Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)

Chloé gloussa.  Pour elle, le terme "punir" n'était pas interprété de la même manière que pour le commun de l'humanité. Dans la bouche de Souta, ce verbe prenait une dimension qui n'incitait qu'au plaisir et elle se régalait déjà de ce qui l'attendait. Aussi, elle prit le parti de ne pas céder à la menace et continua à s'auto-satisfaire sur le membre du garçon. Elle montait et descendait, empalant ses fesses en rythme en observant le visage de son partenaire qui laissait transparaitre une satisfaction certaine. Alors ouais, e faire chevaucher par une dingue du cul était un moment à profiter au maximum, sans retenue. Chloé s'amusait avec cette sodo surprise. Plus vierge de ce côté là depuis bien longtemps, elle puisait dans ces expériences personnelles pour s'occuper de la queue de Souta comme d'une friandise. Elle comprimait sévèrement son rectum autour de lui et le malmenait dans son étroit conduit anal pour en extirper tout le jus dont elle se régalerait ensuite.

Son partenaire ne resta pas pour autant sur le banc des observateurs et entreprit de la combler et la stimuler avec ses doigts.

"Mais je ne demande que ça ... prendre cher!"

Ca allait de paire avec une bonne séance de baise bien évidemment. Les trucs mignons, les papouilles et les mamours vanilla, c'était pas pour elle.
Elle gémit quand l'ultime pénétration plonge la queue de Souta loin dans son ventre et elle bouffe les doigts qu'il lui tend pour se délecter de ses plaisirs à elle. Elle les suce un à un, s'assurant de les rendre sans une once de viscosité  et sourit en le matant dans les yeux. Il va en rester là?

Ah ... ben non. D'un geste brusque, il retourne la situation et se campe fermement devant elle, soudainement très dominateur. Elle roucoule de joie, a aussi elle adore. Prendre ce qu'elle veut, comme elle le veut, c'est le pied, mais subir les vices délicieux de son compagnon, c'est bien mieux, surtout quand il maitrise si bien la chose.

Souta a une idée bien précise en tête et il ne compte pas faire dans la dentelle.

"Commence par me renifler tout ça!"

Erk, c'est sale! Cool ... Chloé offre sa mine la plus soumise et approche son visage de l'objet de toutes les attentions du moment. En effet, c'est loin d'être propre, c'est rarement le cas après une sodo surprise et elle a un mouvement de recul que Souta contre en la maintenant par les cheveux. L'odeur n'est pas nouvelle mais passer du cul à la bouche sans préparation, elle ne le pratique pas si souvent. C'est fort et clairement identifié d'autant plus que le garçon ne se gêne pas pour écraser son service contre sa bouche et son nez.

"MMMMMmffff!!!"

Il la verrouille et elle ne peut pas tourner la tête. ce n'est pas qu'elle cherche à s'échapper mais le trip est particulier. Souta lui remet les idées en place en lui collant un aller retour sur les joues avec son sexe. Ok, c'est toi le patron. Chloé se cale bien à genoux, sagement, les mains posées à plat sur les cuisses et ouvre la bouche, la langue tirée en le regardant.

"Aaaaahhhhh!"

Comme chez le docteur ... elle présente son gosier pour une inspection en règle qu'il ne tarde pas à investir, à sa manière. Il ne s'agit ni d'une fellation, ni d'un facefuck, c'est assez désordonné et il ne lui laissa pas le loisir de pouvoir faire quoi que ce soit. Très vite, il la pilonne, s'enfonçant aussi loin que possible dans cette gorge offerte avant de revenir lui tartiner la gueule de sa queue gluante. Les quelques minutes qui suivent sont éprouvantes pour elle tandis qu'il la malmène. Clairement il l'utilise comme une bouche à baiser sans considération. Le goût particulier de ses fesses à disparu, noyé dans des tombereaux de salive qui dégoulinent sur sa poitrine après avoir suintés de son menton. Souta devient brutal et Chloé a toutes les peines à suivre. Sucer, elle sait faire, et de manière très professionnelle, mais là, elle ne gère rien et subit cet assaut forcé sans pouvoir rien trop faire d'autre qu'accepter la sentence.

Elle s'étouffe, rote, tousse et retient de justesse un vomi qui laisse un goût aigre dans le fond de sa gorge. Elle se crispe et tousse à nouveau, la queue du garçon logée loin dans son cou. Ses yeux se révulsent et elle éructe bruyamment un geyser de salive qui jaillit aussi bien d'entre ses lèvres que de ses narines. Elle tape frénétiquement sur les cuisses de Souta, elle ne veut pas dégueuler sur le lit. il la lâche enfin et elle n'a que le temps de prendre une courte inspiration qu'il recommence, encore et encore. En quelques minutes, elle est défaite et ruinée, sale et couverte de souillure. Ses mèches roses lui collent au front et sur les joues et sa peau brille de toute la salive qu'elle y a accumulé. Elle garde la position, elle ne va pas abandonner tandis que lui continue à se frotter à elle. Sa grosse poitrine se soulève anarchiquement alors qu'elle tente de reprendre son souffle. Elle sait que ce n'est pas fini ...


Noriko est de super bonne humeur, elle a bien dormi, est en pleine forme et debout depuis un petit moment déjà. Elle s'est habillée assez simplement et sait que ça suffira pour ce qu'elle s'apprête à faire. La veille au soir, Souta, ce gros pervers, lui a envoyé une invitation accompagnée d'une photo explicite. Il en veut encore? pas de problème, Noriko est de la même trempe que sa copine. Elle  a l'adresse et sait que la porte de l'appartement sera ouverte. Elle a rempli un sac de "jouets" et sort de chez elle pour aller à sa voiture.

La punition sexuelle de Chloé commence bien maintenant que j'ai toute son attention et qu'elle ne cherche plus à reprendre le dessus. Elle aura besoin d'encore un peu de temps pour retrouver ses esprits en plus d'une respiration stable après ce que je viens de lui faire subir. Ce spectacle est tellement crade et excitant à la fois que je n'ai pas envie de bouger de ma position. Je suis si bien où je suis, la queue trempée de salive qui forme des bulles et de la mousse par endroit car sur la durée, ma pauvre victime avait de plus en plus de mal à contrôler ses gestes et réactions de son corps. On entre doucement mais sûrement dans la catégorie des pornos trash là.

Je n'ai malheureusement pas d'autre choix que de me reculer en laissant glisser ma trique sur la peau douce et suintante de son visage afin de descendre du lit.

- Bouge pas de là !

