Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)

Comme si il y avait besoin d'une confirmation pour pouvoir affirmer que ces deux-là s'étaient bien trouvées. L'invitation offerte à venir me frotter contre elle dans cette cabine termine en sodomie improvisée en l'espace de quelques secondes seulement.

Sa peau claire voit la lumière se refléter dessus lorsqu'elle vient appliquer du lubrifiant dessus quand elle se concentre pour atteindre sa propre rondelle qu'elle m'offre avec joie après une branlette rapide qui n'était probablement pas nécessaire avec la quantité plus que décente de mouille que j'avais accumulée dessus pour me lubrifier le membre tendu et gonflé.

Mon regard va alors chercher le sien dans le miroir alors que la pression de son rectum écrase ma trique épaisse et sensible, écrasant chaque veine qui m'alimente au passage. Mes pieds glissent à même le sol pour me permettre de me rapprocher du miroir géant sur lequel je pose une main afin de me permettre d'avoir un meilleur équilibre qui me permettra de lui répondre en souriant.

- Je comptais bien vous traiter comme les chiennes que vous êtes toutes les deux.

Et alors qu'elle termine sa seconde phrase, mon autre mien vient se poser sur une de ses petites fesses parfaitement ronde pour lui ouvrir le cul et m'offrir une vision plus dégagée de ce qui se passe dans son trou.
Profitant de mon appui offert par ma main collée au miroir, je pousse doucement avec les hanches pour venir m'enfoncer jusqu'à la moitié en elle en soupirant.

- Tu vas faire plus que boire mon jus. Tu vas t'étouffer avec.

Mes hanches effectuent alors le chemin inverse, accompagnées d'un long soupir exagéré que je libère directement dans son oreille. Pour revenir m'enfoncer en elle d'un coup sec cette fois. Une action que je recommence pour faire soulever son corps en l'air et en avant grâce à l'énergie soudaine employée.

- J'ai les couilles tellement pleine que quand je me viderais dans ta gorge étroite, t'auras pas le temps de tout avaler.

Comme possédé, mes muscles se contractent et ma poigne se saisis plus fermement de sa fesse. Je mets tellement de force dans mon geste que je vais forcément y laisser une marque dans quelques secondes.

- Tes joues seront les premières à se gonfler. Puis le manque d'oxygène qui suivra. Et là... Tu devras recracher ma grosse queue et le trop plein de crème collante qui viendra te recouvrir la gueule. Je t'en foutrais partout. On verra même plus ton visage.

Dans un dernier mouvement de recul, je libère mon poing du miroir pour ouvrir les doigts qui tenaient mon portable tout ce temps. Je le déverouille rapidement et prends une photo de ma queue qui garde ouvert l’œillet de la japonaise pour l'envoyer à Chloé sans y ajouter de légende.

- Mais pas ici...

C'est ensuite que je me retire complètement en prenant le soin de m'essuyer la queue sur la raie des fesses de ma partenaire. Cette interlude m'a bien échauffé et je vais avoir du mal à me calmer même s'il le faut. Parce que même rangée sous mon jean, on peut voir ma troisième jambe déformer mon pantalon de manière évidente.

- Finis de choisir tes fringues et retrouve nous à la caisse.

En lui demandant ça, je m'approche d'elle en glissant trois doigts collés ensemble dans son petit cul sans le ménager. Histoire de lui faire comprendre que la pause ne durera pas longtemps et que je compte rapidement finir ce qu'on vient d'entamer. Des doigts que je lui fais nettoyer dans la foulée en les enfournant dans sa bouche humide.

Jusqu'ici j'ai pu remarquer que Noriko est en grande gourmande et qu'elle semble beaucoup apprécier se servir de sa bouche. Je me demande si il existe encore des choses qu'elle n'a pas expérimenté avec. En tout cas cette journée nous le dira.

Brûlant d'impatience, je quitte la cabine avant de me laisser emporter par mes envies pour rejoindre Chloé à qui j'explique la prochaine étape de cette sexcapade en lui demandant de garder l'information pour elle. En tout cas cela devrait lui plaire de bousculer sa meilleure copine.

Comme promis, je me dirige vers la caisse et règle les achats des filles sous les regards jalousés, choqués, voir répugnés de certaines clientes et vendeuses. Si nouvelle visite il y a, je pense qu'on se souviendra clairement de notre passage.
Alors que l'on sort du magasin, j'annonce immédiatement la couleur.

- J'avais prévu d'attendre encore une heure ou deux, mais on va y aller maintenant.

Après un arrêt rapide à la bagnole pour ranger les sacs, j'amène les filles à me suivre pour quitter le centre commercial. Le trajet ne dure pas plus de 10 minutes d'ailleurs. Et sur lequel tous les regards se retournent vers nous car je ne me gêne pas pour garder mes mains sur elles pour maintenir la température élevée.

Alors que je vois le bâtiment qui m'intéresse, je fais glisser notre trio dans une petite ruelle isolée et relativement propre car il y a aucune benne à ordure à proximité. Ma main droite vient alors chercher la chevelure de Chloé pour lui rouler une grosse galoche baveuse pendant que je déboucle ma ceinture et déboutonne rapidement mon jean.
Je me tourne ensuite rapidement vers Noriko en lui lançant : - Pose tes mains là, toi !

D'un regard je lui montre le mur de la ruelle avant de glisser une main sous sa jupe pour lui virer sa culotte. Tout aussi rapidement, mon attention se porte vers Chloé à qui je fais signe de se rapprocher du cul de sa copine en même temps que moi pour lui ordonner de cracher dedans une fois que nos visages se collent l'un à l'autre.

Ma trique en main, je ne perds pas une seconde pour revenir m'y enfoncer avec ce cocktail de lubrifiant complètement bio. L'entrée se fait plus difficilement que tout à l'heure alors que je l'avais pourtant bien préparée.

- Putain ! T'as un putain de cul !

Est-ce que mon cerveau à grillé et ne pense plus qu'à des culs au sens propre ? Parce que ma main droite vient se saisir de celui de Chloé en se glissant sous son bas moulant dans la seconde sans même que ce soit volontaire.

J'annonce alors à la pulpeuse bimbo tout en commençant à m'enfoncer profondément dans son amie : - Regarde-là s'empaler sur ma queue comme la dernière des salopes.

D'un coup sec, je m'enfonce en Noriko avec plus de hargne et de perversité que tout à l'heure. Il me reste encore de la marge pour y entrer complètement, mais ça finira par arriver.

- Je vais lui ouvrir le cul si grand qu'il pourra plus se reboucher. T'aimerais voir ça je parie.

Ma main posée sur son cul vient pétrir cette voluptueuse montagne de chair bien entretenue dans la foulée.

Noriko gémit. Les mauvais garçons, elle adore ; et avec Souta, elle a choppé le gros lot. Comme à son habitude, il ne prend pas de gants pour baiser. Il lui perfore l'anus et l'insulte, promettant délices et sucreries. C'est tout ce qu'elle veut, elle a du retard sur Chloé et elle compte bien le rattraper. La compétition entre les deux filles est permanente et c'est Souta qui va faire office de cochonnet.

"Oui...oui...oui... tout ce que tu veux."

Elle encaisse bien la petite asiatique. Elle est souple et son fessier l'est tout autant. Les murmures insanes à son oreille ne sont qu'une douce poésie. Qu'est-ce qu'il pourrait promettre de mieux à une salope pareille?

Il se retire, la laissant pantelante, l'anus béant et luisant de vaseline. Dommage, ça commençait bien et elle aurait aimé se faire déboiter jusqu'à ce qu'elle hurle de plaisir. Mais c'est le jeu et Souta a été très clair à ce sujet. Elle cambre les fesses pour la photo et se rhabille pour sortir derrière lui, les bras chargés d'affaires.

