Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Tout ça pour une foutue plante ? [PV : Ivy / Black Cat (& Batgirl ?)]

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Sandra Tomichenko

Humain(e)

Cela faisait déjà environ six mois qui s'étaient écoulés depuis le meurtre de Sandra Tomichenko. Celle-ci était revenue à la vie sous une nouvelle identité. Elle était à la fois Sandra Tomichenko et une "Catwoman", une de ces femmes-chat mais pas au sens de Neko. Au sens que, justement, les siens étaient accrus, de sens. Et elle avait à présent neuf vies à vivre. Bénéficiant d'une extrême agilité, et grâce aux talents de Takako -une de ses voisines qui avait assistée à sa chute- elle portait désormais une combinaison moulante dissimulant son identité et officiant sous le sobriquet, parfaitement de circonstance, de Catwoman.

Cambriolant ainsi bijouterie, musée et autres collections privées, ce fut lors d'un casse qui tourna mal qu'elle fut contrainte, sous la menace d'une arme, de rechercher une fichue plante exotique absolument rare. En effet, la personne qui la tenait alors en joue était la directrice d'un centre militaire de recherches et développement d'armes bactériologiques, biochimiques et pharmaceutiques, car non contents de créer des armes, ces chercheurs développaient également leurs antidotes.

En échange du silence de la directrice concernant le cambriolage, Catwoman devait donc chercher une plante extrêmement rare et le ramener à cette femme. A l'aide d'un scanner fabriqué pour réagir à cette plante -un peu comme le ferait un détecteur de métaux- Catwoman finit par trouver une grotte horriblement sombre, dont l'entrée était située sous les racines d'un chêne plurimillénaires. Fort heureusement, Catwoman était nyctalope grâce à ses nouveaux dons.

-- Bip... Bip... Bip, bip... Bip, bip... Bip, bip, bip... Bip, bip, bip, bip...
*Hum, je chauffe...*


Catwoman avançait et, ce faisant, les bips sonores du scanner s'intensifiait. Elle n'était plus très loin, c'était certain ! S'approchant, elle entendit quelqu'un parler mais la voix semblait être la seule présente. Elle éteignit l'appareil, par sécurité et s'approcha.

-- (Murmure à peine compréhensible même pour elle).
*Tiens, tiens... Serait-ce le voleur ou la voleuse de cette foutue plante ? Drôle d'endroit pour une planque. C'est plutôt sordide...*


Catwoman s'approcha en silence, à quatre pattes, et se trouva bien vite à l'entrée d'un laboratoire, et il fallait utiliser une échelle plantée dans la paroi de terre pour descendre de la galerie où elle se trouvait, ce qui voulait dire qu'elle était plus entrée par une sorte d'issue de secours que par l'entrée principale... Enfin, c'était sa conclusion. Elle vit alors une ravissante rouquine en blouse blanche en train de marmonner des formules incompréhensibles, pendant qu'elle manipulait divers produits chimiques avec divers verreries de labo.

*Un labo sous terrain... Une femme à peau verte... Ma résurrection digne de la Bible... J'aurais tout vue, moi...*

La Catwoman chercha à trouver du regard toute les sources de lumière, et n'en trouva qu'une. Puis, après un bref repérage pour trouver la plante en question, elle fit claquer son fouet sur l'unique lampe afin de plonger le labo dans l'obscurité la plus totale tout en baissant ses lunettes à vision thermique -made in Takako- et sauta jusqu'au labo. Elle fit le tour des divers équipements pour aller chercher la plante, prenant bien soin de ne pas entrer en contact avec la source de chaleur émise par l'autre rousse. Puis elle retourna à son point de départ, furtivement et remonta dans la galerie.

-- Désolée ma belle ! Telle est prise qui croyait prendre ! В один из этих дней !

Sandra releva ses lunettes, ramassa le scanner et courut jusqu'à la sortie de galerie mais alors qu'elle s'en approchait, les racines de l'arbre où elle était entrée se refermèrent comme par magie.

-- Merde ! C'est quoi ça ?

Elle était prise au piège. Pire, des lianes sortirent du sol et des parois du boyau de terre, l'entravant.

-- Вот дерьмо !

Elle voyait une nouvelle lumière apparaitre en contrebas, dans le laboratoire, et les lianes plongèrent dans la terre, entrainant la captive devant l'espèce de scientifique au rabais. Sandra éternua, chassant la terre poussiéreuse de ses narines. Une des lianes prit délicatement la fameuse plante des mains de la Catwoman. Celle-ci fit la moue. Elle n'aimait pas perdre un objet de sa convoitise et là c'était trop : deux fois dans la même soirée.

-- C'est bon, sale garce ! Tu peut le dire... Tel est prise qui croyait prendre hein ? Dis moi, pourquoi tu tiens tant à cette plante ? Imagine ce que ce foutu laboratoire pourrait faire avec elle, penses à ces médicaments ! Pourquoi tu ne me laisserai pas l'avoir ? Hein ? Sans elle, je suis bonne pour la taule... Ca nous fait un point commun, non ? J'imagine que ta petite installation n'a rien de très légale...

Poison Ivy

Créature

ExCell était bien connu de Pamela Isley, alors Poison Ivy. C’était une entreprise pharmaceutique assez influente en Asie du Sud-Est, qui avait son siège social à Tokyo, et une succursale à Seikusu. Dans les montagnes de la ville, ExCell avait un laboratoire assez riche, qui était solidement gardé, et qui attendait la venue d’une plante trouvée sur une île sauvage au large du Viêt Nam par une expédition scientifique financée par ExCell. ExCell appartenait, de manière plus générale, à un puissant consortium japonais, et s’opposait à toutes ces puissantes multinationales qui voyaient d’un très mauvais œil la médecine à base de plantes. Les humains étaient toutefois adeptes de paradoxes, et c’était en effet un sacré paradoxe que de savoir que les médicaments et autres éléments conçus dans les laboratoires ExCell avaient, pour base, des plantes médicinales. Ivy avait ainsi appris que les scientifiques avaient découvert un nouveau type de plante. Honnêtement, ça n’avait pas franchement fait la une des journaux, ni même du journal télévisé, les Terriens préférant visiblement un reportage sur l’ouverture des soldes ou le taux d’enneigement plutôt que la découverte d’une nouvelle plante. Les scientifiques d’ExCell étaient formels. La plante avait été analysée dans le laboratoire le plus proche de sa découverte, mettant fin à de longues recherches menées par un scientifique, qui avait fait des recherches climatiques pour trouver l’environnement le plus propice à l’apparition de cette plante.

Pamela s’était renseignée, de son côté. Bien qu’elle soit une ancienne criminelle, son casier judiciaire avait été lavé, moyennant quelques bénéfices corporels envers des responsables administratifs hauts placés. Ceci lui avait permis d’obtenir des informations sur cette plante, en rendant visite aux chercheurs en question, et en faisant parler son charme légendaire. Elle avait ainsi obtenu divers rapports incompréhensibles pour le commun des mortels, mais qui attestaient de l’originalité de cette planète, et de ses facultés importantes. ExCell y voyait de quoi révolutionner le monde de la médecine, mais Pamela y voyait surtout une plante rare, extrêmement précieuse, qui allait se faire déchiqueter par des imbéciles d’humains, et ce pour faussement tenter de soigner d’autres imbéciles d’humains, et surtout permettre à des actionnaires peu scrupuleux de s’enrichir. L’âme d’écologiste d’Ivy avait fortement réagi, et elle s’était emparée de la plante. Elle n’était pas très bien surveillée lors de son transfert vers Seikusu, et elle était maintenant dans son laboratoire souterrain, à l’étudier.

Elle regardait la manière dont la plante réagissait à ses différents produits, se sentant bien. Son repaire était dans une ancienne station de métro désaffectée et fermée, uniquement accessible par les égouts. Ses plantes diffusaient néanmoins d’agréables spores, afin d’éviter que l’odeur écœurante des canalisations ne se répande dans son antre. Il y avait une sorte de pelouse végétale tendre un peu partout, de la mousse verte sur les murs, et quantité de plantes. C’était son repaire, et les plantes ne faisaient de mal à personne. Elle rendait même service à la ville, les racines se nourrissant d’une partie des déchets pour survivre, et se reproduire. Tout, dans la Nature, avait une fonction, une utilité bien précise. Ceci formait une sorte de grande harmonie collective et évolutionniste, dont la seule erreur générationnelle, ou presque, se résumait à l’espèce humaine. La Nature n’avait aucun maître, et que les humains tentent de se faire passer pour tels était tout simplement un crime d’arrogance.

