Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Depuis le temps... (Aoki Kou)

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Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 30 jeudi 17 mai 2012, 00:56:42

La vache ! J'ai bien fait de pas l'inviter dans mon appartement de prolo ! Si côté cœur ça n'a pas l'air d'être ça, ou plutôt ça ne l'était pas avant que j'arrive, côté boulot ma petite Aoki a l'air de bien s'en tirer. Un sas à l'entrée, un vrai hall, et un ascenseur en plus. Mais en arrivant devant la porte de son appartement elle commence à m'inquiéter.

Aïe, un quelqu'un chez elle ! Ouch, deux quelque deux chez elle ! Et spéciaux en plus... Ils vont m'adorer... Mais j'ai intérêt à rester dans la même pièce qu'elle, sinon j'aurais à craindre... Ok ! Alors qu'est-ce que vais découvrir ? Des enfants ? Un mari ? Des parents ? Non, sans doute juste des colocataires...

Des colocataires ? Collègues du milieu de l'art salaces au possible ? Ou deux de ses fameuses stars en herbes qui vont pas nous lâcher la grappe ? Des assistants psychotiques qui vont m'A-DO-RER devant elle et m'étouffer avec les coussins du canapé dès qu'elle aura le dos tourné, parce qu'ils font une fixette malsaine sur leur patronne qui les remarque à peine et dont j'ai ravi le cœur en moins de quatre heures ? Rien que de penser à celle-là j'ai du mal à respirer.

Il serait pas temps de me demander si j'ai pas été un peu trop submergée par l'émotion ? Petite introspection... Non, c'est bon, je ressens bien ce que je ressens. Elle sourie avec un air un peu désolé et une vague touche d'inquiétude. J'ai à peine le temps de me dire que quelque chose sonne faux dans l'expression qu'elle m'adresse que la porte s'ouvre. Je soupire de soulagement en remarquant le chien, puis je me dis qu'il est quand même gros. En fait quand Aoki s'agenouille devant lui il est presque aussi haut qu'elle. Mais il a l'air gentil, Rex.

" Ha, j'espère que tu n'est pas allergique aux chats et chiens? "

Je lâche un éternuement, juste pour la voir s'inquiéter un petite seconde. Mais elle comprend vite ma petite revanche quand j'entre pour venir gratter la tête de Rex qui lève le museau pour renifler ma main.

" Non, pas du tout. J'avais un chien quand j'étais petite... "

Un grand machin croisé sur je sais pas combien de génération, et au poil roux irlandais ! Une patte, jusqu'au bout. Je préfères enchaîner plutôt que de penser à des choses tristes.

" ... Et le coin était infesté de chats sauvages. "

Des saletés mauvaises comme des teignes dont mon gros toutou-warrior me protégeait. C'est moins triste mais je préfères éviter d'y penser. Et je voudrais pas faire de la peine à Aoki-chan avec des détails. D'autant qu'elle a aussi un chat qui paresse en nous fixant à tour de rôle. Le laisse les sacs de la boutique au pied d'un fauteuil du salon. Elle me fait ensuite ensuite une petite visite, dont je profite pour boire un verre d'eau. les émotions ça donne soif.

Par moment je trouve son appartement un peu tristounet. Peut-être parce qu'il n'y a aucune photo ? Ou que tout est impeccablement rangé ? J'ai toujours vécu dans le bazar, le mien ou celui de mes proches. Voilà quelques histoires que je pourrais lui raconter, mais on est pas pressées... Oui plutôt si, justement. Elle ne tarde pas à me prendre par les hanches avec ce sourire qui me ferait presque hésiter à l'embrasser.

" Maintenant, nous sommes seules Hitomi-chan. Et personne ne viendra nous déranger... veux-tu que l'on fasse quelque chose de spécial? Parler sérieusement ou bien, autre chose de plus a-mu-sant... "

Je baisse la tête pour être sûr que je ne suis pas en train de poser le verre à côté de la table. Puis je me redresse pour répondre. Ma main droite se glisse sous son bras pour venir doucement appuyer dans son dos, la gauche monte derrière son épaule jusque sous ses cheveux. Je l'embrasse comme dans la rue, plus encore. Je fait durer le plaisir. Je n'hésite pas à masser doucement son dos en pressant son corps contre le mien, que je retiens pas d'onduler un peu comme pour la caresser. Je finis par écarter mon visage du sien, je me penche même un peu en arrière alors en laissant ma main redescendre le long de son bras. Je fronce un peu les sourcils pour avoir l'air de réfléchir.

" Essaie de parler sérieusement pour voir ? Qu'on voit ce qu'on préfère. "

Enfin, c'est surtout pour elle. Je crois que je me suis faite ma propre opinion : parler sérieusement c'est bon quand on est trop fatigué pour faire autre chose...


Aoki Kou

Humain(e)

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 31 dimanche 20 mai 2012, 18:09:26

Proposant deux solutions possibles à Hitomi, Aoki lui laissait le choix de passer un peu de temps avec elle, surement dans un lit – pour faire quelque chose de spécial – ou parler un peu ensemble, afin d'en apprendre encore un peu plus. À vrai dire, elle penchait surtout pour s'amuser mais si jamais elle voulait parler avec son amie, Aoki n'était pas contre l'écouter et raconter sa vie. En guise de début de réponse, un long baiser fut partager ensemble, de nouveau! Douce et sensuelle, Hitomi baladait ses mains dans son dos et la jeune femme en fit de même bien que ses mains s'intéressaient surtout à ses hanches. Il faut dire que des filles en petite tenue, elle en voyait souvent donc elle savait ce qui était juger « beau » par les gens du métier ou non. Et Hitomi, elle avait de superbes hanches! Ses hanches ondulaient contre elle, sa main posée sur sa nuque qui remontait doucement dans ses cheveux, leurs corps serrer l'un contre l'autre. Aoki avait chaud, très chaud! Le baiser enfin terminé, sa petite amie optait plutôt pour parler sérieusement même si c'était pour se faire une idée. Autant faire d'une pierre, deux coups! Elle s'écarta un peu, gardant ses mains dans les siennes alors que son regard si heureux était connecté à celui de la rouquine.

« Eh bien je voudrais te laisser réaliser ton petit fantasme qui doit avoir pris la poussière depuis, celui où tu m'apprends autre chose que de l'anglais. J'étais peut-être moins instruite que la plupart des jeunes à l'époque mais je suis sûr que, comme tu as avoué que tu m'aimais, tu à des vues sur moi et pas seulement depuis nos retrouvailles. »

Posant son index sur les lèvres encore humides d'Hitomi, elle se rapprocha un peu d'elle pour rapprocher sa bouche de la sienne, à quelques centimètres. Sans pour autant l'embrasser mais la garder dans ses yeux.

« On va faire cela dans ma chambre, nous aurons plus de place pour nous amuser ensemble. »

Aoki recula une fois de plus pour partir prendre son sac où il y avait aussi les affaires qu'elle avait prises pour Hitomi. Roulant des fesses jusqu'à sa chambre, la jeune femme tournait la tête dans sa direction pour l'inviter d'un signe de la tête et pour lui mettre l'eau à la bouche.

« Viens, tu auras le droit de me voir dans ma nouvelle acquisition si tu me le demande gentiment, Hitomi-chan. »

Posant simplement son sac près de son lit, elle se posa dessus pour s'y allonger quelques secondes où elle se voyait déjà avec son amie, enlacer et bouillante, ça promettait d'être torride! Une fois redresser, elle gardait les jambes en tailleurs en posant ses mains à plat sur son lit, gardant la belle rouquine en cible.

« Tu peux me demander ce que tu veux Hitomi... je veux que cette journée, celle de nos retrouvailles soit aussi parfaite que tu aurais pu l'imaginer. »

Ses commodes comportaient beaucoup de sous-vêtements aussi osé que ceux en boutique si ce n'est plus encore pour certains. Hitomi pourrait lui demander autre chose que celui qu'elle avait pris en boutique, celui qui avait tout déclenché au final. Pour ce qui pourrait être de ses jouets privés, c'était bien caché sous son lit. Il ne faudrait pas que n'importe qui puisse trouver ça en fouillant un peu dans ses tiroirs! Mais pour le moment, être simplement avec elle serait suffisant, pas besoin de jouet en tous genres!

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 32 mardi 22 mai 2012, 22:02:01

Elle a vraiment changé, ma petite Aoki-chan froide et timide. Je ne suis pas en train de me faire des idées : elle m'aguiche et elle sait très bien s'y prendre. Elle me mène littéralement au doigt et à l'œil, en posant l'un sur ma bouche et l'autre dans mon regard. Mais quand elle essaie de me rappeler celle qui faisait fantasmer à la fac, je pense tout l'inverse. En plus c'est qu'elle se vante des sentiments qui m'ont torturée toutes ces années ! Et elle s'approche juste assez près pour me noyer dans ses grands yeux, emplir mon regard de son doux visage.

" On va faire cela dans ma chambre, nous aurons plus de place pour nous amuser ensemble. "

La suite logique se forme en une fraction de seconde dans ma tête. Chambre, lit, mon amoureuse et moi. Toutes seules. Toutes nues ! Mais pas la même Aoki qu'à l'époque, non. L'Aoki de l'époque n'avait ni ce déhanché ni l'audace de mettre ainsi ses courbes en valeur. Elle l'aurait peut-être eu pour moi si j'avais craqué ? Mais la question ne se pose plus. En tous cas je la suis vers la chambre, et mon désir n'en fini pas de croître. Je ne me retiens pas de dévorer du regard ses fesses en me demandant de quoi elles auraient l'air dans sa "nouvelle acquisition".

Le temps que j'entre dans la chambre elle se redresse déjà sur son lit, assise en tailleur et penchée en arrière, appuyée sur ses mains. De là où je suis elle a surtout l'air offerte toute chaude sur un plateau bien douillet. Raison de plus pour m'approcher alors qu'elle parle sans me quitter des yeux.

" Tu peux me demander ce que tu veux Hitomi... je veux que cette journée, celle de nos retrouvailles soit aussi parfaite que tu aurais pu l'imaginer. "

Lui demander tout ce que je veux ? J'ai déjà eu plus que je n'osais espérer, mais j'ai encore pas mal d'idées en réserve. Quand aux retrouvailles parfaites... Je la rejoint sur le lit, j'avance à quatre pattes pour venir lui donner un baiser du bout des lèvres. Puis je reste un moment comme ça, le visage penché sur le sien, tout aussi près que tout à l'heure.

