Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)

Mon portable à la main, je me fais encore harceler de remarques en un temps record par ma conductrice attitrée désormais. Ca me dérange pas vraiment, c'est juste qu'on n'a jamais le temps d'en placer une quand elle enchaîne aussi vite. Au bout d'un moment je vais finir par me dire qu'elle aime un peu trop le son de sa voix. Ou qu'elle aime parler, mais pas qu'on lui réponde.
Je trouve quand même le temps de lui répondre pendant qu'elle me chauffe de manière gentillette.

- On n'a pas la même notion du "en douce", j'crois.

Sérieusement, la situation ne ressemble en rien à celle d'un ado qui regarde son écran dans sa chambre plongée dans le noir avec un casque sur les oreilles pour ne pas qu'on entende ce qu'il visionne. On peut juste mettre en avant le fait que le son ne soit pas assez élevé pour attirer les gens dans la rangée d'à côté si on vient à croiser une bagnole avec les fenêtres ouvertes à un feu.

Mine de rien, j'ai passé un moment mémorable dans cette suite si on fait abstraction du contrecoup. Un homme politique a dit un jour : "faut travailler plus pour gagner plus." Le plus peut s'appliquer au cul si on a l'esprit aussi tordu que moi. Reste à être prêt à payer l'addition à la fin.

Le choc suivant me laisse bouche bée alors que je me tourne dans sa direction avec un sourcil levé. C'est une vraie salope ? SA COPINE ? J'ose même pas relever l'énormité de la chose à voix haute tellement c'est abusé. Certaines personnes n'ont honte de rien et Chloé en fait clairement partie. Pas que je sois étonné de toute manière.

Une fois arrivés sur place je m'occupe de la logistique et elle de la... documentation. Ce genre de tâche ne me dérange pas. Sans doute que, quelque part dans mon subconscient, j'ai développé une certaine habitude pour obéir dans certaines conditions. Dans mon milieu on pose rarement de question et parfois on s'écrase si on veut vivre un jour de plus. Entre les bourges élevés comme si ils chiaient des colombins dorés et les paranos sous coke, tu dis oui sans réfléchir ou tu fermes ta gueule.
Alors porter quelques babioles dans un parc est ridicule à côté. Par contre je laisse le loisir à ma partenaire de s'occuper de tout mettre en place. Faudrait pas que des trucs soient au mauvais endroit si elle décide de faire une ou plusieurs photos après.

Aussitôt fait, la voilà aussitôt topless. Les massages de la veille ne lui ont clairement pas suffit. Ou on ouvert son appétit. Les deux n'étant pas forcément incompatibles.

- Ouep ! Attends...

Un geste aussi simple que celui de me placer à genoux au niveau me demande trois à quatre fois plus de temps que normalement. Faut que je positionne bien mes jambes et dans le bon angle pour que lorsque j'aurais besoin de les plier cela ne me fasse pas me casser la tronche. Ou que ça réveille inutilement la moindre douleur.
J'attrape le tube de crème en lui répondant.

- On a tout notre temps. La bouffe peut attendre.

Du pouce j'ouvre le tube et le retourne pour laisser dégouliner une petite quantité de crème sur son dos. Et là, je remarque un truc qui me légèrement rigoler.

- Tu sais, en général faut être "à plat ventre" pour faire ça. Mais j'vois que tu peux pas.

La faute à cette paire d'obus gigantesque qui la font se surélever légèrement quand je regarde devant moi.  Cela ne m'empêche pas de poursuivre en déposant mes mains dans le creux de ses reins pour les faire remonter doucement et lentement pour atteindre des épaules. Je sais pas expérience que les femmes avec des loches de ce calibre ont souvent mal à ce niveau à cause du poids à soutenir au quotidien.

Une fois la première couche étalée, je reprends le tube que j'ai déposé sur ma droite et laisse tomber quelques noix d e crème aux endroits que je n'ai pas encore protégé et j'y retourne. Cela concerne surtout une partie de ses bras et ses hanches que je garde pour la fin.
De mon côté j'essaie de bouger le moins possible à cause de ma cheville.

Par contre, plus bas, je commence à sentir quelque chose s'éveiller tranquillement. Ce n'est que l'expression de la nature de toute manière. La sensation de l'herbe fraîche sur mes tibias n'a pas un grand effet pour calmer l'évolution de ce qui sommeille sous mon short.

Ma mission bouclée, je me redresse en gardant mes mains collées contre sa peau soyeuse et rendue brillante par les reflets du soleil afin de lui demander comment poursuivre.

- Tu te retournes pour que je fasse le devant ? Ce serait con que tu bronzes que d'un côté.

En attendant sa réponse, je me recule de manière hasardeuse à cause de mon plâtre. C'est aussi gênant que ridicule à regarder.

"Ouais ben c'est pas ma faute si je suis née comme ça! Tu préfèrerais quoi? Une planche à pain? Ca te faisait moins rire quand t'avais ton truc tout rouge au milieu! Pfff!"

C'est vexant. Avoir une poitrine pareille procure de nombreux avantages, en termes de séduction, de négociation ou tout simplement de paraitre. Mais les inconvénients sont tout aussi nombreux: le poids, se glisser dans des endroits étroits, trouver les bons vêtements à la bonne taille! Chloé est fine et aucune marque ne propose vraiment de lignes "beauté fine à très grosse poitrine"...

Au moins Souta rattrape le coup en prenant soin de lui faire plaisir et de la masser agréablement. Très vite, Chloé commence à ronronner et frissonne même sous certaines pressions bien placées. Son esprit s'évade doucement, elle a toujours adoré sentir les mains fortes d'un homme glisser sur son corps. Elle ne connait pas Souta depuis longtemps mais elle a apprit à apprécier le jeune homme qui sous ses habitudes grossières ou fermées, sait s'occuper d'une femme. Elle frotte ses cuisses en elle pour réprimer une envie passagère de forniquer et le laisse continuer jusqu'à ce qu'il la questionne.

"MMmm je veux bien oui, mais pas longtemps, le soleil qui tape directement sur la poitrine, c'est nocif et dangereux."

 Elle se tourne sur le dos et se cale un petit coussin qu'elle vient d'acheter sous la nuque. Sa poitrine n'est en rien siliconée et même si elle tient bien en place, la gravité rappelle son rôle et ses seins perdent de leur arrogance pour glisser un peu sur ses côtes. Elle grogne et serre ses bras contre son corps pour tenter de les maintenir en place. Pas facile! Heureusement, Souta prend le relais et fait des miracles. Bien évidemment, les tétons de la tornade réagissent au quart de tour et durcissent sous les doigts du garçon.

"T'es sûr qu'on va pas baiser?"

La question n'est pas innocente puisque Chloé en se retournant à bien vu la bosse qui déforme l'entrejambe de Souta. Maintenant, elle ne le forcera pas. Depuis leur dernière orgie organisée par les connards, il fait preuve de retenue. Peut être qu'il a grillé son potentiel mensuel? Ou qu'il en a marre? Ou que son sexe lui fait encore mal? Ou ... tellement de choses ...

Bah ... si il en a envie, il sait qu'il n'a qu'à se servir. Dans ce domaine là, Chloé est généralement partante quelque soient les conditions.