Ivy travaillait donc tranquillement, quand ses plantes l’avertirent d’une présence. Pamela entretenait presque une sorte de lient télépathique avec ses plantes, et elles l’avertirent donc. Pamela ne fit rien pour dissuader cette jeune femme, qui avançait rapidement. Elle déposa la plante exotique sur une table, et se rapprocha d’autres tables. La plante exotique dégageait des spores spéciales, que Pamela n’avait pas encore réussi à supprimer, et il était probable qu’ExCell ait envoyé quelqu’un pour la lui voler. Elle travaillait sur d’autres plantes, voyant des petits tentacules pousser le long des racines, s’enroulant timidement autour des doigts d’Ivy, qui les contemplait amoureusement.

*Le miracle de la Nature... Voilà pourquoi les humains sont dotés d’intelligence. Notre rôle n’est pas de nous servir des ressources naturelles pour vivre en pillant allégrement le monde, mais protéger cette incroyable diversité biologique, s’assurer de son plein épanouissement.*

C’était d’une telle limpidité pour elle... Pamela ne fut pas surprise quand un fouet claqua contre la seule lampe qu’elle avait allumé, l’explosant, plongeant la pièce dans l’obscurité. Elle sentit une femme descendre rapidement, semblant visiblement se repérer dans la nuit. Malheureusement pour elle, Ivy aussi savait se repérer dans la nuit. Une plante, après tout, ne bougeait pas, n’entendait pas, et ne parlait pas. Restait-elle pour autant ignorante des choses qui l’entouraient ? Bien sûr que non ! C’était un organisme vivant, qui fonctionnait de manière innée. Elle aurait pu, à n’importe quel moment, stopper cette femme, mais elle préféra la laisser partir, afin de voir sa rapidité, son agilité.

« Désolée ma belle ! Telle est prise qui croyait prendre ! В один из этих дней ! »

Hum ? Du russe ? Ou un idiome similaire ? Elle avait cru sentir un léger accent derrière ce ton désinvolte, et se contenta de croiser les bras. La femme courait rapidement, filant vers la sortie. Elle était entrée par le passage dans le parc, où Ivy avait, là aussi, modifié une partie des plantes, donnant lieu à quelques surprises inattendues chez des visiteurs traversant le parc un peu tardivement. La sortie fut refermée par une série de tentacules, bloquant la femme, et d’autres lianes vinrent s’enrouler fermement autour d’elle, avant de la tirer en arrière. Ivy, de son côté, se dirigea vers un interrupteur, et appuya une autre lampe. Elle eut ensuite devant elle une femme dans une superbe tenue de cuir moulante, qui lui rappela étrangement Selina Kyle.

*Catwoman ? Non, c’est impossible...*

La femme n’était visiblement pas du genre à supplier, et ne tarda pas à le prouver, tandis que la plante retrouvait sa place.

« C'est bon, sale garce ! Tu peut le dire... Tel est prise qui croyait prendre hein ? Dis moi, pourquoi tu tiens tant à cette plante ? Imagine ce que ce foutu laboratoire pourrait faire avec elle, penses à ces médicaments ! Pourquoi tu ne me laisserai pas l'avoir ? Hein ? Sans elle, je suis bonne pour la taule... Ca nous fait un point commun, non ? J'imagine que ta petite installation n'a rien de très légale... »

Pamela pencha la tête, et s’avança un peu vers la femme, tandis qu’elle retirait lentement sa blouse blanche, révélant sa tunique verte recouvrant son haut. C’était une excroissance végétale que son propre corps sécrétait, Pamela ne supportant pas les vêtements sur son corps. Elle s’avança vers la femme, dont les bras et les jambes étaient entravés par des tentacules, intriguée malgré elle. Ce n’était pas Selina... D’une part, Selina n’avait pas cet accent, et, d’autre part, elle l’aurait reconnu. Elles avaient déjà travaillé ensemble à Gotham, après tout.

« Hum... Tu parles beaucoup, ma belle... Si j’ai bien compris, tu as remonté les spores de cette plante pour la remettre à ce laboratoire ? »

C’était une question rhétorique, et elle n’écouta même pas la réponse de la femme, avant de se rapprocher d’elle. Il se dégageait naturellement du corps de Pamela une certaine forme de sensualité, et elle se mit à l’observer de la tête aux pieds. Sa tenue de cuir était un peu salie, mais lui allait plutôt bien. Elle caressa alors le cuir, s’efforçant de nettoyer sa combinaison.

« Du reste, pourquoi poser des questions auxquelles les réponses sont évidentes ? Regarde autour de toi... Moi et les plantes, c’est une grande histoire... »

Tout était vert ici. Il y avait de la mousse partout, et on pouvait voir, sous le sol, parfois, des espèces de mouvements, comme si de longs serpents se déplaçaient.

« Sais-tu à quel point notre monde est diversifié ? Pour l’heure, notre espèce a repéré et identifié entre 300 000 et 315 000 espèces de plantes. Ces petits bouts verts sont indispensables à notre épanouissement, à la vie. Elles en sont la plus belle manifestation, la plus noble, la plus pure, la plus harmonieuse. Elles sont le socle nécessaire à la vie. Les gens qui t’ont envoyé ici ne veulent qu’une chose : disséquer cette plante rare, précieuse, pour en faire un produit pharmaceutique qui leur permettra de se remplir les poches d’argent. C’est une chose que j’exècre tout particulièrement. Quant à toi, tu devrais plutôt te préoccuper de ton propre sort. Tu sens la puissance de mes plantes, n’est-ce pas ? Je dispose aussi de plantes carnivores, alors, sois un gentil chaton, et évite de trop m’agacer. »

Pamela ne parlait pas sur un ton menaçant, mais était au contraire très calme. Elle cessa de nettoyer la combinaison de la jeune femme, puis s’écarta un peu.

« J’ai jadis connu une femme qui te ressemblait beaucoup... Mais tu n’es pas Selina Kyle. Qui es-tu ? Je t’aurais volontiers laissé libre de tes mouvements, mais, vu la manière dont tu t’es présentée à moi, tu comprendras que je ne veuille pas si rapidement me débarrasser d’une si belle créature... »

Elle lâcha cette tirade en caressant avec le dos des doigts la joue de la femme. Quand on tombait entre les plantes d’Ivy, il n’y avait pas grand-chose à faire. Et cette femme s’était jetée toute droit dans la gueule du loup. Il y a des années, Pamela l’aurait sûrement torturé, mais elle était guérie depuis... Presque.
DC d’Alice Korvander.

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Sandra Tomichenko

Humain(e)

Ignorant totalement l'ensemble des enjeux concernant cette plante et avait tout simplement acceptée de la voler pour s'éviter, au choix, la prison ou une cartouche de fusil entre les deux yeux... Et voila qu'elle maudissait ce jour.

*Galère...*

Sandra observa la soi-disant scientifique se... dévêtir... si tant est que l'on puisse appeler ça ainsi le fait d'ôter sa blouse. Sa sorte de couche végétale lui faisant office de seconde peau et de vêtement naturel était fascinante à regarder. Et sa peau légèrement verdâtre était plutôt originale et somme toute plutôt attrayante.

-- Hum... Tu parles beaucoup, ma belle... Si j’ai bien compris, tu as remonté les spores de cette plante pour la remettre à ce laboratoire ?
-- Hein ? Comment ça, "remonter" ? Et quels spores ?


Sandra n'avait pas bien compris la question de "Miss Plantes-en-pot"... Celle-ci n'avait pas l'air de vouloir répondre, par ailleurs, puisqu'elle reprit déjà la parole :

-- Du reste, pourquoi poser des questions auxquelles les réponses sont évidentes ? Regarde autour de toi... Moi et les plantes, c’est une grande histoire...

