Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Blue April

E.S.P.er

Blue April, ça n'est pas son vrai nom, mais c'est comme ça que les scientifiques l'ont baptisée. Comme une comète, parce qu'il n'y a pas que les astronomes qui ont le droit de s'amuser, et que les biologistes peuvent aussi parfois se lâcher. Et il faut avouer que c'est joli ! Elle-même, elle ne peut nier qu'avec une certaine mauvaise fois l'élégance du titre. Ça dégage quelque chose de plus mystérieux que April Smith, son nom d'origine.

April a toujours eu les cheveux bleus, aussi loin qu'elle se souvienne. Déjà à la maternelle, elle trimballait sa tignasse bleu marine dans la court de recrée. Elle était mal malentendante aussi, ce qui n'arrangeait pas son cas. Difficile de se faire des amis avec un bagage pareil, surtout en ayant constamment l'air absorbée dans ses pensés. Un peu à l'écart dans la des autres enfants, quand elle vivait à Londres, elle préféra vite la compagnie d'objets inertes à celle de ses pairs. Empiler des cubes, disposer des cailloux selon des formes suivant ses envies, jouer avec tous les objets qui lui passaient sous la main, voilà quelle était sa principale activité. Elle s'y adonnait avec un air absent, pendant que les autres s'échangeaient des cartes pokémon. La pose d'un appareil auditif fut, à la grande surprise de son médecin, un échec total. Aucune amélioration de son état. Ses parents désemparés s'en trouvèrent réduits à crier pour se faire entendre, et cela resta la meilleure solution pendant un moment. Elle fit un passage par une école spécialisée pour les enfants souffrant de troubles de l'attention, mais rien n'y fit. Impossible de la faire se concentrer sur la moindre activité scolaire plus de 5 minutes.


Elle affabulait, souvent. Prétendait entendre des choses à des moments où, de toute évidence, il n'y avait aucun bruit. Elle utilisait des mots étranges pour une enfant de son âge, de temps en temps. Parlait de manière assurée et décousue des hommes politiques, sans même savoir qui ils étaient, chantait des chansons qu'elle n'aurait jamais du entendre. Sa mère lui fit consulter ce... psychoquelque-chose, spécialisé dans la petite enfance. Ce dernier lui diagnostiqua un truc entre l'autisme et la schizophrénie et la mit sous traitement médicamenteux. Aucune amélioration ne se fit sentir cette fois encore, et ses parents se résolurent à stopper le traitement.


Puis arriva l'age de raison : elle était toujours aussi mauvaise en classe, et ne savait pas lire le moins du monde. Toujours aussi absente au quotidien. Cependant, son état général sembla s'améliorer lentement. Son ouïe se développa petit à petit jusqu'à atteindre un sensibilité presque normale. Puis, à partir de dix ans, elle commença à se montrer capable de fournir une attention soutenue envers le monde qui l'entourait. Comme si elle se réveillait lentement d'une semi-léthargie, elle commença à aller maladroitement vers ses semblables.

Son retard scolaire était réellement colossal, si bien que lorsqu'elle commença à porter un début d'intérêt à ses études, à l'age de 12 ans, elle en étant encore à mémoriser l'alphabet.


En réalité, son ouïe n'avait jamais été défectueuse, bien au contraire. Aucun être humain normalement constitué ne pouvait prétendre à entendre mieux qu'elle. Si son ouïe ne se distinguait pas par la finesse, elle le faisait par l'amplitude ; April, depuis tout petite, était d'"entendre" des sons dont les fréquences allaient bien au delà et en deçà des bornes habituelles de l'oreille humaine. Le brouhaha qui parvenait à ses oreilles était bien sûr une distraction continue, et il lui fallut du temps pour apprendre à faire abstraction de certains sons pour se concentrer sur ceux qui l'intéressaient : c'est pourquoi, durant la première partie de sa vie, elle était incapable d'entendre correctement ou de se concentrer.

Cette capacité lui vient de l'anatomie hors du commun de ses oreilles, au delà du canal auditif : les scientifique qui la disséqueraient trouveraient, derrière une batterie de 12 tympans, une cinquantaine de marteaux de tailles variables, du microscopique au super gros.


