- le conteur
- personnage secondaire qui n'est là que pour faire joli et ajouter un simple spectateur.
- Cimbaeth
Oyé, oyé braves gens !!! Vous savez de qui je vais parler aujourd'hui. Oui, vous monseigneur, vous charmante damoiselles, vous l'avez sans aucun doute devinez. Je vais vous conter l'histoire de ce voleur disant venir des contrées irlandaise, une contrée qui semble être au-delà de la mer, ce voleur vantant son océan traître et coléreux, cette terre que personne ici n'a connu. Je vais vous narrer ce que les vents ont bien daignées me susurrer à l'oreille.
D'après elle ce voleur, répondant au nom de Cimbaeth serait née dans la tanière d'une renarde, cet animal rusé hésita à achever la créature frêle qu'était encore le voleur, il n'avait même pas une semaine. La renarde avait perdu l'un de ses enfants et se dit qu'elle avait suffisamment de lait pour allaiter une bouche de plus. Par cet acte charitable la déesse païenne des bois offrit à la renarde un lait qui allait féminiser l’apparence de l'enfant, ne désirant pas qu'il soit un mâle dominant plus tard, ce lait frappa le jeune voleur d'un maléfice, celui de devenir intangible au temps à l'âge de ses quinze ans.
Ainsi Cimbaeth fut élevé loin des Hommes et de la société, vivant tel un simple renard, mais la renarde ainsi que la déesse païenne savaient que cet humain allait se développer une intelligence qui l’amènerais à se poser des questions sur ses origines, n'ayant pas un pelage doux et roux comme sa ''mère'' adoptive ou l'apparence bestiale de cette femelle. Comme les membres de ce qu'il considérait comme sa famille, il se mit à oser des tentatives dans les petits villages, volant de la nourriture ou encore égorgeant avec ses dents les poulets, ses derniers étant moins méfiant de l'apparence humaine de Cimbaeth. Seulement il ne put vire indéfiniment dans la forêt où était la famille de renard, les Hommes désirant simplement ravager ce lieu pour bâtir des lieux. Il en fut chassé, évitant de justesse à finir brûlé vif par les flammes détruisant l'endroit où il avait vécu jusque là. Il fut séparé des renards et se mit à survivre à sa manière.
Il découvrit que son corps se figea à ses quinze ans et que son apparence était un étrange mélange entre les hommes et les femmes. Dès lors il se mit à observer les nuits de pleines lunes les différents foyers, pour apprendre qui il était. Cependant il avait encore la rancoeur avec les humains et décida d'abuser de sa ruse pour leurs faire payer la destruction de son foyer. C'est avec cet ambition qu'il commença à voler un foyer pour déposer l'objet prit dans un autre, un simple petit tour de passe-passe qui fit monter la tension. Les voisins et marchants se regardaient les uns et les autres, méfiant, craignant d'avoir un voleur à côté de soi. Cimbaeth y trouva un certain contentement, mais il voulait causer encore plus de souffrance.
Il se mit à attendre près d'un lac, attendant qu'une paysanne souhaite laver son linge pour l'agresser, l'attaque fut traduite plus tard par un médecin comme sans douleur, la nuque brisée avec précision, Cimbaeth avait bien comprit que les humains avaient des points faibles communs à certains grands animaux de la forêt. Il se vêtit des atours de la victime et se fit passer pour une jeune femme analphabète.
Quelques jours plus tard il finit enfermé dans un puits asséché, ayant été piégé par les humains, en effet ses derniers avaient bien comprit que les vêtements qu'il portait appartenait à la défunte paysanne, mais au lieu de le tuer, ils avaient décodé de lui jouer un vilain tour, laissant un poulet au fond de ce fameux puits. La faim le tiraillant, il se mit à descendre par la corde pour dévorer le poulet, ce fut à ce moment précis que le piège se referma. Il passa un an dans le puits, sans recevoir de quoi manger ou boire. L'être était si squelettique que les gardes étaient surpris au petit matin de le voir encore gémir tellement la faim le tiraillait. Fort heureusement pour lui, un voleur qui habitait depuis un an dans le village eut envie de voler des biens et fut prit sur le fait. Cimbaeth fut jugé innocent, l'assassinat de la paysanne étant remit sur le voleur et enfin l'homme-bête quitta le puit.