Le corps de Catwoman ondula légèrement quand l'autre rousse caressa sa combinaison de cuir. Celle-ci était si moulante, qu'à l'instar de celle que portait la scientifique elle faisait office de seconde peau ; et les doigts de la miss se baladant dessus, cela la faisait frissonner de plaisir. Après tout, Sandra était lesbienne avec seulement quelques tendances bi-curieuses... Et cette autre rousse était ma foi très attirante. Des envies un peu inavouables commençaient à lui effleurer l'esprit.

*Hum... Si on s'était rencontrées dans d'autres circonstances, je l'aurais volontiers croquée à poil sur un canapé, elle. Rrrrr... !*
Sais-tu à quel point notre monde est diversifié ? Pour l’heure, notre espèce a repéré et identifié entre 300 000 et 315 000 espèces de plantes. Ces petits bouts verts sont indispensables à notre épanouissement, à la vie. Elles en sont la plus belle manifestation, la plus noble, la plus pure, la plus harmonieuse. Elles sont le socle nécessaire à la vie. Les gens qui t’ont envoyé ici ne veulent qu’une chose : disséquer cette plante rare, précieuse, pour en faire un produit pharmaceutique qui leur permettra de se remplir les poches d’argent. C’est une chose que j’exècre tout particulièrement. Quant à toi, tu devrais plutôt te préoccuper de ton propre sort. Tu sens la puissance de mes plantes, n’est-ce pas ? Je dispose aussi de plantes carnivores, alors, sois un gentil chaton, et évite de trop m’agacer.
-- Ouh, c'est dingue c'que tu m'fais peur...


Répondit Sandra, pleine d'ironie, avec le ton le plus moqueur et le plus désinvolte qui soit.

-- D'une : sache que je n'ai absolument rien contre toi, et que je ne crois pas t'avoir menacée, contrairement à toi. De deux, je suis déjà morte alors tes amies les plantes ne me font pas peur. De trois... Tu comptes me frotter longtemps comme ça, chérie ? Je vais finir par avoir un trou dans le ventre si ça continue.

Ajouta-t-elle avec une assurance certaine. Elle souriait d'ailleurs d'un air de femme fatale. Ainsi elle comptait bien lui faire comprendre qui était la femelle alpha ici.

-- J’ai jadis connu une femme qui te ressemblait beaucoup... Mais tu n’es pas Selina Kyle. Qui es-tu ? Je t’aurais volontiers laissé libre de tes mouvements, mais, vu la manière dont tu t’es présentée à moi, tu comprendras que je ne veuille pas si rapidement me débarrasser d’une si belle créature...

Selina Kyle ? C'était qui celle-là ? Cette Catwoman là l'ignorait complètement... Pourtant, grâce aux recherches de Takako, elle savait que bien d'autres femmes à travers les âges avaient reçu le même don qu'elle. Peut-être que cette fameuse Selina étaient l'une d'elle. Une Catwoman russe et une Catwoman américaine... Cela ferait sûrement un sacré feu d'artifice si les deux étaient réunies dans la même pièce. Quand la jolie plante passa le dos de ses doigts sur sa joue, Sandra en joua et fit mine d'être émoustillée par la caresse, ce qui n'était pas tout à fait faux à dire vrai, en bougeant la tête comme un chat se blottissant contre la jambe de son maitre et en ronronnant.

-- Ah oui ? Rrrrrrrrr...

Et ce fut d'une voix douce et câline, contrastant avec ses dernières paroles, qu'elle reprit la discussion.

-- Et qui est cette Selina ? Rrrronrrr... Ta petite amie ? Qui je suis n'a aucune espèce d'importance, jolie fleur. Mais si tu y tiens, appelles moi... Catwoman.

Elle reprit son air de femme fatale et ajouta :

-- Quant à mes manières, ma chère, et bien... Je suis une femme... libre !

Elle parvint à se libérer, usant de son extrême agilité féline pour s'extraire de l'emprise des tentacules et, avec une vélocité surhumaine, usa de son fouet pour attraper la miss à l'une des chevilles. Elle tira d'un coup sec pour la faire tomber au sol. Elle bondit sur elle et lui attrapa les poignets pour les plaquer à terre puis profita de cette position dominante pour la provoquer, à sa façon : très joueuse.

-- Touchée, tovarich, c'est toi le chat !

Elle lui lécha la bouche et fit une roue sans les mains, profitant au passage de récupérer la plante, avant de s'échapper par la station de métro. Elle se retourna tout sourire, afin de toiser miss Plante-en-pot.

-- Miiiiiiaaaou !

Et elle reprit sa fuite. Elle courrait comme une dératée, enroulant son fouet autour d'elle, sautant et bondissant ça et là pour esquiver les assauts des divers lianes qui tentaient de la frapper. Mais hélas, elle ne fut pas assez rapide pour esquiver l'une des nombreuses plantes tentaculaires nées de l'imagination ô combien fertile de la scientifique. La chose en question tenait étrangement plus de l'animal que de la plante, puisqu'elle était mobile. L'animal-plante avait surgi brusquement du sol et avait attrapée Catwoman en lui sautant dans le dos. Il ne fallut donc pas longtemps pour qu'elle se retrouve de nouveau face à l'autre jolie rouquine.

-- Bon. D'accord... T'as gagnée ! C'est encore moi le chat. On fait une autre partie ?

Dit-elle, en rigolant. Puis, toujours aussi sûre d'elle, elle ajouta :

-- Bien puisque tu y tiens tant que ça, je te la laisse ta plante. Je trouverai bien un autre moyen de m'éviter la taule... Tiens, puisque tu es une sorte de scientifique, tu pourrais la cloner ou un truc du genre, non ? Tu aurais l'originale, moi la copie et chacune y trouverai son compte, non ? Ah, et demande donc à tes plantes étranges de me lâcher, s'il te plait... Je te ferai plus de coups fourrés, c'est promis. Regarde : je ne croise même pas les doigts ! Si t'es gentille, je le serai moi aussi. Et je peux être trèèèèèès gentille... si tu vois ce que je veux dire ?

En disant cela, malgré son côté joueuse et son attitude de séductrice, Sandra était malgré tout honnête. Enfin... autant que faire se peut pour une voleuse. Mais cela dit, il était vrai qu'elle ne comptait plus lui jouer de sale tour. Au point où elle en était, elle savait qu'elle n'avait aucune chance de fuir désormais alors autant la jouer adulte civilisée... Et puis... Plus elle la regardait, plus elle avait envie de s'envoyer en l'air avec la femme aux plantes. Elle la trouvait vraiment canon, en fait. Elle lui fit même un clin d'oeil en se passant sensuellement la langue sur la lèvre supérieur. Si avec ça le message était pas clair, alors le cas de la scientifique était désespéré... A moins que son gaydar ne l'ai trompée et que la miss était à 100% hétérote ?

Poison Ivy

Créature

Quelque chose sonnait faux dans la manière dont cette femme se comportait. Elle remuait tendrement la tête, frottant sa joue contre ses doigts, telle une bonne petite chatte. Ivy n’était pas totalement sûre que ce plaisir soit factice, mais cette soumission était ausis inattendue que curieuse.

*Si j’en crois mon expérience avec les chatons...*

Ce qui devait arriver finit par arriver. La mystérieuse Catwoman se libéra de son étreinte, e envoya Pamela sur le sol. Sans pouvoir prétendre être réellement surprise, Ivy fut quand même un peu décontenancée. Elle se retrouva sur sa mousse végétale, les mains de la femme agrippant ses poignets. Le temps lui était serré, car les tentacules revenaient déjà à l’assaut. Ivy sentit une forte excitation monter, que ce soit au contact de ce cuir, probablement l’un des seuls tissus humains qu’elle pouvait apprécier, ou au contact de la langue de cette femme sur ses lèvres. Elle était joueuse, et, avant que Pamela ne puisse dire quoi que ce soit, elle fila pour récupérer la plante, avant de partir, poussant un long miaulement très excitant.

« Miiiiiiaaaou ! » la nargua-t-elle.

