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Messages - Poison Ivy

Pages: 1 ... 37 38 [39]
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Les terres sauvages / Re : Un endroit d'exception [Weldenela]
« le: samedi 28 janvier 2012, 20:15:23 »
(Sauf erreur de ma part, car je ne crois pas l’avoir lu, je pars du principe que Weldenedela est sous sa forme « jeune », vu que c’est la forme normale, si j’ai bien tout compris)

« Mis à part le Nectar de ma mère, je me nourrie aussi des désirs envers ma personne... les fluides ne sont que par pure gourmandise... Je ne suis pas la fille de la forêt pour rien... »

Elle lui avait répondu en caressant la joue d’Ivy, et celle-ci avait senti sa salive se liquéfier dans sa bouche. Cette forêt semblait agir très curieusement sur les individus. Après tout, si Alraunya avait été créée ainsi par une Déesse de la Luxure, il fallait bien s’attendre à ce qu’il y en ait des traces. Les réflexions d’Ivy trouvèrent confirmation quand Weldenedela alla l’embrasser. Elle était petite, de la taille d’une enfant, mais Ivy n’était pas dupe. Elle n’avait pas grand-chose à voir avec une petite humaine, bien au contraire, et elle sentit une salive brûlante se déverser dans sa gorge, excitant follement Ivy, qui sentit tout son corps bouillonner. Ses lèvres se teintèrent de cet aphrodisiaque dont elle affectionnait parfois ses amants, et elle répondit à son baiser, posant une main sur la tête verte de Wel’, posant tout simplement l’autre sur ses petites fesses, les serrant, tandis que ses propres vêtements disparaissaient comme par enchantement, comme « absorbée » par sa peau. En réalité, ses vêtements n’étaient qu’une espèce de seconde peau, et elle les rétracta aisément.

Intégralement nue, Ivy répondit au baiser de la petite et belle plante, savourant le contact de ses lèvres, sentant son corps bouillonner de désir. Elle acquit la conviction qu’Alraunya devait laisser échapper dans l’air des espèces de phéromones plus ou moins semblables aux spores d’Ivy, et que sa fille disposait d’une salive qui avait de quoi galvaniser les sens. Elle pressa donc un peu plus le postérieur de la femme, glissant ses doigts dans sa croupe, sans chercher à la pénétrer pour le moment. Il fallait juste l’aguicher un petit peu. Si Poison Ivy était en feu, ce ne devait pas être très différent pour Wel’. L’aphrodisiaque ses lèvres produisaient était du genre à produire son petit effet, et elle avait pu l’appliquer sur les Terriens, les Terranides, et même sur d’autres. Tant qu’une créature avait des hormones, ses lèvres influaient dessus.

Rompant le baiser, Ivy alla embrasser la petite fleur dans le cou, remontant jusqu’à son oreille.

« Je vois cela… Rassure-toi, ma belle, mon corps t’est offert sans aucune condition… Tu représentes pour moi la perfection que chacun devrait être… »

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Les contrées du Chaos / Une touriste providentielle [Sora Sokoku]
« le: samedi 28 janvier 2012, 13:16:48 »
« Mesdames, nous espérons que vous avez fait un bon voyage. Vous pouvez apercevoir Caelestis, et nous arriverons dans moins de cinq minutes aux Quais aériens. La compagnie vous remercie de lui avoir accordé votre confiance pour ce vol, et nous espérons que vous passerez un agréable séjour à Caelestis. Pour éviter d’être trop secouées, nous vous invitons à rester assises dans vos sièges. C’était votre commandante de bord. »

L’arrogance des humains, du point de vue d’Ivy, ne connaissait aucune limite. C’était encore plus vrai sur certaines parties de Terra, notamment sur cette partie de Terra qui s’appelait Tekhos. Une immense ville futuriste, sombre et noire, polluante et affreuse, où tout sonnait faux. Les parcs de Tekhos, les arbres plantées le long des avenues, tout était une sinistre aberration envers la Nature, une provocation intolérable, qui rappelait à Ivy de quel monde elle venait. Poison Ivy continuait en effet à explorer Terra, soit par curiosité scientifique, soit pour y rechercher de quoi améliorer ses potions et ses bébés. Elle s’était naturellement rendue à Tekhos, haut lieu technologique, bien plus en avance que la Terre sur bien des points. Une forte discrimination y régnait à l’égard des hommes, ce qui laissait Ivy assez ironique. Malgré tous ses efforts pour rejeter la Nature, pour se prétendre supérieurs, pour la détruire, les humains restaient encore de stupides animaux, qui, comme tels, voyaient en les différences sexuelles des inégalités sociologiques. Les inégalités entre sexes existaient au sein de la Nature, du moins, si on voyait la faune. S’agissant de la flore, difficile de dire s’il existait des inégalités sexuelles entre un chêne et un pin, vu que la flore était asexuée. N’était-ce pas, en soi, le plus bel exemple de la supériorité intrinsèque de la flore sur les autres espèces ? Une création si parfaite de la Nature qu’elle n’attendait rien, et se contentait de s’épanouir.

Elle sortit de ses réflexions quand une hôtesse vint la voir. Un vol vers Caelestis, même pour une simple touriste, ce n’était pas donné, et Ivy ne courait pas sur l’or. Heureusement, elle disposait d’un pouvoir terrifiant, qui lui permettait aisément d’obtenir ce qu’elle voulait. Ses lèvres aphrodisiaques, et ses spores naturelles, qui répandaient ses phéromones dans l’air. L’hôtesse lui adressa un petit sourire poli. Ivy avait couché avec tout l’équipage, de la commandante jusqu’aux hôtesses, et avait obtenu un billet pour Caelestis. Voir un archipel volant, ce n’était pas donné à tout le monde !

Le vaisseau de transport, au design élégant, commença à décélérer en approchant de l’espèce de spatioport, dont les quais flottaient dans le vide. Ses moteurs arrières laissèrent place à des réacteurs dorsaux, provoquant des secousses, alors qu’il descendait dans un vrombissement étouffé par les épais murs de la navette.

« Vous verrez, lui confia la femme assise à côté d’elle, Caelestis est un endroit formidable…
 -  Je l’espère bien », répliqua Ivy.

La femme était assise à côté d’elle depuis le départ de Tekhos, et subissait l’influence des spores naturelles d’Ivy, influant progressivement sur son système nerveux. Écarlate, elle avait plusieurs fois du se rendre aux toilettes, probablement pour se caresser, et, à plusieurs reprises, ses mains manucurées s’étaient négligemment posées sur les jambes d’Ivy, s’approchant de son entre-jambes, mais elle n’avait pas cédé. Pas cette fois. Voir cette pauvre femme se démener était un petit plaisir.

Le vaisseau se posa en flottant dans les airs, le long d’un long quai, et une porte latérale s’ouvrit en coulissant. Un escalier s’était formé, menant sur le quai, une longue passerelle avec des garde-fous constitués d’une espèce de barrière magnétique. Ivy s’arrêta sur le quai, observant le vide. D’autres vaisseaux venaient et partaient, et des femmes marchaient. Il n’y avait que des femmes ici. Les femmes mariées avaient du laisser leurs maris, et même leurs progénitures masculines, n’emmenant que des filles émerveillées. Une telle discrimination laissait Ivy froide. Elle avait l’impression de voir des babouins jouer entre eux, mais elle devait reconnaître que Caelestis semblait ressembler à une espèce de paradis artificiel. Elle n’y voyait qu’une aberration humaine de plus, preuve du suprême orgueil de cette espèce, qui se prenait maintenant pour des Dieux en construisant des bâtiments dans le ciel.

