La fleur du mal ( PV Poison Ivy )

Soupire. Voilà ce que je poussais. J'étais là, dans ces draps avec une demoiselle charmante. Une princesse d'un royaume inconnu à mes yeux, mais si douce. J'avais séduit la demoiselle, à moins que ce ne soit l'inverse... Puis voilà comment on a finit... Une nuit, de l'excitation, du plaisir, de la chaire, puis des cris pour finir dans le plus grand calme religieux. Je soupirais donc en ce nouveau matin. Cette journée s'annonçait belle. Le soleil brillant de tout ses éclats lumineux. Je regardais la jeune endormie dans mes bras, la desserrant doucement pour m'écarter. Je n'aimais pas les au revoir et encore moins les adieu. Alors sans rien dire, je me contenta de regarder le ciel puis alors laisser une petite lettre écrivant doucement, serein.

«  Chère princesse,

Si je ne vous ais pas dit au revoir, ce n'est pas par lâcheté ni par impolitesse, cependant, j'aurais eu des remords à déranger ce visage serein qu'est le votre durant son sommeil. C'est pour ça que je suis partit précipitamment. Sachez que je penserais souvent à vous et j'ai d'ailleurs pris soin de garder une larme de sang... Pour dire juste une goutte dans une petite éprouvette pour avoir cette pensée permanente... Je reviendrais un jour promis.

Iruka Seishi. »

[/b]

Suite à ce mot, je sortis de manière discrète puis m'échappa par la fenêtre. Une fenêtre de baie vitrée. Je partais au loin désirant échapper à tout ce monde, excepté cette demoiselle. Je parcourais ces lieux de long en large ne savant que trop faire, après tout, je ne repartais pas pour la terre immédiatement. Je me dirigea vers une étendue de verdure. Je me dirigeais vers une forêt pour m'y ressourcer un peu. Lieu calme où aller se baigner dans un ruisseau, mais aussi respirer l'air frais. Au loin, le royaume de la demoiselle s'effaçait. Je soupirais pour alors entrer dans ce lieux vert.

Aux premiers abords, rien de bien spécial. Une forêt, des arbres, des fleurs, bref... Un plaisir luxuriant. Je sentais l'odeur du bois, le silence rituel, bref, rien n'aurait pu briser cet instant magique. C'est alors qu'une rose magnifique attira mon attention, je ne disais rien et m'approchais de celle-ci pour la sentir le léchant les lèvres un bref instant. Je la cueillis puis sentis une drôle de sensation. Comme si l'on me regardais. Sans rien dire, je marchais un peu plus, m'enfonçant dans cette forêt de plus en plus étrange. Puis alors je me posa sur le sol, rêveur, humant le parfum de cette rose. Elle sentait si bon. Je m'allongea sur le sol faisant l'étoiles, admirant le ciel puis je dit doucement.

«  Si douce comme journée... »

Bien loin des plaisirs d’Alice, la Princesse de Sylvandell, une autre femme trouvait de petits plaisirs quotidiens. Il s’agissait de Poison Ivy, et elle s’était trouvée une forêt immense, relativement vierge, perdue à proximité d’une chaîne de montagnes. La forêt était très grande, et elle s’était isolée dans un coin perdu. Celle-ci n’était pas une forêt dotée d’une âme consciente, comme ça avait été le cas pour Alraunya, et Ivy avait donc pu s’y installer pendant plusieurs semaines, commençant à influer sur l’écosystème ambiant, comme elle le faisait à chaque fois, de manière automatique. Bien sûr, elle n’avait pas contrôlé toute la forêt, car elle était bien trop grande pour cela, mais une infime partie, suffisamment grande pour avoir ses tentacules, formées à partir des branches et des racines des arbres. Elle avait fait l’amour à ces derniers. Son code génétique particulier faisait en effet qu’Ivy avait des pulsions sexuelles assez prononcées, et, à défaut d’avoir de bas humains pour la satisfaire, elle se reportait sur ses précieux arbres. Le contact était agréable, certes, mais ça ne valait pas la présence d’un homme, ou même d’une femme, et elle hésitait ainsi depuis plusieurs jours à quitter sa solitude pour se rendre dans un petit hameau, et utiliser ses spores naturelles pour faire l’amour avec tout le groupe.

Quelque chose titilla alors la tête d’Ivy, et elle ouvrit les yeux. Jambes écartées, elle était allongée sur une fleur, où elle dormait généralement, ses jambes écartées laissant la place à un tentacule végétal en forme de pénis qui la pénétrait tendrement. Elle sentit une petite migraine, et ne tarda pas à comprendre que quelqu’un était rentré, et avait, par la même occasion, endommagé sa forêt en coupant une précieuse rose. C’était un meurtre, et elle sentit sa rage la saisir, faisant frémir les arbres.

*De quel droit ce tueur ose-t-il abîmer cette précieuse forêt ?* fulmina-t-elle.

Il s’était allongé sur l’herbe, visiblement heureux. Heureux ? Heureux d’avoir endommagé sa forêt ? Elle en sentit une nouvelle colère l’animer, et se releva. Voilà qui allait l’occuper ! La plante sur laquelle elle était posée la déplaça à travers les arbres, l’amenant près de l’humain, et, alors que ce dernier se reposait, depuis les racines des arbres environnants, des tentacules jaillirent, et s’enroulèrent autour des bras et des jambes de l’homme. Les tentacules se serrèrent lourdement pour l’immobiliser, et Ivy ne tarda pas à arriver. Les tentacules relevèrent un peu l’homme, et elle tendit l’un de ses doigts, en faisant jaillir un qui s’enroula autour de la gorge de l’homme. Ses vêtements végétaux s’étaient formés pour protéger sa nudité.

