre chose venant d’elle, comme une sorte de profond désir, d’envie féroce, différente des dernières fois. Elle ne savait pas trop comment expliquer ce sentiment qu’elle percevait, mais elle le sentait. Kou-san la caressait, la titillait, et se mit à genoux, reculant son fauteuil, et entreprit de gifler ses fesses, faisant soupirer Doutzen, la faisant couiner et saliver à l’idée de cette sodomie qui s’approchait.

Ses yeux étaient clos, mais se rouvrirent brusquement quand Kou-san lui avoua qu’elle l’avait fait... Qu’elle avait goûté à sa pilule. Un soupir de surprise s’échappa alors des lèvres de Doutzen, qui écarquilla les yeux, avant de rougir encore plus furieusement, sentant une vague de désir la traverser.

« Vrai-Vraiment... ?! Maî-Maîtresse, haaa... Je... Woow, c’est... Haaaaa... »

Elle en était si surprise, et surtout si excitée, que la jeune fille ne savait même plus comment parler. Contrairement à ce qu’on aurait pu croire, elle n’avait pas trouvé ces pilules chez son père, mais au lycée, où des dealers locaux les vendaient, presque exclusivement dans le périmètre du campus. Initialement, Doutzen avait pensé à de simples drogues, à un trafic qui se faisait sans l’aval du lycée, mais elle était maintenant sûre que la direction était derrière ce trafic. Doutz’ en avait mangé une avec une amie, et elle avait ressenti une telle force... La pilule ne faisait pas juste que vous rendre brièvement hermaphrodite, elle dopait aussi vos hormones, faisant de vous une véritable perverse, qui désirait avoir de la chatte à bouffer. Quand elle avait pris cette pilule, Doutz’ avait sauvagement baisé son amie.

Alors, si Kou-san en avait prise... Le plus impressionnant était de se dire que sa Maîtresse arrivait à se retenir, mais, au moins, la jeune femme comprenait maintenant tout. Elle comprenait les hésitations de Kou-san, cette manière particulière qu’elle avait en ce moment.. Puis sa Maîtresse se redressa, et dégrafa sa jupe, permettant à Doutzen de sentir, caressant ses fesses, une pointe moelleuse et tendue, qui la fit se mordiller les lèvres, arquant son corps vers l’avant, tout en écartant les jambes.

« Hmmm... »

Une queue, une vraie queue !

« Oh, Maîtresse... Vous savez, je... Je suis membre du conseil des élèves, alors... Je peux vous fournir autant de pilules que vous voudrez, que ce soit pour punir vos esclaves, ou... Pour vos séances avec Hardy-san... Hmmm... Vous n’avez... Vous n’avez qu’à demander à votre petite pute... »

Et, en attendant, la « petite pute », qui sentait les mains de sa Maîtresse se crisper sur ses hanches, remuait son bassin de droite à gauche, en le bombant vers l’arrière, se mordillant les lèvres, serrant ses mains sur le rebord du bureau.

« Oui, Maîtresse, je... Je suis prête... Hnnnnnnnnnnnnnnnn... !!} »

Elle serra les dents en sentant la verge de la femme se rapprocher, tapant contre sa croupe, atteignant sa rondelle. Les mains de Kou-san la pincèrent, tandis qu’elle bandait les muscles, et Doutzen gémit encore, poussant un premier cri, répandant involontairement un peu de salive sur l’écran d’ordinateur, où il y avait un gros plan sur le cul de la soumise, avec le gode qui filait d’avant en arrière, dans un trou bien élargi, comme un miroir inversé de ce que sa Maîtresse était en train de lui faire... Mais aucun gode ne pourrait jamais remplacer l’intensité d’une verge, et c’était bien là une spécialiste qui disait ça ! Elle poussait de profonds soupirs en sentant sa Maîtresse se perdre en elle, enfonçant progressivement sa verge.

« Ouuuiiii-haaaa... Ouuiii, haaaaaaaaaaaaaaaaaannn... P-Plus fort, hmmm... En-Enfoncez-vous en m-m—moi, Maî... Maîtreeesseeeuuuh !! »

Aoki avait une grosse verge, un mandrin qui la pilonnait, et Doutzen posa ses mains sur le clavier dans un geste frénétique, remettant involontairement le son du film pornographique, qui vomit un flot de jurons, de claquements de chair, et d’hurlements. Doutzen n’était guère en reste, essayant de se maintenir avec ses bras, mais, quand sa Maîtresse revenait vigoureusement contre elle, il arrivait que son buste file vers l’avant, sa tête s’écrasant contre l’écran d’ordinateur, avant de repartir vers l’arrière, d’haleter et de gémir encore...

Dieu, que c’était bon !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 23 novembre 2016, 20:06:38
Aoki avait effectivement avaler cette petite pilule qu'elle avait confisqué avant tout les évènements qu'elle venait de vivre avec Félicia alors son retour au travail « normal » était une bonne chose, baiser sa petite Doutzen serait encore mieux ! La queue en l'air face à ce petit cul, elle savourait l'impatience de sa petite Doutz qui était surement aussi grande que son impatience à elle ! La jeune femme caressait ce cul en se délectant de cette image, de la sentir prête à pousser elle-même son anus sur sa queue, cela avait un côté Très plaisant ! Quelle petite nymphomane celle-là ! Elle allait même à lui proposer de lui fournir d'autres bonbons pour jouer avec elle ou les autres, tout deux ignoraient qu'elles avaient le même fournisseur pour ça.

« C'est gentil mais c'est pas la peine. Puis de savoir que tu peux en avoir comme ça, à porter de main, je vais vraiment finir par croire que tu es une petite nympho qui adooooore se faire baiser... C'est quoi qui te tente le plus, te faire soumettre ou sentir une grosse bite qui t'encule ? »

Sa langue caressa son oreille, sa question ne demandait pas de réponse, Aoki en connaissait – surement – sa réponse. Mais fini de parler pour ne rien dire ! Place à sa punition tant attendue ! La maintenant bien, elle s'enfonça en elle avec plaisir même si le début était assez étroit, elle ne pouvait que sentir le plaisir commencer sur sa queue pour se répandre en elle. Oh ce cul était si bon ! Aussi bon que celui de Félicia ? Aucune idée, elle n'avait encore rien essayé en futa avec elle, Doutzen était la première car Aoki avait déjà essayé ça seule, pour essayer mais jamais avec quelqu'un. Elle lui faisait donc honneur ! Ponctuant son plaisir à coup de gifle sur son cul pour attendrir la chair, Aoki se plaisait déjà à la sodomiser. Cela risquait presque de devenir une habitude. Car Doutzen ou non, elle n'y allait pas de mainmorte, soupirant en s'enfonçant en elle, toujours plus loin, se cognant contre ce cul qui était aussi moelleux qu'étroit.

« Un instant petite putain... je commence à peine... que tu veux le meilleur ? Je vais te défoncer le fion... hum, sois en sûre... Mais avant de t'avoir fait crier ! »

C'était ce qui serait une des choses les plus attendues de cette punition. Aki restait fermement contre elle, donnant des coups de reins de plus en plus forts, peu importe si Doutzen se cognait sur son bureau ou s'amusait à remettre le son, son bureau était insonorisé de toute façon – tout d'abord pour les essais de chant avant le sexe – mais bientôt, elle cria autant que la vidéo, même plus ! La Japonaise se sentait revivre en la baisant, giflant sa fesse avec plaisir pour la marquer et mieux la faire couiner.

« Allez... crie ma salope ! Montre-moi que, hum, t'en avais envie... que je t'encule comme ça ! Si t'es sage... Je te présentais un jour, à certaines amies... tu seras notre petite invitée... Tu aimerais être notre, han, sac à foutre ? »

Sur la fin, le bout de ses doigts caressa une de ses épaules, elle ne pensait pas frcément à Félicia, plutôt elle y rajouta derrière son nom, celui de Pamela et d'Harley, comme elle avait connu sa première expéreince futa avec elles, autant voir si cette invitée saura leur faire plaisir ? Mais bon, là n'était pas la priorité, elle n'allait pas transformer cette petite en jouet sexuel, son but premier était de réaliser ses rêves, et profiter d'elle un peu mais juste elle. Les autres, ce ne sera que si elle en fait vraiment référence tôt ou tard. Pour le moment, elle est sienne, et uniquement à elle. Aoki se calma sur la vitesse, venant s'allonger sur elle, plaquant les cheveux de Doutzen d'un côté pour embrasser doucement sa nuque. C'était ça aussi Aoki, d'une pure douceur elle passait à une autorité suprême et inversement.

« Huuum, j'aime ton cul étroit... et délicieux. Tu crois qu'après, je pourrais baiser ta petite chatte ? »

Sa langue caressa son cou pendant que ses mains se glissaient sous son corps pour presser sa poitrine sans chercher à lui faire mal, juste un peu de douceur avant de retourner dans le vif du sujet.

« Tu m'avais manqué, Doutz-chan... mais je serais là désormais, hum... je vais réaliser ton rêve... tu seras une star... et je baiserais volontiers cette star.... Hu-huuum... tu seras toujours ma petite trainée à moi, rien qu'à moi. »

Elle mordillait son cou pendant que ses mains avaient trouvé des tétons à pincer et à tirer doucement pendant que que ses coups de reins reprenaient, moins vite que quand elle était devant le bureau mais toujours aussi lourde, allongée sur elle.

« Qui es-tu ? »

Petite question pour voir si elle a bien compris qui elle était, surtout ce qu'elle était quand elle était seule avec elle, comme maintenant.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 23 novembre 2016, 23:18:19
Prise dans le dos, Doutzen était comblée. Son corps rebondissait contre le rebord du bureau, et de légers couinements s’échappaient de ses lèvres, quand il ne s’agissait pas de cris ou de profonds soupirs. Sa Maîtresse était de retour, pleine et débordante d’énergie, forte et furieuse. Elle lui demanda ce que Doutzen préférait entre une sodomie et une soumission, et la jeune femme serra les dents, avant de soupirer encore, se crispant contre le rebord du bureau.

« Haaa... Parce que... Il... Il y a... Haaaannn... Une différence ?! »

Doutzen ne s’était pas trompée en jaugeant Aoki. Très perverse, elle avait une magnifique érection, et sentir cette dernière lui ramoner le cul, c’était... Haa ! Aussi bestial que sensuel. Il y a de cela quelques années, voire, juste, quelques mois, Doutz’ aurait été horrifiée de ce qu’elle était devenue, de cette jeune femme nymphomane, qui adorait le sexe, et qui couchait avec les adultes, non plus en se forçant, mais avec le plus grand plaisir. Elle avait fini par sombrer, par se dévergonder, par goûter au magnifique gâteau de la luxure, et par être incapable de s’en lasser. Sa Maîtresse la pénétrait donc, rudement, violemment, avant de se coucher sur elle, écrasant Doiutzen contre le bureau, ce qui eut pour effet de ralentir et d’approfondir sa sodomie, sa queue s’enfonçant plus profondément en elle, et se retirant plus lentement.

Frénétiquement, la main de Doutzen s’écrasa sur le clavier de l’ordinateur, et enclencha le son, déclenchant un concert de soupirs et de gémissements, un contexte sonore qui était en parfaite harmonie avec leur séance à elles. Les jambes de la belle blonde remuaient frénétiquement, tapant contre le bureau, son corps se soulevant, et s’enfonçant à nouveau. Aoki lui avait proposé de coucher avec ses amies, et, en gémissant, Doutzen s’imaginait déjà dans le lit de Kou-san, avec Hardy-senseï... Elle n’avait encore jamais couché avec la prof’ de sport, mais elle connaissait sa réputation. Elle participait toujours aux cours de sport, avec un débardeur et un minishort, et les garçons avaient souvent bien du mal à se concentrer quand elle faisait de la gym’, en bombant ses fesses vers l’arrière. D’aucuns disaient même qu’elle était une amatrice de cuir, mais Doutzen pensait que c’était juste parce qu’elle adorait les chats, et que les lycéens l’imaginaient donc en catsuit.

*Et puis, si elle est la petite-amie de Kou-san, elle doit forcément être... Aussi endurante et perverse qu’elle !*

Normalement, oui ! Doutzen imaginait mal sa Maîtresse aimer une femme frigide, en réalité. Le son n’irait pas avec l’image ! Et, pour l’heure, Doutzen savourait chaque seconde de ce moment. Elle sentit les mains de sa Maîtresse se cramponner à ses seins, venant la soulever, pinçant ses généreux mamelons. Kou-san lui lécha l’oreille, la mordillant, lui glissant qu’elle ferait d’elle une « star », qu’elle réaliserait ses rêves, et la jeune femme se mit à haleter, à gémir de nouveau, poussant des petits cris de plaisir en se tortillant, Kou-san reprenant ses coups de reins.

« Hmmmm... Haaaaaaaaaaa... Haaaaannn... !! »

Les hurlements reprenaient plus furieusement encore, et, tout en continuant à la prendre, sa Maîtresse lui demanda ce qu’elle était. La réponse vint, sans surprise, pendant que la jeune femme commençait à surnager, la sueur coulant en abondance le long de son front.

« Haaaa... U-Une... Hmmmm... Vo-Votre... Haaaaaaannn... Votre puuuute, Maîtresse, haaaa... !! »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le dimanche 01 janvier 2017, 17:24:38
Ha, tant d'innocence dans sa question. Évidemment qu'il y avait bien des différences entre une soumission et une sodomie, elle se fera une joie de lui apprendre toutes les différences, des plus subtils aux plus évidentes, en passant par les plus profondes. Mais l'heure n'était pas à son éducation, mais à leurs retrouvailles. Certes, cela s'était fait juste avant mais ce fut le cas aussi de nombreuses filles, leurs cours habituelles mais entre elles, c'était plus que manager et fille rêveuse. Aoki avait exhausser le rêve de la demoiselle, pas celui du cinéma et des grands films, celui de voir sa maîtresse bander comme un éléphant et surtout, la recevoir en elle ! Aoki se faisait aussi plaisir car même Félicia n'avait pas encore reçut une telle chose, elle préférait s'entraîner sur elle pour mieux surprendre sa petite amie quand elle lui fera l'amour. Qui sait, elle avait déjà dans l'idée de faire ça en pleine nuit pour la réveiller en la baisant, lui faisant ainsi croire que son rêve était bien trop réel ou bien faire ça au petit matin. Avoir sa petite trique matinale qui allait faire questionner Félicia de bien des choses.

« Huuuuum oh ouiiii ma Doutz-chaaaaan.... Hum, couiiiiine, han ouiii plus fooort ma chérie ! »

Lui prendre le cul, c'était si bon. Et en plus avec ce film qui continuait, avec le son, ça rendait même encore mieux. Est-ce que c'était normal qu'elle trouve cela excitant ? Ça devait lui donner des souvenirs comme ce soir quand elle a rencontré Harley Quinn quand Pamela s'était invité avec elle chez Félicia. C'était entre l'épisode de l'Ombre et l'opération de Félicia, cela lui avait donné un aperçu de leur nuit actuelle, même si elle n'utilisait pas sa queue toutes les nuits, on pouvait dire que Félicia avait bien investi son argent vu combien elle s'en servait et faisait une heureuse chez elle. Mais assez pensée à sa petite amie, elle avait une petite star à punir ! Sa poitrine s'écrasait dans son dos, sa bouche était toujours aussi près de son oreille qu'elle léchait où soufflait dessus, venant l'exciter toujours plus.

« Huumm haaan... Même que tu seras, hum, une star... Tu seras toujours ma petite putain... et je te baiserais... Encore... et encore... Han, ma chérie, ma petite sexdoll ! »

Ha oui, là où certains couples avaient des sextoys caché ou non pour se satisfaire, Aoki avec cette poupée grandeur nature qui était ravie d'aider sa maîtresse. Continuant de donner des coups de reins plus fort encore, elle pressait sa poitrine en l'ayant redressé, léchant son cou en frottant son corps contre le sien, ses mains avaient tendance à presser un peu trop fort ses seins, ce n'est pas comme si cela déplaisait à Doutzen, dans la douleur, il y avait quand même du plaisir après tout, la petite le savait bien en trainant avec Aoki. Alors quand elle avait répondu à sa question, Aoki gloussait, ne quittant pas ses mains de sa poitrine, elle la pétrissait plus doucement alors que ses coups de bassins, eux, se faisaient plus fort, venant cogner contre ses petites fesses avec un plaisir immense.

« OH OUI !!!! Tu es ma PUTE Doutz-chan ! Haaaan ! Ma chérie, ma poupée à moiiiii, huuum... Mon petit... Sac à foutre... Tu aimes ça hum, quand je t'encule, ma salope... Dans quelque temps, hum... ce ne sera plus toi, Doutz-chan, que je baiserais... ce sera ma petite staaaaar... »

Aoki la gardait contre elle en venant lui offrir les derniers coups de reins avant de jouir enfin avec un grand plaisir en elle ! Aoki gémissait avec Doutzen en se sentant de plus en plus légère. Dieu que ça faisait du bien ! Restant en elle même si son érection se faisait moins dur, Aoki se faisiat plus douce, comme bien souvent. Elle caressa son corps en baisant sa nuque à travers ses cheveux.

« Ma petite Doutz-chan... Ce fut si bon... Si tu te sens encore partante, je te laisse jouer à un petit jeu au choix... Sois tu me déshabilles et je te prends de suite sur le bureau, mais cette fois, ce sera ta petite chatte. Ou alors... tu vas allez ouvrir ton cadeau et tu viendras me dire merci... Avec ta petite bouche, sur ma belle queue. »

Découvrir ce que Aoki cachait sous son tailleur ? Cela devait en valoir la chandelle ! Ou alors découvrir son mystérieux cadeau qui se trouvait sous son bureau, un cadeau bien emballé, dans ce cas, Aoki restera assise, caressant sa petite Doutzen pendant qu'elle la sucerait. Dans les deux cas, ça promet !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 02 janvier 2017, 01:20:16
Être le sac à foutre d’Aoki, être son sexdoll, sa petite salope... Oh, indéniablement, sa Maîtresse savait comment lui parler ! Elle lui bourrait violemment le cul, la remplissait de joie, l’envoyant voler dans la stratosphère du plaisir ! Doutzen hurlait de plaisir, ses hurlements résonnant harmonieusement et sexuellement avec ceux du film pornographique circulant sur l’ordinateur. Doutzen se faisait prendre fougueusement par Aoki, encore et encore, avec une rage incroyable, et une force insatiable. Quelle énergie, quelle puissance ! Ah, cette queue magnifique, cette verge qui, durement, la prenait, s’enfonçait redoutablement en elle... Comment ne pas succomber ? Doutzen hurlait joyeusement son plaisir, en sentant la queue de sa Maîtresse continuer à la labourer. Aoki ne lui épargnait rien, et c’était tant mieux, car c’était là précisément ce que Doutz’ voulait... Se faire prendre, se faire labourer, se faire défoncer ! Elle retrouvait sa Maîtresse, pleine d’énergie, pleine de vigueur, pleine de perversion, l’insultant copieusement, et semblant même encore plus stimulante et plus excitante qu’auparavant. La manière dont elle la prenait, ah... Ça n’avait tout simplement pas de prix !

Doutzen n’arrivait même plus à en retenir sa salive, qui glissait de ses lèvres, tandis que, inlassablement, Aoki continuait à la bourrer. Son corps se soulevait et s’abaissait lourdement, elle gémissait profondément, haletant longuement, s’agrippant au bureau. Le temps s’était comme suspendu au rythme d’Aoki, jusqu’à ce que sa puissante Maîtresse ne finisse par atteindre son orgasme. Elle jouit en l’insultant, et Doutzen se crispa, sentant également son orgasme la traverser, ses lèvres intimes frottant en effet frénétiquement le rebord du bureau.

« Haaaa... Haaaaaaaannn... !! »

Elle soupirait longuement, peinant à se contrôler, ayant bien du mal à se calmer. Le plaisir était tout simplement trop fort, éclatant dans son corps. Elle se relâcha ensuite, s’appuyant contre le bureau, en soupirant profondément.

« Haaaa... Pffff... Les... Les orgasmes anaux sont... Sont vraiment géniaux ! Vous m’avez bien rempli, Maîtresse, vous avez rempli votre petite pute ! »

Dans la soumission, Doutzen renaissait. Toutes ses velléités de rébellion et d’indépendance s’étaient progressivement effondrées, au profit de la femme qu’elle était actuellement, une délicieuse perverse se complaisant à merveille dans la soumission... A fortiori quand elle était en compagnie d’une Maîtresse aussi belle et aussi doué qu’Aoki ! Elle respirait lourdement, reprenant peu à peu des forces, tandis qu’Aoki lui dictait la suite des opérations. Sa verge était toujours là, et elle lui exposa ensuite ce qu’elle attendait d’elle, la soumettant à un dilemme absolument horrible... Soit déshabiller sa Maîtresse, et se faire prendre sur le bureau, soit ouvrir son cadeau, et la remercier en la suçant. Quel choix terrible !

Se posant un doigt sur ses lèvres, Doutzen réfléchissait très sérieusement, sa tête filant à droite et à gauche, du cadeau au corps d’Aoki. Vu la taille du cadeau, il s’agissait sûrement d’une tenue, que Doutzen enfilerait pour les beaux yeux de sa Maîtresse... Mais, d’un autre côté, la perspective de voir sa Maîtresse dans une tenue de... Eh bien, dans une tenue de maîtresse, valait assurément le détour.

*Hum... Le choix n’est vraiment pas évident, mais...*

Doutzen finit par trancher, et releva la tête, esquissant un léger sourire sur ses lèvres.

« J’ai choisi, Maîtresse ! »

Ses petites mains filèrent alors à l’assaut du corps de sa Maîtresse, et elle la déboutonna, rougissant et sursautant en sentant, contre ses doigts, ce qu’elle avait pu entendre quand Aoki l’avait pénétré : les crissements agréables et tendres du latex. Elle s’en pinça doucement les lèvres, et continua à la déshabiller, et écarquilla les yeux en voyant... Le résultat final (http://img110.xooimage.com/files/8/1/d/aoki_latex_suit-5146298.jpg) ! Un magnifique ensemble noir brillant et moulant, en latex, avec une culotte ouverte qui permettait de faire sortir le phallus de sa Maîtresse.

Doutzen se mit à rougir jusqu’aux oreilles, tout en roulant des yeux dans ses orbites, une franche lueur d’admiration brûlant dans ses prunelles. D’une petite voix estomaquée, elle réussit finalement à prononcer quelques mots... Ou, plutôt, quelques syllabes :

« Maî... Maîtresse, vous... Vous êtes si belle... »

Elle déglutit lentement, immobilisée, comme si la foudre venait de la frapper !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le dimanche 29 janvier 2017, 19:27:07
Voilà ce qui s'appelait d'heureuses retrouvailles ! Aoki avait agréablement bourré le petit cul de Doutzen en savourant chacun de ses coups de reins, sentant sa vraie queue être torturer de plaisir dans son antre chaude et serrer. C'était étroit et pourtant si délicieux, allez comprendre. Mais Aoki n'était pas ici pour parler anatomie mais pour le découvrir avec sa petite sexdoll. Maintenant qu'elle s'était vidée en elle, elle lui avait laissé le choix, un choix qui allait dicter la suite de leurs petits jeux. Soit elle ouvrait son cadeau et Aoki aurait le droit de se reposer en savourant sa petite bouche lui sucer son dard ou bien elle lui retirait ses vêtements et alors, elle devrait reprendre et la prendre sur son bureau. Dans les deux cas, elles sont gagnantes sauf que l'une comme l'autre, dans une des deux situations, l'une se reposera plus que l'autre. Doutzen hésita puis retira doucement les vêtements de son manager, dévoilant sous son tailleur une tenue de latex très séduisant et moulant. Très bien, elle avait donc fait son choix.

« C'est naturel que je sois belle dedans... tu aimes quand je ressemble à une maîtresse ma petite pute ! »

Son ton était tranchant mais sa main lui caressait le visage avec délicatesse, son menton bloqué entre son pouce et son index alors qu'elle plongeait son regard dans le sien. Aoki n'allait pas prendre de pause et donc continuer à la bourrer comme il se doit même si elle devait souffler un minimum. Une bite n'avait pas ce côté pratique que le minou, elle devait se recharger un peu. Mais Doutzen allait l'aider à se réveiller, aucun doute dessus.

« Notre programme n'a pas changé durant ma pause, du bon travail est égal à de bonnes récompenses. Un mauvais travail et ton avis ne comptent pas, tu n'acceptes pas mes choix, tu les subis... »

Pour le moment, son élève avait très bien travailler mais elle avait été franche pour la forcer à se donner à fond, si elle fait mal son travail, elle pourra se plaindre, Aoki fournira la punition. Que ce soit physique avec de longues fessés douloureuses, humiliant en se faisant pisser dessus ou pire encore, elle avait un stock de punition dans sa botte. Mais comme cette petite était motivé, elle se disait que pour la punir, il faudrait vraiment qu'elle le veuille. Sa main caressa ses cheveux, approchant son visage de sa poitrine, cette petite zone nue où sa peau pouvait être touchée, elle lui fourrait le nez dedans, libre à elle de renifler, lécher ou baiser, elle n'avait rien dit de spécial.

« Par contre, je constate que tu ne m'excites pas ma petite chienne...Touche ma queue, sens comme elle est molle... Répare ça, fait en sorte qu'il redevienne aussi dur, comme quand je t'enculais. »

Doutzen devra faire ça manuellement car Aoki comptait bien lui caresser les cheveux encore un certain moment, sa tête bloqué là-dedans, si elle doit la prendre sur le bureau, autant ne pas trop se fatiguer et laisser bosser Doutzen. Elle sentait sa queue se tendre doucement, retrouvant la vigueur qu'elle avait perdue, la suite allait être tout aussi bon ! Mais le sourire sur ses lèvres indiquait qu'elle n'était pas prête, pas prête avant d'avoir sa réponse.

« Hum, dis-moi franchement ma petite pute... tu veux que je te prenne tout en douceur ? Ou Violemment comme la reine des salopes ? »

La réponse était tout indiqué mais... elle voulait l'entendre de sa petite bouche !!!
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 30 janvier 2017, 01:06:37
Doutzen et Aoki se retrouvaient. Quoi de mieux pour ça que du sexe intense, déluré, et débridé ? Doutzen salivait devant la tenue magnifique de sa Maîtresse. Un superbe ensemble en latex, qui lui allait vraiment à ravir, moulant ses formes à la perfection. Dans cet ensemble, elle était tout simplement somptueuse. La jeune femme se mordillait les lèvres en la regardant, proche de ce latex. Elle pouvait en percevoir les lignes, les contours, et sentir les crissements. Le cœur de Doutzen bondissait nerveusement dans sa poitrine, exprimant toute son excitation, et elle sentit soudain la main de sa Maîtresse, ferme et douce, qui alla plaquer son visage contre l’espace creux entre ses seins.

« Mmmhmmm… »

C’était une zone moelleuse et chaude, en forme de cœur, épousant également le visage de Doutzen. Elle commença par y frotter son nez, puis aventura ensuite sa langue, léchant cette zone, effleurant de son organe lingual cette douce peau, l’espace creux entre les seins de la femme. Sans hésitation, Maîtresse Kou appuyait avec sa main sur la tête de Doutzen, enfonçant un peu plus son visage contre ses seins, ce qui provoqua une série de crissements et de tendres craquements. Ah ! Le délectable et jouissif son du latex… Ceci n’avait pas de prix ! Doutz’ adorait vraiment ce bruit, ce son délectable et jouissif.

Elle frottait donc son visage contre les monts de plaisir de sa Maîtresse, tout en entendant cette dernière lui demander de s’occuper de sa verge, qui avait perdu de sa contenance. La première idée de la jeune blonde fut d’utiliser ses lèvres, mais la prise d’Aoki sur sa tête ne faiblit pas, l’amenant donc à déplacer ses mains. Jusqu’à présent, ses mains caressaient les hanches de Kou-san, grattant la combinaison en latex, et elle descendit donc une main, sentant rapidement la trompe.

La masturbation était un domaine dans lequel Doutzen, sans fausse modestie, excellait. Elle avait l’habitude, et sa main ne tarda donc pas à caresser ce sexe. La jeune femme le serra entre ses doigts, et remonta dessus, glissant sur la hampe de chair, puis repartit en arrière, tout en veillant à redresser ce membre. Elle le sentait pulser entre ses doigts, vibrer contre la paume de sa main, s’égaillant doucement. Un sexe était un organe vivant, très actif, qui ne demandait qu’à ce qu’on le stimule pour se déployer. Et c’était exactement ce qu’il faisait en ce moment.

Doutzen, avec sa bouche, embrassait les seins de la femme, et les léchait ensuite, surtout. Sa langue glissait sur la peau, cherchant parfois à lécher le latex, mais sans trop de succès, car Aoki la maintenait bien.

*Elle a une de ces poignes, c’est incroyable !*

Doutz’ était clairement sous le charme, et Aoki finit par la relâcher. Sa virilité était bien raide, et elle lui demanda ce qu’elle voulait faire. Doutzen sourit, et se mordilla les lèvres.

*Vraiment ? Parce qu’il y a un doute là-dessus ?*

Elle sourit malicieusement, et se pinça les lèvres.