Un moment passe, très agréable, au calme et à l'écoute de la nature. Personne ne vient les déranger mais quand son ventre gargouille, Chloé baille, s'étire et se redresse. Elle a déjà joliment brunie et sa peau présente un hâle parfait. Elle roucoule de joie. Les séances photos qui s'annoncent seront parfaites.

"J'ai faim! Je vais préparer le repas!"

En fait de préparer, tout est déjà prêt! La gastronomie française ne lui manque pas et elle adore les petits plats japonais. Elle sort un pan de tissu qu'elle étale sur leur plaid et y dépose deux soupes Miso, une petite boite d'Onigiris, c'est super bon ces boulettes de riz fourrées au poisson et aux légumes, servies avec des algues. Il ya aussi des Takoyakis au poulpe et épices, des Gyozas, c'est comme des raviolis et des Yakitoris au boeuf, incontournables. Elle sort aussi du sac une petite bouteille d'eau pour elle et une bière pour Souta. Elle a pensé à tout! Baguettes, serviettes en papier, ils sont fins prêt!

"Bon appétit!!"

Elle se régale et commente chaque aliment, chaque nouveau goût, chaque ingrédients décelés. Le repas, c'est un truc à partager donc elle partage avec son compagnon ses impressions sur ce qu'ils mangent, sur le parc, sur la vie en général et sur la sienne en particulier. Cependant elle n'aborde pas la suite de leur mésaventure ni le sujet personnel de Souta. Il en sait bien plus sur elle que l'inverse et elle ne veut pas le forcer à parler de lui. C'est peut être mieux comme ça.

Vers la fin du repas, alors qu'ils sont face à face, elle déplie sa jambe pour venir tâter entre celles du garçon.

"Je crois que j'ai encore un peu faim ... pas toi?"

Avant de se rappeler qu'il avait annoncé une journée soft. Elle arrête aussitôt en grommelant.

"Toi et ton impuissance....."

Toujours aussi conciliant et serviable, je m'exécute et commence à étaler de la crème sur la "face avant" de mademoiselle avec un soin particulier. Cette fois encore mes mains ne lésinent pas à la tâche et viennent enduire sa peau douce d'une bonne couche de crème solaire.
Vu qu'elle ne veut pas s'attarder sur la chose, j'évite de jouer avec sa poitrine et me contente de remplir mon rôle avec un professionnalisme à toute épreuve. Mes mains glissent à la perfection sur ses formes généreuses. Sans oublier la moindre parcelle, même sous sa poitrine et ses contours.
J'en ai tâté du nichon et ceux de Chloé sont clairement dans le top 3 de ceux qui me font le plus bander et rêver. Le fait qu'ils ne soient pas juste deux masses dures est agréable de bien des manières. Ce n'est que mon avis personnel, mais il faut savoir trouver le juste milieu entre fermeté et moelleux. M'enfin, je vais pas me lancer sur une réflexion concernant la paire de loches parfaite aujourd'hui.

En tout cas le massage semble lui faire autant d'effet qu'à moi car elle remet encore la baise sur le tapis. Cette fois ce n'est pas une remarque subtile comme dans la voiture. C'est cash et sans détour.

- J'sais pas.

Ma réponse laisse planer le doute. Pas que l'envie me manque. C'est juste que... Je sais pas, je me dis que prendre un risque inutile pourrait se payer un peu trop cher. En tout cas c'est quasiment un soir de fête nationale sous mon short. Si je ne pense pas à autre rapidement je vais me retrouver avec un bas déformé ou déchiré. Me balader cul nu n'est pas à l'ordre du jour.

Heureusement, la diversion arrive de la part de Chloé qui commence à étaler un nombre de plats plus que conséquent. Avec la dalle qui commençait à s'installer, je me jette sur la bouffe comme un mort de faim sans faire de discrimination. Tout y passera, dans des quantités différentes vu que je suis plus viande que légumes. Même si j'ai beau manger beaucoup de merdes, j'arrive des fois à faire gaffe quand je le décide. C'est juste que j'ai pas envie de me priver. A quoi manger du tofu et boire des cocktails detox dégueux si on mène une vie suffisamment dangereuse pour ne pas pouvoir faire des plans d'avenir ? Si je dois crever demain, autant me bouffer un bon cheeseburger la veille au lieu d'une salade, non ? Après, si je dois crever car un mauvais burger m'est resté sur l'estomac c'est une autre affaire.

Le ventre bien rempli, je me laisse aller légèrement en arrière en gardant les bras dans le dos, les mains dans l'herbe pour m'offrir un appui stable. Pas pour longtemps vu que la perverse en face de moi décide de revenir me chauffer en me faisant presque du pied.

- Ouep, c'est pas facile tous les jours d'être impotent, tu sais ?

Je lui tends alors la main pour rattraper la sienne et la tire vers moi en prenant soin d'éviter de la faire tomber tête la première dans la bouffe. Jouer avec la nourriture c'est mal. Euh, non, gâcher la nourriture c'est mal. Jouer avec c'est... différent.
Une bonne partie du plaid me permet de pouvoir me laisser tomber en arrière sans finir sur l'herbe. En la trainant dans ma direction, je l'ai faite s'allonger sur moi. Son énorme poitrine luisante et glissante à cause de la crème pressée contre mon torse. Ca laissera une grosse marque sur mon t-shirt, mais rien à foutre.

Mes mains viennent alors se glisser sur ses douces cuisses dodues pour remonter lentement vers son gros cul bien en chair. Ma main gauche reste collée contre son fessier tandis que la droite se lance dans une expédition plus entreprenante.
Tout en approchant mon visage du sien en lui offrant ma langue, une première phalange vient se glisser délicatement dans son anus.

Accompagné d'un court baiser baveux, je lui lâche en chuchotant.

- Chaudasse !

Puis je glisse la totalité de mon doigt dans son œillet sensible pour la faire gémir. Avec ce qu'elle a dû se prendre par le passé ce doit être de la rigolade pour elle. Des mecs ont dû y aller à plusieurs là-dedans. De toute manière mon but est juste de m'amuser un peu.

La main qui était collée à son cul s'éloigne pour aller farfouiller dans ma poche et en tirer un tube de crème. J'avais décidé de garder près de moi celle que m'a refilé le doc au cas où. Dans un coin de ma tête je refusais de m'en servir sans l'aide de Chloé. Pourquoi je tenais absolument à ce qu'elle participe à la chose ? Aucune idée.

- A ton tour de me passer de la crème.

Tranquillement sur le dos, je la regarde droit dans les yeux en revenant lui rouler une pelle plus longue et plus baveuse que la précédente en allant chercher directement sa langue.
Lorsque je mets fin à celui-ci, je me mets à sourire en ajoutant.

- Mais pour ça faut que je bande au max. Alors commence par me sucer la queue.

Reste à voir si elle saura se contrôler. Surtout que dans la famille on semble aimer venir s'étouffer sur une bite dès qu'on vous la présente. Au pire j'irais la calmer si elle y va trop fort.
C'est un maigre prix à payer pour pouvoir la baiser comme la dernière des salopes lorsque j'aurais récupérer toutes mes capacités de ce côté.

Le toubib m'a prévenu que même si je reprends des couleurs et que la douleur disparaît, il faudra quand même que je laisse le temps à mon corps de récupérer. Et cette crème devrait d'ailleurs m'aider pour y parvenir plus vite.