Poison Ivy avança tranquillement, avec son déhanché sexy. Plusieurs gardes et femmes la regardèrent, tant pour son corps gracieux que pour ses spores, qui attiraient généralement l’attention. Elle aimait que ces larves l’observent, qu’ils voient ce qu’elle était vraiment, une femme supérieure. Elle remonta le quai vers des espèces de portiques où on contrôlait l’identité de chacun, tout en subissant un scanner. Ivy s’en approcha assez rapidement, n’aimant pas la queue, et présenta son billet devant une femme.

« Bienvenue à Caelestis, le Paradis de Terra ! » s’exclama, enjouée, la femme.

Elle tamponna le billet, et le lui rendit. Ivy le prit, et s’avança dans le portique, probablement pour vérifier qu’elle n’avait aucune arme. Elle imaginait des individus dans une obscure salle de sécurité, détaillant son corps, son ADN si unique, mais, fort heureusement, la porte de sortie s’ouvrit. Elle s’aventura sur une espèce de grande place refermée, avec des escaliers et des portes permettant de sortir, des hauts-parleurs, des affiches publicitaires holographiques, et des voix ici et là. Ivy tourna la tête, et c’est à ce moment que la situation se compliqua. Devant le portique de sécurité qu’elle venait de passer, une femme avec des cheveux sombres tendit sa main vers l’hôtesse, et envoya une langue de feu sur la femme.

« Mort à Tekhos ! Mort à Caelestis ! rugit la femme. Vos esclaves sont à Ashnard ! »

Se retournant, Ivy vit un groupe de plusieurs femmes, apparemment des ESPers, attaquer la foule.

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Il était prétentieux. Arrogant. Provocateur. Comme tous les humains. Elle ne pouvait donc lui en tenir rigueur, et, si sa force était à la hauteur de sa vantardise, ce n’était qu’un moindre mal. Quand il serait devenu évolué, il ne se moquerait plus d’elle. Elle était assurée à jamais de la fidélité de ses hommes-plantes, en raison des phéromones qu’elle utilisait dans la concoction qui permettait de modifier leur ADN. Le seul problème de sa solution est qu’elle n’était pas permanente. Le corps humain était plus résistant qu’on ne pouvait le croire face aux maladies et autres virus, et, même si Ivy considérait son traitement comme une renaissance, quelque chose qui, dans une certaine mesure, accélérait l’évolution darwinienne de l’humanité, le corps y résistait toujours. Elle adaptait à chaque fois sa formule, mais, à dire vrai, il y avait bien des années qu’elle n’avait pas recommencé ses expériences sur des cobayes. La formule n’avait toujours pas évolué, et son dernier produit permettait de prolonger pendant quelques jours la transformation, mais il fallait la renouveler.

*Peu importe… La seule chose dont j’ai vraiment besoin est d’avoir Prime… Et je l’aurais !* décida-t-elle, résolue.

Sentinel Prime se rua en volant sur ses soldats, les dispersant, lui rappelant qu’elle devrait aussi songer à améliorer la formule, afin d‘accroître les capacités des hommes-plantes. Il y avait tant de choses à faire ! Néanmoins, elle restait optimiste. Ses voyages sur Terra lui permettaient de trouver de nouveaux produits et potions qui, avec du temps et du travail, faciliteraient ses recherches. Ivy se tenait dans les airs, sur sa plante, et vit Prime la regarder, après avoir dispersé les soldats.

« Tes bébés, chérie ? J'espère que tu as eu le temps pour un dernier câlin, c'est l'heure du dernier rot. »

Elle fronça les sourcils, lorsque Prime leva la main, envoyant vers elle une décharge d’énergie. Immédiatement, les plantes jaillirent autour d’elle, par le biais d’un mur de lianes, et par les rebords de la plante sur laquelle elle se juchait, qui se refermèrent autour d’elle. Néanmoins, la puissance de l’attaque de Prime était telle que les lianes devant elle explosèrent, et que son cocon se fragilisa violemment. La plante dans laquelle elle s’abritait se fendit, et sa génitrice s’écrasa sur le sol, sonnée, avant de sentir une grande douleur l’envahir.

Faisant preuve de ce talent humain pour la destruction, Prime avait pulvérisé une bonne partie de la serre avec ses attaques, essayant de libérer les otages, tandis qu’ici et là, le feu se réveillait. Le feu ! C’était la pire des choses pour une forêt, le feu ! Les plantes s’écartèrent instinctivement des flammes, et les plus vifs otages, ceux qui n’avaient pas été sonnés par ce qui s’était passé, avait réussi à sortir, tandis que la forêt d’Ivy semblait, comme elle, gémir de douleur. Sa forêt souffrait, sa forêt avait MAL, elle sentait ses bébés gémir, et son corps réagissait en circonstance. Du sang vert s’en échappait, alors qu’elle restait prostrée sur le sol, reprenant contenance.

« M… Monstre ! Mes… Mes bébés, mes précieux bébés ! » gémit-elle.

Prime s’avançait vers elle, et elle le vit cracher du sang, alors qu’elle tentait de se relever, chancelant à moitié, tant elle souffrait. En soi, la chute qu’elle avait fait n’était pas proprement douloureuse, car elle s’était reçue sur un banc d’herbes, mais c’était la douleur de sa propre forêt qui la faisait souffrir. Cette douleur lui revenait à l’esprit, lui rappelant pourquoi elle avait abandonné depuis des années les coups d’éclats de ce genre. La douleur était intolérable quand on s’attaquait à sa forêt, et, la dernière fois, l’armée avait été appelée, et avait utilisé des lance-flammes et autres bombes incendiaires pour détruire ses plantes, lui infligeant une incommensurable douleur. Un regard de pure haine passa dans les yeux d’Ivy, qui tendit une main. L’un de ses doigts s’allongea sous la forme d’un tentacule, qui s’enroula autour de la gorge de Prime, le faisant fléchir les genoux, alors qu’elle se mit à serrer aussi fort que possible, le tentacule s’enfonçant contre sa gorge. La rage brûlait en elle.

« Maudits humains ! Vous êtes si prompts à détruire, si complaisants dans la destruction, si négligents à l’égard de la création ! Tes mains sont un fléau, une aberration envers la Terre elle-même ! Boucher ! Assassin ! »

Son tentacule se tendit vers la droite, et le corps de Prime alla s’écraser sur le sol. Ivy sentit soudain un vertige la saisir, et tituba, maintenant toutefois sa pression sur son tentacule. Avec les explosions d’Ivy, la police allait sûrement tenter une percée. Il fallait qu’elle se ressaisisse, oui, il le fallait, mais ce n’était pas particulièrement simple. La douleur la faisait souffrir, perturbait sa concentration, mais elle se rappela qu’elle ne pouvait PAS tuer Prime. Il fallait avant tout le transformer. Elle fut bien tentée de le trainer de force dans l’une de ses plantes, mais la nouvelle secousse qu’elle donna sur son tentacule ne produisit aucun effet.

*J’ai besoin de me ressourcer*, réalisa-t-elle.

