Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Tessou Tsuzuri le jeudi 30 mai 2013, 17:31:18
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La routine avait repris au travail depuis la fin de con congé maternité. Rien de bien nouveau ici, quelques nouveaux visages à peine, les patrouilles se faisait toujours autant, surtout vers le quartier Toussaint. Quelques nouveaux visages placardés sur le mur des cons. Un nom donné à tous ses maniaques sexuelles, criminels en fuite, tueurs en série, bien sur, cela ne fonctionne que pour ceux dont on connaît l'identité sinon, il reste beaucoup de zone d'ombre. Dans les bureaux des inspecteurs, il y avait toujours autant de dossier non élucidé, simple crime à une véritable scène de boucherie! Surtout qu'elle pensait que cette ville était étrange comparé aux autres vu parfois l'atrocité des crimes, ses mystères non résolus comme si le ou la meurtrière n'était simplement pas humain! Mais on lui avait dit que chaque ville avait son lot de bizarrie et que pour ce qui est de ce genre de détail, ce sont simplement des tarés qui cherchent à se prendre pour des vampires, des zombies ou autres créatures issu de l'imagination de taré en manque de frayeur! Oui, cela devait être le cas. Son supérieur était un homme très rationnel, peu bavard avec les autres mais quelqu'un sur qui compter. Et aujourd'hui, il y avait une mission spéciale qui nécessitait la présence de l'unité au complet. On avait voulu la mettre à part le temps de reprendre sa routine, lui donner des missions de plus en plus coriaces pour reprendre du poil de la bête après son congé et la mort de son maris et collègue de travail mais elle avait insisté pour être avec les autres à ramasser les ordures qui pollue les bons citoyens de Seikusu.
Le briefing était simple, une criminelle recherchée, jusque-là, rien de bien inhabituel sauf peut-être son sexe. Neuf fois sur dix, plutôt quatre vingt quinze fois sur cent, c'était un homme rechercher et une femme. Bref, cette femme nommée Lucrezia Harianna Patriovski Nietzshe dit la Duchesse aurait été aperçut en ville. Méthode opératoire, elle travaillait dans un hôpital et tuait ses victimes en injectant différents poisons. Que des femmes? En danger, elle ne fera pas de différence surtout, elle ne combattra pas les forces de l'ordre avec une seringue, sinon elle est vraiment folle. Apparemment, il y avait eu de récentes disparitions de fille en ville et les soupçons se portent sur elle pour le moment bien qu'ils n'avaient aucune preuve. La salle d'interrogatoire ou ses « trophées » seront surement une bonne preuve. Tessou avait vu le plan avec ses collègues, ils ont tenté de l'améliorer en soumettant leurs idées et après quelques petits changements de tactique, le plan final était prêt. Il ne restait plus qu'à coffrer cette dingue. Selon leur source, elle se trouverait dans un entrepôt désaffecter près de Toussaint, combien de dealers et de racaille traine dans ses quartiers? Même s'ils se trompent, elle était sur de ramener quelqu'un au poste. Mais tant qu'à faire, autant viser la Duchesse. L'opération débutera ce soir à 18H30, heure locale. Plus tard, elle risquait de ne pas être présente, plus tôt, idem. Durant sa journée, tout le monde se répète la mission dans sa tête, Tessou en profite pour envoyer un message à sa sœur afin qu'elle veille un peu plus longtemps sur Kyoko puis elle en profite pour une petite sieste discrète. Une grosse mission, il ne faudrait pas que les biberons au milieu de la nuit soient la cause d'un coup de fatigue.
18H00, deux camionnettes partent en mission, le temps d'arriver sur le terrain, de se préparer à l'assaut loin des regards indiscrets, la cible est en vue! L'entrepôt du moins. Personne n'a pu avoir les plans du local, l'endroit doit être démoli dans un mois alors les plans ne sont plus de ce monde. Dans quelques minutes, après un dernier briefing, le début de l'opération sera lancée, opération « Chute de la Duchesse ». Reste à savoir si elle se trouve vraiment dans cet entrepôt désaffecté...
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C'était une fin de soirée plutôt tranquille dans le quartier de la toussaint, il était 18h20 le soleil décliné pour peu à peu laisser place à un crépuscule glacial, les rues était désertes.
Au loin ont pouvaient entendre un bruit de talons foulant l'asphalte gondoler du quartier de la toussaint d'un pas lent, lugubre et effroyablement inquiétant. Ces pas c'était ceux d'une des plus grande criminelles psychotique de cette foutue ville, ces pas c'était ceux de la tristement célèbre "duchesse", ou Lucrezia pour les intimes...
Lucrezia portée ce soir la son habituelle tenue d'infirmière rose et rouge. Elle avait en sa possession sa petite sacoche à bandoulière contenant tous se dont elle a besoin habituellement pour commettre ses crimes. Une bouteille de chloroforme, un mouchoir, un lot de seringues, deux bistouris, sa précieuse bouteille d'éther ainsi que son fidèle couteau de boucher qui a à son actif plusieurs dizaines de membres sectionnaient. Lucrezia avait aussi comme habitude bien salasse de retirée l'utérus de ses victimes après avoir abusée d'elles, dérangeant...vous trouvez ?
Il faut bien avouer que les 19 mois d'internement psychiatrique de lucrezia n'avait en rien arranger à son état mental, obliger de bouffer le foutre des psychiatres pour ne pas qu'ils l'enferment une énièmes fois dans la salle
de confinement Sans compter les innombrables bastons aux quelle elle a due prendre part pour préserver le peut de bouffe infâmes qu'ils servaient chaque jours à la cantine, tous ça sous les yeux glauque et malsain des psychiatres...
Au fond ont peut aisément comprendre pourquoi elle s'est barrée de cette enfer.
Toujours est il, Lucrezia, ce soir la était de sortie, est ça n'était surement pas pour aller gentiment boire un verre assise à un bar. Nan ! Ce qu'elle voulait c'était de violée puis de tuer une jeune femme, comme elle avait si souvent l'habitude de faire. Sentir l'odeur de l'éther mélanger à celle du sang et de sa propre cyprine. Abusé d'une pauvre âme en berne, la droguée puis pour finir lui arracher son "organe de vie" !!!
Lucrezia arriva au niveau d'un vieille entrepôt désaffecter situer dans la zone industrielle qui jalonnée le quartier de la toussaint. Elle aimée cette endroit, premièrement de part son ambiance glauque, deuxièmement elle pouvait en cet lieux trouver un peu de repos loin de toutes âmes qui vivent, il lui arrivait même des fois d'amener des hommes dans cette entrepôt, histoire de ce faire profondément mettre par un braquemart bien solide puis après avoir jouis d'injecter à son jouet d'un soir une dose de somnifère et ainsi prendre la fuite(oui, aussi étrange que cela puisse paraitre, Lucrezia ne tue que très rarement les hommes). Et enfin troisièmement car c'est ici qu'elle avait fait sa première victime après sa fuite de l'asile.
Une fois arrivée sur les lieu Lucrezia, remarqua bien vite qu'il n'était pas ci désert que ça, deux camionnettes de flics était garées juste devant son jardin secret.
Lucrezia se planqua rapidement derrière un mur, histoire de ne pas se faire repérer.
Elle se mise alors à se chuchoter à elle même.
Bordel de merde ils me cassent vraiment les ovaires cet bandes de résidus de fausse couches bleu !!!
Ils peuvent pas faire leurs salopes d'investigations ailleurs, c'est vraiment un hobbies pour eux de faire chier les honnête gens è.é !!!!
Elle rejeta un petit coup d'œil discret à ce que les hommes en bleu pouvaient bien foutre ici.
Lucrezia en premier lieu ne pensée qu'à fuir de ce bordel, mais son regard fut bien vite attiré par une jolie jeune femme à lunette en uniforme des forces spécial regardant tendrement une photo représentant une petite fille. La "duchesse" n'était pas du genre à prendre des risques inconsidérer, mais la, LA ! ses pulsions lui disait qu'il fallait choper cette minette !
Le crépuscule aller bientôt laisser place à la nuit, peut être arriverait elle à l'enlever une fois que la jeune agente ce serait isolée du groupe.
La duchesse salivée déjà rien quand pensant à tous les sévices malsains et morbides qu'elle pourrait faire à ce jolie corps magnifiquement mis en valeur par la tenue des forces spécial.
Il était 18h30, les troupes ce mirent en placent...la chasse était lancer, que ce soit d'un coté...ou de l'autre.
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La mission allait officiellement débuter d'une seconde à l'autre. En théorie la Duchesse était seule, elle a toujours fait ses coups en solitaire mais personne ne sait vraiment si quelqu'un d'autre agissait dans son ombre. Aucun indice ne prouvait que c'était vrai mais combien de fois par le monde, la police s'est retrouvé à devoir offrir plus d'une paire de bracelets aux poignées de ses criminels? Vu la taille de l'endroit, ils vont devoir fonctionner par groupe de deux. Personne ne doit rester seul, surtout avec une folle dans les parages. Le casque n'était pas obligatoire, non seulement parce qu'elle était normalement seule et de plus, ils agissaient pour un effet de surprise. Dans le meilleur des cas, ils rentrent, la boucle et fin de la mission. Dans le pire des cas, ça ne se passe pas comme prévu. Elle peut ne pas être là? Ou alors jouer avec eux, tombé dans son piège. Mais ça n'arrivera pas. Quand bien même elle a préparé un plan pour eux, ils vont réussir à l'avoir. Tessou éteignait son portable avec la photo de sa fille pour le ranger dans sa poche, fermé. Elle ajusta son gilet par balle, les protections aux coudes, genoux, ses gants. Elle ajusta sa mitraillette pendue sur elle, retira la sécurité et une fois l'assaut donné par une simple main baissée de la part de leur supérieur, Tessou et ses camarades avançaient doucement vers l'entrepôt.
L'endroit était désert, sale, puant, on pouvait y trouver des canettes vides, des emballages de nourriture rapide, de cochonneries à manger, ça se voit que divers squatteurs sont venue ici au cours de la fermeture de cet endroit. La jeune femme s'avança avec son camarade Hibari Raki, un de ceux qu'elle a connus en rentrant dans la police. Un chic type, brave, courageux, sérieux mais peu bavard. Ils avaient en charge d'inspecter la partie sud-est de l'entrepôt, un autre le nord-est et ainsi de suite pour trouver cette tueuse et éventuellement les victimes... ou leur corps malheureusement. Sous son arme, il y avait une petite lampe-torche – pour son camarade aussi – afin de ne pas se laisser surprendre par l'obscurité ou un rongeur de passage. Observatrice, elle faisait attention à chaque détail, voulant trouver une preuve quelque part où elle posait les yeux mais il n'y avait rien pour le moment, pas le moindre indice, trace de sang ou autres. Elle passait les portes avec son camarade, ne chassant pas la porte à grand coup de pied, ils la poussaient doucement, ils ne voulaient pas que le rat quitte le navire au moindre bruit.
Un bureau renversé, des papiers par terre, éparpillé, des traces de saleté un peu partout mais pas la moindre trace de la Duchesse. Il fallait continuer. En continuant, c'était la salle de service, des balais, sceaux et autre ustensiles, un vrai placard à balais qu'ils appelaient bureau du technicien de surface? La bonne blague. Tessou passait passait la prochaine porte, trouvant ce qui ressemblait à une chambre? C'était d'origine ou fait par un des squatteurs? Le lit semblait pas en trop mauvais état, il était même relativement propre, un peu poussiéreux et désordonné, c'est tout. Il y avait peut-être un indice ici? Ça méritait de s'attarder un peu. En restant sur leur garde, les deux agents ouvraient les tiroirs des quelques meubles pour découvrirent des papiers, vêtements ou au moins des indices sur la présence de la Duchesse ici?
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Les flics c'était enfin décidés à entrés dans le bâtiment délabrer, La duchesse attendis un peut avant de se mettre à entrer à son tour dans l'entrepôt.
Les poulets avaient décidez de se mettre par binômes, ce qui avait d'ailleurs comme effet de bien agacer lucrezia.
Bordel il a fallu qu'ils décident de se mettre par deux, si sa continue comme ça je vais devoir me débarrasser de son collègue, putains moi qui voulais faire du travail soigné marmonna elle.