« Eh bien… Je ne suis pas en porcelaine, Maîtresse. Il faut me baiser bien fort, vu que mon corps n’a pas eu l’occasion de sentir le vôtre depuis… Trop longtemps. Alors… Baisez-moi comme si j’étais la Reine des salopes ! Car, si c’est ce que vous voulez que je sois à vos yeux, alors c’est tout ce que je serais ! »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le dimanche 05 mars 2017, 19:25:43
Revoir sa petite Doutz-chan était si plaisant. Aoki en avait vécu des choses depuis qu'elle avait confisqué ses petits bonbons et maintenant qu'elle la retrouvait dans ce cercle intime et non-professionnel, elle savourait. Sa peau douce contre la sienne, sa petite langue sur ses seins, ses petites mains qui la caressaient, que de plaisir. Nul doute que la jeune femme savait que Doutzen était, ce qu'elle devait faire mais elle voulait l'entendre le lui dire avant de s'y lancer. Sa queue bien dure était la preuve que ça pouvait commencer mais pas avant d'avoir droit à son petit plaisir, voulant entendre de la bouche de Doutzen certains mots...

Aoki souriait en caressant sa joue, ce qu'elle l'adorait cette petite... Tant ses talents pourraient lui permettre de réaliser ses rêves, sans son charme et sa perversion était tout à fait à son goût.

« Mais tu EST la reine des putes ma petite Doutz-chan... Qui c'est qui met exprès de la lingerie de petite salope juste pour que je vienne la punir après les cours ? Qui c'est qui m'excite juste pour que je la baise rapidement entre deux rendez-vous ? Qui c'est qui me tend gentiment son cul pour que je vienne la punir ou l'enculer... quand ce n'est pas les deux ? »

Tout ce qu'elle disait était vrai, même si cela fait un moment que ce n'était pas arrivé et qu'avant, elle usait de jouet pour la prendre, maintenant, c'était une toute autre histoire. Lui tenant la main, elle l'amena sur son canapé – oui, elle en avait un dans son bureau, parfois pour s'y reposer ou prendre quelques clichés pour les filles voulant devenir mannequin. Elle la faisait s'allonger dessus, avant de venir la rejoindre, d'abord en se positionnant juste au-dessus d'elle, sa queue tendue n'attendait qu'une seule chose.

« Bien maintenant petite pute, il est temps de déterminer ce qui est meilleur chez toi ? Ton joli petit cul que je viens de prendre ou ta petite chatte ? Il est possible que je me tâte et que je t'encule de nouveau après mais, essayons d'abord ce chemin. »

La jeune femme gardait sa queue dans une main en l'enfonçant doucement en elle, soupirant légèrement avant de serrer les dents une fois bien dedans. Jouer les futas, elle n'en était pas encore habituée ! Reprenant ce sourire si rassurant, elle gardait sa petite Doutzen dans son regard.

« On va voir maintenant, en combien de temps tu me fais jouir ma petite pute d'amour ? »

Elle se pencha sur elle, l'embrassant alors qu'elle commençait aussi à se mouvoir, le début d'un rodéo enflammé ! Les mains sur le canapé, elle lui donnait de puissants coups de reins car la douceur, ce n'était que rarement entre elles, juste quand elle avait très bien travaillé ou pour finir avant de se quitter. Sa poitrine remuait un peu dans sa tenue de latex mais c'était surtout de voir le joli minois de Doutzen, déformé par le plaisir qui était si beau !

« Huuuum! Ooooh ouiii, ça m'avais manqué.... Ma petite pute d'amour! Huuum ! Han, je vais, hum, tellement te baiser que, ouh.... je vais te foutre enceinte ma salope. »

Elle ne pensait pas ce qu'elle disait, Félicia lui avait déjà dit qu'aussi amusant soit ce genre de jouet, le risque de tomber enceinte frôlait le zéro, et même avec de la magie ou la technologie pour augmenter le taux, ça restait très bas. Mais Aoki se demandait quelle serait la réaction de sa petite Doutzen qui irait s'imaginer enceinte ? De sa prof particulière. Cela ferait un très beau bébé vu les deux femmes en tout cas. Mais Aoki maman, elle n'imaginait pas encore cela, même avec Félicia, elle évitait le sujet, non pas qu'elle ne voulait pas en parler mais Félicia avait déjà des enfants et elle ne voulait pas, d'une façon ou d'une autre qu'elle ne pense trop à eux, rester en Amérique. Enfin, cela ne concernait en rien Doutzen.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 08 mars 2017, 00:48:10
Doutzen était dans une situation critique. Elle était furieusement excitée par sa Maîtresse, par sa perversion, par ce latex, par le fait de la revoir en pleine forme, elle qui avait traversé des évènements tragiques récemment. La période de deuil était finie, et elles pouvaient maintenant repartir sur autre chose. Doutzen était sûre que, si Kanzaki pouvait les voir, elle comprendrait. La mort ne devait pas empêcher les vivants de continuer à vivre, et c’était bien là ce qui se passait ici. Après avoir sodomisé Doutzen, Aoki passa à une autre partie de son corps, en la déplaçant. La jeune lycéenne se retrouva couchée contre le canapé, et sentit la queue de Maîtresse Kou s’enfoncer en elle, remontant dans son vagin.

« Haaaaa... !! »

Le plaisir vint à exploser dans le corps de la jeune femme, qui se tortilla sur le canapé, gémissant longuement tout en sentant la femme remuer contre elle, lui offrant une vue magnifique. Dressée au-dessus d’elle, Aoki la prenait contre le canapé, leurs corps couchés dessus. Doutzen entendait les crissements du latex, elle voyait la combinaison briller, se tordre, se détendre, épousant les formes et les mouvements de sa Maîtresse.

Doutzen soupirait donc, remuant sur place, ses mains se crispant sur le dossier du canapé, ou venant s’appuyer contre l’épaule de la femme. Kou-san continua à remuer, enfonçant sa verge en elle, aussi loin que possible. Les joues de Doutzen devinrent cramoisies, et elle poussa des soupirs supplémentaires, en se tortillant sur place, sentant la queue de sa Maîtresse onduler en elle, remuer d’avant en arrière, la prenant joyeusement, sans ménagement, avec une force impressionnante malgré sa carrure.

« Hmmm... Maî-Maîtresse, haaaaa... !! »

Tant de plaisir, tant de passion ! Maîtresse la prenait durement, s’allongeant de plus en plus contre elle, amenant Doutzen à caresser son latex, s’appuyant dessus, crispant ses doigts le long des lanières de son décolleté en latex, s’enfonçant dedans, la plaquant davantage contre elle, de telle sorte qu’elles puissent partager entre elles un délicieux baiser. Leurs langues jouaient mutuellement, et Doutzen émettait de longs soupirs, remuant son corps contre le sien, soupirant encore.

« Oui, ouiii, haaaaa... Maî-Maîtresse, hmmm... !! »

Après la sodomie qu’elle avait vécu, accompagnée de jurons bien sentis, Doutzen était ravie d’être prise par là, de partager ce moment terriblement et merveilleusement intime. Elle mouillait abondamment, et chaque coup de reins de Kou-san voyait de la cyprine affluer de sa chatte, la rapprochant de l’orgasme, qu’elle atteignit dans un long soupir. Sa tête partit vers l’arrière, et, dans un long soupir, Doutzen s’abandonna au plaisir ultime.

Mais, même après cette vague furieuse, son corps restait encore assoiffé... Encore, encore, voilà ce que son être réclamait !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 11 avril 2017, 18:01:04
Elles avaient tant à rattraper et pas uniquement sur le plan de carrière, là aussi, il va falloir mettre les bouchées doubles mais avant ça, c'était sa poupée qui avait besoin d'aide. Dans une relation de domination, il était important d'entretenir les liens, sinon, c'est comme une plante en manque d'eau, à trop attendre, le lien se meurt. Doutzen aurait pu trouver une nouvelle maîtresse ou passer à autre mais heureusement, leur lien semblait toujours solide. Et ce n'était pas le fait d'être futa qui changeait quelque chose. Plaquée contre son corps, elle se plaisait à enfoncer sa queue en elle, à l'entendre gémir comme une petite pute en manque, à passer son nez contre sa peau, sentant chaque vibration que son corps émanait, des vibrations de plaisir.

« Han, tu aimes, çaaaaa, ma petite pute ! »

Rares étaient les jouets d'Aoki, elle en as accumulé, qui durait plus ou moins longtemps mais elle ne savait pas si c'était le fait d'être son seul jouet extra-conjugal ou bien car elle était exceptionnelle mais si demain elle devrait abandonner Doutzen, ça lui fera un vide. Ses mains caressaient ses cuisses, ses ongles caressaient sa peau – sans la griffer ou la marquer – et parfois, une claque se faisait entendre, claquant ce petit cul, elle aimait l'entendre couiner, de plaisir ou de douleur, les deux. Le souffle chaud et haletant, Aoki aimait le faire sentir dans son cou, sur son oreille en venant lui glisser quelques mots qui allaient rendre sa poupée encore plus chaude.

« Je t'enculerais encore après... et je te baiserais aussi... Han ! Tu quitteras... ce bureau... que quand mes couilles seront v-vides ! Ma petite sex-doll à moi... Ma p-petite Doutz-chaaaan ! »

La jeune femme y allait toujours de plus en plus fort et quand arriva enfin les derniers coups de reins, elle mordait son cou, sans aller jusqu'au sang mais de quoi laisser une petite marque sur sa peau. Une envie de jouer les vampires ? Non, juste de lui faire mal. Son cœur ayant repris un rythme plus normal, elle se décalait doucement, se relevant un peu en écartant quelques mèches du visage de sa poupée en lui souriant presque tendrement. Aoki se retira pour poser ses fesses sur le canapé, tirant les mains de sa petite Doutzen pour la faire venir, venant lui plaquer le visage sur sa poitrine, non pas pour lui offrir une délicieuse pression entre ses seins, mais pour lui caresser les cheveux tendrement. Aoki était toujours aussi perverse et dominante mais aussi toujours aussi douce et câline. Une façon d'éviter de se montrer trop méchante lors de sa domination ? Peut-être mais Doutzen a connu bien pire avec Aoki que ce qui venait de subir. Après tout, il faut une raison pour se montrer gentille.

« Je suis si heureuse de te revoir, ma petite Doutz-chan. Reste un peu avec moi trésor... Après, tu me suceras mais juste pour nettoyer ma bite. Après ça, tu iras te changer et mettre mon cadeau, ensuite... Attendons de voir comment te va ton cadeau, d'accord ? »

Nouvelle sodomie, gorge profonde, vaginale ? Elle ne savait pas trop mais le sexe allait continuer. Qui sait, sa nouvelle tenue va peut-être inspirer Doutzen ? Elle acceptera peut-être un petit caprice de sa part ? Elle verra bien. Comme promis dans son bureau, il y avait un paquet pour elle, une ravissante lingerie bleu ciel (http://hitek.fr/img/actualite/2017/04/07/disney-princess-lingerie-line-yandi-17.jpg?unsync), très bau, très fin et très doux au toucher. Avec sa couleur de cheveux, ça lui ira comme un gant, elle sera plus que bandante sa petite poupée. Voilà qui promet de rallonger un peu leur petite séance !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mardi 11 avril 2017, 20:42:53
Diable, quelle énergie, quelle force ! Aoki était bel et bien de retour, avec une énergie incroyable à revendre. Ce qu’elle faisait subir à Doutzen... Oh, il n’y avait pas de mots suffisamment forts pour résumer ça ! Doutzen dansait sur elle, faisant crisser sa combinaison, tout en sentant les mains de la femme caresser son dos, glissant sur sa peau nue et en sueur. Les cheveux de Doutz’ virevoltaient à droite et à gauche, tandis qu’Aoki crispait ses doigts sur elle, la giflait, grognant et soupirant.

« Hmmmm... Haaaaa... Votre queue... Maîtresse, hmmm... Elle est si-si grosse ! »

Elle ne disait même pas ça pour la flatter. Doutzen avait déjà connu avec des hermaphrodites, et savait que ces dernières pouvaient se doter d’une verge aussi grosse que celle des hommes, si ce n’est plus, grâce à la magie. Et c’était bien cette magie qui parlait, en ce moment. Doutzen la sentait remuer en elle, s’enfonçant profondément dans sa chair Elle continuait à gémir, encore et encore, sentant les minutes défiler. Oui, oui, sa Maîtresse était vraiment incroyable !

Dans ces conditions, Doutzen finit par jouir, quand Kou-san se pressa contre elle. Elle crispa ses doigts sur ses cheveux, et la mordit. Doutzen hurla alors, en sentant une vague de plaisir et de douleur la transpercer de part en part.

« HAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Un hurlement de plaisir la transperça, et elle s’abandonna alors, tout en sentant le sperme de sa Maîtresse remonter en elle, venant la remplir pendant plusieurs secondes. Tendu, le corps d’Aoki se détendit ensuite, et la main de sa Maîtresse se posa sur ses cheveux, venant caler sa tête contre le creux de sa poitrine. Fermant les yeux, Doutzen se pressa contre elle, venant caresser sa joue et son nez sur ce morceau de peau. Ce geste de douceur était à la hauteur de ce que Maîtresse Kou lui inspirait, pouvant se montrer autant violente que douce.

Doutzen reprenait sa respiration contre elle, tout en la sentant caresser ses cheveux en sueur, avant qu’elle ne passe à la suite. Doutz’, en entendant parler de son cadeau, redressa alors son visage, et se pinça les lèvres, les yeux venant à briller de désir.

« Maîtresse... »

Elle sourit, et hocha la tête, avant de reposer sa tête contre ses seins, et d’y déposer plusieurs baisers.

« Je suis si heureuse de vous revoir, Maîtresse... J’aime tant être votre jouet personnel, votre vide-couilles personnel.... »

Entre elles, il n’y avait aucun mot tabou. De fait, Doutz’ rajouta rapidement, en déposant un nouveau baiser sur le rebord de l’un des seins de la femme.

« Vous pouvez même uriner, je sais que c’est une chose qu’on ressent souvent après avoir fait l’amour. »

Aucune gêne, aucune pudeur ! Doutzen finit par s’écarter, venant se mettre à genoux, pour commencer, et alla s’attaquer à son sexe. Elle commença à le caresser avec sa main, et le lécha ensuite délicatement, venant avaler les dépôts de sperme qui s’y trouvaient. Ceci fait, elle vit rapidement la queue, déjà dure, se redresser de plus bel, trahissant l’exceptionnelle vigueur de sa Maîtresse. Se pinçant les lèvres, Doutzen ouvrit bien grand les lèvres, et suça donc ce sexe.

Suite à sa proposition, elle sentait la main de Kou-san se crisper sur ses cheveux, tandis que ses muscles se tendirent... Puis la femme vida ses couilles en elle, en pissant joyeusement. Doutzen ferma les yeux, en sentant une irrépressible et perverse vague de désir la traverser. Non seulement elle avala tout ce liquide doré, mais elle lécha ensuite le membre d’Aoki, le nettoyant des quelques gouttes qui s’y trouvaient. Difficile, à ce stade, de reconnaître en elle cette jeune fille innocente et naïve. Seikusu avait transformé Doutzen, avait révélé en elle des parts de perversion insoupçonnées.

Maintenant qu’elle avait soulagé sa Maîtresse, elle se releva, et ouvrit son cadeau.

« Oh, Maîtresse... »

Ses doigts effleurèrent la belle tenue bleue électrique, très douce et très fine.

« Mais... Ça a dû vous coûter une fortune ! »

Aussi gênée que flattée, elle s’empressa toutefois de l’enfiler, et se dandina ensuite dessus, se penchant sur le côté en se retournant devant sa Maîtresse.

« Comment Maîtresse me trouve ainsi ? Est-ce qu’elle a envie de baiser bien fort sa petite poupée dans une telle tenue ? »

Elle, en tout cas, elle se trouvait terriblement belle dans cet ensemble !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le dimanche 16 avril 2017, 20:04:12
Aoki l'aimait sa petite Doutzen. Pas du même amour que pour Félicia mais si elle aurait dû choisir un jouet préféré parmi celles qu'elle s'occupait, c'était forcément Doutzen. Elle remplaçait peut-être le rôle de grande soeur qu'elle avait avec Kanzaki sur Doutzen ? Bon, avec Kanzaki, il n'y a eu qu'une seule fois un rapport, elle n'était pas très portée lesbienne alors Aoki respectait son choix. Mais là, c'était un peu comme avec Kanzaki, le sexe en mieux et en plus débridé surtout. Elle aurait pu prolonger ce petit moment de câlin, lui proposant d'aller ouvrir son cadeau après lui avoir un peu nettoyé la queue. Elle le fit même très bien, proposant même de lui pisser dessus. C'était déjà arriver mais juste pour lui montrer ce qui se passait en cas de punition. Mieux vaut qu'elle goûte à cela plutôt que faire exprès de la merde pour savoir ce qu'elle gagnait.

« C'est normal ma chérie, que ce soit aujourd'hui, demain ou dans dix ans, quand tu seras une star... si nous sommes seules, tu seras mon sac à foutre, ma petit pute préférée, mon adorable petite salope... »

Tant de douceur derrière ce genre de mot, cela se mariait parfaitement avec son expression si douce qu'elle avait pour elle. Laissant Doutzen faire son travail, Aoki gardait une main sur sa tête, la laissant la sucer en nettoyant bien sa queue, elle était peu habituée au fait d'être une futanari mais elle ignorait si cela était normal ou juste pour elle mais sa gaule avait du mal à être moins dur. Cela avec Félicia aussi, sa petite amie avait toujours une trique plus dure que l'acier peu importe le nombre de fois où elle jouissait. Elle soufflait trente secondes et c'était reparti !

« Mhhhh mouiiiii... Avale là, tu aiiiiimes la sentir tout au fond, ma petite salope adorée... »

Sans lui faire de gorge profonde, Aoki aimait bien la voir avaler sa queue entièrement, quitte à y aller doucement en la laissant gérer son rythme. Cependant, elle était quand même curieuse de pisser avec ce jouet, alors, pour faire plaisir à Doutzen et pour ne pas mourir bête, elle essayait et ce que l'on pouvait dire, c'était que c'était compliqué de pissé avec ça ! Elle poussait mais ça ne voulait pas ! Par chance, après avoir joui dans sa petite bouche, elle arrivait aussi à pisser même si ce fut plus dur avec sa trique. Au moins, elle sait que pour la punir avec sa golden shower, ce ne sera pas en futa !

« Va ouvrir... ton cadeau... Tu l'as mérité... »

En attendant, elle se reposa sur le canapé en attendant la suite, observant avant tout le visage de Doutzen face à son cadeau. Pas le genre de cadeau que ferait normalement un manager envers son élève mais leur lien était au-delà de ça.

« Le prix n'a aucune importance, essaie-le, je suis sûre que je ne me suis pas trompé en te l'achetant. »

Et en effet. Une fois prête, Doutzen était plus belle que jamais dedans. Si Aoki n'aurait pas eu la gaule, elle l'aurait eu e trois secondes en voyant sa sexdoll dedans. Elle était bien belle mais il serait bien dommage de déjà lui retirer une telle chose alors qu'elle venait tout juste de l'enfiler.

« Oh non ma chérie, je veux pas te baiser dedans, et encore moins te faire l'amour. Je veux te défoncer le cul et la chatte dedans. Mais on y viendra après, pour le moment, vient poser cet adorable petit cul sur mes cuisses. »

Autant prendre quelques minutes plus sobres pour mieux jouer avec leur langue que leur corps. Aoki s'empressa de caresser son corps moulé dans ce délicat tissu, caressant son corset, sa petite culotte comme sa poitrine. Doutzen avait tout d'un bijou très rare dans cette petite tenue. Aoki lui baisait le cou, caressant son corps avec délicatesse, même si sa queue lui hurlait de la prendre, elle écoutait avant tout son corps. En se retenant un peu, ça allait rendre ça que meilleur.

« Tu sais, je ne t'ai pas acheté que cette petite chose... J'ai d'autres cadeaux... que tu devras mériter. Mais j'ai aussi acheté des tenues dans la même collection, pour moi, et Hardy-senseï... Quand tu viendras nous rendre une petite visite... tu enfileras cette petite chose, nous, on enfilera les nôtres. Tu seras très bien reçu entre nous deux, ma petite sexdoll... »

Ne pouvant freiner son envie de la caresser, elle continua, venant même tourner son visage vers le sien pour un baiser aussi délicat que lent, si son corps ne pouvait résister contre le sien, au moins sa bouche était un peu plus lente pour elle.

« Ce soir, ou plus tard, tu diras à ton père que je veux bien le recevoir dans un restaurant pour parler de toi ou de ce qu'il veut, mais ensuite, tu viendras dormir chez moi, on se fera une soirée pyjama, avec ton professeur aussi. »

Ce qu'elle avait parlé juste avant. Même si ce ne fut pas son attention, Aoki avait bien partager une soirée très intime avec Haley Quinn et Poison Ivy juste après son deuil, elle avait même goûté à une Félicia futa pour la première fois. Elle voudra bien partager la sexdoll d'Aoki pour une petite soirée après tout. Depuis ces événements, Aoki débordait de confiance, que ce soit sa relation avec Félicia qui n'était plus secrète ou son possible passage en tant qu'agent du SHIELD, elle n'avait plus peur de Reto, alors que ce soit ce soir ou demain, qu'importe, elle va voir qui des deux à la plus grosse paire de burnes !

« Par curiosité... comment, selon toi on s'amuse, avec ton professeur ? »

Elle voulait voir si dans ses fantasmes, Aoki avait le dessus sur Félicia, si elle restait proche de la réalité ou si elle voyait carrément autre chose. La pauvre ignorait que certains soir, le duo Black Cat & White Cat ronronnait toute la nuit ! Aoki avait même déjà une autre surprise pour la venue de Doutzen dans leur lit. Le chaton va ronronner, pour sûr !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 17 avril 2017, 10:27:03
C’était comme une sorte de rêve éveillé. Maîtresse devait tout de même faire attention, car, à distribuer ainsi autant de bonnes nouvelles, elle risquait bien de provoquer chez le cœur de la petite Doutz’ une crise cardiaque ! Elle était loin, cette époque où Doutz’ avait sa situation en horreur, et voulait s’évader de la maison de Reto. Maintenant… Maintenant, elle n’était plus si sûre de ce qu’elle voulait. Fuir ? Mener une autre vie ? À quoi bon ? Reto était un monstre, mais, au moins était-il honnête. Reto n’était un monstre que parce que la société était monstrueuse, dissimulant ses intentions derrière des sourires hypocrites et des visages neutres en col blanc. Avec Reto, Doutzen avait vu de quoi les élites de la société étaient faites… Et, si elle voulait devenir une star, elle allait nécessairement évoluer dans ce milieu. Elle l’avait déjà dit à sa Maîtresse, mais, en définitive, elle ne pensait pas Reto si mauvais… Du moins, par rapport à d’autres. Son père ne l’avait jamais battu, par exemple, même s’il avait fait d’elle une prostituée. Et puis, il avait veillé à son éducation, elle allait à l’école, alors qu’il aurait pu la maintenir chez lui, en la droguant perpétuellement, comme les Mafias avaient l’habitude de le faire avec leurs prostituées. Lui l’avait éduqué, précisément parce qu’il ne voulait pas d’une simple prostituée, mais d’un Petit Chaperon rouge.

Bref, tout ça pour dire que Doutzen avait, elle aussi, sombré dans les voies de la luxure, et pensait maintenant que Reto n’était qu’une autre des facettes de Seikusu. Elle ne pouvait tout simplement pas critiquer son autoritarisme et aduler celui d’Aoki. Quand Aoki jouait la Maîtresse, elle avait un rôle similaire à celui de son père. Et c’était, en ce moment, le cas. Doutzen, assise sur les cuisses de sa Maîtresse, soupirait en sentant ses lèvres caresser son cou, es mains frotter son corps. Elle était sa délicieuse poupée, et mouillait sur elle, surtout en sentant sa queue contre elle. Elle la regardait parfois, si dure, si grosse. Kou-san avait beau avoir jouir récemment, elle était toujours aussi excitée.

« Maî-Maîtresse… »

Soupirant et haletant, en ce moment, tout ce dont Doutzen rêvait, c’était d’avoir Kou-san chez elle, en compagnie de Reto, dans sa combinaison en latex noire, à la torturer. Doutz’ n’avait qu’un référent paternel, et, dans sa psyché débridée et perverse, elle voyait en Aoki ce qui s’apparentait à un référent maternel. Son plus sincère désir était donc de les rapprocher, elle et Reto… Aussi, quand Kou-san glissa qu’elle allait accepter une soirée avec Reto, Doutzen en gémit.

« Vrai-Vraiment, Maîtresse ? »

Jadis, Aoki avait catégoriquement refusé ce rapprochement. Bien sûr, entre-temps, la jeune blonde avait vécu des aventures extraordinaires, mais ça, Doutzen l’ignorait. En revanche, ses yeux brillaient d’envie, et une soif furieuse se mit à naître en elle, signe de sa profonde excitation. Kou-san enchaîna les bonnes nouvelles, puisque, non seulement elle acceptait de se rapprocher de Reto, mais elle comptait aussi inviter Doutzen à une soirée avec elle et Hardy-senseï.

En entendant tout ça, Doutz’ sentit de multiples frissons parcourir son corps.

« Maîtresse… !! »

Il y avait tout simplement trop de bonnes nouvelles d’un coup, et Doutzen tremblait sur place, mouillant encore plus, les joues rouges et les seins tendus. Kou-san lui demanda alors comment, à son avis, les deux femmes s’amusaient ensemble, et Doutzen rougit. Elle était l’élève d’Hardy-sensei, et savait combien la jeune femme était impliquée. Elle était très sportive, car, contrairement à tous les autres professeurs de sport, elle, elle ne se contentait pas de s’asseoir sur un banc, et d’ordonner à ses élèves d’agir. Elle participait aux matchs, aux séances d’escalade ou de gymnastique, et provoquait parfois quelques érections quand elle faisait de la gym’.

Alors, forcément, Doutzen, qui n’avait jamais vu chez Hardy-senseï la Chatte Noire, ne put que répondre, en toute innocence (pour ainsi dire) :

« Oh, eh bien… Je gage que vous devez faire l’amour longuement avec elle, Maîtresse, et, que, comme avec moi, vous ne lui laissez aucun répit. Quand je vois ses fesses en cours… Je me dis que vous devez bien en profiter ! »

Elle se frottait lascivement contre elle. Parler longuement était difficile, car elle était très chaude, et respirait lourdement, en haletant, et frottait régulièrement son corps contre la queue de la femme. Malicieuse, elle termina ensuite :

« …Comme vous allez le faire avec moi sous peu, non ? Vous ne pouvez pas me laisser ainsi, Maîtresse, pas après avoir ravi mes oreilles de tant de bonnes nouvelles. Il faut que vous me baisiez bien fort ! »

Mais, ce qui était clair, c’est qu’elle n’arrivait pas à se représenter Kou-san sous les signes d’une soumise.

Autant dire que cette soirée promettait d’être passionnante !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 25 mai 2017, 19:51:56
Retrouver sa petite Doutzen était une véritable joie mais Aoki comptait bien rattraper leur retard. Tant sur sa carrière que sur la vie privée. Elle avait des tas de choses de prévus pour elle, sur les deux plans, sa petite protégée allait bientôt vouloir ne plus quitter son manager. Aoki avait déjà prévu une soirée chez elle – ou chez Félicia plutôt – avec sa petite amie, elle allait lui en parler mais elle sera d'accord. De même qu'elle acceptait de voir Reto, dîner avec lui s'il voulait mais ça n'ira pas plus loin. En dehors de Doutzen, Aoki ne côtoyait personne d'autre pour le moment, en dehors de Félicia. Et ce n'est certainement pas un mafieux qui allait l'avoir ! Bref, Aoki ne pouvait que se ravir des prochains jours et semaines. Avec sa petite sex doll, elle lui demandait comment elle voyait sa relation avec son professeur ? Elle était dans le juste mais en inversant les rôles.

C'était Félicia qui profitait surtout des fesses d'Aoki, même si cette dernière en profitait aussi, la Japonaise était du genre à être un gentil chaton en présence de la Chatte Noire. Même si parfois, elle sortait les griffes et elle feulait, elle était toujours dominée par la belle héroïne qui avait volé son cœur. Doutzen s'excitait même toute seule en imaginant tout cela. Que c'était mignon ! Aoki caressa son corps sans passer à l'action pour le moment, tout sourire qu'elle était, elle se demandait comment elle allait prendre son pied quand elle sera entre deux femmes qui ont de l'expérience.

« Mais dis donc toi, tu commences à trop aimer cette queue, je trouve... Pour ça, je vais devoir te punir ma petite salope ! Mais... de quelle façon ? »

La question était rhétorique, elle n'attendait pas de réponse, elle imaginait juste chaque chose en fixant Doutzen, étirant parfois son sourire alors que ses mains parcouraient sa peau douce, caressant le tissu délicat qui l'habillait. Fixant ses petites lèvres, elle se voyait bien la punir via une fellation. Mais ça risquait de manquer de charme, Aoki aimait entendre Doutzen crier, qu'elle adore ça ou qu'elle a mal. Une cravate de notaire ? Hum non, elle attendra que la petite porte autre chose qui mettrait sa poitrine plus en valeur. Une sodomie ? Elle y a déjà eut le droit mais... peut-être. Des fessées ? Trop classique mais... ha, elle avait une certaine hésitation mine de rien. Aoki avait bien deux ou trois objets qui traînaient ici qui pourrait servir... mais non. Elle ne voulait pas déjà tout mélanger, d'abord qu'elle profite bien de cette queue, ensuite, plus tard, elle pimentera la chose avec de nouvelles saveurs.