L'ordre est donné de manière sèche tandis que je m'éloigne d'elle de quelques pas pour retrouver le sol. Des gouttes de salive coulent de ma bite qui semble peser une tonne avec tout ce que cette nympho a craché et bavé dessus alors que je me dirige vers la fenêtre pour tirer à fond les rideaux qui laissent entrer toute la lumière du jour dans la chambre.
Puis je fais demi tour rapidement pour me saisir de mon portable qui est posé sur la table de chevet et reprendre ma place en toute hâte sur le lit face à Chloé.

- J'ai vu que t'adores te prendre en photo. Alors montre-moi ton plus beau sourire.

Sans le vouloir, ma bite gonflée et tendue vient se frotter contre sa joue en s'incrustant dans le cadre de la photo. Je n'y peux malheureusement rien étant donné ma position, la taille du cadre et les dimensions de mon organe.
J'enchaîne alors les clichés tandis que les sons générés par le téléphone à chaque photo résonnent entre les quatre murs de la pièce.

Sur les premières prises je me contente de prendre son faciès défiguré par mes abus précédents. Puis j'enchaîne sur quelques photos comparatives entre la taille de sa tête et ma trique qui feraient un superbe fond d'écran. Viens alors le dernier plan.

- Tu t'es assez reposée.

Sur cette phrase, mon gland se frotte sur ses lèvres pour seule explication. Inutile de faire un dessin avec une nympho de ce calibre. J'enfourne ma queue pulsante et brûlante dans sa gorge en forçant légèrement sans aller jusqu'au bout. Ce sont toutes de sacrées avaleuses dans la famille de toute manière. Ce genre de pénétration ne devrait pas lui poser trop de souci.

De la main gauche, je décale ses mèches de cheveux qui pourraient lui entrer dans les yeux tout en cadrant du mieux possible avec ma main droite qui tient le smartphone.

- Regarde-moi dans les yeux. Ouais... T'es vraiment superbe comme ça. Une belle petite bouffeuse de bite.

Le son caractéristique de la prise d'une énième photo retenti. A la différence que cette fois je pianote quelque chose dessus. Il s'agit d'un message que j'envoie à Noriko qui doit sûrement déjà être en route, si elle n'est pas déjà quasiment arrivée. Avec un peu de chance il me reste quelques minutes devant moi pour savourer ce délicieux tête à bite avec Chloé avant qu'elle ne découvre sa surprise.

L'excitation est si grande que j'ai du mal à contrôler tous mes gestes lorsque je sens sa gorge m'écraser la trique. Cela me pousse à me retirer rapidement en arborant un grand sourire tout en la qualifiant de "Sacré salope" au passage. Après plusieurs tentatives, j'arrive enfin à mettre mon portable en veille et le balance dans un coin du lit pour le voir atterrir par terre en glissant sur le drap trempé.

De mes deux mains je me saisis alors du crâne de ma victime pour commencer à la pilonner brutalement durant quelques secondes pour finir par une pression violente sur sa tête afin de lui faire bouffer ma queue. La chose se termine par un relâchement soudain qui voit ma bite s'extirper de ses lèvres dans un nouvel amas de salive qui ressemble presque à de l'écume.

- On va faire une petite pause.

Je la regarde droit dans les yeux en admirant mon oeuvre tout en rigolant et marquant une pause d'une seconde pour reprendre en feignant la surprise.

- Désolé, JE vais faire une pause. Toi tu vas continuer de bosser.

D'un geste du pied, je faire reculer les oreillers contre la tête du lit en me laissant tomber sur le matelas. Je me coince confortablement en gardant les jambes écartées pour lui offrir un accès complet à ma bite et mes burnes dont elle va gentiment s'occuper le temps que sa copine arrive.
Je me suis d'ailleurs légèrement tourné sur le côté pour qu'elle ne puisse pas voir la porte de la chambre. Il faut que la surprise en reste une jusqu'au bout. En attendant je ferais durer le plaisir en la faisant me sucer tranquillement.

"Bouge pas de là!"

Oh que non elle ne va pas bouger d'un poil. Souta a envie de jouer les machos, elle lui laisse le beau rôle, celui du mec qui gère et qui prend les rênes de la direction. Aussi, c'est bien sagement que Chloé attend la suite des évènements. Elle reste à genoux sur le lit, les mains bien à plat sur ses cuisses, en reniflant encore alors qu'une masse collante de jus de sexe pend de son nez et de son menton. Quand le garçon ouvre les rideaux d'un coup, laissant la lumière inonder la pièce, elle plisse des yeux en détournant la tête. C'est violent ça!

Une séance photo porno? Qu'à cela ne tienne, ce ne sera pas la première et elle sait quel profil ou pose présenter pour offrir le meilleur d'elle même. Et quel soit crade et dégoulinante de tout un tas de trucs n'y change rien. Elle écarte les jambes vulgairement, lance vers le smartphone son plus beau regard de salope et se cambre pour faire exagérément ressortir sa poitrine massive. Quand Souta pose sa queue sur son visage, elle essaye de la happer mais il a encore une autre idée en tête. ce ne sera que de la photos alors ok, c'est toi le chef daddy!

"Tu t'es assez reposée."

Elle est d'accord et quand il presse entre ses lèvres, elle le gobe à nouveau, bruyamment, essayant de le loger bien au fond, dans sa gorge. Elle gargouille délicieusement et bave comme une folle. Il continue de prendre des clichés. Sur internet, il pourrait revendre ça une fortune.
Une belle petite bouffeuse de bite? Ce genre de mots doux la font craquer. Elle gémit en guise d'approbation et s'arrange pour être bien en face de lui. En deux coups de tête, elle fait de cette queue son plat de résistance et va pour enlacer les fesses de son amant pour l'inviter à se donner à fond.

"Vachouipfor!" (Vas-y plus fort!) est la seule chose qu'elle arrive à sortir.

Souta craque et balance son smartphone à l'autre bout du lit après avoir pianoter un peu. Qu'est-ce qu'il fout? Pas le temps d'y penser plus. Le jeune homme attrape Chloé par la tête et lui baise la bouche comme un fou furieux. Elle encaisse bien sûr et met autant de vigueur à le sucer que lui à la baiser. Si seulement il pouvait faire sauter ses limites et la réduire à être un simple sextoy. Elle kiffait se faire traiter ainsi et ses propres barrières à elle (y'en avait pas beaucoup) fondaient comme neige au soleil. Mais encore une fois il la surprend et se retire de sa bouche, libérant un flot de salive glaireux.

"On va faire une petite pause."

"Quoi?? C'est une blague? Pas maintenant non!"