La femme-plante sentit ses instincts humains revenir : elle était amusée. Elle se releva, ayant encore le goût de la langue de la femme sur ses lèvres, et fit parler ses tentacules. Catwoman courait dans la voie de métro désaffectée. Si elle la suivait, elle pouvait rejoindre d’anciens tunnels de maintenance qui n’étaient pas tous condamnés, et sortir par les égouts. Les tentacules jaillissaient de tous les recoins pour l’attendre, mais elle était agile, bondissant de partout. Cependant, la garde personnelle d’Ivy ne se résumait pas à des tentacules. Elle avait aussi d’autres subtilités. Jaillissant de la mousse murale où il dormait, l’un des animaux-plantes à son service se rua vers Catwoman, et la plaqua sur le sol. C’était une sorte de gros chien verdâtre à quatre pattes. Immédiatement, les tentacules ramenèrent Catwoman à sa position initiale, et la plante retourna sur une table.

Bras croisés, Pamela observait la jeune femme, tandis que l’animal-plante revenait. Des tentacules sortaient de son dos et de son abdomen, formant comme une espèce d’auréole autour de lui. Bras croisés, Ivy vit la femme. Des tentacules plus épais vinrent désormais s’enrouler autour d’elle.

« Bon. D'accord... T'as gagnée ! C'est encore moi le chat. On fait une autre partie ? »

Ivy se surprit à sourire devant le toupet de cette femme. Soit elle était vraiment insouciante, soit elle dissimulait très bien son jeu. Pamela optait plutôt pour la seconde solution. Du reste, quelque chose la turlupinait. Que voulait-elle dire, quand elle avait annoncé qu’elle était morte ? Tout cela était bien alambiqué. Décroisant les bras, Pamela laissa la femme continuer à s’exprimer, ne disant rien pour le moment :

« Bien puisque tu y tiens tant que ça, je te la laisse ta plante. Je trouverai bien un autre moyen de m'éviter la taule... Tiens, puisque tu es une sorte de scientifique, tu pourrais la cloner ou un truc du genre, non ? Tu aurais l'originale, moi la copie et chacune y trouverai son compte, non ? Ah, et demande donc à tes plantes étranges de me lâcher, s'il te plait... Je te ferai plus de coups fourrés, c'est promis. Regarde : je ne croise même pas les doigts ! Si t'es gentille, je le serai moi aussi. Et je peux être trèèèèèès gentille... si tu vois ce que je veux dire ? »

Elle ponctua cette question d’un clin d’œil et d’un mouvement de sa langue sur sa lèvre supérieure, en une parodie du séducteur du Dimanche qui voulait attirer l’attention de la belle minette en bikini sur la plage. Pamela était amusée par cette femme, et ne répondit pas directement. Son chien tentaculaire vert était en train de renifler les bottes de Catwoman, et fit sortir de sa bouche une longue langue violette, incroyablement longue pour un canidé, qui vint s’enrouler autour de sa botte, la pressant.

« Cette créature était un chien errant qui fouinait dans les poubelles. Je l’ai recueilli pour faire sur lui quelques expériences. Ce n’est pas permanent, naturellement. Je pourrais très bien te faire subir le même sort, Catwoman. Je le fais à certains hommes qui ne sont pas assez respectueux de l’environnement. Pendant dix jours, ou même un mois, ils deviennent mes esclaves, des hommes-plantes. »

Est-ce que Catwoman était sincère quand elle disait qu’elle ne tenterait plus de se rebeller ? Pamela n’en était pas vraiment certaine, mais elle avait des moyens de s’en assurer. Elle se rapprocha de la jeune femme, et fit mentalement signe à son chien de s’éloigner. Cessant de lécher la botte, ce dernier obtempéra, et s’écarta, disparaissant rapidement. Ivy retourna ensuite contre le corps de la belle femme en cuir, et retourna caresser ses hanches. Elle se devait de l’admettre : elle adorait frotter sa tenue en cuir, sentir ses doigts dessus, entendre le crissement du cuir. Elle était proche d’elle, et se mit ensuite à parler :

« Mais je ne le ferais pas, petit chaton... Tu me plais bien. J’ai d’autres moyens de m’assurer que tu ne chercheras pas à nouveau à me fausser compagnie. Vois-tu, j’étais, avant, une femme normale, mais j’ai subi quelques petites modifications génétiques, comme tu peux logiquement t’en douter. Mes glandes salivaires sécrètent un liquide dérivé de quelques plantes aphrodisiaques. »

Les aphrodisiaques étaient issus de matière végétale. Ceux qui l’étaient de manière organique n’avaient globalement qu’un vulgaire effet placebo. Ivy était proche de la femme, ses lèvres proche d’elle. Elle remonta l’une de ses mains pour caresser l’arrière de la tête de Catwoman, et vint l’embrasser. Au contact de ses lèvres, sa salive se répandit dans la bouche de Catwoman, envoyant son aphrodisiaque en elle. Le baiser fut assez long, Ivy gémissant de plaisir au contact des belles lèvres de la femme, et fourra sa langue dans sa bouche, quitte à forcer le passage pour écarter ses lèvres. Sa langue frotta celle de Catwoman, raclant les dents de la femme. Pamela rompit ensuite le baiser, frottant son nez contre celui de Catwoman. Elle l’avait embrassé pendant au moins une bonne minute.

« Je m’appelle Pamela... Mais on me surnomme Poison Ivy. Es-tu prête à bénéficier de mon hospitalité, beau petit chaton ? »
DC d’Alice Korvander.

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Sandra Tomichenko

Humain(e)

Sandra avait beau être en mauvaise posture, son nouveau côté félin lui donnait un sentiment de liberté infinie et un tempérament joueur indéniable. Le contact de cette langue hideuse sur sa jambe la répugnait en revanche. Sandra ne pouvait s'empêcher de comparer cette bestiole-végétale à un chien. La scientifique lui confirma bien vite son hypothèse...

-- Cette créature était un chien errant qui fouinait dans les poubelles. Je l’ai recueilli pour faire sur lui quelques expériences. Ce n’est pas permanent, naturellement. Je pourrais très bien te faire subir le même sort, Catwoman. Je le fais à certains hommes qui ne sont pas assez respectueux de l’environnement. Pendant dix jours, ou même un mois, ils deviennent mes esclaves, des hommes-plantes.

Elle pinça sa bouche d'un air de révolte, toutefois l'on pouvait lire dans son regard un certain intérêt.

*Charmant...*

Catwoman tenta de réprimer des gémissements de plaisir quand la rouquine sulfureuse caressa ses hanches. Elle sentit même son entrejambe devenir chaude et un peu humide. Elle qui avait connue l'appartenance et la soumission, cela lui rappelait autant de mauvais souvenirs que de bons, quand elle s'était donnée pour la première fois à une femme dominatrice, quelques mois seulement après avoir tué celui qui avait fait d'elle son esclave sexuelle.

-- Mais je ne le ferais pas, petit chaton... Tu me plais bien. J’ai d’autres moyens de m’assurer que tu ne chercheras pas à nouveau à me fausser compagnie. Vois-tu, j’étais, avant, une femme normale, mais j’ai subi quelques petites modifications génétiques, comme tu peux logiquement t’en douter. Mes glandes salivaires sécrètent un liquide dérivé de quelques plantes aphrodisiaques.
-- T'as pas besoin de ça pour m'exciter, beauté. T'es une fille vraiment canon et faudrait vraiment être une pucelle effarouchée pour te résister...


Avoua-t-elle. Mais cela n'empêcha nullement la scientifique de venir lui rouler la plus excitante des galoches. Catwoman sentit une délicieuse et intense chaleur envahir tout son corps en goûtant la salive de la demoiselle. Cela avait en effet un étrange goût de gingembre et de bois-bandé... Tout le temps que dura le baiser fut une douce et agréable torture pour la voleuse qui avait terriblement envie de baiser avec cette femme verdâtre. Mais patience... cela arriverait en temps voulu.

-- Je m’appelle Pamela... Mais on me surnomme Poison Ivy. Es-tu prête à bénéficier de mon hospitalité, beau petit chaton ?
-- Pamela ? Pam ? Ou Poison Ivy... Je t'appellerai comme ça alors... Ivy.


