Félicia et Aoki s’amusaient vraiment beaucoup avec Doutzen, et c’était aussi le cas pour elle. La jeune blonde était en train de sombrer dans les méandres de la perversion, voyant les deux femmes se livrer à de l’ondinisme avec elle. La bouche pleine de pisse, elle se sentait salie, choquée, humiliée, et vit Aoki l’embrasser. Doutzen couina lentement, et libéra sa bouche de ce liquide poisseux et acide, déglutissant lentement. Quand on faisait ce qu’elle faisait, quand on servait sexuellement des clients pervers aux fantasmes lubriques, il fallait parfois s’attendre à ce genre de choses, et, somme toute, tant que ça s’accompagnait d’une bonne séance de baise, ce n’était pas Doutzen qui s’en plaindrait ! Et là, eh bien, entre Félicia et Kou-san, autant dire qu’elle était servie !
Aoki se faisait prendre par Félicia, qui lui prenait sèchement et énergiquement le cul. La belle blonde ne tarda pas à hurler, et, après son baiser avec elle, Doutzen s’écarta un peu, observant le visage de sa Maîtresse. Il se couvrait de plaisir et de couleurs, ses joues rouges s’enflammant sur place. Elle rougit et se pinça les lèvres quand Kou-san lui expliqua que, après, elles s’occuperaient de bien la baiser toutes les deux, ce qui ne manqua pas de l’exciter. Il faut bien dire que, pour le moment, elle avait surtout été humiliée et fessée, sans trop avoir de plaisir. Fort heureusement, les deux femmes étaient bien décidées à la prendre ensuite.
*
J’espère bien...*
Elle voyait les mains de Félicia s’abattre sur les fesses d’Aoki, la giflant régulièrement, avant de finir par se relâcher en elle. Félicia s’écarta ensuite d’elle, et se rapprocha de Doutz’.
«
Bon... Avant que je n’achève Aoki, Doutz’, on va s’occuper de toi... Mais dans des tenues correctes ! -
Que... Comment ça ? »
Félicia sourit malicieusement, puis posa sur les yeux de la femme un bandeau, et la fit sortir de la chambre. Surprise, Doutzen se laissa faire, et avança dans le couloir. Elle entendit une porte s’ouvrir, et laissa Félicia et Aoki la guider. Levant les mains quand on le lui ordonnait, Douitzen soupira en sentant des sangles se serrer sur ses poignets, et entendit le cliquetis des chaînes. Elle resta ensuite sur place, regardant autour d’elle, désorientée. Les deux femmes partirent, la laissant seule dans cette pièce pendant plusieurs minutes.
Doutzen grelotta légèrement, comprenant qu’elle était debout, bras écartés au-dessus de la tête. Le temps passait, et la jeune femme soupira encore, faisant cliqueter ses chaînes, se demandant pouruqoi les deux femmes prenaient tant de temps... Puis la porte s’ouvrit ensuite de nouveau, et des talons claquèrent sur le sol, ainsi que des crissements de latex.
«
Bon... Désolée, ma chérie, ta Maîtresse est excitée comme une petite puce... »
Une main tendre et griffue caressa soudain son sein, et pinça le téton de Doutzen, la faisant gémir. Elle se tortilla sur place, et une main retira soudain son bandeau. Doutzen cligna alors des yeux en voyant, devant elle, Hardy-san,
dans une étonnante combinaison noire moulante en latex... Mais le plus étonnant venait sans doute de Kou-san, qui portait, elle aussi, un ensemble très particulier.
En l’occurrence, il s’agissait d’une
superbe tenue violette et blanche, moulante, avec un système de harnais et de cordes. Ses yeux s’émerveillèrent alors, et elle se pinça les lèvres.
«
Eh bien... Vu son air émerveillé, je crois que Doutzen est ravie d’être notre prisonnière, tu ne crois pas, Aoki ? »
Ça... Ça, elle n’allait pas nier !!