Nom: Tyamathe
Prénom: Bérénice
Surnom : La cavalière des dragons
Age : 22ans
Sexe : Femelle
Race : Humaine
Orientation sexuelle: Hétéro (enfin, je suppose)
Description physique :
Bérénice a de longs cheveux noirs qui lui descendent jusqu'au milieu du dos. Ses yeux sont noirs également, chose extrêmement rare chez les humains. Les traits de son visage sont fins, sa bouche et son nez se font très discrets en comparaison des yeux, à cause de leur petite taille.
Sa peau est d'une blancheur frappante sur le champs de bataille, les soldats étant généralement bronzés à cause des heures passées en plein air, que ce soit à combattre ou à s'entrainer.
Avec 57kg pour 1m76, elle est plutôt bien équilibrée. Préférant développer la force que la taille des muscles pendant les séances de musculation, ils ne se voient pas malgré qu'elle une force en adéquation avec son métier, c'est à dire bien plus qu'une fille lambda de son age. Cela lui donne un corps très fin, à l'instar de son visage. Si ses fesses sont assez plates, sa poitrine choque car elle contraste avec le reste de son anatomie par sa taille généreuse.
Au niveau de l'habillage, elle porte le plus souvent son uniforme. Une paire de rangers militaires noires classiques, surmontées par des bas de la couleur du sable montants à mi-cuisses couvrent ses jambes. Un col de chemise et une cravate rouge enfoncée entre ses deux seins pour ne pas la gêner garnissent son cou. De temps à autres, un béret, rouge comme la cravate, vient décorer sa tête. Une ceinture de cuir noire disposée en biais sur sa taille lui permet de ranger son desert eagle et son couteau de chasse, et possède trois grosses poches arrivant dans le dos de la jeune femme. Pour le tronc, un habit une pièce de même couleur que les bas, laissant les bras nus ainsi que les hanches. Il lui procure un décolleté vertigineux, et ne couvre rien depuis le haut de ses hanches, avec juste ce qu'il faut pour cacher son sexe et la moitié de chaque fesse. On peut donc voir très clairement qu'elle ne porte aucun sous-vêtement, jamais.
Une tenue très légère, donc, qui ne la dérange absolument pas puisqu'elle ne connait pas vraiment la pudeur.
Caractère :
Et bien, c'est une guerrière. Elle va toujours de l'avant, attaquant toujours. La conversation ne va généralement que dans un sens, le sien, sauf en présence d'un ennemi, où elle essayera de récolter des informations sur ce qu'il sait. Elle est franche et intègre. Elle dit ce qu'elle pense et pense ce qu'elle dit. Elle pense pratique plutôt qu'autre chose, mais rit à gorge déployée quand des fions sont envoyés entre soldats. Sur un champs de bataille, elle n'est ni frigide, ni énervée, ni joyeuse. C'est juste une chose naturelle de son point de vue, donc elle n'éprouve pas de stress dans les situations les plus périlleuses.
Elle est obéissante, habituée à suivre les ordres de ses patrons. Aucune pitié, aucune compassion n'émane d'elle. Elle tuera sans état d'âme tous ceux qui la gêne, civils ou non, nourrisson ou vieillard, car elle a été élevée ainsi. Plusieurs fois on lui proposa le commandement d'un groupe plus ou moins important, et chaque fois elle refusa, préférant de loin rester en première ligne, au milieu de l'action.
Elle n'en reste pas moins une femme, et bien que dénuée de pudeur et insensible aux attouchements de premier contact (Si je peut appeler ça comme ça. Une main aux fesses ne la fera même pas réagir), elle devient timide et réservée quand on aborde la question du sexe.
Histoire :
Bonjour! Comment ça? Vous voulez connaître mon histoire? Et bien, je n'y vois pas d'inconvénient. Venez donc par ici, vous asseoir auprès du feu, que je puisse commencer à vous raconter mon passé.
Je suis née il y a 22 ans, je ne sais pas vraiment où. La seule chose sure, c'est qu'il s'agissait d'un champ de bataille. Mes parents et moi fuyions constamment les combats, si bien que je fut élevée à même l'horreur de la guerre. Un jour, lorsque j'avais 6 ans, ils moururent tous les deux sous mes yeux, fauchés par une rafale de mitraillette sifflant juste au dessus de ma tête, traversant le bois pourri et vermoulu de notre abri de fortune provisoire. Le soldat qui avait tiré me trouva, mais, incapable de tuer une fillette, il se résolut à me prendre avec lui. C'était un mercenaire, le meilleur de tous, connu mondialement dans le milieu, mais ça, je ne l'ai su qu'après sa mort, bien des années plus tard.