La nuit recouvrait à présent les lieu, forçant les agents de polices à allumer leurs lampes torches, ce qui les rendait tout de suite bien plus facile à repérer et malheureusement pour eux on ne pouvait pas en dire autant de lucrezia. Au fil du temps lucrezia avait appris à se faire particulièrement discrète et ceux même lorsqu'elle était dans un état pitoyable. T'elle un fantôme la tueuse savait jouet avec les zone d'ombre et les renfoncements la rendant aussi insaisissable que la fumée.
La duchesse suivait sa cible à pas de loup, en veillant tout de même à garder un œil sur les alentours. Sans bruit elle glissa dans les ténèbres de l'entrepôt se faufilant t'elle une vipère. Les policiers avaient l'air de cherchées des indices sur lucrezia...Chose qui eux pour effet de bien la faire rire...Intérieurement du moins. Par moment La duchesse avait honte d'être recherchée par une t'elle bandes d'incompétents, combien de fois l'éventualité qu'elle habite dans le sanatorium aux abords de la ville eu était soulevée et combien de fois les flics se sont chier dessus une fois arrivée devant. Il faut dire que l'endroit à une sale réputation à seikusu, pas mal de légende bidons circulerez comme quoi l'endroit est hanté...Oui il est hanté, certes, mais pas par un fantôme.
Après un petit quart d'heure de traque, le petit "couple" de bleusailles entra dans les sous-sols. Lucrezia eu un léger sourire en coins puis décida de tranquillement sortir son grand couteau de boucher, vous savez, les énormes Hachoirs pour trancher net les os et les chairs d'une coupe net et soignée.
La duchesse regarda les alentours... Aucune autre patrouille ne trainer dans le coin, ils étaient tous à l'étage du dessus, par mesure de sécurité la duchesse bloqua tout de même solidement la porte menant au sous-sol se laissant ainsi le champ libre pour son "jeu"
La psychopathe avancer en titubant le long du grand corridor menant au bureau, couteau à la main. Elle esquissa un large sourire bien sinistre.
Le peu d'Ampoules qui fonctionner encore était toutes défectueuses éclairant très mal et clignotant sans cesse. Donnant une atmosphère très lugubre à l'endroit.
Une fois arrivée au niveau de la porte par où venait d'entrer le binôme lucrezia inspira un grand coup, ferma les yeux quelque seconde puis discrètement elle entra dans la pièce. Les deux officiers était très absorbé par leurs investigations, oubliant ainsi l'une des règles primordiale des films de d'horreurs : ne jamais tournée le dos à la seule sortie d'une pièce close. Règle que le jeune homme oublia et qui aller lui coutait bien plus qu'un blâme ou une mise à pied.
Lucrezia s'immisça alors dans le dos de l'officier, prit de l'élan puis donna un énorme coup de hachoir dans la nuque du pauvre flic, le décapitant au passage.
La jaune femme n'eut pas le temps de réagir, à peine avait-elle déjà vue la duchesse que sont camarade était déjà condamné. Dans un flot de sang le visage de lucrezia se présenta enfin à la jeune femme, qui, paralyser par la visions monstrueuse qu'elle venait de voir eu bien du mal à sortir son revolver de son étui, chose futile aux yeux de la duchesse qui fini par bondir t'elle une panthère sur la jeune femme la désarment violemment au passage.
Lucrezia plaqua, non sans mal la jeune femme contre le lit, la policière avait reçu un rude entrainement donnant bien du fil à retordre à la tueuse.
Aller poulette, laisse toi faire si t'es gentille promis t'auras le droit de garder la tête du sombre connard que je viens de buter hihihihihih. dit-elle d'un ton lugubre et malsain.
Lucrezia sortie alors de sa sacoche une seringue qu'elle enfonça en vitesse dans la cuisse de la jeune agente.
Chuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut voila, maintenant tu vas gentiment te calmer...ihih
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Il était difficile de trouver des indices ici. Le manque de luminosité, le fait que la Duchesse est peut-être dans un coin – ou peut-être pas? – n'aidait en rien à leur rendre la tâche plus facile. C'est la mission après tout. Elle savait à quoi s'attendre quand elle avait décidé étant jeune son chemin. Bon à présent elle devait encore affronter des choses qu'elle ne pensait pas devoir faire ou voir en étant jeune. Des psychopathes qui tuaient par plaisir, sous de faux ordres, voix ou autres messages qui ne vit que dans sa tête. C'était comme ce tueur qui déferlait la chronique en ce moment. Un tueur qui tirait une balle en pleine tête des types de la mafia, Japonaise, Colombienne ou autres de ses mafieux en ville. Mais il ne s'en prenait pas aux petites frappes, des moyens dans la mafia ou des chefs. Dans un sens, il aidait la justice mais dans un autre sens, il ne devait pas tuer, personne ne doit tuer. La vie de policier est parfois compliquée... Tessou continuait de fouiller dans les tiroirs ou autre mais rien. Il y avait peut-être des traces ou des cheveux qui traine mais avec leur lampe-torche, difficile à dire? Dans un drôle de bruit, elle se retourna de suite pour voir ce qui arrivait à son camarade mais la vision était horrible. Un geyser de sang et sa tête qui tombait. Elle avait déjà son arme en main pour la pointer vers cette fille qui semblait être la Duchesse. Difficile à dire vu le choc! Mais elle fut désarmée comme un bébé avant d'être plaquée sur le lit.
Non, elle aussi allait mourir comme lui? Comme toutes ses femmes? Non, elle ne devait pas mourir! C'était impossible! Kyoko n'aurait déjà pas de papa, elle ne voulait pas lui laisser comme seul souvenir de ses parents des photos, c'est hors de question! Malgré la panique, elle faisait tout pour ne pas être immobilisé, espérant ne pas se faire trancher par son arme au passage. C'est bien connu, en situation de détresse, les gens peuvent parfois faire preuve d'une force plus grande que d'ordinaire mais malheureusement, ce ne fut pas le cas. Malgré quelques petits gémissements de peur, elle n'arrivait pas à la repousser et ce qu'elle disait lui faisait encore plus peur! Elle avait des scènes de crimes, elle pensait être solide mais quand la victime est une personne que l'on connaît, ça change tout! Elle ne voulait pas voir le corps, pas voir la tête. Allez, il faut que la chance soit de son côté, que le chef du groupe face un appel pour voir si tout va bien pour que le fait que la radio d'Hibari ne réponde pas pour faire venir les autres, la sauver et abattre la Duchesse si possible! Elle ne voulait pas jouer sa vie sur un coup de dés, elle avait bien assez souffert dans la vie pour risquer en plus de mourir en sachant la peine qu'aura Kyoko en grandissant sans connaître ses parents.
Avec la panique, elle avait à peine senti la seringue dans sa cuisse mais l'effet par contre se fit rapidement sentir. Ses paupières devenaient lourdes et elle luttait pour ne pas s'endormir, peut-être pour toujours. Malheureusement, son corps n'avait pas d'anticorps qui puisse stopper ce genre d'effet et naturellement, elle s'endormait malgré la panique qu'elle venait de vivre. Elle rêvait de quoi? Un cauchemar réel? Un paisible rêve loin de la réalité? À rien en réalité. Surement l'effet de cette drogue ou substance, elle ne pourrait se souvenir d'avoir rêvé ou non quand elle ouvrira les yeux. Chose qu'elle fit... plus tard. Deux minutes, vingt minutes, elle n'en savait strictement rien. La seule chose qu'elle pouvait constater après une très brève amnésie, c'était la pièce où elle était installée. C'était celle où elle fut droguée? Ça y ressemblait mais... elle ne savait pas. Retrouvant doucement ses esprits, elle tenta de bouger mais ses membres étaient liées aux quatre coins du lit par une ficelle ou autres, de même pour sa bouche? Elle était bâillonnée? À moins que sa bouche soit anesthésiée? Elle n'arrivait pas à parler et elle était encore un peu dans les vapes. Au moins elle était toujours habillée dans sa tenue, c'était déjà ça. Que quelqu'un défonce la porte et vienne la sauvée!
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La jeune femme céda bien vite au mélange de la duchesse.
Laissant ainsi le champ libre à la duchesse, mutilation, viol et abus en tous genres, qui sait ce que fomenter la tueuse au seins de son esprit dissolue et broyer par les drogues.
Lucrezia regarda les alentours, pour enfin finir par porter la jeune policière hors du bâtiment.
Elle connaissait cet entrepôt comme sa poche, elle savait qu'un conduit était située non loin de là, un peu plus à l'Est de la salle des générateurs.
Ce conduit menait quant à lui vers une vieille station de métro désaffecter, surement un des endroits les plus apprécier de la Duchesse.
L'électricité était encore en marche, mais plus personnes n'oser foutre les pieds dans cet endroits, pas même les clodos et les junkies pourtant habitués à zoner dans se genre de lieux.
Lucrezia entra alors dans les chiottes pour femmes, elle avait fait de cette endroit un véritable petit cocon des horreurs.
Un vieux lit maculée de sang, d'alcool et de cyprine trônait dans un coins de la pièce, juste à coté d'un grand miroir fissurer de part et d'autres.
Le sol était jonché de seringues, kleenex, préservatifs et nombres d'autres débris divers
La duchesse installa sa pauvre victime avant de lui faire une légère fouille corporelle.
"Portable, clés, couteau... oOOooOooH mais ne serait ce pas un porte feuille que voici !"
Elle farfouilla avec avidité et curiosité dans le porte feuille de la jeune femme, y trouvant 5000 yens ainsi que quelque chose de bien plus intéressant encore : des photos !
Ces photos montrées pour la plupart un bébé d'à peine âgé de 9 mois
Ainsi que des photos montrant la jeune femme dans les bras d'un homme.
La duchesse esquissa un grand sourire malsain avant de rangé les photos et l'argent dans son décolleter.
Elle sanglas et bâillonna par la suite la jeune femme en chantonnant une des deux petites comptines que lui soufflez sa mère avant de lui souhaiter bonne nuit.
"
Scintille, scintille petite étoile
Je me demande bien celle que tu es
Tellement haute au dessus du monde
Comme un diamant dans le ciel
Quand le soleil flamboyant est parti
Quand il n'y a rien de plus brillant
Alors tu montres ta petite lumière
Scintille, scintille, à travers la nuit."
Lucrezia laissa glisser sa main droite sur le visage de la jeune femme en laissant échapper un petit ricanement lugubre.
puis... elle attendit le réveille de sa "poupée"
un petit quart d'heure plus tard la jeune femme se décida enfin à ouvrir timidement les yeux, encore grogis par la drogue.
Elle tenta vainement de se relever mais fut bien vite arrêter par les sangles qui liées ses poignée
Hello ma puce...
lucrezia s'approcha alors très prêt de la jeune femme, puis s'assaillit en califourchon sur son ventre.
regarde ce que j'ai trouvé dans tes poches... ! ahahahh dit elle en exhibant les clichés de la jeune femme.
puis d'un coup sec elle déchira les photos.
Et pouf, il neige !
Nan...elle n'a aucunes morale...
Elle fit par la suite descendre sa main entre les seins de la jeune femme toute en la délivrant de son bâillon.
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Le réveil fut compliqué mais la jeune femme reprenait ses esprits, une caresse sur sa joue, elle tentait vainement de s'en défaire mais la drogue avait encore son petit effet, donnant à peine l'impression de bouger, même pas la force de se défaire d'une caresse, combien de temps allait-elle comater comme ça? Elle avait du mal à faire le point, le temps qu'elle avait « dormi » l'endroit où elle était, tout était si trouble autour d'elle? Bouger la tête semblait être au ralentit, le son semblait raisonner dans son crâne, c'était bien la première fois que quelqu'un la droguait, qu'elle subissait les conséquences de cette drôle de sensation. La voix de cette folle, elle était là mais où, tout semblait si loin et si proche à la fois, c'était pas évident. Cette chanson était étrange mais elle raisonnait dans sa tête, c'était atroce. Sentant cette tueuse monter, sur elle, elle gémissait un peu de peur, de peur qu'un scalpel vienne se planter dans son front ou pire, qu'elle la fasse souffrir. Mais à entendre son ton, ça faisait peur et n'importe quoi pourrait arriver avec cette folle! Elle ouvrait ses yeux au mieux alors qu'elle voyait les photos qu'elle gardait sur elle. Kyoko! Ryota! Non, elle devait se reprendre, ce n'était que des photos qu'elle exhibait, il ne leur arrivera rien, au pire, elle pouvait les faire refaire une fois chez elle... Va-t-elle pouvoir retourner chez elle aussi? Elle déchira le tout avant de lâcher les morceaux sur elle. Cette tarée! Ça veut dire qu'elle l'avait fouillé? Elle avait surement donc confisqué tout? Peut-être pas... elle sentait son arme de secours encore sur elle. À moins que ce soit l'effet de sa drogue qui ne la fasse délirer? De toute façon, que peut-elle faire dans cette position, elle ne pouvait même pas bouger ses jambes ou ses bras.
