La chute de la Duchesse [PV Lucrezia Harianna Patriovski Nietzshe]

La drogue commencer à faire son petit effet, ça ce sentait, les barrières de la jeune policière s'effondraient peu à peu, comme un misérable châteaux de carte. Lucrezia était le sinistre visage de cette ville, une femme monstrueuse qui avait insufflée à cette ville une véritable psychose, au même titre qu'une fameuse légende urbaine japonaise "la femme à la bouche fendue", sauf que là, Lucrezia était bel et bien réelle. Les putes ne sortait quasiment plus, un couvre feu avait d'ailleurs était mis en place par certains yakuza afin de limiter les "perte", rares étaient les lycéennes qui rentrais chez elles à pied et... Et les dealers ce faisait de moins en moins de blés, Lucrezia ayant constamment besoin de drogue, il n'était pas rare qu'elle en vienne à en tuer quelques un pour réapprovisionner les stocks. La Duchesse s'était forgée une sale, très sale réputation, la pègre comme la police cherchaient désespérément à la coincer et certaines justicières masquées ne manquaient pas de vouloir lui tomber dessus elles aussi. Malheureusement, la paranoïa de Lulu la rendait particulièrement prudente, et son intelligence tordue lui permettait toujours d’échafauder des plan afin de ce sortir des situation les plus délicates.

Là, Lulu avait son poing dans le derche de sa victime et... Ouai... C'est pas super glamour comme truc, mais allait savoir, les tueurs en séries sont vraiment tordue par moment... Lucrezia avait un sacré palmarès de dérèglement d'ordre "mental", d'anormalité et de psychose multiples. C'était un sujet passionnant pour les psychiatres et dieu sais qu'elle en a vue, toutefois, Lulu était aussi un patiente très complexe, à plusieurs reprise les psychiatres c'étaient penchée sur son attirance particulière envers les femmes... Pourquoi elles ? Pourquoi s'attaque t'elle au femmes et non aux hommes ? c'était là, une des questions récurrentes qui tournait autour de la Duchesse.

Enfin bref, Lucrezia fini par lentement retirer son poing du cul de sa victime, un immense sourire sur le visage. Bordel qu'elle aimait voir ses victimes souffrir ! Le regard emplie de sadisme de la Duchesse vint alors à descendre sur l'intimité de Tessou et... Oui ! Elle mouillait !

AahahahahaAHAHAHAHAHAAHAAAAAAAAAHAHAHAHA ! Tu mouiiiiiiiiiille ma chiennnasse ! AHAHAHA ! Je doit bien avouer que l'anal, moi, ça me met dans tout mes états ! Quand on m'encule j'adore ça ! AHAHAH !

Sur ces belles paroles, Lulu vint alors à lécher l'intimité de Tessou, jouant habilement avec sa langue, titillant vigoureusement les lèvres intime de la jeune femme, appréciant avec gourmandise, la cyprine de cette dernière. Lucrezia prenait vraiment son pied là ! Brouter du minou, c'est vraiment génial ! C'est différent que de sucer une bite mais... Diable ça avait son charme ! La Duchesse était vraiment un tordue comme il n'y en à pas deux dans cette ville... Enfin, ci... Il y en a une autre... Une gamine sinistre, armée d'une tronçonneuse, vous voyez de qui je veux parler bien sur ? Oui ? Non ?... Bref... Le fait d'avoir foutu son point dans les fesses de la policière, ça avait méchamment donnée à Lulu l'envie de ce faire enculer, sauf que... Bas là... Il n'y avait pas d'homme.

La Duchesse stoppa alors ses soins buccaux, pour se remettre à farfouiller dans sa petite sacoche.

Voyons, voyons... Mince, où diable l'ais je mis ? Hmmmm... nan... Pas ça... Zut !

Ce que Lulu cherchait en réalité c'était une sorte de grosse seringue sans aiguille, un truc d'un diamètre de cinq à sept centimètres que Lucrezia aimait ce mettre dans des endroits incongrus. Mais visiblement, elle ne l'avait pas sur elle pour le coup.

Hmmm... Pas grave... Nous nous contenterons de ce que nous avons...

