Il devait être aux alentours de 23h30 en cette douce nuit estivale, la banque Satori avait fermée ses portes depuis une bonne petite heures et les seuls personnes encore sur places était un trio de vigiles tournant autour du bâtiment afin de dissuader d'éventuelle fauteurs de troubles, comme d'hab, la nuit s'annonçait calme pour les trois vigiles... enfin... peut être...
Oui car plus haut, sur un building, juste efface de la dite banque, il se préparer une sacrés coup les amis, deux hommes vêtus d'un smoking violet et d'un masques à gaz blancs marqué d'un sourire rouge étaient postés. l'un d'eux sortie alors de sa poche un portable, il venait de recevoir un message.
"Que le show commence"
-Ok mec... Ont envoie la purée...l'autre homme fit alors un signal lumineux à un homme posté sur le toit de la banque, ce dernier lui répondant de suite par un autre signal.
C'est bon, l'alarme est désactivée, tu peux dire aux autres de se pointer...Ok... Je préviens le boss... Lâcha l'homme en pianotant un message sur son portable.
Quasiment aussitôt, un fourgon de couleur violet déboula à toute vitesse devant la Banque, une fois le fourgon garé, une tripoté d'homme vêtus de la même manière que les précédents sortirent de l'arrière du fourgon.
Allez ! Allez ! Ont ce sort les doigts du cul les gars, ont à Exactement 15 minutes avant que l'alarme redevienne opérationnelle ! Vociféra un des braqueurs, tandis que deux autres s'affairaient à abattre les trois gardes.
-Bon... Il est grand temps de faire les grands méchant loups...- Bordel le boss est complétement barré, t'as vu ce qu'il y à dans son sac ? Ouai j'ai vu, mais pour l'heure, ouvrons donc les portes de ce somptueux endroit !Les deux hommes posèrent alors plusieurs charges explosives sur les portes, puis...
C'est bon Patr... BOUM !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!à peine le braqueur eu t'il le temps de finir sa phrase que les charges explosèrent.
Bon... Il y a déjà deux parts de moins à donner...Ferme ta gueule et bouge toi, ont à pas que ça à foutre...Trois hommes entrèrent alors dans le bâtiment, se dirigeants directement vers la salle du coffre, suivie d'une étrange silhouette féminine elle aussi, le visage recouvert par un masque à gaz. Cette dernière en revanche, ne se dirigeât par vers le coffre, nan au lieu de ça, elle se contenta seulement d'ouvrir les caisses de la banque à grand renforts de coups de batte de baseball.
Coffre
- Allez... Grouille toi ! C'est du gâteaux ce coffre !
J'aimerais bien t'y voir, c'est pas comme dans les film d'amerloques sale con !
Ferme la et bouge toi !
C'est bon, si vous êtes pas content cassez vous, ça en fera plus pour les autres...
T'as le droit de rêver !
... j'ai fini... de toute manière...La lourde porte du coffre s'ouvrit alors lentement mais surement, faisant apparaitre plusieurs tables en inox garnies de plusieurs centaines de liasses de billets.
Putains les gars... Ont est riches !
Ouai ! ont l'est ma salope ! ont l'est !
Vos gueules, il ne nous reste que peux de temps et le boss aime pas les imprévus ! Les trois hommes s'attelèrent alors à rapidement garnirent leurs sacs de billets, le temps jouait contre eux, a cause de l'explosion, la police risquait à tout moment de débarquer sur les lieux.
Hall de la banque
L'étrange jeune femme masquée venait de déposer son sac bourré de fric devant l'entrée, attendant patiemment le retour des autres, entre temps les trois hommes postés sur les toits avaient rejoins les lieux..
Tout semblait se passer pour le mieux... jusqu'au moment ou une voix féminine vint à faire irruption dans la pièce.
« Okay les amateurs, on se vire de MA banque et je vous laisse juste repartir avec mon pied au cul! Non mais, s'attaquer à ma cible, j'le crois pas! »Le petit groupe se retournât alors vers la belle incongrue, une pauvre blondasse toute vêtue de rouge et de noir, avec en prime une bombe à la main.
PUT... ELLE A UNE BOMBE ! s'écria l'un des hommes
Laisse la moi... je vais me la faire... Répondit un autre en pointant une mitraillette vers la blonde aux allures clownesques.
Mais au moment d'appuyer sur la gâchette... un coup de feu retentie alors... Le braqueur venait d'être abattu par l'étrange femme masquée, femme masquée qui... et bien qui enleva son masque justement, laissant ainsi apparaitre un visage blafard, un sourire sanglant, des yeux cernés par un maquillage noir et tout cela rehaussé par des longs et verts.
Ohohoh ! voilà une entrée en matière ma fois... explosive ! Dit elle en s'adressant à la blondinette, les bras grand ouverts,
fusil à pompe à la main.