Un plan se mit à germer dans son esprit. Plusieurs otages avaient filé, elle pouvait les voir courir vers le cordon de sécurité. La police ne tarderait sûrement pas à envoyer un groupe d’intervention, et elle pouvait percevoir la présence d’hélicoptères, que ce soit la presse ou la police, qui tournoyaient dans le ciel. Ivy décida de s’en occuper après. Prime était sa priorité. Le tentacule qui l’enserrait désormais très faiblement se tarit, et se détacha du corps d’Ivy, mort. Soupirant, elle reprit.

« Je te veux, Prime ! Je veux ta vitalité et ta puissance, et tu n’es pas en état de refuser le cadeau que je te fais ! Étrangement, tu sembles accorder de l’importance à tous ces tueurs qui sont entre mes griffes. Soumets-toi à moi, ou il me suffira d’une simple pensée pour tous les tuer. »

Les otages d’Ivy ne se trouvaient pas que dans la serre, mais aussi dans d’autres parties du musée. Elle désigna du doigt l’une de ses plantes permettant de modifier l’ADN des humains. C’était une espèce de grosse fleur dont les corolles vertes se rejoignaient sur une espèce de boule rougeâtre. La boule pouvait toutefois s’ouvrir, et cracher des tentacules afin de glisser les proies à l’intérieur.

« Hommes, femmes, enfants, poursuivit-elle, je comptais leur offrir la joie de faire partie de ma nouvelle espèce, mais toi, tu vaux bien mille de ces gens-là. Deviens à moi, et je les épargnerai. »

Les conditions du marché étaient assez simples à comprendre.

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Les terres sauvages / Re : Un endroit d'exception [Weldenela]
« le: vendredi 27 janvier 2012, 20:19:58 »
Si on lui avait rapporté les explications de Weldenela, Ivy n’y aurait jamais porté crédit, et aurait instantanément cru qu’on se moquait d’elle. Une mandragore, transformée par une Déesse, en immense forêt animée ? Ça semblait un peu trop gros, mais Poison Ivy ne pouvait nier l’évidence, quand cette dernière était sous son nez. Son esprit cartésien s’envolait bien loin. Terra était un monde hors normes ! Surprise, Ivy ne sut quoi dire, alors que la petite Weldenela continuait à parler. D’après ce qu’Ivy avait compris, la jeune fille était une sorte de plante à forme humaine. Existait-il seulement un terme pour désigner une telle forme de vie ? Sur le coup, Ivy n’en voyait pas, et elle l’observa cicatriser une petite blessure à l’aide de sa salive. Alraunya… Cette forêt avait donc un nom ? Ivy hocha silencieusement la tête, son cerveau commençant à accumuler les informations, à les emmagasiner, et à les comprendre. Tout aussi logique qu’elle soit, Poison Ivy avait suffisamment parcouru Terra pour savoir que c’était un monde très original, et que les règles scientifiques applicables sur Terre étaient battues en brèche ici.

Un sourire amusé finit donc par éclairer ses lèvres, alors qu’elle se relevait. Alnaurya se nourrissait de fluides sexuelles… Intéressant. Elle caressa à nouveau avec délicatesse l’écorce d’un arbre, puis reporta son attention sur Weldenela.

« Et bien… finit-elle par dire. Je ne suis pour ma part qu’une simple humaine, mais cet endroit… Oh, il… Il dépasse sincèrement toutes mes espérances ! Là d’où je viens, une telle… Une telle chose est totalement inconcevable ! »

Elle en eut à nouveau le tournis, si tant est qu’elle tituba un peu, se passant une main sur le front, avant de se ressaisir. Alnaurya n’avait rien à voir avec l’Amazonie. C’était une exception unique, transcendante… Si seulement elle trouvait le moyen de recréer des forêts similaires sur Terre… Elle secoua la tête. Terra était un monde plein de perspectives, et Ivy avait toujours, en elle, le rêve de permettre à la Nature de reprendre ses droits sur son fils ingrat, l’humain.

Ivy poussa un petit rire en humant l’air pur d’Alnaurya, la surprise laissant place à une joie enfantine, délicieuse. Elle aurait pu passer sa vie ici, et elle comprenait très bien pourquoi cette plante humanoïde paraissait si heureuse et si insouciante.

« Cet endroit est magnifique, mais une question me brûle les lèvres, ma belle… »

Encore une fois, l’esprit scientifique reprenait le dessus, et il y avait quelque chose de ce que Weldenela avait dit qui lui avait frappé l’esprit. Cette histoire de nourriture sexuelle pour faire vivre la forêt… Elle imaginait très bien Alnaurya vivre avec des fermiers, de petites communautés d’humains, et se « nourrir » avec les sécrétions intimes de ces derniers. Ivy n’ignorait pas que le sperme ou la cyprine pouvaient parfois être utiles pour les plantes, mais, chez elle, c’était lié à son corps, et au fait que ses propres plantes étaient reliés à son corps.

Ivy se rapprocha à nouveau de Weldenela, abaissant le haut de son corps pour que son visage se rapproche d’elle.

« Dis-moi, ma mignonne… De quoi est-ce que tu te nourris, toi ? Je veux dire… A part le nectar de ta Maman, y-a-t-il d’autres choses que tu aimes ? »

Elle fléchit à nouveau les genoux, et caressa du bout des doigts l’épaule de Weldenela, sentant la douceur de son corps. Ce n’était pas vraiment comparable à la peau d’une humaine, un curieux mélange entre le végétal et une peau de femme. Elle la caressa doucement.

« Tu… Tu es vraiment une créature fascinante, Weldenela. »

Elle ignorait si elle pouvait l’appeler « femme », ne sachant pas trop ce qu’elle était.

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Les terres sauvages / Re : Un endroit d'exception [Weldenela]
« le: vendredi 27 janvier 2012, 00:18:37 »
Était-ce le Paradis ici ? Si ce n’était pas le cas, ça y ressemblait fortement ! Poison Ivy s’arrêta près d’une nouvelle branche d’arbre, et la renifla. Si un individu passait par là, il aurait sans doute pu la prendre pour une folle, mais, en réalité, Ivy fantasmait à caresser les arbres, veillant à ne rien endommager, à ne rien briser, délivrant même des baisers sur l’écorce de certains chênes massifs. Comme c’était beau ! Elle réalisait que cette forêt était une sorte d’utopie, que personne n’aurait la folle prétention de contrôler. Aucun seigneur, aucun maire imbécile, aucun Président, aucun tyran, ni même aucune divinité… La forêt vivait selon ses propres règles, et Ivy sentait bien, en s’enfonçant lentement à l’intérieur, en la sentant vivre et bouillonner, que quiconque chercherait à l’attaquer mourrait rapidement.

A aucun moment, l’Empoisonneuse ne vit donc qu’on l’observait. Elle était tellement perturbée, tellement estomaquée par cette forêt, par cette vision de puissance et de bonheur, qu’elle ne vit pas l’espèce de dryade débarquer devant elle. Ivy sursauta, surprise, et sentit son cœur battre follement la chamade, mais ne manifesta aucun acte hostile, aucune réaction disproportionnée. Elle avait juste été surprise.

« Qu’est-ce que… ? commença-t-elle.
 - Bonjour toi !, lança l’apparition, sans laisser à Ivy l’occasion de parler. Bienvenue dans ma maman ! Comment tu t'appelle ? Et tu viens d'où ? »

Dans « sa » maman ? Ivy avait-elle bien entendu ? L’Empoisonneuse fronça les sourcils, commençant à comprendre ce que cela signifiait. Elle était sur Terra, après tout, et il existait bien des fées et des nymphes qui, à ce qu’on disait, aimaient faire des dryades pour les protéger. Cette petite avait tout d’une dryade, à n’en pas douter. Ivy répondit assez rapidement, fléchissant les genoux pour que son visage soit à porter de cette fillette.