« Toi, étranger, tu es venu dans cette belle forêt que je protège, et tu as osé la souiller en coupant l’une de ses précieuses roses ! Tu as détruit une vie ! En toute logique, je devrais également te détruire ! »

Poison Ivy ne rigolait pas du tout, et on pouvait le sentir dans la manière dont elle le serrait. Sa frustration sexuelle y était pour beaucoup, encourageant sa colère et sa frustration. Couper une simple rose était un crime aux yeux d’Ivy, mais, en d’autres circonstances, elle n’aurait probablement pas envisagé de le tuer, alors que cette envie la travaillait très sérieusement.

La forêt était un lieu sublime où se reposer. Décidément, je sous estimais le pouvoir de la nature. Cet endroit semblait si reposant, je pensais que même sous le coup de la colère, ce simple endroit me servirait à me reposer. Avec cette rose au coin des narines, c'était apaisant. Je soupirais d'aise ne me doutant pas du mal que j'avais causé. Après tout, sur terre, sentir une rose et la cueillir pour la garder sur soit, ce n'était pas un mal en soit. Sauf pour les fana hystérique écolo, ces putains de verts comme on dit. Je regardais le ciel, admirant les oiseaux voler au dessus de ma tête. Le temps passait à une vitesse folle, mais alors que je m'endormais doucement, là... Devant ou plutôt sous moi, des racines jaillir ne me laissant guère le temps de réagir. Pour x raison, elles m'immobilisaient, tels des êtres humains qui ne voulaient pas vous laisser partir. Pris au piège, telle une mouche dans une toile d'araignée. Qu'ais-je donc fait pour mériter ça hein ?
Doucement, alors que je me débattais, arrivant à peine à faire bouger ces lianes et racines liées autour de mes membres, je sentis celles-ci me relever me mettant face à un buisson. Celui-ci se mit à bouger doucement pour alors laisser une demoiselle apparaître devant moi.

Une femme à la hauteur plutôt... Grande, démontrant que ce n'était pas une adolescente, mais une femme. Une femme visiblement... Naturelle au sens propre du terme vu qu'elle était nue, seulement recouvert aux niveau des parties principales par de la mousse et des sorte de lianes ou autres choses naturelles que l'on trouve dans la nature. Sa peau semblait aussi verte que celle des feuilles. Avait-elle de la chlorophylle à la place du sang aussi ? Simple blague me turlupinant, mais là, je l'écoutais parler continuant à l'admirer. Sa chevelure y étant pour grand chose. Rousse, comme un feu ardent. Souriant, je l'écoutais donc.

« Toi, étranger, tu es venu dans cette belle forêt que je protège, et tu as osé la souiller en coupant l’une de ses précieuses roses ! Tu as détruit une vie ! En toute logique, je devrais également te détruire ! »

Sentant une pression sur mon cou, je me disais que je devais vite trouver un moyen d'éviter la décapitation ou la suffocation. Au fond, ça ne me tuerais pas, mais malgré tout, ça me ferait mal... Je soupira pour alors regardant ses lèvres, pulpeuses, brillantes, comme si un liquide coulait dessus... Je réfléchissais à toute vitesse jusqu'à alors lui dire, la voix sûre et le regard sérieux, ne démontrant pas une quelconque ruse.

«  Belle protectrice de ces bois... Ne voyez aucun venin dans mes mots, cependant, si j'avais su que couper cette fleur serait un outrage à votre personne, ou tout autre personne habitant ces lieux.. Je me serais retins et aurais uniquement permis ma personne à sentir son parfum. Si je peux faire quoi que ce soit pour réparer mon erreur, alors dites moi ce qu'il faut faire et je le ferais... Est-ce que replanter la rose, sosie de votre personne, suffirait ? Ou alors, dois-je donner un quelconque soutient à la forêt avec, cela va de soit, des intérêts au passage ?
J'ai beau ne pas être un fervent défenseur de la nature, sans être non plus un assassin... Je suis défenseur à mes heures, neutre le reste du temps. »

Je me stoppa attendant de voir si elle allait gober mes paroles comme il le fallait, ou si elle allait être dans une sale humeur et croire à du venin... Après tout, tant de flatterie, c'est un peu douteux, pourtant... Il y avait au moins 90 % de vrai, les 10 derniers % se trouvant  dans l'instinct de survie...

Le misérable insecte qui gargouillait entre les tentacules d’Ivy ne tarda pas à essayer de défendre sa vie comme il le pouvait. Au moins n’hurla-t-il pas à l’aide. Si elle l’avait entendu hurler, elle l’aurait probablement achevé sur place, ne supportant pas du tout entendre des hurlements de peur. Il tenta de la flatter, et Ivy sentit bien qu’il y avait là de l’exagération, mais l’homme se soumettait entièrement à elle, visiblement prêt à faire tout ce qu’il fallait pour racheter son erreur. Replanter une rose n’intéressait nullement Poison Ivy ; ce n’est pas ça qui allait la ramener. Quand on tuait un bébé, proposait-on de le remplacer par un autre bébé ? Encore une fois, elle sentit l’envie de le tuer devant un affront pareil envers la Nature. Croyait-il donc qu’une rose équivalait à une autre rose ? QU’elle était une chose fongible ? Le tentacule se resserra autour de la gorge.

« Je devrais te tuer sur place pour tous les affronts que tu fais à la Nature, misérable insecte… »

Le tentacule relâcha alors sa gorge, et les racines lâchèrent ses membres. Cependant, il n’eut guère le temps d’ne profiter, car des lianes jaillirent d’un arbre pour attraper chacun des poignets de l’homme, le redressant, tandis qu’Ivy se mit à descendre. Elle posa ses pieds sur le sol. Ivy portait des bottes, des gants verts, et une espèce de tunique verte, et força avec ses lianes l’homme à aller devant ses jambes, à proximité de ses pieds. Elle devrait le tuer, oui, mais… Elle n’avait pas rencontré un seul homme depuis bien des semaines, maintenant, et la présence d’un corps lui manquait, masculin ou féminin.