Devant la caisse, Chloé la mate, une moue amusée caractérisant ce quelle pense.

"Quoi?"

"T'es pire que moi! Tu te fais déglinguer le cul dans une cabine d'essayage."

La directrice manque s'évanouir.

"C'est lui qui l'a voulu!"

"Tu parles."

Souta paye. Heureusement que la somme qu'il lâche couvre le scandale naissant. Il a quand même des limites à la bienséance et le magasin tient à garder une réputation intacte. Le trio quitte les lieux, les filles accrochées aux bras de leur Don Juan. Ils dépotent, enfin, surtout elles. Les deux copines sont bruyantes, voyantes, exubérantes et horriblement sans-gêne. Chloé voudrait bien aller manger une glace mais le garçon a une autre idée en tête. Dans la rue, on croirait un déballage de poitrines et de fesses. Les mecs se retournent sur leur passage, leurs copines font la gueule ... La promenade tourne au fiasco pour les couples qui les croisent jusqu'à ce que Souta bifurque dans une petite rue sans intérêt.

"On fait quoi là?"

Autant Souta et Chloé ont l'air de savoir ce qui se passe, autant Noriko est perdue. La suite se déroule brièvement. Une galoche baveuse, un ordre sec et Noriko se retrouve en appui contre un mur, les fesses à l'air.

"Oh? On continue?"

Il semblerait que oui. Chloé vient cracher vulgairement sur sa rondelle et l'instant après, la jeune asiatique lâche un cri quand Souta l'empale. Elle s'effondre aussitôt, seulement retenue par le mur et la queue qui lui perce les reins. Se faire prendre dans tous les endroits possibles et imaginables, elle y est déjà passée, mais là comme ça, en pleine rue, c'était presque la première fois. Aussi visible en tout cas. Chloé et Souta ne font aucun cas de ce qu'elle pense et continue à la traiter comme un trou à remplir.

"Oh oui putain, plus fort! PLUS FORT!"

Après s'être reprise, elle donne des hanches pour venir à la rencontre du garçon. Son rectum se dilate sous la poussée de cette queue qu'elle aime de plus en plus, jours après jours. Là, c'est son moment à elle et ses yeux se révulsent quand Chloé s'accroupit à côté d'elle et lui caresse le clito au même rythme que bouge Souta. La sodomie est dense et Noriko se fait proprement déboiter à la vue de ceux qui pourraient tourner la tête en passant devant la ruelle.

Pour le moment il n'y a personne à l'horizon, ce qui est surprenant étant donné que Noriko donne de la voix. Le bruit des moteurs de bagnoles qui passent à toute allure dans la rue ou des musiques et des slogans publicitaires diffusés par des hauts-parleurs attachés à certains immeubles voisins.

Entre deux coups de reins brutaux destinés à lui écarteler l'anus sans aucune pitié, je cherche Chloé du regard pour constater qu'elle s'était glissée entre les jambes de Noriko pour aider sa copine à en profiter un maximum. Je n'ai pas d'autre choix que de l'appeler de vive voix.

- Chloé, sors de là deux secondes et file-moi mon portable. Il est dans ma poche droite.

L'envie de me faire ces deux(là était si forte que j'en avais oublié d'ajuster la suite de mon plan en conséquence.
Ce qui ne m'empêche de continuer à marteler Noriko avec bon coeur tout en lui grognant à l'oreille : "Si tu la veux tellement, viens t'ouvrir le cul sur ma queue, salope !"

Au bout de quelques secondes je récupère mon portable et commence à tapoter sur le clavier tactile après avoir ouvert un fil de discussion sur une application qui supprime les messages après leur lecture.

Très vite on peut entendre le téléphone vibrer et sonner à répétition au fur et à mesure que les messages arrivent dessus. Je m'attendais à ce que ce soit rapide, mais clairement pas autant. Amusé et satisfait par les réponses que je peux lire, je verrouille mon portable rapidement en ordonnant à Chloé de le remettre où elle l'a trouvé pour revenir à ma tâche principale quand une ombre apparaît au loin.

Je tourne presque instantanément sur ma droite pour découvrir qu'il s'agit d'un ado d'environ 16 ans qui ne sait pas où regarder, ni où se mettre. En tout cas il ne semble pas vouloir s'en aller. Et sa présence ne me dérange pas une seconde. Au contraire, elle pourrait préparer le terrain pour après.

Ma main droite désormais libre vient claquer sur le cul de Noriko pour se coller à ce dernier. La chaleur que dégage sa peau se transmet directement dans ma paume. M'offrant un regain d'énergie qui se montre par un coup de rein qui vient lui enfiler ma trique toute entière, faisant remonter mes burnes dans un mouvement circulaire pour venir claquer la peau de sa fente humide.

- T'aimes ce que tu vois ?

La phrase est logiquement lâchée à l'ado. Avant que je me reprenne rapidement pour parler à Noriko.

- Ah merde, j'avais oublié de te dire qu'on a un spectateur. Ou un fan vu la bosse sous son froc.

Sans lui laisser l'opportunité de se dégager si jamais elle décidait de ne pas se donner en spectacle, j’entame le sprint final dans son rectum que je défonce comme une brute. Une main sur une de ses hanches, l'autre qui lui tient fermement le cul, la suite ne laisse plus aucune place au doute. Ca va faire dix bonnes minutes qu'on est dans cette ruelle après tout. Et la suite du plan sera largement prête le temps qu'on arrive sur place.

Mon attention se tourne une dernière fois vers le gamin pour lui poser une question dont je connais forcément la réponse : - T'as déjà vu une salope se faire repeindre la gueule ?

A part dans des pornos, j'en doute forcément. Je lui fais alors un signe de la main pour s'approcher si il en a envie pendant que je me retire avec difficulté de l'étau qu'était le petit cul de la japonaise pour la laisser tomber à même le sol en lui prenant l'épaule au passage pour la faire se tourner face à moi.

Sans attendre plus que nécessaire je lui présente ma trique en poussant le gland face à ses lèvres qui s'ouvrent rapidement.

- Essaie de pas te noyer trop vite !

Je m'engouffre alors en soupirant d'extase dans sa gorge pour me tourner rapidement vers Chloé en lui envoyant le signal que c'est à son tour d'entrer en jeu car un peu plus tôt je lui avais demandé de venir s'occuper de mes couilles sans s'arrêter tant que sa copine ne s'étouffait pas sur le tsunami qui viendra inonder son palais.

Le temps n'est plus à la retenue. Noriko ne peut plus retenir ses cris et chaque pénétration de Souta lui arrache une exclamation. Il lui est difficile de soutenir le rythme et plus d'une fois, elle glisse, manquant s'affaler contre le mur. Son rectum mignon et bien fermé n'est plus qu'un lointain souvenir. La queue épaisse de Souta l' a tellement investi qu'on pourrait en mettre deux à présent. La petite asiatique ahane, cherche à se reprendre, se concentre sur le martèlement qui détruit son fessier ferme.

Et tandis que Noriko obéit et vient pousser contre Souta, criant plus fort encore, râlant même, son timbre clair voilé par des notes plus gutturales, Chloé l'abandonne à son destin de princesse de l'anal pour donner son téléphone à Souta. S'élevant sur la pointe des pies, elle cherche à voir ce qu'il pianote mais n'y parvient pas. En tout cas, l'appareil vibre, synonyme d'une forte activité et elle se demande ce qu'il peut bien trafiquer.

Soudain, elle tourne la tête en même temps que son protecteur vers un coin de la rue. Le gosse est là, tout proche, et elle ne l'a pas entendu arriver.

"Hey salut!"