« Tu... pourquoi tu... fait tout ça? »
Difficile de s'expliquer alors que la drogue continuait de faire son petit effet. Tessou tentait de remuer mais c'est à peine si elle bougeait. Quand cette drogue va-t-elle s'estomper? Quoi qu'il en soit, le chef devait être sans nouvelles d'elle et de son collègue, il va surement la chercher et même si son portable est éteint, ils vont la trouver dans peu de temps, surement. Elle devait absolument gagner du temps pour qu'ils puissent la retrouver et tuer cette dingue, la sortir de ce mauvais pas et espérer que ce ne soit qu'un mauvais souvenir mais quand, quand vont-ils défoncer la porte et se mettre en joue pour lui tirer dessus?
« Pourquoi... tu as tant... tué... »
Question parfois compliquée ou non pour une folle comme cette Duchesse mais soudainement, drogue ou non, Tessou pensait à son avenir. Elle va mourir? Est-ce que Kyoko devra grandir avec sa tante ou ses grands-parents en n'ayant une idée de ses parents qu'en photo? Une douleur remontait le long de sa gorge, la faisant presque pleurer.
« Je vais... mourir? »
Elle sentait sa lèvre inférieure trembler, se demandant comment ça allait vraiment finir tout ça?
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la jeune policière sembler totalement perdu, au fond...elle l'était...
son esprit encore embrumer par le mélange de la duchesse devait lui tournée la tête dans tout les sens.
ses yeux roulés, mais peu à peu elle se rendit compte de sa situation.
attacher, droguer et face à la femme la plus cinglée de tout seikusu.
Lucrezia quant à elle était toujours sur le ventre de la jeune femme, lui offrant un sombre rictus malsain et teinté de folie
et à se moment là ses pulsions lui dictées bien des choses.
Elle caressa à nouveau le ventre ainsi que les seins avant d'être interrompue par la jeune femme.
« Tu... pourquoi tu... fait tout ça? »
Lucrezia regarda alors sa victime avec de grands yeux tout ronds avant d'esquisser un un petit sourire en coins.
Pourquoi ? Tu me demande pourquoi ?...voit tu ma chère, il n'y à rien de plus fascinant que la mécanique humaine, je suis la médecine ! la vrai ! je suis pas folle je....je... je suis une ange !
Lucrezia se saisit alors violement du visage de sa "sujette".
BOUUUUUUUH ! HAHAHAHAHHAHHA ! tu.....tu as peur ? je le sais ! tu a peur ! ahahahahaha !...Se sont les cicatrices...hmm ? elle sont laides n'est ce pas !...nan ?...ehehe ! ne t'inquiète pas ma poupée, je veillerais à te faire les mêmes...ahaha..ha..ha hahahahha ah !
La jeune policière se débattait vainement alors que le duchesse continuer ses caresses malsaines, parcourant tout son corps de ses mains gantées.
Lucrezia se mordais les lèvres d'impatiente de gouter à un corps aussi érotique.
Mais la jeune femme veina à nouveau troubler la tueuse avec une autre question.
« Pourquoi... tu as tant... tué... »
P...BWAHAHAHAHAHAHAH ! c'est quoi cette question !
*gifle violament la jeune femme*
Pauvre conne ! Ci j'ai tant tuer ses parce que je me devais de le faire ! La recherche exige sans cesse de nouveaux sacrifices !
L'agente était terrorisée, c'est alors qu'au bord des larmes elle dit à la tueuse :
j...je vais... mourir ?
Lucrezia rapprocha alors son visage de celui de tessou avant de lui répondre
Oui tu...vas...mourir !
Je vais te violer, te mutiler, t'éventrer pour enfin t'arracher l'utérus alors oui ! oh grand OUI ! tu vas mourir !
AHAHAHAHAHAHA !
S'est alors qu'une étrange sonnerie vint une nouvelle fois déranger la tueuse, une sonnerie de téléphone plus précisément.
Ce téléphone c'était celui de la jeune policière, Lucrezia esquissa un large sourire avant de tendre le bras afin de récupérer le téléphone de la jeune femme.
Oh ! mais... "le Boss"... intéressant !
*décroche*
Allo!...Tessou ! où est tu bon sang !
Ouiiiiii alloooo ! vous chercher à joindre une jeune policière en fleur je suppose ?
Que...Tessou c'est toi ?!
Mauvaise pioche Mr le commissaire ! Je ne suis pas Tessou.
Q... Qui êtes vous ! déclinez votre identité, immédiatement !
Huhuhu ! Qui suis je ? mais voyons, je suis la duchesse !
*silence*
Allooooooooo ?
Vacherie ! tu... où est elle ?
OOOOoooooh elle est là ! encore un poil assommée par les drogues, maiiiiiis elle est là.
C'est d'ailleurs une agente très curieuse que vous avais sous votre commandement, elle pose pleiiiiiins de questions !
Je m'efforce d'y répondre mais il est très difficile de parler avec une patiente défoncer.
Ecoute saloperie, écoute bien ce que je vais te dire, si tu touche serait ce, qu'un cheveux de mon agente, je peut te jurer que...
Que...? aller dit ! queeeee...?
Que je t'attraperais et je t'enfoncerais tellement profondément dans la merde, que pour toi la peine capitale sera un doux soulagement...
oooooooooh ! Que j'ai peur !
brrrrrrrrr ! j'en mouille ma culotte.
Mais tu sais, il y à de forte chance pour que tu ne retrouve jamais le corps de la petite "tessou"...
S...
Salope s'est ça ? hmmmm oui, ses classique comme insulte mais bon ça passe encore.
J'empêcherais se meurtre, je t'empêcherais de la tuer et ensuite je te trainerais en justice !
Aaaaah que de menaces...
Tu parles, tu parles mais au fond tu ignores ou nous sommes, alors abandonne vieux con !
Elle...est...fichuuuuuuuuue !
Mais je suis prête à jouer à un jeu avec toi, tu est partant ?
Bien ! écoute attentivement...
Je vais te fournir un petit indices alors munit toi vite d'un petit calepin et d'un crayons et note le !
Attention...l'indice est..."station !"
Voila ! s'est terminer ! bye bye !
Par contre si vous voulez, toi et tes hommes, revoir tessou avec le moins de...hm...comment dire..."d'égratignures", je vous conseilles de tout mettre en œuvre pour nous retrouver...enfin LA ! retrouvée...
Tic tac tic tac tic tac ! l'heure tourne et chaque minutes sera un nouveau sévisse fait à sa personne. ahahah ! byyyyye !
Suite à cela lucrezia raccrocha violement au nez de l'officier avant d'exploser le portable contre un mur.
Booooooooon ! je crois que j'ai fait le tour... nan ?
Aller ma poule, montre moi donc...ce putain de corps de rêve !
D'un geste La duchesses sortie un scalpel de sa petite sacoche avant de faire glisser la lame de celui si sur la tenue de la jeune victime, libérant ainsi sa poitrine encore camoufler par un magnifique soutient gorge en dentelle noir.
Lucrezia n'eu qu'a tirer violement sur celui ci pour enfin accéder aux glandes mammaires de tessou.
Puis elle se mise à les tétait avec un appétit dévorant, lui mordant cruellement les tétons tout en veinant frotter son intimité humide sur le ventre de la jeune femme.
Elle en profita pour dessiner au passage, un cœur juste au dessus du téton gauche de tessou à l'aide de son scalpel.
hmmmm je ne te trouve pas très réactive ma puce, je pense qu'il serait temps de te rendre un poil plus... lubrique !
Sur ces mots Lucrezia sortie alors une seringue contenant un liquide rose pâle.
Elle fit ensuite descendre sa main gauche vers l'intimité de tessou, elle se mise à lui caresser l'entre jambe avant d'injecter son infâme drogue dans le cou de sa victime.
Aller ma belle, deviens une chienne hahahahaha ! devient mon jouet...
Lucrezia attendit quelque peu que la drogue fasse son effet avant de la libérer de ses liens.
Puis la duchesse se redressa légèrement avant d'approcher son intimité humide à souhait prêt du visage de la policière.
Elle fit descendre sa culotte trempée puis elle se mise à faire du "lèvres à lèvres" avec la bouche de tessou.
aller lèche ma belle ! dit elle en faisant délicatement glisser sa lame sur la joue de la jeune femme, lui laissant une large marque de la qu'elle se mise à couler quelques gouttes de sang.
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Ce cauchemar! Elle ne voyait pas de façon de ce sortir de ce mauvais pas à moins que ses camarades ne défoncent la porte dans l'instant et incrustent le corps de cette folle de plomb pour lui apprendre la raison. En voilà une bonne raison de ne pas kidnapper des gens, on risque de mourir. D'ordinaire, elle était plutôt rationnelle comme femme mais face à cette situation, même si c'est une bavure que de vider son chargeur sur un criminel, elle veut bien mentir et dire n'importe quoi pourvu que ça passe et que ça la sauve surtout. Pour le moment, elle avait peur, elle était droguée mais elle avait peur de ce qui pourrait arriver. Les baffes, les menaces, oui, elle avait peur! En un an, elle avait perdu l'homme de sa vie et elle risquait de perdre sa vie. Elle ne voulait pas faire de sa fille une orpheline, déjà que Kyoko ne connaîtra son papa qu'avec des photos ou quelques vidéos tous les deux, elle ne pourra pas le serrer dans ses bras ou lui parler... elle pourra mais elle n'aura aucune réponse.
Soudain, ce fut un rayon de soleil quand son portable affichait que c'était son chef mais même si elle ne pouvait pas répondre, elle espérait avoir une bonne nouvelle! Ils sont là? Ils la cernent? Ils l'ont localisé avec la puce de son portable? Faut que ce soit le cas! Malheureusement avec cette folle qui leur faisait prouver combien elle était folle, ce n'était pas facile d'espérer ça. Mais s'il y a un petit miracle, ça va être le cas? Hélas, son téléphone avait heurté le mur et il se retrouva incapable d'être utilisé de sitôt, pas sans passer chez un réparateur en tout cas. Et c'est là que son calvaire débuta. Son scalpel commençait à lui dire qu'elle était en danger, de mort comme de viol mais ses drogues ne l'empêchait pas de se défaire des liens. Sans ça, elle aurait réussi? Il y aurait quand même plus de chances que ce soit vrai comparé à maintenant. Sa tenue était facilement coupé en deux et son soutien-gorge arraché avant d'être sucé par cette folle. Tessou se débattait faiblement en remuant et en commençant à gémir non pas de plaisir mais de dégout, ressentant quand même la douleur – en moins fort – quand elle se faisait mordre ou graver des choses sur le corps à l'aide d'un scalpel. Sa main la caressait entre les jambes et ça ne faisait que lui donner encore envie de pleurer, la repousser mais comment faire en étant attaché?
Et cette nouvelle substance, surement un aphrodisiaque mais elle n'était pas assez droguée comme ça? Et c'était un poison? Mon dieu, elle n'était pas croyante mais s'il y a un bon dieu, une déesse, n'importe quelle puissance divine, qu'ils viennent la sauver! Elle ne la détachait pas pour autant mais sa fatigue s'envolait doucement pour la réveiller et elle avait... ça la démangeait entre les jambes mais... pourquoi, elle ne voulait pas, pas ici, pas avec elle! Elle n'a même jamais été lesbienne, une hétéro comme la majorité des gens. Quand ses liens furent détachées, elle eut un instant d'espoir ou une petite partie de son cerveau lui disait de courir loin mais la grande partie de son cerveau la suppliait de se détendre et d'avoir du sexe! Seule, accompagnée, peu importe, elle en avait envie! Sentant quelque chose d'humide sur la bouche, elle voyait la Duchesse en contre plongée, elle ne voulait pas lécher mais sa langue sortait d'elle-même de sa bouche, tout comme les larmes sur ses joues et ce n'était pas vraiment à cause du scalpel. Sans le vouloir, elle venait la lécher, glissant d'abord doucement sa langue sur ses lèvres intimes, laissant ses larmes couler. Elle ne reniflait pas encore mais ce serait surement une question de temps. Elle avait beau avoir les mains libres, elle tenait les draps sous ses mains pour ne pas fondre en larmes. Elle restait quand même consciente un minimum malgré cette nouvelle drogue.