« Bonjour, petite, fit-elle en lui souriant doucement. Je m’appelle Poison Ivy, mais tu peux m’appeler Ivy, tout simplement. Quant à l’endroit d’où je viens…, fit-elle en soupirant, il est loin d’ici, et ce n’est pas plus mal. Et toi-même, ma belle, qui es-tu ? Une dryade ? Ou quelque chose d’autre ? »

La dryade, si c’en était bien une, était en tout cas assez belle, relativement mignonne. Elle n’avait pas été conçue pour protéger la forêt, mais ce n’était pas étonnant. Pourquoi la forêt aurait-elle besoin de protections supplémentaires ? Personne ne pouvait l’attaquer ! Pourquoi avait-elle été conçue, alors ? Ivy était aussi très curieuse envers cette dryade, qui avait l’air assez enjouée, innocente, et très attirante. Aucun désir sexuel, ni même affectif ; Ivy restait, même maintenant, une femme avec un esprit scientifique très affiné. Un tel lieu ne pouvait que satisfaire son esprit et sa curiosité naturelle.

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Les petits humains hurlaient, piaillaient, s’égosillaient. Qu’ils étaient agaçants ! A croire qu’ils ne savaient qu’hurler, ces petits oisillons ! Comme ils pouvaient agacer Ivy, à parler, et à hurler sans cesse ! Les plantes, au moins, avaient cet avantage de n’émettre aucun bruit, aucun gémissement, aucun sanglot. Elles étaient silencieuses. Poison Ivy était en train de sentir la puissance délicieusement lui monter à la tête. Ses plantes se dressaient fièrement dans le ciel, et elle sentait ses premiers otages commencer à se transformer. En effet, qu’est-ce qu’Ivy comptait faire d’otages, si ce n’est les transformer en soldats prêts à lui obéir, en hommes-plantes terrifiants ? Les agents de sécurité étaient en train d’être transformés, et les otages suivraient ensuite.

« Je me suis fait mal ! entendit-elle gémir. Au secours, au secours, au secours ! »

Tournant la tête vers l’origine des sanglots, Poison Ivy vit une femme qui avait effectivement une jambe cassée. Ivy, elle, se déplaçait le long des couloirs du musée, entendant les sirènes de la police au loin. Elle s’approcha de la femme.

« Pourquoi vous faites ça ? entendit-elle quelqu’un dire. Libérez-nous !
 -  Mais c’est précisément ce que je fais ! rétorqua Ivy. Je vous libère de votre existence pathétique, à empoisonner la planète, à polluer ses veines. Je vais vous libérer de votre vie minable, et faire de vous de nouveaux hommes !
 -  Vous êtes folle ! Retournez vous faire soigner, et… »

Le malheureux n’eut pas le temps d’achever. Les lianes se resserrèrent autour de lui, et il se mit à remuer, sentant l’air lui manquer. L’humain tentait misérablement de se raccrocher à sa carcasse de vie, et Ivy n’avait même pas besoin de faire un geste pour que les plantes se serrent, ni même de leur donner d’ordres. Elles agissaient naturellement, comprenant instinctivement ce que l’Empoisonneuse désirait. L’homme remua faiblement, quand Ivy sentit quelque chose lui poignarder le cœur.

Les liens se desserrèrent instantanément, et Poison Ivy chancela, manquant tomber, avant de se raccrocher sur une rambarde. Elle sentait qu’on faisait du mal à ses plantes, qu’on leur faisait très mal, et elle ne tarda pas à identifier l’origine de la souffrance, incarnée par un homme qui venait d’entrer dans le musée. La fureur déforma légèrement les traits d’Ivy. Elle se trouvait alors au-dessus de la serre, sur une espèce de plate-forme d’observation, et s’approcha du bord.

« Je suis venu faire le ménage, on a laissé des mauvaises herbes se répandre un peu partout. La décoration florale est à chier, en plus. »

Un humain arrogant… Mais fort

« Au secours !
 -  Délivrez-nous !
 -  C’est Sentinel Prime !  Sauvez-nous, Prime ! »

Sentinel Prime ? Elle avait vaguement entendu parler de ce type, un super-héros en collants. Dans un sens, avoir Prime sur le dos était un immense honneur, et, dans son esprit mégalomane, sa présence suscita une autre idée chez Ivy. Elle sentait que ses premiers hommes-plantes étaient prêts, recrachés par ses plantes, et elle décida d’attaquer.

Jaillissant du sol, du plafond et des murs, de multiples lianes s’enroulèrent en quelques secondes tout le long du corps de Prime. Des lianes parcourues de ronces, qui s’enfoncèrent dans sa peau, tandis que d’autres lianes, ayant vaguement au bout la forme de seringues, s’enfoncèrent dans son corps, répandant une espèce de sédatif destinée à le neutraliser. Les lianes serrèrent aussi fort que possible, Ivy escomptant que cela suffirait à empêcher le super-héros de faire preuve de sa force surhumaine. Elle se mit à descendre par le trou d‘observation, portée par une plante en forme de fleur, et se dressa devant Prime, en hauteur.

« Sentinel Prime ! clama-t-elle. Vous avez attaqué mes plantes, et vous m’avez fait souffrir ! Vous avez TUÉ mes bébés ! martela-t-elle. Alors que je me contente juste de les faire vivre ! Je devrais vous TUER pour cela, mais vous êtes un spécimen de choix. En réalité, je vous réserve un immense honneur, Prime, la chance de devenir mon Général, et de m’aider à transformer cette humanité imbécile pour qu’elle prenne enfin conscience qu’elle n’a jamais été maîtresse de la Nature, et que nul ne peut la contrôler ! »

Ivy martela sa dernière phrase, et les lianes se mirent à frémir. Le sol se déroba alors sous les pieds de Prime, par l’effet des plantes d’Ivy, et les tentacules le relâchèrent, l’envoyant s’écraser devant un groupe d’hommes-plantes. Tout en ayant l’apparence d’hommes, ils étaient désormais verts, couverts de feuilles, faisant généralement un peu plus de deux mètres. L’un des hommes-plantes regarda la cible, et tendit son bras vers lui. Ce dernier s’étendit sur plusieurs mètres, et frappa Prime à la gorge, l’envoyant s’écraser avec violence contre le mur. Derrière eux, les terribles plantes d’Ivy n’attendaient que de nouveaux otages pour déguster.

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« C’est une véritable réussite ! Je ne peux que vous féliciter !
 -  Merci, M. Hoshiwoza, acquiesça le conservateur du musée, un vieil homme avec une calvitie prononcée, et des grosses lunettes. Je ne cache pas que cette exposition aura représenté un certain coût financier, mais l’aide apportée par votre établissement nous a été très profitable. »

Les deux hommes parlaient entre eux, à l’étage supérieur, au centre du musée, quand ils entendirent des talons claquer. Le conservateur se retourna, et un sourire éclaira ses lèvres en voyant la femme qui avançait sur une démarche féline vers eux, ses longs cheveux roux flamboyant derrière elle, tandis qu’elle buvait un peu de vin. Le conservateur prit élégamment la main gantée du Professeur Pamela L. Isley. Cette dernière offrit aux deux hommes un sourire étincelant, ses lèvres rouges et pulpeuses captant le regard d’Hoshiwoza, un influent membre du conseil disciplinaire du lycée.