Elle lui fait un petit coucou de la main, geste incongru au vue de la situation... Le jappement de Noriko la ramène à elle. Sa copine s'est cambrée comme une folle, tête en arrière, yeux révulsés et bouche ouverte. Souta s'est fourré en elle jusqu'à la garde et la brunette a l'impression d'avoir un pieu qui remonte jusqu'à son estomac. De son côté, l'ado acquiesce en réponse. pour sûr qu'il aime ce qu'il voit. Une beauté qui se fait enculer en public, ce n'est pas commun. Et comme si ce n'était pas assez, Souta se déchaine violemment, terminant de déchirer sa pute dans un coït d'une rare brutalité. Le corps de Noriko est écrasé, broyé et elle gueule tellement fort que Chloé lui musèle la bouche de sa main. Il s'en échappe des cris étouffés, sauvages, primaires. La voix est éraillée, fatiguée par cette sodomie qui pourrait entrer dans la légende du porno.

Le gamin s'est rapproché, même s'il a l'air effrayé. C'est sûr que Souta ne donne pas l'image du pote sympa avec qui on sort boire un coca. Là, il a plutôt l'air du type qui est prêt à tout casser, ce qu'il fait très bien d'ailleurs. Quand il se retire du cul ravagé qui offre la vue d'un trou béant, Noriko s'effondre à genoux, les mains au sol, ses cheveux noirs couvrant son visage. Elle respire fort, épuisée et privée de sa béquille pour tenir. L'instant est bref que Souta la sollicite déjà pour plus. Un peu tordue dans cette position, elle tient son rôle jusqu'au bout (après tout, elle l'a un peu cherché) et ouvre la bouche pour laisser passer le gros serpent odorant et fort en goût. Elle éructe salement quand il force le passage et écarquille les yeux, tentant de contrôler sa nausée montante.

Rien n'y fait, le garçon est bien logé dans son gosier et il ne compte pas s'en retirer de sitôt. Chloé s'est accroupie derrière lui et lui masse les couilles de ses doigts fins. Gentiment d'abord puis à pleines mains ensuite. Elle arrive à prendre la base du sexe entre deux doigts et serre. Elle peut sentir le grosse veine pulsé et en regardant l'ado bien droit dans les yeux, elle donne un long coup de langue en travers du fessier de Souta.

Le gosse est tétanisé et elle lui fait un clin d'œil sympa. La bosse qui déforme son pantalon indique son degré de ... mort prochaine ... et Chloé pousse le vice à lui montrer ensuite le fond de sa gorge.

"Y'a pas qu'elle qui suce comme une cochonne tu sais."

Le pauvre gamin a l'air davantage sur le point d'exploser que moi alors que j'ai largement provoqué la chose avec l'aide de l'anus bien dilaté de Noriko. Mes dents se serrent soudainement sous la pression des doigts de sa partenaire de jeu habituelle quand cette dernière décide de créer un petit anneau improvisé. Est-ce qu'elle cherche vraiment à bloquer le flux pour provoquer une explosion encore plus grosse et soudaine ? La connaissant ça m'étonnerait pas une seconde.

De son côté l'ado est sûrement sauvé par le fait d'être paralysé par la situation plutôt que d'être submergé par l'excitation. Et ce malgré l'insinuation... L'affirmation de Chloé qui serait sans doute prête à le lui prouver sans sourciller si je venais à le lui demander.
Heureusement que j'ai une autre idée pour lui permettre de dévoiler ses talents à ce gosse.

- Arrête, tu vas lui faire trouer son fro...

L'envie d'éjaculer est tellement forte que je n'ai pas l'occasion de terminer ma phrase. Une main emmêlée dans la coiffure qui ne ressemble plus à rien de la japonaise, je sens la température monter encore d'un cran. Mon souffle devient plus difficile à contrôler et les muscles de mes bras se bandent comme si j'allais être sur le point d'être pris de crampe.

Dans ma position je n'ai quasiment aucun accès au crâne de Chloé et pourtant je laisse mon bras libre remuer pour tenter de l'attraper de la main. Même si je ne pourrais que l'effleurer, peu m'importe. Quand du bout des doigts je parviens à toucher sa chevelure rosâtre, je tente de la faire descendre sans vraiment y parvenir en lui aboyant : - Viens me... putain !

L'explosion survient au même moment dans la bouche de Noriko. J'avais fait exprès de ressortir pour ne lui laisser que quelques centimètres en plus de mon gland pour ne pas que je jet finisse directement dans son estomac. L'idée était de la forcer à s'avaler en continue jusqu'à ne plus en être capable.

- Urrrrrgh !

Le premier assaut est violent et m'empêche de pouvoir formuler le moindre mot. Tout ce qui m'échappe des lèvres sont des grognements animales. Un mélange d'extase et de frustration m'encourage à ne pas lâcher ma prise.

Au bout de cinq secondes je peux reprendre le contrôle de mes pensées et de mes paroles pour finir de donner mon ordre à Chloé.

- Bouffe-moi le cul en me pressant les burnes jusqu'à me les vider.

Ma propre remarque me surprend car je suis pas du tout fan de la pratique. Contrairement à Chloé qui avait apprécié tenter la chose il y a quelques temps. Sur le moment je me dis que ça peut être une bonne idée. A voir...

L'efficacité, elle, est de la partie. Noriko s'étouffe rapidement dans des sons dégueulasses qu'on n'entend pas tous les jours. Sa gorge qui se déformait sous l'effet de déglutition les premières secondes ne peut logiquement pas tenir le choc et le rythme imposé. Ses joues se déforment rapidement alors que des traînées de crème blanche lui maculent rapidement les joues et le menton quand elles ne viennes pas éclabousser mes propres cuisses ou le sol.

- Aaaah... T'en peux déjà plus ?

Dans ma précipitation j'ordonne à Chloé de se bouger si elle veut pas se casser la gueule dans le mouvement qui va suivre.

- Recule !

Alors que j'effectue un pas en arrière pour avoir un meilleur accès à ma cible, je me saisis de ma trique tremblante sous l'afflux continu qui est libérée dans un des sons les plus dégueulasse que ce que j'ai pu entendre à ce jour. Le tout accompagné d'une masse gélatineuse dont une bonne partie finie sur ses fringues et à même le sol. Les éclaboussures en ont foutus sur mes pompes et... celles du gamin qui n'était pas assez loin.

- On t'a jamais appris à pas gâcher la nourriture ? Viens là ! Allez ! Sale... pute ! Je sais que t'aimes ça !

Quelques derniers jets viennent lui tartiner son joli faciès qui n'a plus rien d'innocent. Mon gland et une partie de ma tige s'amusent à tartiner cette pâte sur le front, les joues, le nez, les lèvres et le menton afin qu'elle en ait bien partout.

En tout cas je ne m'arrête pas en si bon chemin car je termine la chose en me branlant encore quelques secondes pour m'assurer qu'il ne reste plus une goutte coincée dans la tuyauterie tout en admirant ma nouvelle œuvre pour me tourner vers le gamin.

- Elle est pas mal comme ça, non ?

Essoufflé, il me faut quelques secondes pour me reprendre et ajouter en ricanant.

- D'ailleurs elle va rester comme ça pour traverser la rue.

Ca ne rendra que la suite plus amusante et excitante. De toute manière on n'est pas loin du lieu de rendez-vous. Ma bite essuyée dans les cheveux de Noriko, je me rhabille et récupère mon portable sur lequel j'ouvre une application en me dirigeant vers le gosse qui est  toujours figé sur place.

Je lui glisse alors quelques mots en m'assurant que les filles ne puisent nous entendre. Il répond à l'affirmative en hochant la tête avant de sortir à son tour son téléphone en scannant l'écran du mien. Il s'agit d'un QR Code un peu spécial que j'ai fait circuler sur le net il y a quelques jours déjà.