« Pour autant… La Reine que je suis daignera peut-être vous épargner, si jamais vous réussissez à prouver ce que vous dites : votre soumission légitime. Une seule chose semble digne de sauver ta misérable carcasse : ton corps. »

Elle relâcha les bras du vampire, et un autre s’enroula autour de son cou, prêt à l’étrangler si jamais il faisait mine de se rebeller, des ronces jaillissant pour frotter sa gorge.

« Je veux que vous léchiez mes pieds, que vous montriez à quel point vous aimez la Nature. »

L’excitation commençait doucement à naître dans le corps d’Ivy, qui sentait qu’elle allait bien s’amuser avec ce dernier, qu’il le veuille ou pas.

Dans quelle merdier je me suis fourré moi... Moi qui au départ ne voulais aucun mal à qui que ce soit, là, je me retrouvais immobilisé pour x raison. Je découvrais alors la maitresse des lieux, visiblement peu satisfaite du fait que j'eus osé arracher cette fleur. Je la regardais donc, tentant vainement de sauver ma peau en usant de la parole, les mots étant de magnifiques armes affutées selon la personne. Et autant dire que pour un vampire, ces armes sont très tranchantes. Je retenais un peu mon souffle voyant la demoiselle peu satisfaite de tout ce discours. J'avais parlé certes, mais sûrement que mes arguments n'étaient pas assez naturels et suffisant à son goût. Que faire ? En rajouter une couche ? Paraître tout mignon, tout gentil, inoffensif ? Me soumettre ? Pour l'instant, je préférais faire profil bas pour le moment. Elle me relâchait, premier signe de victoire, cependant, elle repris son emprise pour me mettre à ses pieds, de manière menaçante tout de même, car au fond, des épines chatouillaient ma gorge. Prêtent à me transpercer la nuque. Bien que cela ne me sois fatal, la douleur une fois de plus ne serait pas jouissive. Elle me somma donc de lécher ses pieds, en guise de punition. Punition double car en plus de ça, c'était humiliant, cependant, je ferma les yeux, puis dit d'un ton résigné.

«  Bien... Je montrerais à la nature que je l'aime, comme je l'ai prouvé à Weldena il y a quelques temps de cela... »

Cela m'avais fait penser à mon aventure dans la forêt aux plaisir. Là où la belle et énigmatique Alraunya et sa fille Weldena habitent. Je repensais à nos ébats qui avaient bien finit. Je ne savais pas si elle la connaissait, semblant être une demoiselle représentative de la nature, mais bon.. Y faire référence peut être intéressant.
Ma langue alla donc se poser sur ce qui semblait être du tissu, bien que cela ne l'était point. Je ne décrivais pas la chose, mais ce n'était pas du tissu, loin de là. Je m'appliqua léchant bien le pied sur le dessus avant de passer sur les contours puis alors soulever un peu le pied pour passer ma main dessus, retirant le peu de terre qui s'y trouver, puis je nettoya cette partie là, avant de m'attarder sur le talon d'Achille. Je préférais faire le pied à nu, mais je ne préférais pas contrarier la demoiselle en prenant des initiatives sans autorisations.

«  La nature est luxuriante ici... Mille excuses encore une fois... Puis-je m'acquitter de ma dette autrement ? »

Par là, j'entendais assouvir un quelconque désire, malgré tout, seule une chose m'intriguais. Ses lèvres, elles semblaient si fraiches. Sécrétait-elle de l'aphrodisiaque comme les autres femmes plantes ? Ou alors était-elle, elle aussi unique ? J'attendais sa réponse continuant la tâche imposée.

Elle le regarda lécher son pied, continuant à réfléchir. Ce tueur avait parlé de Weldenela ? La plante-femme d’Alraunya ? Ivy se souvenait naturellement d’elle, vu qu’elle l’avait vu peu de temps avant de trouver cette forêt… Si un tel insecte avait visiblement réussi à s’attirer les faveurs de cette belle petite femme enjouée, il fallait sans doute qu’elle reconsidère son avis sur ce dernier. De ce qu’elle avait vu de Weldenela, elle semblait du genre à sauter sur n’importe qui prêt à lui faire un câlin, mais Ivy se voyait mal tuer quelqu’un qui avait procuré du plaisir à la plante. Elle se fit donc hésitante, jusqu’à ce que le vampire se redresse, lui proposant autre chose. Ivy hésita pendant quelques secondes, une moue passant sur ses lèvres, avant qu’elle ne se décide. La liane qui serrait l’homme à la gorge se tendit, l’amenant à se redresser, et elle passa sa main sur son torse, avant que des tentacules ne surgissent dans les coins pour le déshabiller, se faufilant dans ses vêtements pour les tirer et les déchirer.

En quelques secondes, l’homme se retrouva relativement nu, n’ayant plus que sa culotte tandis qu’un tentacule s’était faufilé dans cette dernière, s’enroulant autour de son membre.