Avec de la chance, elle aura juste sa première expérience entre femmes, pas dans des conditions idéales mais mieux vaut cela que la mort, non? Même si elle ne prenait aucun plaisir pour le moment, elle devait résister, faire confiance à ses camarades au moins pour Kyoko, qu'elle puisse revoir sa maman ce soir. Elle fermait ses yeux, ne voulant pas voir la Duchesse prendre son plaisir, sa langue se faisait de plus en plus participante sans qu'elle ne donne son accord. Elle la léchait de plus en plus vite et plus profondément... Si sa langue commençait à agir comme ça, elle avait peur pour la suite, vraiment peur... surtout que ses esprits vont être embrouillés de plus en plus, ça fait de plus en plus peur mine de rien...
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La duchesse, ce nom à lui seul avait le pouvoir de faire frémir toute les catins et jeunes femmes du quartier de la toussaint. Depuis son évasions elle avait réussie à faire baisser le chiffre d'affaire des proxo de moitie, les putes ne voulant évidement plus travailler la nuit. Elle était devenue "la" prédatrice, la reine du Quartier de la toussaint, le sommet de la chaine alimentaire. Les médias avait cracher son image et vomie ses crimes sur toutes les ondes et tout les journaux télévisé, chaque semaines elle avait le droit aux gros titres et ceci même en période de "calme".
Elle était devenue l'ennemie publique numéros 1 de seikusu. Chacun de ses crimes était une vrai boucherie, chaque fois plus poussé dans l'atrocité, allant de la simple éviscération à l'épandage de tripes au quatre coins de la scène de crime. Les bars à présent n'osait même plus ouvrir à Delas de minuit, les rues étaient déserte de plus en plus tôt et même la police n'osait plus trainée dans le quartier de la toussaint dépasser une certaine heure. Lucrezia n'était à présent plus humaine, nan ! Elle était devenue un monstre au yeux de tous.
Parmi ses proies favorites Lucrezia comptait évidement les jeune femme entre 15 et 25 ans mais il lui était à plusieurs reprise arrivait d'enlever des gamine d'à peine âgées de 8 ans, oui ! vous pouvez le dire ! Lucrezia est vraiment un salope ! Elle n'avait aucune morale, aucune éthique, sa seul règle étant d'assouvir ses pulsions mortifères et cela quitte à violer et à tuer de façon atroce de jeunes filles innocentes. Mais rassurez vous, Il lui est arrivait à plusieurs reprise de tuer des hommes, des flics pour la pluparts.
Enfin bref, Pour l'heure la duchesse était occupée à prendre du plaisir, encore une fois au détriment d'une pauvre jeune femme et une policière de surcroit ! Elle lui avait mis dans les veine son horrible substance Aphrodisiaque, ou plutôt son philtre d'esclavagisme, brisant instantanément sa victime et la transformant quasi-instantanément en une gentille petite chienne bien obéissante.
La jeune policière se mise alors à lécher l'antre juteuse de la duchesse, avec encore un peut de retenue toutefois, mais cela n'était qu'une questions de temps avant que la jeune femme devienne un vraie petite chienne ! Lucrezia agrippa fermement la tête de tessou, n'hésitant pas à planter ses ongles dans le peau de cette dernière, la sensation qu'elle éprouver à ce moment précis la fit roulé des yeux vers le néon défectueux qui illuminer cette scènes crade et malsaine. La duchesse se mordit la lèvres inférieur avant de baisser son regard vers sa pauvre victime tremblotante et apeurée.
Voilà... continue... c'est bien comme ça... lèche comme la pauvre chienne que tu es à présent !
Tout à coup, Lucrezia ouvrit grand ses mirettes, une idée venait de lui traversée l'esprit et au vue de la situation, cela ne devait être en rien une bonne idée, ça je peut vous l'assurez.
Oh...oh...oh... je... je crois que ma vessie est sur le point... de craquer ! Tu m'excusera si je te pisse dans la bouche, hein, ma petite salope suceuse de commissaire ! dit elle, sur un ton narquois et moqueur.
Cet alors que lucrezia fit glisser sa main droite jusqu'à son entre-jambes, écartant par la suite ses lèvres pour finir par déverser son urine dans la bouche de Tessou. Immonde vous dites ? Je vous rappelle que la duchesse n'a aucun limite dans sa folie et puis, pour elle, pisser dans la bouche d'un flic, il n'y a rien de plus jouissif !
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah...aaaaahh... que c'est bon de pisser à la gueule des forces de l'ordre, tu à de la chance sa fait bien 7 heures que je ne m'était pas soulagée ♥ s'exclama t'elle en regardant sa pauvre victime d'un air supérieur. Bon aller ! maintenant tu me nettoie ! Mon petit "bidet de la justice" !!!!!♥♥♥
Puis, d'un geste violent elle vint coller la bouche de tessou encore dégoulinante d'urine contre son intimité, enfonçant ses ongles profondément dans le cuir chevelu de la jeune policière. La cruauté et la folie de la duchesse semblaient monter crescendo, poussant le sadisme de cette dernière à son paroxysme, un peut comme quant un requin sent l'odeur de l'hémoglobine. Lucrezia ne pouvait se retenir de devenir chaque secondes plus sauvage, violente et sadique. Une fois le petit "nettoyage" fini, Lucrezia se mise à violement agripper les seins de tessou et surement pas pour le plaisir de cette dernière, nan nan nan ! Lucrezia tout d'abord les serra très fort entre ses mains, les malaxant comme de vulgaire déstressant puis, elle vint enfoncer les ongles de ses pouces dans les tétons de la policière, cruelle, oui ! c'est bien ce qu'elle est !
Tu souffre ma belle ? évidement que tu souffre ! mais je te rassure... dit elle avant d'approcher sa bouche de l'oreille de tessou. Ce n'est que le début ♥
Pour la duchesse, il n'y à de limite que dans l'esprit et au vue de l'esprit de cette dernière... je vous laisse imaginez où sont les limites, cet ainsi qu'elle prit dans sa sacoche un bien étrange ustensile (http://www.google.fr/imgres?q=speculum+vaginal&um=1&sa=N&biw=1600&bih=900&hl=fr&tbm=isch&tbnid=qgegGYsfA9mD2M:&imgrefurl=http://www.medicalexpo.fr/prod/rudolf-riester/speculums-vaginaux-de-graeve-69880-419618.html&docid=Gt4XtEUiPwJ2SM&imgurl=http://img.medicalexpo.fr/images_me/photo-g/speculum-vaginal-de-graeve-69880-115349.jpg&w=602&h=600&ei=fWoKUvybN4f80QX13IG4Dg&zoom=1&iact=rc&dur=481&page=1&tbnh=138&tbnw=138&start=0&ndsp=44&ved=1t:429,r:14,s:0,i:130&tx=75&ty=82), un spéculum vaginal plus précisément, elle l'exhiba fièrement devant tessou avec toujours le même sourire de cinglée.
Tu sais ce que c'est n'est pas, hm ? Comme je ne suis pas bien sur que tu aye régulièrement chez ton gynécologue, je pense qu'une petite vérification à la sauce "lucrezia" s'impose, rassure toi, cette petite consultation ne te coutera que la modique somme de... ta vie AHAHAHAHAHAHHAHAHAHAAAHA ! Lui dit elle avant de lui balancer un bonne gifle sur la joue.
Suite à cela, La duchesse se retourna, afin de pouvoir commencer son "osculation". Effleurant tout d'abord les lèvres de tessou de sa main gantée, elle fini par délicatement enfoncer le spéculum au sein de l'antre chaude et humide de sa pauvre victimes... puis, elle commença à élargir l'ouverture, allant jusqu'à prendre un grande inspiration, afin d'humer l'odeur de cyprine qui s'échapper de celle-ci, Lucrezia adorait la cyprine, que ce soit la sienne ou celle de ses victimes. Le goût, l'odeur, propre à chaque femme, oui, Lucrezia était vraiment une pur cinglée, doublée d'un prédatrice sexuelle en puissance.
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Elle était faite comme un rat et plus les secondes passaient, plus l'issue de secours, le miracle se faisait attendre... sans même pointer le bout de son nez, sans même lui donner un indice pour dire, je suis là! Non, elle était libre de ses mouvements mais il y avait toujours l'effet de cette drogue et c'est à croire que rien ni personne ne pourra la sortir de ce cauchemar? Il y avait bien ses collègues mais il faut espérer que ses derniers ont trouvé une façon de la rejoindre dans son trou paumé et que maintenant, elle était proche de voir la lumière du jour, à nouveau – même si à cette heure, il devait presque faire nuit? Doucement mais surement en tout cas. La voilà réduite à devoir lécher l'entrejambe de cette folle... Dans un sens, heureusement qu'elle l'avait drogué, elle s'en serait vraiment voulu de faire ça de bon cœur à celle qui avait tué un de ses camarades... Dans un sens, vaut mieux ça que mourir tout de suite. Chaque seconde passé était un petit pas en plus vers la liberté mais quand sera-t-elle là cette liberté qu'elle désire tant? Sa langue se frottait contre ses lèvres intimes, devant parfois forcer l'entrée pour ne pas mourir sous le passage en force de ce couteau. Mais... si lécher une folle tueuse ne la dérangeait pas tellement à cause de l'aphrodisiaque, elle avait quand même ses limites morales ou même personnelles si bien que... lorsqu'elle lui demanda autre chose sans lui laisser la mauvaise surprise de faire ça sans rien dire, Tessou aurait voulu lui cracher au visage et lui dire de se rhabiller.
Mais elle ne pouvait pas. D'abord inquiète à ce qu'elle venait d'entendre, elle fut amèrement accueillie par ce liquide chaud qui coula en abondance dans sa bouche, retenue de force par cette folle. Elle ferma les yeux, sentait cette odeur, ce goût mais elle voulait pleurer sur le coup mais ça lui ferait trop plaisir. Elle voulait recracher mais ce ne fut que sur la fin qu'elle recracha ce qu'elle avait dans la bouche avec une envie de vomir qui la démangeait mais elle n'en fit rien. C'était dégouttant, elle voulait se rincer la bouche, se faire vomir, se laver tout l'estomac mais impossible, elle était toujours emprisonnée à ce lit. Elle voulait l'insulter mais elle était trop préoccupée à fabriquer de la bave et cracher ce gout immonde de sa bouche avant de soudainement crier sous l'agression mammaire qu'elle subissait! Elle avait beau gigoter, elle commençait à en avoir marre de souffrir! Que son chef arrive, que les autres viennent et plombent Lucrezia de plomb! Elle voulait revoir son homme mais dans des années, quand elle aura vu le mariage de Kyoko, quand elle aura vu grandir ses petits-enfants, pour l'heure, son unique fille était encore si jeune, elle n'avait pas encore un an! Pourquoi subir une telle épreuve?
Si la Duchesse ne faisait rien pour la calmer en plus, elle avait beau avoir un aphrodisiaque dans les veines, elle cherchait à exploiter la moindre faille dedans et trouver le courage de passer outre l'envie de luxure pour fuir cet endroit en l'assommant quand même avant. Ce fut Lucrezia qui l'aidait dans cette voie en lui présentant son outil avant de sentir le contacte froid de l'engin en elle. La gifle avait aussi aidé et en sentant la douleur naître, elle voyait son visage de folle se rapprocher de son intimité. Que ce soit l'adrénaline ou la peur – ou même les deux- Tessou prit son courage à deux mains en hurlant et en donnant un bon coup de pied dans la tête de la Duchesse, la faisant atterrir par terre avant de se relever. Tant pis pour ses dessous, tant pis pour son pantalon, elle devait fuir... ou la tuer? Il y avait situation de légitime défense ici? Sa vie était clairement menacée et même son supérieur pourrait la confirmer avec le message radio. Redressée, elle était heureuse de voir qu'elle avait toujours ses bottes elle en retira donc le couteau bien caché dans sa botte – pas même un indice de sa présence. Elle maintenait le couteau dans sa main, prête à s'en servir bien que tremblante. Elle faisait face – à quelques mètres – à la Duchesse. Elle était déterminée mais l'aphrodisiaque s'était dissipé juste pour le coup de pied, là... elle était de nouveau sous son emprise.