" J'ai jamais imaginé qu'on se reverrait, Aoki. Je sais pas pour toi, mais depuis le début j'improvise. "

Et la trouille bleue que ça me collait a enfin fini par passer. Maintenant que je suis si près d'elle, que nous sommes seules et tranquilles, je n'ai plus peur de grand-chose. Qu'est-ce que j'ai été conne à l'époque ! Quand je pense à tout ce qui aurait pu mal tourner rien qu'aujourd'hui, au nombre de fois où j'aurai pu fuir et où elle aurait pu me repousser. Sans parler des petits à-côtés, comme une cliente ou une vendeuse de la boutique qui nous aurait surpris à nous bécoter, ou des passants dans le parc.

Mais bien sûr ça n'a rien à voir avec la fac. Nous n'avons plus rien à voir avec les deux étudiantes qui se tenaient à carreau. La preuve : on est quand même arrivées jusqu'au lit, et la seule raison pour laquelle on est encore habillées c'est qu'on ne pense pas qu'au sexe. Le sexe et les sentiments : l'éternel paradoxe. Ça doit être pour ça qu'on parle d'être "fou" de quelqu'un. En tous cas je suis folle d'elle, assez folle pour ne pas la toucher alors que mes lèvres sont si près des siennes.

" Je veux pas déterrer un vieux fantasme... Ou me creuser la tête pour trouver ce qui serait parfait... "

J'avance juste un peu pour approcher de son oreille, laissant au passage mon souffle caresser la peau de son cou.

" C'est toi que je veux, Aoki... Pas le fantôme de l'étudiante à qui je donnais des cours particuliers... ... Je veux t'embrasser, te toucher... Je veux encore te dire que je t'aime et que tu es la plus belle... Et... "

Soudain je me jette sur le côté pour attirer sur le dos, allongée sur les lits. Je me mets les mains devant les yeux. Tout à coup je suis aussi excitée qu'une gamine qui attend sa surprise d'anniversaire.

" Je veux aussi voir comment te va ta nouvelle culotte, mais je veux pas te voir nue avant. Dépêche-toi, s'il te plaît ! Vite-vite-vite ! "

Le lit tremblotte tellement je trépigne. Savoir qu'elle va se déshabiller dans la pièce où je me trouve, ça me fait tourner la tête. Maintenant que j'y pense je suis allongée où elle dort toutes les nuits...

Aoki Kou

Humain(e)

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 33 samedi 26 mai 2012, 21:27:18

Depuis combien de temps la jeune femme ne s'était pas retrouvé dans son lit, prête à passer aux choses sérieuses alors qu'elle ressentait de l'amour envers sa partenaire? Pas juste l'envie de lui arracher ses vêtements mais le vrai amour, ce à quoi elle avait renoncé et qu'elle ne pensait pas revoir de sitôt. Au moins avec Hitomi, ça semblait solide! La voir ainsi, au-dessus d'elle avait quelque chose d'électrisant, un désir inavoué qui rendait cet instant encore plus brulant. Si à l'époque, ce genre de pensé lui arrivait tous les trente-six du mois, depuis sa rupture avec son premier et seul vrai petit copain, elle avait plusieurs fois rêvé de cette belle rouquine, de ce qui aurait pu arriver à l'époque si elle aurait lâcher ses bouquins quelques heures pour apprendre une autre matière bien plus intéressante que les mathématiques. Leurs lèvres si proches sans pour autant y avoir contact, elle lui avoua que tout ça n'était que de l'improvisation depuis le début de leurs retrouvailles. L'improvisation est importante surtout dans le métier d'Aoki. D'une petite voix douce et envoutée, la jeune femme aux cheveux courts était hypnotisée par les yeux de son amie... non... de sa petite amie.

« Je ne cache pas que je laisse libre cours à mes envies... continuons comme ça, ça nous a bien réussi jusque-là... »

Sentant son souffle chaud dans son cou, sa voix si prête de ses tympans, c'est fou ce que l'amour peut décupler ce genre de pulsion érotique! Un rien devenait une montagne grâce à ce sentiment! Aoki avait oublié à quel point cela pouvait être fantastique de ressentir son cœur battre si vite pour des choses qu'elle n'oserait même pas qualifier de préliminaire! Avouant de simple désir de la toucher, la sentir et... de la voir dans sa nouvelle petite tenue? En voilà une idée qu'elle est bonne! Et sa réaction digne d'une grande surprise, ça rendait ce simple changement de sous-vêtements si amusant et excitant. Se rapprochant de sa petite amie au regard caché par ses mains pour lui embrasser le creux de son cou, quelques petites bises pour l'encourager.

« D'accord mais ne triche pas surtout! »

Rentrant dans son jeu, elle avait prononcé cela de manière assez enfantine. Se relevant, elle allait fouiller dans son petit sac qui contenait le dite ensemble. Toujours pareil, un soutien-gorge comme la culotte, quasi transparente! Le tout surligné d'une fine dentelle qui rendait la chose incroyablement mignon! Et dire qu'elles devaient tout à ça! Sans lui, pas de quiproquo, pas de baiser, peut-être seraient-elles encore en ville à l'heure? Ôtant sa veste en jean, elle retira le sous-pull en dessous et laissait le tout trainé par terre pour le moment. Envoyant ses chaussures dans la chambre, elle retira en quatrième vitesse son pantalon marron et chaussettes blanches, assortit à ses dessous actuels. Elle retira le tout pour le laisser en tas à ses pieds et se retrouva nue, complètement nue, une idée un peu sadique lui passait par la tête. Elle se rapprocha avec douceur et un sourire qui en disait long. Posant d'abord une main sur celles d'Hitomi pour lui signaler de rester aveugle encore quelques instants.

« Pardonne-moi Hitomi mais je me dois de te dire que je suis dans le plus simple appareil de la nature... complètement nue... au-dessus de toi... »

Remplaçant les rôles, elle se tenait au-dessus, appuyée sur le lit à torturer le désir de la jolie rouquine qui allait partager son lit très bientôt. Elle allait cueillir un petit baiser pour lui donner du nouveau un peu de courage. Ce fut bref mais si elle en donnait trop, elle allait craquer!

« Je refuse que tu me vois nue si ce n'est pas toi qui m'as déshabillé alors patiente encore un peu... mon amour... »

Combien de temps que ce mot sincère ne lui était pas sorti de sa bouche? Bien trop longtemps, elle se retira doucement avant de s'éloigner un peu d'elle. Elle reprenait bien vite les rênes du jeu par contre!

« Si je te surprends à ouvrir un œil en ma direction alors que je suis pas prête eh bien... je t'attache à mon lit et je t'excite sans que tu ne puisses venir jouer avec moi ♥ »

Elle y était vraiment capable en plus! Elle enfila sa petite tenue sans trop être lente non plus, sa pauvre amie souffrait déjà bien assez comme ça! Un bref regard dans le miroir, parfait! Comme ça, on pouvait voir les variantes couleurs pour sa poitrine et ses mamelons et sa culotte avec la fente sans pour autant voir à travers. Cela rendait la chose un peu floue mais ça laisse une petite part de mystère! Prenant place près des oreilles au-dessus de la tête d'Hitomi, elle prit une pause de pin-up avant de lui autorisé à ouvrir les yeux. Un coude pour la maintenir un peu en avant, une jambe droite sur le lit, l'autre repliée et son index sur sa lèvre inférieure. Son regard aguicheur posé sur Hitomi, elle allait se régaler en voyant la réaction de sa petite amie!

« Ouvre les yeux maintenant... »

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 34 dimanche 27 mai 2012, 01:43:57

Que je ne triche pas ? C'était le programme jusqu'à il y a une seconde. Mais sentir ses lèvres sur ma peau ne serait-ce qu'un instant ébranle quelque peu ma détermination. Et la façon dont elle le dit est presque une invitation à écarter les doigts et entrouvrir les paupières. Si je m'étais assise je pourrais taper un peu du pied pour tromper mon impatience. Vu que je suis allongée sur le lit je ne peux que me mordiller la lèvre.

" Alors dépêche-toi ! "

Je dois aussi avoir l'air d'une gamine quand je lui dis ça. Allez : Vite ! J'veux mon cadeau ! Les jambes repliées pour avoir les pieds à plat sur le lit j'essaie quand même de taper un peu des talons. Mais sur ce matelas ça ne sert à rien, ou peut-être à me faire bouillir un peu plus. J'entends Aoki se déshabiller, son corps nu que j'ai vu dans mes fantasme se dessine derrière mes paupières closes. dire qu'elle est juste là ! Je n'ai qu'à entrouvrir les yeux. Juste un tout petit regard. Non !

Je garde les yeux fermés et déplace mes mains. Mes paumes viennent couvrir mes yeux alors que mes doigts vont tapoter mon crâne au travers des cheveux. Rythmées par leurs petits coups les images se succèdent dans ma tête. Ça m'occupe au moins un peu l'esprit, comme un chiot à qui je viendrais de lancer sa balle pour qu'il me lâche cinq minutes. Je devrais tenir le coup, à moins qu'elle ne vienne se pencher sur moi avant d'enfiler sa petite lingerie.

Je sens le matelas s'affaisser près de moi, et une main se poser sur les miennes. Elle doit avoir fini, je vais enfin pouvoir...

" Pardonne-moi Hitomi mais je me dois de te dire que je suis dans le plus simple appareil de la nature... complètement nue... au-dessus de toi... "

Vu que mes mains sont placées de façon à couvrir mes sourcils, elle ne peut pas voir à quel point ma volonté souffre à ce moment. C'est elle qui triche, elle me pousse à la faute. Et franchement il en faudrait moins que ça. Cette fois ses lèvres se posent sur les miennes, et c'est un nouveau coup de canon à ma force d'esprit, qui prend déjà l'eau de partout. J'en suis réduite à laisser échapper un geignement en serrant les paupières aussi fort que je peux. Comme au moment où on va tirer sur la bande cire, sous les aisselles, là où ça fait bien mal.

" Je refuse que tu me vois nue si ce n'est pas toi qui m'as déshabillé alors patiente encore un peu... mon amour...
- Encore un peu... Mais c'est bien parce que c'est toi. "

Je ne pensais pas que ce serait aussi dur de garder les yeux fermés pour lui répondre. Avec une autre j'aurais eu moins de mal, comme quoi je n'ai pas à douter de ce que je ressens. S'il avait seulement été question de jouer avant de s'envoyer en l'air, ça n'aurait été qu'un défi. Même si ça peut aoir l'air d'un jeu c'est bien plus sérieux d'une certaine façon. Non, pas sérieux : important. J'aurai aussi bien pu rouler sur le ventre et m'enfoncer le visage dans le matelas mais ça aurait été trop facile. L'ironie de la situation va me rendre folle : je l'aime tellement que je me force à ne pas la regarder... Alors que je ne devrais pas être capable de la lâcher du regard !

" Si je te surprends à ouvrir un œil en ma direction alors que je suis pas prête eh bien... je t'attache à mon lit et je t'excite sans que tu ne puisses venir jouer avec moi ♥ "

La surprise manque de me faire rouvrir les yeux, mais j'arrive à me contenir.