Chloé grogne de frustration. C'est pas cool! Elle comptait bien se faire déboiter quelle que soit la manière. Bon, après tout, Souta se remet à peine de ses problèmes et elle peut bien faire l'effort de le chouchouter un peu. Le garçon s'installe à l'aise contre les coussins et la seconde d'après elle le pompe comme si sa vie en dépendait. Elle y met tout ce qu'elle a et sa gueule d'amour s'écrase à chaque retour contre les abdos du garçon. Chaque gobage entraine une rotation de sa tête pour que le gland sensible s'irrite contre les parois de sa gorge. Elle aspire tout ce qu'elle peut, presse fort, peut être trop même et ne songe surtout pas à s'arrêter. Elle écarte les cuisses de Souta plus encore pour se donner tout l'espace nécessaire à cette gorge profonde de malade. Très vite, l'entre jambe de sa victime dégouline de salive alors qu'elle s'empale ce pieu brulant dans l'œsophage. Merde que c'est crade mais elle l'a voulu, le veut et en demandera plus après.

Noriko se marre. Ce gros pervers de Souta prend son pied et sa copine en paye le prix. Enfin ... la connaissant depuis longtemps maintenant et ayant partagé ses jeux, la japonaise sait que Chloé s'éclate tout autant. Souta ne le sait pas mais les filles ont un album photo perso qui ferait crever de honte leurs parents respectifs s'ils tombaient dessus. Derrière ses airs tout mignons, Noriko est aussi une salope patente et elle n'a rien a envier à la furie française.

Le quartier de la Toussaint n'est pas son endroit préféré à Seikusu et quand elle se gare devant l'adresse où Souta lui a donné rendez-vous, elle n'est pas rassurée. Alors vite, elle s'extirpe de sa voiture, attrape son sac et ne perd pas de temps pour s'engouffrer dans le hall de l'immeuble qui abrite le repaire du jeune étalon. Fringuée comme elle l'est, elle évite de demander au clodo qui squatte l'entrée où sont les escaliers et elle file en jetant des coups d'œil inquiets derrière  elle. Heureusement, elle ne se trompe pas et elle atteint sans encombres la porte de l'appartement de Souta. C'est ouvert et dès qu'elle entre, elle se retrouve face au fessier de sa copine qui se dandine alors qu'elle pompe son nouvel ami. Quel boucan elle fait!! Et ça lèche, et ça aspire et ça crache. Une vraie pro!!

Sans faire de bruit, Noriko adresse un petit coucou à Souta avant de refermer la porte. Elle aussi aimerait bien aller s'essayer à une petite fellation mais ce qu'elle apporte avec elle est dédié à sa copine. Elle sort de son sac un énorme godemiché rose cerclé d'anneaux tout le long du jouet et un tube de vaseline. Elle en enduit le gode et s'approche du lit sur la pointe des pieds. Elle vise. Chloé est détendue et ne s'y attend pas. D'un geste sec, elle enfonce le truc énorme dans le cul de sa copine qui braille de surprise. La bouche pleine, ce n'est qu'un "QWWWEUUURK???" qui en sort.

Mon gros morceau dur au fond dans sa gueule ne l'empêche pas de balancer un barrage de postillons partout sur mon pubis alors que je l'empêche de pouvoir se retourner. La pauvre a sûrement dû prendre cher en voyant de loin le morceau que sa copine vient de copieusement lui foutre dans le cul avec juste un peu de vaseline pour limiter la casse. Entre la sodomie violente de l'autre soir et l'écartèlement en règle qu'elle est sur le point de subir, je me demande comment elle peut encore parvenir à pouvoir marcher droit. Si tant est qu'elle y parvient quand on quittera le lit.

- Fais pas gaffe !

Ma main gauche reste collée sur l'arrière de son crâne pour la forcer à s'étouffer sur ma bite dont la tige ressent chaque vibration de sa gorge ou autre remontée de fluides bien dégueulasse. Avec tout ce qu'elle a recrachée depuis son réveil cela ne m'étonnerait pas que sa salive a déjà imprégnée le matelas de façon définitive.

- J'espère que ça te plaît car c'est le premier cadeau d'une longue liste.

La main droite, elle, malmène un de ses énormes nichons en écrasant sa pointe entre le bout de mes doigts durant plusieurs secondes et avec le minuscule espace à leur disposition vu que sa poitrine n'était pas si éloignée du lit vu la position.
Au bout d'un moment je décide de lâcher cette moelleuse prise pour venir lui poser quelques petites claques sur la face. Je ne me doutais pas que mes doigts finiraient si facilement et rapidement couverts de sa salive qui est vraiment partout désormais.

- T'aimes ça, hein ? J'veux t'entendre le dire.

Tout en arborant un grand sourire pervers, j'admire son visage défiguré qui est généralement si soigné grâce à notre nouvelle participante qui n'a va pas à moitié avec sa copine. Ces deux-là sont sans l'ombre d'un doute le plus grand duo de salope qu'il m'a été donné de rencontrer à ce jour.

- Aujourd'hui j'vais te traiter comme la dernière des putes. Mais tu seras MA pute !

Mon regard se tourne vers Noriko pour lui dire de s'occuper d'elle pour la faire jouir une première fois. J'ignore si elle a déjà compté le nombre d'orgasmes qu'elle a pu avoir en une journée. En tout cas notre objectif sera de placer la barre si haute que plus personne ne pourra ne serait-ce qu'envisager de l'atteindre un jour. J'ai contacté un paquet de personnes et réservé plusieurs endroits pour lui faire passer 24h qu'elle n'est pas prête d'oublier un jour.

Dix minutes s'écoulent alors que mes oreilles sont bercées par les doux cris et gémissements de nos trois voix résonnant entre les murs de cette petite chambre. Une fois que Noriko a fini sa première mission, le temps est venu de bouger pour passer à la suite. Après avoir marqué le coup, ça va de soi.

- Passe-moi mon portable et amène-toi ici aussi.

Mon portable en main je le déverrouille pour passer en mode vidéo et filmer les deux fausses frangines me travailler ensemble. Le visage presque intact de Noriko à côté de l'expression saccagée de Chloé me fait bander comme un âne. Je m'amuse même à gagner quelques secondes en remuant les hanches pour voir ma bite étaler un mélange de salive écumeuse qui est quasiment composée de petites bulles et de pré-sperme sur elles.

- Viens sur mes couilles, que je les vide dans la gueule de cette chiennasse.

Un remplissage de bouche et une faciale devrait lancer les hostilités dans le bon sens pour cette aventure haute en couleur qui attend cette nymphomane insatiable.

"Fais pas gaffe!"