« Si Weldenela a été satisfaite de vous, je pense qu’il doit exister un autre moyen de vous racheter… »

Elle serra un peu son membre entre son tentacule. Celui-ci n’était pas couvert de ronces, et elle en approcha un autre, près du postérieur de l’homme, tandis que sa culotte partit également, le laissant complètement nu, avec son membre enroulé contre une liane. Le sommet de ce tentacule frottait contre la joue de l’homme, et avait pris la forme attirante et arrondie d’une verge, caressant sa joue. Le tentacule autour de son cou se retira, libérant l’homme, mais l’autre continuait à caresser et à frotter son sexe. Ivy se rapprocha alors tranquillement de l’homme, et promena l’une de ses mains sur son torse. Ses tentacules exprimaient et reflétaient le plaisir naissant, vorace, qui animait Ivy. Elle posa ses lèvres sur celles de l’homme, déposant son aphrodisiaque sur sa bouche, ce qui, contribué aux spores naturelles qu’elle sécrétait, achèverait assez rapidement de lui faire perdre son sang-froid. Elle l’embrassa pendant plusieurs secondes, ses seins s’enfonçant contre sa poitrine, se serrant contre lui, son membre étant libéré.

Ivy finit par rompre le baiser, caressant désormais les cheveux de l’homme.

« Je m’appelle Poison Ivy, humain. Et ton corps sera l’occasion de te racheter de ton forfait. »

Elle glissa l’un de ses doigts sur les lèvres de l’homme, avant de sourire délicatement.

« Racheter l’affront que tu m’as fait, et celui que tu as fait à la Nature. »

Quelques tentacules frottaient les jambes de l’homme, remontant le long de son corps. Le message était suffisamment clair.

« Donne-moi ton nom, humain, et fais-moi l’amour. »

La femme plante était sublime, mais surtout sublimement dangereuse. Sa rencontre était très... Spéciale, vu qu'elle me menaçait de mort pour avoir arraché une rose. Elle m'immobilisait puis me soumettait à sa volonté, elle voulait me soumettre comme un esclave et bien, j'acceptais ça. Sous moi, les lianes me relevaient au bout d'un instant pour alors me redresser et voir déchirer mes habits. Elle me mis nu sans pudeur devant elle pour alors s'approcher, une liane prenant en otage mon membre. La liane titillant celui-ci, tout en le serrant, dommage qu'elle ne stimulait pas le gland par x combiné... Je la vis alors poser une main sur mon torse puis sa tête s'approcher, ses lèvres délicieuses embrasant les miennes. Son toucher était flamboyant, elle mettait le feu à mon corps grâce à ce contact. Une tentacule caressait ma joue, un pénis végétal pour être précis... Drôle de chose mais bon, j'en revenais toujours à la demoiselle attirante.
Elle laissait ses lèvres laisser couler un doux liquide dans ma bouche que je buvais sans mal, je me sentais brûlant, devinant que j'avalais soit un poison ou un aphrodisiaque. Je soupira d'aise l'entendant parler, caressant mes cheveux. Je sentis des tentacules caresser mes jambes... Un message plus que claire.

«  Je... Je m'appel Iruka...Seishi... Humain ? Pas totalement... Mais ce n'est que détail... V...Vous faire l'amour ? J... Pourquoi pas... Mais j'aimerais mettre du piment... Le faire dans... Une plante remplit de nectar ou autre... Vous voyez... Un endroit qui rendra la chose... Plus... Avantageuse... Pour vous... Votre élément... »

Je soupirais pour alors venir embrasser sa nuque dénudé. Son corps était doux comme du coton. Je n'en revenais pas. Pour x raison, j'étais déjà accroc à la demoiselle. Je sentais une belle érection naitre, mais ne voulais pas aller là tout de suite. Je voulais la dévorer, la manger entière avant de pouvoir faire autre chose. Mes mains baladeuses eurent pour cible son fessier, le malaxant sans malaise. J'aimais cela, sentir mes doigts s'enfoncer dans quelque chose de doux et très malléable. Elle semblait parfaite sûrement son attrait de plante. Je lui dit alors.

«  Poison...Ivy... Quel nom charmant... Permettez moi de goûter à votre corps de la plus belle des façon.. Si vous pouviez me stimuler avec... Lianes ou autre... Que mon corps soit une expérience...Si je ne pouvais faire qu'un avec la nature tout en étant votre...Ce serait si... Agréable... Faites moi goûter à n'importe quel venin... Que je devienne votre instrument de plaisir.... »

Iruka Seishi. Le nom lui rappelait ses élèves à Seikusu, mais il ne s’agissait sûrement pas d’un de ses étudiants. L’aphrodisiaque ne tarda pas à faire effet en lui, et il se laissa faire, marmonnant quelques idées assez tentantes, qui firent délicatement sourire Poison Ivy ; un sourire malicieux et pervers. Il posa ses lèvres sur sa nuque, et elle frémit. Le contact de cette bouche était délicieux, la faisant frissonner, lui rappelant à quel point le corps d’un humain lui manquait. Elle avait beau les trouver stupides et faibles, ils avaient néanmoins ces qualités qui faisaient qu’elle ne parvenait pas à les tuer, mais à les transformer parfois en hommes-plantes. Contre sa jambe, elle sentit le sexe d’Iruka se tendre, et caressa avec ses doigts ses hanches.

Le vampire glissa ses mains sur le postérieur nu d’Ivy, sa peau virant légèrement au vert. Ivy frotta ses lèvres contre lui, soufflant tendrement dans son oreille. Elle lécha sa peau, tandis que le jeune homme, visiblement très excité, demandait à ce qu’elle utilise aussi ses tentacules pour l’exciter. L’aphrodisiaque était-il si efficace que ça ? Poison en sourit intérieurement, flattée par les effets de son aphrodisiaque. A moins qu’elle ne soit un fantasme de cet Iruka ? Ce n’était pas non plus totalement inconcevable ; Ivy était une femme très belle, et elle avait déjà rencontré des partenaires qui avaient été très excités à l’idée de se faire pénétrer par ses tentacules.