Le musée municipal de Seikusu organisait une exposition florale réunissant des spécimens des quatre coins du globe. Il y avait des fleurs et des plantes magnifiques, et, afin de veiller à ce que les plantes survivent convenablement, le musée avait obtenu l’aide de plusieurs professeurs du lycée, ce qui, naturellement, incluait la professeur Isley.

« Mes félicitations, Madame, annonça le conservateur en souriant. Le traitement que vous avez apporté sur ces plantes nous a sauvé !
 -  Les plantes ne sont guère différentes des êtres humains, mon cher, répliqua la femme, en continuant à sourire. Il faut écouter ce qu’elles disent pour savoir ce dont elles ont besoin. »

Assez interloqué, le conservateur se mit à sourire au bout de plusieurs secondes.

« Quoiqu’il en soit, reprit le professeur, vos efforts seront dûment récompensés par…
 -  Il n’y a pas plus belle récompense que celle de voir une plante refleurir à nouveau.
 -  Certes, mais… »

Pamela ne l’écoutait alors plus, et préféra retourner vers ses plantes. Elle observa une grosse plante verte, caressant du bout des doigts le feuillage. Pamela portait une élégante robe verte.

« Qu’est-ce qu’elles sont belles… » s’exclama quelqu’un à côté d’elle.

Tournant la tête, Pamela vit une jeune fille qui observait la belle plante. Elle esquissa un petit sourire amusé, et lui parla.

« Tu aimes les plantes ? »

Elle répondit en hochant la tête, confirmant.

« L’humanité n’est qu’une parenthèse dans la vie de la Nature, une chose bien petite par rapport à toute la beauté, et à toute la puissance, de cette dernière. Il est normal d’en être fasciné et admiratif. Les plantes ne demandent qu’à être libres, qu’à grossir, qu’à s’épanouir, et à remplir le monde de leur douceur, de leurs exhalaisons, de leur beauté…
 -  Alors, il faut les libérer !
 -  Tu as raison, ma belle… Elles n’aiment pas être en cage… »

Pamela se retourna, et descendit au rez-de-chaussée, se rendant vers la serre dressée dans le musée. La nuit était tombée sur Seikusu, et la soirée battait son plein. Tant mieux. Ces braves gens, ces braves citadins, comprendraient bientôt que la Nature n’était pas un élément de musée, quelque chose qu’on pouvait afficher sans crainte. Ils comprendraient bientôt que la Nature n’aimait pas qu’on se moque d’elle. Si Pamela avait accepté d’aider le musée à soigner les plantes et les fleurs, ce n’était pas pour leur bon plaisir, mais pour leur offrir une petite leçon. Depuis des semaines, elle utilisait ses enzymes spécifiques, et se rendit dans la petite serre qui avait été aménagée au centre du musée.

Ses spores naturelles se répandaient autour d’elle, amenant bien des gens à tourner la tête vers elle, mais elle évitait de leur parler, et préféra ouvrir une porte. Elle monta un escalier, l’amenant dans une espèce de centre de contrôle, où plusieurs agents surveillaient ce qui se passait sur des moniteurs. L’un des agents se retourna vers elle.

« Bonsoir, Madame ! fit-il, reconnaissant une scientifique. Vous êtes rayonnante, ce s… »

Il n’eut guère le temps d’achever. Tendant une main, Pamela envoya plusieurs tentacules qui s’enroulèrent autour du cou des hommes, les étranglant proprement. Poison Ivy veilla bien à ce qu’ils soient morts, puis décida de passer à l’offensive.

Les plantes se mirent à grossir, des lianes et des tentacules énormes se tendant pour saisir les invités dans des hurlements de terreur. D’énormes plantes traversèrent la verrière sur le toit, l’explosant, tandis que des plantes vertes se dressaient dans le ciel, et condamnaient les entrées. Certaines fleurs poussant le long des plantes crachèrent des bulles explosives. Une bulle atteignit une voiture, la faisant exploser. Délaissant sa robe, Poison Ivy mit des vêtements un peu plus convenables, et la vitre devant elle explosa. Elle grimpa sur une plante, en forme d’immense feuille, qui l’amena près d’un hall. Ses véritables plantes commençaient à apparaître, et les agents de sécurité avaient été « avalés » dans des plantes spéciales, afin de devenir ses gardes.

Poison Ivy atterrit au milieu d’une partie du public, et commença à les héler, les lianes jaillissant pour les immobiliser.

« Contemplez la Création, misérables humains ! »

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Les terres sauvages / Un endroit d'exception [Weldenela]
« le: jeudi 26 janvier 2012, 16:33:23 »
« Ça doit être là… », songea Poison Ivy.

Sa main gantée s’approcha d’une fleur superbe qui poussait près d’un arbre, et, comme par enchantement, le tissu du gant se rétracta, et elle toucha, avec le bout des ongles, les pétales de la fleur. Elle comprit immédiatement que ce qu’on lui avait raconté ici et là, dans les auberges et les hameaux, était vrai. Son amour pour les plantes n’était pas méconnu de la part de ses amants, et elle ne comptait plus le nombre de roses qu’on lui offrait. Toujours est-il qu’on avait fini par lui parler d’une forêt spéciale, qui disposait d’une âme propre. Intriguée par cette curiosité qu’elle n’avait jamais vu sur Terre, Ivy avait fini par retrouver la trace de la forêt, et, alors qu’elle s’en approchait, elle avait instinctivement senti que ce n’était pas une forêt comme une autre.

Le contact de ses doigts sur la pétale le confirma. Ivy se redressa, sentant une virulente puissance émaner de ses arbres. Elle en eut même le vertige, manquant tomber sur le sol. Son esprit entrait habituellement en résonance avec celui des forêts, en raison de son code génétique si particulier, mais, ici, cette résonance sonnait différemment. L’expliquer avec des mots frôlait l’impossible, mais, pour comparer, dans la plupart des forêts, elle sentait un besoin qu’elle n’éprouvait pas ici, comme si quelqu’un veillait sur cette forêt. Quelqu’un… Et à la fois n’importe qui. Oui, la forêt vivait de sa propre existence, et elle posa une main sur un arbre, en caressant l’écorce, sentant une espèce de lien dépassant sa raison qui se répandait le long des arbres, filant le long des fibres, reliant chacun dans une espèce de tissu qui la transcendait totalement.

Se sentant écrasée, Ivy tomba à genoux, un vertige saisissant sa tête, et elle prit soudain peur en réalisant qu’elle foulait du pied des brins d’herbe. Se sentant probablement dans la peau d’un pèlerin croisant sa divinité, elle bondit en arrière, hésitant du coup à rentrer dans cette forêt, qui lui apparaissait tenir du sanctuaire. Poison Ivy restait après tout une humaine, même si elle avait parfois honte à l’admettre. Elle se recula rapidement, restant à l’orée de la forêt, ne sachant pas quoi faire. Elle posa à nouveau une main sur le sol, sentant les racines des arbres, la vie gargouiller.

*Cette forêt est si… Je ne peux pas croire qu’un tel endroit existe… Si seulement je pouvais en comprendre les secrets…*

Prenant son courage à deux mains, Poison Ivy entreprit de se relever, se remettant de ses émotions, et commença à s’avancer, veillant à ne blesser aucune plante.