Un de plus ou de moins ne fera pas une grande différence de toute façon.

Noriko était issue d'une famille japonaise traditionnaliste. Pour le plus grand bonheur de ses parents, elle avait suivie de brillantes études, en plus d'apprendre à maitriser les fondamentaux de la culture nippone, comme l'art du service du thé ou la musique sur des instruments ancestraux. Très sage, il avait fait la fierté de son père en tant que petite fille modèle. Et puis un jour, en première année au lycée, elle s'était aperçue que les garçons la regardait d'un œil particulier. Elle avait vite compris que ce que ses parents avaient fait de mieux chez elle, c'était son corps. Et son esprit s'adapta à cette nouvelle vision des choses. Comme pour tout ce qu'elle entreprenait, Noriko ne se limita pas qu'à une esquisse de découverte. Elle devint extrêmement populaire au lycée, principalement lors des  intercours où des files de garçons se pressaient devant les toilettes des filles ou devant un local technique pour profiter des services de la nympho en herbe. Services payants bien entendu mais les fidèles avaient une carte de fidélité. Pour 10 pipes, 1 gratuite... la japonaise s'était formée seule à la débauche et y avait prit goût tout en étant toujours très sage à la maison même si ses parents manquaient parfois s'étrangler devant ses tenues. Mais c'est à la mode et j'ai de très bons résultats à l'école hein papounet? Tout passait avec ce petit bijou d'éducation.

Et puis elle avait rencontré Chloé et la débauche avait franchi le seuil de la ...(y'a pas de mots pour décrire ce que ces deux-là firent ensemble les années qui suivirent). Heureusement, elles ne s'ennuyaient jamais. Il y avait toujours quelque chose à apprendre dans n'importe quelle situation, en bien comme en mal. Les deux copines s'essayèrent a à peu près presque tout sauf peut être les morts et les animaux, quoique Chloé ai un doute à ce dernier sujet concernant sa copine qui pouvait être un peu cachottière parfois. Elles furent admises dans des cercles de mafieux fermés et en sortirent auréolées d'une nouvelle réputation qui par chance ne parvint jamais aux oreilles de leurs parents respectifs, sauf une fois pour Chloé mais elle plaida l'incompréhension de la langue... Tout le monde peut se planter après tout, ils font comment les chinois à Paris?

Leur vie de luxure allait grand train et aujourd'hui, l'apothéose de ce long chemin se traduisait par une odieuse exhibition en pleine rue. Noriko ouvrit grand la bouche et accueillit comme une pro ce que Souta lui cracha à la gueule comme à la dernière des putes. La vague de foutre inonda sa bouche et tordue comme elle l'était, elle s'étouffa en avalant le flot qui ne tarissait pas. Elle déglutit, rota,  avala encore, toussa en s'arrachant la gorge mais fut brave et garda son visage offert pour la suite.

Chloé, de son côté, ne perdit pas une seconde dès l'ordre reçu. Elle plongea sa bouille d'ange entre les fesses de Souta et de sa langue, entama un ballet infernal destiné à faire exploser la rondelle du garçon. Là, on était en plein dans sa zone de confort et moins de dix secondes après, elle lui râpait les parois anales en croassant de plaisir. Pour la partie de boules, elle lui pétrit les siennes comme si elle pressait des oranges. Les pelotant comme des pommes d'amour, elle en fit son balancier personnel jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus.

Noriko est remplie comme une outre. Ses joues gonflent sous la quantité de foutre qui s'y accumule. Elle pince les lèvres, louche alors qu'elle tente d'avaler mais explose en un "BBBBWWWAAAHHHH" dégueulasse qui tapisse de sperme les cuisses de Souta. Chloé en prend aussi pour son grade alors qu'elle penchait la tête sur le côté pour voir où en était sa copine.

"Putain! Tu m'en as mis dans l'œil!!"

Noriko reste pantelante et quand le garçon l'insulte, elle en frémit. C'est tellement vrai! Il termine de la tartiner, noyant son joli visage de poupée sous un amas gluant qui dégouline aussitôt. Elle tente de se relever difficilement, tremblante sur ses jambes. Sa voix est imbibée de foutre gras quand elle s'exprime.

"Merde, j'ai ramassé. Je vais faire comment là?"

Elle regarde Chloé.

"Ah non, n'y penses même pas. C'est toi qui l'a cherché!"

C'est à ce moment qu'elle remarque vraiment le gosse.

"Oh! Salut!"

Elle lui adresse un sourire contrit, comme si elle s'excusait de lui offrir une vision d'elle si ... pornographique.

"Hein? Attends! Mais non!"

Souta et Chloé bougent déjà après que les deux gars aient discuté. Y'avait un truc louche dans l'air et Souta était le roi des trucs pas nets. Noriko essaya de s'arranger comme elle put puis courut rejoindre les autres, se glissant entre eux alors qu'ils abordaient la rue. Elle était toute défaite et marchait la tête baissée, tentant de cacher le carnage avec ses cheveux tombants. Deux mecs qu'ils croisèrent ne furent pas dupes et leur emboitèrent aussi le pas en commentant sans se gêner ce qu'ils venaient de voir: la chance de leur vie! La petite brune était surement une amatrice avec une chaine de cul sur laquelle elle se lançait des défis! Aujourd'hui: #Je marche dans la rue avec du sperme plein la gueule!

Histoire de pas perdre de temps, notre trio s'engage dans la rue tandis que l'ado garde logiquement ses distances. Si jamais il habite dans le coin, le fait d'être vu avec nous pourrait clairement faire jaser. Sa côte de popularité auprès d'autres garçons grimperait autant en flèche que la vitesse à laquelle ses parents lui tomberaient dessus en l'apprenant.

On ne marche d'ailleurs pas plus de quelques minutes que deux types aux physiques diamétralement opposés se retourne pour repartir dans le sens inverse en nous voyant pour tenter de nous suivre. Pour la discrétion on repassera...

Après avoir regardé par-dessus mon épaule pour vérifier qu'ils sont toujours là, je me retourne en demandant aux filles d'attendre.

- Ça va être rapide, bougez pas.

Surpris lorsque je les salue, les deux types en font autant à leur tour alors que je sors de nouveau mon portable pour leur montrer quelques chose tout en leur donnant 2-3 explications. Au bout de dix secondes le maigrichon répond : - Hmmmm... Non, je préfère ça.

Son pote, un type plus ventripotent, se penche sur le côté pour mater Chloé sans aucune gêne avant de répondre : - Ouais, moi je vais plutôt prendre celui-là.

- Okay, ça marche. Vous savez où c'est ?

Les deux répondent d'un oui, un grand sourire aux lèvres, avant de reculer de quelques pas quand je leur glisse encore une remarque que les filles ne peuvent pas entendre. Je me retourne alors auprès d'elles pour les emmener rapidement jusqu'à un grand bâtiment.

A côté d'une immense double portes en métal se tient une sorte de dispositif high-tech. Une nouvelle fois, je sors mon portable, ouvre une application et tourne l'appareil écran face à ce dernier pour entendre un petit son se dégager du dispositif en plus d'un son émanant de la porte pour confirmer que celle-ci vient de se déverrouiller.

- Les dames d'abord.

La suggestion d'une grande galanterie est accompagnée d'une fessée sur le fessier de chacun d'entre elles alors que je les suis de près en m'assurant que la porte se ferme derrière nous. L'intérieur détonne avec l'apparence extérieur de l'immeuble. Tout est si chic, si soigné. Les lieux transpirent le luxe à des kilomètres. Même si on voit qu'il s'agit clairement d'une simple station d'accueil.