C'est à l'age de 15 ans qu'April Smith disparut de la surface de l'Angleterre. Elle avait décidé de fuguer, à nouveau. Ça n'était pas la première fois, non, c'était la troisième, en deux ans. Elle avait fini par prendre pleinement conscience du gouffre qui la séparait des autres adolescents, elle qui ne savait toujours pas lire, et peinait à parler à quiconque. L'enfermement dans cette école pour enfants en difficulté était devenu un véritable enfer pour elle. Elle n'avait jamais eu de plan lors de ses escapades, mais au moins elle respirait, pendant le court moment où elle était libre. Elle goûtait, chaque fois, pour quelques jours, l'illusion d'avoir effacé ses problèmes, et elle errait à sa guise, son sac sur le dos. Le plus souvent, elle partait au hasard en sautant dans un train et cherchait à quitter la ville. Elle cherchait une rivière, ou un lac et en profitait pour nager. Puis elle attendait qu'on la trouve. Les deux premières fois, cela avait pris quatre jours. Cette fois, les autorités britanniques perdirent complètement sa trace.


Elle était retournée au lac de la première fugue, pour sa troisième. Manque d'imagination, sans doute, mais elle l'aimait, ce point d'eau. Elle y était arrivée au beau milieu de la nuit : mais qu'importe, c'était l'été. Elle avait fait un tas de ses vêtements et s'apprêtait à pénétrer la surface lisse du lac, quand un bruissement lui fit tendre l'oreille ; en quelques secondes, le murmure qui emplissait l'air se transforma en vacarme, en un concert désordonné de croassements et de battements d'ailes frénétiques. Une nuée de corbeaux, à peine visible dans la nuit, mais produisant un chahut terrifiant, tourbillonna au dessus du lac, ridant le miroir de sa surface par le souffle de sa spirale enragée. Pendant quelques secondes, les oiseaux formèrent une masse opaque et mouvante, aux déplacements erratiques. La jeune fille restait figée, captivée par ce spectacle dont l'aspect mystérieux l'oppressait ; elle s'était accroupie les bras devant la poitrine, comme pour se faire minuscule, invisible. Et elle scrutait. Elle observait la chose, priant pour que celle-ci ne s'aperçoive pas de sa présence.

Et soudain la masse instable se, et l'essaim explosa dans une cacophonie de hurlements stridents ; April s'enroula sur elle même pour se protéger, genoux et face contre terre, tête entre les mains. En quelques instants tout était fini, mais l'adolescente haletait et tremblait toujours, les yeux fermés.


"Tu n'as rien à craindre, petite."

Difficile de dire pourquoi, finalement, elle fit confiance à cette femme soudainement apparue au milieu du lac, enveloppée dans un tissu rouge sang. Peut être parce qu'elle se sentait seule, ou peut être à cause de la beauté captivante de l'inconnue. Toujours est-il que son hésitation ne fut pas si longue, quand la femme aux corbeaux lui fit lentement signe d'approcher, avant qu'elle s'exécute. Elle n'avait jamais été pudique, et la femme semblait tout aussi nue qu'elle, sous son manteau : April ne prit donc pas la peine de tenter de masquer sa nudité. Elle s'avança d'un pas hésitant jusqu'à la lisière du lac, et s'enfonça progressivement dans les eaux sombres, jusqu'à ce son intimité indigo soit éclaboussée par les remous qu'elle provoquait à chaque pas. La dame en rouge lui ouvrit son drap, découvrant sa nudité immaculée. Le visage de la brune se fendit d'un sourire devant le regard inquiet que lui lançait la demoiselle. Tendre la main suffit à ce que la timide la saisisse et se laisse entrainer. La belle inconnue blottit April contre son torse, et le voile rouge s'enroula autour des deux femmes qui s'enlaçaient comme une mère et son enfant. L'adolescente se sentit soudain bercée, affaiblie. Elle se sentait tellement bien qu'elle aurait presque pu s'endormir.