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Prélude / Re : L'amour des plantes ♥ [Valiplantée! ^^]
« le: jeudi 26 janvier 2012, 11:27:47 »
Ah oui, en effet xD J'aurais jamais pensé à la retrouver avec un nom pareil x) Heureusement qu'elle est inactive depuis quelques années ^^ Bravo, super-héros  ;)

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Prélude / Re : L'amour des plantes ♥ [Valiplantée! ^^]
« le: jeudi 26 janvier 2012, 11:04:50 »
Merci à vous ^_^ Sinon, Prime à moins de m'être complètement plantée, j'ai vu aucune autre Poison Ivy dans la liste des membres x) J'ai vu un Joker, une Catwounette, même Harley Quinn, mais pas elle xD 'Fallait bien résoudre cet oubli ^^

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Prélude / Re : L'amour des plantes ♥ [Valiplantée! ^^]
« le: jeudi 26 janvier 2012, 00:57:17 »
Ah, c'était à interpréter au sens littéral ? Hum... Vu comme ça, oui, ça change la donne *Tient quand même un peu à son cerveau magnifique x)* J'te passerai des humains pour que tu ailles les lobotomiser, si ça te fait plaisir ^^

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Prélude / Re : L'amour des plantes ♥ [Valiplantée! ^^]
« le: jeudi 26 janvier 2012, 00:48:21 »
Nous jouerons, ma chère, nous jouerons *Aime bien jouer avec tout ce qui est vert ^^*

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Prélude / Re : L'amour des plantes ♥ [Valiplantée! ^^]
« le: jeudi 26 janvier 2012, 00:46:12 »
Je ne manipule que les humains, pas les forêts ^^ Quant au câlin... Puisque c'est si gentiment demandé <3

584
Prélude / Re : L'amour des plantes ♥ [Valiplantée! ^^]
« le: jeudi 26 janvier 2012, 00:37:10 »
Wel' --> Merci, je veux aussi  :P

Gilgamesh --> Merci, cher Roi ^^

Enora --> Ben, j'ai bien fait de me décider à la faire, alors, la petite Ivy xD

Anéa --> Idem !

Alraunya --> La nature n'a aucune raison de me détester, vu tous les câlins que je lui fais :P Et j'aime qu'on me montre des trucs ^_^

(Et tant mieux ; les plantes, c'est plus fun que des Dieux !)

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Prélude / L'amour des plantes ♥ [Valiplantée! ^^]
« le: jeudi 26 janvier 2012, 00:07:32 »
Généralités

- Nom : Isley
- Prénom : Pamela Lilian
- Surnom : Poison IvyL’Empoisonneuse
- Âge : 46 ans
- Sexe : Femme
- Race : Humaine (ou mutante, j’sais pas trop comment la classer, pour être honnête :/)
- Orientation sexuelle : Bissexuelle / Végétophile
- Situation de depart : Loin d’être vierge

Présentation du personnage

Description physique

Pour décrire simplement Ivy, disons que la femme est belle, ce qu’elle trouve normale, puisqu’elle estime être un produit pur et propre de la Nature. Or, de son point de vue, la Nature ne saurait être que belle. Quand elle était encore une simple humaine, elle était assez renfermée, négligée, mais, depuis que sa vraie nature s’est révélée, Ivy a laissé parler sa beauté. Elle a de longs cheveux roux, qui font presque penser à des cheveux en feu, et sa peau belle, élancée, bien proportionnée, peut, selon ses humeurs et ses volontés, passer d’une peau normale à une couleur un peu plus verte, parfois parcourue de feuilles. Ceci s’explique par le code génétique d’Ivy, très particulier, qui permet, selon sa volonté, de changer très légèrement son apparence.

Le corps d’Ivy est ainsi un subtil mélange entre un corps humain et les végétaux. Ses doigts peuvent se transformer en longs tentacules si elle en ressent le besoin, et elle développe une sorte de lien psychique avec les plantes spéciales qu’elle créé, ces dernières étant, en quelque sorte, comme des émanations de son propre corps. Au niveau vestimentaire, Ivy porte généralement de légères tenues vertes assez sexy, qui sont la plupart du temps constituées de végétaux. Elle ne porte jamais de vêtements humains, mais les vêtements que ses plantes font peuvent en revêtir l’allure.

Caractère

Quand Ivy n’avait pas encore subi ses évolutions génétiques, elle était une jeune étudiante brillante, mais aussi timide, et aisément influençable. Mal dans sa peau, plus à l’aise avec les plantes qu’avec les humains, elle aimait bien s‘enfermer dans sa serre. Maintenant que Pamela est devenue Poison Ivy, elle a conservé certains des traits de caractère de son ancienne personnalité, soit un amour totalement exacerbé pour les plantes, et un dégoût encore plus profond de l’espèce humaine. Cet amour pour les plantes est tel qu’elle considère le simple fait de couper une fleur comme un crime. A titre de comparaison, rappelez-vous la scène finale de « Men In Black », quand l’agent J., pour retenir l’attention de l’extraterrestre, piétine des cafards, déclenchant l’ire du monstre. Et bien, remplacez les cafards par des fleurs, remplacez le monstre par Ivy, et vous comprendrez ce qui se passe quand on attaque ses précieuses fleurs.

Son dégoût pour le genre humain s’étend à toute forme d’espèce intelligente méprisant la Nature. Et Ivy a une conception très large de « mépris de la nature ». Même un écologiste de base risque de faire quelque chose qui lui déplaît. Rouler dans une voiture ? C’est polluer l’atmosphère, et, partant de là, contribuer à blesser la nature. Mieux vaut faire preuve d’humilité quand on cherche à s’adresser à Ivy, car la femme est potentiellement arrogante. Quand on s’adresse à elle, et qu’on ne veut pas être malmené par ses tentacules, il vaut mieux fléchir les genoux, et invoquer la rédemption. Notez qu’Ivy utilise souvent les humains pour les transformer en homme-plantes, utilisant pour ce faire des plantes suffisamment grosses pour avaler un humain, altérant à jamais leur corps et leur ADN pour en faire des esclaves serviles.

Poison Ivy est également sujette à des sautes d’humeurs assez imprévisibles, surtout quand on traite avec dédain des sujets qui lui tiennent à cœur.

Ivy reste toutefois une humaine, avec un corps et des pulsions à satisfaire, et, si elle utilise souvent ses plantes à cette fin, elle apprécie souvent de le faire avec des humains, surtout quand ils sont beaux. Ses plantes étant reliées à elle, elle utilisera souvent ses dernières, ainsi que ses tentacules, lianes et autres, pour satisfaire ses pulsions sexuelles. Le plaisir de(s) autre(s) n’est pas spécialement requis, ce n’est qu’une forme de supplément.

Poison Ivy reste aussi une femme très intelligente, ayant fait de hautes études scientifiques, et utilisant son savoir-faire et son ADN si particulier pour concevoir des plantes spéciales. Elle cherche généralement à s’enfermer dans des coins discrets pour pouvoir s’entourer d’une petite forêt, une sorte d’îlot naturel la protégeant des agressions externes.

Sur Seikusu, Ivy est une professeur travaillant au lycée, et ayant bâti, dans les profondeurs de la ville, une espèce de belle forêt isolée, ce qui ne l’empêche naturellement pas de se promener souvent dans le parc.