On lui offrit un bain, de quoi se rassasier et étancher sa soif, mais avoir été tenu captif n'aida pas l'intégration de Cimbaeth, qui profita d'un moment d'inattention pour s'enfuir. Pendant des siècles on ne le revit pas, apprenant à se dissimuler parmi les humains.
Une étrange femme aux cheveux bleue et aux regard d'améthyste se mit à pauser une question intéressante.
En gros ce n'est qu'un simple homme-bête qui vole.
Le conteur eut à se moment un sourire amusé.
Et bien non jeune demoiselle. Cimbaeth c'est illustré dans le temps comme étant un être rusé, peu de fois il salit ses mains et rares sont les personnes étant morte lors de ses vols. Il y a un fait que j'allais réciter, quand vous avez décidez de m'interrompre. Cimbaeth est un être qui bien que punit de l'immortalité a bu la bénédiction d'une déesse, il hérita d'un étrange pouvoir, un pouvoir qui donne à la nature ses droits et où la magie et toute créatures issus d'un croisement bizarre perds sa capacité tant offensive que défensive. C'est par cette capacités qu'il a put voler des êtres extrêmement puissant comme des dragons, il parvint même à battre à mains nue un magicien maléfique qui désirait oucrir une porte des enfers et déverser une horde démoniaque sur Terra. La légende ne précise pas s'il l'a fait par bon cœur ou simplement car le mage se trouvait sur son chemin.
La demoiselle se mit immédiatement à quitter les lieux et une fois assez loin se mit à insulter le conteur de tout les noms, elle me vit et dit avec une voix assez grave, me menaçant d'un couteau.
Qu'est-ce que tu veux ? Ha … tu as toi aussi écouté le récit foireux sur moi. Oui je suis Cimbaeth.
Je me mis à écarquiller des yeux. Cette demoiselle était le fameux voleur. La légende n'avait pas tort en disant que le voleur était efféminé , il avait une vraie poitrine de femme et sa voix faisait suspecter qu'il avait un petit oiseau entre les jambes. Son visage était clairement féminin, ses cheveux bleus et ses yeux violets lui donnait un air de femme surnaturelle. Je me mis à l'observer furtivmeent, son corps paraissait aussi fin que les demoiselles, mais je ne me basais que si le tissu ne collait pas à sa peau, quand il passa sa fine menotte je pus voir que ses bras avaient tout de même du muscles, pas au point de le rendre viril, mais plus qu'une femme. Un certain noble aurait aimé ce genre de demoiselle musclé, même s'il restait un homme sous le bassin. Je voulus lui lancer une boule de feu, mais cela ne le toucha pas, sentant ma chaleur corporelle baisser avant que Cimbaeth ne me plaque contre le mur, la boule de feu vint me frôler. Il était très fort malgré son apparence, était-ce ce que l'on appelait des muscle affinés. En tout cas la puissance de ses jambes étaient pareille à celle de ses bras, il devait être un soldat.
Je suis ce que vous nommez un ESP.er, ma capacité est de vous soumettre aux loi de la nature, ainsi la magie et tout ce qui n'existe pas naturellement est voué à échouer contre moi. Envoyez moi une attaque qui enfreint ses lois et elle se retournera contre vous. Les vampires ne peuvent donc pas me sucer le sang, c'est à titre d'exemple. Normalement ce pouvoir m'entoure et lèche ma peau, mais je suis capable de faire une zone circulaire jusqu'à cinq kilomètres où ce pouvoir agit, il s'agit des fameux endroits où une étrange brume bleue est apparue et cela touche aussi le ciel et la terre. Je vais te raconter la vérité à présent, tâche de bien t'en rappeler pour clouer le bec à ce pauvre con là-bas.
Je me mis à écouter attentivement, il ne semblait pas rigoler. Cimbaeth commença son récit.
Au vue de ce corps je dois être proche de la maturité sur Terre, je ne donne pas mon âge car je ne me rappel pas de beaucoup de chose. Je suis Cimbaeth, car c'est le nom que j'ai trouvé gravé sur ma tombe, je ne sais pas qui m'a enterré là mais il va le payer. Je suis un ESP.er, pour ce qui est d'une possible attirance sexuelle, je n'en ai pas, le sexe m'importe peu c'est un moyen de voler les biens.