Lorsqu'April se réveilla, elle était étendue sur la paillasse d'une cellule froide. Où était-elle ? Au commissariat, certainement. Je vous épargnerais la suite de désillusions et de désespoirs qui s'emparèrent de la jeune fille au fur et à mesure qu'elle comprenait qu'elle n'avait pas été attrapée par la police et qu'elle ne recevrait pas bientôt une énième remontrance de ses parents. Je ne vous détaillerais pas sa tentative de rébellion contre ce médecin qui lui posait des centaines de questions dont elle ne comprenait pas la finalité, les gifles, puis les coups de trique qu'on lui administra pour la rendre docile. Ses bleus, sa lèvre fendue, ses larmes, ses cris, sa coopération obtenue par la force. Elle finit par se résigner, au fil des jours, et répondit aux questions sans même tenter de travestir la vérité. Mentir pour quoi ? Elle leur raconta tout, le moindre détail de sa vie, ses parents, ses problèmes à l'école, ses oreilles ; surtout ses oreilles. Ses ravisseurs étaient tout particulièrement intéressés par elles, depuis le début. On l'anesthésia, l'incisa derrière le pavillon pour observer comment elle était faite en dedans. On la fit se reposer en chambre d'hôpital, puis la renvoya à sa cellule. Un homme en blouse blanche lui dit, en riant, qu'elle était une merveille de la nature. On la déplaçait inlassablement de la chambre à sa cellule, aux salles d'opérations, aux dispositifs de test, dans des couloirs éclairés aux néons, emballée dans une blouse blanche sur laquelle était collé un badge vert à son nom de cobaye : "Blue April".


Au bout de quelques semaines, elle ne posait plus de question, n'opposait plus de résistance. Un réflexe lui faisait encore rentrer la tête dans les épaules lorsqu'on levait brusquement la main près d'elle. Pendant plusieurs semaines, on lui fit subir plusieurs batteries de test. On lui balançait des ondes, elle répondait. "Oui, j'ai entendu, c'est une chauve souris", "C'est Helter Skelter, en beaucoup plus grave ?", "Non, je n'entend rien là"... On lui plaçait des électrodes sur la tête, lui rebalançait des ondes. On imprimait des vues en coupe de son cerveau sur des écrans d'ordinateur. On s'extasiait devant les zones jaunes qui apparaissaient sur son lobe temporal lorsqu'elle recevait des infrasons; "c'est dingue, elle les entend vraiment !".

Les médecins étaient des brutes et n'avaient aucune compassion pour elle. Sauf le docteur Lindeberg. Elle ne pouvait parler à personne, sauf au docteur Lindeberg. Lui l'écoutait, essayait de la rassurer. Oh, ça ne s'était pas fait comme ça. Ça avait commencé par un regard d'excuse au moment de lui tondre la tête. Puis quelques petits mots d'encouragements  avant une expérience. ne petite question d'inquiétude ; "tu tiens le coup ?", un jour, alors qu'elle restait assise, avachie dans sa cellule. Cette simple attention, le croisement de son regard, et elle avait fondu en larme : il était entré pour éponger les sillons sur ses joues et la bercer dans ses bras. Elle avait pleuré plusieurs minutes contre son vieux pull marron, entre les pans de sa blouse ouvert. "Ça ira", lui disait-il.


Il avait promis d'essayer de la faire sortir plus vite. Elle n'avait pas vocation à rester ici éternellement. "Mais les chefs ne m'écoutent pas toujours." Il s'était démené. Il ne pouvait pas lui rendre sa liberté, mais il pouvait la déplacer dans un endroit plus accueillant, où on ne la harcellerait pas avec des expérience, où elle serait avec des gens comme elle. Il avait fait tant pour elle ! Si elle avait tenu, c'était sûrement grâce à lui, parce qu'elle avait quelqu'un à qui parler. Et parce que sans lui, qui sait combien de temps elle serait restée dans ce laboratoire sordide ?


Elle avait 16 ans lorsqu'elle fut enfin déplacée. Elle était, en quelque sorte, de retour dans un internat. Un internat immense, avec des parcs et des terrains de sport. Une bibliothèque, une piscine, des chambres individuelles, des salles de bain luxueuses. Un internat rempli de jeunes femmes et des petites filles aux dons étranges. April n'avait jamais aussi bien mangé dans une cantine. Elle n'avait jamais été autant libre de faire ce que bon lui semblait pendant la journée ; pour la première fois de sa vie, elle respirait. Elle bénissait le docteur Lindeberg qui lui avait permis de sortir de l'enfer pour atterrir ici. Elle fut quelque peu meurtrie d'apprendre qu'il en avait fait autant pour toutes les demoiselles présentes à l'internat. Toutes avaient subi le même genre de traitement, après avoir été enlevées.