" M'attacher au lit ? "

Mais c'est qu'elle s'est dévergondée, ma petite Aoki ! Quelque part ça me rassure. Je n'ai plus à craindre d'être trop délurée pour elle, même si les sentiments s'en sont mêlés. Et ça promet des heures vraiment torrides sur ce lit. Rien que d'y penser je sens monter la chaleur au creux de mes reins. Dans peu de temps ma culotte sera aussi transparente que la sienne, mais seulement parce qu'elle sera trempée. Je pense que je l'aurais enlevée bien avant ça. Ou mieux : qu'elle me l'aura enlevée. C'est tellement excitant que... que... Garde les yeux fermés, Hitomi ! Tu vas pas flancher si près du but ! Mais combien de millions d'années elle va encore me torturer comme ça ! D'autant que ça ne déplairait peut-être pas qu'elle m'attache ?

" Ouvre les yeux maintenant... "

Je reste immobile encore une seconde, le souffle coupé. Ça y est, enfin ! Et je réalise à quel point j'ai attendu cet instant. Aoki s'offre à moi, nue à mes yeux ou peu s'en faut. Des années que cette idées s'est plantée dans ma tête, et mon cœur. je l'ai parfois oubliée, j'ai tenté de l'arracher, mais comme une plante coriace elle a poussé à nouveau. Et aujourd'hui c'est réel, pour de bon.

Je retire mes mains de mon visage et les pose sur le matelas pour me redresser. Ensuite seulement j'ouvre les yeux et... Et elle est pas là. Pendant une fraction de seconde une horrible pensée me traverse l'esprit : et si j'avais halluciné du début à la fin ? Si tout avait réellement été trop beau pour être vrai ? Je me retourne soudain, paniquée, et me fige à demi allongée, dressée sur un bras tendu. Elle est là, couchée en travers du lit dans une pose de playmate. Et elle ne se surestime pas en se montrant ainsi.

Ses sous-vêtements ne son pas si transparents que je le croyais. En fait ils rendent flou ce qu'ils sont sensés cacher, et l'encadre de dentelles. Les lèvres entrouvertes je détaille son corps pendant une éternité. Je dévale ses formes jusqu'à la pointe de son pied, puis remonte pour suivre sa jambe repliée. Je descends le long de sa cuisse pour passer sur son intimité à peine dissimulée, puis longer son autre cuisses avant de revenir. Mes yeux tourbillonnent sur son ventre, autour de son nombril, avant de monter zig-zaguer sur sa poitrine généreuse. Vient ensuite sa gorge, puis son sourire barré par son index. Et enfin ses yeux par lesquels je me laisse emporter.

" Tu es... la plus belle. "

Est-ce que son uniforme cachait tout ça à l'époque ? Je n'en espérais pas tant, je ne l'imaginais même pas. Je la rejoins à quatre pattes pour poser une main sur son ventre et pencher mon visage vers le sien. Le contact de sa peau nue m'électrise. Alors voilà la sensation que mes fantasmes ont tenté de reproduire toutes ces années ? Ils étaient loin du compte. Mais elle n'était pas là, et elle ne me disait pas qu'elle m'aime. J'ai une folle envie de la caresser et de glisser mes doigts sous sa culotte. Pas encore. Ma main remonte écarter la sienne de ses lèvres pour laisser les miennes approcher. je lui donne un long et tendre baiser, vibrant de l'excitation que je retiens.

" Je t'aime, Aoki... Tu me rends folle... "

Je l'embrasse à nouveau avant de me redresser la fixant toujours d'un regard aussi intense que mon désir pour elle.

" Moi non plus, je ne veux pas que tu me voies nue si ce n'est pas toi qui me déshabille... Et je n'en peux plus d'attendre. "

Aoki Kou

Humain(e)

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 35 mardi 05 juin 2012, 23:16:43

Après avoir bien torturé psychologiquement Hitomi, Aoki avait décidé de la laisser vivre en la laissant regarder une fois fini. Le fait qu'elle ne tienne pas parole et lâche un œil pendant qu'elle se préparait aurait été amusant si elle l'aurait surprise. Qui sait, elle l'avait peut-être regardé deux secondes sans qu'elle ne la voit? Mais bon, la jeune femme jugeait qu'elle n'avait pas fauté et qu'elle avait bien su respecter parole. La pose sur le lit, sans se voir, elle se savait parfaite! Non pas qu'elle se croyait la plus belle sur Terre mais son amie n'allait pas être déçue du voyage, ça c'est sur! Une fois ses yeux posés sur Aoki et sa pose plus que provocante, elle se laissait dévorer du regard, ses yeux qui remontaient doucement depuis ses petits pieds, oui, Aoki aimait être ainsi désiré, d'autant plus quand c'est une très belle femme qui la regarde ainsi, une très belle femme qu'elle voulait et pas seulement pour une partie ou deux de jambes en l'air.

Non, la jeune manager reprenait peu à peu confiance dans ses sentiments et son cœur et Hitomi avait sur rallumer la flamme dans son petit cœur cassé par un homme qu'elle avait cru aimer. Aussi longtemps qu'elle le voulait, elle serait rester ainsi pour nourrir les fantasmes et les désirs de sa petite amie, de son amour mais elle s'approcha doucement d'elle et Aoki se voyait déjà dévorer de baisers et de sa langue, oh oui, tout un programme qui lui donnait une folle envie! Son petit compliment lui allait droit au cœur et pour seule réponse, elle n'avait eu qu'un peu de rouge sur ses joues en signe de reconnaissance. Le contacte de sa main  sur son ventre était presque aussi intime que les petits baisers partager jusqu'ici. Quoi que vu la situation et ce qui allait se passer, cette simple main sur son ventre était déjà bien intime. Sa main si douce, elle voulait la sentir, non, les sentir parcourant son corps, caressant chacune des parcelles de son corps. De son intimité à ses pieds en passant par sa nuque et ses bras, ses mains devront tôt ou tard la caresser entièrement.

Son doigt retiré de ses lèvres, elle occupe bien vite ses lèvres avec celles de sa petite amie, ses douces lèvres qui la rendait folle de passion! Là aussi, elle voudrait les sentir ailleurs que sur ses deux lèvres. Mais elle avait le temps pour ça. Gardant la pose, sa main qui était devant sa bouche caressait la joue d'Hitomi pour rejoindre doucement ses cheveux qu'elle caressait jusqu'à la fin de ce baiser merveilleux. Le premier baiser prit fin qu'elle prouvait de nouveau son amour et Aoki en fit de même pour ne pas garder tant de bonheur pour elle et elle seule.

« Je t'aime aussi Hitomi et je suis impatiente de commencer... »

Mais chaque chose en son temps, un nouveau baiser plus court mit fin à leur petit jeu et elle devait en plus d'abord la déshabiller! Eh bien, entièrement? Rapidement en plus, ça n'allait pas être du gâteau de faire vite! Debout, une main sur la hanche, l'autre soutenant son menton, elle posa son regard sur le corps d'Hitomi, se demandant au passage quel genre de sous-vêtement elle avait bien pouvoir trouver?

« Je vais tenter de pas te faire trop attendre alors... mais si je craque, ce n'est pas ma faute! Tu n'avais qu'à pas être si belle et attirante. »

D'un petit sourire, elle passa ses mains sous le pull pour le soulever en caressant bien ses hanches pour remonter sur ses côtes. Première étape, faite! Maintenant, la suite, la même chanson avec son maillot, elle fut quand même un peu plus lente et insistante sur le corps d'Hitomi pour lui retirer cette petite couche de tissu pour découvrir un joli soutien-gorge bleu ciel. Elle aurait pensé trouver du noir, du blanc voir du rose mais pas du bleu sur elle! Enfin, c'était charmant! Tombant doucement à genoux, elle retira son jean en retirant le bouton avant de baisser la fermeture... en embrassant son nombril, se retenant quand même de passer sa langue dessus! Elle faisait quelques efforts quand même! Baissant doucement le pantalon, elle baissait enfin son regard sur son entrejambe... Un shorty à dentelle assorti au soutien-gorge, c'était si mignon! Elle recula un peu en prenant place sur le lit, assise et observa Hitomi de haut en bas, prenant soudainement la moue.

« Tu m'as menti... c'est toi la plus belle, mon amour! »

Elle tendait ses deux bras vers elle, chacune des deux demoiselles avait assez patienté comme cela, il était temps de passer à la suite qu'elles attendaient toutes les deux! Un sourire si gai, si chaleureux, Aoki laissait tomber son dos en arrière en tendant ses bras vers cette rouquine si belle!

« Viens t'allonger sur moi! Je veux sentir ton corps contre le mien, je suis sûre qu'il est brulant! Et que ton petit cœur doit s'affoler... comme le mien ♥ »

Ses paupières un peu plus plissées, son sourire un peu plus coquin, tout comme sa voix laissaient bien faire paraître les deux côtés d'Aoki. Le belle et romantique jeune femme et la sublime charmeuse et coquine demoiselle.

« C'est à ton tour de venir me retirer tout ça ♥ à moins que tu ne veuille encore profiter du spectacle? Un petit show pour te faire bruler d'envie, hum? ♥ Je n'ai plus grand-chose à retirer mais... ça ne t'intéresse pas? »

D'un autre côté, elles avaient encore tout le temps devant elle, ce n'était que leur première fois à deux et aussi leur première nuit... faudrait-il que la nuit tombe d'ici quelques heures pour appeler cela ainsi.

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 36 mercredi 06 juin 2012, 19:04:25

Le lenteur avec la quelle elle me libère de mon haut est tout bonnement insoutenable. Pourtant je suis ses gestes au même rythme, levant les bras sans la toucher, la laissant me manipuler en m'effleurant à peine. L'air est électrique autour de nous. Elle m'attire physiquement, un sentiment mais aussi une sensation presque irrépressible. J'ai l'impression de devoir me pencher un peu en arrière pour ne pas laisser nos corps se coller comme des aimants. Des aimants, le mot est aussi parfait que l'image.

J'ai la gorge sèche en me retrouvant enfin si exposée à ses yeux, si découverte. Moi qui me trouve toujours belle, sans pour autant être arrogante, j'ai soudain peur de ne pas l'être assez. L'angoisse fait couler une goutte de sueur glacée dans mon dos. Et si elle trouvait sur mon corps quelque chose qui ne lui plairait pas ? Un quelconque défaut qui ébranlerait son désir ? Elle s'attaque à mon jeans et le baiser qu'elle dépose sur mon nombril me fait frémir. Le frisson fait taire mes doutes le temps de m'allonger sur le dos pour la laisser tirer mon pantalon et dévoiler mes jambes.

Je reste à allongée en attendant son verdict, et sa petite grimace donne un sursaut de panique à mon cœur battant.