« N'approche pas... où je te tue... ce sera de la légi... légitime défense alors... tant pis pour le procès mais au moins, je les vengerais tous d'un coup! »
Toutes ses pauvres personnes tuées lors de ses sorties... quelle dingue celle-là! Maintenant elle devait gagner du temps et espérer voir ne serait-ce qu'un de ses camarades bien armée qui n'hésiterait pas à faire feu sur elle à la moindre parcelle de peau qu'il verrait d'elle...
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Voilà une réaction des plus inattendue, alors que la duchesse s'amuser à tripoter l'intimité de la jolie policière, cette dernier vint, dans un violent accès de courage, foutre son pied dans la tronche de la tueuse, ce qui eu pour effet de violement faire chuter notre duchesse sur le sol. Cette dernière se relevas quasiment aussitôt, quelque peut branlante sur ses jambes, avec un léger fil de sang venant à couler le long de ses lèvres turquoises, sang que notre tueuse essuya d'un geste.
Je... je rêve pas ? Tu m'as frappée ! Dit elle en regardant son propre sang sur son gant.
La jeune policière quant à elle, s'était relevée et elle avait entre les mains une belle lame crantée d'une quinzaines de centimètres.
« N'approche pas... où je te tue... ce sera de la légi... légitime défense alors... tant pis pour le procès mais au moins, je les vengerais tous d'un coup! »
je vais t'en foutre de la légitime défonce moi ! Salope !
Notre tueuse se saisit alors d'un vieux tuyaux rouillé qui trainée là, parmi bien d'autres débris puis elle s'avança lentement vers sa misérable proie qui tenez vainement une pauvre lame du bout de ses mains tremblantes.
Lucrezia se pourlécha les lèvres en regardant Tessou droit dans les yeux.
Je vais t'apprendre à jouer les héroïnes moi... Les gentils ne gagne pas dans la vrai vie, il crèvent ! Comme tout le monde ! J'ai buter assez de pauvres putes et de flics pour savoir se qu'est la mort... Elle et moi ont se connais bien...
La duchesse voyait bien que la pauvre femme lutter contre la drogue qu'elle lui avait injectée, notre tueuse n'aurait par conséquent aucun mal à reprendre le dessus sur cette policière fébrile et vacillante. Lucrezia n'eu qu'a faire un rapide pas en avant suivi d'un violent coup de barre de fer dans l'abdomen pour faire lourdement chuter la jeune femme.
AHAHAHAHHA ! VLAM ! OU SON TES ALLIES MAINTENANT, HEIN ?
La psychopathe s'accroupit prêt de la policière puis elle se saisit de la chevelure de cette dernière.
Vois tu, il n'y à aucune justice en se monde, tandis que les meurtriers perpétues leurs crimes, les bonne personnes, elles ! Elle crèvent ! Ne t'en fait pas, je serais encore là quand la petite fille qui apparait sur tes photos sera "violable" AHAHAHAH !
La main de la tueuse glissa sur le visage de l'agente, comme pour essuyer une larme puis... Lucrezia envoya violement la tête de sa victime conte le sol avant de ramasser le couteau de cette dernière et de l'envoyer à l'autre bout de la pièce. Suite à cela Lucrezia écarta la jambe droite de Tessou, veinant par la suite se mettre perpendiculaire à celle-ci, afin que son intimité vienne au contacte de celle de la jeune femme. Tandis que notre tueuse frottait son intimité contre celle de sa victime, elle vint mettre son talons contre la joue de la jeune femme.
Tu aime ça, hein ! Salope va ! dit elle en appuyant un peut plus contre le visage de sa pauvre victime.
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Comment ne pas avoir peur dans cette situation? Que ce soit pour elle ou... oui, surtout pour elle car Kyoko était encore en sécurité, ce n'était qu'un bébé et cette folle ne connaissait rien d'elle pour le moment, cela joue en sa faveur. Elle venait de se sortir de se mauvais pas alors pourquoi pas de cette situation tout court? Tessou était sûre d'elle, en agissant bien, elle va retourner la situation à son avantage et se sortir de ce trou à rat. Elle ne va pas forcément coincer la Duchesse et la livrer car sa priorité était sa survie mais elle ne comptait pas non plus la laisser s'en tirer. Elle prendre une pierre ou n'importe quoi pour lui fracasser le crâne et la laisser inconsciente. Armée de son couteau, elle était prête à tuer. Elle n'avait jamais tué, déjà blesser seulement. Mais elle sait comment tuer. Lui perforer le foie, en plein cœur, lui couper la jugulaire, il y a tant de façon simple d'en finir. Elle n'avait plus peur de la Duchesse, que ce soit momentané ou définitif, elle devait profiter de cette situation pour retourner la situation. Lucrezia pouvait bien délirer, elle ne perdait pas de vue sa mission, la mettre au sol, la maitriser et fuir une fois la Duchesse inconsciente. Ce n'était pas simple de se sentir sérieuse avec rien pour lui couvrir le bas du corps mais malgré sa pudeur, pour le coup, elle se fichait de ce détail.
Il lui fallut un moment, un instant en baissant sa garde à cause de la drogue qui lui donnait des envies de sexe. Un peu comme avoir un bouton de moustique qui démange mais que l'on refuse de gratter, c'était pareil maintenant sauf que ça lui faisait ça à la poitrine et entre les jambes. Un bref instant, un bref soupir, les paupières qui se fermait lentement d'elles-mêmes pour sentir le contacte du tuyau sur sa poitrine qui la fit chuter. Elle sentit sa tête se relever à cause de la folle qui lui tirait les cheveux pour la provoquer encore un peu en évoquant un sujet tabou et sensible, sa fille. Malgré que la peur l'avait gagner un court instant, elle retrouva sa dose de courage en tournant les yeux vers elle qui passait sa main sur sa joue.
« Je te tuerais bien avant ça espèce de tarée! »
Sa tête heurta le sol et la sonna un petit moment, surtout à cause des drogues, ne réagissant même pas quand sa jambe fut écartée mais sentir son intimité se frotter, entrer en contact avec celle de la folle en infirmière lui fit comme un électrochoc. Elle se serait cambré en sentant ça si son pied ne lui écrasait pas la joue. Elle la provoquait mais elle ne pouvait hélas pas dire le contraire, surement à cause de la drogue, elle... elle aimait ça, ça lui faisait du bien de retrouver ce genre de sensation perdu. Depuis la naissance de Kyoko et même avant, elle n'avait jamais fait l'amour ni même se « satisfaire » seule, homme, femme, objet, rien, elle était redevenue chaste mais ce soir, à cause de ce produit qui coulait en elle, difficile de dire qu'elle ne ressent rien. Sa main tâtonnait autour d'elle, cherchait son couteau ou une arme pour lui dégager la jambe mais elle n'avait plus de force pour la repousser. Remarque, c'était logique, les jambes sont huit fois plus fort que les bras donc...
« Vire ta... ta jambe de l... de là-aaaaaahhh! Naaaaan! »
Oui, malheureusement elle ressentait du plaisir à cette torture, avec la femme qui avait tué son collègue. Tessou se sentait sale d'aimer ça, surtout avec elle. Elle n'avait rien contre l'amour entre personnes du même sexe mais elle ne s'était jamais senti attirée par une femme, même pour essayer comme certaines le dise. Tentant vainement de repousser cette jambe, malgré son talon sur sa joue, elle avait beaucoup de mal à retenir ses gémissements et surtout son intimité d'où s'écoulait sa cyprine. Pourvu qu'on stop cette... douce... torture... Elle se détestait à aimer ça et se réconfortait en se disant que la drogue faisait une grosse part du travail.
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La jolie policière commençait enfin à prendre gout aux attouchements de la duchesse, la cyprine des deux femmes se mélangeait pour former petit à petit une flaque sur le sol, Lucrezia adorait la position du ciseaux, la douce sensation de son intimité contre celle de ses victimes était juste... Exquise ! Cette chaleur obscène qui envahie son bas ventre, cette odeur de chatte qui emplie ses narines, ce gout, ces pulsions étouffantes, cette irrépressible envie de sexe, 24h sur 24, oui, oui, oh grand OUI ! Lucrezia était belle est bien une "Lust Killer", une tueuse en série qui tue pour le sexe et pour la domination. Mais la lubricité morbide de la tueuse ne s'arrêtait pas là, La Duchesse avait ses préférences, comme les jeunes filles ou les gamines par exemple, leur petite vulve si belle et si douce, leur hymen intacte, leur lèvres immaculées, tout cela lui faisait perdre la tête !
hAaaaaAaAaAAAAAAnnnnnnn ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Bordel que c'est bon !
Les frottement de Lucrezia se firent plus intenses, la tueuse sentait que ça venait, elle sentais ce petit frissons si particulier monter crescendo dans son bas ventre, Elle accéléra encore la cadence en se tripotant frénétiquement le bourgeon, décuplant ainsi son plaisir sexuel, le petit frissons se mise alors à exploser en un millions de sensations différentes oui, OUI ! ELLE Y ETAIT !
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! S'exclamât elle dans un grand spasme accompagné d'une petite giclée de cyprine qui atterrie sur les seins de la policière. Lucrezia se laissat ensuite tomber sur le dos avant de lentement roulé sur le coté puis ce relever afin de changer la position de sa victime.
Dit moi... ma jolie... tu aime les fist ?
La tueuse était encore un peut essoufflée par le belle orgasme qu'elle venait d'avoir, mais elle était nullement rassasiée, ça, je peut vous l'assurez ! Elle bascula la jolie policière sur le ventre, cette dernière essaya vainement de lui tenir tête, mais visiblement, la drogue commençait petit à petit à détruire cette "résistance".
Allez ma belle, montre moi ton petit cul, cette rondelle bien serrée que les hommes adore nous explosez !
La tueuse écarta les fesses de la jolie policière puis elle se mise à lui lécher le contour de l'anus, histoire d'humidifier un peut cette cavité chaude et étroite. Mais la tueuse savait pertinemment que lubrifier l'entrée ne servait à rien, la preuve, l'anus de la jolie jeune femme commençait à s'élargir de lui même sous l'effet de l'aphrodisiaque. Lucrezia se pourlécha les lèvres avant d'enfoncer sa langue dans la rondelle de la policière, faisant tournoyer son appendice buccale dans la cavité rectal de la belle brune à lunette.
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Quelle horrible situation, non seulement elle risquait de mourir en faisant une orpheline mais en plus, dans son malheur, elle était violée. Oui, violée, un acte sexuel non consentant, si la Duchesse l'était, Tessou n'était pas vraiment d'accord avec cela. Mais à cause de la drogue, elle se sentait doucement de moins en moins perturbée par ce viol, une grosse partie d'elle-même avait peur et rêvait de voir ses collègues arrivées en défonçant la porte et cribler le corps de balle cette folle! Hélas, toujours aucun signe de ses collègues, ce qui faisait qu'elle était toujours entre les pattes de l'araignée... Pourvu qu'ils arrivent avant qu'elle ne perde la vie ou qu'elle soit trop humiliée par cette folle... Dire qu'elle partait confiante sur cette mission, entourée de ses collègues, elle se voyait déjà emmener la Duchesse pour un long séjour à la prison ou dans le pire des cas, avec une nouvelle flopée de preuves contre elle et pourtant là, elle était dans la pire des situations. La voilà livrée à sa première expérience entre femmes avec cette folle tordue qui, telle une veuve noire risquait de la tuer après avoir eu un orgasme... autant dire que Tessou était pressé que ça finisse comme le contraire.
Toujours à cause de ses drogues, elle commençait à aimer cela, cette sensation se faisait de plus en plus présente dans son corps, pas au point de devenir un véritable jouet sexuel de cette folle mais au moins assez pour que doucement les barrières tombes. Si elle aurait son couteau à portée de main, elle aurait pu planter sa lame dans son foie, son estomac ou sa poitrine mais son arme était bien trop loin et la notion même de bouger, de ramper vers cette arme disparaissait. Comme si son corps s'alourdissait tout seul. Surement un effet de la drogue? Le plaisir était présent, malheureusement, comment pouvait elle aimer cela? Quand bien même elle pourrait aimer avoir une relation lesbienne, même en oubliant sa promesse à Ryota, pourquoi ça devrait commencer avec cette folle? Pourquoi tant de haine contre elle alors qu'elle était bien la dernière femme à vouloir du mal aux autres? Depuis la mort de son futur mari et la naissance de leur fille, elle avait l'impression que le monde entier lui en voulait, lui mettant de plus en plus de bâton dans les roues. La vision de cette femme qui se rapprochait de l'orgasme en se touchant ne l'aidait vraiment pas, surtout en sachant que son propre plaisir grimpait aussi. Elle avait envie de pleurer, de fuir mais elle avait l'impression d'avoir les mains liées dans le béton, l'empêchant même de lever la main pour se reculer. Ses joues devaient rosir sous l'effet du plaisir, de la honte, les larmes augmentaient en même temps que le plaisir... quel étrange effet...