« Oh, je sais ! Combien de temps tu peux retenir ton souffle ma petite salope ? Autant être franche, je vais te butiner la gorge ! Mais on va faire un petit jeu. Chaque fois que ma queue ne sera pas dans ta gorge car il faut bien que tu puisses respirer, je te punirais une fois que je me serais vidé en toi. C'est-à-dire, par exemple si tu dois dix fois reprendre ton souffle avant que tu n'avales mon foutre, ton cul va souffrir dix fois ! Compris ? Allez, je ne suis pas si méchante, je te laisse commencer quand tu veux mais attention... je ne veux que tes lèvres et ta langue sur ma bite. Tes petites mains, où tu veux mais pas dessus. »

La queue tendue, Aoki l'embrassa délicatement sans oublier de mordre sa petite lèvre inférieure pour bien lui rappeler que derrière la douceur se cachait un petit piment. Les jambes écartées, elle n'attendait que sa petite gorge au bout de sa queue. Doutzen était habituée aux gorges profondes ? Surement et si ce n'est pas le cas, elle lui trouvera un autre jeu. Elle veut s'amuser avec, pas la traumatiser. Mais une chose est sûre, Aoki tiens à entendre de déliceux bruit de sucions, de gorge et parfois, contre sa volonté, elle va la sucer un peu plus longtemps. Mais patience, les mains d'Aoki pour le moment étaient le long du canapé, elle profitait simplement.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 25 mai 2017, 22:04:16
Doutzen avait encore du mal à croire à tout ce qu’elle vivait, tant tout cela était... Non seulement précipité, mais aussi jouissif. Maîtresse comptait se rapprocher davantage d’elle ! Elle allait revenir sur sa promesse de ne pas se rapprocher de Reto. Qui sait ce qui allait se décider ensuite ? Doutzen espérait juste que son père saurait se montrer moins intimidant, cette fois, et choisir un meilleur angle d’approche. Et puis, d’un strict point de vue pervers, il y avait, bien évidemment, cette queue qui se dressait devant elle, ce phallus assoiffé, ce vit érigé, qui était la preuve que Doutzen n’était plus une jeune femme douce, innocente, et sexuellement naïve. Seikusu l’avait marqué, avait fait d’elle une belle perverse, totalement épanouie en la matière. C’était un rôle qu’elle assumait pleinement, maintenant, et Aoki l’avait remarqué.

Là, devant cette verge, elle observait en effet ce membre avec appétit. Elle s’en mordillait doucement les lèvres, ce qui conduisit Aoki à lui faire un nouveau jeu... Relativement original. Doutzen, qui portait toujours sa belle tenue bleue, sourit quand elle lui expliqua l’enjeu. L’idée était simple : une fellation intense, consistant en une gorge profonde, et où Doutzen devait la faire jouir sans reprendre son souffle. À chaque fois qu’elle reprendrait son souffle, elle aurait droit à autant de punitions, sans qu’Aoki ne précise le contenu de ces « punitions », laissant à Doutz’ le soin d’imaginer ce qu’elle lui ferait.

Doutzen sourit donc, et posa ses mains sur les cuisses de sa Maîtresse.

« Entendu, Maîtresse. »

Il était honnêtement impossible qu’elle arrive en une fois à la faire jouir. Elle savait combien sa Maîtresse était endurante, sexuellement parlant, et, comme elle avait déjà joui au cours de leurs retrouvailles, lui faire atteindre le plaisir suprême une seconde fois serait nécessairement plus difficile. Doutzen se rapprocha donc, reniflant l’odeur de ce vit, cette peau dure venant caresser son nez. Ses lèvres déposèrent un bref baiser dessus, puis elle se redressa encore un peu, et ouvrit la bouche... Puis l’avala.

Dans un gémissement, Doutzen força le passage, et couina encore en sentant le phallus s’enfoncer en elle. Doutzen soupira encore, mais réussit à enfoncer ce membre en elle, le sentant taper contre sa gorge. Yeux clos et joues rougies, elle commença ensuite à remuer, respirant par le nez. Avec un tel membre en elle, la respiration était difficile, car, même si elle pouvait utiliser son nez pour inspirer, le sexe d’Aoki bloquait le passage. Et elle avait l’interdiction de se retirer ! Doutzen sentit alors les mains gantées d’Aoki se poser sur sa tête, et sa Maîtresse l’aida à remuer un peu sa tête.

Concrètement, la jeune blonde fit surtout pointer sa langue, léchant ce phallus de haut en bas, s’y attaquant délicatement, en reprenant encore son souffle.

« Hmmm... !! »

Doutzen recouvrait ce membre de sa salive, et, soupirant à nouveau, finit par se retirer, afin de respirer à nouveau. Pour autant, elle ne rompit pas la fellation, mais écarta juste assez le phallus de sa Maîtresse pour pouvoir respirer avec ses narines, et recommença ensuite, provoquant bruits de mastication et soupirs multiples. Ses mains, elles, s’étaient crispées sur les cuisses de la femme, et caressaient ses collants en latex avec plaisir.

Oui, en ce moment, la jeune femme se régalait !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 12 juillet 2017, 12:07:39
Aoki comptait bien rattraper ce petit retard qu'elle avait prise avec tout ce qu'elle avait vécu ses derniers temps. Si elle avait bien rattrapé cela avec Félicia, sa petite Doutzen n'allait pas passer à côté, surtout maintenant qu'elle élargissait ses horizons en jouant aussi avec une queue. Elle voulait bien faire progresser leur relation, au-delà du plan professionnel, elle pouvait aussi voir plus loin. Certes, sa Black Cat restera celle qu'elle aime vraiment mais rien n'empêche cette future star de devenir une vraie perle, de devenir aussi sa sex-doll voir même, leur sex-doll. Félicia ne sera surement pas contre cette idée. Avec son petit défi, elle comptait bien savourer sa victoire mais Aoki n'allait pas tout gaspiller en une seule fois, elles allaient en profiter longuement. Il n'y avait pas besoin de défi pour subir ce genre de chose avec la belle Japonaise mais ça ajoutait une petite justification pour montrer qu'Aoki n'était pas si... méchante.

Elle pouvait très bien réussir ce défi sans recevoir de punition mais c'était comme joué avec une extrême facilité, cela deviendrait vite lassant. Cependant, elle ne la brusquait pas, elle faisait que faire bouger son bassin, enfonçant son membre dans sa bouche, venant parfois se cogner contre sa gorge. Délicieux. Si déjà, Aoki trouvait ça délicieux avec quand elle sera prise au piège avec elle et Félicia, la nuit promettait d'être longue !

« Huuuuum oh ouais. Regarde-toi ma belle... je suis sûre, hum, que tu pourrais faire ça toute la journée. »

Peut-être bien... En tout cas Aoki continua, laissant sa main sur sa tête pour faire continuer le mouvement pour savourer son savoir-faire. Sa petite langue sur sa queue, c'était si bon... Félicia ressentait ça aussi avec elle ? Pas étonnant que depuis son opération, elle souhaitait user au maximum de son investissement ! Après de délicieuses et longues et surtout savoureuses minutes, Aoki se crispa en saisissant sa tête, lachant la purée dans sa petite bouche en gémissant, une libération qui n'était que pur bonheur.

« Haaaaaaa ! Avale tout, ma salope.... Han ouais.... Han, c'est si bon de jouir dans ta petite bouche... »

Retirant sa queue, les dernières gouttes seront au bout de sa queue ou tomberont au sol, ce n'était pas important. Elle se pencha sur elle, baisant ses lèvres doucement en lui frottant la tête comme elle le ferait avec Rex, son berger allemand.

« Tu as aussi beaucoup de talent dans ce domaine. Si tu n'avais pas autant de talent à vendre à une vraie caméra, je suis sûre que j'aurais pu te trouver de quoi devenir une super star du cul. Mais toi ma petite étoile, tu ne dois pas briller dans les bas-fonds des quartiers, toi, tu brilleras au-dessus d'Hollywood ! Rhabille-toi, Doutz-chan, on va devoir partir donc, parle à Reto de notre futur rendez-vous, j'organiserais de mon côté notre petite soirée pyjama... »

Pour sûr, il n'y aura pas tant de pyjamas que ça...

« Et pour ce qui est des punitions... » Qu'elle a réussi à le faire sans retirer sa bouche ou non, Aoki avait toujours le dernier mot. « On fera ça quand je le déciderais, tu pourras te reposer pour le moment tout comme craindre que ma sentence ne tombe n'importe quand... Mais je te rassure, ça ne sera pas pour aujourd'hui. »

Doutzen va devoir vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de sa tête, non pas que ce soit vraiment dérangeant vu l'épée qu'elle brandissait entre ses jambes. Aoki retirait peu à peu sa tenue pour redevenir Kou-san, celle qui gérait la carrière de sa petite étoile, Maîtresse Aoki va se reposer. À la limite, en rentrant, il était possible qu'elle soit de nouveau utilisée mais surtout comme soumise cette fois, pas en dominante. C'était rare de la voir dans ce rôle avec Félicia dans les parages. Pratiquement de retour dans son rôle sérieux, elle agrafait doucement mes boutons de sa chemise en se penchant sur Doutzen, caressant ses beaux cheveux blond.

« N'oublie pas pour demain, après tes cours, tu n'a pas théâtre, on va devoir te faire passer ton premier vrai casting. »

Ce n'était que de la figuration mais aucune idol – chose que Doutzen n'était pas encore – ne commençait à tourner dans un film avec un vrai rôle en si peu de temps dans le showbiz ! Même avec des relations. Ce petit rôle peu très bien propulsé sa carrière d'un grand bond en avant mais même un petit bond était bon à prendre. Vu que casting il y a lieu, il est possible qu'Aoki laisse sa protégée tranquille jusqu'à sa représentation mais après... Demain est un autre jour.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 14 juillet 2017, 15:00:18
Le retour d’Aoki fut une merveilleuse chose. Doutzen quitta le club en étant ravie, les yeux dans les nuages, et annonça ensuite à Reto que Kou-san voulait s’entretenir avec lui. Son père en fut ravi, et, dès le lendemain, appela l’agence d’Aoki. Il fut rapidement en ligne avec elle, et l’invita à une soirée à l’un des restaurants gastronomiques les plus riches de la ville, le Muramasa-jo.

« Il faut que nous repartions sur des bases plus saines, vous et moi. »

Le restaurant fut prévu Vendredi soir, et, après ça, Doutzen passa une semaine plutôt normale. Elle participa aux castings d’Aoki, et apprit ainsi que son rôle dans une série se précisait de plus en plus. Pour elle, c’était un grand moment qui se rapprochait, mais, comme elle était encore mineure, Aoki en était arrivée au point où elle avait impérativement besoin de l’autorisation de Reto pour que sa fille participe à une série télévisée. Les producteurs de la série étaient emballés par la jeune fille, et comptaient bien lui donner un rôle important. C’était une série télévisée pour adolescents, sans grande envergure. Le script était celui d’une love story pour teenagers, et le studio avait eu l’autorisation de tourner les scènes au lycée Mishima pendant les vacances scolaires.

Doutzen présenta le script à son père, qui en fut ravi.

« Tu es heureuse de devenir actrice, Doutz’ ? »

Elle n’avait pu qu’acquiescer, faisant sourire son père.

« J’ai toujours su que tu avais un grand talent, Doutzen. Je ne t’ai pas pris uniquement pour ton minois. Mais je ne vais pas encore signer l’autorisation. Je dois d’abord m’entretenir avec ta  ‘‘Maîtresse’’ auparavant. »

Entre-temps, Aoki avait également parlé à Félicia de la situation, notamment de ses doutes avec Reto. Mais Félicia, elle, n’avait jamais été une super-héroïne pure et blanche, comme pouvait l’être Spider-Man.

« Tu sais, j’ai souvent eu affaire à des criminels au cours de mon existence, et j’en suis moi-même une. Tu ne dois pas être trop brusque, Aoki... Et puis, ce que tu fais avec Doutzen est également illégal. Ce que je veux dire, c’est que Reto a aussi des bons côtés, et Doutzen a l’air de voir en toi plus qu’une simple coach. »

Félicia avait eu l’occasion de se renseigner sur les Petrovski. Reto, par exemple, était originaire de Russie, et le clan des Petrovski était en train de gagner un pouvoir considérable.

« C’est une mafia qui gagne en influence et en pouvoir. Grâce à Doutzen, tu disposes d’une porte d’entrée dans cette mafia, qui intéresse de près le S.H.I.E.L.D., car ils font affaire avec des criminels de Terra. C’est une occasion rare, à ne pas négliger. »

Mais le choix, finalement, appartenait à Aoki. Elle n’avait reçu aucune instruction du S.H.I.E.L.D., pour l’heure. Quoi qu’il en soit, Vendredi soir finit par approcher. Le Muramasa-jo était à la fois le nom d’un restaurant et du château historique de Seikusu, bâti dans les collines de la ville. Un fort qui avait jadis protégé la ville contre des clans ennemis, et était maintenant la propriété des Guramu, le plus puissant clan yakuza de la ville. Ils avaient acquis ce fort historique suite à la Seconde Guerre Mondiale, et avaient aménagé une partie des locaux au public, en créant un restaurant gastronomique de luxe, dans un style traditionnel, et un musée.

Reto s’occupa de tout le financement, et un taxi alla chercher Aoki, pour la conduire au restaurant. Par SMS, Doutzen avait bombardé Aoki, indiquant qu’elle était « impatiente » de la voir. Le taxi rejoignit donc les hauteurs de la ville, longeant la forêt, et s’arrêta sur la cour. Un serveur vint en personne accueillir Aoki, portant d’élégants gants blancs, et l’invita à le suivre.

Le restaurant comprenait une grande place centrale en bois, avec un énorme aquarium au centre, et des alcôves permettant d’offrir de l’intimité et de la discrétion aux clients.

« C’est ici, Madame. »

Reto et Doutzen étaient déjà là... Ainsi qu’une autre femme. C’était une table avec deux banquettes, et Reto était assis à côté d’une femme.

« Ah, Kou-san ! Il ne manquait plus que ça ! Bonsoir ! Je vous en prie, prenez place à côté de Doutzen ! »

La jeune femme s’assit donc. Doutzen portait sa belle robe rouge, et, rapidement, Reto fit les présentations :

« Kou-san, je vous présente Olga Gurluchenko (http://img110.xooimage.com/files/e/a/b/olga-5271ff3.png). Olga nous vient tout droit de Russie, et elle est arrivée il y a quelques semains à la maison.
 -  Je suis enchantée de vous voir enfin, Kou-san. Doutzen parle énormément de vous. »

Olga portait une robe en latex plutôt courte. Difficile de se méprendre sur la nature de la relation qu’elle entretenait avec Doutzen.

« Olga est une formatrice de Doutzen... Une formatrice sexuelle.
 -  En Russie, je suis une Maîtresse. Je travaille dans le sadomasochisme auprès de riches clients, mais mes employeurs m’ont relocalisé ici pour que je m’occupe exclusivement de Doutzen... »

Doutzen rougit lentement, et, consciente que c’était à elle de s’exprimer, elle rajouta :

« Je... J’aimerais que vous veniez chez moi, Maîtresse. Mais... Pour ça, il faut que ce soit avec une autre femme, au moins au début.
 -  Bien sûr, nous ne sommes pas là pour ça à proprement parler, mais nous parlons de l’avenir de ma fille. Le choix vous appartient. Doutzen veut se performer dans le domaine du sexe, et, comme vous avez pu le comprendre, je suis plutôt ouvert sur la question. Alors, je vous propose l’assistance d’Olga si vous le souhaitez. En toute hypothèse, elle sera là pour former également Doutzen. C’est une demande qui vient de très haut.
 -  Je pourrais m’occuper seule de la formation sexuelle de Doutzen, mais nous nous sommes dits que ce serait mieux de le faire ensemble... Avoir un programme commun, en quelque sorte. »

Le choix appartenait à Aoki...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 15 août 2017, 20:09:55
Aoki ne pouvait pas encadrer Reto, depuis leur première rencontre, elle avait vu quelque chose de pas net entre lui et sa « fille », même en apprenant par la suite qu'aucun lien de sang ne les liait, elle ne trouvait pas ça saint. Avec la suite, elle avait vu qu'elle ne pouvait pas ouvrir les yeux de Doutzen, ne pouvant pas non plus simplement dénoncer ça, vu son cas, elle devait faire avec les moyens du bord. Sans violence, elle va propulser Doutzen sur le haut de la scène et, à défaut de l'enfermer, elle fera en sorte de l'éloigner de Reto. Lui qui a ses affaires louches, il ne pourra pas suivre sa fille partout, c'était déjà ça. Puis vint la perte de Kanzaki et sa remise en question. Elle était donc décidé à aider Doutzen, peu importe la façon mais elle va commencer par la manière douce. En plus, étant à présent presque une agent du SHIELD, elle pouvait les aider donc c'était tout bénéf' !

Se préparant pour le rendez-vous, elle n'avait aucun agent sous couverture pour l'aider, voulant paraître à tout pris clean pour ce rendez-vous. Sa seule surveillance était d'envoyer un message à Félicia à certaines heures pour lui dire que tout allait bien mais bien sûr, sans être aussi direct, avec un certain code. Prendre des nouvelles de son chat pour dire que tout allait bien, des nouvelles de son chien pour dire que ça ne sentait pas bon, et des nouvelles de son chat et de son chien pour dire qu'elle devait venir la chercher de suite ! Mais comme la soirée débutait, elle n'en était pas encore aux codes. Vu l'endroit, Aoki était bien habillé, rien de vulgaire non plus, c'était avant tout un rendez-vous professionnel. Arrivant au restaurant avec chauffeur, elle fut surprise de voir une autre personne en plus de sa petite Doutzen et de Reto, surtout vu la façon dont elle était habillé, ce ne serait sûrement pas sa tante, mère ou même nourrice.

Cette Gurluchenko venait de Russie et Doutzen lui avait beaucoup parlé d'elle ? Tiens donc ? De quel genre de chose avait-elle partagé se disait-elle ? Aoki lui renvoya la balle en étant enchanté de la connaître mais quand elle apprenais qui était cette femme, son regard se tournait doucement vers Doutzen, un regard quelque peu accusateur à vrai dire, bien qu'aucun mot ne sortait de sa bouche pour le moment. Elle les avait laissé parler pour s'étendre sur ce qu'ils avaient à dire mais elle ne comptait pas approuver cela bien gentiment, même si elle voulait aussi éviter de faure de vagues.

« Je suis ici avant tout pour m'assurer de la carrière de Doutzen, de lui trouver des rôles, de l'aider à améliorer son jeu. Pour ce qui est de cet autre apprentissage, ça regarde avant tout Doutzen. Je n'ai rien contre l'aider sur cette voie mais ce n'est pas ma priorité, ma priorité, c'est que d'ici quelques années, en allumant la télévision, un magazine ou n'importe quelle page internet, je vois ma petite Doutzen illuminé tout les médias, que tout le monde l'adore pour sa beauté comme son talent. »

Aoki se voulait pro sur cet entretien, mais il y avait un lien entre elle et son élève, un lien qu'aucun contrat et aucun accord ne puisse déceler. Aoki était sa maîtresse et Aoki n'était pas du genre à se laisser voler sa proie comme ça. Olga la formait peut-être depuis plus longtemps qu'elle, qui sait, mais Aoki comptait conserver son jouet pour elle. Rien n'empêcherait de jouer a deux avec le même jouet mais Aoki comptait bien montrer à cette Russe qu'elle n'allait pas se laisser faire. Peu importe la réponse de la petite blonde, dés qu'elle aura un moment de libre avec elle, elle va lui rappeler qui est sa véritable maîtresse et à qui elle doit lécher les pieds. Elle ne lui en voudrait pas, comme elle l'avait dit, pour venir la voir, elle devra être avec quelqu'un, autant que ce soit cette Olga qui était sélectionnée par quelqu'un de haut placé. Tôt ou tard, Aoki réussira à vendre assez d'information au SHIELD mais pour le moment, elle devait faire profil bas.

« Donc, tant qu'on me laisse réaliser le rêve de Doutzen, je me fiche de savoir qu'elle veut aussi développer ses autres facultés. Je priorise son rêve, le reste n'appartient qu'au libre choix de notre petite Doutzen. »

Ce qui était faux, Aoki comptait bien faire d'elle une femme fatale, qui en dehors de ses pattes sera une femme qui ne se laissera pas marcher sur les pieds, dominante et aussi dure qu'Aoki mais une fois de retour entre ses mains, elle compte retrouver cette brave petite chienne docile qu'elle aime tant.

« Tu as les cartes en main pour bâtir ton avenir, Doutzen, c'est à toi de décider de ce que tu souhaites pour ton avenir, qui pour te former, et sur quel sujet ? »

Aoki avait la priorité sur son rêve mais nul doute qu'elle sera aussi sur la case sexuelle, très certainement avec Olga pour ne pas froisser son père. Mais qu'importe, Aoki devait passer pour une fille propre pour ne pas élever les soupçons sur elle, il n'y avait aucun micro ou espions ici – à sa connaissance – donc autant les brosser tout les trois dans le sens du poil pour le moment. Tant qu'Aoki garde la main mise sur l'avenir de Doutzen, ça lui va. Elle regardait cette dernière avec un doux sourire, pour mieux cacher le loup qui était en elle et qui allait dévorer le petit chaperon rouge qu'elle était une fois seule en sa compagnie. Ce n'était pas sa faute ce qui arrivait mais laisser son père proposer une autre maîtresse qu'Aoki ? C'était une insulte. Bref, quoi qu'il se passe, la suite allait être délicieux en compagnie de Doutzen, voir même d'Olga ? Qui sait, Aoki pourrait se faire une amie ?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 16 août 2017, 14:33:51
Aoki assura que seul l’avenir professionnel de Doutzen l’intéressait. Tout ce qu’elle voulait, c’était la former. Reto esquissa un léger sourire, pendant qu’Aoki demandait finalement à Doutzen son avis. Rougissant benoîtement, la jeune fille ne savait tout simplement pas quoi dire. Reto intervint alors :

« Je vous avoue avoir du mal à saisir le rapport entre la formation pour devenir actrice, et les relations sexuelles que vous entretenez avec Doutzen. »

Reto savait tout ce que Doutzen et Aoki faisaient… Ce qui, visiblement, irritait Aoki. Son discret regard n’avait nullement échappé à cet homme. Il avait beau être musclé et ressemblé à une brute, Reto n’en était pas moins intelligent, et très observateur. Il avait donc vu le regard discret d’Aoki vers Doutzen, et précisa rapidement les choses, afin de désamorcer la situation.

« Inutile de nous mentir, Kou-san. Pensiez-vous vraiment que Doutzen me mentirait ? Qu’elle ne me dirait pas ce que vous faites ? Alors que je vous avais dit être au courant de votre pedigree ? Je n’ai pas envoyé Doutzen chez vous sans raison. Je voulais que vous soyez autre chose qu’une simple agente de management… Je voulais que vous soyez sa Maîtresse. »

Inutile d’être grand clerc pour savoir que Doutzen manquait d’un référent maternel dans sa vie. Ses parents l’avaient abandonné, et elle vivait dans un environnement très masculin, avec Reto et ses hommes. Olga Gurluchenko, parlant de là, était une sacrée surprise, un revirement de situation qui pouvait perturber les choses, en faisant d’elle une potentielle rivale… Ce que Reto ne voulait pas. Cette soirée avait donc bien des raisons d’être, mais, dans tous les cas, Reto savait qu’Aoki ne ferait rien sans Doutzen.

C’est pour ça que la jeune femme se mit à parler, en regardant Aoki :

« Je… Ce n’est pas un piège, Kou-sama. Mon… Mon père ne cherche pas à te piéger, il n’y a pas de micro, ni de journalistes.
 -  Nous parlons librement, trancha Reto. Vous n’avez pas à vous cacher, Aoki. Vous êtes la Maîtresse de Doutzen, et je respecte ce statut. Comme moi, vous tenez à cette jeune fille. C’est pour ça que je l’ai pris sous mon aile, vous savez. Rien ne me forçait à l’éduquer, à l’adopter même. Je l’ai fait parce que j’ai senti en elle un pouvoir important… Et vous, vous contribuez à faire d’elle une Louve. Seulement voilà, Aoki, vous n’êtes pas de la famille… Ni Russe. Je ne peux décemment pas dire aux autres que Doutzen a comme Maîtresse une Japonaise sans attirer les soupçons.
 -  Je suis votre caution, traduisit Olga. Je ne veux pas être votre rivale, mais plus… Une sorte d’assistante. »

Les informations défilaient à toute allure. Reto ne cachait nullement appartenir à la Mafia russe, estimant que, à ce niveau, seule une honnêteté sans faille pouvait permettre à Aoki d’avoir suffisamment confiance en lui pour accepter de venir dans sa maison. Mais, encore une fois, c’était à Doutzen d’intervenir, ce qui amena cette dernière à serrer sa main contre celle d’Aoki.

« Je… J’aimerais beaucoup que vous veniez chez moi, Maî-Maîtresse… Après tout, vous m’avez invité chez vous, et… Ce serait juste que je vous retourne la pareille. »

Elle rougit en le disant, tout en se mordillant les lèvres.

« Je sais que vous ne m’aimez pas. Je ne peux pas vous en vouloir, j’ai fait des choses mauvaises. Mais, en ce qui concerne Doutzen, je n’ai jamais rien fait qui soit contre son intérêt. Je reconnais que mes méthodes sont un peu… Brutales… Mais je ne l’ai jamais frappé, ni torturé. Tout ce que je veux, dans le fond, c’est la même chose que vous… En faire une femme forte, puissante. Rien ne me ferait plus plaisir que de voir Doutzen sur grand écran, car… Elle le mérite. Elle est intelligente, douée, futée… Et jolie. Le profil parfait. Mais vous comme moi savons combien le monde du showbiz est lié à celui du sexe… Ce qui fait de vous la formatrice idéale pour elle. »

C’était, en définitive, aussi simple que ça.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 07 septembre 2017, 20:41:44
Il faudrait se crever les yeux pour ne pas voir qu'Aoki restait calme face à Reto uniquement car elle le faisait pour Doutzen. Ce genre de type à profiter de tout et de rien, elle en a connu. Même dans son agence, elle n'a pas atteint ce prestige uniquement grâce à son travail. Elle s'est vengée en prenant la place de ses types qui pensait être au-dessus d'elle mais ce Reto... Elle tentait bien de noyer le poisson mais ce qu'elle disait était vrai, avant tout, elle voulait faire de Doutzen une star, lors des premières fois face à elle, elle ne pensait qu'à Félicia et pas à elle ou une autre. Sans cette maudite copine qui gérait leur cours de théâtre, jamais elle n'aurait joué avec Doutzen et si elle aurait craqué, ça n'aurait pas été aussi vite.

« Que cela parte de ''bonnes'' intentions ou non, j'ai du mal à voir ça d'un bon œil... Que je le décide ou que Doutzen me le demande, j'aurais trouvé ça plus normal... Mais vous, qui êtes comme un père pour elle, vous venez non seulement me dire ça en face et devant elle en plus ? »

C'était ça qui l'irritait, quel père irait demander à quelqu'un de devenir la maîtresse de sa fille ? Ça lui sortait par les yeux. Enfin, ils n'étaient pas ici pour parler de ça, il fallait bien faire avancer les choses, au moins pour Doutzen. Cette histoire de mafia russe ne lui plaisait pas, via une des amies de Félicia, qui a une amie qui travaille dans la police, elle sait que la mafia russe est en ville, ils traînent autour d'un night-club pour le moment et la police compte agir bientôt. Peut-être Reto va tomber aussi à ce moment ? Allez savoir. Mais ça l'inquiétait de savoir que ce type n'était pas le chef, elle le pensait. Peut-être pas le parrain de mafia russe mais au moins chef d'une petite famille ? Elle ne connaît la mafia qu'à travers les films après tout.

« Je l'ai dit et je le redis, j'ai décidé de m'occuper de sa carrière, ce que je compte faire. Elle est pratiquement inconnue aujourd'huis mais bientôt, le monde entier s'arrachera Doutzen. Elle n'y ai pas encore mais évidemment je comptais la mettre en garde contre ses requins aux idées mal placée. Pour le moment et à pour toujours, elle sera en dessous de moi, je serais sa maîtresse. Mais quand je la lâcherais dans la nature, monde du showbizz ou pas, elle montrera aux autres ce que je lui ai appris et c'est elle que l'on appellera maîtresse, dans le privé. »

Même si elle avait eut un léger sourire, elle avait déjà décidé ça depuis le début, même si elle n'avait rien dit. À quoi bon en faire une petite star si elle se laisse marcher sur les pieds et avoir par les producteurs véreux et pervers ? Ça non, Doutzen sera une femme fatale, à l'écran comme ailleurs, c'est ce qu'elle comptait faire. Déposant le verre, elle reprenait avec tout son sérieux.