" Tu m'as menti... "

Un dernier instant de doute, le plus profond et interminable.

" C'est toi la plus belle, mon amour! "

Et soudain je me sens libérée. Plus rien ne nous sépare, hormis nos sous-vêtements qui ne feront pas long feu le moment venu. je rougie tellement sous mes tâches de rousseurs que je n'ai même pas envie de le cacher. Je me redresse pour répondre à ses bras tendu, et son invitation. Je brûle pour elle, je ne fais plus que ça. Et elle n'a pas le temps de finir que je suis déjà sur elle, l'écrasant tendrement sous mon corps presque nu.

" Et que ton petit cœur doit s'affoler... comme le mien ♥
- Tu n'as pas idée, ma chérie. "

J'ai vraiment envie de la chérir, de plus en plus à chaque seconde, à mesure que l'ancienne Aoki cède sa place à la nouvelle. Ma petite Aoki ne cesse de grandir sous mes yeux, comme si les années passées loin de moi se déroulaient à nouveau. À chaque instant plus confiante, plus aventureuse, plus femme. Plus joueuse et tentatrice aussi. Lui enlever tout ça, abattre les dernières barrières, ou profiter encore de sa beauté et des derniers mystères à peine dissimulés. Cruel dilemme qu'elle ne manque pas de corser alors que je couvre son cou de tendres baisers.

Quitte à redresser la tête, je l'embrasse une fois de plus. Mes doigts agrippent le draps et serrent alors que je m'enivre de ses lèvres, de sa délicieuse bouche. Mon esprit submergé de désir peine à prendre une décision. Elle est déjà là, sous moi, prête et offerte autant que je le suis pour elle. Pourquoi prolonger encore la torture ? Pourquoi s'imposer encore plus de pression ? Mais simplement parce qu'aucune de nous n'a vraiment craqué, et que ce sera tellement meilleur.

Je m'allonge sur le flanc, à côté d'elle, et à contre-cœur. Ma main revient jouer sur son ventre, l'effleurer et le chatouiller, la faire frissonner. Mes caressent viennent flirter avec sa culotte et son soutien-gorge, sans se risquer plus loin. Mon autre bras replié pour maintenir ma tête assez haut pour voir son visage, je me mordille la lèvre. Je dois serrer de toutes ma volonté la bride de mes sentiment et, je n'ai pas peur de l'avouer, de mes appétits.

" Je brûle déjà, mon amour... Et même si un petit show très privé ne se refuse pas, j'ai une autre idée. "

Ma main quitte son ventre pour prendre appui sur le lit de l'autre côté de son corps. Je reviens au-dessus d'elle pour l'embrasser encore, passionnément, pour sentir à quel point elle aussi brûle de désir. Et je pense qu'elle non plus n'est pas loin d'exploser. j'ai de plus en plus de mal à me réprimer, mes pulsions sont de plus en plus pressantes, bestiales. D'ailleurs Aoki ne peut pas sentir que mes lèvres : mes dents aussi passent sur sa peau. Je ne la mord pas, ni ne presse assez pour lui faire mal ou laisser des marques. Je la laisse juste sentir ce que je viens feuler à son oreille.

" J'ai envie de te manger toute crue... Et toute nue. "

D'accord c'est complètement débile, mais c'est aussi ce qu'il y a de bien à être dans cet état, aussi amoureuse et excitée. Le ridicule ne tue, il ne blesse même plus. Mais je suis très sérieuse quand je lui fait ma contre-proposition.Sérieuse, et fiévreuse.

" Au lieu de danser toute seule, danse avec moi... Voyons combien de temps on tiendra avant qu'une de nous jette l'autre sur le lit. "

Je me redresse en la prenant par la main. Je ne sais pas de quoi j'ai le plus envie : qu'elle me suive, ou qu'elle refuse et me tire à nouveau contre elle.

Aoki Kou

Humain(e)

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 37 vendredi 15 juin 2012, 22:58:06

Il y a des moments que l'on n'oublie jamais, celui-ci restera à jamais coincer dans sa mémoire, chaque fois que le doux visage d'Hitomi fera face au sien, elle repensera à cette première fois qu'elles consommaient très doucement. Comme la dernière petite gâterie avant un long et douloureux régime. Un paquet de délicieux biscuit que l'on grignote au rythme d'une souris pour en savourer chaque miette. Avec une autre fille, Aoki serait déjà nu, sur le corps de la fille en question à lui faire l'amour sauvagement et là, elle se faisait désirer, rendant leurs feux intérieurs se faire  plus fort et plus ardent encore. La bouche de la rouquine sur son corps était un véritable délice, une véritable torture juste après ce petit baiser. Ses lèvres, ses douces lèvres qui voulaient tant la croquer, elle, le fruit interdit. Certains pourraient croire leur amitié brisée à tout jamais mais non, Aoki avait une certitude malgré ses angoisses, Hitomi Yamagachi, Aoki Kou, ce n'est pas le genre d'histoire d'adolescent qui va durée deux semaines!

« Oh oui, croque-moi! »

Ce n'est pas les fruits qui manquaient chez elle en plus! Ses deux beaux melons attendaient à être dévoré et pourquoi pas par elle? Toute nue, c'était même plus intéressant! Tout comme sa seconde idée de danser et de voir qui allait craquer en première? Lâchant un petit rire discret, la jeune femme se releva avec l'aide de sa belle en se dirigeant vers sa table de nuit. Un petit réveil CD qui ne lui sert que le matin d'habitude. Aoki sortit un CD d'ambiance où la pochette rose était déjà très évocatrice. Laissant le CD sur aléatoire, elle laissa une musique douce et sensuelle envahir la chambre pour mieux coller à l'ambiance de la pièce. D'un pas lent et gracieux, Aoki se rapprocha d'Hitomi, passant sa main sur sa hanche pour la faire glisser sur son dos. Son regard rivé sur ses yeux, Aoki avait de plus en plus envie d'elle mais l'idée de jeter un peu d'huile sur le feu déjà haut comme un bâtiment de dix étages était amusant.

« Une merveilleuse idée mon cœur, laissons nous bercer par le rythme et nos désirs. »

Obéissant à cette règle, Aoki avait l'avantage d'avoir assisté à de nombreux cours de danse de ses jeunes vedettes, voyant toutes genres de danses en tout genre. Se faufilant doucement derrière elle comme un serpent, elle laissait sa main caresser ce ventre si doux, bougeant son bassin contre les fesses de la belle professeur. Son menton effleurant son épaule, sa bouche faisant sentir son souffle chaud sur sa joue sans pour autant venir lui donner un baiser, non! Elle voulait la faire craquer... avant qu'elle ne craque! Après un petit moment à caresser ce ventre et à sentir ses fesses contre elle – une très délicate torture mentale! - Aoki retourna devant elle, pliant ses genoux en caressant son corps du bout des doigts. L'excellente étudiante de la fac avait eu le temps de bien réviser des nouvelles matières et ça allait être un beau cadeau pour sa belle rouquine. Dans sa descente comme sa remontée, son bassin se trémoussait comme un serpent voulant faire succomber la belle aux fruits interdits.

Elle passa ses bras autour de son cou, cherchant l'inspiration dans des vagues souvenirs d'une boîte de strip-tease où ses collègues avaient soi-disant trouvé une perle rare, Aoki descendait doucement le long de son corps, gardant ses mains derrière la nuque d'Hitomi, elle se redressa doucement, frottant bien sa poitrine sur la peau douce de sa petite amie avant de se pencher en arrière, laissant son poids entre les épaules de son amour. Reproduisant les mêmes gestes en étant cette fois-ci de dos, elle insistait avec ses fesses cette fois-ci! C'est dingue comme sentir le corps d'une autre se frotter au sien pouvait être si excitant! Durant ses danses, elle gardait toujours un œil sur les danses sensuelles de sa tendre. Restait à savoir qui allait craquer des deux?

[Désoler, je n'ai pas trouvé de musique pour illustrer ^^"]

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 38 dimanche 17 juin 2012, 17:07:26

Il faut vraiment que je sois maso pour m'infliger ça. Danser avec Aoki, me frotter à elle à la verticale alors qu'on est quasiment nues. On ne dansera pas des heures, ça c'est clair. Mais c'est tellement enivrant de faire monter encore la pression. Quand l'une de nous finira par craquer on va partir comme des fusées. Ou plutôt quand moi je vais craquer, parce que je sens que ça va être moi. J'en suis même convaincue quand Aoki se met à danser tout contre moi, caresser sensuellement mon corps avec tout le sien. Je ne sais pas qui est la chatte et qui est la souris. Elle me tourne autour, elle me nargue, elle me viens au plus près pour m'aguicher en sachant que je ne peux pas encore l'attraper. Ou peut-être qu'elle me traque, qu'elle me cerne pour m'épuiser et que je la laisse me dévorer ?

Je ne peux que suivre, assez maladroitement. J'ondule tout contre elle, mais je suis loin d'égaler sa grâce envoûtante. Sous mes mains son corps est aussi fuyant qu'un ruisseau. Elle s'échappe, elle s'écoule sur le rythme langoureux de la musique, elle m'enveloppe mais ne me laisse pas la retenir. Mes lèvres refusent de se fermer, elles ont trop soif d'elle. Mes yeux sont hypnotisés par ses ondulation harmonieuses, sur lesquelles miroitent ses grands yeux bleus et son sourire toujours plus mutin. Je voudrais craquer, je n'attends que ça. Mais je n'y arrive pas, je suis sa chose, impuissante, à peine capable de bouger en espérant trouver grâce à ses yeux... Ou peut-être que c'est moi qui lui tend un piège, qui la laisse se fatiguer pour fondre sur elle ?

Elle revient face à moi, les mains posées sur mes hanches, Et ces sur ses mains que le piège se referme. Je la saisit et lui fait faire un demi-tour, la piégeant entre ses propres bras croisés. J'ondule toujours dans son dos, l'empêchant par ma prise de faire de même. J'approche mes lèvres souriantes pour murmurer à son oreille.

" Je t'ai attrapée, petite souris. "

Je n'ai jamais voulu la faire céder, pas une seule seconde. Elle devait bien le savoir : je lui ai dit que je voulais la manger toute cru. je la retourne à nouveau face à moi et la tire en me laissant tomber en arrière sur le lit. Elle me tombe à peine dessus que je l'embrasse et je l'enlace pour rouler sur le côté. Je me régale déjà de ses lèvres et de sa langue, l'écrasant sous le poids de mon corps affamé et de mon désir prédateur. Mes griffes plongent tendrement dans sa culotte pour atteindre sa chair sans défense.