Pour la première fois de sa vie, April commença à se faire des amies. Toutes les pensionnaires, ici, avaient quelque chose de spécial, de surnaturel. L'une pouvait se tordre comme du caoutchouc, l'autre faisait évaporer les liquides par le regard... Elles acceptaient sans scepticisme qu'April puisse entendre au delà des fréquences normales pour un humain. April noua un lien très étroit avec une nymphe (c'est comme ça que celle-ci se définissait). Une jeune fille nommée Linda : quelque peu superficielle, espiègle, mais sans une once de méchanceté. Une jeune femme très câline, avec laquelle... ça ne vous regarde pas :c


April se sentit rapidement chez elle dans cet endroit. Elle y passa plusieurs années. Elle retrouva le goût de la vie, et son tempérament jovial, qui avait jusque là été bridé, put enfin s'exprimer. Son illettrisme et son inculture dans tout ce qui touchait aux domaines scolaires étaient toujours là pourtant, comme une aiguille dans son amour propre. Toutes ses amies avaient conscience de cette faiblesse et préféraient généralement ne pas aborder le sujet.

Le docteur Lindeberg passait de temps en temps à l'internat, où les pensionnaires se disputaient son attention. Il prenait parfois du temps pour parler à certaines d'entre elles, seul à seul. April était source d'une attention particulière de sa part. Elle lui racontait combien la vie était agréable ici, combien elle se sentait chez elle. Certes, elle aurait bien voulu explorer à nouveau le monde extérieur. Il était ravi qu'elle ne porte plus grief à l'organisation qui l'avait enlevée : ce passage en laboratoire était désagréable, certes, mais elle se sentait bien mieux ici, comme toutes les pensionnaires. Toutes avaient eu des problèmes dues à leur spécificité à l'extérieur. Finalement, elles avaient toutes eu de la chance qu'on les enlève contre leur gré !

A l'age de 22 ans, on lui proposa enfin d'effectuer ses premières sorties à l'extérieur. Bien sûr, ça n'était pas gratuit ! Il s'agissait d'un donnant-donnant. Sa mission était de retrouver d'autres enfants à dons à l'extérieur, et de les ramener, pour leur bien. Des garçons (car il existait également un pensionnat pour garçon), en priorité. Lorsqu'elle trouvait des filles aux dons potentiellement surnaturels, elle devait prévenir au plus vite son supérieur (un certain docteur Page), qui envoyait un autre agent sur place pour évaluer la situation. Quant aux garçons, elle devait s'en approcher le plus possible, juger de leur degré d'étrangeté en gagnant leur confiance. Puis les attirer, si possible, dans un lieu où l'on pourrait procéder à l'enlèvement.



April ne sait pas lire, est émotive et semble souvent déconnectée de la réalité. Il est très rare qu'elle planifie quoi que ce soit sur le long terme. Il ne faudrait cependant pas en déduire qu'elle est stupide. Elle est même plutôt vive et astucieuse. C'est une compagnie agréable et affectueuse, pour qui sait l'approcher : il est vrai qu'au premier abord, son comportement peut désarmer. Son attitude envers les gens passe aisément de l'indifférence à l'intérêt ostensible, et son approche d'autrui a souvent quelque-chose de direct et d'enfantin. Elle est de nature plutôt gaie, même si elle ne le communique que rarement de manière exubérante ; on la verra plus souvent dans ses pensées, le visage serein, qu'en train de sauter de joie. Il lui arrive de se mettre en colère, cependant. Elle est relativement émotive et prend rarement du recul sur elle même, une attitude qui peut la rendre quelque peu instable, tantôt hyper-affectueuse, voir collante, tantôt agressive, voire violente. April aime la musique, la nourriture, la solitude, les amis, les jeux de société, le sport, et le beau temps. Elle craint les défis purement intellectuels de type scolaire, les insectes et les médecins.