Et hop ! Lulu se remise à lécher sa victime avec plus de fougue encore, n'hésitant pas le moins du monde à lui morde le clitoris avec avidité et sadisme, tout en passant frénétiquement sa langue dessus. Les mains de la tueuse n'était quant à elles pas en restes, ces dernière caressait le pubis de la policière avec délicatesse, frottant doucereusement le peut de poils qui y était présents. Et cet après une petite dizaine de minutes que Lucrezia vint enfin à retirer sa bouche de l'intimité de Tessou, avant de la remettre sur le dos, comme une pauvre crêpe.

Au vue de tout les petits gémissement que tu poussait, j'en conclue que tu commence à aimer ça... Alors maintenant, ont va vraiment commencer à s'amuser... Ihihih...

Lentement, Lucrezia vint à se mettre sur sa victime, en position du missionnaire, avant de délicatement l'embrasser dans le cou, tout en se masturbant allègrement.

Quel enfer... Tessou ne savait pas comment fuir, son collègue était déjà mort et il est fort possible qu'elle ait titillé la mort via ses quelques rébellions depuis le début de cette torture. Mais la jeune femme avait beau être prisonnière, elle n'abandonnait pas si vite. Car dans son dos, il y avait sa fille qui attendait sa mère, il y avait sa famille, ses collègues, trop de gens comptaient sur elle et baisser les bras n'était pas son genre. Elle a su vivre seule avec Kyoko en l'élevant seule, sans son homme à ses côtés alors ce n'était cette folle de Duchesse qui allait lui causer des ennuis quand même! Bon... malgré son courage et son esprit, elle pouvait difficilement se sentir forte avec une main dans le cul... Oui, Lucrézia avait volé beaucoup de première fois avec Tessou. Si dans un de ces rêves ou même pour plaisanter, elle aurait pu penser embrasser une femme, se retrouver avec une main entière en elle, à cet endroit... Jamais elle n'y aurait ne serait-ce que frôler cette idée! C'était très gênant, embarrassant et qui plus est, dans cette souffrance, elle éprouvait une pointe de plaisir. La drogue devait aider à ne pas avoir trop mal comme à aimer aussi cette sensation mais la jeune femme n'était clairement pas à sa place ici, surtout avec cette femme.

Il y avait un peu de plaisir dans cette forme de sexe mais aussi de la souffrance car Tessou est loin de faire dans l'anal, même tout court, cela fait plus de neuf mois qu'elle n'a eu aucun rapport, ni même seule. Ryota avait été le seul homme de sa vie après tout et elle lui avait juré fidélité bien qu'ils n'aient été jamais marier et cette folle était en train de détruire cette promesse ce qui la faisait sentir coupable aussi. Bien sur, c'était un viol, elle n'était en rien consentante mais Tessou ressentait un peu de plaisir et c'est de ça qu'elle se sentait coupable justement. Ici aussi ce n'était pas sa faute mais n'importe quelle femme violée qui éprouverait un minimum de plaisir dans l'acte, bien que non intentionnel et désiré s'en voudrait pour ce genre de sentiment. En plus il y avait un côté dégoûtant, même pour la Duchesse. Eh bien quand elle va retirer son poing... forcément... ça ne sentira pas la rose.... Mais même avec ce détail, elle semblait prendre son pied, même une fois sa main retirée, pour la jeune femme, c'était presque des moqueries dans sa voix. Si elle croit qu'elle mouille volontairement. Elle retenait avec force ses larmes mais ça devenait compliqué à force.

Elle avait envie de la remettre à sa place, de l'envoyer chier mais elle avait déjà du mal à contenir ses larmes et sentir sa langue sur son intimité n'arrangea pas les choses, dur de retenir ses larmes, ses gémissements et sa pudeur. Elle lui arrachait une à une toutes les couches de ses protections et elle finira bien par devenir aussi vulnérable que possible à force...  Cette folle semblait vraiment apprécier cela. Bien sur, cela devait se passer ainsi entre lesbiennes mais Tessou n'en était pas une. Peut-être que la Duchesse l'était mais pas elle bon sang! Elle se détestait d'aimer cela, elle voulait éloigner cette folle mais plus elle se forçait à essayer et plus elle avait l'impression que la Duchesse était invulnérable, que le simple fait de la toucher pourrait lui bruler la main. Bien qu'elle fît une pause pour chercher quelque chose, elle remua doucement, cherchant un moyen de fuir mais cette drogue la rendait aussi active qu'un escargot. Elle avait peur que cette folle sorte un couteau mais elle n'en fit rien avant de replonger sa tête entre ses jambes pour cette fois-ci y aller aussi avec les dents. Tessou se plaignait, cela s'entendait dans ses gémissements mais comme toujours, c'était un mélange entre la douleur et le plaisir. Même si elle la caressait un peu avec ses doigts, cela ne retirait en rien sa douleur.