« Très bien, Iruka… Je vais te satisfaire… »

Elle se détacha un peu d’Iruka, remuant son fessier entre ses mains, savourant qu’on s’occupe de son postérieur. Elle l’amena à proximité, près d’une grosse fleur avec plusieurs pétales. Elle posa une main sur la nuque d’Iruka, l’amenant près d’elle, et la fleur laissa s’échapper plusieurs tentacules rosâtres, qui saisirent les deux êtres, les soulevant. L’espèce de bulle centrale laissa place à une énorme bouche aux lèvres roses. Les tentacules se rétractèrent rapidement, les plongeant dans une espèce de liquide spécial, tandis que la bouche se referma. L’obscurité ambiante s’atténua rapidement par les parois verdâtres de la plante. Les « murs » étaient très humides et assez visqueux, et des espèces de petites tentacules jaillirent depuis l’intérieur des plantes, semblables à des langues pour la plupart. Des lianes jaillirent pour s’enrouler autour des jambes d’Iruka, les serrant tendrement et fermement.

« Vous voulez être stimulé ? Ce liquide que sécrète ma plante sexuelle comprend un peu de l’aphrodisiaque que mon corps produit naturellement. Il va nous recouvrir intégralement, mais il est inutile de vous inquiéter. Vous pourrez quand même respirer. »

Le liquide continua à monter, et Poison Ivy alla l’embrasser. Dans cet espace confiné, ils ne pouvaient pas vraiment se séparer, leurs corps restant collés, et des tentacules jaillirent, s’enroulant autour de leurs jambes, les serrant l’une contre l’autre. Elle retourna l’embrasser, et caressa également les fesses d’Iruka, l’un des petits tentacules se glissant dans la croupe de l’homme, sans pour autant le pénétrer, se contentant de le lécher. Un autre tentacule avait atteint son membre, et se contentait de le lécher, une multitude de petites langues rosâtres apparaissant à son extrémité pour lécher son membre tendu. Certaines langues s’agrandissaient pour s’enrouler autour de sa verge, la serrant, avant de la relâcher, et de continuer.

Le liquide spécial finit par entièrement les recouvrir. Ce liquide ne piquait nullement, et elle pouvait sans problème respirer. Elle embrassa Iruka à nouveau, sentant très bien les sensations de son corps. Elle posa l’une de ses mains sur ses épaules, et de nouveaux tentacules jaillirent, s’enroulant autour de son ventre, continuant à en faire son prisonnier. Ivy sentait à quel point elle était en manque. L’homme n’était pas au bout de ses peines avec elle.

M'excuser au près de la nature... Quand j'y repense, la dernière fois que j'ai fait ça, c'était pour remercier la nature. Drôle d'histoire tout de même. Ma tête en cet instant présent tournait comme pas possible, bien que je gardais ma lucidité. Je regardais la demoiselle au corps de déesse plantureuse. Elle était envoûtante à souhait, je n'en revenais pas... Si j'avais sû que arracher une rose m ferait rencontrer une telle personne... Alors autant arracher toute les roses de la planète. Je savourais cet instant, malaxant son fessier ardemment. Si doux, si dodu, elle était parfaite à ce niveau là. Vraiment.
Elle me promena pour m'emmener proche d'une fleur assez imposante, tout en déposant sa main sur ma nuque. Je fermais les yeux pour me sentir pris par des tentacules, la demoiselle aussi visiblement. Vu de haut, la base de la plante ressemblait à une bouche. Une fleur qui servait de pièce confiné. Je souriais voyant les lianes nous déposer dans ce lieu, où résidait un liquide étrange, mais si doux...
Je fût de nouveau immobilisé au niveau des jambes, des langues caressant mes jambes. Je rigolais doucement, tandis que la demoiselle m'expliquait ce lieu. Surtout le liquide qui nous recouvrait ou plutôt, qui montait doucement. Nous étions l'un contre l'autre, mes mains se baladaient sur son corps, tendus que ses mains se posaient sur mon fessier. Ses lèvres pulpeuses elles, étaient sur les miennes, m'offrant la plus douce des sensations. J'en raffolais... C'était devenu ma drogue. Je soupira pour sentir le liquide monter de plus en plus; nous montant au dessus de la tête. Plongé dans ce liquide, nous étions si bien. Je ne sentais même pas la tentacule titiller ma prostate. Par contre, celles qui s'occupaient de mon membre, je les sentaient bel et bien. Je gémissais de plaisir, sentant le plaisir augmenter vitesse grand v...
On ne se quittaient plus. Je lui dit alors.

«  Votre corps est le plus délicieux que j'ai goûté dans cet univers.... Cette plante est étonnante... J... Vous savez... Je ne suis pas si normal que...ça... Vous pouvez... Y aller sur l'aphrodisiaque... Quitte à le concentrer au maximum...E...Et provoquer une overdose.... J...Je ne peux pas mourir ainsi... Je peux ressentir les souffrance... Tout ça, mais je ne meurt pas... Si vous voulez me faire goûter aux plaisir les plus hardus que vous avez... N'hésitez pas... Pompez moi jusqu'à la dernière goutte de sperme... Que je l'offre à vous... Ou votre plante..  Que je devienne votre cobaye... Votre nouvelle plante... »

Je l'embrassais furieusement ma langue allant chercher la sienne, son nectar... Tout d'elle. Ma main se posa sur sa croupe allant caresser celle-ci. Mes doigts caressaient cette mousse dense, j voulais passer mon doigt en elle, voir si cela avait la même texture qu'un endroit intime humain... Je me laissais aller à elle et à ses envies. M'accroupissant pour arriver à ses pieds, je vint embrasser ceux-ci soumis à sa volonté en cet instant.