La petite souris n'a l'air que trop contente de se faire croquer. Et je fais un festin de chaque parcelle de peau en sueur qui passe sous mes lèvres. Le désir qui me tient est tel qu'il cherche son plaisir et non le mien, mais il est égoïste. Je la veux toute entière, à moi et rien qu'à moi. Je la veux comblée de moi et aussi comblée d'être privée de tout ce qui n'est pas moi. Je veux être son tout, suffisante pour qu'elle ne pense à rien d'autre, excessive au point de l'écraser, son seul refuge et sa seule prison. Mon propre désir me ferait peur si elle n'était pas déjà tout ça pour moi. Je souffre de chaque jour gâché loin d'elle comme d'autant de plaies ouvertes, que son corps chauffé au rouge cautérise douloureusement.

Je suis en manque d'elle, affamée de son corps, assoiffée de son amour, asphyxiée par la seule idée de son absence. Alors je respire sa présence à m'en brûler les poumons. Je bois ses mots tendres et les laisse m'enivrer. L'un de mes doigts s'est déjà glissé en elle, entre ses lèvres muettes et pourtant criante de désir. Je ne suis plus qu'un animal, le tissu n'est plus pour moi qu'une peau mensongère et inutile, un obstacle que je ne comprends plus et que je déteste. Et c'est avec les dents que je tire son soutien-gorge plus haut sur sa poitrine, pour pouvoir enfin m'en repaître. Je lèche sa peau enfin nue, je mordille ses petits boutons de chair dressés à ma merci. Si j'avais une deuxième bouche... Mais je dois abandonner l'un pour rejoindre l'autre, explorant du bout de la langue la vallée qui sépare ses deux magnifiques seins.

Je veux plus encore que tout ça, mais je suis bien incapable de le dire ou de le penser. Je veux qu'elle se défende, qu'elle dompte l'animal qu'elle a réveillé en moi. Je veux qu'Aoki mate la bête qui ne ressent pour elle qu'un appétit de sexe sauvage et instinctif. Parce qu'au fond de moi je suis triste de m'être laissée devenir cette créature incapable de lui dire que je l'aime.

Aoki Kou

Humain(e)

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 39 mercredi 27 juin 2012, 23:35:30

La soirée ne faisait que commencer et Aoki attaquait fort sous les propositions impossibles à refuser de la part de la rouquine. Se mettre à demi nue, ne garder que la lingerie, danser pour se jeter soi-même de l'huile sur le désir enflammé qu'elles avaient l'une pour l'autre. Mais dans sa nature, la jeune femme aimait être gagnante, être la première comme elle l'avait si souvent été et bien qu'Hitomi soit plus que désirante que jamais, que son amante veuille aussi se jeter corps – nue – et âme sur elle, elle voulait souffrir un peu et se tendre elle-même une limite pour accueillir son amour entre ses bras et la consoler en lui laissant jouer avec son corps, de la façon qu'elle le voulait. Finalement, ça avait marché mais pas de la même façon auquel elle avait pensé! Ha, les caprices de l'amour! Elle qui pensait voir son amie jouer de son corps, elle fut finalement une petite souris prise au piège, Hitomi faisait ce qu'elle voulait d'elle en lui murmurant des petites choses qui la faisaient sourire et ce fut sur le lit que tout cela allait se régler.

Prise par la jolie rousse, Aoki se laissait embrasser car elle en avait terriblement envie! Ses lèvres si délicieuses, comment lui dire non? Roulant dans le lit comme des petites sauvages qui s'aiment, son amie prenait de plus en plus de terrain sur elle. Elle ne disait rien pour le baiser car elle aimait ça et elles le faisaient ensemble, leurs langues se frottant l'une contre l'autre, telle une danse endiablée alors qu'une nouvelle chose arrivait à la manager. Une intrusion aussi douce qu'excitante se glissa dans sa culotte, se cambrant doucement en arrière en sentant son doigt venir se caresser contre ses lèvres inférieures. Oui, Hitomi était devenu plus sauvage depuis leur rencontre, à moins que ce ne soit sa manière de faire lorsqu'elle fait l'amour? Après tout, Aoki ne l'avait jamais vu à l'action et chaque fois que des gens au bahut commençaient à en parler, elle les remettaient à leur place ou préférait quitter les lieux plutôt qu'entendre ce genre de chose qu'elle jugeait impossible à l'époque, pas avec la Yama-chan qu'elle connaissait. La voir lui relever son soutien-gorge pour faire sentir sa bouche et sa délicieuse langue sur sa peau, Dieu que c'était bon! Avait-elle déjà eu autant de plaisir avec une femme? Alors que ce n'était que le début de leur aventure? Surement pas! Hitomi était une personne spéciale pour elle, elle devra la garder le plus longtemps possible contre elle.

« Hum~ ma belle... tu me mets dans un de ses états... avec si peu de chose! »

Ses mains caressaient sa crinière de feu, ébouriffant quelque peu la jeune femme, voulant sentir se contacte le plus longtemps possible contre sa belle poitrine en manque d'Hitomi comme Aoki. Oui, à l'époque elle était bien chaste, avec le temps, combien de rêve érotique avait-elle fait en se voyant dans ce genre de situation avec la même personne? Ou simplement lors de réunions bien trop longues? Elle n'avait pas le temps de compter le nombre de fois mais ça faisait vraiment beaucoup! Ses jambes écarté, elle remuait doucement son corps sous les tortures délicieuses de sa rouquine. Caressant sa jambe avec la sienne, elle trouvait ce moment magique... mais même avec elle, même par une si belle journée, elle voulait rester elle-même, savourer un petit plaisir qu'elle avait si longtemps enfoui en pensant à son amie! De nouveau, elle attrapait doucement son amour, la tournant sur le lit, elles avaient échangé les rôles, son visage au-dessus du sien et de crinière de feu étaler sur le lit. Ses seins qui n'était plus cachés par ce soutien-gorge, élément déclencheur du résultat actuel. Lui, il allait avoir une grande valeur sentimentale!

« Mon amour, tu auras surement tout le temps de me dompter tôt ou tard mais pour le moment... je te veux au point de prendre le dessus, de te montrer que derrière celle que tu avais connu à l'école, l'adulte que je suis aujourd'hui à bien changer... mais en mieux évidemment! »

Retrouvant ses lèvres si chaude et humide, Aoki se jette dessus, l'embrassant avec toute la fougue et l'envie qu'elle avait eue pour elle depuis ses retrouvailles, depuis ce baiser dans la boutique. À la fois sauvage et doux, brulant et délicat, il était impossible de penser que ses deux-là ne s'aimaient pas! Elle ignorait si elle écoutait simplement son cœur ou si le manque d'avoir un vrai amour à cajoler la rendait ainsi mais elle se sentait si bien pour si peu! Chevauchée sur le corps bouillant de sa tendre, elle retira le soutien-gorge pour laisser sa poitrine respirer et mieux compresser celle de sa chérie. Avec un sourire bien large et mystérieux, elle l'observa dans les yeux, son index posé sur ses lèvres alors qu'elle tendait l'oreille.

« On avait raison... je sens ton petit cœur battre si fort pour moi... »

Aoki récompensa la belle rouquine en déposant un baiser entre ses seins, un peu plus à gauche, là où se trouvait normalement le cœur de la belle.

« Mais il n'y a pas que ton cœur que je veux sentir... »

Retournant plus en bas, longeant son corps en le couvrant de baiser, sa poitrine, son ventre, son nombril, elle arriva devant son shorty qu'elle embrassa devant cette petite antre bien humide. Elle le fit plusieurs fois avant de l'aguicher un peu plus avec sa main caressant cette zone qui allait bientôt être inondé. Avec ses doigts fins, elle attrapait doucement les deux extrémités de cette barrière de tissu bleu ciel qu'elle tirait doucement vers le bas jusqu'à la faire descendre à ses chevilles. Aoki avait retiré le haut, elle le bas! Les lèvres déjà humides, Aoki en était déjà folle de joie!

« Ça me fait bizarre de te dire ça maintenant mais... plus d'une fois, après notre séparation, j'ai voulu faire ça... »

Avec un sourire rassurant, elle rapprochait ses lèvres de sa zone intime, léchant timidement la fente humide comme une glace d'un nouveau parfum? Après quelques secondes passées sa langue sur son palais, elle recommença l'opération avec un peu plus de joie, d'envie et de désir... Et dire que c'était le début d'une grande soirée entre elles!

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 40 jeudi 28 juin 2012, 23:52:34

Si peu de chose... Avec elle il ne peut pas y avoir "peu de choses". Elle me rend folle, toutes les barrières tombent devant elle. Et je me rend compte que je n'avais pas à m'en faire. Elle me pousse tendrement pour m'allonger sur le dos. Tout en douceur, elle calme la bête que je croyais furieuse et indomptable. Elle me met à sa merci sans avoir à lutter et je m'offre à elle, tout simplement. Je la laisse être qui elle est, ou qui elle veut être, avec moi. Je la dévore encore des yeux, à n'en plus finir, me mordillant la lèvre en buvant ses paroles. Ma main a quitté sa culotte pour que je puisse pleinement caresser ses cuisses posées autour de mes hanches.

" Mon amour, tu auras surement tout le temps de me dompter tôt ou tard mais pour le moment... je te veux au point de prendre le dessus, de te montrer que derrière celle que tu avais connu à l'école, l'adulte que je suis aujourd'hui à bien changer... mais en mieux évidemment! "

Je n'ai pas le temps de répondre, ou plutôt je n'ai pas assez de souffle en la voyant se pencher sur moi. Ma main droite remonte jusque derrière sa nuque pour accompagner le baiser qu'elle me donne, et je ferme les yeux. Nos lèvres s'étreignent pour encadrer la danse de nos langues, farouche et langoureuse, vive mais pourtant douce, aussi torride qu'amoureuse. Ce baiser est un accord parfait, une symphonie improvisé, naturelle, sans fausse note. Un diamant brut et délicieux. Si peu et tellement à fois. Quand nos lèvres finissent par se quitter, je garde les yeux fermés pour soupirer ma réponse, ou plutôt ma supplique.

" Montre-moi. "

Je les rouvre à temps pour la voir se débarrasser de son soutien-gorge, la moitié de l'excuse qu'elle m'a donnée pour enfin franchir le pas. Dans le fond c'est moi ai fait tout le boulot, je devrais la retourner à nouveau pour réclamer ma récompense. D'un autre côté j'ai bien assez pris les choses en main pour l'instant, à elle de me récompenser. Et si je me sens toute chose, c'est justement pour être la sienne, de chose. Quand elle pose son doigt sur mes lèvres je les entrouvre à peine, me retenant de laisser glisser ma langue pour goûter de tout petit morceau d'Aoki si tentant. Mon regard est captivé par le sien.