« Je sais que vous avez sûrement des conditions à tout cela mais je préfère déjà poser les miennes d'abord, honneurs aux dames, non ? Il est évident que je verrais tout pour lui décrocher les meilleurs rôles, les meilleures places pour sa carrière et pour cela, j'ai besoin qu'elle soit toujours libre pour moi. Je ne parle pas de sa seconde formation-là, de sa vraie carrière. Évidemment, si elle est malade ou qu'elle a un souci personnel, je n'y peux rien, je ne suis pas un dieu. Mais sans empêcher ses études, je veux faire en sorte qu'elle soit toujours disponible pour moi, pour me suivre aux différents castings ou shoot qu'elle pourrait avoir. »

Naturellement, Aoki avait pour mission de la rendre célèbre.

« Pour ce qui est de sa seconde formation, je veux bien que Gurluchenko-san soit à mes côtés mais évidemment, je tiens à ce que j'ai des moments seules avec Doutzen. Comment avoir une bonne relation si on est constamment épiée ? »

Si Olga reste avec elles que chez Reto, ça lui va, si elle doit la supporter à chaque fois qu'elle emmene Doutzen quelque part, ça risque de devenir lassant... Doutzen est son jouet après tout.

« Comme dernier point, je tiens à ce que jamais on m'interdise de la voir. Que ce soit parce qu'elle a oublié quelque chose dans mon bureau ou que je tiens à lui parler de quelque chose de privé, je veux toujours pouvoir la voir. »

Doutzen était un peu la Kanzaki qu'elle avait perdue, à la différence qu'entre elles, c'était bien plus sexuelle. Kanzaki avait couché une seule fois avec elle et n'avait pas aimé cette relation lesbienne, choix qu'elle a accepter, continuant de gérer sa carrière sans ses propositions. Alors elle voulait pouvoir être là pour Doutzen, que si quelque chose ne va pas, elle soit là pour elle, qu'elle lui parle de problème de cœur ou de vie, elle sera là pour l'écouter et l'aider. Ce sont là trois points qu'elle tiens à avoir de son côté, si elle les obtient, ce sera pas mal. Aoki était dominante, même sans cravache et tenue en cuir, elle devait le montrer aux autres. Bien que ce soit Felicia la femme à queue du couple, parfois, Aoki devait se faire pousser des bourses pour les poser sur la table, comme maintenant.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 07 septembre 2017, 23:30:44
Aoki se mit alors à parler, et exposa ses conditions, se dressant face à Reto. Il y en avait beaucoup, et l’homme resta silencieux, l’écoutant parler, pendant que Doutzen rougissait en entendant les plans d’Aoki la concernant. Reto, en réalité, était plutôt amusé par la situation, et, quand la jeune Japonaise termina, il avala un peu de bière, avant de lui répondre, tranquillement, et calmement :

« C’est amusant, n’est-ce pas ? Vous me reprochez d’être trop dirigiste concernant ma fille... Alors que vous avez des projets visiblement très importants pour elle, à long terme. Ironique, n’est-ce pas ? »

La jeune femme pouvait dire ce qu’elle voulait sur lui, la vérité était qu’ils étaient très proches, l’un de l’autre.

« Enfin... Je sais que mon éducation vous surprend, et je l’admets volontiers. Je ne suis pas un père atypique... Mais ce que je dis est vrai. Doutzen souffre d’une carence affective, du manque d’une figure maternelle dans sa vie... C’est ce manque que vous comblez. Je ne vois pas en quoi il est si horrible que ça de vous laisser la voir. Tu n’es pas d’accord, Doutz’ ?
 -  O-Oui, Père... »

Elle rougissait sur place. Reto commença ensuite à attaquer les entrées. Il s’avéra manipuler à la perfection les baguettes japonaises, enfilant entre ses lèvres des barquettes de crustacés, tout en poursuivant :

« J’ai pris note de vos conditions. Aucune ne me dérange. Mais j’ai moi aussi les miennes. »

Il s’attaqua ensuite à un petit bol en verre, en avalant le contenu, dont plusieurs crevettes élégamment saucées. C’était un restaurant gastronomique, alors la nourriture était à la hauteur de ce qu’on pouvait espérer.

« Vous voyez ce repas ? Toute ma vie, j’ai rêvé de manger dans un restaurant comme ça. J’ai grandi dans des quartiers populaires de Moscou, comme Ramenki, croulant sous une immigration massive venant de la campagne. J’ai envié les riches et les oligarques toute ma vie. Je n’ai pas honte de dire que je me suis sali les mains pour arriver à ce poste, Aoki. J’ai fait du mal, j’ai blessé des gens... Certains l’avaient mérité, d’autres... Moins. Mais je ne suis pas un monstre. »

C’était une précision importante qu’il tenait à faire.

« Vous voulez faire de Doutzen une star ? Très bien. Elle le mérite. J’approuve entièrement. Alors, oui, je vous laisserai l’éduquer comme vous le voulez, et elle sera toujours disponible pour vous. Mais... Comme je vous l’ai dit, j’ai mes conditions. »

Des conditions qu’il n’avait toujours pas exprimé, car il avait dévié pour expliquer à Aoki qu’il n’était pas aussi monstrueux qu’elle ne le pensait. Le passé de Reto était, de fait, assez nimbé de mystères. Il avait grandi dans les rues de Moscou, et avait vu très vite que l’injustice régnait totalement dans ce monde.

« Je veux que vous passiez au moins une nuit avec Doutzen à la maison par mois. Ce n’est pas pour moi, c’est pour elle. Pourquoi croyez-vous que je vous rencontre ici ? Que je suis aussi honnête avec vous ? Doutzen vous apprécie beaucoup, mais elle est trop timide pour le dire. Alors, oui... Je pense que ce ne serait que bénéfique que vous puissiez dormir dans sa chambre au moins une fois par mois, en sachant que vous serez toujours la bienvenue. »

Une offre risquée, bien sûr, mais qui fit rougir Doutzen, son cœur se mettant à bondir dans sa poitrine à cette idée.

« Pour le reste... Je tiens à continuer à être investi dans la vie de Doutzen, comme vous devez vous en douter. Mais j’ai confiance en vous. Ce n’est pas réciproque, je sais bien, mais je suis au moins ravi que vous acceptiez la présence d’Olga. »

L’intéressée sourit alors, et se pencha vers Aoki :

« Mon unique désir sera de vous assister autant que possible, Kou-san. Ne voyez vraiment pas en moi une rivale, ce n’est pas mon objectif. Mais vous ne pouvez pas veiller continuellement sur Doutzen, n’est-ce pas ? Alors que moi, je pourrais vous seconder, et suivre vos directives en votre absence... »

Reto reprit ensuite, après avoir laissé s’écouler quelques secondes :

« Alors... Marché conclu ? Êtes-vous prête à passer une nuit par mois au manoir ? »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 05 octobre 2017, 19:37:29
Cela pouvait bien être vrai, elle n'aimait pas être comparée à lui. Ce qu'elle faisait avec Doutzen n'avait rien de légal mais elle n'avait pas de lien avec elle alors que Reto, même adoptif, était son père ! Mais elle ne disait rien, ça ne sert à rien de constamment se jeter la balle. Elle écouta donc ce qu'il avait à dire, à raconter concernant son passé dans les rues de Moscou quand il était jeune, des choses peu recommandable qu'il avait pu faire. Que du bonheur. Quand arrivaient les conditions, elle avait un peu peur, peur que ce type ne lui demande la lune ou quelque chose qui reviendrait presque à lui faire abandonner Doutzen. Mais elle fut soulagée, même si elle craignait une quelconque entourloupe à cela. Passé une nuit par mois, donc pas par semaine, chez elle ? Passé du temps dans le lit de Doutzen ne la dérangeait pas mais dormir au milieu de mafieux ne lui plaisait pas énormément... Soit ce type restait réglo et elle ne s'occupait que de la petite, soit elle était impliqué indirectement dans tout ça si jamais la police débarque... Et
Demander à Félicya de veiller sur elles toute une nuit, ce ne sera pas amusant...

De son côté, Olga est là pour faire suivre les ordres d'Aoki en son absence. Sur ça, elle n'avait pas trop besoin d'aide. Elle voulait apprendre à Doutzen à savoir se montrer dominante et non docile face aux futurs requins du showbiz donc sans sa présence, ça ne servait à rien. Mais Olga pourrait toujours l'aider pour ses divers exercice pour son rêve donc ça ira. Dans un sens, une nuit par mois, c'était très bien, par semaine, elle aurait eut peur que Félicia ne commence à se sentir abandonné, une nuit par mois, ça ira. Il va falloir voir avec elle comment s'organiser côté surveillance, mais ça ne devrait pas trop poser de soucis.

« Tant que j'ai le choix sur la date, ça me va. »

Pas question de sauter un dîner ou un rendez-vous important pour ça, pire, louper un anniversaire futur comme celui de leur premier dîner où tout avait commencé ou ce genre de date. Autant dire que sa petite Doutzen aura bientôt droit à la visite d'Aoki, après avoir passée une sacrée soirée avec Félicya, elle allait devoir la formée la nuit mais aussi prendre soin d'elle. Peu à peu, Doutzen devenait sa nouvelle Kanzaki, cette fille qu'elle voulait protéger et voir réussir. Ce n'est pas que la discution avait un blanc à présent que tout était réglé mais Aoki restait très pensif sur la suite. Tant ce sur cet accord que sur la carrière de Doutzen. Elle prenait son métier à cœur et cherchait toujours ce qu'il y avait de mieux pour ses élèves, Doutzen aussi évidemment. Un toast fut même proposé, tous ensemble pour la future carrière de Doutzen. Aoki avait tant à mettre en place pour elle, elle était impatiente de la voir en haut de l'affiche.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 06 octobre 2017, 23:05:52
« Bien sûr. Nous sommes partenaires, après tout. »

Qu’elle accepte de venir, c’était en tout cas une grande victoire... Non seulement pour lui, Reto Kroes, mais aussi, et surtout, pour Doutz’, qui s’en pinça les lèvres, toute émoustillée à l’idée d’apprendre que sa Maîtresse viendrait dormir chez elle ! Reto, bien sûr, comprenait la méfiance d’Aoki, alors il avait joué la carte de l’honnêteté, en se disant que, s’il était transparent, ou, tout du moins, le plus transparent possible, à terme, cela rassurerait Aoki. Ce n’était pas un piège, ce n’était pas un traquenard, comme une manière de se débarrasser d’une rivale, il pensait sincèrement ce qu’il disait. Doutzen manquait d’une figure maternelle, et, à ses yeux, Kou-san était ce qui s’en rapprochait le plus. Partant de là, il était donc tout à fait normal que Reto tâche de se montrer le plus sociable possible.

Il proposa donc un toast à la future carrière de Doutzen, et commença à se dire, au cours de la soirée, que Kou-san commençait à se détendre. Doutzen sortit même de sa coquille, en parlant de ses études, de ce qu’elle faisait, et en évoquant avec Aoki ses plans de carrière, les contrats possibles, et l’avenir se profilant à elle. On aurait presque cru à une conversation normale, en réalité, ce qui était d’autant plus impressionnant. La soirée se déroula donc plutôt bien, et Reto ne put que noter la complicité entre les deux femmes. C’en était touchant, et très affectueux.

Le repas se prolongea donc. Au moins, le quatuor put bien manger, et même Olga parla d’elle-même, en évoquant son passé :

« J’ai grandi dans une triste ville de Russie... Une ville pauvre, avec un père alcoolique et une mère effacée, qui me battait régulièrement. J’ai fugué avec un petit-ami à Moscou, en pensant trouver une nouvelle vie, mais mon petit-ami n’a pas hésité à me prostituer pour payer les factures, s’acheter des montres de luxe, ce genre de choses... »

Ce n’était clairement pas une belle histoire.

« Je l’ai pris sous mon aile, expliqua-t-il. Alors, certes, elle n’a pas quitté le monde du sexe, mais je lui ai appris à maîtriser le sexe, et à dominer ses clients, plutôt qu’à se faire dominer par eux. Elle a été une élève très brillante, et elle te sera très pratique, Aoki, même si je vois bien que tu n’en es pas convaincue. »

Elle n’avait pas vraiment le choix, de toute manière.

« C’est une vie qu’on m’a imposé au début, mais que j’ai choisie ensuite. Alors... Je suis sûre qu’ensemble, on fera du bon travail, Aoki ! »

Le repas se termina donc ensuite, et Doutzen se retrouva seule avec Aoki, sur le parking, et l’enlaça alors, se serrant contre elle.

« Je suis très heureuse que tu aies acceptée notre invitation, Aoki ! »

Elle lui sourit joyeusement, et rajouta ensuite, une lueur espiègle dans les yeux :

« Prochaine étape... C’est chez toi, non ? »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 24 octobre 2017, 21:48:04
Aoki ne pouvait s'empêcher de se montrer méfiante vis-à-vis de Reto, depuis le début, elle avait du mal à sourire franchement devant ce personnage. Mais si elle faisait tout cela, c'était avant et surtout pour Doutzen, personne d'autre. Elle avait vu dés le début le potentielle de cette petite, sachant qu'elle ira loin si elle s'investit réellement dedans. Elle continua le repas simplement en bavardant de tout et rien , prêtant surtout attention à ce que sa petite Doutz pouvait dire. Depuis ses retrouvailles, elle aimait vraiment cette petite – elles avaient au pire dix ans d'écart mais ça restait une petite fille pour elle – qui semblait vraiment aimer la vie et ce qui l'attendait, se voyant déjà en haut de l'affiche, ce qui était une bonne chose. Il faut être réaliste sans pour autant partir du mauvais pied. Olga avait une histoire peu envieuse mais au moins aujourd'hui, elle portait la culotte et c'est ce qui compte. Elle espéra qu'une fois l'oiseau aura pris son envol, elle ne se laissera pas avoir dans ce monde de perversion qu'était le showbizz. Ne pas se droguer et se faire avoir. Même si effectivement, Aoki avait du mal à croire Olga, elle disait peut-être vrai ? Ce sera une chose à voir une prochaine fois, pourquoi pas.

Une fois le repas terminé, sur le parking, Doutze, n'hésitait pas à enlacer Aoki, montrant sa joie. C'est dans ce genre de moment qu'elle passerait bien plus d'une soirée avec sa petite Doutz. Mais la voir demander à aller chez elle la surprenait, de la bonne façon évidemment.

« Ma foi, si ton père est d'accord, tu es toujours la bienvenue. »

Oui, autant elle était sceptique à venir chez elle, autant la faire venir chez elle ne lui causait aucun souci, enfin, tant que ça ne gênait pas sa vie avec Félicia. Puis c'était surtout chez Félicia, depuis peu elles habitaient ensemble mais Aoki ne manqua pas de d'envoyer un petit mail à Felicia avec son portable pour l'avertir de la venue de Doutzen. La dernière fois, leur soirée pyjama était été bien ancrée dans les mémoires, à voir si ce soir, il en sera de même. Le voyage ut plutôt sage, Doutzen continua d'évoquer ce qu'elle voulait faire sur les prochaines semaines, sa joie d'avoir Aoki venir chez elle, ce genre de choses.

Une fois devant la porte de Félicia, Aoki y glissa les clés en faisant entrée la jeune femme dans l'antre de la Black Cat, où de nombreux curieux venait voir le retour d'Aoki mais aussi de cette nouvelle déjà venue ici Et au milieu de tout ses chats, il y avait Rex, son berger allemand. Venir habiter ici voulait aussi dire que Rex et Kumaneko viendraient aussi, pas question de les abandonner.

« Installe-toi, je vais voir ce que fait Félicia. »

Ce fut aussi une excuse pour se changer car la dernière fois, elles n'avaient pas fait quelque chose, leur montrer une lingerie aussi sexy que celle qu'Aoki lui avait offert, cette même lingerie qui était aussi ici. C'était une soirée pyjama alors elle lui avait garder le sien en attendant la soirée lingerie. Elle la trouva dans la chambre, prête à venir les rejoindra mais Aoki la bloquais d'abord avec un baiser de retour, venant lui donner un petit conseil avant.

« Je vais me mettre plus à l'aise, tu devrais en faire de même, non ? »

Aoki comptait bien opter pour une petite lingerie (http://static.hitek.fr/img/actualite/2017/04/07/w_disney-princess-lingerie-line-yandi-21.jpg) de la même collection que celle offerte à sa petite protégée, un modèle qui plaisait bien à Félicia puisque l'arrière était équipé d'un petit trou, idéal pour se montrer érotique et sensuelle face à sa nouvelle queue. Depuis son opération, Aoki pensait à des choses aussi bandante que sexy ! Ceci en faisait partie.

« Je vais aller la chercher, je fais vite. »

Déambulant dans le couloir, elle retourna au salon, dans sa petite tenue des plus ravissante, faisant signe à Doutzen de se rapprocher, elle l'embrassa du bout des lèvres, le jeu n'avait pas encore commencer.

« Je t'ai préparé de quoi te changer dans la salle de bain, tu nous rejoins dans la chambre, d'accord ? »

Le temps qu'elle aille se changer, elle retourna voir sa petite amie, se blottissait dans ses bras en l'embrassant langoureusement, caressant son dos avec ses mains.

« J'ai passé un accord avec Reto, une fois par mois, j'irais dormir chez eux, pour dormir avec Doutzen, en échange, il ne me pose pas de soucis pour avoir Doutzen, pouvant ainsi la faire évoluer dans le métier. On en reparlera plus en détail demain. J'espère que ça te dérange pas ? Autant que j'y aille qu'elle dorme ici ce soir... »

Pour ce qui était du cas Reto, elle se montrait prudente, même si elle se doutait bien que la venue de Doutzen ici ne dérangerait pas Felicia mais bon, il ne faut pas oublier que Félicia était celle qui dressait Aoki comme un chaton, elle courbait facilement l'échine devant elle.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 25 octobre 2017, 07:55:47
En parlant d’aller chez elle, Doutzen n’avait pas forcément entendu de le faire le soir même, mais l’idée sembla tellement plaire à Aoki qu’elle l’interpréta aussi. Et Reto, en signe de bonne volonté, laissa la chose se faire. Doutzen grimpa donc avec Aoki, et les deux retournèrent dans le centre-ville. Doutzen était légèrement impatiente, et très excitée. Elle n’avait encore jamais eu l’occasion d’aller chez Kou-senseï, et on pouvait donc comprendre son excitation, surtout qu’elle allait aussi rencontrer Hardy-senseï. Doutzen avait d’ailleurs pu comprendre que sa prof’ de sport portait à l’école un patronyme différent (Félicity Harmon) de son vrai nom (Félicia Hardy). Difficile à expliquer, mais Kou-senseï ne lui en avait pas dit plus. Elle lui indiqua en route qu’elles allaient faire une « soirée pyjama », et, en chemin, elle reçut une réponse favorable de Félicia. Doutzen en rougit.

*Je vais rencontrer une autre esclave...*

Pour Doutzen, il était impensable que sa Maîtresse puisse être la soumise de Hardy-san. Et pourtant... Autant dire que la jeune blonde allait être bien surprise quand elle verrait la réalité de la situation ! Le duo rejoignit l’un des grands immeubles du centre-ville, ces gratte-ciel qui avaient signé le renouveau économique de la ville après la crise économique du début des années 1990’s. Les appartements ici étaient plutôt cossus, et la voiture fila dans le parking souterrain, se garant près de l’ascenseur. Doutzen suivit Aoki dans un ascenseur, qui les emmena au dernier étage, comme une preuve supplémentaire de la fortune de cette Hardy-san.

*Comment une prof’ peut, avec son salaire, vivre dans un appartement pareil ?*

Kou-san avait les clefs de l’appartement, un vaste penthouse, et, quand les deux femmes entrèrent, Doutzen ne tarda pas à être surprise par la flopée de chats qui se trouvaient là. Kou-san lui demanda d’attendre dans le salon. Grâce à des détecteurs de mouvement, les lumières s’allumaient à son passage.

« D’accord... C’est sympa ici, en tout cas ! »

C’est le moins qu’on pouvait dire. Ce penthouse ressemblait aux endroits habituels où Doutzen accomplissait ses prestations. Regardant nerveusement autour d’elle, elle vit plusieurs portraits de New York City, notamment Times Square... Et un chat bondit soudain sur ses genoux, l’arrachant à ses pensées. Doutzen sourit, et caressa la brave bête.

« Coucou, toi ! »

Il y avait vraiment beaucoup de chats. Doutzen avait déjà vu ça, dans une maison détenue par une vieille quinquagénaire. L’une des amantes les plus âgées de Doutz’, une femme musclée qui, sous son kimono, portait une tenue serrée en cuir, et un gode énorme, avec lequel elle l’avait pénétré longuement. La jeune femme vit alors Aoki revenir... Et rougit en voyant sa magnifique tenue jaune, lui rappelant la tenue bleue électrique qu’elle avait offerte à Doutzen récemment.

« Oh... Cette tenue vous va très bien, Maîtresse ! » s’exclama Doutzen.

Autant dire que le ton de cette « soirée pyjama » était donné ! Kou-san expliqua à Doutzen qu’elle allait devoir se changer dans, la salle de bains, lui indiquant ensuite où aller. Doutzen, un peu nerveuse, hocha la tête. Pour une fois, elle couchait avec une inconnue, sans que ce ne soit voulu par Reto. De fait, une certaine chaleur commençait à progressivement se former entre ses cuisses, mais elle y alla.

De son côté, Aoki rejoignit la chambre, où Félicia avait, elle aussi, opté pour un « pyjama » très particulier : l’ensemble de la Méchante Reine (http://img110.xooimage.com/files/d/e/8/w_disney-princess...yandi-18-534e7f1.jpg) ! Aoki avait fait découvrir à Doutzen une collection très spéciale, inspirée des personnages de Disney, et que Félicia avait acheté intégralement. Les deux femmes s’embrassèrent très rapidement, dans cette pièce sans fenêtre, éclairée par des bougies, permettant de mettre en valeur les différents instruments sexuels situés à l’intérieur : croix de Saint-André, sangles, chevalet... La « chambre » d’Aoki était le donjon de Félicia, sa salle des plaisirs interdits, comprenant un grand lit rouge en forme de cœur, avec des sangles et des encoches tout autour, pour pouvoir attacher plus facilement ses partenaires.

« Hmmm... ! »

Une fois le baiser terminé, Aoki parla à Félicia de son accord avec Reto, ce qui fit sourire l’intéressée.

« Je pense que tu as très bien fait, ma chérie. Mais oui, je te donnerai aussi plus d’informations. Sache juste que ça fait des semaines, si ce n’est des mois, que le S.H.I.E.L.D. essaie d’obtenir des informations sur le manoir Kroes, ou encore de s’y infiltrer. Grâce à Doutzen, tu disposes d’une entrée unique... »

Mais Félicia n’allait pas pouvoir développer, car on toqua à la porte de sa chambre, puis cette dernière s’ouvrit. Doutzen entra alors, dans une séduisante tenue bleue (http://img110.xooimage.com/files/5/5/2/w_disney-princess...yandi-22-534e7f3.jpg), qui ressemblait beaucoup à celle d’Aoki. Un large sourire se dessina sur les lèvres de Félicia.

« Euh... Bon-Bonsoir, Ma... Madame...
 -  Maîtresse, précisa rapidement Félicia. Bonsoir, Maîtresse, ma petite Doutzen. Ici, je ne suis pas ta prof’ de sport, mais... Ta Maîtresse. »

Doutzen rougit en se mordillant les lèvres, regardant brièvement Aoki, sans trop comprendre pourquoi c’était Hardy-senseï qui portait une tenue si dominatrice, et Aoki... Une tenue bien plus légère !

« Aoki-chérie... Je crois que ta petite Doutzen ne s’imaginait pas à ce tableau. Mais oui, ma Doutz’-chérie, Aoki a beau être ta Maîtresse, ici,  nous sommes chez moi ! Et j’ai hâte de voir si Aoki a été une bonne Maîtresse avec toi, et a fait de toi une bonne soumise... Tu penses l’avoir bien éduqué, Aoki ? Montre-moi ça... »

Félicia se faisait très rapidement à son rôle de Maîtresse, comme toujours !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le vendredi 10 novembre 2017, 19:36:40
Aoki avait amener Doutzen chez elle – bien que ce soit surtout chez Felicia, maintenant en couple, ça ne comptait pas trop ce genre de précision – elle lui laissait donc l'occasion de se préparer et se changer pendant qu'elle allait revoir sa copine, pas étonnée de la voir dans des dessous si sombre. Elle aurait aimé la voir dans une teinte plus clair mais Félicia avait un petit faible pour les dessous noirs déjà, donc ce n'était pas étonnant de la voir dedans. D'autant plus qu'elle était la maîtresse de cette maison, dans le couple et même dans le trio qui se formait. Près d'elle, elle écoutait Félicia avant de voir Doutzen arrivée, sa timidité en avant, sa beauté était bien présente dans cette petite tenue. La belle se fit rapidement avoir et découvrit que ce n'était pas sa maîtresse la maîtresse ici mais son prof de sport. La pauvre en perdait ses mots. Aoki se retourna donc vers elle en caressant doucement son visage. Il était temps de voir si elle était une bonne esclave avec les autres.

« N'ai pas peur ma Doutz-chan, qu'est-ce que je t'ai apprise pour saluer ta maîtresse ? »

Il y avait bien des façons de faire à vrai dire mais la plus « polie » dans le lot était bien sûr de se tenir à quatre pattes et de baiser les pieds de sa maîtresse en guise de salutation. Cependant, Aoki brandissait son doigt devant elle comme pour lui interdire de bouger. Elle allait chercher dans un tiroir le détail de soumission qui manquait à la belle petite esclave, un collier et une laisse. Ainsi, elle accrocha cela autour de son cou avant d'enfin lui laisser l'occasion de se mettre à quatre pattes pour la faire avancer vers sa copine. Aoki gardait le silence observant Doutzen effectuer cette salutation dans les règles de l'art, venant de son côté chercher les lèvres de Félicia, un doux petit baiser, des félicitations, tout ce qui état bon à prendre pour son image.

« Alors, elle te plaît ? Elle est belle, n'est-ce pas ? Et encore, tu n'as pas tout vue ! »

La promesse que cette petite était pleine de surprises ! Elle laissait la demoiselle continuer encore un peu avant les pieds de Félicia avant de passer à la suite. Aoki s'écartait doucement de sa copine pour la suite car lécher des pieds, c'est amusant cinq minutes, il y avait bien mieux à faire après tout.

« Doutz-chan, relève toi ma belle. Je veux que tu te tiennes droite devant Félicia, ensuite, tu vas lui montrer quelle belle petite salope tu es en lui racontant ce que tu as préféré dans nos petites leçons jusque-là. Mais attention ! Tu vas la regarder dans les yeux et uniquement dans les yeux ! Moi, je vais caresser ton délicieux corps et si jamais tu ne regardes pas Félicia dans les yeux, elle me fera signe et j'aurais droit de te faire mal, d'accord ? »

Pour lui montrer ce petit jeu, elle se colla dans son dos, caressant son corps comme promis mais bien entendus, ses mains pouvaient aller autant dans sa petite culotte que son soutien-gorge et si son regard observe autre chose que le regard sensuel, magnifique et strict de Félicia, elle pourrait lui pincer un téton, son clitoris ou pourquoi pas lui mordre doucement le cou ? Il y avait tant à faire avec ce délicieux corps. Mais Aoki n'était pas méchante, pas encore du moins. Pour preuve, elle lui baisa le cou, puis la joue avant de la laisser commencer.

« Allez ma belle, rend-moi fière. »

Sa poitrine s'écrasait dans son dos, Aoki observait sa copine, prête à voir un petit signe de sa part pour punir sa petite esclave. Que le jeu commence !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le dimanche 12 novembre 2017, 13:20:03
Doutzen ne s’attendait vraiment pas à se retrouver dans une telle situation ! Elle avait deux Maîtresses. Toutefois, elle s’attendait vraiment à ce que ce soit Kou-san qui soit l’élément dominant dans le couple avec Hardy-senseï, pas l’inverse. Or, vu leurs tenues, et vu le regard d’Hardy-senseï, c’était assurément elle qui était la Maîtresse de Kou-san. Doutzen, une fois la surprise passée, se mit donc à genoux, et embrassa les pieds de la femme devant elle, léchant ses collants, glissant ses lèvres sur les orteils, mordillant ensuite le collant, tirant délicatement dessus, avant de continuer à les lécher.

« Hmmmm… Mmmmhmmm… Maî-Maîtresse… »

La jeune femme allait très rapidement se faire à l’idée d’avoir plusieurs Maîtresses. En réalité, cette idée l’excitait énormément ! Elle était très curieuse d’en savoir plus sur le couple entre ses Maîtresses, comment les choses se passaient entre elles… Par exemple, est-ce qu’elles avaient l’habitude d’amener des filles chez elles ? C’était assurément un couple très libéral, ce qui n’était pas pour la déranger. Elle soupira ensuite quand Kou-san lui donna ses nouvelles instructions, tout en se glissant dans son dos. La jeune Doutz’ frémit à ce contact très agréable, se mordillant les lèvres. Elle devait raconter à Maîtresse Hardy tout ce qu’elle aimait faire avec Kou-san, avec cette obligation de ne jamais regarder autre chose que ses yeux… Sous peine d’être punie.