« Non.... A-arrê...tte-ça... »

Même parler semblait être aussi, sa main arrivait vers la tête de la Duchesse mais même si elle tentait de la repousser, c'est à peine si elle arrivait à poser sa main sur sa tête. Même si elle avait profité de cette méthode une bonne dizaine de minutes, Tessou n'avait pas encore joui mais elle y était à deux doigts. Lucrézia la narguait encore un peu avant de l'embrasser en se posant sur elle mais il ne fallut pas longtemps à Tessou pour, non pas jouir mais... comment dire... avoir une fuite. La Duchesse avait commencé à faire sentir ses lèvres intimes sur les siennes mais elle-même ne saurait expliquer cette fuite... La drogue surement car elle n'avait pas senti d'envie pressante. Même si elle était en train de vider sa vessie à un moment pareil, elle ferma les yeux en tournant la tête, retenant ses larmes avec le plus de difficulté possible alors que le jet doré arrosait autant la Duchesse qu'elle-même. C'était dégoûtant! Elle avait de plus en plus honte mais comment se sortir de ce pétrin... la situation empirait de plus en plus.

« Dégage... de là!!! »

Avec autant de volonté que de force, elle tenta de gifler la Duchesse et même si c'était bien parti, sa baffe avait perdu en vitesse pour simplement se coller sur sa joie. C'était même pas une petite baffe. Elle tentait de la repousser mais avant autant de force que... Qu'une personne vivant en ralentit.

Et hop, au moment ou elle s'y attendais le moins, la policière vint à littéralement se vider contre Lucrezia, alors même que leurs deux chattes était collées l'une à l'autre. Notre Duchesse fut alors parcourue par un intense frissons de plaisir, sentir contre elle ce liquide chaud c'était... Sale, pervers, obscène et tout simplement dégueulasse mais diantre, qu'est ce qu'elle, elle aimait ça.

Aaaaaaaah.. Ouiiiiii, pisse sur moi ma jolie, vide toi donc, utilise une dernière fois ta vessie, avant que je te la retire, HaaaAAAAAAaaAaAAan ! et que je repende tes tripes sur le sol et que j'embrasse ton utérus...

Un fuguasse baiser fut distraitement déposé sur le joue de Tessou, avant de longuement la regarder dans les yeux, caressant sa joue gauche en remettant en place une petite mèche un peux trop de travers. Puis...
Lucrezia ramassa son scalpel...

Tu sais d'où elles me viennent ? hein ?... Eut elle dit en léchant son scalpel sur le revers de la lame.

Mes cicatrices... Tu sais de qui je les tiens... Pour de vrai ? J'ai pas pour habitude de le dire... Mais j'ai vraiment envie que tu sache qu'en ce monde, y'a pas d'justice...

ET VLAM ! Violement, Lucrezia vint à saisir tessou en enserrant ses jolies petites joue entre ses doigts. Lucrezia y était... Elle aller commencer les choses sérieuses, soit, les mutilations.

C'est l'histoire tragique d'une petite fille et de sa mère.
Le père tout les soir monte à l'étage.
Abuse de la chair de sa chair
Mais cette dernière, un soir a refusée...

Lentement, notre Duchesse vint à rapprocher son visage de celui de la policière. Passant par la suite la lame du scalpel contre la gorge de la pauvre femme.

Alors il prit la  lame de rasoir...
Et a greffée sa haine sur le visage de sa propre fille... Moi...
Tu vois... y'a pas d'justice...

Lucrezia planta légèrement le bout de sa lame dans la chair de sa victime, juste au niveau de la gorge. Puis elle la fit lentement descendre jusqu'à atteindre son sternum. Laissant une grande marque rouge sur le corps de la pauvre tessou, qui se mis à sangloter comme une gamine.

