Quel spectacle réjouissant et fascinant ! La Chatte Noire était transportée, en harmonie totale avec Aoki. C’était presque comme si elle pensait la connaître depuis des années. Une chose amusante, car elle ne la connaissait même pas depuis une journée. Félicia ne pensait pas être une fille facile. Du moins, elle ne couchait pas avec un individu, homme ou femme, au bout d’une seule journée (ou, en tout cas, pas consciemment), mais, avec Aoki, tout semblait différent. Elle s’était laissée amener, s’était laissée porter, sans comprendre vraiment pourquoi. Une chose était sûre, toutefois : elle n’aurait cédé sa place pour rien au monde. Aoki était entre ses jambes, suçant et léchant avec envie, et la sentir, sentir sa belle langue, faisait frémir et vibrer Félicia. Elle ronronnait follement, excitée comme un gros chaton qui recevrait le plus attirant de tous les câlins.
« Mrrrraaaaawww... Vas-y, vas-y, ma petite salope, oui, oui, oui... Haaaa... Encore, là, oui, hummmm... J’aime quand tu lèches mon minou, petite chienne... »
La Chatte Noire parlait sur un ton bas, lent, excité. Son corps était chaud, bouillonnant. C’était si bon, tellement délicieux. Elle n’arrivait pas à croire que ça pouvait être si bon, avec une femme dont elle ne connaissait quasiment rien... Et quasiment tout en même temps. Ses mains gantées et édentées caressaient les cheveux de la délicieuse femme, la grattait, tandis qu’elle continuait, yeux clos, à lécher. Aoki était comme absorbée, passionnée, et ça se sentait. Elle avait toujours les mains prisonnières, les tétons pressés, et son petit cul accueillait la présence de ce plug. L’ensemble formait un délicieux contexte sexuel confirmant qu’Aoki était une vraie perverse.
En ce sens, elle était parfaite pour Félicia, qui ne tarda pas à gratifier les délicieuses lèvres de l’adorable blonde d’un orgasme amplement mérité. La Chatte Noire continuait à donner des coups de cravache, tenant Aoki avec sa main tandis qu’elle se mit à jouir dans sa bouche. C’était si bon, si délicieux, cette sensation de puissance, de pouvoir, de domination ! Elle en jubilait, et le fit savoir en donnant un autre coup de cravache, fort, sur le cul d’Aoki. Son délicieux cul devait être bien rouge, maintenant, et elle rêvait de continuer à le meurtrir. A force de la traiter de salope, elle ressentait en elle des pulsions la poussant à vouloir la considérer comme une salope, et, partant de là, à méchamment lui baiser le cul !
*N’exagère rien, Félicia... Je sais qu’Aoki est phénoménale, mais il ne faut pas faire passer la charrue avant les bœufs, et ce bien que je sois la première à reconnaître que ce petit cul de pute ne mérite sans doute pas mieux que de se faire sauvagement écarteler.*
La mouille de Félicia glissait des lèvres de la belle blonde, filant le long de ses jambes. Elle eut un orgasme assez violent, plaquant la tête d’Aoki aussi fermement que possible entre ses cuisses, utilisant pour cela sa musculature surdéveloppée. Ses ongles pointues se transformèrent brièvement en griffes, manquant déchirer les gants d’Aoki. Quand elle lui aurait suffisamment fait l’amour pour pouvoir mieux contrôler les réactions de son corps, la Chatte Noire pourrait s’amuser avec ses griffes sur le dos de la belle blonde. Ohhh, ce serait fabuleux ! Elle en frissonnait d’avance, à promener la pointe de ses griffes sur ses omoplates, et à passer sa langue ensuite... Hum... Elle en imaginait la scène, longeant les gouttes de sueur, les perçant avec ses griffes, se livrant à un travail de chirurgienne sur le dos nu d’Aoki...