Dans cet espace étroit et confiné, leurs corps étaient délicieusement enlacés, serrés l’un contre l’autre, et Iruka ne tarda pas à parler. Même dans ce liquide ambiant, le son pouvait passer, et il lui avoua n’être pas vraiment un humain, ce qui expliquait sans doute pourquoi son aphrodisiaque fonctionnait aussi bien… A moins que faire l’amour avec une femme-plante ne soit pour lui une sorte de fantasme, amplifié par l’aphrodisiaque. Il lui dit de ne pas hésiter à y aller, de l’épuiser autant que possible, et elle sourit, ses seins s’enfonçant contre le torse d’Iruka. C’était une précision inutile, mais qui avait au moins le mérite de lui donner une bonne idée de son état d’excitation. Il en alla même jusqu’à lui demander d’en faire un homme plante. Pourquoi pas, après tout ? Généralement, elle ne demandait pas l’avis de ses sujets avant de les transformer, mais, puisqu’on le lui demandait… Elle répondit à son baiser, continuant à pétrir ses fesses, avant de lui répondre.

« C’est ce que j’avais l’intention de faire, jeune homme… »

Le plaisir. Ivy pouvait le ressentir à nouveau, le sentir battre dans ses veines, et elle sentait les mains d’Iruka se promener à nouveau sur son derrière. Il voulait la pénétrer, se faufiler en elle, elle pouvait le sentir, mais il préféra retourner s’occuper des pieds de la femme, montrant à quel point il lui était soumis. Un sourire de plaisir se dessina sur les lèvres vertes de Poison Ivy, qui le laissa s’occuper de ses pieds, sentant l’impatience monter. Elle le laissa jouer pendant un certain temps, avant d’ordonner.

« Relève-toi »,  dit-elle simplement.

Quand ce fut fait, elle lui caressa une joue en souriant, et un tentacule apparut. A son extrémité, il s’ouvrit, révélant une ouverture assez faible, mais suffisamment grande pour absorber la verge de l’homme. Le tentacule s’empara de la verge, jusqu’à atteindre les testicules, et se mit à tirer dessus, le frottant massivement, le tentacule remuant rapidement. Sous ce traitement, le jeune homme ne tarda pas à jouir, et son sperme traversa le tentacule pour jaillir depuis les parois de la plante, se mélangeant dans le liquide ambiant. Le tentacule continua à pomper pendant plusieurs minutes sur le membre de l’homme, et Ivy comprit effectivement qu’il n’était pas un humain, vu que son sexe, son érection, ne semblaient nullement faiblir, malgré la pression.

Il jouit à plusieurs reprises, et son sperme se mélangea, se dilua dans cet espace clos, jusqu’à ce que le tentacule se replie. Poison Ivy glissa alors sa propre main pour caresser le pénis d’Iruka, le serrant entre ses doigts, le branlant tendrement. Elle le regarda alors, et retira sa main, tandis que d’autres tentacules vinrent s’enrouler autour d’eux, les serrant l’un contre l’autre.

« Allez, soupira-t-elle, je veux sentir cette infatigable queue en moi. Baisez-moi ! » glapit-elle.

Sous le désir, elle devenait un peu plus autoritaire, un peu plus dirigiste dans sa façon de procéder. Ses tentacules écartèrent ses jambes, et aidèrent Iruka à s’avancer de quelques centimètres, afin de la pénétrer, tandis que des tentacules entouraient leurs bassins.

Le moment là, avec cette femme, il devenait de plus en plus chaud à mes yeux. À cause de sa personne, la nature et surtout son aphrodisiaque, je me sentais brûlant comme un volcan. Dire qu'à la base moi aussi je peux offrir de l'aphrodisiaque... L'arroseur arrosé. Quelle ironie. Je me laissais aller aux pieds de la demoiselle, les baisant un à un. Je laissais mon corps succomber au sien, le milieu liquide rendant le moment encore plus... Torride. Sa poitrine contre mon torse, elle s'enfonçait de plus en plus contre moi. Me donnant un piquet monstre. Elle vint m'embrasser alors pour me dire que mes fantasmes et désirs allaient être réalité, ce qui me fit sourire.
Au bout d'un instant, elle m'ordonna de me libérer, me relever, ce que je fit sans discuter, totalement sous son emprise sublime... Une fois relevé, elle me caressa la joue, me faisant fermer les yeux, c'est alors qu'en les re-ouvrant, je vis une tentacule très spéciale. On aurait dit au bout un bouton de fleur, quoi que celui-ci éclot devant mes yeux. Un fente se trouvant là. Je me laissa alors emporter par cette sensation jamais rencontré au par avant.
La tentacule s'empala sur mon membre et absorba ma verge jusqu'à sa base et même plus allant jusqu'à mes testicules. Pour ensuite sentir une sensation de pompage. Je me sentais pompé de l'intérieur, la tentacule me branlant de l'intérieur, elle forçait mon sperme à gicler de la plus belle des méthodes. Elle absorbait tout et je voyais qu'autour de nous, des particules blanchâtres se diluaient dans le liquide. Visiblement, je nourrissais la plante... 

Après un moment, la tentacule stoppa son geste pour se retirer, mon souffle à peine altéré. Je regardais la demoiselle qui s'approcha pour branler mon membre de plus belle, mais cette fois de façon mécanique, par elle même.  Au bout d'un moment, elle s'arrêta aussi pour alors laisser les tentacules nous pousser l'un vers l'autre. Je me retrouvais nu, contre elle, et elle, pareil, à l'exception de quelques habits végétaux... Je souriais doucement la voyant me demander de lui faire l'amour.
Soudain, une tentacule vint me pousser, tandis que pour elle, deux autres vinrent écarter ses jambes, ce qui fit que tout deux s'emboit-ions doucement l'un dans l'autre. Je gémissais de plaisir sentant son vagin se replier sur moi.. Mon membre était aux anges.