Après, j'ignore si il s'est payé ma tête en m’annonçant que m'amuser un peu sans éjaculer pourrait avoir une incidence positive sur mon autre blessure. Ce mec est tellement tordu qu'il est souvent difficile de démêler le vrai du faux.

Oh? Ca y est? Souta commence à s'animer? Heureuse de voir que le garçon réagit quand même un peu à ses petites provocations, Chloé affiche un sourire de circonstance. Elle se doutait bien que la nature reprendrait le dessus à un moment ou à un autre, aussi elle ne résista absolument pas quand il la tira à lui. Ses gros seins vinrent plaquer Souta au sol et elle ondula comme une succube en prévision de ce qui allait arriver.

"Oui, j'suis une vraie salope moi aussi. Je peux pas m'en passer!"

Elle lui tira la langue, malicieuse, juste avant qu'il ne vienne explorer la profondeur de ses fesses.

"Ooooh!"

Son point faible ...Elle ronronne alors qu'elle se fait doigter. D'elle-même, elle écarte ses fesses pour lui offrir la place de passer plus facilement. Il lui roule une galoche bien appuyée et elle y répond avec autant d'entrain. Leurs dents s'entrechoquent et le regard rose de la nymphomane s'éveille d'une étincelle hautement perverse.

" ... commence par me sucer la queue."

Elle hoche la tête et glisse vers le bas pour s'asseoir sur les cuisses de Souta et lui retire tout ce qui fera obstacle.

"AAAhhhh! Elle est là!"

Elle abaisse son visage au niveau de la queue déjà pas mal rigide et y donne un coup de langue à lui arracher la peau. Elle remonte de la base au bout du gland pour y resserrer ses lèvres et replonger directement pour loger cette verge au fond de sa gorge. Elle manque fondre de plaisir alors que son menton vient s'écraser contre les boules de Souta. Elle s'amuse à contracter le goulet accueillant de sa gorge autour de lui et inhale son odeur pour s'en imprégner. Elle recherche les mains de Souta pour les guider sur sa tête et laisse ses doits s'emmêler à ceux du garçon. Quand elle ne peut plus tenir après l'avoir gardé un long moment en elle, elle se redresse en aspirant bruyamment jusqu'à ne conserver que le gros gland dans sa bouche. Elle sourit, son regard pétille alors qu'elle le dévisage, et replonge aussitôt sur sa proie pour la gober entièrement. Elle secoue la tête comme une lionne, comme si elle voulait lui arracher son bien le plus précieux. Chloé bave abondamment. L'idée qu'il doive bander pour appliquer la crème lui et sortie de l'esprit dès qu'elle a eut ce sexe en bouche. Elle ronronne, donne de la tête, le repousse tandis qu'elle enfouit son visage entre ces cuisses masculines.
Après de longues minutes , elle le libère enfin et lui écarte les jambes pour s'agenouiller confortablement. Elle le branle des deux mains, le serrant plus que nécessaire. Ses doigts sont imprégnés de salive et des liquides de Souta. Sa branlette laisse entendre des sons comprimés et visqueux. Elle gémit.
"J'ai trop envie de boire ton sperme ..."

La dernière fois qu'une partie de mon corps a visité le sien en profondeur ne date pas de si longtemps et pourtant j'ai la sensation que ça fait une éternité déjà. Faut croire que l'envie était aussi présente chez moi que chez elle. A la différence près que j'arrive mieux à contrôler mes envies que cette nympho qui se met à baver dès qu'on lui présente une bite dans son champ de vision.

Seul gros souci en perspective : je vais avoir du mal à mon contrôler si elle se la joue aspirateur à bite et qu'elle refuse de la lâche. Les sensations de plaisir reviennent et s'enchaînent aussi rapidement que ses mouvements parfaitement maîtrisés. Chloé est vraiment une machine à vider les couilles. Rodée, parfaitement programmée et efficace à souhait. Un long et rauque soupir s'échappe d'entre mes lèvres dès les premières secondes.

- Hmmmmmmm... Pu... tain...

L'extase est si rapide et intense que je n'arrive plus ni à réfléchir, ni à contrôler mes gestes. Mes doigts tentent de quitter les siens pour bloquer son crâne le temps d'un instant afin de reprendre mes esprits. Pourtant dans ma tête la demande était claire au départ. Je lui ai demandé de me "sucer", alors pourquoi est-ce qu'elle essaie clairement de me "bouffer" la bite ? On va devoir revenir sur les bases du vocabulaire dans un avenir proche si je veux pas finir de nouveau sur le carreau.

Un dernier "Hoooouuuuuu !" quitte ma bouche lorsqu'elle marque une pause. De ses lèvres du moins, car ses mains ne me laissent pas tranquilles pour autant. Quelques doigts de cette déesse du sexe lui suffiraient pour faire cracher un puceau en quelques secondes montre en main.

- J'en doute pas, mais chaque chose en son temps.

Ma trique est déjà bien tendue et plus que suffisamment gonflée et dure pour appliquer mon traitement. Est-ce que je peux me risquer à l'arrêter maintenant et la frustrer ? Ou est-ce que je dois au moins m'occuper un peu d'elle avant ? C'est là qu'une autre question me vient à l'esprit : est-ce que m'occuper d'elle ne la rendra pas encore plus excitée ? Merde, je vois aucune lumière au bout de ce tunnel infernal du cul. Dans tous les cas de figure que je simule dans mon esprit, je suis niqué.

- Si je m'écoutais je te ferais bouffer ma bite jusqu'à t'en étouffer.

Que je lui lâche en me redressant pour venir approcher mon visage du sien. Dans la foulée je lui attrape un de ses énorme sein d'une main pour le malaxer et un de ses poignets de l'autre pour la faire s'allonger à côté de moi. Ma bouche n'attend pas longtemps pour venir harceler un de ses tétons gonflé de plaisir même si le goût n'y est pas complètement à cause de la crème solaire. Au bout de quelques secondes, quand cela devient moins supportable, je fais prendre le relai à mes dents pour le mordiller jusqu'à la faire gémir plus fort.

Surexcité avec toute cette chaleur ambiante, je continue de faire monter la température en glissant une main sous sa jupe et sa culotte pour la doigter directement par l'entrée principale avec deux doigts qui semblent être reçu avec un accueil plus que chaleureux de sa part.

C'est risqué à tenter en y réfléchissant. L'objectif est de ne pas la laisser prendre le dessus et me vider comme une succube affamée. Sa frangine à déjà montré que dans la famille elles n'abandonnent pas facilement.

Après quelques minutes de ce petit jeu je lui propose autre chose.

- Enlève ta culotte et montre-moi ton cul pendant que tu me suces. Mais interdiction de me faire cracher.

Je ricane alors en lui présentant un gage farfelu.

- Sinon je t'attache au lit avec des vibros allumés non-stop dans chacun de tes trous pendant 48h quand on rentre.

Au moins j'aurais plus de contrôle sur elle dans un 69. Avec mes deux mains à disposition, je pourrais la calmer de manière rapide à la moindre incartade de sa part.

"Mmmmh oui j'adorerais."