Doutzen déglutit devant ce défi,q ui était vraiment typique de Kou-san, et frémit en la sentant ensuite s’attaquer à son cou, avant que ses mains ne partent à l’assaut de son corps.

« Haaaa…
 -  Alors ? Si tu ne dis rien, j’ordonne à Aoki de te punir, petite coquine… »

Elle soupira donc, et regarda les yeux d’Hardy-senseï, tout en sentant l’une des mains de Kou-san palper son sein gauche, l’autre se glissant sous sa culotte pour la masturber. Elle gémit encore, mais s’efforça de répondre :

« Je… J’aime… J’aime bien quand ma Maîtresse… Me prend contre le mur. Haaaa… Quand elle me sodomise bien fort, m’insulte, avec sa combinaison en latex, hmmm… Haaaaannn…
 -  En latex, hein ? Tu es une fétichiste, Doutzen ?
 -  Hnnnn… O-Ouiiii… Haaaaaa… Je… J’aime ça… Lécher du… Hmmmm… »

Le doigt d’Aoki titillait son bouton de plaisir, et la femme s’amusait à frotter ses seins contre le dos de la jeune Doutzen. Elle lécha alors son cou, remontant jusqu’à sa joue, et pinça également le téton. Doutzen gémit encore en penchant la tête, louchant sur les seins d’Hardy-senseï… Ce que cette dernière ne manqua pas de relever.

« Punis-là, Aoki. »

Et, rapidement, Doutzen sentit des dents s’imprimer dans sa chair, et les doigts pincèrent plus fort son téton, la faisant gémir et couiner.

« Alors… ? D’autres anecdotes ? Qu’est-ce qu’Aoki fait, à part t’enculer ?
 -  Haaaa… Elle… Hmmmm… Elle aime bien que je… Haaaaa… Que je lui lèche le minou sous le bureau, quand elle a des entretiens, et… Hmmmm… Pa-Parfois, elle… Haaann… »

Doutzen se pinça les lèvres, n’osant pas le dire… Ce qui amena Aoki à devoir la punir encore.

« Elle… Elle me fait boire… Hnn… Son… Haaaaaaaaann… Son u… Hnnnn… Urine… !!
 -  Oh… Aoki est une incorrigible perverse, alors… »

La jeune lycéenne ne fit que rougir confusément, tout en étant furieusement excitée…
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le dimanche 03 décembre 2017, 18:55:42
Maintenant chez elles, Doutzen n'était pas que la chose d'Aoki mais aussi de Félicia. Elle avait deux maîtresses et devait aussi suivre leur instruction. Sa maîtresse commença doucement, elle va se faire tripoter par cette dernière pendant qu'elle raconte des petites choses qu'elle aime faire avec elle durant leurs ébats, le tout, en ne regardant que les yeux de son professeur et rien d'autre. Un trop long silence serait aussi puni mais par chance, elle commença à raconter une chose, le fait qu'elle aimait se faire prendre par Doutzen contre le mur. Cette dernière est un chaton en compagnie de Félicia, il faut bien que son côté dominant s'exprime autrement. Sa main palpait sa poitrine, l'autre caressa sa petite cave humide, laissant la douceur de ses lèvres baiser son cou.

Elle n'oubliait pas de mentionner une chose qu'Aoki lui avait peut-être transmis, sa passion du latex ! Elle comptait bien voir Doutzen aimer s'habiller en latex quand elle sera dominante mais il ne faut pas sauter les étapes. Mais aussi docile soit cette petite, elle était aussi perverse vu qu'elle devait la punir ! Aoki pinça donc son mamelon sans ménagement pendant qu'elle la mordillait. Elle lui faisait grâce de ne pas maltraiter son minou pour le moment. Continuant à parler, elle évoquait le fait d'aimer brouter son minou sous le bureau et même parfois de se faire servir un liquide particulier, le tout en se faisant punir car elle ne disait rien.

« Quoi ? C'est pour ça que tu m'aimes, non ? Quant à toi, moi je préfère juste te pisser dessus, parfois tu le mérites vraiment. »

Mais Aoki venait baiser sa joue doucement en retirant ses mains en s'écartant d'elle.

« Et c'est aussi pour ça que je t'adore, ma chérie. »

Elle retourna vers Félicia, souriante en se tenant à ses côtés, tout en observant Doutzen, ravissante dans cette petite tenue, surtout que cela avait allumé la mèche, tant du plaisir que l'excitation.

« Bien, Doutz-chan, on va commencer mais avant ça, pour être gentilles, on va t'autoriser une question nous concernant et on va te répondre. Mais tâche de poser une bonne question ! Sinon, je ne serais pas la seule à te pisser dessus cette fois ! Après, on va commencer notre petite soirée, ensemble. »

Quand Aoki disait de lui poser une question, c'était une question amusante à répondre, pas un truc bidon du genre, depuis combien de temps elles vivent ensemble, non, une question pleine d'audace, excitante ! Qui sait ce que Doutzen voudrait savoir sur ses deux-là ? Aoki en profitait pour se frotter contre Félicia, toutes les deux observaient Doutzen mais Aoki avait le plaisir d'être entre les bras de sa petite amie au moins. À trop exciter Félicia, son petit cul risquait d'attirer sa queue ? Mais si ce n'est pas le cas, elle aura aussi excité sa moitié, chacun son tour.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le dimanche 03 décembre 2017, 21:20:45
Doutzen avait du mal à croire à ce qui lui arrivait. Tout cela était-il bien réel ? Elle était entourée de deux redoutables femmes, Aoki, sa Maîtresse, et Hardy-senseï, une autre Maîtresse... Et, quand Félicia ordonna à Aoki de la punir, celle-ci obtempéra, mordillant sa chair, et pinça durement l’un de ses tétons. Doutzen se mit à couiner et à gémir, remuant sur place. Elle ne savait pas ce qui allait se passer ce soir, mais Doutzen était d’ores et déjà tellement excitée qu’elle était sûre que cette soirée finirait très aisément dans son Top 3 ! Aoki l’embrassa ensuite doucement sur la joue, après l’aveu de Doutzen sur l’urine, ce qui ne manqua pas de faire sourire Félicia.

*C’est pas possible, c’est forcément une blague, Kou-san ne peut pas être sa soumise, ça voudrait dire que...*

La jeune Doutzen avait du mal à se dire qu’il puisse y avoir une femme encore plus perverse que Kou-san ! Elle ne savait même pas si elle devait en être terrifiée, ou, au contraire, excitée. En tout cas, tout ça ne la laissait vraiment pas de marbre. Aoki s’écarta alors de son corps, et alla se lover contre Félicia, qui posa une main dans le creux de son dos, avant de la descendre encore, serrant l’une de ses fesses. Avant de passer aux choses sérieuses, Aoki ordonna à Doutzen de leur poser une question pertinente.

Doutzen déglutit lentement, et vit ensuite les deux femmes s’embrasser. Aucun doute possible sur le fait que Félicia était la dominante du couple, la tenue le laissait penser. Elle devait donc poser une question... Ce qui était d’autant plus difficile qu’elle était déjà très excitée ! Tout ce à quoi elle pensait vraiment, en ce moment, c’était à se faire dominer par ces deux femmes pendant toute la nuit !

« Tu lui as vraiment pissé dessus ? Tu es incorrigible, ma chérie... »

Félicia était aussi une amatrice des douches dorées, mais elle ne le faisait pas tant que ça. Doutzen déglutit alors, et posa finalement une question :

« Est-ce que... Est-ce que je suis la première fille que vous invitez chez vous... Maîtresses ? »

Félicia la regarda pendant quelques secondes, et sourit alors.

« Aoki s’est déjà occupée d’autres élèves, et pareil pour moi... Mais, pour te répondre clairement, oui, ma belle, tu es la première qui vas avoir l’honneur d’être notre esclave commune. »

Doutzen rougit légèrement, se sentant excitée et... Curieusement, un peu fière d’apprendre ça.

« Alors, qu’est-ce que vous allez me faire... ?
 -  Tût-tût ! Tu as déjà posé ta question, Doutzen ! Je crois que toi aussi, tu as besoin d’une correction ! Montre-moi comment tu la dresses, Aoki... Je veux voir comment est ma petite chienne quand elle montre les crocs, et qu’elle dompte les gazelles rebelles... »

La jeune femme rougit encore, et se mordilla les lèvres, consciente que les choses sérieuses allaient bientôt commencer...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 11 décembre 2017, 12:49:36
Difficile à croire et pourtant, Aoki n'était pas la maîtresse dans son couple, elle était la soumise, ce qui prouve combien la belle Black Cat peut être forte et autoritaire, ce qui voulait dire que Doutzen allait être très demandé ce soir ! Elle a intérêt à être une fille sage car les punitions risquent de tomber très souvent sinon ! Aoki a prouvé à bien des reprises à Doutzen combien elle était exigeante et inventive quand il s'agissait de la punir et les quelques golden shower qu'elle a eut ont été pour lui prouver qu'elle pouvait recommencer quand l'envie lui prenait. La première fois à été pour la punir et renouvelant son catalogue de menace, lui montrant qu'elle ne blaguait pas. La seconde fut pour lui prouver que ce ne fut pas uniquement pour tenir sa promesse et la troisième fois fut par plaisir. Mais bon, elle avait évidemment offert une douche après ça, pas question de la laisser rentrer chez elle en sentant la pisse. Quoi qu'il en soit, la menace planait pour le moment mais elle restait contre Félicia en attendant que son élève pose sa fameuse question. Elle attendait quelque chose de bien trouvé et d'amusant à répondre. Qu'est-ce qu'elles n'ont jamais fait ? Quelle a été la pire punition d'Aoki par Félicia ? Y avait-il d'autres femmes dans leur couple ou alors elles ne prenaient que des filles comme elle entre elles ? Mais ce ne fut... que ça ?

Le regard d'Aoki montrait bien une certaine déception, ce qui voulait dire que Doutzen aura droit à sa golden shower mais pas maintenant. L'idée de la laisser prendre une douche et donc faire une pause la dérangeait, et l'idée de s'en mettre partout et de coller aussi. Donc soit avant de se coucher, soit demain. Mais elle y aura le droit ! Mais Félicia avait dit clairement ce qu'elle voulait entendre !

« Tu as donc décider de me faire honte lorsque je t'invite chez nous, Doutzen ? Tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même ma chère. Allez, tourne toi et tend ton cul ! »

Elle la laissait se pencher sur le lit en exhibant ses jolies fesses qu'Aoki se fit une joie de faire claquer. Elle souriait à Félicia, voyant bien qu'elle n'était pas la seule à qui le spectacle plaisait. Elle tira quelque peu sur sa culotte pour la faire remonter et mieux faire ressortir la peau de ses tendres joues. Les doigts bien écartés, la paume bien ouverte, Aoki se fit un plaisir de laisser son emprunte sur son cul et à plusieurs reprises.

« Vilaine ! Doutzen ! Pourquoi ! Tu! Me ! Fait ! Honte ?! »

La dernière fessée fut forte, un plaisir pour les oreilles et pour Doutzen. N'hésitant pas à prouver à sa petite amie combien elle était sérieuse, Elle venait tirer les cheveux de son élève pour la redresser – mais pas trop fort, elle ne devait pas abîmé son jolie minois après tout. 

« Tu sais ce que dit le proverbe ? Tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, alors c'est ce que tu vas faire mais bien plus que sept fois. »

Elle la poussa sur le lit avant de grimper dessus avant de se tourner vers Félicia et se mettre à genoux, approchant ses fesses près du visage de sa petite russe préféré. Légèrement penchée en avant, ses fesses venaient bloquer sa bouche, lui laissant le nez pour respirer naturellement. Elle n'allait pas quitter sa place si facilement.

« Maintenant, ma petite pute, tu vas t'appliquer si tu veux pouvoir respirer de la bouche de nouveau. Quant à nous, on va en profiter un peu, non ? »

Aoki lançait un sourire à Félicia en se dandinant sur le corps de la jeune femme. Ce qu'elle ignorait c'est le message qu'elle envoyait à Féliciait sans que Doutzen ne sache ce qui se passait. Car Aoki fit comprendre avec ses mains de la pénétrer avec sa queue. Une chose que Félicia n'allait pas pouvoir refuser bien longtemps. Un corps bloqué, dans une charmante lingerie, elle n'avait qu'à soulever son corps un peu pour la prendre comme il faut. Mais bien entendu, Aoki voulait sa part du gâteau et mimi une fellation en gonflant sa joue. Pas question que Doutzen est droit uniquement à sa queue, Aoki aussi la désirait.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le dimanche 17 décembre 2017, 21:23:11
Doutzen ne savait pas si elle devait être excitée ou terrorisée. Sa Maîtresse avait une autre Maîtresse... Et Dieu sait que Kou-san était une Maîtresse redoutable ! Elle la regardait en rougissant, et, quand Kou-san s’énerva, Doutzen se mordilla les lèvres, très excitée. Aoki avait pu se retrouver avec Doutzen, retrouver la femme autoritaire qu’elle était avant de tomber sur Félicia. Et Félicia, qui assistait à la scène, s’en pinça les lèvres de plaisir, bras croisés. Oh, bien sûr, elle comptait s’occuper de Doutzen, mais elle avait aussi très envie de voir sa petite lapine prendre un rôle plus autoritaire. Aoki était très perverse. Félicia se rappelait encore des fois où, quand elle rentrait tard après avoir cambriolé telle ou telle personne, elle voyait Aoki l’attendre dans le lit, soit portant une combinaison moulante de chatte, soit une tenue rose de bunny girl, et suppliant sa Maîtresse de la baiser bien fort. Ensemble, elles avaient fait quantité de choses, allant au bout de leur perversion. Félicia la baisait parfois pendant des heures, et urinait souvent en elle. Entre elles, le sexe était aussi beau que sale, aussi romantique que brutal, un ensemble de paradoxes... Et c’était maintenant Doutzen qui allait y avoir droit.

La jeune femme se retrouva sur le lit, et ne tarda pas à hurler quand Maîtresse vint à la gifler à plusieurs reprises. Elle tapa fermement son cul, faisant couiner Doutzen, qui comprit qu’elle allait passer une nuit particulièrement intensive... Ce qui n’était évidemment pas pour la déranger. Elle était d’ailleurs extrêmement heureuse de continuer à se rapprocher de Kou-san, comme Reto l’avait expliqué. Aoki l’insultait donc, lui reprochant sa question idiote.

« Haaaa... Haaaa... Par-Pardonnez-moi, Maîtresse, pitié, ne me frappez plus ! Vous me faites mal, Maîtresse, haaaa... ! Je... Je saurais me rattraper, Maî-Hnnn... Maîtresse ! »

Évidemment, quand elle suppliait Aoki d’arrêter de la frapper, elle voulait en réalité que la femme poursuivre. Mais le sadomasochisme, c’était un véritable jeu, où on interprétait des rôles, et où on laissait parler tous les paradoxes de l’être humain. Aoki la gifla encore, puis la retourna. Doutzen, très excitée, se demanda bien ce qu’elle allait lui faire subir. Entre ses mains, la jeune femme avait déjà subi beaucoup. Le fouet, les morsures, les griffures, les douches dorées... Elle se rappelait de la fois où Aoki l’avait recouvert d’une combinaison moulante en latex très serrée, l’empêchant de voir, et l’avait forcé à la sucer pendant toute la soirée sous le bureau, pendant que Kou-san discutait avec des parents des performances de leur bambin. Kou-san avait même uriné en elle.

Là, elle sentit Aoki s’asseoir sur elle, écrasant ses fesses sur son corps, et Doutzen remua faiblement ses jambes, avant d’obéir.

« Hmmmmm... Gnnnnn... »

Sa langue fila dans le fondement de la femme, léchant sa croupe. Elle retrouva ainsi sa petite porte rose, et la titilla, tout en posant ses mains sur les cuisses de sa Maîtresse en soutien. Un anulingus... Autant dire que ça l’excitait furieusement ! Elle s’attelait donc à la tâche, et sentit alors des mains griffues caresser ses jambes... Puis quelque chose rentra violemment dans sa chatte, une grosse queue, énorme et bien tendue !

« HMMMMMMMMMMMMMMMM... !! »

Félicia venait de la pénétrer avec sa queue, soulevant les jambes de Doutzen. Elle avait bien compris qu’Aoki voulait une fellation, mais... Félicia ne pouvait pas se dédoubler. Néanmoins, elle disposait de jouets, et incita Aoki à se pencher, puis lui mit autour du visage un collier très spécial, avec un gode à l’intérieur (http://img110.xooimage.com/files/0/0/7/7-51275e7.jpg).

« Voilà, ma chérie... Comme ça, tu vas pouvoir soulager ta langue ! »

Félicia attacha le collier à l’arrière de la tête d’Aoki, et enclencha la fonction vibrante. Elle avait ainsi un gode enfoncé dans sa bouche, s’enfonçant bien profondément en elle, et qui se mit à vibrer et à remuer.

« Allez, mes salopes, ton esclave a vraiment des lèvres intimes excellentes ! Elle doit souvent se faire baiser par toi, hein ? »

Bien sûr, impossible pour Aoki de répondre, mais il fallait bien que Félicia leur rappelle que c’était elle, la grande Maîtresse !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le vendredi 29 décembre 2017, 15:52:42
Ce n'était là que le début d'une très longue soirée pour Doutzen, elle avait connu Aoki en douce et violente maîtresse mais elle ne l'avait pas connu soumise ou toujours dominante, mais pour plaire à sa petite amie. Comme un chien, elle tentait de faire plaisir à Felicia en lui montrant des choses qu'elles n'avaient pas vraiment l'occasion de faire ensemble. Quand Aoki se retrouvait au milieu des amies de Felicia, elle ne sortait pas vraiment de son rôle habituelle car Harley et Ivy étaient deux femmes fortes qui, bien que moins sévère que la Black Cat, pouvaient facilement dresser Aoki, par la force brute ou celle des plantes. Il en était de même face à ses autres supers amies ou juste agent du SHIELD, Aoki restait encore une novice dans cette organisation et face à des femmes qui savaient maîtriser des gens avec deux doigts comme la Blak Widow, Aoki n'en menait pas large. C'était à croire qu'Aoki avait un faible pour les noms de code en Black ?

Même quand elle tentait de plaire à Felicia en devenant la White Cat, elle ne pouvait résister à la puissante Black Car, ce qui était d'autre plus vrai maintenant qu'elle avait un membre qui poussait à volonté entre ses jambes. Mais revenons en à la petite Doutzen, punie d'avoir posé une question ridicule. Aoki se posa donc sur son visage en lui laissant son fondement à lécher. Qu'elle se rassure, Aoki avait un faible pour les golden shower mais elle n'ira pas plus loin dans le domaine scatophile, elle avait des limites quand même entre excitant et dégotant. Assise sur son élève, elle s'excitait et venait partager cela avec Felicia chez qui la queue venait déjà pointer le bout de son nez pour se faufiler entre les jambes de Doutzen. Elle sentait le plaisir et la surprise entre ses fesses et ce serait mentir de dire que ce n'était pas agréable. Aoki avait mimé des choses pour juste inciter Felicia en venir la pénétrer, pas forcément la sucer même si elle n'aurait pas été contre.

C'était aussi ça leur amour car la Black Cat sortie un nouveau jouet qu'Aoki n'avait jamais vu ici. Pourquoi se contenter de ça quand elle pouvait sucer une vraie grosse queue ? Mais elle enfila le jouet quand même, un peu surprise, surtout quand cela vibrait. Mais voir sa maîtresse se faire plaisir avec Doutzen en la baisant, venant même la féliciter – plus ou moins – en complimentant le minou de son élève. Aoki aurait gloussé si possible mais elle remuait la tête positivement en gémissant, se penchant sur elle retirer ses fesses du visage de Doutzen. Elle venait blottir son visage entre les seins de sa petite amie, ne pouvant ni lécher, ni mordre, elle pressait son sein avec une main, savourant le moelleux du second sein avec sa tête. Aoki était comme Doutzen, aussi vilaine que gentille en esclave et Félicia avait le parfait mélange sous les yeux. Sa petite chose à elle, et la maîtresse de Doutzen. Autant la petite langue de Doutzen lui faisait du bien sous la ceinture, autant de simples caresses ou même uniquement son regard lui suffisait au-dessus de la ceinture.

« Mmmmhhhhh ! »


Elle pouvait jouer la petite esclave, Doutzen ne voyait que son cul sur son visage, au mieux le bas de son dos, pas de quoi paraître faible devant son esclave. Cette soirée allait rester graver dans la mémoire de Doutzen, à ne pas en douter. Mais même elles vont se faire une joie de prendre leur pied et se faire de bons souvenirs.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 01 janvier 2018, 03:31:55
Félicia orchestrait cette séance à trois. Jadis, à New York, elle aurait pu être surprise de tomber sur une lycéenne si dévergondée, mais, depuis que Félicia travaillait à Mishima, elle avait compris que les élèves de ce lycée étaient de redoutables pervers sexuels. Doutzen en était une digne représentante, et, après tout ce qu’Aoki lui avait dit sur elle, Félicia n’avait clairement aucune gêne à agir ainsi. Et il en était de même pour Doutzen, absolument ravie de coucher avec ses deux femmes. Elle ne sut pas trop ce qui se passait à hauteur du visage d’Aoki, mais sentit les fesses de cette dernière s’écraser davantage sur son visage, l’étouffant presque. Les hurlements de Doutzen étaient étouffés par les moelleuses fesses de sa Maîtresse, tandis que Félicia la pénétrait vigoureusement. Quelle énergie, quelle force ! Doutzen n’avait pas Hardy-sama comme prof’ de sport, mais les camarades lui en avaient parlé, décrivant une femme énergique et sportive. Visiblement, cette bonne forme trouvait une utilité très pratique en matière sexuelle, où Félicia labourait ses amantes avec énergie. Une grosse queue s’enfonçait en elle, et Doutzen ne pouvait que gémir longuement à ce contact.

« Hmmmm… !! »

Son corps se soulevait et s’abaissait au gré des coups de reins de la femme. Les doigts de Félicia se crispaient sur ses cuisses, griffant légèrement sa peau. Doutzen sentit alors Kou-san se pencher sur elle, frottant son visage sur ses seins, son ventre, ne la léchant étrangement pas. Là encore, Doutzen ignorait que Kou-san en était incapable. Félicia, de son côté, sourit malicieusement, et releva sa main, venant caresser la joue de son amante, avant de glisser son pouce sur ses lèvres, ou, plutôt, sur le strapon noir qui s’y trouvait.

En souriant malicieusement, Félicia se pencha vers elle, et l’embrassa là, sur ce bandeau noir.

« Je… Hmmm… Je pense à t’enfiler ça depuis plusieurs jours, haaaa… Tu-Tu aimes, hmmm… ? »

Félicia sourit à nouveau, et continua à prendre Doutzen, revenant se concentrer sur elle. Oh, ses coups de reins ! Prise par elle, Doutzen se dandinait sur place. Coincée entre Kou-san et Hardy-sama, elle était une véritable poupée de chair, qui se laissait joyeusement et docilement faire, adorant sentir les belles femmes jouer sur son corps, la narguer, la titiller, l’humilier… Oh oui, comme c’était bon ! Qui aurait cru que Doutz’ puisse à ce point se complaire dans ce genre d’activités ? C’était sale, dégradant, humiliant, mais… Eh bien, c’était terriblement excitant !

La Chatte Noire continuait à la bourrer, et Doutzen, elle, avait toujours le visage niché dans le cul de Kou-san. L’image était particulièrement fameuse, et elle mouillait énormément, très excitée. Et, naturellement, ce qui devait arriver arriva. Au bout de plusieurs minutes, Doutzen, après avoir déjà eu un premier orgasme, se relâcha encore, et sentit Félicia s’abandonner en elle, se déversant généreusement.

« Hmmm… Haaaaa… Putain, c’est bon ! »

Félicia se relâcha lentement, et retira sa queue du corps de la femme, en souriant malicieusement.

« Bon… Alors… Que vais-je faire de vous deux, mes salopes ? »

La Chatte Noire se tapotait les lèvres, pendant que Doutzen, reprenant ses esprits, vit le curieux objet bloquant les lèvres d’Aoki.

« Maî-Maîtresse… ?
 -  Tu ne trouves pas qu’Aoki est bien comme ça, Doutzen ? »

Doutzen rougit, peinant encore à croire que sa Maîtresse puisse être ainsi humiliée par cette femme. Félicia retira néanmoins le gode, et le jeta au sol. Il était trempé de la salive de la femme, puis la Chatte Noire s’assit sur les fesses.

« Allez, mes petites chattes, arrêtez de dormir, et venez vous attaquer à ma queue ! Usez vos belles langues dessus, en piste ! »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 16 janvier 2018, 13:20:22
Pauvre Aoki, elle était prise entre joie et frustration. La joie de sentir une délicieuse langue entre ses fesses, de voir sa belle Felicia se faire plaisir à baiser Doutzen qui prenait elle aussi son pied. Mais cette chose dans al bouche, elle préférait évidemment en avoir une vraie, et de sa petite amie, naturellement. Mais pour le moment sa queue était ailleurs et elle lui accordait que peu de regard. Bien entendue, elle la regardait, elle lui faisait face mais elle préférait être traitée comme un petit chaton en manque de tendresse mais la belle Black Cat lui accordait que quelques caresses jusqu'à ce qu'enfin, elle puisse se soulager en Doutzen. Aoki aimait ce visage ravie qu'elle montrait mais alors qu'elle venait s'asseoir en retirant son nouveau jouet, elle se fit une joie de respirer à pleine bouche, surtout, de voir cette belle queue encore humide en demi-molle.

Presque impatiente, Aoki se jetait dessus, venant prendre sa queue à deux mains pour enfoncer dans sa bouche, suçant cette délicieuse chose, un peu de la semence de Felicia au bout, et le petit goût de chatte de Doutzen. Exquis ! Aoki n'oubliait pas qui dominait ici et maintenant sa soif calmée, elle pouvait partager.

« N'espère pas te reposer maintenant, je t'ai fait subir bien plus fatiguant ! »

Peut-être rien a trois pour le moment mais Aoki savait se dépenser quand elle le voulait. Elle laissait la petite blonde se rapprocher pour goûter à sa queue, venant à son tour, donner de long coup de langue partant du bas pour remonter au haut. Mais se contenter de si peu serait bien ennuyant, même pour Felicia alors il était temps de passer au niveau au-dessus. Passant la main sur la joue de Doutzen, elle lui souriait avant de venir l'embrasser sans pour autant être gêné par la queue de Félicia. Leur bouche se fermait autour de son gland et dans leur baiser, son gland était caresser par deux langues à la fois. Les trois femmes y trouvaient leur compte comme ça. Mais après un petit instant, elle rompit le baiser, passant sa main dans les cheveux de Doutzen.

« Montre lui comme tu sais bien sucer. »

Aoki la laissait la sucer doucement, à son rythme mais elle n'oubliait pas d'y imposer sa petite touche en forçant sur la fin, lui faisant faire une gorge profonde. Elle y avait déjà eut droit avec Aoki, alors maintenant, place à Felicia. La maîtresse de Doutzen ne relâchait la pression que lorsqu'elle entendait les bruits de suçon s'intensifier, lui faisant recommencer quelques fois.

« Bien, mais il est temps de te montrer comment on fait ça bien. Regarde bien. »

Ce fut à son tour d'engloutir la queue, la faisant passer dans sa bouche puis dans sa gorge, doucement mais sûrement le long de sa gorge. Elle aussi faisait entendre les bruits de gorge, la bave coulant autant autour de ses lèvres que de sa queue. Mais après un exemple, elle fit une belle fellation rapide et énéregique car Doutzen avait eut la semence de Felicia, pas elle. Chacun son tour, non ? Gémissant en se montrant insistante sur cette queue, Aoki montrait que même une maîtresse pouvait faire de bonnes pipes. Car si elle dressait Doutzen, elle restait la chose de Felicia. Quand elle retira sa bouche, sa main branlait cette dernière avait toujours autant de passion et de vigueur, laissant son gland près de ses lèvres.

« Huuum allez Maîtresse... Arrose-moi la bouche... Je veux ton foutre... »

Aoki laissait sa langue sortir, caressant son gland en laissant quand même une petite place à Doutzen. Elle tenait à Felicia mais elle savait quand même partager un petit peu. Quand même. 
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 17 janvier 2018, 07:48:20
Doutzen avait vraiment du mal à croire que sa Maîtresse puisse être l’esclave d’une autre Maîtresse, mais c’était pourtant bien tout ce que cette scène disait. Le choix des tenues, les positions, les ordres... Et même le strapon mis sur la bouche d’Aoki... Et là, leur position. Elles étaient toutes les deux assises sur le tapis, devant les jambes de Hardy-sama, avec sa queue dressée, dégageant une odeur de sexe, recouverte de sperme et de mouille. Doutzen rougit donc, et laissa sa Maîtresse agir, la queue d’Hardy-sama, bien dressée, se faisant engloutir par ses lèvres. Doutzen se pinça les lèvres, rougissant de plaisir, et crut même entendre d’étonnants frissons émanant du corps de Félicia... Comme des vibrations, des...

*Des ronronnements ?!*

Mais qui était donc cette femme ? Doutzen était confuse, et se mordilla la lèvre inférieure, avant qu’Aoki ne vienne l’embrasse. La jeune blonde réagit alors, sortant de sa torpeur, et répondit à ce baiser, sentant l’une des mains d’Hardy-sama caresser ses cheveux, tirant un peu dessus, la forçant à bien embrasser Aoki, la queue de Félicia formant comme un barreau de chair entre leurs lèvres respectives, ce membre tendu recevant les coups de langue des deux femmes.