Elle en mouilla encore, gémissant, et sentit alors quelque chose tirer sur sa cravache. Sortant de sa silencieuse rêverie, elle rougit en voyant Aoki... Sucer sa cravache ! Elle avait enfoncé le bout de sa cravache dans sa belle bouche, et la suçait, remontant sur cette dernière en gémissant, ses joues gonflées. La Chatte Noire en tremblant, sa poitrine se soulevant et s’abaissant lentement. Elle observait ce silencieux spectacle. C’était fascinant, et très explicite, surtout quand Aoki la regardait en le faisant, avançant sa tête de haut en bas. Félicia en trembla, et se rappelait fugacement ses séjours sur Tekhos, à Terra. Certains chirurgiens greffaient aux femmes des sexes masculins rétractables. Quand elle avait vu ça pour la première fois, elle avait halluciné, et cru à une arnaque, mais, quand elle avait vraiment vu une femme membrée, elle s’était crue dans ces mangas érotiques que les lycéens regardaient : Bible Back, Discipline, ce genre de trucs où toutes les lycéennes étaient des nymphomanes compulsives qui se faisaient violer avec plaisir. Aoki mimait le geste d’une fellation, dans une prière silencieuse.
*Je n’avais aucune raison de me faire greffer un tel engin, même si se faire baiser par une femme dotée d’un pénis... Ça mérite réflexion...*
Mais, avant ça, elle allait d’abord devoir prolonger ses relations avec Aoki. Cette dernière continuait à avaler sa cravache. Félicia tirait lentement sur cette dernière, rien que pour voir Aoki grogner en plantant ses dents dessus, comme pour maintenir le bout de la cravache.
« Une vraie chienne, hein, ma petite chérie ? Tu veux ton petit os à mordiller, hein ? Oh oui, il est bon le no-nos, hein !! Miam miam !! »
La Chatte Noire ne se contrôlait plus, continuant à mouiller. Aoki finit malgré tout par retirer la cravache de sa bouche, et bomba alors son délicieux cul, le remuant, tout en lui demandant de la pénétrer fort. Elle parla également de donner un sexe masculin à Félicia, ce qui surprit la Chatte Noire. A croire qu’elles avaient lu réciproquement dans leurs pensées mutuelles. Félicia leva un pied, et toucha le cul d’Aoki avec, poussant légèrement dessus, puis s’écarta, et alla à nouveau farfouiller dans le coffre.
« Ma petite Aoki, tu es décidément une véritable salope, lâcha-t-elle. Mais je devrais trouver de quoi pulvériser ton joli petit cul. »
Et, effectivement, Félicia trouva. Elle sortit de ce trésor une espèce de culotte noirâtre avec une ceinture et un trou permettant de loger un gode. Il y avait également à l’intérieur deux autres petits trous. Tout un attirail. Elle trouva une petite boîte avec différents godes de dimension ajustable, et les compara. Trois godes pouvaient être incrustés dans cette ceinture : deux pour la porteuse, un pour l’autre. Elle vissa soigneusement les godes, prenant un gode assez gros pour pénétrer Aoki, et enfila la ceinture. Elle prit le soin de prendre une espèce de petite télécommande qui, visiblement, permettait de faire vibrer les godes. Un engin révolutionnaire !
« Haaa... »
Elle remua lentement, sentant ces deux morceaux de plastique s’enfoncer en elle. Ça ne valait pas la verge d’un homme, mais, à défaut, elle pourrait s’en contenter, et ça ne l’empêchait pas de mouiller. Elle activa la fonction vibrante des objets, puis se pencha vers Aoki. Elle lui ôta son plug, l’envoyant rouler au loin, et posa ses deux mains sur ses hanches, s’appuyant dessus afin de la redresser un peu, puis l’attrapa par la laisse. Sa force herculéenne lui permit de maintenir Aoki en l’air sans difficulté. Elle attendit un peu, et, voyant qu’elle n’était pas étouffée, elle utilisa son autre main pour diriger le gros gode. Il était d’une taille considérable, et heurta les fesses de la blonde, avant de s’enfoncer dans son petit trou déjà bien dilaté.
« Huuurrrmpppffff... Un vrai cul de salope, ça ! »
Elle tenait Aoki par la bride, pour parler ainsi, et donna une autre gifle sur les fesses d’Aoki, glissant ensuite sa main sur sa cuisse, s’en servant comme appui pour enfoncer son gode. Félicia commença alors à remuer, y allant sans passer par le dos de la cuillère. Comprenons par là qu’elle était en train de défoncer ce joli et merveilleux petit cul.