J'ai haïe... Je haie... Et j'haïrais toujours le bâtard qu'était mon père... T'ENTEND !? HEIN !? C’ÉTAIT UN CONNARDS !!!!

et la... c'était partis... Lucrezia lâchât violemment la tête de tessou, lui envoyant ensuite, trois à quatre grandes gifles en travers la tronche, avant de se mettre lentement  taillader sur tous le corps. Lui affligeant de petite plaies, plus ou moins profondes sur son corps, plus particulièrement les seins et l'abdomens.
Lulu commençait à totalement perdre pied, ses yeux, déjà pas bien lumineux, vinrent à totalement s’assombrir.
tendis qu'elle marquais lourdement le corps de la jeune Tessou avec son scalpel, allant jusqu'à lui dessiner un cœur au niveau du dit organe, en prenant soins de bien forcer sur la lame.

J'vais me masturber sur ton cadavre, t'arracher l'utérus et me doigter, encore, encore... haaaAAAAn... et encore... T'es tellement belle avec toutes ses marques... Tu es tellement jolie quand tu pleure... J'ai pas envie que tout s'arrête... Rien ne doit s'arrêter... Mais tout fini par s'arrêter un jour ou l'autre... Donc on recommence à chaque fois, sur de nouvelles bases... Et puis sa ce fini une nouvelle fois... Vous n'êtes décidément pas humaines... Vous êtes juste des objets... Des trophées que je "lui" offre... Maman me regarde et elle m'aime, parce que je ne l'oublie pas... Parce que Maman de doit plus souffrir...

Les mains de Lulu vinrent à redescendre au niveau de la vulve de tessou, avant de finalement de mettre la mutiler. Passant lentement le scalpel sur les lèvres de la jeune femme, ainsi que sur les paroi intérieur de celle-ci

Tu me répugne...


Toutefois, à l'extérieur de cette endroit crasseux, les forces de polices commençait à ce mobiliser, afin de retrouver Tessou. Le cadavre de son collègue avait était retrouvé et il ne faisait à présent plus aucun doute que la jeune policière était entre les griffes de Lucrezia, le tout étant maintenant de savoir, où elles étaient.

Trop c'est trop... Tessou avait l'impression que plus le temps passait et plus elle dansait avec la mort, sa vie pourrait se couper à tout instant... Elle avait cette peur que la Duchesse ne décide d'en finir de suite et ne la tue comme ça, rapidement tout comme elle avait peur que cette sadique ne lui fasse le contraire, qu'elle y aille doucement et que ce soit long. Malgré la drogue qui l'empêchait de raisonner calmement, elle tentait de garder l'esprit clair, de tenir bout, pensant à Kyoko pour se redresser, coller un pain à cette folle et se barrer d'ici. Même si elle avait pu la repousser il y a quelques minutes, elle a laissé filer cette chance. Elle n'aurait pas dû réfléchir et se révolter en la repoussant, prenant un scalpel ou autres et la tuer. Légitime défense ou non – on sait jamais selon certains avocats – personne n'aurait souhaité mettre une jeune mère de famille, seule avec un bébé à charge dans une prison pour avoir tué une folle qui de toute évidence l'a torturé après de nombreuses autres femmes qui n'avaient pas eu la chance de survivre. Faut dire que ce qui restait d'elles, on comprenait qu'une mort rapide aurait été la meilleure solution...

Cette folle se faisait de plus en plus proche, venant lui narrer une histoire, son histoire. Tessou était toujours effrayé, aussi car elle tenait une lame de rasoir entre ses doigts et que sa main n'était pas éloignée de son visage... au contraire. Cette histoire, si elle était vraie, était triste. Cela marque surement la naissance de cette folie meurtrière mais qui irait se réjouir d'une enfant violée par son propre père? Même à son pire ennemi, on ne souhaite pas ce genre de chose. Les enfants sont toujours innocents et ils sont bien souvent la cible de la folie des adultes. Tessou avait travaillé sur de nombreux dossiers en rapport avec des enfants, pédophilie, trafique d'enfants, maltraitance, elle trouvait qu'à Seikusu – et partout dans le monde – quand on dit que c'est les plus faibles qui trinquent, c'est souvent enfants. Même si elle voulait aider un maximum de personnes innocentes, elle se disait que les enfants étaient prioritaires quand même. Cela dit, elle était d'accord avec elle pour une fois, elle avait raison de haïr ce type qui était censé être son père mais dans sa folie qui la forçait à lui lacérer le corps, elle n'arrivait pas à en placer une.