Catwoman se sentait fiévreuse, prise de désir pour cette Pamela. Poison. Voila un pseudonyme et un adjectif qui lui seyaient parfaitement. Ivy était comparable à une rose : le corps vert tel une tige, la chevelure d'un rouge flamboyant comme celui de pétales, et ses yeux... De si beaux yeux, si bien dessinées... Une rose, belle et dangereuse. Car à défaut d'épines, la belle possédait toutes ces étranges plantes à tentacules... La voleuse ne voulait plus attendre. Elle voulait la posséder !

-- Oh oui, ma somptueuse rose. Laisses moi te donner le plaisir que tu mérites...

Les lianes la relâchèrent alors, et elle s'avança lentement vers Ivy. Elle plaqua son corps contre celui de la belle plante et l'embrassa amoureusement, passant ses bras autour de sa taille. Si sa main gauche resta collée sur le bas du dos d'Ivy, celle de droite, en revanche, osa s'aventurer bien sur l'une de ses fesses. Elle palpa avec envie le globe de chaire. Leur étreinte dura un peu plus longtemps que le précédent. Puis, désireuse de passer aux choses sérieuses, Sandra prit son fouet et le fit glisser sur la poitrine de Poison Ivy avec un sourire provocateur. Elle le passa autour du cou de la jolie fleur et la força à s'agenouiller.

-- Puisque tu m'as révélée ton prénom... Laisses moi en faire de même : je m'appelle Sandra.

Elle ouvrit sa combinaison de cuir révélant ainsi son corps, puis abaissa sa cagoule, libérant ainsi sa chevelure toute aussi rousse que celle d'Ivy.

-- Tu vois ? Nous avons au moins un point commun... Tu as déjà goûtée l'intimité d'une rousse ? Il parait qu'on ne peut pas prétendre connaitre les femmes tant qu'on a pas goûté aux rousses... Vérifions si le dicton a raison... Lèches moi !

Ordonna-t-elle sur un ton un peu autoritaire, enlevant le reste de sa tenue. Même totalement nue, c'était bien là le côté Catwoman de la russe rousse qui parlait. Elle aimait bien être la dominante...

Poison Ivy

Créature

Le baiser avait peut-être un luxe inutile, une précaution supplémentaire qui n’était pas forcément nécessaire, mais Pamela ne tenait à prendre aucun risque. Les petites chattes comme elle étaient, par nature, insaisissables. Ivy avait suffisamment affronté Selina Kyle pour le savoir, et, si elle tombait sur une copie russe, elle ne tenait pas à la sous-estimer. De plus, l’embrasser avait réellement été délicieux, un régal pour ses lèvres. De même que caresser son cuir. Oui, c’était vraiment le seul tissu humain qu’elle appréciait. Il lui allait à ravir, moulant ses formes. Après ce long et très sensuel baiser, Catwoman était prête, vaincue. Elle ne chercherait plus à s’en aller, et Ivy allait donc pouvoir lui faire longuement l’amour.

« Oh oui, ma somptueuse rose. Laisses moi te donner le plaisir que tu mérites... »

Il y avait un tel désir dans cette voix que les tentacules se retirèrent, libérant la jeune femme. Elle s’avança alors vers Ivy, avec cette démarche féline et sensuelle qui caractérisait si bien les chattes. La scientifique ne fit rien pour l’en empêcher. Elle aimait bien trop le sexe et les femmes fortes pour la soumettre. Ivy avait l’habitude de dominer ses relations sexuelles. Elle dirigeait les tentacules, et son corps libérait de manière permanente des phéromones. Dans ces conditions, elle avait très souvent le rôle actif, ce qui ne la dérangeait pas. Néanmoins, si elle pouvait offrir ce rôle à quelqu’un d’autre, elle ne serait pas contre.

Catwoman vint l’embrasser avec passion, et Ivy ferma les yeux, soupirant dans sa bouche, poussant de légers gémissements, avant de sentir la main de cette dernière venir caresser ses fesses. Ses propres mains glissaient le long du dos de la femme. Oh, ce cuir ! Elle en était folle ! Cette combinaison moulante lui allait tellement bien ! Cette femme parvenait même à lui faire oublier la plante qu’elle avait récupéré, ce spécimen original. Cette fleur avait d’ailleurs disparu dans les recoins de son antre, à un endroit inaccessible. Les deux femmes s’embrassaient comme des amantes passionnées, et, dans le fond, c’était bien un peu à ça qu’elles ressemblaient, sur le coup. Ivy sentit alors le fouet de la jeune femme s’approcher, tandis qu’elle eut un sourire carnassier. Elle le glissa sur les seins de Pamela, qui sentit une onde d’excitation monter en elle. Allait-elle la fouetter ? Ce n’était pas spécialement pour la déranger...

*J’ai bien fait de ne pas lui faire mal...*

Le fouet s’enroula autour de sa nuque, comme un délicat étau. Catwoman utilisa alors ses muscles, et Pamela s’agenouilla devant elle. Elle était puissante, cette petite chatte, et Ivy, trout en disposant à son service d’une armée de tentacules, restait une femme sans aucun superpouvoir particulier... Nonobstant sa longévité, ses phéromones, et la chlorophylle qui coulait dans ses veines. A genoux, elle releva la tête.

« Puisque tu m'as révélée ton prénom... Laisses moi en faire de même : je m'appelle Sandra.
 -  Enchantée, ma belle Sandra... »

Les mains de Sandra se posèrent alors sur sa combinaison, et Ivy ressentit une brève pointe de frustration en la voyant se déshabiller. La prochaine fois, car il y avait souvent des prochaines fois avec Ivy, c’était elle qui lui enlèverait sa belle combinaison en cuir. Elle vit cette dernière la retirer. La combinaison s’ouvrit en deux, et elle ôta également sa cagoule, révélant alors... Une longue chevelure rousse. Sandra n’était définitivement pas Selina, qui était une belle brune. Mais une rousse... C’était encore mieux ! Elle avait de très longs cheveux, et ressemblait à une femme noble.

« Tu vois ? Nous avons au moins un point commun... Tu as déjà goûtée l'intimité d'une rousse ? Il parait qu'on ne peut pas prétendre connaitre les femmes tant qu'on a pas goûté aux rousses... Vérifions si le dicton a raison... Lèches moi ! »

Ivy lui sourit, tandis que Sandra achevait de se déshabiller, finissant totalement nue. Pamela se mit à lécher, non pas son intimité, mais l’une de ses jambes, avant d’approcher sa langue de son aine, la titillant, la narguant. Elle posait ses mains gantés sur les fesses de Sandra, son beau petit cul qui était parfaitement moulé par sa tenue, et releva la tête, un sourire malicieux sur les lèvres.

« Oh, je crois que nous avons plus en commun qu’une longue chevelure, ma beauté... Malheureusement, tu es chez moi. Si tu veux que je t’obéisse, il te faudra être un peu plus... Persuasive. »

Que voulait-elle dire par là ? Ivy lécha le bout du fouet de la femme, un sourire sur les lèvres, mais vint tout de même lécher ensuite son intimité, y allant très lentement, se contentant à vrai dire de caresser ses lèvres intimes, sans s’attaquer à son sexe... Or, de ce que Pamela pouvait voir, la belle Sandra était très excitée. Pamela voulait tout simplement se faire fouetter. Trouvant que cette dernière était un peu lente, un tentacule verdâtre se glissa dans son dos, et fouetta ses fesses, claquant sur ces dernières. Autant que Sandra le comprenne, Pamela était du genre à aimer l’amour intensif.
DC d’Alice Korvander.

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Sandra Tomichenko

Humain(e)

La jolie plante se montra bien vite réceptive à l'envie de jouer de la Catwoman.

-- Oh, je crois que nous avons plus en commun qu’une longue chevelure, ma beauté... Malheureusement, tu es chez moi. Si tu veux que je t’obéisse, il te faudra être un peu plus... Persuasive.
-- Ah oui ?


Répondit Sandra, non sans apprécier la vue de cette petite folle perverse qui léchait le bout du fouet, sur la partie où se trouvait la dragonne de sécurité... Cela amusa Catwoman. Et l'excita, surtout après le petit claquement d'un tentacule sur ses fesses.

-- Sale petite catin. Je connais très bien les filles de ton genre : moeurs légères... Petite vertu... Trainée... Y'a que les trains qui ne te passent pas dessus, hein... ? Bitch... Salope... Pute !