La Duchesse atteignait l'orgasme, aspergeant même Tessou de sa cyprine, cela avait quelque chose de dégouttant et... d'excitant. Mon dieu, cette drogue se rependait de plus en plus en elle comme son propre sang... Elle avait rapidement rejoint l'infirmière des enfers dans l'orgasme, aspergeant aussi cette trainée de sa semence. Ce qu'elle pouvait avoir honte d'éprouver du plaisir, honte qu'une part d'elle-même ai aimé cela, honte de voir cette folle heureuse de la situation à cause de son incompétence. Mais la torture n'était pas fini, Lucrezia s'approcha d'elle, lui demandant une chose bien étrange? Fist? Elle ignorait ce que c'était car Tessou n'était pas tellement porté sur le sexe, même avec Ryota, il y a bien eut quelques scènes intimes secretes entre eux, des « expériences » mais ils restaient un couple très lambda et on ne pouvait pas dire que Tessou se montrait curieuse, surtout depuis la perte de son futur mari. Se faisant manipuler comme une poupée, elle se retrouva sur le ventre, devenant un véritable jouet pour l'infirmière diabolique. Elle tenta de tourner la tête, savoir ce qu'elle lui voulait?
« Dé... gage... dé...gAAAAAAAAGE? »
Qu'est-ce qu'elle lui faisait cette dingue? Elle lui léchait le... comme un chien? Mais qu'est-ce qu'elle fabrique? Folle à ce point, c'est possible? C'est ça un fist? Lui lécher l'anus mais... mais c'est dégoûtant! C'est vrai quoi, c'est là que les gens « expulsent » leur aliment digéré, compacté, tout ça. Si encore ça serait lui lécher les fesses... elle aurait légèrement compris le but mais vraiment son anus, là, ça partait loin. Le corps nue – malgré sa veste encore sur le dos – Tessou était incapable de fuir, observant sa main avec l'ultime supplice de bouger, de la faire ramper doucement vers la sortie mais impossible, elle se sentait incapable de bouger le bras, l'avant-bras plutôt. Car ses épaules pouvaient un peu remuer, comme ses hanches mais pas user de ses jambes sous les genoux. Face aux coups de langues de la Duchesse, étrange et agréable... foutue drogue... Tessou voulait fuir, espérer voire venir ses amis pour la sauver avant que ça n'empire et... ça empirait justement.
Alors que sa langue avait quitté son corps, elle sentait autre chose venir, tournant autour de son trou et doucement en forcer l'entrée. Elle sentait ses yeux quitter son corps au fur et à mesure que ses doigts s'infiltraient en elle. Comme une vieille poupée mécanique, elle tourna sa tête par-dessus l'épaule, voyant cette cinglée lui rentrer sa main dans son... dans son cul?! Elle était vraiment folle! Cette fois, elle ne les sentait plus venir, ses larmes coulaient, déjà qu'elle avait peu de force pour parler, sa gorge se nouait sous la pression des émotions quand l'infirmière du diable enfonça de plus en plus sa main, sa respiration était saccadée par la peur avec une infime part de plaisir mais très petite. C'était nouveau, bizarre mais cette maudite drogue lui faisait aimer cela alors qu'elle souffrait de plus en plus. Elle voulait fuir cette pièce de la folie mais impossible. Ses larmes coulaient, le plaisir naissait comme une toute petite flamme dans l'obscurité. Impossible de parler, de supplier, elle alternait ses regards, observant parfois cette dingue, parfois le mur, voulant se réveiller de ce mauvais rêve mais... la voilà dans un cauchemar sans fin apparemment...
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La drogue commencer à faire son petit effet, ça ce sentait, les barrières de la jeune policière s'effondraient peu à peu, comme un misérable châteaux de carte. Lucrezia était le sinistre visage de cette ville, une femme monstrueuse qui avait insufflée à cette ville une véritable psychose, au même titre qu'une fameuse légende urbaine japonaise "la femme à la bouche fendue", sauf que là, Lucrezia était bel et bien réelle. Les putes ne sortait quasiment plus, un couvre feu avait d'ailleurs était mis en place par certains yakuza afin de limiter les "perte", rares étaient les lycéennes qui rentrais chez elles à pied et... Et les dealers ce faisait de moins en moins de blés, Lucrezia ayant constamment besoin de drogue, il n'était pas rare qu'elle en vienne à en tuer quelques un pour réapprovisionner les stocks. La Duchesse s'était forgée une sale, très sale réputation, la pègre comme la police cherchaient désespérément à la coincer et certaines justicières masquées ne manquaient pas de vouloir lui tomber dessus elles aussi. Malheureusement, la paranoïa de Lulu la rendait particulièrement prudente, et son intelligence tordue lui permettait toujours d’échafauder des plan afin de ce sortir des situation les plus délicates.
Là, Lulu avait son poing dans le derche de sa victime et... Ouai... C'est pas super glamour comme truc, mais allait savoir, les tueurs en séries sont vraiment tordue par moment... Lucrezia avait un sacré palmarès de dérèglement d'ordre "mental", d'anormalité et de psychose multiples. C'était un sujet passionnant pour les psychiatres et dieu sais qu'elle en a vue, toutefois, Lulu était aussi un patiente très complexe, à plusieurs reprise les psychiatres c'étaient penchée sur son attirance particulière envers les femmes... Pourquoi elles ? Pourquoi s'attaque t'elle au femmes et non aux hommes ? c'était là, une des questions récurrentes qui tournait autour de la Duchesse.
Enfin bref, Lucrezia fini par lentement retirer son poing du cul de sa victime, un immense sourire sur le visage. Bordel qu'elle aimait voir ses victimes souffrir ! Le regard emplie de sadisme de la Duchesse vint alors à descendre sur l'intimité de Tessou et... Oui ! Elle mouillait !
AahahahahaAHAHAHAHAHAAHAAAAAAAAAHAHAHAHA ! Tu mouiiiiiiiiiille ma chiennnasse ! AHAHAHA ! Je doit bien avouer que l'anal, moi, ça me met dans tout mes états ! Quand on m'encule j'adore ça ! AHAHAH !
Sur ces belles paroles, Lulu vint alors à lécher l'intimité de Tessou, jouant habilement avec sa langue, titillant vigoureusement les lèvres intime de la jeune femme, appréciant avec gourmandise, la cyprine de cette dernière. Lucrezia prenait vraiment son pied là ! Brouter du minou, c'est vraiment génial ! C'est différent que de sucer une bite mais... Diable ça avait son charme ! La Duchesse était vraiment un tordue comme il n'y en à pas deux dans cette ville... Enfin, ci... Il y en a une autre... Une gamine sinistre, armée d'une tronçonneuse, vous voyez de qui je veux parler bien sur ? Oui ? Non ?... Bref... Le fait d'avoir foutu son point dans les fesses de la policière, ça avait méchamment donnée à Lulu l'envie de ce faire enculer, sauf que... Bas là... Il n'y avait pas d'homme.
La Duchesse stoppa alors ses soins buccaux, pour se remettre à farfouiller dans sa petite sacoche.
Voyons, voyons... Mince, où diable l'ais je mis ? Hmmmm... nan... Pas ça... Zut !
Ce que Lulu cherchait en réalité c'était une sorte de grosse seringue sans aiguille, un truc d'un diamètre de cinq à sept centimètres que Lucrezia aimait ce mettre dans des endroits incongrus. Mais visiblement, elle ne l'avait pas sur elle pour le coup.
Hmmm... Pas grave... Nous nous contenterons de ce que nous avons...
Et hop ! Lulu se remise à lécher sa victime avec plus de fougue encore, n'hésitant pas le moins du monde à lui morde le clitoris avec avidité et sadisme, tout en passant frénétiquement sa langue dessus. Les mains de la tueuse n'était quant à elles pas en restes, ces dernière caressait le pubis de la policière avec délicatesse, frottant doucereusement le peut de poils qui y était présents. Et cet après une petite dizaine de minutes que Lucrezia vint enfin à retirer sa bouche de l'intimité de Tessou, avant de la remettre sur le dos, comme une pauvre crêpe.
Au vue de tout les petits gémissement que tu poussait, j'en conclue que tu commence à aimer ça... Alors maintenant, ont va vraiment commencer à s'amuser... Ihihih...
Lentement, Lucrezia vint à se mettre sur sa victime, en position du missionnaire, avant de délicatement l'embrasser dans le cou, tout en se masturbant allègrement.
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Quel enfer... Tessou ne savait pas comment fuir, son collègue était déjà mort et il est fort possible qu'elle ait titillé la mort via ses quelques rébellions depuis le début de cette torture. Mais la jeune femme avait beau être prisonnière, elle n'abandonnait pas si vite. Car dans son dos, il y avait sa fille qui attendait sa mère, il y avait sa famille, ses collègues, trop de gens comptaient sur elle et baisser les bras n'était pas son genre. Elle a su vivre seule avec Kyoko en l'élevant seule, sans son homme à ses côtés alors ce n'était cette folle de Duchesse qui allait lui causer des ennuis quand même! Bon... malgré son courage et son esprit, elle pouvait difficilement se sentir forte avec une main dans le cul... Oui, Lucrézia avait volé beaucoup de première fois avec Tessou. Si dans un de ces rêves ou même pour plaisanter, elle aurait pu penser embrasser une femme, se retrouver avec une main entière en elle, à cet endroit... Jamais elle n'y aurait ne serait-ce que frôler cette idée! C'était très gênant, embarrassant et qui plus est, dans cette souffrance, elle éprouvait une pointe de plaisir. La drogue devait aider à ne pas avoir trop mal comme à aimer aussi cette sensation mais la jeune femme n'était clairement pas à sa place ici, surtout avec cette femme.
Il y avait un peu de plaisir dans cette forme de sexe mais aussi de la souffrance car Tessou est loin de faire dans l'anal, même tout court, cela fait plus de neuf mois qu'elle n'a eu aucun rapport, ni même seule. Ryota avait été le seul homme de sa vie après tout et elle lui avait juré fidélité bien qu'ils n'aient été jamais marier et cette folle était en train de détruire cette promesse ce qui la faisait sentir coupable aussi. Bien sur, c'était un viol, elle n'était en rien consentante mais Tessou ressentait un peu de plaisir et c'est de ça qu'elle se sentait coupable justement. Ici aussi ce n'était pas sa faute mais n'importe quelle femme violée qui éprouverait un minimum de plaisir dans l'acte, bien que non intentionnel et désiré s'en voudrait pour ce genre de sentiment. En plus il y avait un côté dégoûtant, même pour la Duchesse. Eh bien quand elle va retirer son poing... forcément... ça ne sentira pas la rose.... Mais même avec ce détail, elle semblait prendre son pied, même une fois sa main retirée, pour la jeune femme, c'était presque des moqueries dans sa voix. Si elle croit qu'elle mouille volontairement. Elle retenait avec force ses larmes mais ça devenait compliqué à force.
Elle avait envie de la remettre à sa place, de l'envoyer chier mais elle avait déjà du mal à contenir ses larmes et sentir sa langue sur son intimité n'arrangea pas les choses, dur de retenir ses larmes, ses gémissements et sa pudeur. Elle lui arrachait une à une toutes les couches de ses protections et elle finira bien par devenir aussi vulnérable que possible à force... Cette folle semblait vraiment apprécier cela. Bien sur, cela devait se passer ainsi entre lesbiennes mais Tessou n'en était pas une. Peut-être que la Duchesse l'était mais pas elle bon sang! Elle se détestait d'aimer cela, elle voulait éloigner cette folle mais plus elle se forçait à essayer et plus elle avait l'impression que la Duchesse était invulnérable, que le simple fait de la toucher pourrait lui bruler la main. Bien qu'elle fît une pause pour chercher quelque chose, elle remua doucement, cherchant un moyen de fuir mais cette drogue la rendait aussi active qu'un escargot. Elle avait peur que cette folle sorte un couteau mais elle n'en fit rien avant de replonger sa tête entre ses jambes pour cette fois-ci y aller aussi avec les dents. Tessou se plaignait, cela s'entendait dans ses gémissements mais comme toujours, c'était un mélange entre la douleur et le plaisir. Même si elle la caressait un peu avec ses doigts, cela ne retirait en rien sa douleur.