Très rapidement, une femme d'âge mûr s'approche de nous.

- Hmm... Suivez-moi.

Son regard se porte furtivement sur nous trois sans trop s'y attarder. Chose qui ne me surprend pas vu que l'état de Noriko doit être de la rigolade comparé à ce qui se déroule ici certains soirs. J'ai entendu des rumeurs assez spéciales sur cet endroit et ce que je compte y faire est encore très soft et limite gentillet.

La femme nous conduit rapidement vers un large ascenseur et attend que l'on rentre à l'intérieur pour nous emboîter le pas et s'y glisser pour appuyer sur un bouton direction le 6ème étage.

Nous nous trouvons très rapidement dans une sorte d'open-space avec des panneaux devant plusieurs portes et il est inscrit "Salle d'attente" sur la majorité d'entre eux. Les murs qui le composent sont fabriqués dans un verre spécial qui 'empêche de voir à travers. On ne peut déceler que des formes en regardant avec attention.

La femme nous fait la suivre pendant quelques quelques secondes avant de se lancer dans une explication avec une voix qui laisse transparaître son ennui.

- Derrière cette porte vous aurez accès aux douches et autres commodités comprises dans votre commande. Libre à vous de les utiliser ou non avant de poursuivre.
Je tiens également à vous rappeler que toute...

Oui, on connait le refrain. La boite ne sera pas tenue responsable si X ou Y venait à se produire. Blablala...

Sans perdre un instant supplémentaire, cette dernière valide une dernière fois notre accès en me demandant de placer mon téléphone devant un énième verrou. Bientôt... On va bientôt pouvoir enfin s'amuser.

Mais qu'est-ce que Souta manigance? D'habitude assez peu sociable, il s'arrête discuter avec des types auxquels il n'accorderait aucune attention en temps normal. Son petit sourire indique qu'il prévoie un truc louche et Chloé tout comme Noriko se demandent ce qu'il en est.  Pour elles, ils s'étaient tous les trois préparés pour une sortie sympa avec shopping, cinéma, café sympa, petite baise entre deux boutiques mais à part leur achat du début, depuis lors, rien de concret n'avait pris forme.

"J'ai un truc qui gratte dans le cul." se plaignit Noriko.

"T'as dû attraper un microbe tout à l'heure dans la ruelle. On a pas idée d'être aussi perverse."

La japonaise jeta un regard noir à sa copine mais ils s'arrêtèrent devant un grand bâtiment un peu à l'écart des rues très passantes et leur début de dispute se volatilisa. La façade de l'édifice était sobre mais élégante, surement un bâtiment d'architecte qui a dû coûter très cher. Rien ne signale ce que c'est, ni panneaux, ni une quelconque indication, sobre et discret. Noriko résume d'ailleurs fort bien la situation.

"C'est quoi?"

"Je sais pas? Un spa privé? On est où Souta?"

Le jeune homme garde son air mystérieux et active un dispositif genre mission impossible pour entrer dans le bâtiment avant que la porte ne se referme derrière eux.

"Ah ouf! J'avais trop honte. J'avais l'impression que tout le monde me regardait..."

"Ben c'était le cas..."

En effet, le visage de Noriko était souillé et les tentatives de la jeune femme pour le cacher alors qu'ils marchaient n'avaient contribuées qu'à y coller ses cheveux en d'épaisses mèches gluantes. A l'intérieur, c'était beau, comme s'ils étaient entrés dans le hall très luxueux hôtel. Habituées  fréquenter des endroits pareilles, les filles notèrent l'extrême raffinement des lieux. Une femme, peut être une hôtesse d'accueil...non...autre chose, les invita à les suivre et dès que Noriko la vit, elle replongea sa tête vers le bas. Le trajet jusqu'au 6ème étage est silencieux. Douches et commodités, une commande? Ca doit bien être un spa mais Chloé est prise d'un sérieux doute et se tourne vers Souta.

"Dis ça me rappelle quelque chose ton manège. Le truc avec les pervers qui nous mataient. Ce serait pas un peu la même chose par hasard? C'est encore ton truc de téléphone à réparer?"

La dernière fois, elle avait sévèrement douillé et fait rare, avait quasiment abandonné en cours de route quand Souta lui avait explosé le cul. Non pas qu'elle ai détesté ça mais elle n'avait pu plus rien faire pendant des jours. Devant le silence du garçon, elle hausse les épaules et alors qu'il termine de régler des détails avec la femme, Chloé et Noriko entre dans la pièce "des commodités."

"Han c'est super!"

"Y'a pleins de trucs disponibles!"

En effet, ce n'est pas une simple salle d'eau. L'endroit est fait de marbres colorés et deux immenses vasques d'où jaillissent des geysers d'eau occupent le centre de la pièce. les filles ont à leur disposition des montagnes de cosmétiques coûteuses et de parfums pour s'apprêter et Noriko pousse un cri de joie en ouvrant un dressing parfaitement achalandé.

Trente minutes plus tard, les filles en ressortent sublimes. Chloé porte un sublime bikini or qui ne couvre quasiment rien de sa plastique tandis que Noriko, enfin propre, a choisi un ensemble de lingerie haut de gamme.

"On est prêtes!"

Nous voilà enfin tranquilles pour souffler un moment. Je m'étais fait la réflexion une première fois dans ma tête en arrivant face au bâtiment, mais cet endroit est vraiment impressionnant et me procurer la sensation que chaque l'argent que j'ai déboursé sera bien dépensé.

Les filles semblent aussi heureuses que moi en balançant leurs fringues aussi vite que moi avant de foncer prendre une bonne douche. Avec autant d'espace on pourrait quasiment y accueillir un régiment ou deux sans se coller les uns aux autres. Même des studios que j'ai pu visiter avant de trouver mon appart sont plus petit que l'espace de douche à lui seul.

Je suis le premier à ressortir, seul, dans un peignoir de luxe, pour aller me poser tranquillement sur un sofa avec mon portable à la main. Toutes nos fringues seront ramassées pour être nettoyées et séchées durant notre passage ici de toute manière. La chose est comprise dans le forfait.

J'occupe les quelques minutes où je me trouve seul en pianotant sur mon téléphone une dernière fois pour parcourir les options disponibles. Faut dire qu'il y a l'embarras du choix ici. Tous les goûts sont disponibles, au point que je m'y perds rapidement. Même si certaines pièces me tentent plus que les autres. Puis c'est alors que j'entends une voix... Logiquement je lève la tête pour voir le duo de bombasses en petite tenue s'approcher.

- Ah ouais ? Vous êtes prêtes pour quoi ?

Le calme temporaire est vite balayé pour faire place à l'excitation alors que mon regard se porte sur leurs formes si parfaites à chacune. Ma langue vient se poser sur mes lèvres pour les lécher lentement pendant que mon bras gauche se lève pour leur faire signe de venir me rejoindre un moment.

- Vous êtes aussi belles que bandantes, c'est abusé.

Ma main gauche se saisit de la taille de Chloé pour la faire poser son gros cul sur ma cuisse, avant que mon bras droit se lève à son tour pour faire comprendre à Noriko de limiter pour se poser en face de sa copine.
Dans cette configuration je me retrouve avec leurs nichons pile au niveau des yeux. Et en plus de la vue, leur peau sent si bon. L'odeur du shampoing aussi m'envahit les narines dans la foulée. Tout est si relaxant que je ferme les yeux un bref instant pour en profiter pleinement avant de me reprendre.

- Je pensais attendre un peu avant de vous amener ici, mais vous m'avez trop chauffé tout à l'heure.