Lorsqu'elle marche dans la rue, elle fait immanquablement dévier les regards masculins. Elle n'y prête pas grande attention, en générale, toute occupée qu'elle est à écouter autour d'elle. Elle fait quelque peu les frais des vêtements qu'elle a pris l'habitude de porter, au contact de son amie Linda, qui soulignent avantageusement sa silhouette. Il s'agit souvent de robes fines et proches du corps, ou de hauts synthétiques qui épousent son buste, accompagnés de jeans serrés ; un accoutrement qui met l'accent sur sa taille athlétique et ses hanches marquées. Son corps, d'une manière général, est celui d'une sportive, taillé par son temps libre dépensé à la piscine de son internat. Ses bras et son buste son fins et vigoureux, et ses jambes robustes, entrainées par les marches incessantes qu'elle effectue à la recherche d'enfants et d'adolescents aux pouvoirs surnaturels. Son visage se dessine dans un ovale doux et féminin, avec des lèvres charnues et une face toute en courbes et rondeurs, aux pommettes pleines et aux grands yeux bleus. Derrière son oreille gauche se trouve encore une fine cicatrice blanche, séquelle de son passage au laboratoire.


Age :
25 ans

Expériences :
April est à l'aise avec son corps. Bien qu'elle préfère les hommes, ses expériences avec eux sont très réduites, et elle a surtout pratiqué les plaisirs de la chair avec son amie Li-ah non, j'ai dit que je n'en parlerais pas ! :c

Notes :
Ses dons lui permettent d'entendre des sons sur un large bande de fréquences, incluant entre autre les ondes radio ou celles des talky-walky.

Le pensionnat est situé en Angleterre, protégé par des artifices magiques, tel un Pouddlard non-mixte.
« Modifié: lundi 01 décembre 2014, 08:49:48 par Blue April »

Tryzox

Créature

Re : Aaaaaall I hear is radio goo goo, radio ga ga

Réponse 1 dimanche 30 novembre 2014, 17:54:02

*applause*

Fiche sympathique, personnage bien cool. Have fun, étou étou.

*applause again*

Blue April

E.S.P.er

Re : Aaaaaall I hear is radio goo goo, radio ga ga

Réponse 2 dimanche 30 novembre 2014, 17:56:49

Qu... comment osez vous ? Les fiches de Maelie sont mille fois mieux que celle là éè

Law

E.S.P.er

Re : Aaaaaall I hear is radio goo goo, radio ga ga

Réponse 3 dimanche 30 novembre 2014, 18:14:22

Toi j'te démonte.

Bienvenue.

Ancien Despote, admirateur de Moumou la Reine des Mouettes, président/trésorier/unique membre de l'association des cultistes de Frig, directeur du club des Persos Vitrines, Roi des Bas-Fonds de Nexus, grand-maître de l'ordre du caca masqué, membre des Jmeféchié, médaille triple platine de l'utilisation du Manuel des Castors Juniors, premier gérant de l'association "Cthulhu est votre ami", vénérateur de la cafetière, seigneur de la barbe et des cheveux, chevalier servant de ces dames, Anarchiste révolutionnaire, extrémiste de la Loi.



Je suis pour la réhabilitation des Userbars.
Les userbars sont VOS amies. Elles sont gentilles.
Utilisez des userbars. <3

Cassidy Green

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Re : Aaaaaall I hear is radio goo goo, radio ga ga [Validémonisée]

Réponse 4 dimanche 30 novembre 2014, 19:02:43

Bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D

Kiriko Hattori

Humain(e)

Re : Aaaaaall I hear is radio goo goo, radio ga ga [Validémonisée]

Réponse 5 dimanche 30 novembre 2014, 19:19:34

Jolie. Re(?)bienvenue ^^

Ludya

Boulet

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  • Messages: 575


  • FicheChalant

    Description
    *Depression intensifies*

Re : Aaaaaall I hear is radio goo goo, radio ga ga [Validémonisée]

Réponse 6 dimanche 30 novembre 2014, 19:33:53


Bienvenue !

Blue April

E.S.P.er

Re : Aaaaaall I hear is radio goo goo, radio ga ga [Validémonisée]

Réponse 7 dimanche 30 novembre 2014, 20:02:04

Law > désolée, si tu n'as aucun pouvoir particulier je ne suis pas intéressée !

Merchi à tous o/


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