Il n'y a pas à dire, elle avait beau tout savoir de ce métier, elle était surprise de voir tant de nouvelles possibilités. Tout ça grâce à Eris et sa magie. Les priver de sexe, c'était possible, avec un médicament pour calmer leurs pulsions ou bien plus radical en les enchaînant – avec leur permission – mais là, de les voir se branler vitesse grand V et voir que leur queue restait aussi dur sans laisser la moindre goutte couler, chapeau ! Mais sur la suite, elle restait d'abord derrière la caméra, filmant le lâchée de salope sur ses « filles » qui se faisaient tringler comme pas possible. C'était presque beau de voir ses dernières enfin jouir après tant de jour sans pouvoir se libérer. Mais elles ont un sacré appétit aussi, maintenant, elles pouvaient combler les trous. Elle observait les différents angles de vue des caméras, gros plans ou plus large pour en avoir un maximum en une image, c'était parfait !
Mais après avoir laissé les premières chiennes se sentir apaisé et une scène mémorable pour le film, il était temps de passer devant la caméra pour booster un peu plus les ventes. Qu'elle soit la réalisatrice était déjà une garantie de bonne vente, mais en plus actrice, même pour un petit rôle, c'était doubler ce chiffre ! Qui aurait cru que cette petite orpheline assez précoce sur le sexe soit aujourd'hui une si grande star qui visait toujours juste dans ce domaine ? Jouant son rôle de mère stricte
dans son tailleur, elle enguirlanda sa fille qui n'avait pas écouter ses conseils et avait été voir ses chiennes et en plus, avait oublier de bien refermer leur cage et voici le résultat, une belle partouze dans son salon ! Fidèle à son image de dominatrice, Poison venait calmer deux futas se jetant sur elle, réussissant à les mettre à genoux, calmée face à sa queue tendue. Peu de temps après, Eris lui fit la surprise d'arrivée comme une fleur en aidant quelques-unes de ses chiennes à se faire plaisir.
« Ne joue pas les innocentes, chérie, ta fille ne m'a pas encore écouté et voilà le résultat. Fait moi plaisir, va donc la punir. »Cela restait un film, elles pouvaient bien avoir une fille à l'écran. Bien entendu, elle semblait jeune, à peine assez grande pour savoir ce qui se passait dans cette pièce, mais c'était aussi ça Tékhos, des actrices – ou acteurs – qui payaient des fortunes pour paraître plus jeune que leur véritable âge. Poison n'allait pas s'en plaindre, ça lui permettait d'engager une fille en âge de travailler bien qu'elle paraissait quelques années de moins devant la caméra. Loin de rester inactif, Poison se frayait un chemin en défonçant autant de bouche que de trou avant/arrière pour éloigner ses vilaines chiennes de son chemin. Sa « fille » était justement une des héroïnes de ce film, il était normal qu'elle ai un des plus gros morceaux lors de cette scène, elle était bien entourée, de belles futas qui la prenait par tout les trous, ses deux mains étaient aussi prises. En soi, ça pouvait déjà être une sacré punition que de subir ça quand on en a pas l'habitude, mais Eris pouvait y ajouter sa touche ? Sans elle, Poison devait finir la scène avec elle, continuant de la baiser après ce qu'elle subissait, hésitant encore à rester entièrement dominatrice ou un peu plus douce, mais maintenant qu'Eris était là, elle avait bien sa petite idée de scénario... Entouré de ses parents, une gentille et une plus autoritaire, le succès était déjà tout tracé pour Poison.