Nom : Kalinka (à gauche) et Malinka (à droite)
Surnom : Kali et Mali, tout simplement, pour la prononciation qui est plus simple !
Age : quarante ans à eux deux. Pour les mous du bulbe, vingt ans chacune (Elle les font pas, ouais...)
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Orientation sexuelle : La diversité, ça rapporte !
Description physique & mentale :Elles ont beau être jumelles, Mali ne ressemble pas du tout à sa sœur. Bien sûr, elles dégagent toutes les deux cet aura psychédélique et limite inquiétante qui font tout leurs charmes et toutes leurs défenses, mais lorsqu'on leur retire leurs artifices, elles n'ont pratiquement rien en commun. Cette fille-là est d'abord un peu plus petite que sa camarade et un peu plus mince, aussi. Elle est plus coquette et adore attacher ses cheveux en deux épaisses couettes azurées. Ils sont très longs et finissent leurs courses en bas de son dos. Ses oreilles sont masquées par l'énorme casque qui est si souvent sur sa tête qu'on le croirait implanté. Il donne l'impression qu'elle n'est jamais prête à vous écouter tant qu'elle ne l'a pas enlevé (et ce n'est pas qu'une impression, d'ailleurs.)
Son visage est similaire à celui de Kali, contrairement au reste. Elles ont les mêmes traits adolescents un peu tirés par la fatigue et la faim, et empreints de cette folie qu'elle adorent mimer toute la journée. On remarque surtout ça avec ses yeux aux iris très particuliers, difficiles à décrire, mêlés de vert de de doré et souvent écarquillés. Ses piercings décorent l'arête de son nez et le dessous de ses yeux. On pourrait croire que c'est peu, mais ils sont nombreux à être cachés : un sur chaque téton, un au nombril et trois sur les parties génitales.
Sa tenue de jour et de nuit est toujours la même : un vieux jogging vert pomme un peu trop large, des tennis trouées assorties et des gants de baseball en cuir. S'ils sont là, c'est pour frapper. Mieux vaut ne pas trop se fier à sa fragile constitution...
Son caractère est plus doux que celui de sa sœur. Ça ne veut pas dire qu'elle est facile à vivre, oh que non. Mali est tout aussi sans gêne, tout aussi impolie et tout aussi chieuse. Elle le démontre juste avec plus de subtilité. Elle est plus cultivée, plus apte à préparer des plans et plus bavarde. Mais paradoxalement, c'est aussi la plus violente. Elle frappe, pour tout et n'importe quoi, par amour ou par amitié, et aussi par colère et par peur. Elle est tellement bourrine que la batte de base-ball qu'elle se trimballe tout le temps est toute tordue et cabossée.
Alors, me direz-vous, quand est-ce que vient la partie douce ?
Pour les scènes coquines, bien sûr. Meilleure amante que Kali, qui se débrouille beaucoup mieux avec les hommes en quête d'action, cette furie aux cheveux bleus est réservée aux dominateurs pour ce qu'on appelle des "rough sessions". Dans ces moments-là, c'est elle qui reçoit les coups et c'est elle qui gémit. Cela dit, son petit... hum, gros côté masochiste fait qu'elle en redemandera. Alors, préparez vos billets.
Contrairement à Mali que l'on devine tout de suite femme de dos grâce à ses longs cheveux, Kali porte sans arrêt sa capuche sur sa tête. Lorsque ça n'arrive pas (quand il pleut par exemple... ne cherchez surtout pas à comprendre), ses cheveux verts sont tellement courts et mal coupés qu'on hésite entre la fille et le garçon. Les épis qui se forment à l'arrière de son crâne sont impressionnants. Ça a son petit côté rebelle à ne pas négliger, et l'on comprend tout lorsque l'on sait que la seule personne qui a le droit de trifouiller ses mèches est sa sœur elle-même, dont le destin n'était sûrement pas de devenir coiffeuse...