Mes mains viennent alors se déposer sur leurs cuisses si douces et toniques pour les caresser tranquillement. Comme si je cherchais à me tenir occuper en gardant la chaleur à un niveau correct pour ne pas qu'elle redescende trop.

- Pour faire court, on peut faire tout ce qu'on veut, avec qui on veut et sans avoir peur des conséquences lorsqu'on est ici. Tant que tout le monde est consentant, évidemment.

Je me souviens alors de la question de Chloé juste avant que l'on entre dans les lieux. Après ce qui s'était passé l'autre soir avec tous ces trucs forcés qui nous ont fait douiller à des degrés différents, il est normal qu'elle s'inquiète.

- Et t'en fais pas Chloé, on est là pour s'amuser et profiter. Pas pour divertir des types impuissants qui prennent leur pied en matant d'autres personnes.

Mes mains remontent lentement le long de leur cuisse sans s'arrêter en si bon chemin. Leurs hanches y passent également alors que je frôle celles-ci du bout des doigts pour finir... par leur attraper un sein à chacune. Du côté droit je peux me saisir de cette douce et ferme bosse sans difficulté. Alors que de la gauche c'est parfaitement impossible vu le volume en question.

- Avec deux chiennes rien que pour moi, je sens que vais passer un bon moment.

Amusé, j'ajoute dans la foulée tout en les caressant vigoureusement : - Vous êtes prêtes à vous faire prendre par tous les trous j'espère. Je suis con... Pourquoi je vous pose la question alors que vous êtes mes putes ?

Mes mains viennent lâcher leurs seins pour se poser à l'arrière de leur crâne pour les faire se rapprocher l'une de l'autre. e tends alors ma langue pour leur faire comprendre de faire de même pour un échange salivaire groupé. Un peu comme si on signait un pacte pornographique. La preuve de leur consentement pour se faire passer dessus de toutes les façons durant leur séjour ici.

Le jour où Souta parlera comme un homme du monde, les poules auront des dents. Heureusement qu'il n'a jamais eu à soutenir une conversation avec le père de Chloé car l'issue aurait été compliquée. M. Reynard est un homme qui apprécie la courtoisie, le respect et un langage porté par un vocabulaire riche. Le "Vous êtes aussi belles que bandantes" de Souta lui serait resté en travers de la gorge.

Les filles ne peuvent que glousser et s'approchent du garçon après s'être jeté un coup d'œil complice. Il prend un risque à les saisir toutes les deux mais elles savent qu'il peut être endurant. Maintenant, elles ne sont, jusqu'à présent, jamais données pour objectif de l'user complètement. C'est peut être le moment ... Un coup, c'était Chloé qui baisait, un autre, Noriko, avec pour seul but la jouissance personnelle. Et puis, en bon chef d'orchestre, Souta avait presque toujours réussi à les canaliser pour lui aussi, survivre ...

Les quelques mots qu'il lâche en les pelotant restent énigmatiques. Avec qui on veut? Tout le monde consentant? Mais c'est qui tout le monde? Autant de questions que le garçon reste comme bien souvent quand il a un truc en tête: mystérieux. Elles savent qu'il ne dira rien, il en a décidé ainsi. Aussi elles gigotent sur ses cuisses et répondent à ses caresses par les leurs. Leurs doigts suivent les arêtes de ses muscles saillants, glissent dans ses cheveux, palpent ses larges épaules avant que Chloé, la première, ne glisse sa main sous un pan du peignoir pour lui saisir la queue. Elle en connait chaque micro millimètre. Depuis qu'il se connaissent, c'est à dire pas si longtemps mais depuis, ils ne se sont pas quittés, elle se l'ai prise ... partout, encore, beaucoup, sans arrêt, n'importe où et comment, et sans presque jamais rechigner. Elle pourrait la retrouver les yeux fermés au milieu d'un troupeau de bites étrangères, au goût et à l'odeur! Bon, après, qu'elle ai à les gouter toutes avant ne la dérangerait pas non plus ... mais celle de son Souta, elle la kiffait.

Un petit trio avec des préliminaires tout mignons? C'est parti et les filles se livrent à une dégustation de langues en règles. Chloé est vulgaire, Noriko est précise. Ça donne très vite une vision assez humide et baveuse du baiser, et Souta ne peut que bénéficier des résultats de cette énorme galoche.

Plus bas, c'est déjà tempête. Chloé branle le garçon comme si elle voulait lui arracher la queue. Sur une échelle allant de 1 à dix, elle plane sur un 12 bien senti. Ses doigts fermement ancrés à cette colonne de chair, elle se place directement sur le podium de la meilleure branleuse au monde. Et par intermittence, elle s'arrête pour molester le gros gland dans le creux de sa paume.

"C'est Noriko ta pute. Tu l'as enculée dans la cabine du magasin et dans la ruelle!"

La pute en question grogne sa désapprobation et s'apprête à rougir car après tout, c'est vrai. Du coup, elle se retire des papouilles et glisse entre les jambes de Souta. Elle écarte les pans du peignoir pour exposer la queue rouge et triomphante malmenée par sa copine. Elle pourrait répondre un truc très vrai aussi sur Chloé mais l'odeur qui lui saute aux narines lui fait oublier ce qu'elle voudrait dire. Ses lèvres charnues viennent englober le gland massif et elle aspire de toutes ses forces comme si elle exigeait une éjaculation immédiate. Chloé descend d'un niveau et masturbe Souta dans cet écrin oral en rigolant.

"Tu changeras pas."

"Ches pama fwote!"

Et Noriko ne perd pas un instant pour faire ce qu'elle maitrise aussi bien que Chloé ...

Les gestes et la remarque de Chloé me surprennent. Elle qui est en général si calme dans ce type de situation semble tenter de compenser quelque chose en venant me branler comme si ma bite était la dernière existante sur la planète.

- Sois pas jalouse, t'auras ton tour.

Cette discussion ne va pas plus loin car Noriko ne semble pas rassasiée après ce qu'elle vient de prendre quelques minutes auparavant. Après la branlette au karcher qui a manqué de peu de m'arracher la peau, c'est une attaque de la part d'un trou noir.

- Kuuuuuh ! Putain !

Son aspiration est si forte et soudaine que j'en perds mes mots durant quelques secondes. Ces deux-là feront toujours preuve d'une coordination à toute épreuve et dans toutes les situations qu'elles viendraient à rencontrer.

Lorsque je peux enfin souffler, j'appuie sur le crâne de la jolie japonaise pour lui faire regretter son attaque soudaine. Très rapidement ses lèvres viennent buter sur la main de sa comparse alors que mon gland vient déformer sa fine et délicate gorge.

- C'est pas ta faute, hein ? Tu peux pas t'empêcher de me pomper la queue dès que tu la vois ? C'est ça ? T'as qu'à t'étouffer dessus.

Mon autre main, elle, est occupée à venir chercher le gros cul de Chloé qui est moulé dans ce petit bikini doré qui met en valeur ses formes parfaites. Pendant que ma bouche revient chercher la sienne pour lui rouler une nouvelle pelle sale et baveuse. La douceur de ses lèvres est rapidement échangée avec l'humidité de ma salive qui se mélange à la sienne dont le cocktail coule pour tomber sur le visage de Noriko qui est toujours coincée entre mes cuisses.

On aurait pu croire que je m'étais habituée à leur folie sexuelle avec le temps et les diverses expériences vécues. Mais qui pourrait se vanter de parvenir à contrôler et résister à deux succubes en manque du matin au soir ?

Ce n'est que lorsque je remarque qu'elle n'en peut plus que je libère Noriko de ma poigne pour lui permettre de respirer. La bite tremblante et baignant dans une mare de salive, une idée me vient en tête alors que je me relève pour m'éloigner d'elle une seconde.