Sur Terra, elle se contente de se balader au gré du vent, généralement pour y récupérer des ingrédients rares, afin de concevoir de nouvelles plantes, enzymes, ou autres produits.

Histoire

Pamela Isley est née au sein d’une riche famille américaine aux Etats-Unis. Elle n’a jamais connu de problèmes financiers durant son enfance, et a toujours manifesté un immense plaisir pour les fleurs. Jeune, elle aimait se perdre dans les grands jardins de l’immense manoir familial, satisfaisant tant sa mère que son père. La première voyait en cette jeune fille une fille apaisée, loin de ces jeunes femmes dans les villes, tandis que le second, qui avait tout de ces Lords anglais typiques, avait toujours eu la passion du jardinage. La joie de leurs parents fut encore plus forte quand ils virent que Pamela manifestait aussi de grands talents pour les sciences. Très intelligente, Isley apprenait rapidement tout ce qui relevait des sciences et vie, des mathématiques, en manifestant un dédain assez prononcé pour les matières plus littéraires. Elle quitta rarement l’enceinte familiale, disposant de professeurs privés, et les rares fois où elle avait été en ville, elle avait été effarée par l’odeur nauséabonde, par l’allure triste, négligée des arbres, par les rugissements des voitures, par cette espèce d’affront puant et sinistre à la beauté et au calme des plantes et des fleurs.

Avec le temps, Isley dut toutefois quitter le cocon familial. Elle rejoignit l’une des prestigieuses universités de l’Ivy League, la célèbre Harvard. La rencontre avec les étudiants fut pour la moins troublante pour la jeune femme. Elle les rejeta, s’isolant, n’aimant pas spécialement le contact des autres étudiants. Elle manifesta un léger intérêt pour les écologistes du campus, mais s’en désintéressa assez vite. Étant une étudiante très douée, passant son temps à travailler, elle passa des années enrichissantes à Harvard, notamment auprès d’un professeur, spécialiste en botanique, Jason Woodrue. Woodrue avait toute pour plaire à Pamela. Il était un passionné d’écologie, mais un véritable passionné, qui ne se contentait pas, comme les étudiants, de brasser du vent en fumant de la drogue, mais qui avait des projets pour améliorer les plantes, et, surtout, pour amener l’espèce humaine à cesser de détruire l’écosystème. Les projets de Woodrue consistaient à renforcer, par le biais d’enzymes spéciales, l’endurance des arbres, leur capacité à émettre de l’oxygène, à lutter contre la pollution. Woodrue était aussi intelligent que mégalomane, et lui et Pamela tombèrent mutuellement amoureux. Elle devint son assistante personnelle, et perdit sa virginité avec lui, lui faisant l’amour bien dès fois.

C’était son premier amour, cet amour fou où on était prêt à faire n’importe quoi pour plaire à son amant. Et c’est ce que Pamela fit. Woodrue, dans ses recherches, avaient besoin de pratiquer son enzyme spéciale sur le sang humain. Son ultime projet était en effet de développer une enzyme spéciale, qui modifierait les cellules génétiques des humains, afin de les rendre plus réceptifs aux problèmes environnementaux. Woodrue avait commencé des expériences sur des rats, des singes, des plantes, et avait noté, avec Pamela, des résultats significatifs. Suffisamment pour aller jusqu’à planter dans les belles veines de Pamela son enzyme. Les résultats ne furent pas concluants. Lors des premiers essais, les cellules du corps d’Isley produisirent des anticorps efficaces, neutralisant le virus, déclencha la rage de Woodrue, qui se mit à la battre. Woodrue était en effet dans des situations compliquées. Ses cours enflammés, les insultes qu’il prodiguait envers ses étudiants, avaient amené le conseil d’administration d’Harvard à le menacer. Ses résultats guère concluants sur les recherches biogénétiques, et son penchant de plus en plus prononcé pour l’alcool, ainsi que son attirance pour les jeunes étudiantes, commençaient de plus en plus à gêner. Et Pamela, qui savait que Woodrue la trompait, mettait tout cela sur son propre dos. Woodrue était son idole, son Dieu, son amoureux transi, l’homme pour qui elle mourrait, et, s’il la trompait, c’est parce qu’elle n’était pas belle, ou parce que son produit ne parvenait pas à se mélanger avec son sang.

Elle décida donc du faire du mieux qu’elle pouvait, et encouragea Woodrue à appliquer sur elle de fortes injections de son produit, et non pas les quelques doses qu’il lui injectait de temps en temps. Le virus fut inoculé dans de fortes doses, et le code génétique de Pamela Isley muta, et muta à tel point qu’elle en mourut… Ou finit dans un tel état que Woodrue la crut morte. Mortifié, conscient qu’il risquait la prison, ce dernier, après s’être convaincu qu’elle était morte, alla l’enterre dans la forêt, au milieu de la nuit. Malheureusement pour lui, quelque chose d’autre se mit à renaître à la place de Pamela.

Poison Ivy s’extirpa de sa prison, et retourna à Harvard, bien plus pulpeuse qu’avant. Les étudiants manifestèrent pour elle un plus vif intérêt, et Ivy réalisa qu’elle pouvait exciter, avec des phéromones, les hormones des autres. Elle célébra donc son départ d’Harvard pour une immense orgie dans la forêt, où elle secréta suffisamment de tentacules pour faire simultanément l’amour à tous les étudiants. Le seul à qui elle ne fit pas l’amour fut Woodrue, qu’elle tua.

Ivy quitta ensuite Harvard, et passa de nombreuses à années à être une éco-terroriste assez dangereuse, multipliant les attentats, tuant les industriels véreux, attaquant des usines avec ses plantes, rêvant parfois de recouvrir le monde de plantes, mais échouant à chaque fois. Après plusieurs années, Poison Ivy a fini par atterrir à Seikusu, par apprendre l’existence d’un autre monde, et par s’y promener. À Seikusu, elle est une professeur de sciences et vie, aux méthodes assez expéditives, mais chaque conseil disciplinaire prononcé à son encontre après des plaintes s’est toujours terminée en sa faveur.

Citer
Évolution

Pamela n'est pas restée très longtemps une simple professeur, et, profitant de l'atmosphère paisible du Japon, elle a repris ses recherches sur les plantes, afin de trouver un moyen de les protéger de la pollution. Ayant appris l'existence de Terra, elle a fait la rencontre de nymphes et de dryades, notamment d'une puissante forêt magique, et a profité de son voyage là-bas pour récolter de la sève spéciale, et l'a utilisé pour ses plantes pour les animer. Cette sève a toutefois de puissants phéromones sexuels, la forêt magique ayant été créée à partir de Lust, Déesse de la Luxure.

À partir de ses expériences, Pamela s'est conçue un petit nid d'amour, dans une ancienne station d'épuration des eaux, sous le lycée Mishima. Elle a recouverte la majorité de cette station de mucus végétal, de plantes et de fleurs, et y invite quelques lycéens. Elle a également repris ses activités politiques, en étant membre d'une ONG spécialisée dans la protection de l'écosystème, et en kidnappant des personnes, afin de les mettre dans certaines de ses plantes, afin qu'ils changent d'avis sur la nature, et soient plus réceptifs à cette dernière. Le traitement à l'intérieur des plantes n'est pas forcément sexuel et s'analyse plutôt en un bourrage de crânes.