" On avait raison... je sens ton petit cœur battre si fort pour moi... "

Il n'y a qu'à voir à quel point ma poitrine se soulève, et c'est bien pour elle. Son visage descend, ma main ne quitte pas ses cheveux, et ses lèvres viennent déposer un petit baiser sur mon cœur. Elle ne veut pas que lui, et je ne veux surtout pas la priver du reste. Ma main l'accompagne alors qu'elle dévale lentement mon corps. Chaque pas de ses lèvres sur ma peau nue me fait frissonner, m'électrise des orteils aux cheveux. Je l'aime et je la désire, les deux à la fois, plus intensément à chaque seconde. Aoki. Pas celle avec qui je n'ai pas osé m'avancer, une nouvelle Aoki, qui a grandi rien que pour moi.

Après ces petites vaguelettes c'est au tour de la foudre de s'abattre sur moi, au creux de mes cuisses. Le tonnerre fait frémir mes lèvres intimes, gonflées par le désir, à chaque tendre baiser qu'elle dépose sur le tissu humide. Puis après le doux assaut de sa main, l'ultime rempart tombe à son tour, enfin ! Et laisse ma petite fente découverte, offerte au tendre courroux de mon amour si longtemps refusé. Et soudain une petite pensée rigolote me vient en tête. Nous sommes toutes les deux à moitié nu, mais pas la même moité. Un soutien-gorge en haut, tout en haut, et une culotte en bas, tout en bas. je ne vois pas le problème, d'ailleurs il n'y en a pas. Ça teinte juste d'une pointe d'amusement mon sourire aussi amoureux qu'enfiévré.

" Ça me fait bizarre de te dire ça maintenant mais... plus d'une fois, après notre séparation, j'ai voulu faire ça... "

Je me mordille la lèvre, la tête relevée pour voir la sienne descendre comme le soleil couchant entre mes cuisses. Un magnifique soleil blond, chaud et doux, qui vient enfin apaiser le froid de sa propre absence. Je sens une petit boule dans mon ventre, qui palpite et qui grossit doucement. Elle n'a rien à voir avec les passages délicieux de la langue d'Aoki. D'ailleurs je recommence à rire, doucement, en caressant ses cheveux.

" Hin !... Hin-hin.. ! Hmmmmm... ! Dire que moi... Je voulais te le faire... Bien avant qu'on se quitte... Haaa... "

Bien avant toutes ces années, toutes ces blessures que j'ai endurée et dont elle ne sait rien. Tout ce temps que j'ai passé à porter à bout de bras un cœur trop gros pour moi, qui tombait en morceaux. Mon cœur. je laisse ma tête retomber sur le lit, et ma main libre vient caresser mon ventre, à l'endroit où la petite boule chaude a déjà grandit. Le bonheur, au milieu de tout le plaisir qui fourmille dans mon corps. Entre deux soupires d'extase, qui se font peu à peu gémissement, ma gorge se serre. Je pleure, de joie. Je n'en ai pas honte, je n'ai même pas peur de gâcher ce moment, parce qu'il parfait jusque dans mes larmes.

" Je t'aime, Aoki-chan... Haaan...! Je t'aime tellement !... "

Enfin un souvenir qui ne sera pas un regret, un rêve qui se sera réalisé pour de bon. Au moins un morceau déchiré de mon cœur retrouve une vraie place dans l'ensemble, et s'y fond, le fait battre plus fort. Une douleur s'envole et fait taire toutes les autres, je suis heureuse, seulement heureuse. Mon corps frissonnant remue doucement pour répondre aux attentions de plus en plus enthousiastes de belle, ma magnifique, mon inestimable Aoki. Personne n'a su me mettre dans cette état, personne avant elle et peut-être plus personne après. Il a fallu que je la perde sans l'avoir vraiment eu, que j'en oublie les rêves plus que les souvenirs, qu'elle me manque à ce point avant de me retrouver. Et qu'enfin j'arrive la prendre à bras le corps au risque de la perdre pour de bon.

Elle est mon tout. Suffisante pour que je ne pense à rien d'autre, excessive au point de m'écraser. Mon seul refuge, ma seule prison. Elle me comble toute entière, me réunie, me rassemble autour d'elle. Elle soigne mon cœur, apaise mon âme, et fera bientôt jouir mon corps à n'en plus finir. Elle me fait pleurer de joie et gémir de plaisir, elle m'assomme d'une chaleur brûlante et me donne la chair de poule. Elle me fait oublier tout ce que je suis en m'offrant ce répit absolu dans une vie avec laquelle je fais parce que je n'ai pas le choix. Mes doigts massent ses cheveux sans les tirer.

Même transi de plaisir, cambré et tendu comme un arc bandé, mon corps sait à quel point elle est précieuse. Il l'abreuve à flots de tout le nectar qu'il peut lui offrir. Il trésaille et ondule, danse langoureusement pour celle qui le charme. Les lèvres intimes se contractes autour de cette langue qui me chavire. Je sens que je vais jouir, ou que je suis déjà en train de le faire. Je ne sais pas, je me sens tellement bien. La seule présence d'Aoki est un plaisir, chaque contact de son corps est aussi intense qu'un orgasme. Alors je ne sais pas... mais j'aime.

Aoki Kou

Humain(e)

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 41 samedi 07 juillet 2012, 22:30:24

Un simple rêve érotique enfoui depuis quelques années déjà, le même, à quelques détails près se déroulait sous ses yeux, comment être plus heureuse? Elle avait tant rêvé de revoir la belle rouquine et au moins partagé un tel moment d'intimité. Aoki n'en demandait pas tant, elle pensait déjà Hitomi en couple, quelque part à continuer sa route mais elle voulait au moins vivre une aventure sexuelle avec elle et ce rêve prendrait bientôt fin mais ce n'était pas pour tout de suite. Oui, ce rêve finira pour laisser un autre s'entamer, celui où se voyait vivre avec sa petite senpaï de la fac. Cette même personne l'avait tant désiré à l'époque ou le sexe n'était qu'un mot de plus dans le dictionnaire et une source de plus pour ne pas réussir ses examens. Maintenant, ce mot valait beaucoup plus que ça et le mêlée à Hitomi était surement une excellente chose!

Aoki devenait de plus en plus libre pour elle, de plus en plus heureuse de l'avoir rencontré de nouveau et personne ne lui retira ce moment de pur bonheur! Finissant par rejoindre son entrejambe pour enfin gouter au fruit défendu, la jeune femme avait des étoiles dans les yeux et sur la langue. Ce goût, ce n'était qu'une sécrétion produite par le corps quand il était excité mais c'était si délicieux! Rajouter en plus la sauce de l'amour et cette simple cyprine devenait la pire des drogues pour une personne normale! Ce n'était pas elle qui aurait honte de se balader dans la rue, main dans la main avec elle ou même s'embrasser en public, oh non, elle voulait tant vivre de chose à ses côtés! Mais restons en au présent, rien n'était encore écrit sur les pages du livre de l'avenir, toutes les pages étaient encore vierges pour la suite. Léchant celle belle petite bouche entre ses jambes, elle ne pouvait pas résister longtemps à l'envie d'explorer cette entrée plus loin avec sa langue, de connaître Hitomi encore mieux, savoir quel genre de femme elle était à l'intérieure, savoir son goût surtout.

L'entendre dire qu'elle voulait que ça arrive déjà lorsqu'elles s'entraidaient la rendait encore plus folle de joie et folle amoureuse, se mettant à gémir de plaisir pour lui signaler qu'elle était heureuse. Enfonçant sa langue plus loin encore, jusqu'à ses propres limites pour la remercier de sa franchise et de ce message si charmant et délicat. Oui, elle l'aimait et sentir sa main dans ses cheveux ne faisait que faire grimper son envie de passer sa vie à ses côtés, dans les bons comme les mauvais moments. Aoki aimait Hitomi, peut-être qu'elle aussi c'était depuis l'époque de leur jeunesse? Ce sentiment était peut-être bien caché mais il avait refait surface. C'est sur qu'elle était sa meilleure amie à l'époque et quelle fille n'a jamais pensé au moins une fois avoir ce genre d'aventure même pour essayer? Alors quand sa déclaration avait atteint ses oreilles, bien que cela soit très bon, elle devait aussi être franche et lui prouver son amour.

« Mhh... moi aussi je t'aime Hitomi-chan! Je t'aime... je t'aime... je veux ne plus te quitter! »

C'était dit mais c'était franc! C'était rapide pour des retrouvailles mais avec des sentiments des deux côtés, trop longtemps laissé au placard, ça devenait déjà moins rapide. Retournant à ses petites lèvres, Aoki léchait la belle rouquine en laissant ses propres doigts passer sur sa culotte, caresser cette fente aussi humide et trempée que celle de sa chérie. Depuis le temps qu'elle n'avait pas eu de petit copain ou copine, se dire qu'elle l'était, ça la rendait toute chose! Continuant son petit plaisir, elle n'avait pas eu le temps de lire dans ses gémissements l'extase qui arrivait et reçut donc sa mouille sur le visage, bien vite bouché avec sa bouche qui s'amusait à lécher plus qu'il ne faut cette petite chaudière d'amour! Léchant une dernière fois ses babines, elle se redressait pour mieux se pencher vers Hitomi, écrasant la belle avec son corps.

« Excuse-moi chérie, prise dans mon élan... » elle l'embrassa rapidement avant de reperdre « … je ne t'ai fait jouir alors que je voulais qu'on le fasse ensemble. Viens donc me faire jouir à ton tour, ensuite, nous le ferons ensemble... comme un vrai couple... »

Elle avait un peu hésité à le dire mais c'était bien la vérité finalement, elles étaient faites pour rester l'une avec l'autre. Se retirant de ce corps pourtant agréablement chaud, Aoki se plaçait à sa place sur son lit, posant sa tête sur l'oreiller en écartant les jambes, genoux repliés, elle n'avait aucune honte à prendre une telle pose pour la belle rouquine qui était la femme qui habitait son cœur depuis si longtemps.

« Regarde dans quel état tu me mets? Retire ton soutien-gorge et... je te laisserais retirer ma culotte. Mais fait vite mon amour... chaque seconde loin de ton corps si précieux me rend de plus en plus folle! »

Aoki ne lésinait pas et se caressait doucement, une main sur sa zone secrète mais si visible – on comprenait mieux pourquoi la transparence du tissu était là! Et l'autre main qui caressait l'un de ses seins qui redemandaient à avoir la langue d'Hitomi. Le tout, avec un petit sourire où se mélangeait son amour, son impatience et son érotisme! Avec son petit regard de biche, Aoki n'avait pas eu de véritable petit ami depuis le premier – pour ne pas dire aucun – mais elle savait pourtant bien y faire! Qu'importe la façon, elle voulait partager des choses avec elle, avoir l'air d'un véritable couple!