«  AH... C'est divin... P...Poison... IVY.... »

Je commençais alors à donner des coups de bassins en elle, m'accrochant à son délicieux fessier. Que faire de plus ? Ma tête s'était abaissée pour goûter à sa délicieuse poitrine. Je léchais ce qui est censé être son téton, le dévorant avec envie et passion. Je me donnas corps et âme, poussant un peu pour nous coller à la paroie humide et gluante. Comme si on s'y enfonçais. C'était incroyable comme instant.

C’était une sensation très violente, très ardente. Il ne valait mieux pas être claustrophobe pour apprécier moment. Les parois de la plante leur laissaient peu d’espace, les étouffant délicieusement dans son liquide et dans leurs soupirs, et, comme si ça ne suffisait pas, des tentacules émergèrent pour les immobiliser encore plus, les faisant autoritairement remuer. Poison Ivy sentit le membre d’Iruka s’enfoncer en elle, et en poussant un cri de plaisir, se rappelant à quel point cette sensation lui manquait. Les tentacules se retirèrent autour du fessier et des jambes d’Ivy, qui sentit ces derniers se perdre dans une série de lianes, la collant contre Iruka. Les tentacules se chargeaient de les immobiliser, et tout ce qu’ils avaient à faire, c’était de profiter du plaisir. N’était-ce pas formidable ?

Elle le sentait s’enfoncer elle, et lui griffait le dos, le sentant s’approcher de ses tétons. Elle le laissa venir, l’attrapant par les cheveux, relevant un peu sa poitrine, afin de le sentir caresser et embrasser ses seins verts. Sa peau était alors devenue verdâtre, alors qu’il s’enfonçait en elle, et son membre devrait avoir la surprise de sentir, dans l’intimité d’Ivy, une espèce de sève naturelle qui n’avait rien à envier à la mouille de la femme. Sa propre cyprine ne tarda pas à émerger, tandis que les tentacules amplifiaient leurs gestes, et qu’un alla se glisser dans le derrière d’Ivy, lui faisant pousser un véritable rugissement. Iruka jouait avec les fesses d’Ivy, les écartant suffisamment pour qu’un tentacule s’enfonce dans son fondement, la faisant hurler de plaisir.

Le membre d’Iruka, de son esclave, continuait à glisser en elle, et elle remonta le visage ce dernier, afin de l’embrasser, avant de descendre une main vers ses fesses, les tentacules s’écartant probablement. Elle amena son autre main, les empoignant, les remuant, les écartant. Pour un homme aussi, le derrière était synonyme de plaisir, et l’homme, après tout, avait tenu à préciser à plusieurs reprises qu’il était à elle. Elle le regarda en souriant, et un tentacule ne tarda pas également à se glisser dans le postérieur de l’homme. Elle relâcha alors ses fesses, des tentacules plus petits se chargeant de les écarter suffisamment pour que le tentacule un peu plus gros remue dedans. Elle caressa la joue d’Iruka.

« Allez, allez, esclave, fais-moi-l’a-mour ! » martela-t-elle.

L’homme continua à remuer en elle, et elle poussa un autre hurlement, leurs corps remuant en harmonie, dans une danse chaude, étroite, et ô combien sensuelle. Les mains d’Ivy griffaient maintenant le corps de l’homme, ses seins s’enfonçant contre son corps. Un bonheur immense se faisait sentir dans son corps, une joie intense et explosive. Elle dansait en rythme avec lui.

« Haaaaaannnnnn !! » finit-elle par s’exclamer.

Le moment était sans pareil. Enfermé dans une plante servant de pièce, nous étions plongé dans le plaisir à l'état brute. Je n'imaginais pas meilleur traitement. Le summum du plaisir, voilà ce que je ressentais... Les lianes nous immobilisaient chacun, nous nous contentions de nous laisser faire, les lianes nous faisant forniquer. J'aimais la sensation de son vagin, il était si serré et si doux à la fois. Une chaleur brutale me prenant dans mon corps. Sûrement le liquide que ma peau absorbait doucement, ma bouche buvant celui-ci aussi.
Je sentais mon membre ouvrir son être, tandis que en elle, quelque chose de chaud, comme un sirop, coulait sur ma verge. De la sève ? Sa cyprine ? J'étais agréablement surpris. Je la sentais venir, elle me griffait le dos tandis que moi je m'occupais d'elle comme un prince qui s'occupe de sa belle. Ma reine, voilà ce qu'elle devenait. Souriant, je mordais ses seins avec avidité, savourant cette peau... Si délicieuse, une peau de pêche... Je hurlais avec elle, sentant toujours ce plaisir m'envahir.

Soudain, elle me fit relever la tête, ses lèvres venant me donner une autre sensation. Sa salive délicieuse coula, pendant que mes fesses se faisaient écarter doucement. Je ne sentis pas la tentacule entrer en moi, cependant, le plaisir intense lui... Je me cambra vers l'arrière hurlant de plaisir. Une sensation très intense, un rugissement puissant qui me venait de l'intérieur. Elle me dit alors de lui faire l'amour, insistant sûrement pour me faire passer à la vitesse supérieur.

«  La nature est si.... Généreuse... Haaaaan.... »

Je dansais avec elle dans cet endroit confiné. Que faire de plus ? Nous étions au summum du plaisir. Le sommet, l'apothéose... Que demander de plus ? Je ramonais de plus en plus son intimité empoignant son fessier pour la faire aller toujours plus loin. Adorant la douceur de ses fesses. Mes lèvres quand à elles ne quittaient les siennes. Nos langues aussi dansaient ensemble dans un couple magnifique. Nos salive coulaient harmonieusement en même temps que nos cris retentissaient.