Chloé glousse. Il l'a déjà fait et elle connait tout de son anatomie. Sucer un mec pour elle, c'est comme prendre son petit déjeuner. Il pourrait lui demander à n'importe quel moment qu'elle ne refuserait pas, en privé, en public, quel que soit l'endroit. Elle kiffait la sensation de sentir glisser un gros truc entre ses lèvres.

Elle rit quand il la bascula pour s'occuper d'elle. Joueuse, elle se redresse sur ses coudes et tente de lui mordre l'oreille avant de se laisser aller au plaisir. Quand il l'investit de ses doigts, elle écarte les cuisses pour qu'il y accède plus facilement. Elle commence à onduler, heureuse qu'il prenne aussi le temps de l'exciter.

"Oh? Comment ça?"

Elle pose la question alors qu'elle obéit et fait glisser sa culotte le long de ses jambes à la verticale. Elle est souple et le geste est élégant et provocateur. Elle rit à sa réponse.

"T'es bizarre quand même ... Tu sais que ça ne me dérangerais pas en plus."

Elle se redresse et passe sur lui pour venir gober sa queue tout el lui offrant une vue imprenable sur son intimité trempée. Une petite poussée contre son nez indique qu'elle est prête pour plus et qu'elle attend qu'il se démène autant qu'elle.

Elle lui prend les boules à pleines mains et quand ses lèvres se verrouillent à la base du chibre, elle les malaxe, les faisant rouler dans le creux de ses paumes. Comme toujours, Souta est énorme quand il est excité et elle est enchantée du résultat de ses efforts. Elle le sent palpiter  au fon de sa gorge et elle se donne les moyens de le chauffer encore plus en comprimant ses muscles autour de lui. Elle  le retire de sa bouche comme une sangsue, en aspirant comme si elle voulait lui pomper toute son essence vitale. Elle secoue la tête pour le molester un peu et gémit quand elle sent ses premières caresses intimes.

"Wouai comcha!!"

C'est pas bien de parler la bouche pleine mais elle ne se donne pas la peine de faire un effort. Elle le suce pour une seule raison: la douche finale. Elle a bien sûr oubliée les consignes initiales et veut sa récompense, elle n'en gâchera pas une goutte!

Le seul moment où elle consent à le libérer et quand après un violent tremblement dû à une langue trop curieuse, elle se cambre en lâchant un petit cri. Il y va fort de son côté.

"SooOOOUTAAAAA ...."

Si la vie pouvait se résumer simplement à forniquer, ce serait le pied! Chloé s'étire et vient loger le sexe de son partenaire entre ses seins. Même si la position est inversée, l'effet est le même. N'importe quel homme normalement constitué commencerait à hululer s'il était à cette place à cet instant. Elle presse sa poitrine autour du membre collant et donne des hanches pour l'y faire coulisser. Sa tête plonge entre les cuisses du garçon. Elle s'acharne à dévorer ses couilles avant que sa langue ne vienne explorer un tout autre endroit, beaucoup plus discret. Bon, elle sait que Souta n'est pas trop fan du truc mais elle se promet de ne pas y mettre les doigts. Elle s'amuse juste à en explorer les contours de la langue.

Qu'est-ce que je pouvais bien espérer de sa part ? Deux jours sans baise, une bite dressée sous ses yeux et pour ne rien arranger une demande de ne pas me faire éjaculer. Tous les ingrédients pour un dérapage en règle sont réunis en ce moment précis. Le fait d'avoir aussi eu à me retenir avec un physique aussi parfait et toujours porté sur le cul à proximité n'arrange rien vu que je suis forcément moins résistant que d'habitude.
Le fait de me lever avec la trique est souvent un parfait indicateur de ma condition physique et de ma capacité à pouvoir gérer niveau cul. Et ce matin... disons que je débordais d'énergie.

- Sérieux, tu fais chier là.

La remarque est lâchée sur le ton de la rigolade car je me vois mal en vouloir de façon prononcée à une nana qui s'amuse à bouffer ma queue comme une acharnée. Une fois lancé il est dur de l'arrêter. Détail que j'avais clairement oublié avant de me lancer dans cette folle tentative. Merde quoi, je voulais juste me faire enduire la bite et je me fais engloutir par un trou noir.

Au bout de quelques minutes à subir ses assauts sans parvenir à la calmer, je décide de prendre les choses en main. En toute logique sa bouche se referme sur ma bite épaisse lorsque j'entame un assaut surprise sur son anus avec deux doigts qui viennent s'enfoncer dedans lentement et jusqu'à la garde. Ensuite, je lui plie pour la faire réagir et soulever ce sublime gros cul afin de gagner assez de place pour m'extirper de cette situation.

Quelques secondes de plus et me sort en était jeté vu l'acharnement avec lequel elle me branlait entre ses seins tout en me bouffant les couilles avec l'objectif évident de les vider.
Je la force à maintenir sa pose à quatre pattes pendant que je parviens difficilement à me redresser de mon côté.

Les deux doigts qui se trouvaient dans son cul en sortent pour venir se loger avec les deux autres dans sa chatte que j'ouvre et doigte sans aucune douceur. Mon pouce n'est pas en reste en prenant la place libre dans son œillet pour s'y loger jusqu'à nouvel ordre.
Mon autre main, dans un mouvement difficile de contorsionniste, claque sur son cul avec force. Une fois, deux fois... puis la troisième fessée est encore plus brutale que les précédentes.

Elle ne voulait pas me laisser de répit ? Pourquoi j'en ferais autant ? Ma main quitte son cul parfait pour agripper un de ses seins pour venir tirer sur le téton au bout. Dans cette position on dirait presque que je cherche à la traire. Je reste alors dans cette position jusqu'à sentir la preuve de ses orgasmes autour de mes doigts. Mon bras semble comme possédé et je fais abstraction de la douleur pour m'acharner sur son corps qui ne demandait que ça.

- Saleté de chienne en manque. Tu perds rien pour attendre.

Et ça continue. Mes doigts pénètrent ses chairs humides, visqueuses et étroites pour lui extirper un énième orgasme avec l'aide ses ceux qui ne sont pas plus doux avec son sein.

En fin de compte je me demande si la priver n'est pas la punition la plus efficace pour elle. De toute manière pour le moment je ne compte pas me lancer dans un débat sur le sujet et me contente de la faire tremper le plaid avec toute la mouille qu'elle pourra balancer dessus.

Ce n'est que lorsque je ne sens plus mon bras que j'arrête. Mon corps se laisse tomber sur les fesses pour chercher le tube de crème que j'attrape et m'enduit la tige dressée de façon horizontale en me servant de la main de Chloé. Question de principe. J'ai pas tenu deux jours pour le faire moi-même. Son état ne compte pas.

- Vous êtes toutes des succubes dans la famille ou quoi ? Ta mère avait l'air plutôt normale pourtant. Maintenant je vais me méfier si je la croise...

Je plaindrais presque le mec qui aurait dans l'idée de se taper les trois femmes de la famille Reynard. Il lui faudra clairement une bonne mutuelle.

"AH! OUI!"