« Non.... A-arrê...tte-ça... »
Même parler semblait être aussi, sa main arrivait vers la tête de la Duchesse mais même si elle tentait de la repousser, c'est à peine si elle arrivait à poser sa main sur sa tête. Même si elle avait profité de cette méthode une bonne dizaine de minutes, Tessou n'avait pas encore joui mais elle y était à deux doigts. Lucrézia la narguait encore un peu avant de l'embrasser en se posant sur elle mais il ne fallut pas longtemps à Tessou pour, non pas jouir mais... comment dire... avoir une fuite. La Duchesse avait commencé à faire sentir ses lèvres intimes sur les siennes mais elle-même ne saurait expliquer cette fuite... La drogue surement car elle n'avait pas senti d'envie pressante. Même si elle était en train de vider sa vessie à un moment pareil, elle ferma les yeux en tournant la tête, retenant ses larmes avec le plus de difficulté possible alors que le jet doré arrosait autant la Duchesse qu'elle-même. C'était dégoûtant! Elle avait de plus en plus honte mais comment se sortir de ce pétrin... la situation empirait de plus en plus.
« Dégage... de là!!! »
Avec autant de volonté que de force, elle tenta de gifler la Duchesse et même si c'était bien parti, sa baffe avait perdu en vitesse pour simplement se coller sur sa joie. C'était même pas une petite baffe. Elle tentait de la repousser mais avant autant de force que... Qu'une personne vivant en ralentit.
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Et hop, au moment ou elle s'y attendais le moins, la policière vint à littéralement se vider contre Lucrezia, alors même que leurs deux chattes était collées l'une à l'autre. Notre Duchesse fut alors parcourue par un intense frissons de plaisir, sentir contre elle ce liquide chaud c'était... Sale, pervers, obscène et tout simplement dégueulasse mais diantre, qu'est ce qu'elle, elle aimait ça.
Aaaaaaaah.. Ouiiiiii, pisse sur moi ma jolie, vide toi donc, utilise une dernière fois ta vessie, avant que je te la retire, HaaaAAAAAAaaAaAAan ! et que je repende tes tripes sur le sol et que j'embrasse ton utérus...
Un fuguasse baiser fut distraitement déposé sur le joue de Tessou, avant de longuement la regarder dans les yeux, caressant sa joue gauche en remettant en place une petite mèche un peux trop de travers. Puis...
Lucrezia ramassa son scalpel...
Tu sais d'où elles me viennent ? hein ?... Eut elle dit en léchant son scalpel sur le revers de la lame.
Mes cicatrices... Tu sais de qui je les tiens... Pour de vrai ? J'ai pas pour habitude de le dire... Mais j'ai vraiment envie que tu sache qu'en ce monde, y'a pas d'justice...
ET VLAM ! Violement, Lucrezia vint à saisir tessou en enserrant ses jolies petites joue entre ses doigts. Lucrezia y était... Elle aller commencer les choses sérieuses, soit, les mutilations.
C'est l'histoire tragique d'une petite fille et de sa mère.
Le père tout les soir monte à l'étage.
Abuse de la chair de sa chair
Mais cette dernière, un soir a refusée...
Lentement, notre Duchesse vint à rapprocher son visage de celui de la policière. Passant par la suite la lame du scalpel contre la gorge de la pauvre femme.
Alors il prit la lame de rasoir...
Et a greffée sa haine sur le visage de sa propre fille... Moi...
Tu vois... y'a pas d'justice...
Lucrezia planta légèrement le bout de sa lame dans la chair de sa victime, juste au niveau de la gorge. Puis elle la fit lentement descendre jusqu'à atteindre son sternum. Laissant une grande marque rouge sur le corps de la pauvre tessou, qui se mis à sangloter comme une gamine.
J'ai haïe... Je haie... Et j'haïrais toujours le bâtard qu'était mon père... T'ENTEND !? HEIN !? C’ÉTAIT UN CONNARDS !!!!
et la... c'était partis... Lucrezia lâchât violemment la tête de tessou, lui envoyant ensuite, trois à quatre grandes gifles en travers la tronche, avant de se mettre lentement taillader sur tous le corps. Lui affligeant de petite plaies, plus ou moins profondes sur son corps, plus particulièrement les seins et l'abdomens.
Lulu commençait à totalement perdre pied, ses yeux, déjà pas bien lumineux, vinrent à totalement s’assombrir.
tendis qu'elle marquais lourdement le corps de la jeune Tessou avec son scalpel, allant jusqu'à lui dessiner un cœur au niveau du dit organe, en prenant soins de bien forcer sur la lame.
J'vais me masturber sur ton cadavre, t'arracher l'utérus et me doigter, encore, encore... haaaAAAAn... et encore... T'es tellement belle avec toutes ses marques... Tu es tellement jolie quand tu pleure... J'ai pas envie que tout s'arrête... Rien ne doit s'arrêter... Mais tout fini par s'arrêter un jour ou l'autre... Donc on recommence à chaque fois, sur de nouvelles bases... Et puis sa ce fini une nouvelle fois... Vous n'êtes décidément pas humaines... Vous êtes juste des objets... Des trophées que je "lui" offre... Maman me regarde et elle m'aime, parce que je ne l'oublie pas... Parce que Maman de doit plus souffrir...
Les mains de Lulu vinrent à redescendre au niveau de la vulve de tessou, avant de finalement de mettre la mutiler. Passant lentement le scalpel sur les lèvres de la jeune femme, ainsi que sur les paroi intérieur de celle-ci
Tu me répugne...
Toutefois, à l'extérieur de cette endroit crasseux, les forces de polices commençait à ce mobiliser, afin de retrouver Tessou. Le cadavre de son collègue avait était retrouvé et il ne faisait à présent plus aucun doute que la jeune policière était entre les griffes de Lucrezia, le tout étant maintenant de savoir, où elles étaient.
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Trop c'est trop... Tessou avait l'impression que plus le temps passait et plus elle dansait avec la mort, sa vie pourrait se couper à tout instant... Elle avait cette peur que la Duchesse ne décide d'en finir de suite et ne la tue comme ça, rapidement tout comme elle avait peur que cette sadique ne lui fasse le contraire, qu'elle y aille doucement et que ce soit long. Malgré la drogue qui l'empêchait de raisonner calmement, elle tentait de garder l'esprit clair, de tenir bout, pensant à Kyoko pour se redresser, coller un pain à cette folle et se barrer d'ici. Même si elle avait pu la repousser il y a quelques minutes, elle a laissé filer cette chance. Elle n'aurait pas dû réfléchir et se révolter en la repoussant, prenant un scalpel ou autres et la tuer. Légitime défense ou non – on sait jamais selon certains avocats – personne n'aurait souhaité mettre une jeune mère de famille, seule avec un bébé à charge dans une prison pour avoir tué une folle qui de toute évidence l'a torturé après de nombreuses autres femmes qui n'avaient pas eu la chance de survivre. Faut dire que ce qui restait d'elles, on comprenait qu'une mort rapide aurait été la meilleure solution...
Cette folle se faisait de plus en plus proche, venant lui narrer une histoire, son histoire. Tessou était toujours effrayé, aussi car elle tenait une lame de rasoir entre ses doigts et que sa main n'était pas éloignée de son visage... au contraire. Cette histoire, si elle était vraie, était triste. Cela marque surement la naissance de cette folie meurtrière mais qui irait se réjouir d'une enfant violée par son propre père? Même à son pire ennemi, on ne souhaite pas ce genre de chose. Les enfants sont toujours innocents et ils sont bien souvent la cible de la folie des adultes. Tessou avait travaillé sur de nombreux dossiers en rapport avec des enfants, pédophilie, trafique d'enfants, maltraitance, elle trouvait qu'à Seikusu – et partout dans le monde – quand on dit que c'est les plus faibles qui trinquent, c'est souvent enfants. Même si elle voulait aider un maximum de personnes innocentes, elle se disait que les enfants étaient prioritaires quand même. Cela dit, elle était d'accord avec elle pour une fois, elle avait raison de haïr ce type qui était censé être son père mais dans sa folie qui la forçait à lui lacérer le corps, elle n'arrivait pas à en placer une.
Elle tentait de retenir ses hurlements mais parfois, elle était obligée de crier en évitant de bouger. Déjà qu'elle se faisait charcuter, elle n'avait pas envie d'empirer son cas surtout quand on sait vers quel endroit se balade cette petite lame. Mais Tessou réussit à lui retenir les mains, trouvant la faible force malgré la drogue...
« Je comprends que tu le détestes m-mais... pourquoi m'en vouloir à moi et-et aux autres? »
C'est vrai quoi, une certaine « logique » voudrait qu'elle s'acharne sur les hommes et précisément les pères de famille, ressemblant à ce mauvais père qu'elle avait hors là, elle s'en prend aux femmes? Quelle est la logique alors? Pourquoi s'en prendre aux femmes? Elle avait évoqué sa mère, elle souffrait mais que faisait sa mère alors? Pendant que sa fille était torturée, elle savait? Elle l'a aidé à tuer son père? Elle a fermé les yeux? Tessou sentait que cette question et pire, cette supposition lui couterait cher mais elle tentait le tout pour le tout. C'était peut-être la corde sensible à attraper?
« Et ta mère... »
Voilà qui était le coup de fouet qu'il fallait, elle avait tirer la pièce en l'air, pile, ça lui sauve la vie, face, ça la tue plus ou moins rapidement. Le hic était qu'elle ne risquerait pas de voir quel côté de la pièce est tombé donc seule Lucrezia tenait la vie de Tessou entre ses mains.
« Tu crois que... elle serait fière de voir tuer une femme... qui est comme elle... une mère qui veut protéger sa fille? »
La pièce était retombé, quel côté avait-elle eu? Tessou ferait tout pour sauver sa vie et elle tentait de gagner un peu de temps ou bien de gagner tout court. Est-ce que cette folle avait un coeur? Est-ce qu'elle avait réussi à l'atteindre ou bien à la place il n'y avait qu'un trou sans fond, rien ni personne ne réussirait à combler ce vide?
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« Et ta mère... »
Bam... Cette phrase, que dit je ! c'est trois morceau de mots firent l'effet d'une bombe dans la tête de Lucrezia, la faisant écarquiller ses yeux d'un coup.
« Tu crois que... elle serait fière de voir tuer une femme... qui est comme elle... une mère qui veut protéger sa fille? »
Et hop ! second service... Nan, franchement... Cette femme était peut être une bonne policière, en revanche, elle serait une psychiatre des plus médiocre. Et, même ci on part du principe qu'elle soit "mal renseignée" sur la Duchesse, jouer ainsi avec la partit la plus sensible de son être était fortement déconseillé... d'ailleurs, Une certaine petite justicière masquée en fera les frais plus tard.
L'espace de quelque instant, qui semblèrent durer une éternité à lucrezia, les deux femmes ce regardèrent dans les yeux... les mains de la tueuse étaient tremblantes, son regard comme figée dans un vide profond... Avant qu'une larme ne ce mette à couler sur l'une de ses joues.
Que... Pourquoi... Lâchât elle alors d'une voix déformée par un mélange de tristesse et de colère. Pou-Pourquoi tu dit ça... Pourquoi tu parle d'elle comme ça... POURQUOI !!!?
SBAFF ! et un bon coup de poings dans la tronche de cette petite pute un peu trop conne... mais juste un peu. Et ce ne fut que le premier d'une dizaines d'autres violent coups de poings qui atteignirent le visage de la jeune tessou, faisant voler les lunettes de la jeune femme contre le sol, alors qu'au fur et à mesure qu'elle donnait des coups, Lucrezia se mit à pleurer à chaude larmes en mélangeant hurlement de colère et gémissement de tristesse, cette complainte ce mélangeant au bruit de ses poings s'écrasant contre le visage de la jeune policière.
TA GUEULE ! TA GUEULE ! FERME LA, JE VEUX PAS T'ENTENDRE, JE VAIS TE BUTER TOI ET TON LARDEAU DE MERDE ! J'IRAIS PISSER SUR TA TOMBE DE PUTE !!!!!!!!!!!! T'ENTE- T-T-T T'ENT-... C'EST DE MA MÈRE DONT TU PAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARLE !!!!!!! T'AS PAS LE DROOOOIIT ! FERME TA GUEULE ! TA GUEULE ! J-... JE...je...