Même iris étranges que sa collègue, dans les tons de rouges et de dorés et sûrement causés par les nombreuses drogues qu'elles ingurgitent chaque jour. Cette gamine est plus une amatrice de tatouages que de piercings : Un facial tracé sur son visage à la verticale, comme une sorte de peinture de guerre, en plus des deux lignes sous ses yeux. Elle en a aussi un dans la nuque et dans le dos ainsi que derrière les mollets et sous le pied. Son labret décalé et son piercing à la langue sont les seuls bouts de fers qui ornent son corps.
Plus musclée que sa sœur, Kali a aussi plus de formes. Malheureusement, elle sont cachées par le hoodie et le bas de pyjama rouge qui sont ses seuls et uniques habits. Pour toutes chaussures, des converses abîmés et les mêmes gants marrons que porte sa jumelle. Elle ne les porte que pour protéger ses mains du froid de la nuit, le sol étant glacé à certaines heures...
Avec son regard flamboyant et sa manie de rester muette, cette jeune femme effraie plus que sa volubile de sœur. Elle sait aussi bien mieux jouer la folle en adoptant des manies étranges et loufoques, comme pointer du doigt tout ce dont elle parle ou pincer les joues des gens à chaque fois qu'elle leur adresse la parole. Elle influence beaucoup Mali et est de ce fait considéré comme l'aînée du duo, vu qu'elle fait également plus mature. Par contre, elle grogne et aboie, mais ne mord pas. Les gens se méfient beaucoup plus d'elle, tout en ne sachant pas que c'est celle aux cheveux bleus qui porte les armes.
Niveau sexe, Kali se débrouille bien mieux avec les femmes et les soumis : Disons qu'elle est la pute et Mali l'amante. Elle n'aime pas être en-dessous et de ce fait, elle a été dépucelée il n'y a pas si longtemps. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, elle a plus d'expérience dans le domaine que Mali, mais elle est beaucoup plus pudique et n'en parle que si la situation l'oblige.
Son caractère protecteur envers sa sœur est évident et elle ne cherche pas à le cacher.
Histoire :On n'a pas beaucoup d'informations sur ces deux fausses jumelles à l'apparence excentrique, si ce n'est leur âge et le fait qu'elles n'aient sûrement pas grandi au Japon, vu l'accent à couper au couteau qu'elles ont lorsqu'elles parlent, aussi bien l'une que l'autre. Il est si bien marqué que certains ont cru comprendre avant de savoir leurs prénoms qu'elles étaient sûrement d'origine russes. Mali avait raconté vite fait à un client régulier, une fois, que leur père les avait envoyés ici après que leur mère ait décédé d'un cancer, incapable de s'occuper d'elles et en prétextant une quelconque sœur qu'on suppose imaginaire puisqu'elles n'en parlent jamais. Mais impossible de savoir ce qu'est devenu le bonhomme, ni même si cette histoire est vraie. Après tout, le client avait apporté des bières ce jour-là, et Mali n'a jamais très bien tenu l'alcool.
Leur situation actuelle n'a rien de brillant : après qu'elles aient vécu un petit moment dans le couvent de religieuses aigries, en compagnie d'un vieux chien récupéré dans la rue, la situation avait un peu dégénéré après qu'un soir, Mali ne frappe l'une des sœurs qui avait souligné, en trouvant deux bouteilles de vins vides derrière la porte de leur chambre, la véracité de la fameuse légende du taux d'alcoolisme présent en Russie. Une fois mises toutes les deux à la porte, elles avaient commencé à vivre chez des amis, des amies, et des amis d'amies, qui finissaient toujours par les mettre dehors une fois qu'ils comprenaient que les deux squatteuses n'étaient pas prêtes à chercher un travail. L'hospitalité avait ses limites, et les deux jeunes femmes s'étaient vite retrouvés clochardes à temps plein.
Récemment, elles ont tout de même trouvés une maison close dans le quartier de la Toussaint prête à les accueillir si le quota de clients se révèle satisfaisant...
Situation de départ : plus vierges toutes les deux.