Le ton de Sandra était à la fois extrêmement grossier et en même temps teinté de cette forte notion de jeu pervers. Elle-même avait été éduquée pour ça, par son bourreau d'abord, puis par la riche femme qui lui avait appris autant à dominer qu'à se soumettre, peu de temps avant de rencontrer Dmitri. Elle tira les cheveux de la jolie plante pour lui faire basculer la tête en arrière, et elle posa son pied droit sur le bord du bureau situé juste derrière Pamela. D'un petit bond, elle se retrouva avec la bouche de la scientifique totalement enfouie dans sa vulve.

-- Et ne t'avise plus de faire des sous-entendus avec tes foutus tentacules, catin de bas quartiers ! Quand on est Soumise, on ne réclame pas sa punition. On la reçoit si Maitresse le veut. Et CE qu'ELLE veut ELLE !

Catwoman aimait bien à être la dominatrice. Ce n'était peut-être pas un rôle où elle excellait, mais elle n'était pas mauvaise non plus. Elle aimait bien ce grisant sentiment de puissance et de possession.

-- Pour l'instant, tu es MA chose, petite garce !

Sandra afficha un large et sensuel sourire. La suite promettait d'être très amusante.
« Modifié: mercredi 30 janvier 2013, 13:02:41 par Sandra Tomichenko »

Poison Ivy

Créature

Avec Catwoman, Pamela n’avait jamais su sur quel pied danser. Selina Kyle était une foutue peste, qu’Ivy avait déjà envisagé à plusieurs reprises de tuer, autant que de partager son corps avec elle. Selina était ce genre de femmes qui lui donnait autant envie de l’embrasser que de l’étrangler avec un tentacule pour la donner à manger à ses plantes carnivores, à l’époque où elle en faisait encore. Visiblement, Sandra ne semblait pas être différente. Elle se mit à insulter Pamela, n’y allant pas par le dos de la cuillère, faisant légèrement froncer les sourcils de cette dernière. Pamela n’avait pas vraiment le profil de la soumise, plutôt celle de la femme fatale. Pour qu’elle se soumette, il fallait qu’elle tombe sur un individu exceptionnel, qui n’était pas vraiment humain. Une dryade, par exemple, un esprit de la forêt, une fée des bois, une Alraune... Sandra n’était qu’une belle petite femme qui avait des envies de domination, mais Pamela n’était pas une lycéenne.

Agile, la femme vint la plaquer contre le bureau, et Pamela se retrouva avec les jambes autour de son cou, l’intimité de la jeune femme contre les lèvres. Elle cligna des yeux, surprise, entendant cette femme donner ses ordres, avec une voix terriblement sexy, mais aussi un peu agaçante :

« Pour l'instant, tu es MA chose, petite garce ! »

Ah oui ? Pamela leva les yeux vers elle, et enfonça alors sa langue dans l’entrejambes de la femme. Est-ce que Sandra pensait vraiment qu’il suffisait d’hausser le ton pour dresser Poison Ivy ? Elle était l’archétype de la femme semblable, de celle qui amenait la foule à se baisser devant elle, à vouloir lui embrasser les pieds, une sorte de Princesse naturelle, dont le seul homme au monde ayant réussi à résister à ses charmes était Batman. Autant dire que Sandra n’avait pas encore vraiment l’expérience pour prétendre dominer une telle femme. Néanmoins, Pamela ne se sentait pas de la rembarrer tout de suite, elle préférait jouer avec elle, la voir s’énerver, la griffer, la battre... Oui, Pamela était loin, bien loin d’être contre la douleur dans une relation sexuelle. Elle considérait même qu’une relation sexuelle dénuée de douleur n’était pas vraiment une relation sexuelle, plutôt un genre de câlin affectueux.

Sa langue devint un tentacule verdâtre, qui titilla le clitoris de la jeune femme, tandis que les tentacules continuaient à s’approcher, assoiffés et curieux, jaillissant des parois. Deux tentacules avec des espèces de petites langues oranges s’approchèrent alors des seins de Sandra, les langues venant s’entortiller autour de ses tétons, les pressant. Ils venaient depuis les côtés, lui offrant ainsi une belle vue sur le corps de Pamela. Ivy n’allait toutefois pas s’en arrêter là, car elle comptait bien montrer à cette petite chatte qu’un chaton ne se rebellait pas, mais s’allongeait tranquillement en attendant des câlins. Partant de là, un autre tentacule se rapprocha, et se glissa dans le fondement de la femme. Plusieurs autres tentacules se mirent alors à la fouetter, s’abattant sur chacune de ses fesses, et aussi sur son dos. Oh, les tentacules ne claquaient franchement pas forts, surtout que Sandra était une femme résistante. Pamela voulait lui faire passer un message, qu’on devinait dans ses yeux.

*Si tu crois qu’il suffira d’hausser le ton avec moi pour me dresser, ma belle, tu te trompes... J’ai été à Gotham, j’ai séduit les psychiatres d’Arkham pour sortir, les policiers pour qu’ils ne m’arrêtent pas... J’ai affronté Batman, rencontré Harley Quinn, et je ne sais encore quels autres tarés congénitaux... Tu as encore des progrès à faire, ma jolie...*
DC d’Alice Korvander.

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Sandra Tomichenko

Humain(e)

La russe souriait. Ce petit jeu de domination lui plaisait beaucoup, mais elle ne commençait qu'à peine. Elle apprécia alors de sentir la langue de Poison Ivy se glisser entre ses lèvres intimes. Elle se mit alors à gémir tellement c'était agréable. Toutefois, Pamela fit une erreur qu'elle n'allait pas tarder à regretter...

-- Hé !!!

Hurla-t-elle, outrée par l'intervention des tentacules. Plus par réflexe défensif que par réelle intention, elle gifla la femme-plante en se décalant d'elle. Puis elle retira le tentacule qui s'était introduit dans son fondement et repoussa ceux qui s'en étaient prit à son dos, ses seins et ses fesses... Elle attrapa alors Ivy à la gorge, vraiment excédée.

-- Ecoutes moi, bien, "chérie" : je veux bien te baiser mais t'as plutôt intérêt à rappeler tes plantes à l'ordre, où tu vas vraiment prendre cher !

Sandra était furax et savait à quel point elle était dangereuse dans ces cas là. Sous la colère, il lui arrivait de franchir la limite entre jeu de domination consentie et punition sadique et hélas gratuite. Il vallait mieux pour Ivy qu'elle ne pousse pas les limites de Sandra à ce point là... Toutefois, elle allait comprendre qu'elle était déjà à deux doigts de passer le cap.

-- A moins que ce soit vraiment ce que tu veuilles...

Elle attrapa donc la demoiselle par son étrange vêtement végétal qu'elle arracha sans vergogne en la retournant. Elle lui donna alors dix coups de fouet à la suite. Le sang coulait le long du dos de la scientifique. Profitant de la position de cette dernière, elle glissa l'extrémité la plus grosse de son fouet entre les cuisses de sa partenaire de jeu, le long de son intimité, histoire de la faire mouiller un peu. Elle glissait de temps à autres ses mains sur le dos d'Ivy, appuyant sur les plaies pour éveiller la douleur.

-- Ne m'oblige plus à te faire tu mal. Tu risques de le regretter amèrement... J'ai tendance à ne plus me contrôler quand je suis énervée.

Elle lui mordilla alors le lobe de l'oreille en faisant entrer le fouet en elle.

Poison Ivy

Créature

Pamela se reçut une belle gifle, qui lui donna des envies de meurtre. Que Sandra soit belle ne justifiait nullement qu’on lui manque de respect. Elle laissa cette dernière agir, et Ivy poussa un hurlement de douleur quand on lui arracha ses vêtements végétaux. La scientifique ne supportait pas le contact des vêtements sur son corps, et ses vêtements verdâtres étaient une excroissance de son propre corps, une sorte de seconde peau qui collait à la sienne. En somme, en arrachant ses vêtements, Sandra lui arrachait des morceaux de peaux, ce qui était relativement douloureux. Elle sentit ensuite une série de coups de fouet s’abattre sur son dos, faisant couler un sang verdâtre, qui comprenait aussi de la chlorophylle. La peau de Pamela n’était pas plus résistante que celle d’une humaine lambada, et elle frissonnait, avant de sentir les mains douces et fermes de Catwoman presser ses plaies. Une vraie sadique... Mais il ne fallait pas non plus qu’elle oublie où elle se trouvait. Sentant le fouet s’enfoncer dans ses lèvres intimes, elle gémit, posant ses mains contre le mur, s’appuyant sur ce dernier.