Facile à dire. Chloé s'étouffe à répondre que le truc qui vient de lui perforer le cul, c'est pas comme si c'était lui qui le prenait. Le monstre lui écarte les chairs et elle gigote pour essayer de s'extraire à la poigne de Souta. Mais il ne cède pas et continue de posséder sa gorge de toute sa grosseur. Le traitement est difficile car il ne la laisse pas respirer. Il a le contrôle de la situation et elle ne peut que se réjouir de cette situation. Néanmoins, elle prend cher et plus d'une fois, elle manque dégueuler au prix d'un violent effort de domination de ses réflexes. Elle ne peut pas voir ce qui se trame derrière elle mais elle comprend vite que le tour a été monté par Souta. Elle peut voir sur son visage qu'il n'est pas surpris et est même hilare. Il la pelote sans vergogne et ses tétons réagissent à l'excitation. Elle ondule, le cul occupé et la gorge prise. Ce n'est pour ça non plus qu'elle reste sans rien faire. Elle sait que Souta est faible quand elle s'acharne sur sa queue. Alors oui, il lui démonte la gueule mais elle aussi, l'aspire et le vampirise tant qu'elle peut. Sa langue fait des miracles à s'enrouler autour de la queue qui la pilonne. Elle suce comme seule une Reynard digne de ce nom sait le faire. Mais aujourd'hui, ce n'est pas elle qui gère. Derrière elle, la main experte qui manie le gode est tellement précise que Chloé s'évade dans un tourbillon de plaisir. Elle a abandonné l'idée de résister et se laisse faire pour son plus grand bonheur.

A la question de Souta, elle répond par un "OUUIICCHH" suintant qui libère une déferlante de fluides. Oh oui, être la pute du jeune pervers l'emballe. Elle en a envie de se faire traiter comme un sextoy. Elle hoche la tête, tousse, hoquète et s'étouffe encore. Elle a des larmes pleins les yeux qui se révulsent à chaque fois que Souta tape trop loin.

De l'autre côté, Noriko joue du godemichet comme si elle plantait un arbre. Elle plonge l'engin verticalement dans le cul de sa copine et répond aux sollicitations du garçon dès qu'il les demande. Le gros chibre en caoutchouc a un diamètre monstrueux et la rondelle de Chloé est tendue au maximum. C''est beaucoup pour elle et après quelques minutes de ramonage, Chloé tremble violemment, le corps parcouru de longs spasmes. Elle est trempée et dégouline de sueur. elle a jouit comme jamais et sursaute en réaction au commentaire de sa copine.

"Coucou Chloé, ça fait plaisir de te voir! Et tu comptais pas m'inviter à ta petite sauterie?"

La nymphomane proteste aussitôt. Elle aurait dû s'en douter! Chloé croasse un truc pas clair pour envoyer chier Noriko mais ses paroles disparaissent dans le gargouillis incessant provoqué par la gorge profonde qu'elle prodigue sans avoir le choix à Souta. Les ébats s'éternisent un peu jusqu'à ce qu'il soit temps pour le garçon de passer à la vidange.

Quand il lui demande, Noriko se précipite pour enfin, elle aussi, recevoir sa récompense. Le gode pointant de son cul défait, Chloé, pas rancunière, se décale pour laisser une place à sa copine entre les cuisses de Souta. C'est aussitôt quatre mains habiles qui s'activent sur la hampe du tourmenteur jusqu'à obtenir une éjaculation massive qui leur tartine le visage. Noriko réussit à introduire le gland de Souta dans la bouche de Chloé avant qu'il termine et le laisse terminer de s'y purger. Mademoiselle Reynard a les joues gonflées et au moment où elle va avaler, sa copine l'embrasse à pleine bouche pour lui voler la primeur de la saveur masculine. C'est bruyamment qu'elle s'approprie la totalité de sperme déversé et le sourire aux lèvres, elle penche la tête en arrière pour déglutir.

"Délicieux!"

"Salope!"

"Ouaip!"

La jolie asiatique se tourne vers Souta.

"Tu as prévu autre chose?"

Ces deux-là ne changent pas une fois qu'elles se retrouvent ensemble. Leur duo ferait rêver n'importe quel producteur de film porno tellement elles peuvent rendre quelque chose de sale totalement naturel. En particulier Noriko.

Le fait d'avoir les burnes pleines à craquer me permet de leur en foutre autant dans la bouche que sur leur jolies petites gueules quand je décide enfin de me laisser aller. Et une fois encore, inutile de leur demander d'avaler pour voir disparaître une massive quantité de crème épaisse dans leur gueule d'affamées.

Avoir du sperme au coin des lèvres et sur le menton après ce roulage de pelle n'empêche par l'asiatique de me demander ce que j'ai en stock pour la suite. Amusé et survolté après ce démarrage je lui réponds avec excitation.

- Ouais, un tas de trucs. Aussi sales les uns que les autres.

D'un mouvement de hanche je frotte mon gland encore crasseux et couvert de restes de cet orgasme bien chargé contre leurs lèvres pour qu'elles finissent le boulot.

- Nettoyez déjà ma queue. Après j'irai préparer le petit déjeuner pendant que vous irez vous rendre plus présentable.

Leur demander un truc pareil peu rapidement déraper si je ne fais pas attention. C'est pourquoi je les calme lorsque le duo tente un truc sans mon avis. Désolé les filles mais aujourd'hui c'est moi qui dirige.

Une fois ma trique propre et couverte de salive, je l'essuie directement sur leurs joues en ricanant. De toute manière c'est de la rigolade pour elles également ce genre de truc. Puis ce qui va attendre Chloé plus tard sera bien pire et dégradant.

- Allez, filez ! On s'en va dans une grosse demie heure, alors traînez pas non plus.

Sans tarder je me rhabille pour filer dans la cuisine préparer quelques trucs à manger : œufs brouillés, bacon, café, saucisses, viennoiseries, etc. Cela ressemble plus à un mini buffet dans lequel se servir qu'autre chose.

C'est assis tranquillement que je mange pour prendre des forces tout en les attendant. Cette journée risque d'être aussi longue qu'éprouvante. Un sac à dos à mes pieds contient pas mal de choses qui me permettront de tenir la journée tout en la rendant plus amusante. Autant pour moi que pour elles deux maintenant que je commence à cerner les deux bestiaux.

Lorsqu'elles se décident à me rejoindre je leur explique vaguement ce qu'il va se passer.

-  On va partir faire une virée en ville tous les trois.

Je me lève pour quitter ma chaise afin de m'approcher de Chloé pour lui rouler une pelle baveuse en venant chercher ses énormes seins dans la foulée pour tirer dessus sans ménagement devant sa copine. Ma langue danse avec la sienne hors de nos deux bouches pour que ce soit baveux et sale à la fois.

- Je vais traiter Chloé comme la pute qu'elle est car elle ne demande que ça.

Mon regard se tourne alors vers Noriko pour finir.

- Et quelque chose me dit que tu vas adorer m'y aider.

Je poursuis en expliquant à Noriko qu'on ira prendre sa bagnole direction le centre commercial pour commencer par une petite session de shopping lorsqu'elles auront pris le temps de manger quelque chose pour se remplir l'estomac d'autre chose que du jus protéiné dont je vais les rassasier dans quelques heures.