Elle tentait de retenir ses hurlements mais parfois, elle était obligée de crier en évitant de bouger. Déjà qu'elle se faisait charcuter, elle n'avait pas envie d'empirer son cas surtout quand on sait vers quel endroit se balade cette petite lame. Mais Tessou réussit à lui retenir les mains, trouvant la faible force malgré la drogue...

« Je comprends que tu le détestes m-mais... pourquoi m'en vouloir à moi et-et aux autres? »

C'est vrai quoi, une certaine « logique » voudrait qu'elle s'acharne sur les hommes et précisément les pères de famille, ressemblant à ce mauvais père qu'elle avait hors là, elle s'en prend aux femmes? Quelle est la logique alors? Pourquoi s'en prendre aux femmes? Elle avait évoqué sa mère, elle souffrait mais que faisait sa mère alors? Pendant que sa fille était torturée, elle savait? Elle l'a aidé à tuer son père? Elle a fermé les yeux? Tessou sentait que cette question et pire, cette supposition lui couterait cher mais elle tentait le tout pour le tout. C'était peut-être la corde sensible à attraper?

« Et ta mère... »

Voilà qui était le coup de fouet qu'il fallait, elle avait tirer la pièce en l'air, pile, ça lui sauve la vie, face, ça la tue plus ou moins rapidement. Le hic était qu'elle ne risquerait pas de voir quel côté de la pièce est tombé donc seule Lucrezia tenait la vie de Tessou entre ses mains.

« Tu crois que... elle serait fière de voir tuer une femme... qui est comme elle... une mère qui veut protéger sa fille? »

La pièce était retombé, quel côté avait-elle eu? Tessou ferait tout pour sauver sa vie et elle tentait de gagner un peu de temps ou bien de gagner tout court. Est-ce que cette folle avait un coeur? Est-ce qu'elle avait réussi à l'atteindre ou bien à la place il n'y avait qu'un trou sans fond, rien ni personne ne réussirait à combler ce vide?

« Et ta mère... »

Bam... Cette phrase, que dit je ! c'est trois morceau de mots firent l'effet d'une bombe dans la tête de Lucrezia, la faisant écarquiller ses yeux d'un coup.

« Tu crois que... elle serait fière de voir tuer une femme... qui est comme elle... une mère qui veut protéger sa fille? »

Et hop ! second service... Nan, franchement... Cette femme était peut être une bonne policière, en revanche, elle serait une psychiatre des plus médiocre. Et, même ci on part du principe qu'elle soit "mal renseignée" sur la Duchesse, jouer ainsi avec la partit la plus sensible de son être était fortement déconseillé... d'ailleurs, Une certaine petite justicière masquée en fera les frais plus tard.
L'espace de quelque instant, qui semblèrent durer une éternité à lucrezia, les deux femmes ce regardèrent dans les yeux... les mains de la tueuse étaient tremblantes, son regard comme figée dans un vide profond... Avant qu'une larme ne ce mette à couler sur l'une de ses joues.

Que... Pourquoi... Lâchât elle alors d'une voix déformée par un mélange de tristesse et de colère. Pou-Pourquoi tu dit ça... Pourquoi tu parle d'elle comme ça... POURQUOI !!!?

SBAFF ! et un bon coup de poings dans la tronche de cette petite pute un peu trop conne... mais juste un peu. Et ce ne fut que le premier d'une dizaines d'autres violent coups de poings qui atteignirent le visage de la jeune tessou, faisant voler les lunettes de la jeune femme contre le sol, alors qu'au fur et à mesure qu'elle donnait des coups, Lucrezia se mit à pleurer à chaude larmes en mélangeant hurlement de colère et gémissement de tristesse, cette complainte ce mélangeant au bruit de ses poings s'écrasant contre le visage de la jeune policière.