Je suis un voleur, mais pas le genre à user de la force, non, je préfère berner mes adversaires, c'est sans doute pour cela que le vieux à choisit l'image du renard. Mais devrais-je sans doute te parler de mon caractère.
Il me retourna, me faisant fasse, se collant contre moi, la dague jouant avec mes bijoux de familles.
Je suis très joueur, je ne sais pas pourquoi j'ai ce corps, mais il est plus facile de penser que la nature se voulait joueuse, donc autant que j'en profite aussi. Je ne suis pas soucieux des souvenirs que j'ai perdu, cela n'est pas nécessaire dans mon travail, je pouvais être un mec fort sympathique avant, maintenant je ne suis qu'un simple avare de richesse. Les sentiments comme l'amour ne me sont d'aucune aide, cela ne va pas me nourrir et encore moins me couvrir d'or et de pierre précieuse, je serais capable de vendre mon prochain contre des richesses. Tu l'as comprit, je ne m’embarrasse pas d'une quelconque morale, les vainqueurs n'ont pas besoin de ça. Oui je suis un traître, une personne méprisable , et alors ? Sur Terra seule la fourberie prime, sur Terre, mais tu ne dois pas connaître, seul l'hypocrisie est maître. Sans argent et sans pouvoir tu n'es rien et cela peut importe le plan sur lequel tu es. Si je joue les demoiselles ce n'est pas par plaisir … enfin si c'est drôle de voir les pigeons picorer dans ma mains en échange d'une possible nuit torride, cela me fait rire tellement mes semblables sont débiles une fois qu'un joli morceau de barbaque se dandine devant eux. J'aime jouer avec le danger, c'est d'ailleurs pour cela que je vais te laisser la vie sauve, prend cela pour un caprice, oui je suis des fois très capricieux, surtout envers ceux et celles désirant que je partage leurs couches. Mais je crois avoir assez parlé de mon caractère. Parlons de mon histoire.
Un temps de silence se mit à apparaître comme si l'ange de la mort attendait silencieuse pour me donner le coup de grâce, mais heureusement le voleur se mit à continuer son récit.
Je connais rien de mon passé, en tout cas pas ce qui date de plus de cinq ans. La première chose que je me rappel c'est un rêve confus avec une divinité qui s'appelait Aphrodite, disant quelque chose du genre que j'allais être un joli jouet … croire un fantasme d'une divinité païenne, je devais clairement être en manque depuis un long moment. Je suis sorti de mon cercueil, comme si j'étais un mort-vivant et ai cherché dans des maisons de quoi m'habiller. Je pris des vêtements de femme, la maîtresse de maison ayant rendu son dernier souffle le matin dans son lit. On m'accusa de sorcellerie à cause de ma ''renaissance'', seulement ses pouilleux avaient trop peur de me juger qu'ils m'enfermèrent dans une cave humide, me nourrissant à peine. Une personne, une seule voulut profiter de ma faiblesse, à présent il ne doit plus pouvoir pisser. Pendant je ne sais combien de temps ce cirque continua, jusqu'à ce que l'Ordre Immaculée vienne raser le village, ils n'eurent pas l'idée de fouiller dans al cave, ce qui m'offrit la vie sauve. Pendant tris an j'ai observer ce monde, ma vitesse d'assimilation étant une bénédiction pour éviter de me faire prendre à voler et risque de perdre une main, voire ma tête. Le vieux a dit que j'ai volé un dragon et battu un nécromancien, foutaise, c'était juste une vulgaire salamandre et un fou de terrien qui jouait les apprentis magiciens dans ce monde. Un dragon et un nécromancien, comme si j'allais risquer ma peau sans avoir l'assurance qu'il y ai un butin derrière. Tout ce que je porte, y comprit ma petite dague qui te chatouille est le fruit d'un vol minutieux, je ne vais pas m’embarrasser de tissu alors qu'il est plus facile de prendre une sacoche de rubis. Je vais te parler de la Terre, c'est mon terrain de jeu favoris, peu de créature ou de magiciens, c'est l'endroit où mon pouvoir peut dominer tout le monde. Il est plus difficile de voler à cause de leurs technologies et leurs prisons sont moins résistante que celle de notre monde. Ils sont intéressant, vivant sans magie et ne parlant que ce science, c'est d'ailleurs ce qui m'a permit de connaître mon pouvoir, leurs lois semblent régir ma capacité, amusant non ? Ils sont des lieux nommés ''lycée'' où la connaissance est distribuée de façon égale, on peut même l’accroître dans de minuscule bibliothèques fournit en livre de science, il y a même du sexe en image et en texte, chose impensable ici à cause de la religion que nous servons. Ils ont aussi des objets de valeurs, on me surnomme là-bas Blue-Kitty, les pauvres avec leurs caméras ne sont pas capable de voir mon visage, s'en est risible. Je me suis entraîné pour jouer le rôle de la femme, mais je n'ai pas négligé la force, je reste tout de même un homme et dois posséder de quoi me protéger. De plus être musclé me permet d'éviter bon nombre de petit noble sans le sous, ne pouvant pas se payer une 'femme' exotique tel que moi. C'est à croire que le stéréotype de la femme fine comme une aiguille finit par se dissoudre à travers les saisons … ou serait-ce la garantie d'avoir une femme apte à accoucher de nombreux affreux bambin.