- Bougez-pas ! Restez-là et fermez les yeux.

Je me déplace alors de meuble en meuble pour fouiller chaque tiroir jusqu'à trouver ce que je cherche. Oui, cela fera clairement l'affaire pour la suite de la journée si je ne veux pas me laisser déborder par les évènements avec ces deux-là.

Sans faire un bruit, je retourne auprès d'elle et leur installe un collier à chacune au bout duquel est rattaché une fine corde. Autant dire les choses telles quelles sont, les voilà en laisse.

- Deux jolies chiennes en laisse.

Ma main droite vient saisir la laisse de Chloé que je fais grimper sur le sofa pour se retrouver les genoux sur les coussins et le ventre face au dossier pour avoir un accès à son cul. Alors que de l'autre je tire sur le cou de Noriko pour lui reprendre la première position qu'elle m'a offerte lors de cette nuit dans la suite. Allongée au sol avec mes burnes qui se frottent sur sa jolie petite gueule.

- Je vais vous préparer pour la suite de la journée. Et comme deux bonnes chiennes vous allez obéir.

Sans plus de cérémonie je descends le bas de bikini de Chloé pour lui ouvrir les fesses des deux mains et crache dans son oeillet. Du bout des doigts je l'étire légèrement et y enfourne ma langue pour le préparer à ce qui va suivre. Délicatement pour le moment. Même si mes doigts viendront très vite l'ouvrir. Une étape nécessaire pour ne pas lui détruire le rectum d'entrée quand le spectacle commencera.

"BLEEUUUUUAAARK !!!"

La réaction de Noriko est si violente que Chloé en sursaute.

"Oh merde!"

La japonaise s'est presque cassée en deux tant elle s'est cambrée entre les cuisses de Souta. Des deux, c'est la plus flexible. Elle s'accroche comme elle peut aux jambes du garçon tandis que l'énorme queue lui remplit le gosier jusqu'à la base du cou où s'imprime l'empreinte du gros gland. Ses yeux se révulsent et elle tente de s'extraire de ce piège mais Souta la retient de force. Noriko rote un truc pas vraiment propre, tousse, bave abondement et ses narines palpitent à la recherche d'air.

Chloé n'a pas le temps d'aller à la rescousse de sa copine que le garçon lui pelote les fesses et lui impose une galoche humide dont les résidus tartinent le visage de la pauvre Noriko qui n'en peut plus. Au bord de la syncope, la petite asiatique tape sur les cuisses du garçon pour qu'il la libère et quand il le fait, elle reste agenouillée devant lui, tête baissée, déversant des flots de salive sur ses genoux.

"Ca va ma chérie?"

Chloé interrompt son baiser pour s'enquérir de son amie.

"Ouais ... dur."

"Tu l'as cherché."

"Je sais."

Noriko tousse encore, renifle et lève la tête, exposant ses yeux larmoyants et son maquillage ravagé. Alors que Souta part en exploration, Chloé vient lui faire un gros câlin et la prend dans ses bras, non sans perdre le nord et lui lécher la joue. Noriko ricane et répond à sa copine par un bisou bien gras. Souta farfouille et quand il revient, le constat est le même.

"OH... OH..."

Voilà quel est son plan. Deux laisses pour deux chiennes. Là où d'autres se seraient froissées, Chloé et Noriko lui sourient, la japonaise allant jusqu'à prendre la pose du gentil toutou alors qu'il leur passe un collier à chacune. La gorge profonde est oubliée et il a su capter leur intérêt. Souta revient à ses premiers amours et la position qu'il leur impose à un goût de déjà vu.

"AH! OUI!!"

Chloé se trémousse les fesses à l'air et la tête enfoncée dans les coussins du dossier, elle prend ses fesses à pleines mains pour les écarter et offrir à Souta une vue imprenable sur cette petite rosace qu'il connait déjà parfaitement. A sa langue et à ses doigts, elle oppose coups de reins incisifs dans l'attente de la suite. Si il veut la sodomiser, elle y est tout à fait disposée. Avec lui, c'est quand il veut, où il veut. Il est assez peu probable qu'un jour elle lui dise non. Quant à Noriko, revancharde, elle vient gober les couilles du garçon, les deux! Un exploit pour sa petite bouche, et elle referme ses lèvres dessus pour l'y garder. De son majeur, elle aussi vient lui titiller l'anus et si il n'aime pas, elle s'en fout. Un geste de travers et elle lui arrache ses baloches. Juste vengeance!

C'est abusé comme elles peuvent pas tenir tranquille ou se retenir plus de dix secondes ceux deux là. Je suis là pour les chauffer et les préparer à la suite mais elles s'en foutent complètement et pensent sûrement que ça va finir en baise direct dans les secondes à suivre. Pour le moment je ne fais pas de remarque à Noriko qui a décidé de prendre une petite initiative de son côté histoire de me concentrer sur Chloé.

Mes doigts humides viennent s'immiscer tranquillement dans son fondement pendant de longues secondes durant lesquelles je m'amuse à venir mordiller la peau de pêche de son gros cul si parfait. Je prends plaisir à faire glisser mes dents sur plusieurs centimètres sans trop les enfoncer pour qu'elle puisse quand même bien les sentir.

Les deux premiers doigts sont alors rejoins par un troisième, puis un quatrième quand son rectum finit par s'ouvrir assez largement. Aucun de nous ne voudrait que la soirée se termine comme l'autre fois avec son cul éclaté car j'y suis allé trop fort. Surtout qu'il risque d'y avoir du passage dans ce trou ce soir. Je m'en suis assuré.

- Retourne-toi !

L'ordre lui est donné alors que mes doigts sont toujours insérés profondément en elle pour lui procurer une dernière et vive sensation quand je les retire. Mon bras s'élève alors pour venir lui afficher l'état de mes doigts trempés sous les yeux pour venir les lui fourrer dans la chatte cette fois.

Mon autre main vient tirer sur la laisse de Noriko pour lui faire comprendre d'arrêter son petit manège et de me rejoindre.

- Viens par là, toi ! Tu vas doigter ta chienne de copine.

Deux de mes doigts, légèrement courbés vers le haut, sont déjà à l'intérieur de la fente trempée de Chloé alors que je me baisse légèrement pour que mes lèvres puissent emprisonner son clitoris gonflé et démarrer une intense session de succion et doigtage pour la faire jouir plusieurs fois. Cela prend plusieurs minutes mais notre double attaque avec Noriko ne s'arrêteront pas avant de la voir se crisper et prendre son pied au moins deux ou trois fois. La japonaise lui agripper même ses gros nichons et ses mamelons par moments pour les presser et tirer dessus au moment propice car elle semble parfaitement connaître le corps de sa partenaire.

- Bon, ça devrait le faire.

La cyprine ne coule plus juste mes doigts. Son liquide de plaisir à carrément salopé jusqu'à mon poignet et mon torse avec les éclaboussures. Une fois écarté du corps de Chloé pour la laisser récupérer un peu, je tire de nouveau sur la laisse de Noriko pour faire approcher son visage du mien pour lui glisser quelques mots. Son visage brille alors d'une lueur perverse alors qu'elle arbore un grand sourire avant de sautiller de joie en filant un peu plus loin pour récupérer un jouet dans un des tiroirs pour le cacher dans son dos.

J'attrape alors fermement les deux laisses et tire assez fort dessus pour faire venir les deux chiennes vers moi, debout pour l'instant, et les emmener vers la porte de a grande pièce qui nous mène un couloir immense.

- C'est l'heure de la promenade.