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 42 mardi 10 juillet 2012, 19:32:31

J'ai un peu, un tout petit peu honte, anecdotiquement, infimement. Et le mot infimement n'existe pas, c'est si c'est microscopique. Mais au milieu de toutes les émotions et sensations qu'Aoki me procure, je me suis dit qu'avec tout ce que je mouille son matelas doit déjà être foutu. Je n'en fait pas un drame, loin de là. Pas en sentant avec quelle voracité sa langue passe au creux de mes cuisses. Pas en entendant qu'elle m'aime et qu'elle ne veut plus me quitter. C'est presque trop d'amour et de plaisir qui se mêlent. Le bonheur que je ressens est écrasant, insupportable, il devient sourd comme si je m'étais effondrée sur moi-même. Chaque frisson qui parcoure mon corps est un orgasme de plus, un tremblement de terre qui tasse un peu plus les gravats de ma volonté. Aoki n'est pas une montagne qui a résisté au séisme. Elle est le ciel et le soleil au-dessus, la terre qui porte tout.

Elle me fait pleureur, sourire et gémir. Je ne sais plus comment ni pourquoi ou depuis quand. Je ne sais plus je jouis ou si je souffre. Je sais que c'est Aoki, que c'est plus intense que tout ce que j'ai connu. Les étreintes les plus douces et le sexe le plus débridé ne sont que de vagues et fades souvenirs. Ils n'ont pas résisté à l'impact de son être contre le mien. C'est peut-être moi qui suis trop sensible ? J'ai trop l'habitude de laisser mon corps et mon cœur s'emballer. Jamais ils ne sont allés aussi loin et aussi vite, c'est vertigineux. Je voudrais lutter que je ne pourrais plus. De toutes façons je suis comme ça, je suis entière. Je suis à elle toute entière. Un corps et un cœur vierges, dont j'ai tout effacé n'être que ce qu'elle fait de moi. Amour, plaisir, joie : il n'y a de place que pour ce qu'elle me donne, et malgré tout mon être entier déborde. Je ne sais plus qui je suis, je laisse me définir... En attendant de reprendre mes esprits.

même alors qu'elle s'arrête la chaleur et le bonheur restent intacts. Ils ne se taisent pour la laisser parler, allongée sur mon corps presque douloureux d'avoir tant joui. Je suis assommée, enivrée, pourtant l'image et la voix d'Aoki sont d'une clarté parfaite. Tout comme la sensation de sa peau sur la mienne, ou de ses lèvres.

Ensemble, comme un vrai couple. Je regrette.

" Non... "

Moins qu'un murmure, encore moins qu'un souffle, peut-être même pas un son. C'est terrible, c'est catastrophique, et irréparable. J'ai gâché notre première fois. Après toutes ces années je n'ai pas su prendre soin d'elle, être attentive à ses sentiments et ses désirs. Elle s'allonge à côté de moi, ou plutôt elle s'installe comme sur un autel, pour sacrifier la première fois de ses rêve et nous mettre à égalité.

" Regarde dans quel état tu me mets? Retire ton soutien-gorge et... je te laisserais retirer ma culotte. Mais fait vite mon amour... chaque seconde loin de ton corps si précieux me rend de plus en plus folle! "

Jamais dans ma vie je ne me suis débarrassée d'un soutif aussi vite. Je me suis plantée. J'ai trébuché et elle s'arrête pour me relever. Alors je vais la porter. Je la rejoins à genoux et je me penche pour l'embrasser, longuement, passionnément. Je fais jouer ma langue contre la sienne avec la douceur la plus enivrante, et courir mes mains sur son corps offert pour l'étourdir. Mes lèvres ne quittent les siennes que lorsque je suis moi-même à bout de souffle. Et mes yeux plongent dans les siens.

" Pardonne-moi, mon cœur... Je n'ai pas su me retenir... Mais si tu le veux encore... fait-moi jouir aussi... Ta première fois, avec moi... et notre première fois ensemble... Comme un couple... Toutes les deux, ensemble... "

Je l'embrasse à nouveau, moins longtemps, plus doucement. Une façon de revenir à la ligne après ma tirade romantique, avant de descendre perdre mon nez dans ses doux cheveux qui sentent si bon, glisser mon souffle et mon sourire au creux de son oreille.

" Et que tu le veuilles ou non... je te montrerais de quoi est capable une prof de langue. "

Petite parenthèse, toute professorale, pour rappeler qu'une première fois est importante, mais n'ai jamais qu'une première fois. Il y en aura plein d'autre, dès aujourd'hui. Je l'embrasse au creux du cou, et laisse ma langue traîner sur sa peau alors que mes lèvres bondissent en direction de son épaule. Puis je remonte sur sa poitrine, ne manquant pas de palper tendrement son sein et de pincer tendrement son téton, celui que je ne mordille pas au passage. En arrivant sur son ventre je lance déjà mes mains vers sa culotte, je n'y risque pas plus que le bout de mes doigts. Je décolle seulement le tissu humide, et ne commence vraiment à le tirer le long de ses cuisse que quand ma langue passe sur son nombril.

Tout au long de ma descente je ne cache pas le plaisir que j'ai à toucher et goûter sa peau. Je dois malheureusement me redresser pour lui ôter sa culotte toute mouillée. Mais je ne baisse vers Aoki que mes yeux quand je plaque sous mon nez le sous-vêtement, qui me rappelle la honte et le doute dans lesquels ont germé nos sentiments. Je ferme les yeux, tout sourire, pour inspirer profondément. Je m'emplis, je m'enivrer de l'air auquel ce filtre donne l'arôme du désir que ma blondinette a pour moi. Puis je rouvre les yeux pour dévorer son corps enfin nu, complètement nu devant moi.

Inutile mais toujours précieuse relique d'un début pas si lointain, je décide de bien traiter la culotte en la posant sur le ventre d'Aoki. Puis je m'allonge tout contre elle, La tête de l'une face au bassin de l'autre. Puis je m'empare de son corps sans plus tarder. Je passe les mains autour de ses cuisses pour les écarter, et laisser la place à mon visage de se glisser entre elles. Enfin je la goûte. Son nectar, sa chair sensible et brûlante. Ma délicieuse Aoki mouille pour moi, et je lui en réclame d'autant plus. J'embrasse et je lèche, j'explore aussi loin que ma langue peut aller. Je suçote ses lèvres intimes pour essuyer en vain son nectar qui n'en finit pas de ruisseler. Bien sûr je n'abandonne jamais longtemps le petit bouton qui la frémir, et avec lequel ma langue ne se lasse pas de jouer.

Je laisse libre cours à ma faim et ma gourmandise. Ma main caresse et masse la cuisse que j'ai relevé, parfois pour aller se perdre sur tendre et magnifique fesse. Je voudrais avoir une deuxième bouche au creux de ma paume, pour embrasser encore plus de ce corps si excitant et combler le cœur d'Aoki d'encore plus d'attention. Prisonnière de ses cuisses, ma tête est au paradis. Mon corps me semble lourd, il ne veut plus bouger. Comme quand je me mets la tête sous l'oreiller pour repousser un peu plus l'heure de me lever. Si j'avais cédé à l'époque et si ça avait marché, nous ne nous serions jamais levées pour les cours ou les exams. Et si elle avait voulu, j'aurais su la convaincre de rester au lit avec moi.

Mais au présent : je la savoure de tous mes sens. Je rend à son corps le plaisir qu'elle a donné au mien, en espérant toucher son cœur aussi. Et je la laissé décider quoi faire de moi. Me déguster encore, me toucher, ou simplement profiter aussi égoïstement que moi. Et quoi qu'elle fasse, j'en serais combler pourvu que ça lui plaise.

Aoki Kou

Humain(e)

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 43 samedi 21 juillet 2012, 23:21:32

Aoki donnerait cher pour que les secondes soient des heures. La rouquine qui l'avait tant fait fantasmer ces dernières années, cette même rouquine qui, avec sa crinière de feu avait allumé la flamme du désir charnelle en elle. À force d'entendre bon nombre de rumeur sur elle, à être si proche avec elle sans jamais mettre un pied sur la ligne qui séparait une bonne amie d'un bon coup. L'étudiante qu'elle était à toujours respecter son amie, la jeune femme qu'elle ait à toujours aimer sa partenaire. Sa beauté avait déjà embrasé son petit cœur qui ne voulait plus croire au mot amour, elle seule avait pu réussir à faire ça et autant dire que depuis leur dernière séparation, bon nombre de personne avait pu voir ce qu'était une femme, une vraie! Que ce soit la femme fatale, la soumise ou la dominante, Aoki en avait fait voir de toutes les couleurs et à bien des personnes. Mais Hitomi était si spécial pour elle, elle l'ignorait encore mais un claquement de doigt et elle porte le masque qu'elle voudrait avoir. Qu'importe sa demande, la jeune femme aimait la rouquine et aucune de ses demandes ne serait de trop.

Installer pour s'offrir à Hitomi, elle voulait jouir à cause d'elle, pas en pensant à elle mais bien en la sentant. Elle était libre de ne faire sentir que ses doigts, de faire sentir sa langue ou même ses doigts de pieds, elle voulait jouir pour elle. Son visage trempé par sa mouille, elle aussi voulait expulser ce trop plein de mouille qui ne cessera de se renouveler en la présence de cette femme. Mais si elle avait déjà pu jouir, il fallait être sur un pied d'égalité. Avec une pointe d'autorité, elle voulait la voir sans soutien-gorge et elle respecta cette décision en quatrième vitesse mais dans sa hâte, elle avait trébuché et c'était naturel pour Aoki d'aider celle qui faisait battre son cœur même si elle fut, pendant l'ombre de quelques secondes, l'équivalent d'une princesse entre les bras d'Hitomi. Par chance, elle n'en avait pas la même carrure ou le même visage mais même les lesbiennes avaient le droit à leur histoire de belle princesse heureuse en compagnie de sa belle guerrière. Le nouveau baiser échangé fut toujours si bon et intense et le regard de la belle ne rendait pas les choses plus simples... jusqu'où Hitomi et Aoki s'aimaient? Elle-même ne saurait le dire?

Devant sa demande, elle semblait vouloir détourner les rôles et pourtant, il y avait bien une femme dans cette chambre qui n'avait pas joui? Pour quelle raison devait-elle se retenir et faire jouir une nouvelle fois l'autre? Bien que son exemple semblât amusant, la manager ne se laissait pas marcher sur les pieds ni se faire avoir avec un mauvais contrat. Sa main passait dans ses cheveux orange, lâchant un soupir de plaisir sous les assauts de sa bouche sur son cou.