Cimbaeth lâcha prise pour réfléchir, ni une ni deux,je pris mes jambes à mon cou et partit en criant tel un fou. Il ne me suivit pas, me lançant un sourire amusé, il n'avait fait que jouer avec moi, il l'avait fait exprès. Je me suis souvenu d'un détail pendant am fuite, il avait regardé l'espace d'un moment un rat et l'a tué comme s'il en avait peur. C'était un détail insignifiant mais depuis j'ai chez moi une collection de rat, pensant que s'il venait à entrer chez moi il ai trop peur et fasse demi-tour.
[Explication plus détaillé de la capacité du voleur :
Toute attaque ne pouvant avoir comme source la science est irrémédiablement renvoyée, l'attaquant subit à ce moment un contre-coups plausible.
Par exemple une personne usant de la pyromancie va sentir son corps se refroidir, car la chaleur dans la boule proviendrais du corps, même si le fait de projeter une boule de feu à main nue est impossible scientifiquement.
Pour les créatures humanoïde, leurs apparences ne changent pas, mais leurs capacités sont annulées.
Dans le cas d'un élémentaire ou d'un être immatérielle, son apparence devient tangible et est soumises aux faiblesse humaines (possibilité de causer des blessures et de tuer). Leurs capacités sont aussi annulées.
Pour les créature n'étant pas humanoïde, une apparence plus humaine est infligée tout comme l'entraves de leurs capacités.
Je vais citer l’exemple de la dryades, ayant vue ce genre de créature sur ce forum, les attaque des lianes se retourneront contre elle, les phéromones n'agiront pas aussi fortement que le ferait une humaine lambda.
Il y a des failles dans cette capacité et souhaite vous laisser travailler pour les trouver, car cela serait peu amusant de vous donner toute les clés pour contrecarrer ce pouvoir qui est ma foi intéressant dans l'optique qu'il y a plus de terriannien(ne)s que de terrien(ne)s
[information complémentaire]
Pourquoi jouer un shemale ?
Car c'est le genre de personnage qui perturbe, dont on ne sait pas comment gérer facilement, doit-on le considérer comme un homme ou une femme ? Cela déstabilise et je dois avouer que cela me fait marrer de voir des personnes douter de savoir gérer leurs personnages en face des miens.
Le but de mon personnage ?
Étant voleur le premier est de vous voler, bien sûr. Ce que je souhaite trouver se sont des personnes capable de le soumettre sans user de capacités dépassant un humain de la Terre ... finir esclave vous dîtes ? Je ferrais tout mon possible pour que vous n'y arrivez jamais.
Cimbaeth possède un secret derrière son amnésie, sauriez-vous le découvrir dans les rps ? Si vous me décrivez les bonnes situation je vous offrirais un flashback pour découvrir un peu plus du passé de mon personnage.
Comment j'ai pris connaissance de ce forum ? Internet pardi, d'un autre côté c'est pas avec un livre que tu accéderas à un site web ... J'ai fouiné un peu partout pour trouver un site qui me plait et puis comme le règlement est assez ouvert je m'y suis inscrit, avec mes idées bizarres et un peu plus de folie dans ce monde de fou.
