- Voyons, un cul que je ne peux pas faire souffrir, pas lécher, je suppose pas doigter? Ça me laisse que des caresses du coup ? Et je suis pas trop emballé là... Surtout quand je vois deux belles coquines qui se font plaisir.
Bon, dans la théorie elle m'avait bien compris, mais ça ne changeait pas le fait qu'elle n'était toujours pas emballée. Mais bon, après tout je n'avais rien demandé, et mon but n'était pas de lui faire plaisir à elle, mais bien de moi, ressentir du plaisir. Alors je n'allais quand même pas faire un effort pour elle alors qu'elles me faisaient quand même du chantage, même si cela ne me dérangeait pas spécialement. Et alors que j'en étais à mes considérations diverses, je vis du coin de l'oeil Yuko qui se déshabillait, retirant ses vêtements, puis ses sous-vêtements, avant de rejoindre sa jumelle et de déclarer :
- Pourquoi ne pas s'occuper de nous deux, en même temps bien sur. On pourra voir si vous avez le doigté pour cela ?
Pourquoi pas ? Une possibilité qui méritait d'être explorée en tout cas. Le fait de m'occuper d'elles deux m'intéressait. Je la regardai embrasser sa soeur, puis lui murmurer quelque chose à l'oreille. Celle-ci ricana, puis toutes deux écartèrent leurs jambes, leurs doigts écartants leurs lèvres, me laissant une vue imprenable sur l'intérieur de leurs minous. Alors que je les regardais, comme fascinée, elles dirent d'une même voix :
-Occupez-vous de nos minous, Kazumi-Senseï !
C'était le moment où jamais de prendre l'ascendant. Il fallait que les jumelles me prennent pour leur maîtresse, qu'elles me soient dévouées... Pour ça, je pouvais par exemple m'occuper d'elles tellement bien qu'elles se sentiraient dépendantes et ne voudraient plus me quitter... Pour Yuka, c'était déjà gagné, elle était très soumise par nature, mais Yuko serait plus difficile à dominer. Je décidai donc de me concentrer d'abord sur la soumise, qui pourra peut-être aider à convaincre sa soeur... Je restai donc face à Yuka, répondant comme par réflexe :
- Avec plaisir !
Sur ce je me mis à caresser les lèvres intimes de la lycéenne avant de lui introduire un doigt dans le vagin, puis deux autres qui le rejoignirent dans sa fente chaude et humide. Elle voulait que je m'occupe de son minou, et elle était masochiste. Tout les critères seraient remplis. Parfait. Je commençai donc à remuer mes trois doigts dans son vagin à toute vitesse. Tantôt, je faisais de simples mouvements de va-et-vients, tantôt je faisais de petits mouvements circulaires. Mais j'allais extrêmement rapidement, au point de me faire mal au bras. C'était tellement rapide que mon élève était prise de frissons incontrôlables, et gémissait périodiquement. De plus, la vitesse faisait également que sa cyprine était entraînée par le mouvement et éclaboussait les environs, par exemple le corps de sa soeur qui était à côté, ou encore mon avant-bras qui en quelques secondes donnait l'impression que je rentrais après une forte pluie. J'avais mal au bras, mais si je parvenais à maintenir le rythme, elle allait probablement jouir très rapidement...