Parallèlement, Ivy a été détectée par le SHIELD, mais ces derniers ont choisi de la laisser relativement tranquille. Parfois, Poison Ivy les aide, et porte alors un uniforme (il correspond en fait au costume qu'a Ivy dans les New 52).

Elle est aussi connue pour être une professeur extrêmement exigeante en cours... Et pour provoquer des érections à multiplication chez bon nombre de la gent masculine qui assiste à son cours.




Pamela a continué à évoluer au fur et à mesure de ses rencontres :

  • Suite à sa rencontre avec Lily et Raune, deux belles Alraunes, ces dernières lui ont offert une fille, Kyli, dont Pamela s'occupe maintenant avec la plus grande attention ;
  • Suite à sa rencontre avec Morgan Clayton, le Gardien de la Sève, Pamela a goûté à la joie incommensurable d'être l'Avatar de la Sève, et a pu se rapprocher du Green, une force fondamentale liée à la Flore, lui rappelant ses vieux rêves de Déesse végétale ;
  • Suite à sa rencontre avec Weldenela, Pamela a bénéficié d'une nouvelle apparence et de nouveaux pouvoirs. Ainsi, elle est devenue une Alraune, tout en conservant encore, en elle, un substrat d'humanité. Sous cette nouvelle forme, ses pouvoirs ont été décuplés exponentiellement ;
  • Pamela a accueilli dans sa vie une ancienne figure issue de son passé, Harley Quinn. Leurs retrouvailles se sont faites sous les meilleures auspices, et, débarrassée de la pollution de Gotham et de la présence du Joker, qui a abandonné Harley pour se consacrer à sa relation avec le Chevalier Noir, Pamela est bien décidée à garder Harley auprès d'elle... Voire même à reformer, avec Félicia Hardy, l'ancien trio qui avait eu lieu, à l'époque, avec Selena : les Gotham City Sirens...

Pouvoirs

Si je me souviens bien, voici la plupart des pouvoirs d’Ivy :

- Phéromones. Ivy peut répandre autour d’elle une espèce de spore qui influe sur les hormones. Ces spores ne rendent pas fous d’amour, mais altèrent plus ou moins, selon le sujet, ses capacités de raisonnement, et l’attitude qu’il a envers Ivy. Ses lèvres disposent, au choix, soit d’un puissant aphrodisiaque, soit d’un puissant poison. Dans tous les cas, ses baisers sont mortels.
 - Tentacules. Ivy peut secréter des tentacules depuis son corps, ce qui, si je me souviens bien, est un pouvoir inédit par rapport au personnage de DC, qui ne peut pas personnellement secréter. Les tentacules qu’elle secrète sont des extensions de ses ongles, et ne peuvent partir que depuis ses doigts.
 - Plantes. Ivy peut influer sur le fonctionnement des plantes, créant ainsi des plantes carnivores, des plantes tentaculaires, etc… Elle se sert de formules chimiques reposant sur son sang pour cela. Certaines de ses plantes lui permettent aussi de transformer le code génétique de certains humains qui l’ennuient un peu trop, en faisant des esclaves asservis à son autorité.
 -  Jeunesse éternelle. Le code génétique d’Ivy est si particulier qu’il permet un ralentissement phénoménal du vieillissement de ses cellules.

Le corps d’Ivy est en revanche aussi vulnérable que celui d’un humain lambda.

Remarques finales

- Comment ai-je découvert le forum : QC
- Ai-je des moyens de le faire connaître autour de moi : Nope !

RPs

1°) "Elles n'aiment pas être en cage" [Sentinel Prime] [ABANDONNÉ]
2°) Un endroit d'exception [Weldenela] [ABANDONNÉ]
3°) La fleur du mal [Iruka Seishi] [ABANDONNÉ]
4°) Quand on a pas la main verte, il faut augmenter la dose [Sakura Korvander] [TERMINÉ]
5°) Une touriste providentielle [Sora Sokoku] [ABANDONNÉ]
6°) Après les cours [Satsumy Kawashima] [ABANDONNÉ]
7°) Paradis perdu [Isamu] [TERMINÉ]
8°) Une irritante chauve-souris [Batman] [ABANDONNÉ]
9°) Un cours insoutenable [Le Cercle] [TERMINÉ]
10°) Altercation avec une belle plante [Adramelech] [TERMINÉ]
11°) Au secours ! [Alahazra] [ABANDONNÉ]
12°) Ménage à trois [Asuka Ayame] [TERMINÉ]
13°) A table ! [Mithra] [EN COURS]
14°) Cours très particulier ! [Squall Leonhart] [TERMINÉ]
15°) Communion avec la nature [The Thing] [ABANDONNÉ]
16°) Sortie en montagne [Sarah Liam] [EN COURS]
17°) Petits plaisirs nocturnes [Squall Leonhart] [ABANDONNÉ]
18°) "On juge l'arbre à ses fruits" [Yumena A.] [EN COURS]
19°) Tout ça pour une foutue plante ? [Sandra Tomichenko] [EN COURS]
20°) Comment rattraper une mauvaise note ? [Lena] [EN COURS]
21°) Poison sexuel [Kanako et Miko] [EN COURS]
22°) La jeune initiée [Lyssandre] [EN COURS]
23°) Le sanctuaire d'une Déesse [Laurelyn] [ABANDONNÉ]
24°) L'hospitalité des nymphes [Weldenela] [EN COURS]
25°) L'arlequin et l'empoisonneuse préparent un mauvais coup ? Qui sait ? [Harleen Quinzel] [TERMINÉ]
26°) Visite en terrain pas si vierge [Squall Leonhart] [EN COURS]
27°) Bienvenue à Mishima ! [Iry] [ABANDONNÉ]
28°) Ne jamais faire confiance à un politicien [Adramelech] [EN COURS]
29°) Nature et Civilisation [Blossom [EN COURS]
30°) The pleasure of plants [Amy Chikako] [EN COURS]
31°) L'atypique nouvelle élève [Ayane] [EN COURS]
32°) Une trop grosse plante [Arpenteur] [TERMINÉ]
33°) Invitée surprise [Takako] [EN COURS]
34°) Passion florale [Lily et Raune] [EN COURS]
35°) Vous avez dit cours de botanique ? [Gloutonne] [EN COURS]
36°) Petite fée en vadrouille [Aril] [EN COURS]
37°) Pour la sauvegarde d'un royaume [Oksa Pollock] [EN COURS]
38°) Sexe & Alcool [La Petite Fée Verte] [EN COURS]
39°) Une nouvelle élève [Lucia] [EN COURS]
40°) Bienvenue au monde [Kyli] [TERMINÉ]
41°) Nymphéas verts [Morgan Clayton] [TERMINÉ]
42°) Rotworld [Morgan Clayton] [EN COURS]
43°) Union familiale [Harleen Quinzel - Kyli] [TERMINÉ]
44°) Ijime [Anaëlle Debu] [EN COURS]
45°) Réunion familiale [Harleen Quinzel - Kyli] [EN COURS]
46°) La Deuxième Alraune [Saune - Kyli] [EN COURS]
47°) Welcome To The Kingdom ! [Zoé Kido] [EN COURS]
48°) Orgie végétale [Anya Nyan] [EN COURS]
49°) Usurpation d'identité [Sandy] [EN COURS]
50°) La végétation ça craint ! [Pink ranger] [EN COURS]
51°) Masochisme [Chloé Faure] [EN COURS]

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