TA GUEULE ! TA GUEULE ! FERME LA, JE VEUX PAS T'ENTENDRE, JE VAIS TE BUTER TOI ET TON LARDEAU DE MERDE ! J'IRAIS PISSER SUR TA TOMBE DE PUTE !!!!!!!!!!!! T'ENTE- T-T-T T'ENT-... C'EST DE MA MÈRE DONT TU PAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARLE !!!!!!! T'AS PAS LE DROOOOIIT ! FERME TA GUEULE ! TA GUEULE ! J-... JE...je...

Lucrezia essuyât du revers de sa mains plusieurs larmes en gémissant comme un petite fille, reniflant à plusieurs reprise, avant de finalement lâcher son scalpel contre le sol tout en ce relevant. Elle était quelque peut branlante sur ses jambes et des larmes continuait de couler le long de ses joues... Oui, Tessou avait manifestement touché un point très sensible... trop sensible.

JE TE DÉTESTE !!!!!!!!!!!!!!! S'exclamat elle en essuyant une nouvelle fois ses larmes. Je... Je vais...

Lentement Lucrezia attrapa un vieux tuyaux qui traînait par terre puis... tout en continuant de pleurer... Elle se rapprochât de tessou... Un regard mauvais au fond des yeux, un mélange sinistre entre de la tristesse et de la haine...

Je.... Tu peut pas comprendre.... Personne ne le peut... Vous me jugez et me détruisez sans cesse... Laissez moi ! LAISSE MOI ! L'espace de quelque instant, La duchesse reprit son souffle, détournant son regard de Tessou en ce mordant les lèvres. Elle n'y arrivait pas... Elle ne pouvait pas ce calmer... Lentement, la jeune femme ferma les paupières, laissant alors couler d'autres larmes sur son visage.

Je veux...JE VAIS TE TUEEEEEEEEEEEEEEEER !!!!!! S'écriat elle en tournant se vers tessou, levant au même moment le tuyaux au dessus de sa tête, prête à frapper. Une fois encore les des femmes ce regardèrent... Le visage de lulu ce contracta d'un coup, puis... Alors que la tueuse fixait la policière, elle revit l'espace d'un instant le visage de sa mère... cela la fit légèrment hésiter puis... Aussi vite qu'elle était venue cette illusion vint à s’enfuir, remontrant alors le visage couvert de bleu de Tessou. La poigne de Lucrezia se refermit alors autour de tuyaux et,alrs que des larmes continuait de couler sur ses joues... elle ce lançât en hurlant de rage.

CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE !!!!!!!!

Mais alors que le bout de ferraille semblait prêt à heurter le crane de la policière, Lucrezia eu une autre vision qui, fort heureusement pour tessou, la fit, juste a coté de sa tête, éclatant le sol, au lieu de son jolie visage. Suite à ça... un long silence vint à s'emparer de la scène... Lucrezia se mit alors à sangloter en tremblant légèrement, avant de finalement lacher son arme de fortune sur le sol et ce remettre à pleurer, allant par la suite s'adosser contre un mur, mains sur le visage. Lentement, elle vint à s’asseoir sur le sol en position foetal et, comme la pauvre gamine qu'elle était... elle ce mit à pleurer... mains sur le visage.

Tessou avait manifestement bien jouée... La jeune femme était entrain de gagner de précieuses secondes... car, bientôt, la police allait venir. Certes, Lulu les entendrait venir de loin avec la résonances dans les galerie, et surement réussirait elle une fois de plus à fuir mais... Tessou serait surement encore en vie... Enfin, si Lulu de ce relève pas d'un bon pour la tuer.

La situation actuelle pouvait être pire que ça. Mais pire que ça, ce serait la torture ou la mort à petit feu. Quoique ça équivaut à la torture ça ? Pire que ça, ce serait de savoir sa fille ou sa famille en danger, maintenant mais heureusement, la Duchesse n'était pas le genre de folle à bosser avec toute une équipe pour tuer des gens, tous en même temps, que ce soit pour simplement tuer ou soutirez des informations. Face à elle, Tessou tentait la dernière carte qui lui restait entre les mains, à savoir, la carte de sa mère. À l'écouter, sa mère était vraiment une personne importante dans sa vie. Tous les fous et les dangereux avaient bien au moins une personne qu'ils chérissaient, à qui ils cachaient leur crime pour rester une personne normale à leurs yeux. Parfois, il n'y avait personne, vivante ou non, existante ou non mais vu sa situation, elle ne risquait rien ? Au contraire, elle pourrait si sa se trouve quitté cet endroit, le souvenir de sa mère la rendant coupable et la Duchesse abandonnant sa victime. Dans son parcours, il y a bien eu une victime qui s'en était tiré, même si elle a failli mourir, elle était en vie et si ça se trouve, ce sera le cas pour elle aussi ?

