Kimiko prenait Tessou avec énergie, sans faire de chichis ni de faux détours. La redoutable prostituée avait vite compris que la policière était très frustrée, en manque, et qu’il fallait la «
forcer » un peu pour obtenir d’elle ce qu’on voulait. Acculée, Tessou ne pouvait rien faire d’autre que subir les assauts intensifs de sa partenaire. Sans la ménager, Kimiko la prenait violemment, puissamment, soulevant et abaissant son corps à chaque coup de reins. Elle s’étalait avec elle sur le canapé, et sentit les mains de Tessou se crisper dans son dos, faisant crisser sa combinaison en latex. Souriant malicieusement, Kimiko alla lui voler un baiser, enfonçant sa langue dans sa bouche, et continua à la prendre.
«
Te-Tessou, haaaa... Hmmmm... !! »
La jeune policière couinait, hurlait, se tortillait encore, gémissant sous les coups de reins de la femme. La grosse queue de Kimiko labourait sa chatte, s’unissant à elle, et elle fourra encore sa langue dans sa bouche, puis rompit le baiser, et mordilla son cou. Encore et encore, exactement comme Tessou le réclamait ! Ah ! Que c’était bon ! Rien ne lui était épargné, et, tout en gémissant encore, elle la prit à nouveau. Kimiko avait un excellent rythme, et elle malmenait Tessou sans relâche. Au bout d’un moment, la policière finit par craquer, et Kimiko en profita aussi pour jouir, l’embrassant encore, tout en vidant ses couilles dans sa chatte.
«
Haaaa... Putain, ouiii, sa... Saloperie, haaaa... !! »
Jouir, un acte toujours aussi bon, toujours aussi
délicieux ! La jeune femme se répandit dans le corps de Tessou, et se calma progressivement, balançant de multiples et épais filaments de foutre. Kimiko se calma progressivement, ralentissant le rythme, savourant le fait d’avoir joui, et de ne faire plus qu’un avec le corps de sa belle policière... Puis elle lui sourit ensuite, et sa main gantée caressa son visage trempé de sueur, rapidement rejointe par son autre main. Elle caressa son visage tout en lui souriant malicieusement.
Kimiko lui parla ensuite :
«
Ça fait du bien, hein ? Suis-moi, ma belle... »
La femme se releva, libérant le sexe de Tessou, et l’attrapa doucement par la main. Tessou fut un peu déstabilisée en se relevant, et Kimiko l’aida à se maintenir, tout en lui souriant tendrement.
«
Héhé... Tu n’as pas l’habitude de te faire baiser autant, hein ? Ne t’en fais pas... »
Elles n’avaient pas à aller très loin, fort heureusement ! Kimiko guida Tessou jusqu’à la porte, puis en ouvrit une autre, juste à droite, qui les conduisit dans une chambre. Là, Kimiko invita Tessou à entrer, et la jeune policière arriva ainsi devant un grand lit. Une autre femme mâture l’accueillit juste sur sa droite :
Yukie. Elle aussi portait une tenue moulante en latex, avec des collants, et embrassa la policière.
Le point d’orgue se trouvait toutefois sur le lit, où une femme se redressa, entièrement nue, et avec un phallus, elle aussi. Sous les yeux de Tessou, Mélinda se trouvait là. D’autres filles étaient également présentes, portant des uniformes scolaires.
«
Tessou, ma chérie... Je me souviens de tout, maintenant... Y compris que je te dois beaucoup, ma belle. Alors... Viens, ce que Kimiko t’a fait n’était qu’un avant-goût de ce que je te réserve ! »
Et, tout en disant cela, Mélinda laissa Yukie pousser doucement Tessou, qui se retrouva sur le lit. La vampire se pencha ensuite vers elle, et, sans guère attendre davantage, lui offrit un premier baiser...