Quand on commence un truc, généralement, c'est pour le finir. Aussi, c'est avec une bonne volonté évidente que les deux filles s'occupent de nettoyer le sexe de Souta qui porte les stigmates d'une pipe acharnée. A coups de langues et de bisous, elle le rende plus digne et présentable que ce qu'il était après le lâché de semence et Noriko, qui n'est arrivée qu'à la fin commence déjà à se l'approprier en le gobant de moitié. Chloé la suit de près en tentant d'atteindre les boules mais Souta met un terme au jeu, provoquant par là un chapelet de protestions. Sa dernière générosité qui consiste à terminer de s'essuyer sur leur joue ne les interrompt pas alors qu'elles ont commencé à tchatcher pour se raconter les derniers potins. Avoir une bite qui se frotte contre leur visage ne les dérange pas. C'est comme un copain qui passerait faire la bise et s'en irait. Elles font avec, Noriko lançant un clin d'œil à Souta.

La promesse d'une nouvelle journée animée les emballe et elles foncent à la salle de bain se préparer. Une demie heure seulement pour ça? Impossible! Elles ressortent après une éternité, toute pimpantes, Chloé dans uns petit ensemble très streetwear et la moulant comme un gant alors que Noriko choisit un style bien différent mais tout aussi affriolant. Elles rejoignent Souta à table où il est déjà installé.

"Y'a du lait de soja?"

"Non il en a pas ..."

"Vous avez mis où le pain sans gluten?"

"Y'en a pas non plus ..."

"Et de la gelée royale?"

"Nnnn nnn"

"Mais y'a rien a bouffer ici!"

"Ben si, café, bacon, saucisses, viennoiseries ..."

"Mais on va devenir obèse en un repas !!"

"Bah ... si comme il le dit on va bruler de l'énergie après ..."

"Ah ben oui c'est vrai!!!"

Du coup, tout le monde est content et les deux copines s'empiffrent sans plus perdre de temps. C'est Chloé que Souta vient allumer alors qu'elle vient d'avaler une tranche de bacon. Il la surprend en lui roulant une pelle de première catégorie mais elle y répond comme elle le fait toujours, avec entrain et détermination. Alors qu'il lui malaxe les nibards, sa main vole vers l'entrejambe du garçon qui parvient à l'éviter.

"Je vais traiter Chloé comme la pute qu'elle est car elle ne demande que ça."

La pute en question lui claque la main.

"Pas de familiarités à table! Ca se fait pas!"

Mais elle sourit et Noriko aussi. L'asiatique hoche la tête mais son regard indique qu'elle espère aussi pouvoir y prendre son pied et ... Oh! Du shopping! Souta qui fait les magasins? Les filles pouffent. Avec elles, c'est une expérience qui pourrait lui pourrir sa journée. Si il s'engage sur ce chemin là, il va falloir qu'il soit solide.

"Allez on y va!"

La matinée a bien commencé avec un peut d'exercice et un petit déjeuner copieux pour les deux filles qui ont eu le temps de se faire toute belle et coquine pour attirer les regards. On n'a pas encore quitté l'appartement que je sens déjà que des couples vont battre de l'aile quand certains mecs vont se casser la nuque en se retournant vers elle tout en étant accompagné par leur nana. Les gens pensent qu'on voit ce genre de situation clichée que dans les séries comiques alors que pas du tout.

Avant de partir je vérifie que j'ai tout ce qu'il me faut en jetant un œil au sac à dos que j'avais préparé un peu plus tôt. Mon porte-feuille bien fourni dans ma poche gauche avec mon portable chargé, mes clés et deux capotes dans la droite... Je me tâte quelques secondes et décide de finalement tenter tout autre chose.

- Mouarf, on va faire sans, ce sera plus marrant.

Vêtu d'un simple jean et d'un débardeur pour aujourd'hui, je quitte l'appartement pour rejoindre les filles qui sont déjà en bas. Sans surprise une bande de sale crevards vient les accoster et il ne me faut pas plus de quelques secondes pour les faire dégager. Ici les réputations se font et se brisent en quelques minutes. Le plus gros trafiquant de la rue pourra en devenir la plus grosse victime d'un jour à l'autre en fonction des circonstances.

Histoire de les emmerder un coup, je me tourne vers le petit groupe tout en ricanant pour lâcher : - Désolé les gars, ce sera pas pour cette fois.

Parce que connaissant ces deux chaudasses, rien ne les empêchera de se faire farcir par ces même types un autre jour en boîte ou ailleurs si ils venaient à se recroiser. Sauf que pour ça il faudra attendre étant donné qu'elles sont à moi pour la journée.

Mon regard sur le tourne ensuite vers les filles pour leur demander de monter dans la bagnole en demandant à Chloé : - Toi tu vas derrière avec moi.

Le coup de la soirée à trois qui m'a littéralement explosée la bite m'a permis de me faire un petit pactole qu'on va pouvoir dépenser pour s'amuser sans compter. Le fric est fait pour être dépensé de toute manière. Loin de moi l'idée d'emmener du papier dans ma tombe après avoir une vécu de merde à force de prendre sur moi.

Une fois dans la bagnole il ne reste plus qu'à décider du lieu par lequel démarrer cette virée loufoque qui nous attend. Je me penche alors pour chercher Noriko du regard à l'aide du rétroviseur : - Je te laisse choisir où on va pour commencer.

Pendant ce temps je me repose tranquillement, le dos posé sur la banquette arrière de la voiture en profitant du vent frais qui entre par la fenêtre que j'ai ouvert quelques secondes plus tôt. J'ai bien des idées sur ce qu'on pourrait faire pour rendre le trajet plus amusant et pourtant je me retiens. Chaque chose en son temps.

Histoire de pas rester sans rien faire je lance la conversation : - T'es bien réveillée du coup ? J'espère que t'es prête à t'amuser car on va pas arrêter de la journée.

Et si tout va bien cela comptera pour 24h d'affilées.

Sur le trottoir, les filles battent le pavé en attendant Souta qui traine dans l'appartement. Forcement, dans ce quartier, il ne faut pas pus d'une minute pour qu'un groupe de types pas vraiment propres sur eux viennent les accoster.

"Z'êtes nouvelles ici? C'est qui vot' mac?"

Non mais c'est une blague! #J'yCroisPas! C'est mecs les prennent pour des prostituées! Noriko se braque et les envoie chier sèchement. Ensuite, la comparaison est probable, à l'image des vêtements qu'elles portent qui pourraient figurer dans n'importe quelle production pornographique. Les types s'emballent et heureusement, Souta débarque pour gérer la situation. C'est marrant comme avec lui, les choses deviennent toutes simples. Le groupe d'importuns laisse tomber et le trio s'engouffre dans la petite voiture de Noriko.