« Ne m'oblige plus à te faire tu mal. Tu risques de le regretter amèrement... J'ai tendance à ne plus me contrôler quand je suis énervée. »

Ivy sourit, tournant légèrement la tête, sentant la bouche de Sandra sur son oreille, ainsi que le fouet s’enfoncer en elle. La femme-plante poussa un soupir, ayant toujours affreusement mal au ventre, où on lui avait brutalement arraché ses tissus. C’était comme arracher d’un coup sec les poils figurant sur le torse d’un homme. Guère agréable. Elle devait serrer les dents, et résister à l’envie d’ordonner à ses tentacules de démembrer Sandra. On pouvait sentir les feuillages les entourant trembler, les tentacules remuant rapidement, grondant dangereusement, à l’image de l’ire qui commençait à naître dans le corps de Pamela.

« Je... » commença à dire Pamela.

Poison Ivy dut reprendre son souffle, car elle avait vraiment mal. Elle souffrait, et ferma les yeux, respirant lourdement.

« Tu as un joli cul, ma belle, mais recommence un coup comme ça, et c’est toi qui risque de comprendre ce qui se passe quand on m’énerve. »

Pamela n’était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, et surtout pas par une petite voleuse qui se croyait chez elle, alors qu’elle ne devait sa survie qu’à l’extrême générosité de Pamela. Après tout, elle était venue pour la voler, et Ivy, non contente de l’épargner, lui offrait même sa généreuse hospitalité. Il ne fallait pas trop tirer sur la corde, car, tôt ou tard, elle finissait par se rompre.
DC d’Alice Korvander.

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Sandra Tomichenko

Humain(e)

[HRP : Un peu court, désolée... Je manquais d'inspiration :/]

La Catwoman russe était partagée entre deux sentiments. D'un côté, être la dominatrice lui plaisait beaucoup puisque c'était un peu sa revanche sur la vie, sur son passé. Mais d'un autre, elle avait peur d'aller trop loin, voire d'avoir déjà dépassée la limite de sa Soumise du moment...

-- Je... Tu as un joli cul, ma belle, mais recommence un coup comme ça, et c’est toi qui risque de comprendre ce qui se passe quand on m’énerve.

Sandra était perplexe. Etait-elle déjà allée trop loin avec elle  ? Possible. Mais il n'était peut-être pas déjà trop tard pour rattraper les choses... ? Elle l'enlaça alors, avec tendresse sincère.

-- Là, on a un problème alors... Si tu refuses d'être une Soumise docile... moi aussi...

Souriante, elle titillait son lobe d'oreille avec sa langue.

-- Nous sommes toutes deux des femmes à forts caractères... Pourquoi ne pas laisser de côté ces petits jeux de domination/soumission. Hmmm ? On pourrait très bien s'entendre malgré tout, tu crois pas ?

Elle lui caressa alors sa poitrine, et retira le fouet de son intimité pour le remplacer par ses propres doigts. Sandra s'en voulait que leur ébat débute du mauvais pied. Elle se montra alors plus sensuelle que sévère.

Poison Ivy

Créature

« Là, on a un problème alors... Si tu refuses d'être une Soumise docile... moi aussi... »

Leur relation était effectivement mal engagée. Pamela aurait toutefois bien aimé se lancer, mais on lui avait arraché un morceau de peau. Ses nerfs avaient été déchiquetés, et elle en avait toujours mal, sentant sa peau la piquer. Si elle était moins fière, elle aurait probablement versé des larmes de souffrance. Elle n’avait pas la peau de Killer Croc, elle, rien d’autre qu’une peau douce et sensible, agréable au toucher, mais qui se fanait facilement quand on insistait. Ivy se releva, tandis que Sandra, commençant à réaliser qu’elle s’engageait sur une impasse, se fit un peu plus douce, un peu moins virulente. Elle se blottit ainsi contre le corps de Pamela, qui apprécia cet élan de douceur. Elle soupira, yeux clos, avant de sentir les délicats doigts de Sandra remplacer son fouet. Poison Ivy poussa un gémissement, et tendit l’une de ses mains sur la nuque de la femme, l’autre sur ses fesses, restant plaquée contre elle. Elle frotta son nez contre sa joue, se blottissant contre elle.

« Ne crois pas que je déteste les chatons... Les femmes comme toi me font toujours craquer. Le cuir est l’une des rares tenues que j’apprécie de caresser, alors, quand l’emballage est à la hauteur du contenu, je ne peux que fondre. »

Pamela lui caressa l’une de ses fesses, la pressant, glissant ses doigts dans sa croupe, tout en l’embrassant dans le cou.

« Ne vas pas croire que je suis une femme sensible contre toute expérience de la douleur, mais... Ces vêtements que tu as arraché sont des tissus sécrétés par mon propre corps. C’est comme si on t’arrachait un morceau de peau, c’est... Très douloureux. Mais je ne t’en veux pas ; toutes les femmes comme toi ont toujours été pleines de passion, c’est une qualité. »

Ivy l’embrassa alors sur les lèvres, continuant à caresser sa nuque, gémissant contre elle, savourant ce contact. Sandra était, il fallait bien le dire, une belle femme, très belle, que ce soit dans sa combinaison moulante en cuir, ou sans cette dernière. Sa longue chevelure rousse lui allait à merveille, et Pamela s’amusait à la caresser, glissant ses doigts le long de ses mèches. Elle ne voulait pas rester sur un tel malentendu, elle ne souhaitait pas restreindre les pulsions de son invitée. Elle savait qu’elle avait affaire à une joueuse, et sentait le plaisir remonter longtemps, ses blessures au ventre cicatrisant, occultant ainsi progressivement la douleur.

« Séduis-moi, Sandra, et je t’offrirais le droit de pouvoir me fouetter. Mais tu dois me montrer que tu es en digne. Fais-moi l’amour longuement, montre-moi de quoi tu es capable, et, alors, je t’accorderai le droit de me dominer... »

Qui sait, c’était peut-être le début d’une belle histoire qui se formait ? Mine de rien, Pamela avait toujours plus ou moins bien apprécié Selina Kyle. C’était ce qui expliquait pourquoi elle ne l’avait pas donné à manger à ses plantes, à chaque fois qu’elle en avait eu l’occasion. Et Sandra semblait être au moins aussi intéressante que la Catwoman de Gotham, si ce n’est plus. Elle la mettait au défi, lui proposait un jeu qui, si elle avait bien saisi la personnalité de la femme, ne pourrait que lui plaire : un défi sexuel.
DC d’Alice Korvander.

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Sandra Tomichenko

Humain(e)

Peu enclin à l'empathie, la Catwoman n'avait pas ressentie la douleur de Pamela. Celle-ci se releva alors que Sandra l'enlaçait. La manière dont la femme aux plantes plaça ses mains, l'une sur la nuque de Sandra, l'autre sur ses fesses... Cela ne trompait pas : elle n'était pas contre la proposition de la Catwoman. Sentir le nez de Poison Ivy contre sa joue ne faisait que confirmer la chose.

-- Ne crois pas que je déteste les chatons... Les femmes comme toi me font toujours craquer. Le cuir est l’une des rares tenues que j’apprécie de caresser, alors, quand l’emballage est à la hauteur du contenu, je ne peux que fondre.

Les mots de Pamela firent sourire Sandra et sentir les doigts baladeurs se glisser entre ses fesses l'amusa. Elle lui murmurra alors à l'oreille quelques mots.

-- Tu m'en veux pas, alors ?

Ce à quoi Pamela répondit :

-- Ne vas pas croire que je suis une femme sensible contre toute expérience de la douleur, mais... Ces vêtements que tu as arraché sont des tissus sécrétés par mon propre corps. C’est comme si on t’arrachait un morceau de peau, c’est... Très douloureux. Mais je ne t’en veux pas ; toutes les femmes comme toi ont toujours été pleines de passion, c’est une qualité.