Alors que la porte s'ouvre automatiquement, on peut déjà apercevoir deux couples au loin, chacun dans leur coin, en train de s'amuser ouvertement. Le premier est tranquille dans son coin alors que le second est collé contre un mur avec deux trous desquels on peut voir sortir deux bites. L'une d'elle est branlée par la femme alors qu'elle s'enfonce la seconde dans le cul tout en suçant celui qui semble être son amant principal.
Contrairement aux gloryhole classiques, elle peut voir l'inconnu qui l'encule car la vitre qui les sépare est en verre non teinté.

- Prêtes à vous amuser un peu ?

Très rapidement je les fais entrer dans une première pièce faiblement éclairée et lâche leurs laisses en leur ordonnant de se mettre à quatre pattes et d'avancer. Très vite elles remarqueront que des mains viendront les tripoter de tous les côtés à la fois.

Hey!! Y'a des façons de faire qui sont pas loyales! Et la double attaque de Noriko et Souta, orchestrée de doigts de maitre, est super dure à contenir! Chloé gigote en commentant le peu de loyauté de sa copine et le manque de courtoisie de son pervers de compagnon. Maintenant, ça reste dans l'état d'esprit de la séance prévue et donc, elle s'y fait assez rapidement, de l'ordre de quelques secondes durant lesquelles elle tente où de repousser sa copine ou de pincer une couille du garçon. Elle n'y parvient pas et se laisse donc aller sans plus trop résister.

Il en faut peu hein pour faire succomber Chloé à ses vieux démons qui ne l'ont d'ailleurs jamais quittés. Son orgasme est à son image, expressif, mouvementé, bruyant, et même un peu obscène. Noriko ricane, à chacune son tour ...

On peut dire que Souta a de la suite dans les idées et qu'il ne perd pas le Nord. En maitre attentif, il emmène les filles se promener. Un baisodrome!! C'est bien là qu'ils sont! Des couples copulent et Chloé et Noriko ne perdent pas une miette du spectacle. Etre à quatre pattes ou debout et tenues pour jouer les chiennes fait partie du jeu et l'asiatique lâche même un petit jappement en tirant la langue et en ramenant ses mains devant elle en signe de joie. Elles entrent ensuite dans un nouvel espace et reçoivent l'ordre de se mettre à quatre pattes. C'est parti?

Oh oui, c'est parti! Chloé demande:

"C'est là qu'on va s'amuser?"

Et ce n'est pas la voix de Souta qui lui répond.

"J'crois bien ouais!"

Aussitôt, ce fut la ruée. Noriko, petit modèle, fut soulevée et un type costaud qu'elle reconnue aussitôt comme étant de ceux qu'elles avaient croisé dans la rue, l'empala et s'acharna dans sa chatte. Pas le temps de vraiment réagir, elle gémit aussitôt sous l'intrusion qui perçait jusqu'à son col de l'utérus. L'homme la malmena de longues secondes avant qu'un autre se pointe derrière et lui perfore le cul. Le nouveau venu était gras et il écrasa la jolie japonaise conte le premier. A deux, ils entreprirent une longue double pénétration bien dure où Noriko ne fut qu'un simple objet sexuel à utiliser. Elle s'accrocha aux épaules de son tourmenteur côté face et les laissa la démonter. De toute manière, elle n'avait pas le choix.

Autour d'eux, des hommes se pressaient, nombreux et avides, nus, la plupart se masturbant frénétiquement, excités à l'idée de se taper ces deux bombes.

Chloé ne subit pas le même sort que sa copine. Un gus la fit basculer sur le dos et il s'agenouilla au dessus de son visage pour lui baiser les seins à l'envers.

"Bouffe moi l'cul!"

"Hein? Pas questionwwwwwwaarf!!"

Il ne lui laissa pas le choix non plus et écrasa ses fesses sur le joli minois de la bimbo. Un autre s'agenouilla au dessus du ventre de la minette et appliqua une branlette espagnole réglementaire cette fois, dans le bon sens, partageant les seins de Chloé avec le type d'en face. Un troisième leva les jambes de la jeune fille et s'engouffra dans sa chatte trempée. Il y gicla en une minute et laissa la place à un autre.

Idem pour Noriko. Elle était tellement étroite que deux participants avaient déjà joui dans son cul qu'un autre de la longue file s'empressa de bourrer.

On dépassait le stade du gangbang là et les filles étaient encore sous le coup de la surprise. Quand elles allaient réagir ....

La situation n'a pas mis beaucoup de temps avant de dégénérer dans ce grand espace. Pour être tout à fait honnête je m'attendais à ce que les choses aillent progressivement histoire de bien chauffer les filles pour qu'elles se mettent dans l'ambiance.
D'accord, j'avais promis à plusieurs mecs, y compris ceux de la ruelle qui sont en train de charbonner les trous de Noriko, qu'ils auraient l'occasion de venir l'enculer car ils en avaient clairement après son petit cul serré. Après... de là à leur sauter dessus comme des morts de faim qui ont pas niqué depuis des années c'est une toute autre affaire.

A quelques mètres on peut entendre d'autres personnes, couples en plein acte ou simples spectateurs/trices faire des commentaires sur la situation.

- Les pauvres, j'aimerai pas être à leur place.

Ce genre de remarque provenait essentiellement d'autres femmes. Le fait de se trouver dans un endroit où l'échangisme est autorisé ne donne pas forcément le droit de sauter sur tout ce qui bouge sans le consentement de la personne en face. A un détail près, c'est moi qui décide de la chose pour elles depuis que l'on a mis les pieds ici. J'aurais peut-être dû leur en toucher un mot avant.

- Ce cul... Je lui défoncerai bien la rondelle si elle était pas pleine de sperme.
- T'es sérieux là ?
- Désolé chérie, mais j'y peux rien. Tu me laisses jamais passer par là.
- Vu ta tête, je pense que je fais le bon choix.
- Ha ha ha !
- C'est pas marrant.

Un couple à quelques pas de nous était en train de se disputer avec retenue en regardant la scène tout en conservant ses distances de cet attroupement.

- C'est vraiment ce que tu veux ?
- Ouais... Grave.
- Bon, si ça peut te faire plaisir. Attends là...

La jeune femme s'approche du prochain type à vouloir passer sur le petit cul bombé de l'asiatique pour lui glisser quelques mots à l'oreille. Et ça semble lui plaire vu qu'il recule immédiatement pour se coller un peu plus contre un mur, la bite à la main.

Dans la seconde qui suit, la femme se mets à quatre pattes pour enfouir sa tête entre les fesses marquées de Noriko tout en déposant ses mains sur chacune d'entre elle pour mieux écarteler son étoile qui vient faire sa première rencontrer avec une longue et épaisse langue serpentine dans un son salle qui surprend un grand nombre de personnes présentent.
Cette inconnue se met à lui récurer le fondement avec une rapidité et une efficacité assez impressionnante.

- Voilà, chéri. C'est tout propre, tu peux y aller.

Histoire de rien gâcher, la femme se redresse pour venir rouler une galoche dégueulasse à celle avec qui elle va partager son mari quelques instants.
Leurs lèvres ont a peine le temps de venir se rencontrer qu'une fine mais longue bite vient remplir ce rectum propre et chaleureux dans un long râle de satisfaction.

- Merci ! Je t'aime.
- Moi... auffi...

Voilà un couple bien étrange mais qui sait s'amuser et combler son partenaire sans la moindre gêne.

Après un long baiser pour lui faire avaler la majorité du sperme stocké dans sa bouche, la femme demande à Noriko en lui souriant, les lèvres dégoulinantes de sperme.

- Ton maître en a une énorme. Mais celle de mari est bien plus longue. T'aimes la sentir te remplir ton petit cul de salope ?

Si elle est contre la sodomie la concernant, voir d'autres femmes se faire prendre le cul par son mari a l'air de l'exciter.