« Hmmmm... !! »

Yeux clos, Doutzen soupirait longuement, jusqu’à ce qu’Aoki ne l’amène à s’attaquer à la queue de cette femme. Doutzen fit alors une fellation, enfournant ce membre entre ses lèvres, posant ses mains sur les cuisses de Félicia, et fila d’avant en arrière, yeux clos, sentant la salive de sa Maîtresse, sa mouille... Un ensemble très excitant, et ce d’autant qu’elle sentait la main de Doutzen la forcer, amenant rapidement Doutzen à faire une gorge profonde. La belle blonde rougit à nouveau en gémissant. Fort heureusement, elle avait été entraînée à ce genre de choses. Sucer Aoki était l’une des choses qu’elle faisait fréquemment, et, en la matière, Doutzen savait se montrer à la hauteur. Elle en fit d’ailleurs aisément la démonstration, mais finit par remuer un peu devant le manque d’air.

Aoki la remplaça ensuite, alternant avec elle, et, tandis qu’Aoki léchait ce membre, Doutzen s’attaqua aux testicules de la femme, léchant ses belles boules, les embrassant, ou revenant s’attaquer à la queue, embrassant et léchant les parties qui n’étaient pas recouvertes par la bouche d’Aoki, tout en caressant avec sa main le dos de sa Maîtresse.

« Haaaa, mes chéries... Vous êtes douées, toutes les deux... Ma petite chatte a formé une très belle chienne, à ce que je vois, hmmm... »

Aoki demanda alors, tout en léchant le sexe de sa Maîtresse, à recevoir son foutre, ce qui ne manqua pas de faire doucement sourire Félicia.

« Vraiment ? Quelle impatience, ma petite salope... Tiens, je sais... Doutzen-chérie, masturbe ma queue. Branle-moi, et fais-moi jouir sur cette petite salope, que je lui arrose le visage... »

Doutzen rougit sur place, mais acquiesça, bien évidemment, et sa main saisit le chibre de Félicia, avant de le caresser. Elle sentit Félicia soupirer, gémissant longuement. Son membre était bien tendu, très dur, prêt à cracher sa semence. Ça, Doutzen pouvait le sentir, et Aoki, en position faceà cette queue, avait bien ouvert la bouche... Mais, pour autant, quand Félicia jouit, ce qui finit par arriver, le foutre éclata surtout sur le visage d’Aoki. Une très belle éjaculation faciale, tandis que Félicia se crispait sur son fauteuil, bandant ses muscles tout en jouissant généreusement, se relâchant contre le visage de son amante.

« Hmmmmmmmmmm... !! »

Doutzen continua à la masturber, mais Félicia se redressa ensuite brusquement, et posa ses mains sur la tête d’Aoki.

« Ne t’inquiète pas, ma salope, tu vas quand même pouvoir boire... »

Sa queue s’enfonça alors dans la bouche d’Aoki, et Félicia se concentra... Puis se vida une seconde fois dans sa bouche, non pas avec du sperme, mais avec sa propre pisse. Elle lui urina dans la bouche, lui offrant ce liquide doré pendant une bonne dizaine de secondes, avant de se retirer. Il y avait des traces d’urine sur son sexe, et elle ordonna à Doutzen de venir nettoyer, ce que cette dernière fit avec sa langue, son organe lingual filant le long de sa queue, avalant tout le liquide qu’elle trouvait, et déposant ici et là de tendres baisers.

« Je me demande vraiment laquelle de vous deux est la plus salope... L’élève a-t-elle dépassé la Maîtresse ? C’est très difficile à dire... » commenta ensuite ironiquement la Chatte Noire.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 07 février 2018, 12:54:42
Entre Felicia et Aoki, c'était une histoire d'amour mais surtout de sexe. Entre elles, les limites semblaient toujours se repousser plus loin et la présence de personnes extérieures à leur couple ne semblait pas les brider pour autant, la fois où Aoki a rencontré Harley et Pamela, la nuit avait été riche en événement ! Alors Doutzen qui était déjà la chose d'Aoki, si elle avait aussi Felicia en maîtresse, ça promettait de sérieuses séances de sexe ! Comme si ça allait en déranger une, au contraire, ça ne faisait qu'augmenter leur excitation. Face à la queue de Felicia, Aoki n'était qu'une petite chienne demandant toujours plus. Elle aimait la femme comme elle était mais cette queue avait un véritable effet attirant qui la rendait toute chose à chaque fois. Tant mieux dans un sens. Ça ne faisait que rendre chaque nuit bien meilleure encore.

Felicia ordonna donc à Doutzen de la branler pour qu'Aoki puisse recevoir ce divin nectar en plein visage. Que demander de plus ? Face à sa petite Doutzen qui la branlait, Aoki patientait, la bouche grande ouverte en laissant sa main caresser la fesse de sa future petite star. Qu'est-ce qu'elle a pu prendre aussi ce petit cul, c'était divinement bon. En fait, c'est depuis qu'elle connaît les joies d'être une futanari qu'elle était encore plus accroc à Felicia et sa queue. Mais force de faire travailler son poignet, Felicia venait se lâcher et sa précieuse crème coula sur son visage, tombant un peu dans sa bouche mais surtout sur son visage. Chaud et délicieux, Aoki ne demandait pas mieux. Elle aurait bien demandé à Doutzen de la nettoyer avec sa langue pour ensuite partager le nectar mais Felicia ne lui laissait pas le temps d'agir, déjà debout, les mains sur sa tête, enfonçant sa queue en elle pour se soulager par la même occasion. Légèrement brusqué par le plaisir qui passait à ça, elle avala tout de même avec plaisir sa pisse. Ce n'était pas ce qu'elle préférait avaler chez elle mais ça restait toujours une joie de voir que même ça n'arrivait pas à rabaisser son amour pour elle. Ce serait même presque le contraire...

« Hmmmmmmm ! »

Même Doutzen y eut un peu le droit pour la fin avant que la belle Black Cat ne vienne se demander laquelle de ses deux putes était la meilleure ? Doutzen avait un sacré potentiel, c'est vrai, mais Aoki voulait la voir réussir dans le vrai cinéma, pas en tant que petite pute à elles. 

« Elle est encore loin de m'égaler, tu sais. Elle est douée, mais on ne devient pas comme ça en un clin d'oeil. Cela dit, je connais une bite qui est encore bien dur... On va avoir beaucoup de travail ma petite Doutz-chan... »

Prenant la demoiselle par le bras, elle la poussait sur le lit, allongée sur le dos, elle venait l'écraser, dévorant cette petite avec un langoureux et long baiser, laissant leur corps ne fait qu'un, écrasé l'un sur l'autre, c'était aussi doux que chaud mais là n'était pas le but car Felicia avait accès à leurs deux petites chattes superposé. Il y avait aussi leur petit cul, même si celui d'Aoki était plus accessible que celui de Doutzen mais il serait dommage de passer à côté de ce qui était proposer là. 

« Viens donc nous baiser la chatte... Commence par celle que tu veux... Et jouit dans celle que tu veux aussi... Cela dit, tu pourrais bien la glisser entre nous ? »

Aoki savait se montrer attirante, légèrement redresser en contemplant Felicia par-dessus son épaule, elle lui souriait, sachant bien que la belle devait imaginer sa queue glisser entre ses deux petites chattes humide avant de lâcher la purée entre elles.

« Toi aussi, tu en as envie, mon adorable petite pute, hein ? Que Maîtresse Felicia vienne nous baiser ensemble... Alors, dis le... »

Aoki surplombait Doutzen, elle n'était pas menaçant avec ses caresses mais son regard dominait cette petite, lui disant clairement que si elle n'obéissait pas, la punition tomberait. Quelle punition ? Il ne faut pas savoir, quand Aoki cachait sa punition, cela voulait dire que ce n'était pas juste quelques fessées qu'elle allait recevoir... oh non.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le vendredi 09 février 2018, 00:44:31
Doutzen comprit rapidement que Félicia était en train d’uriner dans la bouche de Maîtresse Aoki, et en rougit confusément. Ce genre de plaisir extrême était assez nouveau pour elle, mais Olga était en train de l’habituer à ça. Urinophile, la Russe avait tout un programme de prévu pour Doutzen, et la jeune blonde ignorait à quel point elle et Kou-san s’étaient accordées pour le mettre en application. Quoi qu’il en soit, Félicia se soulagea devant Aoki, troublant cette dernière, qui rougit confusément, avant de sentir Doutzen se redresser, et l’écarter, l’amenant sur le lit. Félicia avait effectivement encore le sexe tendu, confirmant ainsi ce que Doutzen savait sur les ardeurs légendaires des hermaphrodites. Elle se retrouva ensuite couchée sur le dos, étalée sur le lit, et gémit quand sa Maîtresse s’étala contre elle. Aoki, qui n’avait pas hésité à lui palper les fesses sans autorisation, fourra sa langue dans sa bouche.

« Hmmmm... !! »

Les mains de Doutzen remontèrent le long du corps d’Aoki, et elle se posa sur ses cheveux, serrant ses doigts contre sa nuque, déplaçant son autre main pour caresser son épaule, veillant à ne pas empêcher la femme de s’étaler contre elle. Leurs corps en sueur se frottèrent l’un contre l’autre, leurs seins se caressant entre eux. Le contact était très agréable, faisant doucement frémir Doutzen, qui gémissait longuement de plaisir. Ses mains continuaient à peloter le corps de sa Maîtresse, sa langue jouant avec la sienne, appréciant infiniment le plaisir qui se diluait en elle, une vague de joie qui remuait dans son corps. Fermant les yeux, elle couina encore, et sentit soudain les lèvres de sa Maîtresse se retirer, cette dernière venant narguer Félicia.

La Chatte Noire sourit en retour, observant les deux belles « princesses » vautrées dans le stupre devant elle. Sa queue était trempée, mais effectivement bien durcie, impatiente de s’enfoncer dans l’un des corps étalés devant elle. La Chatte Noire s’avança donc, rejoignant le rebord du lit. Sa queue caressa les cuisses des deux femmes, et ses mains se posèrent sur les fesses d’Aoki, malaxant son cul, plus facile d’accès, effectivement, que celui de Doutzen. Elle les pinça, et ses ongles pointues griffèrent ensuite le fessier d’Aoki, amenant cette dernière à gémir, tout en se retournant vers Doutzen, et en la menaçant de représailles si elle commettait l’erreur, visiblement, de nier le fait vouloir se faire baiser avec sa Maîtresse.

En soi, il était tentant de la provoquer, de faire l’esclave indiscipliné. Doutzen aimait beaucoup quand Kou-san la punissait, mais, en l’état, ses yeux parlaient pour elle. La rougeur de ses joues, les frissons d’excitation qui traversaient son corps... Tout cela trahissait une femme assoiffée, désireuse de s’envoyer en l’air avec les deux femmes perverses devant elle. Autant le dire clairement, elle était une superbe élève, qui avait magnifiquement retenu la leçon.

« Oui, Maîtresse... Je veux qu’Hardy-senpai me défonce bien fort, qu’elle me fasse hurler comme si j’étais la dernière des putes... »

Doutzen rougit encore. Là, sous le corps de sa Maîtresse, elle était aux anges. Pour elle, il était encore difficile de se faire à l’idée que sa Maîtresse avait une autre Maîtresse, et qu’elle devait donc appeler Hardy-senseï Maîtresse aussi. Cette dernière pinça encore le cul d’Aoki, et Doutzen frémit en sentant sa queue, puis les cuisses de Félicia. Le membre se logea entre leurs deux corps.

« Masturbez-vous sur moi, mes salopes... Je vais jouir sur vos corps de petites chiennes en manque de foutre ! »

Félicia commença d’ailleurs à donner le tempo, giflant à nouveau Aoki, tout en remuant son corps d’avant en arrière, son gros membre se frottant contre les peaux en sueur des deux femmes. Autant dire que Doutzen était largement conquise, et s’empressa d’embrasser à nouveau Kou-san, serrant son corps contre le sien, ondulant également des hanches, salivant en sentant ce membre s’appuyer contre sa chair, et glisser sur sa peau, titillant parfois son nombril...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 28 février 2018, 13:27:06
Il ne faut pas trop en vouloir à Aoki, quand elle parlait de sexe avec Félicia, ce n'était que très rarement douceur, le genre de fois où cela restait doux et soft, ça devait se compter sur les doigts d'une seule main alors un ménage à trois, ça ne sera jamais ô grand jamais douceur. Tout le contraire même. Allongée contre sa petite Doutzen, elle montrait ses fesses à Felicia, prête à se faire défoncer ou juste jouer avec, ce n'était pas elle sa Maîtresse après tout. La belle blonde se rapprocha en venant griffer les fesses de sa petite amie, c'était délicieux. La douleur, Aoki en connaissait un rayon, elle a aimé ça par hasard à vrai dire et maintenant, elle avait moins le rôle de dominante avec Felicia, mais elle pratiquait toujours son art sur d'autres personnes comme Doutzen par exemple et ça restait toujours aussi bon. À vrai dire, elle avait beau adorer être une maîtresse, avec Felicia, elle trouvait sa place de soumise parfaite.

« Hmmm, mais tu l'es déjà... Tu es même ma petite pute favorite... »

Si ça ce n'était pas un compliment ! Elle continua de se frotter contre elle, l'embrassant avec assez de mordant pour tout de même montrer que même soumise à Felicia, elle restait maîtresse de cette petite putain. Ce serait l'insultée que de ne pas profiter de son corps, de ses délicieuses lèvres, de cette langue qui a lécher bien des choses, de ce corps qui pourrait devenir encore plus beau au fil des âges. Elle voyait de grandes choses pour sa petite Doutzen, tant sur sa carrière que dans l'intimité, un jour peut-être, elle se détachera d'elle complètement, mais tant qu'elle reviendra vers elle, Aoki saura raffermir son emprise sur elle, sur cette demoiselle voulant devenir une star. Elle le sera. Mais elle sera à jamais sa chose. Felicia vint finalement entre elles, sa queue glissant autant sur leur peau que sur leur culotte si raffiné, voulant jouir sur elles. Aoki gémissait devant les gifles de cette dernière, c'était tellement bon !

« Huuum haaaan ! Oh oui fesser moi, Maîtresse et, et baiser moi le cul aussi... »

Doigt, poing, gode, on ne pouvait pas dire que les deux femmes avaient des limites, c'était même souvent une course à la surenchère, toujours faire mieux qu'avant ! Mais ça leur plaisait tellement après tout. Felicia commençait à remuer, Aoki en fit autant, donnant de petit coup de reins contre Doutzen, comme si elle la baisait elle-même. Du moment que ça plaisait aux deux, pourquoi pas ?

« Hmmm ma salope... ma petite salope à moi... On va te baiser, haaan... Toute la nuit... On va te remplir... Tu seras notre sac à foutre ! »

Aoki ne comptait pas rester si sage toute la soirée, Doutzen va se souvenir de son passage ici. Mais autant Aoki pouvait bien s'occuper de sa petite star, bien comme il faut, autant en présence de Felicia, elle était aussi très attachée à elle, voulant aussi partager des choses avec sa Felicia adorée.

« Haaaaan... Après, hum... Tu me prendras le cul à moi aussi ? Haaaa, ha oui... Pendant que Doutzen.... hum, elle me bouffera la chaaaaaatte ! »

Elle s'imaginait bien prise par Felicia, debout, cette dernière la tenait par les cuisses, les jambes bien écartées pendant que sa petite blonde venait enfouir sa tête entre les jambes. Cyprine, urine, qui sait ce qui pourrait en sortir sous l'effet du plaisir. Mais elle en avait envie, très envie même. Cette soirée restera marquée pour tout le monde.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 05 mars 2018, 07:34:24
Entourée par Kou-san et par Hardy-san, Doutzen était vraiment comblée. Elle sentait bien que cette soirée allait être longue, et particulièrement endurante. Qui aurait cru que la petite-amie de sa Maîtresse puisse être encore plus perverse qu’elle ? Mais, après tout, Doutzen s’y était quand même un peu attendue. En réalité, elle pensait juste que la petite-amie de sa Maîtresse serait une soumise. Découvrir ça, c’était assez incroyable, mais, si elle avait été assez troublée au début, elle en était maintenant très excitée ! Elle ignorait de quoi ces deux femmes étaient capables ensemble, et elle se disait que même Gurluchenko-san, sa formatrice sexuelle, serait impressionnée par les deux femmes.

*Peut-être devrais-je la leur présenter également ?*

Enfin, Kou-san avait vu Olga Gurluchenko lors du dîner avec Reto Kroes, mais il n’y avait rien eu de plus avec elle... Pour l’heure, Doutzen était très heureuse, car elle avait le sentiment d’être gâtée. Allongée sous le corps de Kou-san, elle répondit à son baiser, et ses mains caressèrent les hanches de sa Maîtresse, griffant ensuite ses fesses, les malaxant, tout en sentant la queue d’Hardy-san se glisser entre elles, filant le long de leurs sexes respectifs. Gourmande, Kou-san proposa alors à Félicia qu’elle la sodomise ensuite, ce qui donna lieu à de nouvelles gifles sur son cul.

« C’est tout toi, ça, Aoki ! Tu invites ton esclave pour te faire baiser, et tu veux accaparer l’attention ! »

Doutzen n’avait rien à répondre à cela. Elle était l’esclave des deux femmes après tout, et aimait surtout goûter aux lèvres de sa Maîtresse. Félicia, de son côté, finit par sentir le plaisir atteindre un point névralgique. Mine de rien, elle aussi était très enflammée par ce plan à trois, ce qui l’amena finalement à jouir sur les deux femmes. Sa queue tressauta, et se relâcha joyeusement, balançant des filaments de foutre qui éclatèrent sur le corps de Doutz’ et d’Aoki. L’intéressée frémit en sentant le nectar blanc et cré&meux se répandre sur son ventre, filant jusqu’à ses seins.

Félicia leur ordonna ensuite de se remettre en position face à elle. Doutzen obtempéra, finissant à genoux, le corps sali, la queue de la femme toujours bien dressée.

« Je crois que je vais uriner à chaque fois que je jouis... À ton tour de me servir de vide-couilles, Doutzen ! »

La jeune femme se pinça les lèvres en rougissant, et, sans rien dire, obtempéra. Elle avait vraiment du mal à croire que deux femmes si perverses puissent exister, comme si leur perversion naturelle n’avait fait qu’augmenter et qu’éclater au contact de l’autre. Doutzen goba en tout cas le phallus de Félicia, et sentit l’une de ses mains griffues (cette femme avait décidément de sacrés ongles !) empoigner ses cheveux, l’empêchant de partir... Puis le liquide doré jaillit à nouveau, et elle couina sur place.

Félicia ordonna entre-temps à Aoki de se relever, et l’embrassa goulûment, fourrant sa langue dans sa bouche, jouant avec elle, tout en caressant les fesses d’Aoki avec l’autre.

« Hmmm... Garde mon urine en bouche ensuite, Doutz’... »

La jeune femme rougit encore, jusqu’à sentir la queue de Félicia se calmer. Son membre se retira ensuite, et elle resta avec les joues gonflées. Une nouvelle idée malicieuse venait de jaillir dans l’esprit de la femme, qui gifla une nouvelle fois le postérieur d’Aoki, et donna ses ordres :

« Et si on mettait ta Doutz’-chérie à l’épreuve, hein ? Remettez-vous en position... Je vais t’enculer comme une truie, Aoki, et tu vas l’embrasser ! »

Doutzen écarquilla légèrement les yeux. La bouche pleine d’urine, elle rougit encore, et baissa les yeux, très gênée par ce que Félicia proposait... Tout en étant aussi très excitée. Ces deux femmes étaient stupéfiantes, tout simplement ! À croire qu’elles n’avaient aucune limite entre elles, tout simplement !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mercredi 04 avril 2018, 14:40:18
Aoki avait fini par développer ce côté très dominatrice avec les autres, elle était toujours prête à ordonner et à se faire obéir, même au travail, on jurait que c'était elle la patronne de la boite et pourtant, elle n'était pas dans le fauteuil du patron. C'est à se demander ce qu'elle serait une fois en haute de l'échelle ? Mais depuis sa première nuit – même sa rencontre – avec Felicia, elle se sentait dominée et elle aimait ça. Elle ne saurait dire si c'est le coup de foudre ou l'aura de la voleuse qui le voulait, mais elle ne se sentait pas la dominer. Cela était évidemment déjà arrivé et avoir Felicia comme esclave était très plaisant, mais elle préférait être soumise. Elle avait de nombreux chats qui lui tournait autour quand elle rentrait chez elle, Aoki en faisait partie. Et elle n'avait pas honte d'être ainsi devant ses amies aussi, elle avait beau tenter de jouer les dominantes devant des femmes comme Harley Quinn ou Poison Ivy, elle y arrivait – ou pas – mais concevrait ce rôle de dominante, mais la Black Cat, elle lui était bien trop docile pour ça. 

« Han ! Que veux-tu... Les chattes sont égoïstes et aiment avoir leur maîtresse rien que pour elles... »

Ce n'est pas pour rien qu'Aoki avait fait faire sur-mesure sa tenue de White Cat. Elle avait vaguement espéré pouvoir égaler la voleuse et lui être utile lors de ses virés nocturnes, mais même si son entraînement au SHIELD commence à porter ses fruits, ce n'était pas suffisant pour grimper sur un toit en trois secondes et bondir partout comme si de rien n'était. Alors du coup, la White Cat à tendance à servir de récompense pour la Black Cat après une dure soirée. Sodomisée par sa petite amie, elle savourait cette douleur ô combien délicieuse pendant qu'elle embrassait et se pressait contre le corps de sa petite Doutz. Elle était soumise, mais elle dominait toujours cette petite. À la fois soumise et dominante, quel délicieux contraste. Même si Felicia n'avait pas joui en elle, elle avait quand même sa crème étaler sur son corps et celui de Doutzen, avant que cette perverse ne vienne déjà passer à la suite en prenant son élève rien que pour elle cette fois.

Mais Aoki ne boudait pas longtemps, redressée, elle se pressait contre Felicia pour l'embrasser voracement, elle ronronnait presque avec cette main qui pressait sa fesse. Elle était si heureuse dans la luxure et al débauche. Les instants romantiques, elle aimait bien aussi, mais ce soir, ils n'avaient pas leur place. Ou alors quand la petite sera en train de dormir. Là, elle voulait juste être comblée sexuellement. Mais une fois son petit jeu terminé, elle avait déjà une autre idée à soumettre, amusante mais pas étonnante de sa part. 

« Ne va pas trop me la fatiguer, elle doit tenir très longtemps. »

Doutzen avait connu pire, rien qu'avec Aoki, mais elle ne voulait pas que tout aille trop vite pour elle. À nouveau, elle écarasait le corps chaud et collant de son élève, sentant d'abord Felicia venir s'installer, sentant son regard poser sur elles.

« Hmmm... Ouvre ta petite bouche... » 

Face à cette petite bouche remplie de ce liquide, Aoki avança ses lèvres en duck face pour venir sucer le liquide jaunâtre, laissant un délicieux bruit de succion se faire entendre. C'était dégouttant, mais rien ne l'était assez pour plaire à sa partenaire. Et puis Aoki en avait déjà fait autant avec Doutzen ou d'autres filles. La Japonaise n'avait pas tout avaler, mais cela avait bien dominer dans sa bouche. En plus, avec Felicia dans son dos, il était difficile de rester bien actif.

« Haaaaan ! Hummm quelle petite truite tu fais ! Ma petite pute hummm... Toi aussi, tu veux te faire baiser le cul ? Soit sage, on te baisera toutes les deux aprrrèèès, haaaan... Haaaaan, Feli-nyan, tu me fais maaaaal~ »

Oui, sauf que cette douleur était bien plaisante, cela s'entendait à sa voix. Doutzen va garder de sacrer souvenir de sa venue chez sa maîtresse.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le samedi 14 avril 2018, 16:21:41
Félicia et Aoki s’amusaient vraiment beaucoup avec Doutzen, et c’était aussi le cas pour elle. La jeune blonde était en train de sombrer dans les méandres de la perversion, voyant les deux femmes se livrer à de l’ondinisme avec elle. La bouche pleine de pisse, elle se sentait salie, choquée, humiliée, et vit Aoki l’embrasser. Doutzen couina lentement, et libéra sa bouche de ce liquide poisseux et acide, déglutissant lentement. Quand on faisait ce qu’elle faisait, quand on servait sexuellement des clients pervers aux fantasmes lubriques, il fallait parfois s’attendre à ce genre de choses, et, somme toute, tant que ça s’accompagnait d’une bonne séance de baise, ce n’était pas Doutzen qui s’en plaindrait ! Et là, eh bien, entre Félicia et Kou-san, autant dire qu’elle était servie !

Aoki se faisait prendre par Félicia, qui lui prenait sèchement et énergiquement le cul. La belle blonde ne tarda pas à hurler, et, après son baiser avec elle, Doutzen s’écarta un peu, observant le visage de sa Maîtresse. Il se couvrait de plaisir et de couleurs, ses joues rouges s’enflammant sur place. Elle rougit et se pinça les lèvres quand Kou-san lui expliqua que, après, elles s’occuperaient de bien la baiser toutes les deux, ce qui ne manqua pas de l’exciter. Il faut bien dire que, pour le moment, elle avait surtout été humiliée et fessée, sans trop avoir de plaisir. Fort heureusement, les deux femmes étaient bien décidées à la prendre ensuite.

*J’espère bien...*

Elle voyait les mains de Félicia s’abattre sur les fesses d’Aoki, la giflant régulièrement, avant de finir par se relâcher en elle. Félicia s’écarta ensuite d’elle, et se rapprocha de Doutz’.

« Bon... Avant que je n’achève Aoki, Doutz’, on va s’occuper de toi... Mais dans des tenues correctes !
 -  Que... Comment ça ? »

Félicia sourit malicieusement, puis posa sur les yeux de la femme un bandeau, et la fit sortir de la chambre. Surprise, Doutzen se laissa faire, et avança dans le couloir. Elle entendit une porte s’ouvrir, et laissa Félicia et Aoki la guider. Levant les mains quand on le lui ordonnait, Douitzen soupira en sentant des sangles se serrer sur ses poignets, et entendit le cliquetis des chaînes. Elle resta ensuite sur place, regardant autour d’elle, désorientée. Les deux femmes partirent, la laissant seule dans cette pièce pendant plusieurs minutes.

Doutzen grelotta légèrement, comprenant qu’elle était debout, bras écartés au-dessus de la tête. Le temps passait, et la jeune femme soupira encore, faisant cliqueter ses chaînes, se demandant pouruqoi les deux femmes prenaient tant de temps... Puis la porte s’ouvrit ensuite de nouveau, et des talons claquèrent sur le sol, ainsi que des crissements de latex.

« Bon... Désolée, ma chérie, ta Maîtresse est excitée comme une petite puce... »

Une main tendre et griffue caressa soudain son sein, et pinça le téton de Doutzen, la faisant gémir. Elle se tortilla sur place, et une main retira soudain son bandeau. Doutzen cligna alors des yeux en voyant, devant elle, Hardy-san, dans une étonnante combinaison noire moulante en latex (https://orig00.deviantart.net/d909/f/2011/263/5/f/black_cat_009_by_rafcut-d4aey02.jpg)... Mais le plus étonnant venait sans doute de Kou-san, qui portait, elle aussi, un ensemble très particulier.

En l’occurrence, il s’agissait d’une superbe tenue violette et blanche (https://orig00.deviantart.net/1139/f/2012/022/7/7/anne_discovers_posture_collars_by_shiniez-d4nc5pj.jpg), moulante, avec un système de harnais et de cordes. Ses yeux s’émerveillèrent alors, et elle se pinça les lèvres.

« Eh bien... Vu son air émerveillé, je crois que Doutzen est ravie d’être notre prisonnière, tu ne crois pas, Aoki ? »

Ça... Ça, elle n’allait pas nier !!
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le mardi 01 mai 2018, 15:09:44
Quelle joie... Aoki adorait sentir Félicia qui la prenait avec toute son envie et son amour. C'était parfois douloureux, mais elle se sentait si bien après. Rien n'égalait ce bonheur. Même si avoir sa petite Doutzen à ses côtés rendait la chose un peu mieux, tout le mérite revenait à la voleuse qui adorait lui bourrer le cul. Après un tel moment de plaisir, il était temps de passer à l'étape suivante et pour ça, leur invité avait les yeux bandés avant d'être amené ailleurs, attaché pendant qu'elles se préparaient. Dans leur chambre, Félicia venait enfiler son costume si parfait pour devenir la Black Cat. Elle aurait pu l'imiter pour devenir la White Cat, mais... non, il n'y a que sa voleuse qui a le droit à ce costume. Aoki opta plutôt pour autre chose de tout aussi sensuel et qui lui redonnait un côté Maîtresse. Elles n'avaient pas quitté la chambre qu'elles se plaquait déjà contre elle en l'embrassant fougueusement.