Malheureusement, ce n'était pas la bonne pioche, après un court laps de temps où la Duchesse semblait déconnectée de la réalité, elle s'était mise à entrer dans une rage folle, venant cogner Tessou. Oui, cela faisait mal, la jeune femme avait peur que la mort n'arrive plus vite que prévue, que Kyoko et sa famille soient en danger mais elle préférait de loin la violence physique à celle d'une arme blanche ou de savoir ses proches en danger. Car Lucrezia lâchait bien des menaces à son encontre et celle de sa famille mais qu'est-ce qui lui fait dire que ce sera vraiment le cas ? Peut-être qu'une fois morte, elle va l'oublier comme tout les cadavres qui se trouvent dans son placard ? Tessou ne savait pas compris de coup elle avait pris, elle ne savait même pas comment elle ouvrait réfléchir. Sa tête devait être déformé par les bleus et les entailles, non ? Cela dit, elle observait la Duchesse, elle ne voulait pas fuir son regard, quitte à mourir, ce sera en la regardant, pas en fuyant !

Même lorsque cette barre de fer se levait, elle craignait le pire mais elle tenait bon, serrant ses poings, elle voulait affronter la mort en face. Elle allait peut-être abandonner mais non. Quand la barre de fer tomba vers elle, elle ferma les yeux – même si l'un d'eux était déjà bien fermé – mais la barre cogna le sol et non elle. Changement d'avis ? Non, son regard était toujours braqué sur elle et elle était toujours en vie... Lucrezia fila dans un coin, même Tessou avait de la pitié pour elle en la voyant ainsi. Mais sans faire de bruit, elle se redressa pour s’asseoir contre un mur, analysant ses chances de fuite. Elle ne savait même pas où elle se trouvait, quand bien même elle pourrait quitter cette salle... et après ? Tessou ne pouvait que compter que la chance qui semblait faire assez attention à elle pour éviter que la Duchesse n'allonge sa liste de victime. La jeune mère cherchait une solution mais la solution se rapprochait le plus discrètement possible. Tessou aimerait bien tenter de calmer le jeu maintenant que la Duchesse semblait assez calmée pour parlé mais malheureusement, elle marchait sur un terrain miné, de plus, qui sait ce que sera sa réaction ? Avec ses lèvres fendues ici et là, parlé risquait de la faire un peu plus souffrir encore.

Là… Adossée contre un mur dans son coin, la sinistre Duchesse était entrain de gémir et de pleurer, ce lamentant sur son sort une fois de plus faisant alors abstraction de sa victime. Elle était complètement perdue… paumée dans ses pensées. Toutefois, la policière ne devait pas croire que Lucrezia ne reprenait plus un danger, loin de là ! La moindre incartade, le moindre faux pas pourrait coûter la vie de Tessou.

« Je... »

Lentement, sans bouger de sa place, Lucrezia se mit alors a marmonner, avant de ce mettre à regarder sa victime au fond des yeux avec un regard mauvais. Elle devais la tuer… Elle devait finir ce qu'elle a commencer… Lucrezia ne pouvait tout simplement pas la laisser en vie. C'est donc avec un calme effrayant que Lucrezia vint à ce saisir du couteau que tessou avait du lâcher tout à l'heure, avant de finalement ce relever, ne quittant pas la jeune policière du regard. Puis toujours aussi calmement, la tueuse vint a s'approcher de sa victime, cette dernière étant assise contre un mur, la regardant droit dans les yeux.

« Je vais te tuer… Tu ne m'a pas amusée du tout… C'était pourtant pas compliqué… »

Et vlam, Lucrezia vint alors a ce jeter sur Tessou, mais la policière sue retenir le bras de la tueuse a temps, évitant de peut de ce faire pourfendre l'abdomen. Les deux femme se battèrent ensuite au a même le sol, chacune rendant coup pour coup les attaque de son adversaire, avant que, finallement, la policière vienne a donner un grand coup de pied dans le ventre de Lucrezia qui alla donc s'affaler sur le carrelage souillée de cette pièce sombre et sinistre.