"Et mais pourquoi vous vous mettez tous les deux derrière?? On avait dit qu'on partagerait tout équitablement!"

Elle jette un regard d'avertissement à Souta dans le rétroviseur. Hors de question qu'elle manque quoi que ce soit!

"Je te laisse choisir où on va pour commencer."

Erreur Souta! Tu viens de refermer sur toi un piège mortel qui va te bousiller le cerveau. tu devrais avoir compris qu'à ces deux nénettes, il ne faut donner que des ordres et ne pas leur laisser le choix.

"Ok! Je sais par où on va commencer."

Et c'est parti! Nor démarre en trombe et fonce vers le centre ville.

"T'es bien réveillée du coup....?"

"Oui - Oui"

Elles répondent en même temps avant que Chloé reprenne la première.

"Je dors toujours bien quand j'en ai une grosse pas loin."

Ce n'est pas très poétique, ni correct, mais Chloé n'est pas du genre à prendre des chemins détournés pour dire ce qu'elle pense. D'ailleurs, puisqu'elle fait référence à Souta, elle le regarde alors qu'il se perd dans la contemplation de la ville par la fenêtre ouverte. Il a un beau profil et le vent qui agite ses cheveux lui donne un air encore plus rebelle et indépendant. Ils se côtoient maintenant comme s'il avaient toujours été ensemble. c'est un couple un peu particulier, énergique, qui détonne, mais il faut bien avouer qu'ils font la paire. Chloé pose sa main sur celle du jeune homme et elle aussi, se laisse absorber par le roulement de la conduite de Noriko. Elle glisse ses doigts entre ceux du garçon et les serre machinalement comme si elle venait s'y réfugier en sécurité. C'est un geste qu'elle ne mesure pas à cet instant mais qui veut dire beaucoup. Des petits amis, elle en a eu beaucoup, tellement qu'elle en perdu et le nombre, et pour certains, le souvenir. Souta, lui, n'est pas du genre a être oublié.

"Et toi ta jambe? Comment te sens-tu?"

C'était peut être la première fois qu'elle lui demandait de manière aussi sensible. Après tout, c'était sa faute à elle si tout ce foutoir avait commencé. Et en un sens, cela lui convenait car avec Souta, elle était bien. Et en plus maintenant ... il avait croisé toute sa famille #SuperLeGendre.

Mais chassez le naturel, il revient au galop. Après quelques minutes de sérénité, la main de Chloé s'arrachait à l'étreinte de celle du garçon et remontait le long de sa cuisse en quête d'un objet bien plus précieux.

De son côté, Noriko suivait les indications de son GPS. Elle les emmenait au Big Center Mall, l'énorme centre commercial du centre ville de Seikusu. Là, il y avait tout un tas de boutiques pour filles toutes plus intéressantes les unes que les autres.

Sur la banquette arrière, la main de Chloé avait passé l'obstacle de la braguette de Souta et y travaillait en souplesse. Elle le branlait très professionnellement sans que Noriko sans rende compte. Elle l'astiquait sur toute la longueur et frottait du pouce le gros gland gonflé.

Un léger sourire, légèrement moqueur, s'affiche sur mon visage lorsque les deux jeunes femmes décident de me répondre ensemble. Chloé y va même de sa petite remarque graveleuse dont elle a l'habitude pour mieux exprimer son état d'esprit actuel. Dans toute autre situation j'aurais répondu dans la seconde pour profiter de la situation. Peut-être que je n'en ressens pas le besoin étant donné que je peux faire ce que je veux quand je le veux avec ces deux-là qui ne sont jamais contre quoi que ce soit tant que ça les amuse.

Au bout de quelques minutes, mon esprit cesse de vagabonder en observant les immeubles de cette grande ville pour revenir dans cette voiture alors que ma voisine me demande comment ça va.

- Bien mieux. Comme t'as pu le vérifier ce matin.

La manière dont je le dis est posée, calme, alors que je sens très vite la main de Chloé s'amuser à lâcher la mienne pour venir se coller à ma cuisse. Un contact léger et court vu qu'elle se remet rapidement en quête de caresser cette bite qu'elle a déjà prise de manière brutale ce matin pour un réveil énergique.

- Ah... Tu parlais de cette jambe-là ?

On ne sait jamais sur quel pied danser avec elle et ma question est lâchée de façon volontairement ironique car je sais très bien qu'elle était sérieuse il y a une minute. Après le petit fun de se matin il en faudra de toute manière bien plus pour me provoquer une érection car je ne suis plus un puceau qui se met à avoir la trique au moindre contact, et ce peu importe si la nana qui cherche à me chauffer est une bombassse.

Amusé, je décide de jouer le jeu en glissant ma main gauche dans le dos de Chloé pour venir jouer avec un de ses énormes seins de manière sensuelle et délicate. C'est d'ailleurs un miracle qu'une taille poitrine puisse tenir dans un si petit haut. Le pauvre bout de tissu menace doit menacer de céder depuis qu'elle la enfilé.
Du coup je me contente de lui malaxer le nichon sans entrer en contact direct avec sa peau. Je me dis que ce n'est sans doute pas plus mal car ça évitera de l'encourager à aller trop loin pour le moment.

Depuis notre première rencontre j'ai eu la chance de goûter à chaque centimètre du corps parfaitement sculpté de Chloé. N'importe quel habitant de cette ville de queutard échangerait son royaume pour passer dix minutes avec elle sans sourciller. Il faut dire que ses seins sont parfaits. Parfaitement modelés, parfaitement lourds, parfaitement moelleux... Argh, voilà que j'ai déjà des idées qui me viennent en tête. Il ne faut pas que me laisse absorber par la situation.

Mon attention est rapidement détournée par le fait que l'on entre dans un sous-terrain vu que l'ombre obscurcit l'intérieur de la voiture.

- On est arrivé ?

Question purement rhétorique étant donné que Noriko se gare quelques secondes plus tard dans ce qui semble être le parking sous-terrain du plus grand centre commercial de la ville. J'échange alors un regard et un sourire avec Chloé avant de lui rouler une grosse galoche tout en retirant sa main de mon jean pour le refermer délicatement tout en quittant la voiture.

J'ouvre délicatement la portière pour sortir en faisant attention à ma jambe pour ensuite faire le tour par l'arrière du véhicule afin de retrouver les deux filles. L'endroit semble plutôt désert et il y a moins de bagnoles que je le pensais. En voilà une bonne nouvelle, ça voudra dire que les magasins ne seront pas bondés.

Le dos appuyé entre les deux portières du côté conducteur je les regarde en leur annonçant la couleur.

- Vous pouvez acheter tout ce que vous voulez à une seule condition : faut que ça rentre dans la bagnole.