La suite logique à un cunnilingus passe forcement par une visite un niveau au dessus. Quand Souta enfonce ses doigts dans son anus, elle relâche immédiatement la queue du garçon pour crier son approbation. Ok elle adore tailler des pipes, elle aime bien se faire lécher la chatte, mais elle adore se faire prendre le cul. Pour la sensation, pour l'interdit, le tabou, pour définitivement asseoir son statut de salope ... quelle n'a plus du tout besoin de prouver à Souta d'ailleurs. Elle ne demande pas qu'il s'y emploie avec tendresse ni avec passion, elle demande juste à être fourrée jusqu'à ce qu'elle explose de plaisir. Chez les personnes sensées, il y a l'art et la manière, chez Chloé rien à faire, un trou est tout simplement un trou donc ...

Souta s'active habilement en elle sans trop lui laisser le temps de pouvoir réagir. Il la comble bien. Sa jolie petite chatte trempée vibre sous l'intrusion soutenue qu'il applique, et ses fesses se dandinent pour suivre le mouvement de ses doigts. Elle en est venue à oublier, pour un instant, la queue dont elle s'occupait si fébrilement. Elle creuse son dos et tente de suivre le rythme imposé par son partenaire. Elle en veut plus et ne conçoit pas de quitter les lieux sans avoir jouit avec éclat.

Un long gémissement sourd monte tandis qu'elle enfouit son visage dans le plaid qu'elle roule en partie en boule. Elle n'a pas le temps de protester quand Souta se retire de son cul qu'il réinvestit en force son vagin . Oh? Elle s'attend à un fist, une première avec lui! Mais il préfère garder pignon sur cul en lui massant la rondelle avec son pouce. C'est divin.

Très rapidement, elle se contracte, tordant les doigts en elle. Elle serre leur couverture à se briser les os, est prise de spasmes violents et laisse son orgasme la ravager tandis qu'elle pousse un cri à effrayer toute la petite faune du parc ... et accessoirement à prévenir n'importe quel passant de leur présence. Elle s'effondre les fesses en l'air et souffle juste un ...

"Oui j'y peux rien, je suis comme ça ... mais tu vas pas t'en plaindre hein"

Il n'en a pas l'air en tout cas et continue à la doigter avec tellement d'ardeur qu'elle vient une deuxième fois, terminant de tremper Souta de tout son plaisir. Elle en a les cuisses qui tremblent et ne tient plus. Souta aussi. Il bascule sur les fesses et elle entend plus qu'elle ne voit le jeune homme ouvrir un truc L'instant d'après, il la tire à elle et guide sa main sur sa queue.

"Oh ? Ok!"

Elle se retourne et s'allonge entre ses cuisses avant de le branler plus doucement que précédemment. Elle enduit ce gros chibre de crème et s'assure des deux mains d'en imprégner chaque millimètre de peau.

"Hey! Mais je pourrais pas te sucer après ça!!"

Elle lui jette un regard irrité de s'être faite avoir.

"Tu vas gicler quand même ou pas?"

Aussi étrange que ça peut paraître, je me mets à sourire et rigoler en lui annonçant qu'elle n'aura pas ce qu'elle souhaite pour cette fois.

- Non, pas de protéines pour toi aujourd'hui.

Lorsqu'elle a terminé de m'enduire la trique de crème, je ramasse le tube et le lance un peu plus loin pour qu'il finisse par atterrir dans un coin à l'écart que je puisse le trouver facilement. J'espère ne plus jamais en avoir besoin. Sauf qu'avec elle je ne sais plus à quoi me tenir.

- Reviens par là.

Toujours assis sur le cul, je la guide pour revenir se coller dos contre moi. Ma main aux doigts couverts de mouille est encore un poil endolori après tous les efforts successifs de mon bras pour la faire jouir. Le moment est donc venu d'alterner un peu car je doute qu'elle soit satisfaite. Jouir sans se prendre de bite risque de toute manière de ne la combler qu'en partie. Elle devra cependant s'en contenter.

- Je m'occuperai de toi comme il faut demain. En attendant...

La main souillée par ses propres fluides était déjà en train de commencer à caresser un de ses gros sein en le malaxant comme il faut sans venir sur son téton pour le moment. J'arrive toujours pas à réaliser qu'une main ne suffit pas à se saisir d'un seul d'entre eux alors qu'elle est pourtant si mince et fine. Le contraste entre ses formes et tellement bandant d'ailleurs.

Mon autre main, elle, retourne s'enfourner dans ses trous en changeant de configuration. Cette fois c'est mon pouce seul qui va se glisser dans sa chatte et jouer sur son clitoris pendant que les quatre autres doigts partent ouvrir et remplir son cul.
Tout en y allant de nouveau sans relâche dans son œillet je lui glisse à l'oreille.

- J'aurais les couilles pleines à ras bord rien que pour toi toute seule demain.

Mes doigts poursuivent leur insertion tandis que j'insiste sur son clitoris avec le dernier. Mon autre main finit par voir mes doigts s'enfoncer dans la chair moelleuse de sa poitrine pour aller se glisser jusqu'à son téton. Là, je le presse et tire dessus de toutes mes forces en coordonnant une attaque brutale en bas aussi. Mon pouce lâche son clitoris pour offrir plus de latitude à mes doigts qui s'enfoncent si profondément en elle que ma main la soulève légèrement au passage.

- Je te remplirais tous tes trous comme la bonne petite pute que t'es. Ca te plairait, ça ? Hein ?

J'appuie encore un peu plus des deux côtés en la relançant une dernière fois.

- J'ai rien entendu !

Lorsqu'elle aura fini de prendre son pied on pourra rentrer tranquillement de cette douce et agréable sortie en pleine nature. Et vu son état c'est sûrement moi qui vais conduire. Je me vois mal annoncer aux flics qu'on a eu un accident car mademoiselle ne sentait plus ses jambes à force de jouir juste avant.

L'expression de déception qu'elle affiche prouve tout l'intérêt qu'elle porte à se rassasier de semence d'hommes. Au même titre que n'importe quel acte sexuel, avaler relève de sa logique déviante de l'aboutissement d'une pipe ou d'une branlette. Comment Souta, ce gros pervers, peut-il lui interdire ce plaisir là? Elle boude donc avant qu'il la tire à lui en promettant plus de responsabilités le lendemain.

"Si tu ne le fais pas demain, je te castrerais. Je te le promet!"

Mais Souta connait ses faiblesses et a déjà eu l'occasion de les exploiter. Très vite, il investit ses fesses pour un doigté en règle de son conduit anal. Il continue à éructer ses vulgarités en l'insultant et après avoir poussé un cri de confirmation, elle fond littéralement sur lui alors qu'il lui écartèle le cul. Il la pelote en même temps, manipulant ses gros seins comme es sacs à plaisir. On dirait qu'il ne peut pas s'en passer. Dès qu'il en a l'occasion, il les malaxe comme si sa vie en dépendait. Les planches à pain, c'est pas pour Souta.

Elle hoche la tête sans répondre, les yeux révulsés tandis qu'il la soulève sans efforts tellement il y va. Elle manque défaillir sous la poussée et gémit en rejetant la tête en arrière. Encore un peu et ... il pourrait la pénétrer entièrement. le fist anal, elle ne l'a pas trop essayé, seulement quelques fois avec des hommes aux mains menues. Mais là, vu comme c'est parti et bien entamé, Souta n'aurait pas beaucoup d'efforts à faire pour y parvenir.

"Oui ! Oui!! Ca me plairait! Pour la petite pute que je suis!"

A cet instant, elle pourrait lui raconter tout ce qu'il veut. Elle, ne souhaite qu'une chose, prendre un maximum de plaisir et s'éclater.