Qu'est-ce qui pourrais changer ? Augmenter le plaisir ? Vu comme ça, rien. Pourtant, je suis sûr qu'elle avait encore des atouts dans sa poche. N'importe quoi, mais quelque chose. Je sourit me collant à la parois, me desserrant de sa poitrine, sentant la parois de la plante me masser le dos. J'en souffla de bonheur.

«  AH.... C...C'est si agréable... J'aurais presque envie... D...De donner mon corps à la nature...P...Pour toujours.... »

C’était une belle et très agréable danse, à n’en pas douter. Ivy était ballottée par le poids de ses tentacules et par le corps du vampire, ondulant avec lui. C’était terriblement agréable, et elle ne tarda pas à avoir, au bout de plusieurs minutes, son premier orgasme. Elle serrait Iruka contre son corps, dans cette étroite plante, et frémit de plaisir, poussant des cris brefs et furieux, sentant le désir affluer et exploser.

Iruka avait l’air relativement heureux aussi, ce qui, à vrai dire, n’était pas surprenant. Pourquoi ne l’aurait-il pas été ? Il gémissait de plaisir, et, entre ses cris, émit à nouveau le souhait de devenir un homme plante, d’offrir pour l’éternité son corps à la Nature. Indiscutablement, il parlait avec l’intonation du désir sexuel, cette force qui amenait les êtres à dire bien des choses, à délier les langues très facilement. Elle lui sourit, griffant sa peau, et l’embrassa à nouveau.

« Tes désirs seront exaucés », répliqua-t-elle simplement.

Il était son jouet, balayé par les plantes qui s’amusaient avec lui, et elle ne tarda pas à le sentir jouir en elle, les minutes défilant rapidement. Difficile, à vrai dire, dans cette plante, d’avoir la notion du temps. Ils avaient beau hurler, à l’extérieur, on ne les entendait pas, et la plante remuait très faiblement. A l’intérieur, c’était un véritable feu ardent qui dura un certain temps. Au bout d’un moment, Ivy décida néanmoins de changer d’endroit, d’opter pour un espace un peu plus libre. Elle alla se serrer contre Iruka, son esclave, et la plante se chargea de les envoyer, en les faisant passer à travers des espèces de canaux souterrains étroits, dans une espèce de grand bassin souterrain. Ivy et Iruka atterrirent dans un endroit assez orangé, comprenant beaucoup de la sève qu’Ivy utilisait, que ses plantes secrétaient.

En réalité, depuis sa rencontre avec Weldenela, elle se livrait à de petites expériences, et, dans ce grand bassin d‘incubation, on pouvait voir des espèces de troncs dans les coins, où des corps en forme d’hommes et de femmes prenaient vaguement forme. On était bien loin du résultat obtenu par Alraunya sur Weldenela, mais c’était un début relativement prometteur. Des tentacules continuaient à flotter dans les coins, mais Ivy ne s’en préoccupa, et retourna embrasser Iruka, avant de l’amener à s’allonger, et de s’empaler sur lui, flottant dans ce grand bassin.

« Bienvenue dans mon antre, Iruka, l’endroit où je vais faire de toi l’homme pur et propre de la forêt ! » claironna Ivy, avant de pousser un hurlement de plaisir, qui se noya dans le liquide qui flottait autour d’elle.

La nature, depuis toujours j'ai été un fervent défenseur de la nature. Bon, pas le plus admirable, mais cela comptais pour moi. J'avais une passion pour cela. J'aimais les roses, mais surtout les décrire dans des poémes plus brûlant les uns des autres. Je soupirais adorant la sensation unique offerte par la femme que j'avais là. Je me sentais un homme différent d'avant. Plus un vampire; un humain normal. Mon membre se faufilait en elle comme jamais il ne l'avait fait avant, je la regardais puis alors la vis crier si fort, que je compris qu'elle jouissait. De mon côté, cela n'allait pas tarder. Je continuais inlassablement pour alors finir par me laisser aller. Donnant de grands coups pour alors me déverser. Mon sperme fondait en elle, humidifiant ses parois si douce au toucher. Je frissonnais pour alors la voir se lever. Je me releva lui prenant la main, tandis que les tentacules nous faisaient coulisser dans des canaux plus petits... Nous transférant ailleurs.
Nous atterrîmes dans un pièce plus grande, les murs toujours verts, mais là. Nous étions déposés dans un bassin orangé, celui-ci ressemblant à la sève de la belle. Je l'observais tandis qu'elle me fit allonger et m'embrassa avant de s empaler sur moi me disant ceci.

« Bienvenue dans mon antre, Iruka, l’endroit où je vais faire de toi l’homme pur et propre de la forêt ! »

Je vins alors poser mes  paumes de main sur sa poitrine, l'empalant de plus en plus fort sur ma verge droite comme un i, puis entre quelques gémissements lui dit.

«  Ah... I...Ivy... Dites moi... C...Comment cela... V...Va se passer... Comment cela... Se passera-t-il ? Quelle sera l'action faite... E...Et ses conséquences ? ... »

Des questions de dernières minutes, ne sachant pas trop comment elle allait faire. Si le liquide était pour quelque chose, où si cette «  purification  » allait me changer pour toujours. Allait-elle me transformer en homme plante à part entière, ou juste me faire goûter au plaisir de l'être, mais temporairement ? Je voulais savoir avant de m'engager, bien que là, j'étais assez tardif... Je soupirais, reculant la tête, recouvrant celle-ci de nectar divin, me léchant les lèvres... Continuant malgré tout à donner des coups de bassin tout en pétrissant sa poitrine généreuse.

«  Dites moi tout … Puis agissons... Ivy...Sama... »