« Hmmmm.... tu ne sais pas à quel point ça m'excite de faire l'amour avec des invitées... »

Doutzen n'était pas la première. La première hors de leur cercle, oui, mais sinon, Aoki était déjà retrouvé avec Harley et Ivy, même une fois, avec la Black Widow après son entraînement au SHIELD. Elle avait un petit faible pour les rouquines après tout, son premier amour femme était une rousse. Alors entre elle et Félicia, elle avait été très bien entourée. Ses mains se baladaient sur le cuir de sa tenue, passant dans son dos, griffant ses fesses. Félicia était sexy en toute circonstance, mais dans cette tenue... C'était toujours une joie de faire l'amour. Ensemble, elles allaient donc retrouver Doutzen, toujours bien attaché en lui redonnant la vue. Et vue son regard posé sur elle, Aoki ne pouvait qu'en sourire !

« Pourtant, une prisonnière ne doit pas être heureuse... Il va falloir ''corriger'' ça... »

Elle ne voulait pas la voir en pleur, mais elle devait bien se mettre dans son rôle après tout. Sa main caressa son visage en descendant doucement plus bas pour copier Félicia et pincer son téton en souriant.

« C'est ça ma jolie.... Couine donc... ça m'excite... »

Et ce n'était que pure vérité. Restant proche de son corps, elle malmenait ce petit bout de chair sans perdre son sourire puis elle posa son regard sur Félicia.

« Comment devrait-on la punir, chérie... Elle a déjà eut droit à au foutre, à la mouille, et même à la pisse... Mais elle a l'air d'adorer tout ça... Je pense qu'on doit en revenir aux valeurs fondamentales du SM, non ? »

C'est-à-dire, la douleur. Laissant Doutzen tranquille une poignet de seconde, Aoki revint vers elle avec quelques petites choses. Une petite chose qui venait pincer son sein gauche, en laissant une petite clochette à son bout, venant tinter quand elle remuait un peu trop.

« Voilà qui est déjà mieux pour la petite pute que tu es, non ? »

Ce petit gadget fut accompagné d'une copie se plaçant sur son autre sein, ainsi que d'un petit œuf vibrant qu'elle scotcha entre ses jambes. Puissance max, évidemment. Laissant Doutzen savourer tout cela, elle apporta autre chose qui n'était pas un objet de torture puisqu'elle avait dans sa main, deux flûtes de champagne, mais pas de bouteille...

« Et je te propose donc un petit toast pour fêter l'arrivé de notre nouvelle chienne dans la famille, tu en penses quoi ? »

Il ne restait plus qu'à les remplir, mais ça viendra, quand Doutzen ira jouir. Ce ne sera pas de coupes pleines, juste un petit fond, mais ce sera un nectar ô combien délicieux...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 02 mai 2018, 11:10:39
Leurs tenues étaient... Incroyables ! Doutzen était follement excitée rien qu’à l’idée d’être la prisonnière de ces deux beautés. Elle se tortillait sur place, serrée dans ses liens, et frémit en sentant les mains des deux femmes caresser ses seins, palpant son corps. Elle gémit doucement, soupirant longuement, et Doutzen se pinça les lèvres, couinant sur place. Son corps était tendu au maximum, ses seins devenus très sensibles. Oh, ho, comme elle aimait ça ! Oui, encore ! Doutzen aimait les voir. Hardy-sensei, dans cette impressionnante tenue noire moulante aux gants blancs. Une tenue délicieuse à voir, qui brillait sous son nez. Pour autant, ses doigts étaient très doux, comme si ses gants étaient recouverts d’une délicate fourrure. Et Kou-san... Elle portait une très sensuelle tenue violette et blanche, que Doutzen ne lui avait encore jamais vu, mais qu’elle appréciait déjà énormément. Ses joues rougissaient sous les contacts digitaux des deux femmes, et elle continua à soupirer, bien incapable, en effet, d’exprimer autre chose en elle que du plaisir.

« Haaa... Maî... Maîtresses... »

Ses seins étaient bien tendus, ce qui amena Kou-san à poser sur ses tétons des pinces, reliés par une chaînette en onyx. Doutzen gémit encore, se mordillant les lèvres, commençant à mouiller, les joues rouges. Elle ferma les yeux pendant plusieurs secondes, retenue par les poignets et par les chevilles, et vit ensuite sa Maîtresse sortir deux flûtes, probablement pour recueillir un liquide des plus intimes. Hardy-sensei sourit alors, et embrassa sa Maîtresse. Sous ses yeux, Doutzen put les voir s’embrasser longuement, se caressant mutuellement, l’une des mains de Hardy-sensei venant palper ses fesses. Et ça, Doutzen le vit, et soupira encore.

« Oui... Je vais installer l’appareil, alors. »

Quel appareil ? Doutzen vit Hardy-sensei se déplacer. Elle récupéra une sorte de cubi’, et le posa sur un plateau devant elle, avec un tuyau qui en sortait. Elle le glissa alors entre ses cuisses, et Doutzen gémit, avant de sentir des ventouses se poser sur sa peau.

« Heureusement, ta petite chienne n’a pas de poils pubiens, ça évitera une irritation... »

Elle attacha le tuyau, et Doutzen gémit encore, se mordillant les lèvres. Le bout du tuyau s’enfonçait dans le cubi’, comme pour drainer ce qui sortirait du corps de la jeune femme. Félicia posa ensuite sa flûte à côté du cubi’, puis se rapprocha de Doutzen, et caressa son ventre, avant de déposer plusieurs baisers sur sa peau. Sensuelle, féline, Hardy-sensei était incroyable, et, devant elle, Doutzen avait vraiment du mal à rester calme, à se concentrer. Elle avait très chaud, et se pinça les lèvres en sentant ensuite la langue de la femme remuer sur son ventre.

*Elle... Elle me lèche ?*

Doutzen déglutit, et, au bout de quelques secondes, Félicia se redressa, puis se retourna vers Aoki.

« Tu as raison, ma chérie, il faut opter pour une approche plus classique. »

Elle se rapprocha alors d’un meuble, et l’ouvrit, révélant une série de cravaches, de fouets, ou encore de chats à neuf queues. Hardy-sensei se tapota alors les lèvres, comme si elle réfléchissait, pendant que Doutzen, elle, avait encore le goût de sa salive autour de son nombril. C’était en effet là, à cet emplacement, que la femme avait concentré ses caresses linguales,

« Reste à savoir... Qui fait preuve de douceur en l’embrassant sur le front, et qui la bat dans le dos ? Je te laisse choisir, Aoki, c’est ton esclave, après tout... »

Aoki allait-elle préférer l’embrasser, la lécher, et laisser ainsi à Félicia le plaisir de battre cette jeune fille, de lui cravacher le cul, de la fouetter, de la griffer ? C’était à elle de choisir !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 04 juin 2018, 15:49:12
Leur pauvre petite Doutzen allait connaître une sacrée nuit en leur compagnie. Attachée, elle allait connaître bien des choses ainsi, même si elle n'allait pas passer la soirée dans cette position, enchaînée. Mais il faut bien goûter un peu à tout. Félicia était donc tout à fait d'accord pour un peu plus d'amour, un petit moment romantique ensemble, devant et en partie, avec leur esclave. Aoki ne manqua pas de lui trouver une utilité en voulant boire de son nectar. La Black Cat l'aidait en sortant et installant son appareil avant de doucement la caresser et la lécher. Elle observait la scène en souriant avant qu'elle ne pioche les objets qui vont servir ensuite, mais avec une grande question... Qui à quel rôle ? Celui de la vilaine et de la gentille avec leur petite poupée russe ? Il est vrai que cela était tout de même une sacrée question...

Hésitante, elle se tenait le menton en observant leur Doutzen attachée... Félicia était LA maîtresse ici mais Aoki était la maîtresse de Doutzen qui avait pour habitude de la voir dominante et non soumise. Mais là, il n'était pas question entre elles de se dominer/asservir, il fallait donner cela sur Doutzen...

« Et si tu faisais preuve de douceur ? Elle a l'habitude de me voir la dominer, je sais ce qui l'excite. »

Maintenant que la question était tranchée, elle laissait Félicia occuper Doutzen pendant qu'elle cherchait de quoi jouer avec elle. Observant les quelques jouets sous la main, elle hésita un peu, certains étaient trop classique, d'autres pas assez efficace pour exciter cette fille. Il restait une solution, une chose toute simple qui va suffire à la transformer en femme fontaine, mais il va falloir rajouter les coups et marques qui vont avec. Cachant cet objet dans son dos, elle se rapprocha pour se glisser dans le dos de Doutzen, lui laissant l'occasion d'imaginer bien des choses inquiétante à ce sujet. Elle se préparait en enfilant le god ceinture – elle aurait très bien pu devenir une futa temporairement grâce aux pilules d'Ivy, mais elle ne voulait pas abuser de ce cadeau. La laissant toujours entre les douces mains de Félicia, elle venait abattre sa main sur sa fesse, un délicieux bruit de fesse qui claque venait la faire frémir.

« Félicia a beau être douée dans ce domaine, c'est moi qui sais ce que tu aimes, ma petite salope. »

Si ses seins ne seraient pas déjà occupé par les clochettes – qui au passant, délivrait un délicieux son quand elle remuait – elle aurait maltraité aussi cette partie. Chaque fois que sa main s’abattait dessus, elle pétrissait sa fesse, enfonçant ses doigts dans sa chair, en y laissant de petites marques qui ne vont durer que quelques minutes, mais ça restait sa Doutzen à elle. Brutalité derrière, douceur devant, elle était entre deux feux.

« Bien, il est donc temps de commencer, tu ne penses pas ? »

Cela s'adressait à Felicia. Une fois en position, elle força doucement l'entrée pour glisser sa fausse queue en elle, la faisant couiner et gémir. Une fois bien au fond, là, le jeu pouvait commencer. Bien agrippée à ses hanches, elle entamait sa danse, venant butiner la belle doucement, mais sûrement, faisant ainsi doucement couler le nectar qui va bientôt servir à faire tinter leur flute.

« Dis lui tout... Dis-lui tout ce que tu aimes recevoir de moi... »

Sa bouche sifflait près de son oreille, ses dents venaient justement mordre son lobe. Bien que ses seins servaient à jouer une certaine mélodie, elle ne pus résister à l'envi de les pétrir et de tirer doucement sur les clochettes. Pas fort, elle ne voulait pas les retirer, juste augmenter un peu sa douleur. Dire que tout cela ne restait qu'un début de leur soirée... Cette petite Doutzen ne va plus vouloir les quitter demain matin.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mardi 05 juin 2018, 07:49:48
Doutzen n’aurait jamais cru que cette soirée puisse évoluer ainsi, qu’Hardy-senseï puisse être... Comme ça ! Mais elle n’aurait jamais prétendu que le spectacle lui déplaisait. Au contraire, elle était furieusement excitée, non seulement parce qu’elle passait une soirée en partie de Kou-sama, sa Maîtresse, mais aussi parce qu’elle avait découvert une nouvelle partenaire de jeu, qui s’avérait être sa prof ! Bien sûr, Doutzen savait très bien ce qui se passait à Mishima, que le lycée était un refuge sexuel, et que bien des professeurs couchaient avec leurs élèves. En soi, il n’était pas si surprenant que Hardy-senseï soit comme ça, vu comment elle était belle. Ses coups de langue étaient délicieux, la femme se concentrant sur sa moule, arrachant à Doutzen plusieurs soupirs. La belle blonde se dandina sur place, le corps traversé par de multiples sensations. Les pinces sur ses tétons diffusaient en elle un plaisir et une douleur constante, et elle vit sa Maîtresse la contourner, dissimulant un objet derrière son dos. De la sueur coulant légèrement le long des joues de Doutz’, celle-ci se pinça les lèvres en l’observant, avant que sa Maîtresse ne se glisse dans son dos.

Les mains de Félicia caressaient ses cuisses, griffant parfois sa peau, mais ce n’était rien en comparaison de la série de gifles qui l’attendit. Aoki se mit à la battre, et, à chaque claque, Doutzen poussait de petits couinements, des hurlements de plaisir, en mouillant davantage.

« Haaaa... !! Haaaa... !! Maîtresse... !! Haaaaa... !! »

En chaleur, Doutzen ralentit progressivement le rythme, et entendit ensuite des cliquètements. Elle confiait régulièrement à sa Maîtresse des pilules d’hermaphrodisme. Étant la fille d’un mafieux, et une déléguée de classe à Mishima, Doutzen avait accès à des réserves de ce type sans trop de difficulté, mais, cette fois, Kou-sama opta pour quelque chose de plus naturel. Doutzen frémit en sentant un gode heurter ses fesses. Il était plutôt gros, et Félicia, imperturbable, continuait à la lécher, suçant sa mouille, titillant parfois son clitoris avec sa langue ou ses doigts, arrachant à Doutzen d’autres soupirs...

...Mais, quand Kou-sama la sodomisa, Doutzen se mit à gémir profondément, avant de pousser quelques hurlements. Toutefois, Aoki comptait bien la laisser éveillée, et, tout en jouant avec son oreille, lui demanda de dire tout ce qu’elle aimait recevoir d’elle.

« Haaaa... Maî-Maîtresse... »

Pour ne rien arranger, Félicia se releva à son tour, et enfila sous les yeux d’Aoki une autre ceinture avec un vibromasseur noir. Elle l’attacha à ses cuisses, puis se rapprocha, et posa ses mains sur les hanches de la femme, avant de poser sa main sur le gode, et l’enfonça d’un coup rapide dans le sexe de la femme.

« Hmmmm... !!
 -  Là, voilà... Régale-nous ! »

Prise entre les deux femmes, Doutzen ne pouvait pas faire marche arrière, et, tout en sentant les deux femmes la pénétrer régulièrement, faisant crisser leurs combinaisons, elle leur répondit donc :

« Jee... Haaa... J’aime tout de v-Vous, Maî... Maîtresse, haaa... !! Quand vous me giflez, quand vous me fessez, me fouettez, haaaa... Quand vous m’attachez pendant des heures sous votre bureau afin que je vous suce, hmmm... Haaaa... !! »

Félicia léchait également son visage, mordillant son cou, pinçant ses fesses.

« Hoooo, quand vous me défoncez comme ça, Maîtresse, hmmm... !! Haaaaa ouuuii, Maîtresse, haaaaaannnn... !! Maîtresse, Maîtresse... !!! »

Elle sentait leurs lèvres sur son visage, leurs dents racler sa peau, leurs langues filer sur elle... Un orgasme traversa le corps de Doutzen, sans pour autant que ses Maîtresses n’arrêtent leur double pénétration, continuant à la prendre énergiquement, et ce, bien évidemment, pour le plus grand plaisir de Doutz’...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 06 août 2018, 14:55:48
Doutzen état venue pour une sacrée soirée en compagnie d'Aoki, mais elle avait gagné en prime une seconde Maîtresse qu'elle connaissait quand même un peu sans pour autant pousser le bouchon si loin. Mais ce soir, elle va apprendre à la connaître. Sa maîtresse avait déjà bien entamé les choses en la fessant bien comme il faut, mais il en fallait un peu plus encore à présent. Enfilant un gode ceinture – car le véritable sexe ne sera que pour un peu plus tard, inutile de sauter les étapes – elle venait prendre son élève par-derrière en savourant autant ses cris que son corps. Bien entendu, car sinon cela ne sera pas drôle, elle voulait la faire parler en même temps, mais pas de la pluie et du beau temps. Non, un sujet dans le même ton. Félicia venait en plus lui donner un petit coup de main pour la faire mieux parler et jouir. Et même si elle arrivait à parler en même temps, cela dit, elle n'était pas très joueuse en disant simplement qu'elle aimait tout ce qu'elle recevait d'elles. C'était un peu la réponse facile ça.

Même si sa petite Doutzen semblait déjà prendre son pied en ayant un orgasme, ce n'était pas ça qui allait la sauver de cette situation, au contraire.

« Sale petite pute... Tu nous donnes une vague réponse et tu jouis sans nous en plus ? Ta plutôt intérêt à nous dire une seule chose, que tu préfère par-dessus tout ou sinon... On t'attache au mur, pieds et mains et tu nous regardes baiser jusqu'au petit matin et toi, pauvre petite chose... tu n'auras que ta frustration à te mettre sous la dent. »

Voilà qui pourrait être une sacrée punition vu la soirée qui s'annonçait. Peu de chance qu'Aoki tienne parole sur cette punition, mais il fallait bien serrer un peu les vices pour lui apprendre à donner de meilleures réponses que ce genre de choses. Elles étaient là pour s'amuser, pas se faire caresser dans le sens du poil. D'ailleurs, il était temps de mieux la baiser que ça. Souriante, elle observa Félicia par-dessus l'épaule de Doutzen en gardant le sourire.

« Dis-moi ma chérie... Et si on la baisait en même temps, sur le même rythme ? »

Pilonner en même temps des deux trous, voilà une idée intéressante déjà, car ça allait augmenter le plaisir du trio et de deux, ça pourrait mieux faire planer Doutzen. Sentir leurs queues se frotter ensemble à travers elle, ça devait être bien assez grand pour lui donner un avant-goût du septième ciel. Se basant sur un certain rythme, le couple se faisait joyeusement l'amour avec Doutzen entre elles, elle se sentait sûrement un peu écrasé quand elles arrivaient sur elles, mais on ne pouvait pas nier que le plaisir était bien là.

« N'oublie pas, Doutzen... Dis-nous ce que tu préfères si tu ne veux pas finir au mur... »

Aoki savait parfois être méchante, tant physiquement que dans ses propos et punitions, mais en contrepartie, elle était aussi très douce une fois la pression retomber.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mardi 07 août 2018, 11:03:11
Doutzen avait encore du mal à croire où elle était tombée. Pourtant, elle savait très bien de quoi Kou-san était capable. Ses talents avaient même remonté jusqu’aux oreilles de Reto, et, s’il avait envoyé Doutzen chez elle, c’était bien pour, outre améliorer ses talents d’actrice, perfectionner également ses prestations sexuelles. Mais elle n’aurait jamais cru que la petite-amie de Kou-san, Hardy-san, puisse être aussi perverse. En fait, elle se demandait sincèrement, maintenant qu’elle était attachée dans le donjon de cette riche professeur, laquelle des deux était la plus perverse. Déléguée de classe au lycée Mishima, Doutzen était très bien placée pour savoir à quel point ce lycée était rempli d’individus pervers, au premier rang desquels on trouvait le corps enseignant. Et Hardy-san était tout simplement somptueuse.

La jeune femme ne put donc avoir qu’un orgasme en sentant les corps de ces deux femmes adultes se frotter contre elle. Le latex crissait sur son corps, leurs mains malmenaient son cul, glissant sur son dos, griffant sur sa peau, leurs langues léchaient ses joues, leurs bouches l’embrassaient longuement, la maintenant en transe, en forte chaleur... Elle mouillait sur place, et jouir n’avait nullement refréné son appétit.

Mais Kou-san n’apprécia guère. Doutzen rougit quand sa Maîtresse lui reprocha de ne pas avoir dit ce qu’elle voulait entendre, et, preuve ultime de sa provocation, d’avoir joui. Elle menaça ainsi de l’attacher pour le restant de la nuit en regardant les deux femmes baiser ensemble. Une perspective assez terrifiante, mais très formatrice. Doutzen déglutit doucement, avant de sentir Kou-san dans son dos. Elle sentit dans son dos, contre ses fesses, le vibromasseur de sa Maîtresse, et soupira lentement.

« Maî-Maîtresse... »

Celle-ci demanda à Hardy-san de la rejoindre. Elle aussi portait une ceinture-gode, et acquiesça doucement. Les douces mains de Kou-san se posèrent sur ses seins, et pincèrent ses tétons, arrachant à Doutzen plusieurs gémissements. Honnêtement, que pouvait-elle vouloir de plus ? Elle était si bien, entre elles. En soi, elle ne cherchait pas à mentir, elle n’était juste pas en état de réfléchir calmement. Elle sentit les mains de Kou-san glisser sur ses hanches, puis se poser sur ses fesses, malaxant son cul.

« Je ne peux pas refuser, ma chérie, bien au contraire... »

Doutzen déglutit doucement, les joues rougies, et sentit alors les deux godes se nicher en elle, dans son fondement et dans son vagin.

« Haaaaa... Hmmmmm... !! »

Comment était-elle supposée trouver quelque chose, dans de telles conditions ? Ces deux femmes continuaient à la baiser, avec une symbiose qui était effrayante, s’enfonçant simultanément en elle, pressant alors son corps couvert de sueur, arrachant à Doutzen de multiples hurlements. La femme se tortillait alors sur place, puis Félicia l’embrassait, ou la mordillait. Toutefois, malgré cette forte intensité, Doutzen n’oubliait pas qu’elle avait reçu des instructions claires de sa Maîtresse.

Reprenant donc son souffle, tout en sentant les Maîtresses continuer à la prendre, elle réussit à parler, mais, encore une fois, sans donner une idée précise, parce que rien de précis ne lui venait en tête :

« J’aime... J’aime votre brutalité, haaaa... Votre sauvagerie, que vous me baisiez comme ça, que vous fassiez de moi, hmmm... Votre esclave, votre poupée... Je veux que ça dure... Hnnnn... T-Toute la nuit, haaann... Que vous me punissiez, que vous me battiez, que vous m’humiliez, hmmm... Maî-Maîtresses... !! »
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le dimanche 14 octobre 2018, 13:49:59
Aoki comme Félicia ne laissait pas Doutzen se reposer, mais c'était normal en même temps, comment lui laisser le temps de se reposer ? Elle était leur invité ou plutôt, leur jouet pour la nuit. Déjà qu'en temps normal, ces deux-là ne dormaient pas beaucoup tant leur nuit d'amour pouvait s'étaler alors si en plus, elles ont une invitée ! Elle va que très peu dormir. Espérons qu'Aoki se montre gentille en lui offrant assez de sommeil en faisant passer la carrière de sa protégée avant ses petits plaisirs. Techniquement, oui, elle respectera cela, peut-être pas ? La pauvre n'avait aucun moyen de fuir, surtout maintenant que le couple la gardait entre elles. Doutzen était prises par Aoki et Félicia, toutes deux membrées – avec de simples jouets pour le moment – alors côté plaisir, elle était servie ! Sa copine en profitait pour l'embrasser, par plaisir comme pour limiter ses gémissements. Non pas que cela était dérangeant, au contraire, mais un peu de silence restait tout de même agréable aussi.

Mais au moins, Doutzen n'oubliait pas son ordre et pour ça, elle ne pouvait donc pas la punir. Mais en cherchant la petite bête, elle pourrait, car ce qu'elle disait n'était en rien précis, ce qu'elle préférait. Mais allez, Aoki devait aussi savoir la récompenser, ça restait une bonne réponse dans les grosses lignes.

« Toute la nuit ? Hum, mais tu seras en forme, han, pour donner le meilleur de toi-même, demain ? »

Mais en cherchant la petite bête, elle pourrait, car ce qu'elle disait n'était en rien précis, ce qu'elle préférait. Doutzen n'était pas la seule demain à avoir des rendez-vous avec Aoki, mais, à sa connaissance, elle était la seule qui risquait d'avoir une sacrée nuit mouvementée alors, l'idée ne lui déplaît pas, mais elle voulait savoir si elle sera franche ? Va-t-elle avoir les yeux plus gros que le ventre ou prouver que malgré son âge, la petite Doutzen restait une grande fille qui pouvait veiller tard. Relevant son regard vers sa complice, son sourire en coin ne présageait rien de bon pour la pauvre invitée.

« Tu l'as entendue ? Elle veut qu'on la baise... qu'on la batte... et qu'on l'humilie... Ce ne serait pas une bonne idée d'abîmer ton joli corps... En revanche, t'humilier... »

C'était évidemment possible ! Pas tout de suite, elles ne vont pas arrêter une si bonne partie de jambes en l'air ! Mais que faire pour l'humilier ? L'urine, c'était déjà fait et puis bon, elles n'en produisaient pas à volonté. Elles pouvaient donc faire de Doutzen leur petite chienne, littéralement en la déguisant comme telle ? Ou bien trouver d'autres idées intéressantes. Rien ne les oblige cependant à céder à ce vice dés ce soir, cela pourrait bien être le sujet d'une prochaine soirée pyjama.

« Oh non, je sais... On va la nourrir pour qu'elle dorme bien... »

Rien qui ne soit un véritable aliment, mais plutôt user de vraies queues pour que Doutzen ai de quoi se mettre sous la dent. Deux belles queues en même temps devant sa bouche, elle devrait se montrer tranquille un moment, non ?
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le jeudi 18 octobre 2018, 01:30:16
Félicia sourit devant les propositions indécentes de sa femme. Aoki était, comme à son habitude, très vicieuse. Quant à Doutzen, après ce qu’elle avait vécu ce soir, elle avait bien conscience qu’elle était loin d’en avoir fini avec ces deux femmes. Et elle avait envie de continuer, d’ailleurs, ce que les deux Maîtresses avaient bien compris. Félicia réfléchissait un peu sur la suite. Aoki et Félicia avaient déjà prouvé à Doutzen qu’elles n’avaient que peu de limites. Elles avaient humilié la jeune femme, l’avaient même torturé en la fouettant, en la battant, en allant même jusqu’à lui uriner dessus. Mais, loin de leur en vouloir, Aoki les regardait avec des yeux brillants, en se dandinant doucement sur place, impatiente, assoiffée. Devant un tel élan, Aoki proposa alors de la faire boire... Ce qui fit sourire Félicia.

La jeune lycéenne était très bien placée pour connaître l’hermaphrodisme, puisque c’était elle-même qui avait donné à Aoki des pilules roses. Félicia sourit donc, et hocha la tête.

« C’est une bonne idée, ma chérie. »

Félicia se déplaça alors. Doutzen avait désormais un collier autour de son cou, avec une laisse. Elle n’était pas encore totalement déguisée en chienne, mais en avait bien l’apparence, car elle suivit les deux femmes à quatre pattes, et rejoignit la chambre conjugale de Félicia et d’Aoki. Silencieusement, Doutzen, tout en ressentant une furieuse excitation, aperçut plusieurs tableaux montrant les deux femmes, souriant tendrement en se promenant au parc, ou s’embrassant ensemble. Elles avaient sûrement des photos plus coquines, mais qu’elles gardaient ailleurs... Doutzen avisa également une photo avec quatre femmes.

Il y avait Félicia, Aoki, ainsi qu’une femme à la chevelure rousse, que Doutzen reconnut comme étant Isley-sensei, accompagnée d’une autre femme, à la peau pâle, avec une belle chevelure blonde, et un large sourire sur les lèvres, désignant l’objectif en faisant le « V » de la victoire avec ses doigts. Doutzen aurait bien aimé envie d’en demander plus, mais on lui mit alor sun bandeau sur les yeux. Elle entendit les deux femmes glousser, avant de la laisser là, et partirent.

*Que font-elles ?!*

Se pinçant doucement les lèvres, Doutzen dut attendre un moment. Elle se demandait bien ce qui allait se passer quand des talons claquèrent devant elle. Elle frémit en constatant que les deux femmes revenaient, et son bandeau lui fut ôté. Elle put voir ainsi deux paires de jambes gainées de collants en latex. Félicia avait des collants noirs, Aoki des collants blancs, ainsi que des gants de la même couleur, et également en latex... Et rien d’autre, si ce n’est, pour chacune, un chibre bien dressé, pointant vers le visage de Doutzen.

Déglutissant devant ses deux Maîtresses, Doutzen sentit son corps frémir à nouveau. Oh, tout ça était furieusement excitant !

« Alors, qu’est-ce que tu attends, hm ? Nos queues attendent ta bouche... »

Doutzen acquiesça, et se redressa un peu... Puis commença par prendre dans sa bouche la queue d’Aoki. Elle y alla doucement, en commençant par caresser son membre avec sa main, et le lécha, donnant de petits baisers dessus. Elle se frotta délicatement dessus, et l’embrassa encore, avant de commencer par le prendre en bouche, relevant les yeux pour regarder sa Maîtresse, et déplaça sa main libre pour masturber le sexe de Hardy-sensei.

« Hmmm... Hnnnnn... »

Elle espérait bien que sa Maîtresse aimerait ce qu’elle lui faisait, car Doutzen comptait bien être à la hauteur des deux femmes face à elle !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le dimanche 25 novembre 2018, 15:34:48
Aoki avait toujours une idée en tête pour ce genre de chose, déjà avec Felicia elle ne manquait pas d'idée pour s'amuser ensemble, alors maintenant qu'elles avaient un nouveau jouet entre les mains, et un jouet vivant qui plus est, elles comptaient bien en profiter. Ayant trouvé son public en partageant son idée, Aoki et son amante venaient à tirer Doutzen vers une autre pièce. Honnêtement, elle l'aurait laissé marcher normalement, elle aimait avoir sa chienne et lui être supérieure, mais elle réservait ce sort de marcher à quatre pattes quand on lui tenait tête. Alors que Doutzen était une gentille petite chienne bien docile, pas besoin d'aller si loin. Mais bon, changer de pièce n'était pas un long trajet donc elle n'allait pas abîmer ses petits genoux.