Je l'ai accepté comme tuteur, ne cherchant pas à venger mes parents. Après tout, je voyais ce genre de chose depuis ma naissance. Je savais que ça arriverait et qu'en fin de compte, celui qui les tuerait ne faisait que son boulot, je n'ai pas de raisons se lui en vouloir pour ça.
Ma formation commença immédiatement. Il m'apprit les bases de la survie et du combat, que ce soit au corps à corps ou à distance. Nous participions aux batailles, changeant de pays quand il le fallait pour suivre les combats. Au fil des années, mes talents se développèrent, ne connaissant que cet environnement depuis toujours. Alors que j'eus 14 ans, il refusa de m'emmener avec lui sur une mission qu'il jugeait trop délicate. Jamais il ne revint et la nouvelle de sa mort parvint jusqu'à moi.
Seule, je continuai ma vie comme elle l'avait toujours été: remplie du carnage de la bataille, du sang et des morts, gagnant ma vie comme mercenaire.
Le jour de mes 20 ans, alors que je chargeait avec les autres soldats à mes côtés sur une tranchée à moitié explosée par le bombardement préliminaire, baillonette au fusil, je me retrouvai dans une plaine semblable à celle que je venais de quitter, mais sans le tumulte habituel. Pas de bruit d'armes tirant de tous côtés, pas de hurlements de quelque agonisant, pas d'odeur particulière de poudre et de mort.
J'ai marché des jours durant, jusqu'à ce qu'enfin une ville apparaisse à mes yeux. Il s'agissait de la capitale tekhane. On me demanda patte blanche à l'entrée, et, en étant démunie, je fus envoyée en cabane. Je ne connaissais pas leur technologie, si avancée, mais elle m'intriguait. Après un interrogatoire poussé et quelques formalités, j'étais devenue une citoyenne de la cité. Ce que j'ai répondu quand il m'ont demandé quel métier je voulais faire?
Soldat, bien sûr! Je leur ai donné du fil à retordre à ces chameaux de l'instruction! Je refusais catégoriquement de porter leur équipement high-tech. Leurs armures étaient peut-être résistantes et fonctionnelles, mais on n'avait pas les sensations indispensables pour l'instinct. Ils m'ont fait participer à un exercice pour tenter me convaincre une fois de plus. Seule contre dix, avec juste mon couteau. 7 min 35s. C'est le temps que j'ai mis à toutes les éliminer. Impressionnés, ils me laissèrent mon équipement primitif, et je rejoignit les rangs.
Peu de temps après, au cours d'une mission de chasse au formiens fugitifs, un incident est survenu. En effet, nous les avions poursuivis dans un grotte, mais ce que nous ne savions pas, et eux non plus d'ailleurs, au vu de ce qu'il restait d'eux, c'est que la grotte était déjà habitée. Deux énormes dragons, un céleste et un terrestre, commencèrent à ravager nos rangs. On réussit à les attirer dehors, mais notre vaisseau fut détruit en un rien de temps. Privées de soutient, on fonça sur eux la haine au ventre, et la fureur à fleur de peau.
Je te passe le récit de la bataille, qui n'est que l'histoire d'un coup de chance monumental qui fit de moi la seule survivante, et qui est trop long de toute façon.
Bon, où en étais-je? Ah, oui! Presque morts, les dragons me parlèrent. Ils me dirent qu'ils reconnaissaient ma force et ma bravoure, et que par cette valeur, ils me prêteraient allégeance s'ils survivaient. Les renforts ne tardèrent pas. De retour avec les dragons mourants, j'expliquai la situation à mes supérieurs, qui décidèrent de tout tenter pour sauver les êtres majestueux. Hélas leurs corps étaient trop abimés, ils n'allaient pas survivre à leurs blessures. Mais nous sommes à Tekhos, un lieu de science et de machines extravagantes, et bientôt les dragons se relevèrent avec le même cerveau, mais un nouveau corps métallique:
Comme ils l'avaient promis, ils se placèrent sous mes ordres. Je me suis durement entrainée à combattre avec eux, devenus encore plus puissants de par leurs nouvelles capacités robotiques. C'est ainsi que je devins la cavalière des dragons.
Situation de départ :
Vierge! Elle repoussa timidement mais efficacement toutes les avances qui lui furent faites jusqu'à présent.
Autres :
Peut appeler ses deux dragons à la rescousse, mais reste au sein de son bataillon la plupart du temps. Un émetteur lui fut implanté pour les contacter, seul signe invisible de technologie tekhane chez elle.