"Plus ... loin ..."

Elle halète. La sensation d'écartèlement est aussi douloureuse que délicieuse. Elle se redresse, s'arrange. Son clitoris est gonflé, excité par les caresses du garçon.

"Mets la moi ... en entier!"

Elle saisit le bras de Souta et le guide comme elle le veut. Si il a décidé de na pas la repaitre, alors au  moins qu'il la comble! Qu'il ne s'avise pas de refuser sinon elle le mord!

Quand la main du garçon la pénètre intégralement, elle exhale longuement. Le pied! La masse qui lui emplit le cul est la meilleure chose qui lui soit arrivée depuis longtemps. Son sphincter se resserre autour du poignet de Souta et elle commence une longue cavalcade endiablée où c'est elle qui mène la danse. Elle se caresse frénétiquement tandis qu'elle monte et descend sur ce poing qui lui prend le cul, et elle n'est pas longue à venir.
Son hurlement déchire l'air. C'est un cri de plaisir noyé dans un écho de lubricité. Elle tremble d'émotions tandis que son vagin dégouline du plaisir qui s'en est emparé. Quand l'orgasme violent se termine, elle s'effondre contre Souta en murmurant, ruisselante de sueur.

"T'es vraiment un gros pervers ..."

Le coup du fist légèrement forcé je ne l'avais pas vu venir. Alors qu'au fond ça ne me surprend qu'à moitié avec une chienne pareille qui a probablement expérimenté quasiment tout ce qui est faisable et imaginable niveau cul. Quand les gens vont au cinéma pour regarder un film, elle se doit probablement pour se faire sauter dans le noir de manière bien sale.

Lorsqu'elle s'effondre enfin après avoir eu l'orgasme de trop, je peux souffler un moment. C'est à se demander ce qui est le plus crevant pour la satisfaire. Sans vouloir me vanter je suis plutôt confiant dans ma capacité à m'occuper d'une femme. Chloé vient cependant remettre en question la chose régulièrement. Au fond de moi je sais que c'est elle l'anomalie. Mais... la chose continue de me titiller un peu.

- Ca a pas l'air de te déranger.

Ma main est brûlante et suintante de ses liquides lorsque je retir mon poing doucement de son anus qui cherche encore à l'aspirer durant le processus. Je m'amuse même à lui souffler dans le creux de l'oreille pendant que je prends tout mon temps pour l'entendre lâcher un dernier gémissement. Un petite vengeance de dernière minute.

Je l'amène à s'allonger un moment en lui tenant la tête de mon autre main pour me redresser avec la bite aussi gonflée et dure que sous l'effet du médoc de l'autre soir. Un grand sourire sur le visage je regarde aux alentours en prêtant une attention particulière à ce qu'il reste du pique-nique pour revenir poser mon regard sur Chloé.

- J'ai hâte d'être à demain. Ce sera dur de tenir jusque là, mais ça vaudra le coup.

Surtout pour moi. Plusieurs idées bien sales me trottent dans la tête en ce qui concerne ce que je vais pouvoir lui faire. En attendant je renfile mon boxer qui ne couvre qu'une partie de ma bite qui tire sur le tissu et mon short long pour réussir à la masquer enfin. On peut toujours voir que j'ai la trique ceci dit.

Je range ce qui n'a pas été renversé durant notre session de jeu en gardant à boire de côté pour s'hydrater une dernière fois avant de partir. C'est important avec cette chaleur et après un effort aussi intense. En général mon poing finit dans la gueule des gens, pas dans les culs étroits de nymphos incontrôlables.

Un jour où je tiendrais peu à la vie il faudra que j'essaie de me faire les deux frangines en même temps. Ce sera sûrement l'expérience la plus dangereuse de ma vie. Mais il faut savoir vivre dangereusement.

- Bon, sinon... Faudra penser à te rhabiller pour qu'on rentre. Sauf si tu veux rester à moitié à poil dans la voiture. Les deux me vont, faudra juste éviter les flics.

Je me retourne une énième fois vers elle avec un air surpris car je viens d'oublier de préciser un truc.

- Et c'est moi qui conduis cette fois. T'es clairement pas en état de t'asseoir.

Et pour la première fois de ma vie ce ne sera pas provoqué par une déformation annale provoquée par ma bite qui a élargie le trou minuscule d'une salope trop téméraire.

"Mmmh ?"

Chloé est dans les vapes. De quoi demain? Souta la fait encore mariner un peu en prenant tout son temps pour se retirer d'elle. Elle manque défaillir quand le poing du garçon sort en sens inverse, terminant de fragiliser l'anneau sensible de son anus. Elle met un moment à s'en remettre, se laissant dorloter. Elle aime bien prendre son pied mais là, son plaisir a dépassé toutes les limites du raisonnable. Elle n'a même pas envie de plus, s'étant satisfaite de cette pratique particulière.

Quand il est temps de partir, elle se rhabille tant bien que mal. Ses fesses sont un peu douloureuse mais rapidement sa morphologie revient à une nature normale. Tout s'est resserré comme il faut donc tout va bien. Souta remballe leur bazar et elle s'appuie sur son épaule pour quitter les lieux. Ses jambes flagellent et le constat de son plaisir dégouline à l'intérieur de ses cuisses.

"A...attend! Marche pas aussi vite!"

Elle peine à suivre. le fist c'est bien mais après, faut en subir les conséquences. Elle est si réceptive que chaque pas est une torture, chaque frottement, un appel à un nouvel orgasme. Plusieurs fois elle s'arrête pour souffler et se calmer et offre juste à Souta un sourire forcé qui veut tout dire.
Arrivés à la voiture, elle ne parlemente même pas quand il s'installe au volant. Si c'avait été elle, ils partaient dans le premier arbre qu'ils auraient croisés! Chloé met deux plombes à s'asseoir et trouver une position correcte et elle demande à Souta de l'aider "au lieu de la regarder comme un niais".
Un couple de personnes âgées qui passent à côté sourient de voir ce joli couple avec ce beau garçon qui aide sa jeune  épouse à s'installer. La vieille demande innocemment:

"Vous êtes enceinte de beaucoup?"

"NON MAMIE, JE VIENS D'ME FAIRE EXPLOSER L'CUL , C'EST TOUT!"

Faut pas pousser quand même ...

Chloé termine de se caler dans son fauteuil et ils s'en vont, chez Souta.

"Roule doucement!"
"Pourquoi tu freines comme ça??"
"AïE !!"
"Merde!! Mais t'étais mieux sur ton vélo, c'est pas vrai!! j'ai mal, Tu comprends ça?"

La descente est douloureuse. Autant elle a jouit come une folle au parc, autant ses fesses lui rappellent que leur fonction première n'est pas de servir de garage pour tout ce qui passe.

"Ouh la la! Je morfle!"

Au moment de s'extirper de la voiture, elle choppe un fou-rire.

"Mais qu'est-ce qu'on est bêtes ... on fait n'importe quoi en fait, on s'est bien trouvé!"

A l'appartement, elle file prendre une douche avant de revenir en petite tenue s'allonger sur le lit, les bras et jambes écartées. Elle murmure juste pour qu'il entende.

"On le refera ... c'était bon."

Puis ...