Masquant ses yeux, elles la laissèrent un moment seule, seule à s'imaginer bien des choses sûrement ? Pour Aoki, ce fut l'occasion de changer de tenue, une tenue plus dominante, mais qui se complétait toujours avec Felicia, ce n'était qu'un détail, mais elle aimait être assortie à elle. Pour son minou, du noir, pour elle, du blanc, généralement, c'est comme ça qu'elles fonctionnaient. Elle prit un petit quelque chose pour changer un petit morceau de son physique où elle en profita pour se frotter à elle et l'embrasser le temps que cela fasse son petit effet. Il était toujours bien agréable de raviver la flamme entre elles, non pas qu'elle risquait de s'éteindre si facilement, mais c'était toujours un vrai délice que de s'y brûler. Quand son corps était enfin prêt, elles rejoignaient Doutzen qui avait assez patienter comme ça. Le bandeau en moins, elle était toujours face à ses maîtresses à la seule différence qu'Aoki avait à présent quelque chose en plus, et ce quelque chose, Doutzen allait devoir s'en occuper.

« Hum, brave chienne. »

Doutzen s'en occupait bien, il faut dire qu'elle avait une certaine habitude avec Aoki, à force, il n'était pas bien compliqué de la satisfaire ainsi, elle savait la marche à suivre. De sa main de libre, elle s'occupait aussi de celui de Felicia. Pas de jalouse. Du bout des doigts, elle caressait la tête de sa petite protégée, récompensant cette dernière comme il se doit.

« Tu n'auras pas à te retenir avec elle, elle est habituée à avaler ma queue, très profondément dans sa petite bouche, ma Feli-nyan. »

Observant sa partenaire avec une lueur de complicités dans le regard mêlée à une dose amoureuse, elle lui souriait laissant leur chienne les satisfaire doucement en s'aidant de sa délicieuse bouche.

« Doutzen, occupe-toi un peu de ton autre Maîtresse. Et n'hésite pas à lui montrer combien tu es très douée ! »

Elle pouvait bien laisser d'abord sa petite amie profiter de tout cela. Aoki avait déjà bien assez profité des talents buccale de sa protégée, elle n'était plus à ça près. Continuant de caresser ses cheveux du bout de ses doigts, elle ne quittait pas sa Felicia des yeux, que ce soit sous la ceinture ou dans les yeux.

« Ma petite chienne est douée pour un tas de choses... Mais il y a certaines choses à essayer ensemble ce soir. On n'a pour le moment pas essayé ses talents pour les ménages à trois... Je me demande si elle supporte deux queues dans le même trou ? Et dans lequel elle préfère ça ? Hum hum, on le devinera ensemble, ma chérie. »

Pauvre petite Doutzen, elle va avoir besoin d'une grosse journée de repos après une telle soirée... qui ne faisait que commencer, la Vraie soirée va débuter. Elle va voir combien ses maîtresses sont aussi exigeantes que complémentaires.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le mercredi 28 novembre 2018, 14:02:14
Doutzen était donc là, face à deux femmes redoutables, dans de superbes combinaisons moulantes en latex. Elle en avait la gorge sèche à force de les observer. Hardy-san avait une belle combinaison noire moulante mettant ses formes en valeur, et Kou-san, elle, avait une combinaison similaire, mais blanche. Les deux femmes avaient ouvert leur combinaison à hauteur de leurs sexes, faisant sortir leurs sexes hermaphrodites. Devant ce spectacle, Doutzen ne pouvait que saliver sur place, tremblant nerveusement, et, agenouillée, s’était rapprochée d’elles. Elle avait commencé par prendre la queue de sa Maîtresse en bouche, et les deux femmes se serrèrent contre elle, la main de Hardy-san empoignant également les cheveux de Doutzen, ce qui faisait doucement trembler la jeune adolescente. Qui aurait pu sincèrement croire que les choses évolueraient ainsi, et qu’elle finirait par se retrouver là, à être la délicieuse victime largement consentante de ces deux femmes ? Elle sentait dans sa bouche le membre tendu de sa Maîtresse, et était fiévreuse d’excitation en se disant que c’était grâce à elle, grâce à ses pilules d’hermaphrodisme, qu’elle avait pu faire de Kou-san une Futanari... Ce qui était indéniablement pour Doutzen, dont l’esprit semblait être définitivement corrompu, une meilleure chose !

Mais Kou-san lui demanda de partager. Assise sur ses genoux, Doutzen ré »pondit par l’action. Elle retira sa bouche de la verge tendue de Kou-san, et alla prendre celle de la femme, optant rapidement pour un enchaînement de gorges profondes. Elle reniflait cette odeur de latex, ce mélange agréable de sueur et de latex. Oh, oh ! Quel goût enivrant ! C’était exquis, exquis ! Que ce soit l’odeur, le goût, la sensation de ce membre tendu s’enfonçant dans sa bouche. Elle sentait les ongles tranchants de Hardy-san s’enfoncer dans son cuir chevelu, lui arrachant quelques onctueuses crispations de douleur.

« Hmmm... »

Gémissant encore, Doutzen mouillait de plus en plus, mais n’osait pas se caresser, car sa main masturbait le sexe de sa Maîtresse, et l’autre s’appuyait sur le corps moulé d’Hardy-san, serrant le latex, le faisant doucement crisser entre ses doigts.

« Oui, elle est vraiment douée, hmmm... C’est ça, l’esprit Mishima ! »

Félicia et Aoki s’embrassèrent tendrement, leurs queues tressautant dans la bouche de Doutzen, qui entendit ensuite Kou-san proposer... Une double pénétration dans un même trou. Félicia sourit malicieusement, mais Doutzen avait clairement senti le chibre de Félicia se redresser à cette idée.

*Difficile de dire laquelle est la plus perverse de nous trois...*

Cette idée n’avait en effet pas manqué d’exciter aussi Doutzen, qui restait silencieuse, s’affairant à son œuvre. Félicia retira alors son sexe de son visage, et le maintint là, posé contre le visage de la femme, reprenant tranquillement son souffle, tout en se retournant vers sa partenaire, et lui caressa le visage d’une main. Les joues de la Chatte Noire avaient rougi sous l’effet de ce désir fort qui palpait en elle, vibrant dans sa poitrine, et s’exprimant dans tout le reste de son corps.

Félicia avait déjà le plan en tête, et l’exprima rapidement :

« Mets-toi à quatre pattes, Doutzen... Et présente-nous ton joli cul de petite pute. Nous allons voir si Aoki n’a pas exagéré en vantant tes performances anales. »

Elle allait donc se recevoir les deux belles queues qu’elle venait de durcir au maximum dans le postérieur ? Doutzen s’en mordilla les lèvres, et obtempéra ensuite. Elle se mit donc à quatre pattes, remuant volontairement des hanches, tout en aguichant ses Maîtresses :

« Venez défoncer mon petit cul de salope, mes Maîtresses... Je vous en supplie, faites-moi hurler !! »

Elle se lâchait totalement, incapable de se retenir, Doutzen étant en pleine proie à ses pulsions masochistes et perverses...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 10 janvier 2019, 15:35:14
Aoki et Felicia pouvaient être heureuses, pour pimenter leur petite soirée, elle avait amené son élève favorite, elle était devenue proche de sa petite Doutzen. Elle avait du talent, c'était indéniable et la perte de Kanzaki l'avait rapproché de Doutzen. Elle voulait la voir réussir, là où cette fille avait échoué en perdant la vie. Kanzaki était loin d'être le même genre d'esclave que sa petite européenne, elle avait certes coucher une fois avec elle, mais elle avait avouer ne pas aimer ce genre de rapport avec les femmes. Ce qui était dommage, mais elle respectait ce choix, sinon, ça s'appelait du viol, mais elle était rester proche de Kanzaki et sa mort a été un véritable choc pour elle. Elle avait beau être entre elles, à leur sucer la queue, elle tenait à ce qu'elle soit heureuse dans cette situation, proche d'elle et que, quand elle sera sérieuse, elle réussisse à réussir son rêve. Le jour où elle vera son nom sur Hollywood Boulevard, elle sera fière d'elle.

« C'est normal, je la forme, elle ne peut qu'être excellente ! »

Mais après la formation, il y avait aussi la déformation ! Cela sera peut-être dur, mais elles allaient essayer. Et si ça lui plaît tant mieux, sinon, elle fera une croix sur ça la prochaine fois qu'elle voudra retenter le coup. Deux grosses queues dans son petit cul, ça paraissait un peu gros, mais tout fini par rentrer, avec de la bonne volonté ! Et un peu de vaseline aussi, très certainement. Felicia venait à ordonner à Doutzen de se préparer, la voulant à quatre pattes, et cette dernière le fit, venant même aguicher ses maîtresses avec un délicieux chant de sirène. Aoki gloussait en se rapprochant la première. Elle aurait pu la prendre de suite, mais elle caressa son petit cul en se penchant sur elle.

« On le fera, ma belle... Mais je vais nous faciliter le travail avant. »

Aoki se mit à genoux, venant écarter les jolies fesses de sa petite future star avant de lécher son petit trou arrière. Doucement, elle venait mouiller cette zone pour faciliter au maximum leur très proche pénétration. Pour la suite, elle se contenta de mettre son index et son majeur dans sa bouche, mouillant bien ses deux doigts avant de les enfoncer dans son cul, les remuant doucement. Une mise en bouche pour Doutzen en quelque sorte. Retirant ses doigts, Aoki lui mit une petite fessée, signe que ça allait commencer.

« Le début risque de faire un peu mal, mais ne t'inquiète pas, je suis sûre qu'après ça, c'est toi qui nous demandera de recommencer. »

Elles verront bien si c'est le cas. Y allant la première, Aoki tenait sa queue avant de s'enfoncer doucement en elle, sentant sa queue déjà compressée dans son petit cul, à deux, ça risquait de faire juste ! Une fois bien enfoncer, elle remua un peu, épousant les formes de Doutzen en s'allongeant sur elle, elle ne laissait que son cul de relever pendant qu'elle titillait son oreille avec sa langue. Après, elles pourront changer de pose et se redresser un peu, mais autant faciliter l'accès à Felicia. Toutes les deux écartaient les jambes, laissant à la Black Cat une sacrée vue !

« Viens nous rejoindre, hum, mais ne te trompe pas de trou. »

Cela allait être une sacrée partie de jambes en l'air ! Nul doute que Felicia n'allait pas délaisser Aoki comme ça, elle allait bien s'occuper d'elle, comme de Doutzen.

« Ne t'en fais pas, si on te fait trop mal au cul... on sera plus gentille avec toi. »

Mais après, car avant de se montrer peut-être plus gentille, il va falloir la faire crier cette petite !
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le lundi 14 janvier 2019, 07:30:43
Une double sodomie... Ah, ça, Doutzen allait le sentir passer ! Mais que ne ferait-elle pas pour ses Maîtresses ? Et puis, celles-ci, au terme de cette folle soirée de débauche et de magie rose, avaient dû comprendre que leur élève était une grande masochiste. Elle avait été éduquée et formée ainsi, et elle adorait ça. Pour la jeune femme, cette soirée compterait assurément comme l’une de ses meilleures soirées. Elle était donc à quatre pattes, attendant sagement que les deux femmes viennent s’occuper d’elle. Aoki commença la première, et se pencha vers elle, venant la préparer. Elle avait déjà été sodomisée ce soir, mais, pour ce que les deux femmes envisageaient, une préparation supplémentaire ne serait pas du luxe. Doutzen frémit en sentant la langue de la femme glisser sur son fondement, la léchant intimement. Elle gémit encore, fermant les yeux, rougissant sur place, Aoki continuant à la lécher.

« Hmmm... Maîtresse, haaaa... »

Doutzen avait-elle peur de ce qu’elles allaient lui faire ? Oui, mais elle savait aussi qu’elle n’était plus à ça près. Elle était convaincue qu’elle réussirait à l’endurer, car elle avait été formée à bonne école. Sa Maîtresse glissa alors un doigt dans son fondement, ce qui la fit à nouveau frémir. Doutzen n’aurait jamais cru pouvoir être une sodomite, mais il fallait se rendre à l’évidence ; elle appréciait grandement cela, et les sensations qu’une sodomie pouvait procurer. Elle rougissait sur place, avant qu’AOki ne s’écarte, et ne se redresse. Sa queue vint frotter ses fesses, faisant frémir la jeune femme.

*Ça y est, ça va commencer !*

Elle était sacrément impatiente, et se tortillait sur place, crispant ses doigts sur le sol. Elle hocha la tête, et sourit en constatant qu’Aoki avait opté un ton plus doux, comme si elle-même craignait pour la santé de son esclave.

« Ne vous inquiétez pas, Maîtresse, j’ai été bien élevée par vous, non ? Mon corps n’attend que vos traitements ! » s’exclama-t-elle, impatiente.

Et elle sentit alors son vit s’enfoncer en elle. Doutzen frémit doucement, crispant ses doigts à nouveau sur le sol, et étouffa un gémissement. Aoki commença par donner plusieurs coups de reins, afin de bien adapter son fessier. Fort heureusement, le corps de Doutzen était habitué à la sodomie, ce qui fit que ses parois anales purent facilement se dilater rapidement. Au bout de quelques minutes, la queue d’Aoki put ainsi s’enfoncer jusqu’à la garde, ce qui conduisit ensuite celle-ci à changer de position. Elle se coucha sous le corps de son esclave, et renfonça son chibre en elle, tandis que son visage se retrouva derrière le sien, Doutzen étant couchée sur le dos par rapport à elle.

Tandis que sa Maîtresse s’attaqua à son oreille, la léchant, Doutzen, elle, vit Félicia se rapprocher. Elle portait aussi une combinaison moulante, et son sexe pointait, membre veineux et turgescent. Elle se pencha vers les deux femmes, et attrapa les cuisses de Doutzen, un sourire sur le coin des lèvres.

« Pour le coup, je ne saurai dire laquelle de vous deux est la plus perverse...
 -  Haaaa... »

Doutzen frémit en sentant le membre s’approcher de son fondement, caressant la queue d’Aoki, provoquant entre les deux femmes une sorte de frisson électrique. Félicia se concentra ensuite, et heurta le fondement de Doutzen, qui poussa un râle, en se tortillant doucement sur place. Sa tête s’appuyait contre le corps d’Aoki... Puis Félicia la pénétra à son tour.

« Hmmmrrrpffff...
 -  HMMMMMMMMMM... !! »

Le visage de Doutzen devint cramoisi, et elle ferma les yeux en sentant cette seconde queue s’enfoncer dans son cul, se mettant à mouiller frénétiquement.

Puis tout ne fut ensuite qu’une explosion de sensations, une douleur extrême s’accompagnant d’un plaisir proportionnellement extrême...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le lundi 28 janvier 2019, 15:43:16
Doutzen allait franchir un nouveau cap avec ses maîtresses. Ça en faisait beaucoup en une soirée, mais après ça, elles ne devraient pas imposer plus grand encore. Ce qu'elles s'apprêtaient à lui faire subir était déjà de placer la barre très haut pour une première nuit entre leurs bras. À quatre pattes, elle attendait que ses maîtresses viennent lui faire subir toute sorte de choses même si leur but ne laissait aucun doute. Une belle rondelle de présenter, Aoki et Felicia avait pour but d'y rentrer à deux, en même temps. Une chance qu'elles aient un pénis somme tout assez banal. Quand on voyait certains pornos de Tékhos où les filles ont de véritable bras de bodybuildeur entre les jambes, Doutzen pouvait s'estimer heureuse. Aoki fut la première à y aller, venant doucement préparer le terrain et tenter de la rassurer. Elle avait beau se donner de grands airs, une double pénétration dans le même trou, ce n'était pas rien après tout.

Quand le moment approcha, Felicia venait à se demander qui était la plus perverse ? Aoki voyons ! Pour Felicia, Aoki pouvait bien devenir la reine des salopes, subissant ses envies et ses humiliations juste pour recevoir de son amour, mais elle ne pouvait pas trop se tordre dans ce rôle en présence de Doutzen, elle avait un rôle qui était l'éduquer donc, un peu de tenue. Quand la Black Cat s'enfonça doucement en elle, Aoki venait caresser les cheveux de Doutzen, voulant la rassuré et l'aider à supporter cela. Il était rare qu'Aoki soit aussi douce en de telles circonstances, mais il faut bien prendre soin de sa petite étoile. Aoki aussi serrait les dents, sa queue était compressée dans son élève, la queue de Felicia écrasait la sienne dans son fondement après tout.

« Làààààà, ma belle... On va y aller doucement, pour que tu t'habitues, d'accord ? »

Elle caressa son dos, embrassant doucement la belle blonde en remuant faiblement, entraînant Felicia dans ce rythme lent et soutenue pour habitué son petit cul à ses deux queues en elle. Il fallait bien y aller en douceur, y aller trop vite dés le début pourrait rendre la chose plus désagréable et lui laisser un souvenir moins bon que celui qu'elle devait garder en mémoire. Aoki devait tout de même s'assurer que tout allait bien pour elle, que ce ne soit pas trop intense non plus. Elle caressait son corps, ses cheveux, rompant parfois le baiser pour voir si tout allait bien. Elle n'oubliait pas Felicia pour autant, faisant quelques grimaces excitantes pour que la Black Cat se tienne prête à agir dés que Doutzen sera prête. Elle faisait glisser sa langue le long des lèvres, mimait une fellation pour mieux préparer l'héroïne à augmenter la vitesse.

« Ne t'inquiète pas, après ça hummm... On sera plus gentille avec toi... »

Après cette double sodomie, il est possible que la pauvre ne veuille un temps mort. L'occasion pour elles de s'amuser à deux pour mieux faire revenir Doutzen dans la partie, laissant son joli petit cul tranquille dans un premier temps.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le dimanche 03 février 2019, 13:21:44
Doutzen n’avait jamais rien caché à Aoki. Au contraire, elle avait toujours été honnête avec elle, car son plus sincère désir était que la femme se rapproche d’elle. Entre les deux, le courant avait été assez rapidement immédiat, au point qu’elles étaient maintenant devenues des amantes, et partageaient bien plus qu’une simple relation professionnelle peu chaste. Aoki avait montré à Doutzen sa petite-amie, et, réciproquement, Doutzen avait montré à Aoki sa famille. Aoki savait ainsi que le père de Doutzen était un individu peu recommandable, mais qui n’était pas hostile à leur rapprochement. Et, dans l’esprit de Doutzen, être formée par Aoki était une excellente chose, que ce soit au niveau de ses talents d’actrice... Ou même au niveau de talents plus personnels, plus sexuels. Aoki avait une sorte de talent inné dans ce domaine, et Doutzen était ravie de pouvoir en profiter. Et, là, ce qu’elles s’apprêtaient à faire était l’illustration de leur forte perversion.

La sodomie était une chose que Doutzen connaissait, et qu’elle pratiquait régulièrement. Aoki le savait, ce qui expliquait sans doute pourquoi elle avait proposé cette double sodomie. Un exercice redoutable, car Doutzen sentit les deux belles verges s’enfoncer en elle. Sa bouche s’écarquilla, et ses mains se crispèrent sur les épaules de sa Maîtresse. Un cri silencieux mourut dans sa gorge, puis elle ferma les yeux, les rouvrit, et hurla alors plus fortement, sentant les verges s’enfoncer en elle, tapant l’une contre l’autre. Félicia avait surtout un rôle actif, et Doutzen se mit à remuer. Certes, Aoki avait dit qu’elles y iraient lentement, mais...

« P-Plus vite, haaaa... Plus vite, Maî-Maîtresses ! »

Non seulement Doutzen était effectivement une perverse, mais elle était aussi une femme qui considérait qu’il fallait battre le fer tant qu’il était encore chaud. Les mains griffues de Félicia se posèrent sur ses fesses, et elle sentit cette dernière commencer à donner de grands coups de reins, déformant le fondement de la femme, permettant ainsi à Aoki de s’y enfoncer plus facilement. Mouillant frénétiquement, Doutzen, qui était une grosse masochiste, sentait un plaisir inouï déferler en elle, à hauteur de la souffrance intense qu’elle ressentait.

« Hmmmm, ton cul se... Se di-Dilate bien, haaa... »

Elle gifla alors le postérieur de Doutzen, tandis que les deux phallus remuaient en elle. Doutzen en avait de la bave qui coulait hors de ses lèvres, et se pressa contre le corps d’Aoki, mordillant son cou, avant de l’embrasser, tremblotant sur place. Rien ne semblait calmer les deux femmes, ses deux Maîtresses qui la besognaient sans relâche. L’idée d’Aoki était délicieusement perverse, et, pour Doutzen, il semblait évident que, dans les prochains jours, elle aurait bien du mal à pouvoir s’asseoir ! Une douleur exquise et puissante remontait furieusement en elle, s’instaurant dans son corps, une situation plaisante et extrêmement jouissive.

Doutzen se laissait donc faire, et les minutes défilèrent à toute allure. Les deux femmes la prenaient longuement, tandis que cette nuit semblait interminable, éternelle... Et, à vrai dire, Doutzen n’avait clairement pas envie que cette nuit se termine ! Oh non, elle prenait clairement bien trop son pied en ce moment pour avoir envie d’en finir là ! Savourant ses partenaires, elle haletait encore, continuant à hurler, mouillant de plus en plus.

Sous ce mélange de douleur intense et de plaisir exquis, Doutzen approchait clairement de l’orgasme...
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Aoki Kou le jeudi 28 février 2019, 16:02:26
Que de sexe ! En compagnie d'Aoki et Félicia, il ne fallait pas s'attendre à autre chose de bien différent. Elles s'aimaient pour ça, et elles le prouvaient bien. Toutes les deux étaient en train de sodomiser la petite Doutzen qui était toutefois consentante. Mais elle allait s'en souvenir de cette première soirée chez elles ! Oh ça oui ! Venant la prendre, c'était Félicia qui avait le plus de possibilité de manœuvre sur tout cela, venant remuer en allant le plus loin possible en elle, elle faisait en sorte de bien écarter son anus pour qu'Aoki puisse mieux remuer en elle. Le but n'était pas juste de s'y loger, mais aussi de la baiser à deux. Pleine d'amour, débordant d'amour même, Doutzen en bavait tant elle atteignait les monts du plaisir. Aoki, toujours plus perverse, venait lécher cette bave qui coulait le long de son menton quand c'était possible, il faut aussi bien reconnaître que la prendre à deux lui laissait pas trop de temps de flâner, elle se concentrait sur cette sodomie, un triple plaisir pour elles ! Doutzen prenait le plus de plaisir, évidemment, mais le couple savourait elles aussi tout cela.

« Huuuuum ! Ouhhhhh quelle belle salooooope ! »

Mais après avoir bien profité de ce très joli petit cul, les deux femmes venaient enfin à jouir en elle, venant remplir son petit trou, laissant même très certainement une partie de leur liquide couler le long de son petit trou dilaté. Félicia se retira, tout comme Aoki qui pouvait laisser la petite se reposer tranquillement, elle l'avait bien mérité.

« Repose-toi, ma poupée... Reprend des forces... »

Cela ne l'empêchait pas d'être douce avec elle lui caressant le visage. Elle était séparée de Felicia par Doutzen au milieu du lit mais la soirée n'allait pas se terminé comme ça, pas pour le couple en tout cas. Qui sait, Doutzen avait peut-être repoussé ses limites et ne serait pas contre pour rester simple spectatrice ? Ce serait étonnant, mais ça reste une humaine, qui a besoin de se reposée, comme Aoki ou Félicia. Mais elles, elles ont finit par prendre un certain rythme sexuel, ou elles repoussaient sans cesse leurs limites. Elles sombraient de fatigue elles aussi, mais elles ont connues de soirées à deux plus fatigantes ou même à quatre. Oui, elle a vécu la situation de Doutzen, son anus étant pris par Félicia et Poison Ivy, avec en plus La queue d'Harley Quinn pour lui donner de quoi occuper sa bouche. Donc elle était bien placée pour comprendre sa poupée. Sa main caressa son corps, plus en guise de récompense que pour l'inciter à revenir jouer avec elles. Son regard finissait par se posé sur son amante, son sourire laissait présager la suite...

« [Viens t'occuper de ta petite salope Japonaise, ma jolie maîtresse Américaine. Ma petite chatte ou mon petit cul, prend ce qui te plaît.] »

De temps à autre, Aoki mettait à profit ses cours d'Anglais pour parler dans la langue maternelle de sa petite amie, non pas qu'elle parlait mal le Japonais, au contraire, mais quand une étrangère parlait dans sa langue natale, ça avait toujours un certain charme. Alors ce charme couplé à l'excitation, ça donnait un subtil cocktail.

« [Montrons à cette petite poupée, ce que c'est que le sexe entre deux adultes.] »

De plus, Aoki avait encore sa queue qui se tendait à nouveau doucement, un jouet en plus pour Felicia ou de quoi occupé Doutzen qui voudrait tout de même porter sa pierre à l'édifice ? La façon dont la Black Cat allait s'occuper d'elle allait décider de cela.
Titre: Re : Future étoile [Aoki Kou]
Posté par: Doutzen Kroes le samedi 02 mars 2019, 16:58:27
En compagnie de Reto, Doutzen avait acquis une expérience sexuelle redoutable. Son père adoptif était un impressionnant pervers, comme Aoki avait eu l’occasion de le constater. Et, pour parachever les talents d’Aoki en la matière, Reto avait été jusqu’à lui adjoindre l’assistance d’une prostituée de luxe, Olga… Mais l’aide d’Olga allait-elle vraiment être utile, face à Aoki ? C’était presque à croire que la séance avec Olga avait galvanisé Aoki ! En tout cas, la double sodomie qu’Aoki et Félicia lui imposaient était particulièrement violente, et terriblement intense. Doutzen hurlait à s’en casser la voix, peinant à rester debout, jusqu’à sentir un orgasme fulgurant la traverser. Ses deux Maîtresses jouirent également en elle, ce qu’on ne pouvait que comprendre ! Quel spectacle, en effet ! Rien n’était épargné à la jeune femme, et Doutzen tremblait nerveusement sur place, tandis que, inlassablement, les deux beautés continuaient à lui défoncer le cul. Oui, oui ! Doutzen n’aurait jamais cru pouvoir aller aussi loin avec elles, qu’Aoki irait jusqu’à franchir toutes les limites, mais… Doutzen adorait clairement cela. Elle aurait voulu que cette séance soit sans fin, éternelle, qu’elles se retrouvent prisonnières dans une bulle temporelle où elles continueraient inlassablement à baiser, toutes les trois, sans tenir compte du reste, du temps qui passe, en se concentrant juste sur le pied qu’elles prenaient en ce moment.

« Gnnnn… !! »

Une fois ce double orgasme terminé, Doutzen s’effondra sur le lit, sentant le sperme s’écouler lentement de ses fesses. Elle se pinça les lèvres, avant de sentir Aoki se déplacer lentement. Sa Maîtresse se posta devant elle, et la câlina délicatement, relevant son visage. Ses mains gantées glissèrent doucement sur le visage en sueur de l’Européenne, qui soupira encore. Elle releva doucement sa tête vers elle, et lui sourit délicatement.

« Ça… Ça va, juste… Hmmm… »

Elle respira encore, et Aoki s’écarta d’elle. Elle se mit à parler en anglais tout en regardant Félicia. Si Aoki et Félicia avaient aussi dépensé beaucoup d’énergie, elles en avaient encore beaucoup à revendre ! La Chatte Noire était après tout une femme très endurante, et Aoki… Et bien, même si Aoki n’était qu’une humaine, elle semblait disposer en matière sexuelle d’une sorte de super-endurance, un pouvoir clairement surnaturel ! Et puis, Félicia l’avait initié à du sexe de haut niveau, notamment en compagnie de Poison Ivy ou d’Harley Quinn. Tout ça avait donné lieu à des orgies grandioses, où Aoki avait pleinement assumé son rôle de « poupée sexuelle » face à ces trois sensuelles et dangereuses femmes.

Félicia sourit donc devant l’impatience d’Aoki, et commença par lui répondre, en anglais :

« Okay, chérie. Pourquoi ne commencerais-tu par sucer ma queue pour lui rendre un peu de dureté ? »

Les Japonais disposaient d’une facilité à comprendre l’anglais, ce qui s’expliquait par le fort rapprochement entre le Japon et les États-Unis après la Seconde Guerre Mondiale. Doutzen vit donc Aoki se mettre à quatre pattes, et lécher le sexe de Félicia. Elle promenait sa langue dessus, distribuant une série de baisers sur la hampe de chair, jusqu’à la faire se durcir, lui rendre progressivement de sa superbe. Aucune des deux femmes ne cherchait à forcer l’allure,  puisqu’elles avaient une spectatrice. D’ailleurs, en se couchant sur le dos, Doutzen pouvait voir les fesses d’Aoki, très bien moulées dans sa combinaison, qu’elle rapprochait petit à petit de son visage.

Doutzen avait beau être plus jeune qu’elles, elle était encore bien décidée à leur montrer qu’elle n’était pas encore vaincue ! Elle redressa donc son visage, et posa ses mains sur le cul d’Aoki, venant le malaxer, enfonçant ses pouces sur la combinaison, décrivant ainsi une série de plis sur le latex. La combinaison se mit à crisser doucement, pour son plus grand plaisir, tandis qu’elle sentait, contre ses seins, le sexe d’Aoki, se dandinant doucement, regagnant de sa vigueur.

« Hmmm… A-Kou-san, hmmm… »

Elle s’y attaqua donc, venant se pencher, et lécha le creux entre ses fesses, titillant le latex sans aucune gêne, mordillant sur place, témoignant ainsi de son fétichisme… Mais aussi, et surtout, de sa perversité !