« Oh mon amour... ne pense pas m'avoir avec tes petites lèvres et tes jolies paroles... Je veux que tu t'occupes de moi, ça fait bieeeen trop longtemps que j'attends ça... alors... rends-moi... heureuse! »

Elle n'avait rien contre le fait de la mettre une fois de plus sur la scène du plaisir mais elle ne voulait pas non plus offrir trop de bonheurs à sa Yama-chan d'un coup. Doucement, à un rythme presque sadique, elle faisait languir et rendant l'instant présent meilleur encore. Ses lèvres sur son épaule, sa main sur sa poitrine, oh oui, elle était entièrement à elle. Qu'elle caresse sa poitrine, qu'elle la maltraite avec ses doigts, qu'elle la lèche sur chaque parcelle de sa peau moelleuse ici, Aoki voulait tout essayer avec elle. Son sourire le disait si bien, que ce soit à peine pour palper sa poitrine, pour pincer ce petit bout de chair si souvent mit entre de bonnes mains, elle était heureuse de se dire que c'était cette même femme qu'elle avait connue des années plus tôt. Longeant sa poitrine pour descendre plus bas, son ventre pouvait sentir son souffle chaud qui la rendait de plus en plus folle, sa langue. Sa délicieuse langue qui la torturait en tournant autour de son nombril. C'était une de ces zones érogène, sentir sa langue ou même ses doigts autour de ce petit trou, ça pouvait facilement la faire craquer! Alors que sa main descendait enfin là où elle en avait le plus besoin pour le moment, elle la laissait décider de la suite.

Hitomi se décida à retirer ce petit bijou en textile avant de le sentir. Aoki était une femme très intelligente et quelqu'un de normal même. Mais la voir renifler son odeur la rendait folle, elle avait quand même de drôle de désir dans le lit et ça, elle aimait la voir sentir son odeur, surtout provenant de son endroit si secret. Délicatement posé sur elle, ce string était le symbole, la graine qui avait fait tout avancer, sans ça, qui sait ce qu'elles feraient en ce moment? La position changeait pour laisser les deux jeunes femmes face à l'endroit idéal pour voir qu'elles étaient heureuses de cette première fois, ensemble. Quand le jet de cyprine sera éjecté, ça prouvera combien elles sont heureuses d'être réuni dans cette chambre. La rouquine ne perdait pas de temps pour commencer à s'attaquer à ses lèvres si humides.

« Haaaaaaa ouiiii! »

Enfin! Elle pouvait sentir sa langue léché son entrée si souvent délaissé ce soir. Non pas qu'elle voulait que ce soit le seul endroit à être actif mais son intimité réclamait une partie de sa rouquine – n'importe laquelle – rapidement pour la satisfaire. Elle la laissait jouer un peu avec elle en la berçant de sa voix gémissante avant de s'occuper aussi de sa chérie qui devait attendre la même chose de sa part? Non, elle devait lui fournir autant de plaisir mais d'une autre façon. Sa tête redressée, l'une de ses mains tâtait le terrain en caressant sa fesse, si douce bien évidemment. Elle lécha rapidement un petit morceau de sa fesse avant de la mordiller en mêlant rire et gémissement. Ce n'était pas exactement ça qu'elle voulait faire mais elle avait agi par instinct. Puis, comme elle le voulait, sa bouche rejoignait ce petit trou si bien caché entre ses deux fesses. Profitant de la sensation qu'elle ressentait entre les jambes, Aoki passait doucement sa langue sur ce petit trou propre et agréable. Ça aurait surement de quoi la surprendre ça! Elle qui devait s'attendre au même traitement que celui qu'elle lui infligeait, ce n'était pas le cas. Après tout, elle venait tout juste de lécher ses belles lèvres alors autant profiter de tout ce qu'elle avait à lui proposer, non?

Mais aussi bon pouvait être ce petit trou à peine gouter que la passion qu'avait la jeune femme l'avait poussé à retourner gouter à sa cyprine. Sa petite drogue sexuelle! Combien de temps aurait-elle pu rester de marbre devant cette ravissante petite fontaine personnelle? Dire qu'elle pourrait avoir ça autant qu'elle le voudrait, avec Hitomi... ça semblait trop beau pour être vrai! Dans son élan, son envie brulante et non consommée pour le moment poussa la jeune femme à écarter plus les cuisses avant de doucement faire de sa petite rouquine, sa petite prisonnière avec la lourde peine de la faire jouir. Qu'elle était cruelle...

« HaaaaaaAAAAAAANNNNnnnnnn mmmon amm-mour! Tu es si... Formidable! »

Aoki décida juste après ce message de se remettre au travail en fourrant sa langue dans ses petites lèvres intime, si délicieuse, si rempli de son nectar d'amour. Plutôt que la laissé supporter son poids difficile à retenir sous celui du plaisir, la jeune femme blonde fit tout pour faire tomber sa chérie sur le côté, lui laissant ainsi sa propre cuisse en guise d'oreiller. Puis ça lui laissait aussi l'occasion de ne pas toujours redresser la tête pour la lécher, ainsi, elle aussi avait la douceur de sa peau en guise de taie d'oreiller. C'était maintenant qu'il était temps de jouir à l'unisson, comme un véritable couple... bien qu'elle ignorait si son trésor avait déjà envie de jouir? Pour Aoki, c'était simple, elle le voulait depuis quelques secondes mais elle? Elle l'avait fait il n'y a pas si longtemps? Les mains crispés sur ses petites fesses d'amour, elle ne pouvait plus résister à ses douces lèvres et sa merveilleuse langue...

« Hitomi...-channnnn! Accepte... mon amoooouuuurrrr!!! »

Et le jet fit expulser pour sa tendre... alors qu'Aoki tendait à faire taire ses cris de passion en léchant et gémissant dans d'autres genres de lèvres...

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Depuis le temps... (Aoki Kou)

Réponse 44 mercredi 25 juillet 2012, 23:43:18

Cette fois je ne me flagelle pas mentalement d'écouter mes instincts. Aoki. Elle me rend vraiment folle, même quand elle est la seule à prendre du plaisir. Ses gémissement vont vibrer mes neurones du plaisir, l'écrin de ses cuisse est un four pour ma tête, l'air que je respire est lourd de son arôme entêtant. Mais le plus excitant est encore de la déguster, de dévorer son fruit chaud et juteux. je ne me prive pas de ce délice, ma langue est toute folle. Elle plonge s'agiter entre ses parois humides pour pousser, caresser, lécher, laper le nectar à même sa corne d'abondance. Elle coule à flot sans s'arrêter et je ne veux jamais m'arrêter non plus. Je m'arrête tout de même pour ne pas laisser son petit clitoris en tête à tête avec mon menton. je ne dois oublier personne si je veux me faire pardonner.

Mais malgré l'envie de la faire vibrer encore plus, de la faire trembler et hurler qu'elle m'aime comme sous la torture, je laisse mes doigts en dehors de l'affaire. Je préfère qu'elle sache comment j'aurais pu apprendre à sa langue à s'agiter autrement que pour bien prononcer l'Anglais. Et mes doigts n'ont pas le sens du goût, ils ne méritent pas la primeur de mets si délicieux. Je revient suçoter ses lèvres intimes gonflées par le plaisir, les tirer un peu entre les miennes, puis plonger à nouveau. Je la veux à tous les repas et ma gourmandise ne sera jamais apaisée. Aoki-chan, mon Aoki que j'ai enfin retrouvée.

Mon Aoki qui ne cesse décidément pas de me surprendre. Je tressaille en la sentant mordiller mes fesses. Mais si je ne me suis pas arrêtée pour lui dire tout le bien que je pense de sa petite fente, je ne le ferais certainement pas pour me plaindre. Et je frissonne bel et bien d'excitation quand je la sens s'aventurer entre mes fesses. Elle m'a dit qu'elle me voulait toute entière, et je ne suis que trop heureuse de m'offrir comme elle me veut. Alors pourquoi pas mon cul que je suis la première à trouver beau ? Je ne vais pas le lui refuser, d'autant qu'elle est la première femme à s'en soucier à ce point. Et même si les gémissements qui s'échappent difficilement de mes lèvres en frôlant les siennes sont plaintifs, ce n'est pas pour qu'elle cesse ce petit jeu si inattendu et excitant. Je dois autant la surprendre en me laissant faire si docilement.

Mais assez de ces attentions que d'aucun jugerait honteuses, pour d'autres que les mêmes ne jugeraient pas mieux. S'ils étaient là je ne me retiendrais pas plus et j'espère qu'elle non plus. Le retour de sa langue en moi alors que la mienne est en elle, chacune la tête posée sur la cuisse de l'autre à nous déguster mutuellement : c'est tout simplement trop, je sens que je vais encore craquer ! Et je ne vais pas résister. Comment lui résister, à elle ? J'espère juste lui donner l'orgasme qu'elle désirait tant et ne pas encore jouir avant mon tour. La force avec laquelle je la sens serrer mon corps pour le plaquer à son visage me fait perdre la tête. Je lève la jambe et trouve heureusement la tête du lit pour y appuyer mes orteils crispés.

" Hitomi...-channnnn! Accepte... mon amoooouuuurrrr!!! "

Je ne sais pas si c'est de l'entendre dans sa voix ou de la sentir dans tout son corps, mais l'orgasme son orgasme me prend aussi. Je rejette la tête en arrière, soudain à bout de souffle, la bouche grande ouvert. Et son amour m'éclabousse. Il se répand sur mon visage et mes paupières closes, il bruine entre mes lèvres en une pluie troublé par un cri que je ne peux pas contenir. Tout mon corps tremble et se tend. Je jouis, et elle aussi, mais comme elle je ne veux pas m'arrêter là. Je retourne étouffer ma propre voix au creux de ses cuisses. la tentation est grande de ma laisser rouler sur le côté pour gémir mon plaisir. Pourtant mes gémissements ne sont de l'air que je laisse s'échapper par ce qu'il le faut. Ma langue revient en Aoki pour s'agiter de plus belle. Nous avons joui ensemble, maintenant je veux pousser son orgasme, le prolonger autant que possible.

Et peu à peu la vague passe. Comme je sens son corps se détendre mes attentions perdent aussi en intensité. Le calme après la tempête prend la forme de nos langue qui passent chacune sur l'intimité de l'autre, doucement, tendrement, comme si nous commencions à peine à jouer. Ma main redevient tout aussi tendre en caressant la hanche de ma belle blondinette. Je dépose un baiser sur ses lèvres intimes avant de baisser les yeux entre nos deux corps.

" Ton amour est délicieux, mon cœur. "

Je n'ose pas bouger tant que je sens la poids de sa tête sur ma cuisse. Une sensation étrange car elle est tendre mais indéniablement perverse. En fait elle nous ressemble, je pense. Même s'il reste bien des facettes à dévoiler et découvrir. Je redresse sur un coude, fronçant les sourcils malgré mon sourire.

" Au fait, j'ai rêvé ou tu m'as encore prise de vitesse ? "

La main qui caresse sa hanche part ses perdre sur ses fesses, et juste souligner le trait qui les sépare.

" Pour ça aussi, je dois me faire pardonner ? "

En fait je ne l'ai pas vraiment dit sur le ton d'une question... Moi aussi je la veux toute entière.


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