Lucrezia essuyât du revers de sa mains plusieurs larmes en gémissant comme un petite fille, reniflant à plusieurs reprise, avant de finalement lâcher son scalpel contre le sol tout en ce relevant. Elle était quelque peut branlante sur ses jambes et des larmes continuait de couler le long de ses joues... Oui, Tessou avait manifestement touché un point très sensible... trop sensible.
JE TE DÉTESTE !!!!!!!!!!!!!!! S'exclamat elle en essuyant une nouvelle fois ses larmes. Je... Je vais...
Lentement Lucrezia attrapa un vieux tuyaux qui traînait par terre puis... tout en continuant de pleurer... Elle se rapprochât de tessou... Un regard mauvais au fond des yeux, un mélange sinistre entre de la tristesse et de la haine...
Je.... Tu peut pas comprendre.... Personne ne le peut... Vous me jugez et me détruisez sans cesse... Laissez moi ! LAISSE MOI ! L'espace de quelque instant, La duchesse reprit son souffle, détournant son regard de Tessou en ce mordant les lèvres. Elle n'y arrivait pas... Elle ne pouvait pas ce calmer... Lentement, la jeune femme ferma les paupières, laissant alors couler d'autres larmes sur son visage.
Je veux...JE VAIS TE TUEEEEEEEEEEEEEEEER !!!!!! S'écriat elle en tournant se vers tessou, levant au même moment le tuyaux au dessus de sa tête, prête à frapper. Une fois encore les des femmes ce regardèrent... Le visage de lulu ce contracta d'un coup, puis... Alors que la tueuse fixait la policière, elle revit l'espace d'un instant le visage de sa mère... cela la fit légèrment hésiter puis... Aussi vite qu'elle était venue cette illusion vint à s’enfuir, remontrant alors le visage couvert de bleu de Tessou. La poigne de Lucrezia se refermit alors autour de tuyaux et,alrs que des larmes continuait de couler sur ses joues... elle ce lançât en hurlant de rage.
CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE !!!!!!!!
Mais alors que le bout de ferraille semblait prêt à heurter le crane de la policière, Lucrezia eu une autre vision qui, fort heureusement pour tessou, la fit, juste a coté de sa tête, éclatant le sol, au lieu de son jolie visage. Suite à ça... un long silence vint à s'emparer de la scène... Lucrezia se mit alors à sangloter en tremblant légèrement, avant de finalement lacher son arme de fortune sur le sol et ce remettre à pleurer, allant par la suite s'adosser contre un mur, mains sur le visage. Lentement, elle vint à s’asseoir sur le sol en position foetal et, comme la pauvre gamine qu'elle était... elle ce mit à pleurer... mains sur le visage.
Tessou avait manifestement bien jouée... La jeune femme était entrain de gagner de précieuses secondes... car, bientôt, la police allait venir. Certes, Lulu les entendrait venir de loin avec la résonances dans les galerie, et surement réussirait elle une fois de plus à fuir mais... Tessou serait surement encore en vie... Enfin, si Lulu de ce relève pas d'un bon pour la tuer.
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La situation actuelle pouvait être pire que ça. Mais pire que ça, ce serait la torture ou la mort à petit feu. Quoique ça équivaut à la torture ça ? Pire que ça, ce serait de savoir sa fille ou sa famille en danger, maintenant mais heureusement, la Duchesse n'était pas le genre de folle à bosser avec toute une équipe pour tuer des gens, tous en même temps, que ce soit pour simplement tuer ou soutirez des informations. Face à elle, Tessou tentait la dernière carte qui lui restait entre les mains, à savoir, la carte de sa mère. À l'écouter, sa mère était vraiment une personne importante dans sa vie. Tous les fous et les dangereux avaient bien au moins une personne qu'ils chérissaient, à qui ils cachaient leur crime pour rester une personne normale à leurs yeux. Parfois, il n'y avait personne, vivante ou non, existante ou non mais vu sa situation, elle ne risquait rien ? Au contraire, elle pourrait si sa se trouve quitté cet endroit, le souvenir de sa mère la rendant coupable et la Duchesse abandonnant sa victime. Dans son parcours, il y a bien eu une victime qui s'en était tiré, même si elle a failli mourir, elle était en vie et si ça se trouve, ce sera le cas pour elle aussi ?
Malheureusement, ce n'était pas la bonne pioche, après un court laps de temps où la Duchesse semblait déconnectée de la réalité, elle s'était mise à entrer dans une rage folle, venant cogner Tessou. Oui, cela faisait mal, la jeune femme avait peur que la mort n'arrive plus vite que prévue, que Kyoko et sa famille soient en danger mais elle préférait de loin la violence physique à celle d'une arme blanche ou de savoir ses proches en danger. Car Lucrezia lâchait bien des menaces à son encontre et celle de sa famille mais qu'est-ce qui lui fait dire que ce sera vraiment le cas ? Peut-être qu'une fois morte, elle va l'oublier comme tout les cadavres qui se trouvent dans son placard ? Tessou ne savait pas compris de coup elle avait pris, elle ne savait même pas comment elle ouvrait réfléchir. Sa tête devait être déformé par les bleus et les entailles, non ? Cela dit, elle observait la Duchesse, elle ne voulait pas fuir son regard, quitte à mourir, ce sera en la regardant, pas en fuyant !
Même lorsque cette barre de fer se levait, elle craignait le pire mais elle tenait bon, serrant ses poings, elle voulait affronter la mort en face. Elle allait peut-être abandonner mais non. Quand la barre de fer tomba vers elle, elle ferma les yeux – même si l'un d'eux était déjà bien fermé – mais la barre cogna le sol et non elle. Changement d'avis ? Non, son regard était toujours braqué sur elle et elle était toujours en vie... Lucrezia fila dans un coin, même Tessou avait de la pitié pour elle en la voyant ainsi. Mais sans faire de bruit, elle se redressa pour s’asseoir contre un mur, analysant ses chances de fuite. Elle ne savait même pas où elle se trouvait, quand bien même elle pourrait quitter cette salle... et après ? Tessou ne pouvait que compter que la chance qui semblait faire assez attention à elle pour éviter que la Duchesse n'allonge sa liste de victime. La jeune mère cherchait une solution mais la solution se rapprochait le plus discrètement possible. Tessou aimerait bien tenter de calmer le jeu maintenant que la Duchesse semblait assez calmée pour parlé mais malheureusement, elle marchait sur un terrain miné, de plus, qui sait ce que sera sa réaction ? Avec ses lèvres fendues ici et là, parlé risquait de la faire un peu plus souffrir encore.
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Là… Adossée contre un mur dans son coin, la sinistre Duchesse était entrain de gémir et de pleurer, ce lamentant sur son sort une fois de plus faisant alors abstraction de sa victime. Elle était complètement perdue… paumée dans ses pensées. Toutefois, la policière ne devait pas croire que Lucrezia ne reprenait plus un danger, loin de là ! La moindre incartade, le moindre faux pas pourrait coûter la vie de Tessou.
« Je... »
Lentement, sans bouger de sa place, Lucrezia se mit alors a marmonner, avant de ce mettre à regarder sa victime au fond des yeux avec un regard mauvais. Elle devais la tuer… Elle devait finir ce qu'elle a commencer… Lucrezia ne pouvait tout simplement pas la laisser en vie. C'est donc avec un calme effrayant que Lucrezia vint à ce saisir du couteau que tessou avait du lâcher tout à l'heure, avant de finalement ce relever, ne quittant pas la jeune policière du regard. Puis toujours aussi calmement, la tueuse vint a s'approcher de sa victime, cette dernière étant assise contre un mur, la regardant droit dans les yeux.
« Je vais te tuer… Tu ne m'a pas amusée du tout… C'était pourtant pas compliqué… »
Et vlam, Lucrezia vint alors a ce jeter sur Tessou, mais la policière sue retenir le bras de la tueuse a temps, évitant de peut de ce faire pourfendre l'abdomen. Les deux femme se battèrent ensuite au a même le sol, chacune rendant coup pour coup les attaque de son adversaire, avant que, finallement, la policière vienne a donner un grand coup de pied dans le ventre de Lucrezia qui alla donc s'affaler sur le carrelage souillée de cette pièce sombre et sinistre.
« Raaah… Ah… Ah… »
Entre temps, lucrezia avait lâchée son couteaux mais… Alors qu'elle tenta de ce lever, un bruit vint à l'alerter…. Un bruit qui la fit frémir en lui donnant une chair de poule de tout les diable un bruit qu'elle haissait… Un bruit don elle avait peur, tout simplement. Ce bruit c'était… des Aboiements.
« Que… Reuh.. ha bordel… Putain pas les ch… »
Lucrezia ce releva alors d'un bon, le regard paniquée. Elle ne pouvaitpas rester là, ces chiens là… c'était forcement la police ! Mais d'un autre cotés, elle ne pouvait pas non plus laisser cette pute en vie et.. Et…
« Merde… »
Sans prendre le temps d'en dire plus, la femme prit avec elle sa petite sacoche, avant de se diriger à toute allure vers la porte, avant de regarder une dernière fois tessou dans les yeux et de lui dire.
« Je ne t'oublierais pas… Tessou Tsuzuri… » Elle esquissa un mince sourire, puis disparue dans les ténèbres, laissant là une pauvre femme qui, ce soir, avait eu la chance de sa vie, celle de survivre a la Duchesse.
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C'était dur, elle faisait face à cette femme en sachant qu'elle risquait sa vie tôt ou tard. La Duchesse pourrait en finir avec sa vie si simplement. Adieu sa famille, adieu Kyoko, elle rejoindrait le paradis, simplement sans avoir la moindre chance. C'était déjà une chance qu’elle soit encore en vie mais elle était blessée un peu partout, physiquement moralement, elle se disait qu'il ne faudra pas longtemps encore pour mourir. Soit on va lui offrir une chance et elle se débarrassera d'elle, soit dans la fuite, soit en légitime défense, soit la mort est une infirmière folle qui ne se priverait pas de la faire souffrir. Tessou ne savait plus quoi penser, la position de Lucrezia était clairement une chance mais elle avait peur que le moindre bruit ne la sorte de sa torpeur et ne vienne en finir avec elle...
Au final, la Duchesse se redressa pour venir vers elle avec l'intention d'en finir une bonne fois pour toutes, armée d'un couteau. Mais c'est avec l'énergie du désespoir de ne pas faire de sa fille une orpheline que Tessou repoussa la Duchesse. Alors que cela aurait pu être le début d'un second round, des bruits de l'extérieur bloquèrent la Duchesse. Des chiens ? Des aboiements ? Elle voulait crier pour montrer sa position mais elle savait que malgré tout, la moindre faute pourrait lui coûter la vie. Au final, la Duchesse prit ses jambes à son cou mais ce n'était pas un « adieu » mais un « au revoir » qui lui laissait un goût atroce dans la bouche, deux mots qui firent craquer la jeune femme. Pleurant toutes les larmes de son corps à l'arrivée de ses collègues. Pratiquement nue, blessée, elle devait être soignée mais refusait d'y passer la nuit, craignant pour sa fille mais aussi, refusant de passer une nuit sans elle. Ce n'était jamais arrivée depuis sa naissance.
Les gens s'étaient organisé, sa sœur était venue avec le nécessaire à l’hôpital et avec Kyoko pour qu'elle suive les quelques examens, raconter ce qui s'était passé, comment elle se sentait, bref, qu'elle puisse être soignée. Ce soir, elle avait failli mourir et dorénavant, à son poste de police, c'était la chasse à l'homme. Lucrezia devait être capturé. Tessou avait assez souffert de la perte de son mari, peu de temps après son congé maternité, voilà qu'elle risque de se faire tuer. Bien qu'elle venait d'avoir quelques jours de congé pour se reposer – en plus d'être surveillé pour éviter que la tueuse en série ne revienne – elle avait à peine profité. Elle était à peine sortie de chez elle, elle avait passé tout son temps après de sa fille et de ses proches qui étaient venue la voie. Cela l'a découragé ? Non, elle redouble d'efforts et veut coincer cette femme et faire de Seikusu une ville plus sûre pour sa fille, et bien qu'elle a du pain sur la planche, elle ne va pas y renoncer.