Ce fut comme un électrochoc pour Sandra. Elle n'avait pas imaginée une seule seconde que l'arrachage de la drôle de tenue pouvait avoir blessée Pamela.

-- Oh... Merde...

Ivy l’embrassa alors sur la bouche. Mais Sandra s'en voulait maintenant et resta coite en apprenant ça...

-- Séduis-moi, Sandra, et je t’offrirais le droit de pouvoir me fouetter. Mais tu dois me montrer que tu es en digne. Fais-moi l’amour longuement, montre-moi de quoi tu es capable, et, alors, je t’accorderai le droit de me dominer...

Ces mots résonnèrent dans l'esprit de la Catwoman comme un écho trop lointain pour être compréhensible. Mais les mots s'y était tout de même bien ancrés en mémoire. C'est alors que Sandra sentit ses yeux commencer à larmoyer légèrement.

-- Je te demande pardon... Je ne savais pas que... Je croyais que c'était juste...

Elle ne trouvait plus ses mots et se blottit encore plus tendrement contre la scientifique. Elle l'embrassa dans le dos, sur ses plaies, espérant calmer un peu sa douleur. Et elle devait avoir de la chlorophyle dans le sang, parce qu'en léchant ses lèvres Sandra avait l'impression d'avoir mâché un chewing-gum...

-- J'ai très envie de toi mais... Il faut te soigner d'abord...

Répondit Sandra. Sa culpabilité était telle qu'elle s'inquiétait maintenant plus de la santé de Pamela que de ses envies charnelles. C'était l'autre facette de la personnalité d'une Catwoman. Pamela avait la douleur d'une Sandra sévère, sauvage et violente. Maintenant elle avait la douceur d'une Sandra tendre, docile et amoureuse.

Poison Ivy

Créature

L’humain, pour Pamela, n’était qu’un animal évolué. Partant de là, il avait, comme n’importe quel animal, des besoins physiologiques : boire, manger, faire ses besoins naturels, et copuler. Suivant cette logique, elle rechignait à porter des vêtements, considérant ces derniers comme étouffants. Les vêtements verdâtres sur son corps étaient ainsi produits par son propre corps, une sorte d’excroissance naturelle. Elle pouvait sécréter des tentacules, et pouvait donc, de la même manière, recouvrir une partie de son corps de végétaux ayant l’apparence de vêtements. Sandra ne l’avait pas remarqué, et commençait à le comprendre, ce qui amena, chez la femme, un changement radical. La tigresse se transforma en une chatte craintive.

« Je te demande pardon... Je ne savais pas que... Je croyais que c'était juste... »

Elle avait du mal à parler, et Ivy vit, dans les yeux de Catwoman, une sorte de détresse qui la troubla également, car elle était très inattendue. Elle se blottit alors tendrement contre le corps de Poison Ivy, et fit preuve, à son égard, d’une attention dont Selina Kyle n’aurait jamais été capable, pansant ses plaies, faisant frémir Ivy, qui soupira légèrement. Elle sentit la langue de Sandra se poser ensuite sur ses lèvres, et elle remonta un peu la main qui caressait le derrière de Sandra, préférant s’attaquer au bas de son dos.

« J'ai très envie de toi mais... Il faut te soigner d'abord... » lâcha-t-elle.

Ceci fit sourire Pamela, qui continua à caresser le dos de Sandra, avant de lui répondre :

« Allons, allons, ma belle Sandra, cesse donc de te sermonner… Tu as commis une erreur par ignorance, et tu ne recommenceras plus. Inutile d’épiloguer là-dessus. »

Pour Ivy, il fallait oublier cet épisode rarement, afin de véritablement se concentrer sur les choses sérieuses. Elle caressait la nuque de la voleuse, sous ses cheveux, afin de l’aider à se détendre, que cet incident ne mine pas leur relation. Pamela posa son autre main sur l’un des seins de Sandra, pressant sa peau tendre.

« Ce n’est qu’une égratignure, ma beauté, ma peau cicatrise vite... Reprends-toi, maintenant. Je veux te faire l’amour. Dis-toi que la meilleure manière de faire partir mes blessures, ce sera en me faisant divinement l’amour. »

Et, pour ponctuer cette affirmation, Pamela posa désormais ses deux mains sur les joues de Catwoman, et l’embrassa tendrement, fourrant sa langue dans sa bouche.
DC d’Alice Korvander.

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Sandra Tomichenko

Humain(e)

Sentir la main de Pamela caresser son dos rassurait la russe. Cela signifiait donc qu'elle ne lui en voulait pas ? La réponse ne tarda pas à tomber.

-- Allons, allons, ma belle Sandra, cesse donc de te sermonner… Tu as commis une erreur par ignorance, et tu ne recommenceras plus. Inutile d’épiloguer là-dessus.
-- Okay...


Murmura Sandra en souriant. Elle se mit alors à gémir grâce aux caresses de la scientifique. Elle lui rendit alors la pareille, avec une certaine tendresse.

-- Ce n’est qu’une égratignure, ma beauté, ma peau cicatrise vite... Reprends-toi, maintenant. Je veux te faire l’amour. Dis-toi que la meilleure manière de faire partir mes blessures, ce sera en me faisant divinement l’amour.

La voleuse répondit au baiser de la rouquine à la peau verdâtre. Leurs langues s'engagèrent dans un délicieux et excitant ballet. Une douce chaleur et de petits fourmillements se firent sentir dans le bas ventre de la Catwoman. N'y tenant plus, alors qu'Ivy posait ses mains sur ses joues, Sandra plaça ses mains sous les fesses de Pam et la souleva pour l'assoir sur le bureau dont elle vira le contenu d'un balayage de la main. Il n'y avait là rien de fragile, heureusement (sauf peut-être la plante qu'était venue chercher Sandra, mais une tentacule l'enleva à temps). Elle allongea ensuite Ivy et reprit son tempérament de joueuse. Coquine, elle osa :

-- Oh ! Tu veux que je te baise, hein ?

Elle monta au dessus d'elle à califourchon, embrassant et titillant de sa langue le téton d'Ivy. Elle la regardait en souriant entre deux baisers ou deux coups de langue sur la belle peau de la scientifique, aguichante au possible.

-- Alors je vais te baiser comme on t'as jamais baisée, ma belle...

Mais avant, elle voulait gouter au puit d'amour de Pamela. Elle se dirigea alors jusqu'à sa jolie fente qu'elle embrassa avant de la lécher avec désir pendant deux longues et merveilleuses minutes. Elle prenait surement autant de plaisir qu'elle espérait en donner à Pamela. Puis elle remonta en ponctuant de baisers ça et là sur le corps de la scientifique, avant de la doigter de son majeur en maintenant le revers de sa main contre son propre pubis et elle remua du bassin pour la baiser tendrement comme si son doigt était un phallus.

Si Ivy voulait de l'endurance, elle allait être servie. Après tout, Sandra avait vécue du sexe toutes ces années, de l'âge de 6 jusqu'à ses 20 ans et sa rencontre avec Dmitri, d'abord en tant qu'esclave sexuelle, puis en tant que prostituée. Preuve en était de l'horrible cicatrice qui se trouvait sur son ventre à cause de l'avortement "maison" de son ancien propriétaire... Alors concernant l'endurance sexuelle, Sandra n'en manquait pas ! Pour un peu ce serait peut-être même Pamela qui n'arriverait pas à tenir le rythme de Sandra, qui sait !?

Quoi qu'il en soit, la Catwoman lui fit l'amour comme on ne le lui avait probablement jamais fait, puisant jusque dans ses plus extrêmes limites de résistance. Plusieurs orgasmes plus tard, Sandra s'allongea sur le côté, son corps collé contre celui de sa partenaire qu'elle caressait du bout des doigts.

-- Alors ? Satisfaite ? Ou t'en reveut encore ?

Demanda-t-elle d'une voix sensuelle. La Catwoman était épuisée mais si Pamela en redemandait plus, elle pouvait encore lui donner bien du plaisir !


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