"Hey! C'est toi qui cuisine ce soir!! Fais nous un bon truc! Un special Souta dinner!"

Le trajet retour se veut beaucoup plus tumultueux que celui de l'aller. Peut-être que Chloé y réfléchira à deux fois avant de faire la folle, même si j'y crois que très moyennement. Ce n'est clairement pas le genre de nana à tirer des leçons de ses erreurs. Pas dans ce sens là en tout cas.

- Comment ça "on" ? C'est toi qui fait n'importe quoi.

Qui a eu l'idée de s'asseoir sur mon poing pour se faire étirer le cul et ne plus pouvoir marcher droit ensuite ? A chaque fois qu'on se lâche je finis par me demander dans quoi je me suis retrouvé entraîné.

- C'était surtout assez... spécial. On verra du coup. T'aimes prendre cher en tout cas.

Les comportements sexuels de Chloé on ne les voit que dans les oeuvres de fictions. Du porno, du hentai. Ce genre de gonzesse n' est pas censée exister pas le monde normal dans lequel on pense vivre. Et pourtant la voilà !

- Ouais, s'tu veux. Par contre faut que je sorte acheter 2-3 trucs avant.

Je file rapidement à un magasin du coin pour revenir avec deux sacs plastiques en main pour me lancer dans la cuisine. Et là, d'un seul coup je m'arrête pour réfléchir une seconde. A quand remonte la dernière fois où j'ai cuisiné quelque chose ? Et dans quelles circonstances ? Assez bizarrement je ne m'en souviens même pas. J'ai même un peu de mal à trouver les deux seuls plats que je possède pour mettre ma préparation au four.

Histoire de m'occuper je file au salon pour regarder la télé une petite heure le temps que ça cuise. Pour la première fois depuis longtemps l'appartement sent bon la cuisine fraîchement préparée. Pas l'odeur du renfermé, de la bière ou de la baise. Merde alors, on est quasiment en train de vivre un grand jour là.

*DING*

- A table !

La phrase est lancée à l'instant où le four sonne. Le service du soir est complet vu que je prends même la peine de mettre la table pour ensuite apporter les bières et... les lasagnes. C'est le seul que je sais décemment cuisiner. Je tiens la recette de la grand-mère d'un truand pour lequel j'ai bossé quelques années. J'ignore encore aujourd'hui pourquoi elle tenait tant à ce que je l'apprenne. Si ça se trouve elle faisait la même chose avec tous les types qui bossaient pour lui.

J'ignore si ça conviendra à quelqu'un qui a un chef réputé pour préparer ses repas quand elle dort chez elle. Mais au moins ça devrait être comestible et c'est chaud. Dans le pire des cas il reste de la bière pour faire passer le truc.

Je prends tout mon temps pour manger tranquillement et fini par me lever de table une fois terminé.

- Laisse, je débarrasserai demain. Là je vais surtout me doucher et me foutre au pieu car tu m'as crevé.

Il faut dire que mes bras étaient tellement engourdis sur le trajet du retour que je conduisais comme si je passais mon permis à côté d'un instructeur coincé. Je me contente de mettre un film plastique sur les lasagnes pour les remettre dans le four et laisse tout le reste sur la table. Ca peut largement attendre le lendemain de toute manière.

Puis direction la douche pour me détendre un peu et constater que la crème commence à faire de l'effet. J'avais déjà retrouvé des couleurs ces derniers jours et cela ne va qu'en s'arrangeant. Même ma jambe me semble moins lourde que d'habitude. Après c'est sûrement psychologique car je dois attendre au moins 24 pour selon le toubib.

Je m'essuie rapidement et envoie ma serviette dans le panier de linge sale pour sortir à poil le temps de rejoindre la chambre pour trouver un truc ou deux à me foutre sur le cul et le dos. Mais c'est là que me viens une idée. J'attrape mon portable et envoie un message rapidement quelques secondes après que l'on entende le clic caractéristique d'une prise de photo. Et là je file enfin me coucher.

Avec tout cette débauche d'énergie il ne me faut pas long pour m'écrouler et sombrer dans un profond sommeil. Ce n'est que le lendemain aux alentours de 8h que j'émerge tranquillement avec, comme la veille, une érection matinale de tous les diables. A ma grande surprise il n'y a ni douleur, ni décoloration. Juste une vigueur retrouvée qui fait pulser mon membre.

Je me tourne alors vers Chloé et me lèche deux doigts en ricanant. Ma main se dirige rapidement vers son gros cul dans lequel je m'insère rapidement.

- La vache, elle est déjà aussi resserrée après ce qu'elle a encaissé hier ?

J'imprime un mouvement plus profond et rapide pour l'encourager à se réveiller d'une manière qui, la connaissant, devrait grandement lui plaire. Il est encore tôt, mais une longue et agréable journée nous attend maintenant que je suis en pleine possession de mes moyens. SI on fait abstraction de ma jambe.

Lorsque je remarque qu'elle émerge enfin je retire mes doigts pour lui enlever le drap qui la recouvre et me place au-dessus en déposant mon gland à l'entrée de son rectum en lui lâchant d'un air enjoué.

- Le petit déjeuner est servi au lit ce matin.

Dans la seconde qui suit je pousse fort pour lui enfoncer un bon tiers de mon chibre en manque qui ne demande qu'à en découdre avec elle après ces journées de solitude. Une main se glisse dans sa chevelure pour la faire se tourner et me permettre de lui tendre ma langue. L'autre s'agrippe à une de ses grosses fesses moelleuse pour m'offrir un meilleur appui alors que je me retire lentement pour pouvoir mieux y retourner dans la foulée.

Je l'avais prévenue qu'elle prendrait cher aujourd'hui et je n'ai qu'une parole.

Pour une surprise, c'est une surprise! Souta sait cuisiner quelque chose ... et en plus, c'est bon. Alors, les lasagnes, c'est pas le genre de trucs qui entrent dans le régime alimentaire habituel de Chloé mais elle apprécie l'effort du garçon pour avoir fait quelque chose. Elle le complimente et termine son assiette sans se forcer. C'est une petite soirée sympathique qui suit une journée toute aussi cool. Ils ont passé un bon moment ensemble et s'ils le faisaient plus souvent, Souta s'apercevrait que batifoler à peu près n'importe où et de quelque manière que ce soit est dans les habitudes de la jeune femme.

Elle rechigne pour la forme quand il s'agit de tout laisser en place mais après tout, elle n'est pas chez elle. Elle se pose donc devant la télé pendant que Souta va prendre sa douche. Le programme est nul mais comme Chloé veut connaitre le dénouement de l'épisode de cette série, elle traine un peu avant de lancer un  ...

"Hé Souta, tu veux un ...Oh ..."

Il dort, d'un sommeil profond, serein. Sa poitrine musclé se soulève au gré de sa respiration et son visage est décontracté. C'est rare de ne pas voir son expression fermée, narquoise ou ses sourcils froncés. Là, comme ça, il est super mignon. Chloé immortalise la scène avec son smartphone avant de retirer les draps pour coller son nez au sexe lui aussi au repos. Il lui donne un bisou mutin. il a l'air en bien meilleur forme que ces derniers temps.
Elle va ensuite éteindre la télé, la lumière, et se glisse aux côtés de son compagnon pour s'endormir assez rapidement, blottie contre lui.