Je pose alors la béquille que j'ai prise avec moi comme me l'avait demandé le doc pour accélérer la vitesse de guérison de ma blessure pour mieux me saisir de leur cul avec fermeté dans chacune de mes deux mains pour les faire se coller contre mon torse avant de venir coller mes lèvres aux leurs à tout de rôle. L'échange salivaire se veut vulgaire et très peu sensuel. Ma langue part rapidement investir l'intérieur de la bouche de la première pour visiter celle de la seconde après un bref mouvement circulaire de la tête vu que je n'ai pas besoin de bouger mon corps d'un centimètre.

La température de leur corps se propage rapidement pour faire monter la mienne le temps d'un instant. Quelques minutes qui passent très vite alors que je les libère pour me saisir à nouveau de ma béquille pour reprendre mon souffle. L'air frais du parking sur ma peau me donne la chair de poule maintenant qu'elles ne sont plus collées à moi.

Animé d'un large sourire sur le visage je leur demande ensuite : - Bon, on y va ?

"On y va!!!!!!!!!!!!!!!"

Le cri de Chloé résonne dans le parking du mall. Des passants se retournent devant le duo qui mène un homme vers une mort commerciale certaine. Les deux filles encadrent Souta et se dirigent vers les ascenseurs. Le Big Center Mall est le centre commercial de Seikusu qui regroupe toutes les plus grandes marques du monde, que ce soit fashion ou cosmétiques, sport ou high tech et quantités de restaurants de tout genres. En attendant sur le palier, ils sont rejoints par une foultitude de gens et quand les portes s'ouvrent, c'est la ruée. Un type de petite taille se retrouve compressé contre Chloé, son visage à la limite d'être englouti par le creux de sa poitrine. Noriko se retrouve avec un ado pré-pubère vissé à sa cuisse comme un petit chien en manque d'affectation. Quand à Souta, il récupère les deux marmots insupportables qui braillent tout ce qu'ils peuvent. Ca commence bien mais le trajet est court et au rez de chaussée, l'ascenseur se vide comme une outre trop pleine. Le trio déboule dans un hall gigantesque, ultra moderne, serti de galeries sur de nombreux niveaux: l'antre de la dépense!!

"On va par là!"

"Non! Par là!"

"Mais ...j'ai faim!"

"On mangera après Nor! Ne commence pas!!"

La petite asiatique tape du pied, croise les bras mais juste après, ses yeux s'écarquillent.

"OOOOOOHHH !!! OOOOOOHHH !!!"

Les filles ont la même réaction. Une nouvelle boutique d'une marque française réputée de prêt à porter vient d'ouvrir et elles n'étaient pas au courant. Du coup, leur décision est prise et elles entrainent Souta derrière elles. Les vendeuses les voient arriver d'un œil tout professionnel et s'inclinent pour leur souhaiter la bienvenue. Elles répondent en cœur et foncent chacune de leur côté pour faire les rayons. Conseillées par les expertes, elles choisissent une tenue, puis une deuxième et une troisième au cas où avant de rejoindre les cabines d'essayage.

"SOUTA!!"
"SOUTA??"
Une jolie petite vendeuse lance au jeune homme un sourire compatissant.

"Je crois qu'on attend votre avis..."

Dans l'espace restreint qu'est sa cabine, Chloé a passé un ensemble très mignon, suggéré pour les confessions intimes. Son corps exquis est encore plus mis en valeur et sa poitrine semble vouloir jaillir du top en résille. Est-ce que Souta va aimer?

"Tu peux venir me dire ce que tu en penses avant que j'essaye les autres?"

Quand à Noriko, presque plus sage, elle a choisi une belle robe de soirée en satin blanc qui ne laisse échappé aucun détail de sa plastique. C'est elle qui sort de sa cabine pour se produire devant Souta ... et les clientes, déjà jalouses, du magasin.

"TADAAAA!!! Alors? Comment je suis?"

Chloé la rejoint dès qu'elle l'entend.

"Tu trouves tout le temps le moyen de te faire remarquer!!"

"Quoi? T'as peur que je pique la queue de ton mec?"

La directrice du magasin, présente à quelques mètres, commence subitement à transpirer.

Comme à leur habitude, le duo se lâche. Que ce soit pour se disputer comme pour se mettre d'accord sur un autre sujet dans la seconde qui suit avant de m'attirer dans un magasin tel un trou noir dont on ne peut s'extirper.

Il ne leur faudra pas plus de quelques minutes pour trouver leur bonheur et foncer chacune dans une cabine d'essayage différente qui semble assez spacieuse pour le peu que je peux en voir d'un coin de l’œil lorsqu'elles me demandent implicitement de les suivre. Je réponds d'ailleurs d'un sourire à la vendeuse en ajoutant : - Si seulement...

Alors que Chloé me demande de lui donner mon avis sur le premier ensemble de son choix, c'est Noriko qui sort la première de sa cabine dans une petite tenue moulante qui ne laisse pas beaucoup de place au mystère en ce qui concerne ce qu'elle a à offrir en-dessous.

- Wow, très s-...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que sa copine débarque à son tour pour remettre les pendules à l'heure devant une gérante qui a rapidement compris que sa journée risque d'être très longue.
Au début assis sur un petit banc au milieu de l'espace réservé aux essayages, je me lève rapidement et place un index devant la bouche des deux filles en même temps pour leur faire comprendre de baisser légèrement le volume.

- On se calme, les filles.

D'un coin du regard je peux constater que ce court échange à attirer les regards de toute la clientèle qui demande ce qui se passe. On peut également entendre des bribes de conversation entre des personnes qui se demandent comment elles peuvent être aussi vulgaires dans un magasin aussi réputé.

Je me tourne en premier vers Chloé : - Sans vouloir chercher à la défendre, c'est dur de ne pas vous remarquer quand vous sortez. De la sortie de l'ascenseur jusqu'ici j'ai dû voir 3-4 mecs se faire un torticolis pour pouvoir vous mater.

Le doigt qui se trouve devant les lèvres de Noriko s'éloigne de son visage pour permettre à ma main de se poser sur une de ses cuisses fines à la peau si douce et délicate pour remonter délicatement jusqu'à son petit cul d'asiatique alors que je lui lâche : - Pour répondre à ta question, tu es superbe là-dedans. Mais soyons honnête, tu le sais déjà.

J'effectue alors un pas en arrière pour mieux les regarder toutes les deux afin de leur proposer quelque chose : - On va essayer d'éviter de se faire virer avant d'acheter ce que vous voulez, okay ? Et histoire de pas faire de jalouse, je vais rester ici a attendre que vous vous changiez et je viendrais vous rejoindre directement à l'intérieur pour vous donner mon avis. Ca vous va ? Vous aurez qu'à m'envoyer un texto.