« Raaah… Ah… Ah… »

Entre temps, lucrezia avait lâchée son couteaux mais… Alors qu'elle tenta de ce lever, un bruit vint à l'alerter…. Un bruit qui la fit frémir en lui donnant une chair de poule de tout les diable un bruit qu'elle haissait… Un bruit don elle avait peur, tout simplement. Ce bruit c'était… des Aboiements.

« Que… Reuh.. ha bordel… Putain pas les ch… »

Lucrezia ce releva alors d'un bon, le regard paniquée. Elle ne pouvaitpas rester là, ces chiens là… c'était forcement la police ! Mais d'un autre cotés, elle ne pouvait pas non plus laisser cette pute en vie et.. Et…

« Merde… »

Sans prendre le temps d'en dire plus, la femme prit avec elle sa petite sacoche, avant de se diriger à toute allure vers la porte, avant de regarder une dernière fois tessou dans les yeux et de lui dire.

« Je ne t'oublierais pas… Tessou Tsuzuri… » Elle esquissa un mince sourire, puis disparue dans les ténèbres, laissant là une pauvre femme qui, ce soir, avait eu la chance de sa vie, celle de survivre a la Duchesse.

C'était dur, elle faisait face à cette femme en sachant qu'elle risquait sa vie tôt ou tard. La Duchesse pourrait en finir avec sa vie si simplement. Adieu sa famille, adieu Kyoko, elle rejoindrait le paradis, simplement sans avoir la moindre chance. C'était déjà une chance qu’elle soit encore en vie mais elle était blessée un peu partout, physiquement moralement, elle se disait qu'il ne faudra pas longtemps encore pour mourir. Soit on va lui offrir une chance et elle se débarrassera d'elle, soit dans la fuite, soit en légitime défense, soit la mort est une infirmière folle qui ne se priverait pas de la faire souffrir. Tessou ne savait plus quoi penser, la position de Lucrezia était clairement une chance mais elle avait peur que le moindre bruit ne la sorte de sa torpeur et ne vienne en finir avec elle...

Au final, la Duchesse se redressa pour venir vers elle avec l'intention d'en finir une bonne fois pour toutes, armée d'un couteau. Mais c'est avec l'énergie du désespoir de ne pas faire de sa fille une orpheline que Tessou repoussa la Duchesse. Alors que cela aurait pu être le début d'un second round, des bruits de l'extérieur bloquèrent la Duchesse. Des chiens ? Des aboiements ? Elle voulait crier pour montrer sa position mais elle savait que malgré tout, la moindre faute pourrait lui coûter la vie.  Au final, la Duchesse prit ses jambes à son cou mais ce n'était pas un « adieu » mais un « au revoir » qui lui laissait un goût atroce dans la bouche, deux mots qui firent craquer la jeune femme. Pleurant toutes les larmes de son corps à l'arrivée de ses collègues. Pratiquement nue, blessée, elle devait être soignée mais refusait d'y passer la nuit, craignant pour sa fille mais aussi, refusant de passer une nuit sans elle. Ce n'était jamais arrivée depuis sa naissance.

Les gens s'étaient organisé, sa sœur était venue avec le nécessaire à l’hôpital et avec Kyoko pour qu'elle suive les quelques examens, raconter ce qui s'était passé, comment elle se sentait, bref, qu'elle puisse être soignée. Ce soir, elle avait failli mourir et dorénavant, à son poste de police, c'était la chasse à l'homme. Lucrezia devait être capturé. Tessou avait assez souffert de la perte de son mari, peu de temps après son congé maternité, voilà qu'elle risque de se faire tuer. Bien qu'elle venait d'avoir quelques jours de congé pour se reposer – en plus d'être surveillé pour éviter que la tueuse en série ne revienne – elle avait à peine profité. Elle était à peine sortie de chez elle, elle avait passé tout son temps après de sa fille et de ses proches qui étaient venue la voie. Cela l'a découragé ? Non, elle redouble d'efforts et veut coincer cette femme et faire de Seikusu une ville plus sûre pour sa fille, et bien qu'elle a du pain sur la planche, elle ne va pas y renoncer.