"La vache, elle est déjà aussi resserrée après ce qu'elle a encaissé hier ?"

Chloé sursaute et entrouvre une paupière. Sa masse de cheveux lui couvre le visage et elle souffle pour les écarter. C'est d'une voix encore embrumée qu'elle répond.

"Qu'est-ce y-a?"

La lumière du jour a envahit la chambre. Déjà? Hum ... c'est bizarre cette sensation ...

"Hey!!! Mais qu'est-ce que tu fous???"

Souta la doigte, et à pas au bon endroit! Enfin ... si ... Ca dépend! La main du garçon tape contre ses fesses alors qu'elle n'a même pas commencé à émerger!

"De quoi?"

Il va trop vite, elle ne comprend pas ce qu'il dit. En revanche, ce qu'il veut et très clair et il prend l'initiative de s'approprier ce dont il a envie. Chloé est couchée sur le côté et il n'a aucune peine à lui prendre le cul en deux trois mouvements. Pour lui, c'est simple, pour elle, elle grimace sous l'âpreté de la pénétration. Une sodo à sec au réveil, c'est pas tous les jours non plus. Bien qu'elle soit accueillante, elle se contracte tandis que ses muqueuses anales protestent de ce réveil brutal. Elle s'apprête à l'engueuler mais se retrouve avec une langue incisive entre ses lèvres. Mince qu'elle est faible! La jeune femme fond et se rue à l'assaut de la bouche de Souta pour le bouffer en règle. Son corps s'emboite dans celui du garçon, terminant d'enfoncer sa verge dans son cul. Elle sait qu'il adore ça et commence à onduler doucement, passant la douleur initiale sous silence. De toute manière, celle-ci s'atténue rapidement et très vite, c'est Chloé qui imprime le rythme qui lui plait. Souta la pelote. Ses mains s'attardent sur ses fesses, les palpent.

"Attends... Regarde, tu vas aimer ..."

Elle le repousse sur le dos et  se met à califourchon sur lui avant de se l'enfiler à nouveau dans le cul. Elle s'amuse à bien écarter les jambes pour qu'il puisse voir tout ce qu'ils font. Elle le chevauche fort à présent, descend, remonte et vient s'écraser sur le pelvis du jeune homme de toutes ses forces.
C'est sûr, maintenant elle est bien réveillée et compte bien prendre autant de plaisir que lui.

Même en venant l'enculer de force par surprise pour ne pas lui laisser le temps de réagit, elle arrive à retourner la situation en l'espace de quelques secondes. J'ai encore beaucoup à apprendre pour pouvoir parvenir à la dominer complètement lors d'une séance de baise. Heureusement pour moi, j'ai encore quelques atouts dans ma manche dont je vais me servir le moment venu. Pour le moment je la laisse faire en admirant le spectacle de ses formes qui remuent et ondulent alors qu'elle s'encule toute seule comme une grande fille.

- Ouais, c'est pas mal.

La pipe endiablée d'hier m'avait déjà aidé à retrouver mes sensations. Or ce n'était rien comparé à l'excitation que l'on peut ressentir dans son cul étroit. Pour un mec qui n'est pas accro à la sodomie, la petite Chloé risque de m'ouvrir à un nouvelle passion sur la durée. Sentir son gros cul venir se coller contre l'intérieur de mes cuisses lorsqu'elle descend sur la longue, épaisse et pulsante bite est quelque chose de divin.

- Mais oublie pas qu'aujourd'hui je vais te punir pour avoir vrillé sur ma bite hier.

J'ai attendu patiemment pendant quelques minutes pour m'habituer au rythme de ses hanches afin de trouver le moment opportun de lancer mon attaque. Le pouce de ma main gauche vient se frotter contre son clito alors que les autre autres doigts s'insère sans ménagement dans sa chatte pour une double pénétration soudaine avec stimulation bonus.

Vu qu'elle aimait se prendre mon poings dans le cul hier, ce genre de chose ne devrait pas être douloureux pour elle. En tout cas ça devrait calmer son petit côté arrogante pendant quelques instants.
Je me redresse légèrement pour mieux remuer mes doigts en elle. Alors que mes doigts viennent se plier dans sa chatte chaude et humide, mes reins la soulèvent d'un coup pour venir lui donner un coup de bite sec et compact dans la foulée.

- Le programme va être chargé. Prépare-toi à prendre cher, ma belle.

La triple stimulation continue joyeusement pendant plusieurs minutes. Sa mouille inonde et recouvre ma main avec une rapidité déconcertante. Pourtant on n'en est pas à coup d'essai et je sais de quoi elle est capable lorsque la machine Chloé est lancée.
Un dernier coup de rein m'aide à lui fourrer ma bite profondément dans le rectum. Suivi par un long et agréable soupire de ma part tandis que je retire mes doigts gluants et collants de sa chatte pour les glisser dans sa bouche afin qu'elle les nettoie tous les quatre. Je la regarde alors faire sans bouger. La bite tremblante d'excitation, logée bien chaudement dans son orifice.

Je ne lui laisse pas non plus assez de temps pour finir son travail quand je décide de lui attraper une jambe par la cheville pour la repousser et me libérer de cette position et me lever sur le lit. Ma main droite, encore propre, se glisse dans ses cheveux pour lui faire comprendre de se redresser avec moi. Une fois à genoux face à moi, je lui présente ma bite. Sale, couverte de ses propres fluides après cette sodo improvisée et brutale.

- Commence par me renifler tout ça !

Je fais alors glisser ma queue et mes couilles près de son nez pendant de longues secondes pour la forcer à s'imprégner de cette lourde fragrance. Le but est clairement de lui démontrer qu'aujourd'hui elle n'aura quasiment pas son mot à dire sur son déroulement.
Puis j'enchaîne en la biflant. Pas trop fort...

- Comme je te l'ai dit, le petit déjeuner est servi au lit ce matin. Et il y a de la viande au menu. Alors ouvre grand !

L'objectif n'est pas de me faire tailler une pipe par cette affamée. Surtout que je ne peux pas me laisser aller une seule seconde avec elle sinon elle reprendra le contrôle et tentera de me faire jouir dès qu'elle le pourra. Voilà pourquoi je garde une main coincée dans ses cheveux et l'autre à la base de ma bite pour la faire ressortir régulièrement de sa bouche baveuse. J'alterne entre pénétrations courtes mais intenses dans sa gorge et essuyages ou frottages sur sa jolie petite gueule d'ange pour peindre un tableau des plus sales.

En l'empêchant de respirer à un rythme régulier je pourrais sans doute obtenir plus facilement ce que je cherche. Ce petit jeu trouve son terme au bout de trois minutes. D'un appui ferme sur l'arrière de son crâne, je la force à me gober la bite en bloquant toute fuite. Je veux voir sa salive se faire expulser de force d'entre ses lèvres alors qu'elle manquera d'oxygène à la seconde où je relâcherai ma poigne.

Lorsque cela arrive enfin je lui offre cinq secondes de répit avant de recommencer une fois, puis trois. Mon côté sadique ressort pendant que j'observe ses traits si fins, si parfaits, déformés par mes actes et le mélange de nos fluides.
Je la laisse alors reprendre enfin son souffle en regardant ma queue sur son visage. Montant et descendant alors que la pauvre Chloé cherche un second souffle.