Noriko semble être d'accord de son côté et j'attends qu'elle retourne dans sa cabine pour m'engage avec Chloé dans sa cabine : - Attends, je veux vérifier un truc avant que tu te décides de prendre ces fringues. Viens...

Je me lève alors pour lui attrape la main et l'emmener avec moi dans sa cabine alors qu'une vendeuse tente vainement de m'en empêcher à demi mots : - Non, monsieur, vous ne pouvez pas...

Une fois à l'intérieur je constate que ces cabines sont véritablement aussi spacieuses que je l'avais remarqué un peu plus tôt. Un doux parfum de lavande m'emplit rapidement les narines tandis qu'une douce musique y est joué. Sans doute pour détendre la clientèle pendant ses essayages.

Seul avec Chloé, je ne perds pas de temps et commence à déboutonner mon jean que je laisse tomber à mes chevilles tout en admirant le haut déformé par ses énormes nichons qu'elle porte.

- T'es sûre que ce haut est assez résistant ? On voudrait pas qu'il lâche le moment venu. Essaie de voir si il tient le choc en me branlant entre tes seins comme la dernière fois.

On est venu s'amuser également après tout et ce n'est qu'un avant-goût. Je ne compte pas aller jusqu'au bout ou lui éjaculer dessus trop tôt. Non, je veux juste la chauffer encore un peu pour plus tard car je sais l'effet que peut avoir la frustration sur elle. Une chose dont je compte bien tirer avantage pour lui offrir une journée aussi inoubliable que tordue.

Chloé qui boude, c'est une enfant de cinq ans qui fait la tête en fronçant les sourcils. Souta à prit le parti de sa copine sans même hésiter une seconde. Et en plus, c'est elle qu'il complimente en premier. La jeune tornade effectue un demi tour sec pour retourner dans sa cabine et tirer le rideau derrière elle. Noriko de son côté triomphe brièvement mais déchante dès que leur Don Juan la remet en place elle aussi. Il y met les formes mais elle aurait préféré une victoire nette sur Chloé qui pour une fois ne rafle pas tous les prix. Elle hoche la tête et s'apprête à aller essayer une nouvelle tenue quand Souta s'engage derrière Chloé. La petite asiatique va les apostropher quand les paroles du garçon resurgissent ... ne pas alarmer tout le centre commercial ... ok, elle va faire un effort. A ce moment-là, la directrice du magasin se précipite pour interrompre les deux tourtereaux avec la ferme intention de sortir Souta de là. Noriko s'interpose aussitôt.

"Non! C'est  .... Il peut ... C'est son frère!!!!!"

Elle inspire un grand coup.

"Elle ne sait pas s'habiller et veut faire plaisir à son amoureux. Il va juste la conseiller sur ce qu'il faut porter ou pas!!!"

L'autre ne parait pas vraiment convaincue mais comme certaines clientes tendent l'oreille, elle se précipite alors vers elles pour détourner leur attention. Noriko souffle. Elle sait déjà qu'il doit faire très chaud dans la cabine de Chloé. Et c'est bien vrai. L'affront précédent est déjà oublié. Souta sait y faire et de toute manière, quand il s'agit de cul, elle a une volonté de courgette.

"Haannn! T'es vraiment un cochon! Même ici, tu ne peux pas te retenir?"

Elle tombe à genoux devant son homme et s'attaque à la braguette et au bouton du pantalon qui tombe sur les chevilles du garçon.

"Ils te plaisent tant que ça?"

Elle prend ses seins à deux mains et les soulève comme si elle voulait les poser sur un plateau. Son joli petit visage se transforme en celui d'une créature dédiée à la luxure et en trois mouvements de poignets, elle s'assure que la rigidité de Souta soit suffisante. C'est le cas et elle se redresse un peu pour trouver une bonne position. Elle glisse le sexe de Souta entre la résille du top noir et sa peau, puis aussi sous l'élastique léger du soutien gorge en dentelle. Ainsi maintenu, elle n'a même pas besoin d'utiliser ses mains. Elle ramène juste un peu ses bras contre elle et la nature fait son office. La queue du garçon disparait dans cet écrin mammaire et elle lui fait un clin d'œil pour l'inciter à se lâcher. Elle lui murmure juste, que personne ne l'entende.

"Tu peux me dire des choses dégueulasses si tu veux ..."

"J'ai entendu!" répond Noriko qui elle aussi est passée dans sa cabine pour se changer. L'ensemble qu'elle a trouvé à de quoi surprendre mais la boutique sait s'adapter à toutes les clientèles, et la jeunesse d'aujourd'hui, même au Japon, n'a pas froid aux yeux. La photo qu'elle prend d'elle et qu'elle envoie à Souta n'a qu'une seule vocation, et le commentaire qu'elle laisse aussi: "et les miens, ils te plaisent aussi?"

La situation évolue très rapidement dans cette cabine d'essayage des plus spacieuse. Je m'y sens particulièrement à l'aise et je le montre rapidement à ma petite camarade qui se fait un plaisir d'accepter ma demande.

- Assez, ouais.

Si il existe un hétéro à ne pas avoir eu envie de faire des trucs avec ses nichons en dehors de son paternel, j'aimerais bien le rencontrer. La pression se fait rapidement sentir sur mon membre alors qu'elle se contente de le glisser sous son soutif.
Le genre de compression qui me rappelle une fois où je me suis fait branler par une nana qui portait encore une brassière de sport hyper moulante alors qu'elle n'avait pas les même atouts que Chloé.

La douceur de sa peau, la fraîcheur des lieux et le fait de ne pas être sous l'effet d'un médicament venu de nulle part ou de ne pas être obligé de me retenir d'en profiter comme l'autre soir rend l'expérience plus agréable. Un long soupir s'échappe de ma bouche alors que je la regarde en articulant difficilement une réponse à sa remarque après avoir entendu celle de Noriko.

- On sait tous les deux que tes seins sont fait pour branler ma grosse queue.

A peine quelques secondes passent que le son signifiant de la réception d'un message se fait entendre depuis mon portable. Mon regard quitte celui de la bimbo pour vérifier de quoi il s'agit. Mes deux mains viennent alors se poser sur la poitrine de Chloé pour la maintenir en place alors que je descends le bassin pour me retirer comme je le peux de cet étau qui m'écrasait complètement la trique.

Le sexe à l'air, celui-ci peut enfin retrouver sa liberté et s'oxygéner après cette épreuve aussi agréable que suffocante. En tout cas il va absolument falloir qu'on remette ça rapidement en allant jusqu'au bout. Un grand sourire aux lèvres, j'attrape mon jean dans lequel je glisse mon bout de viande tendu avec difficulté en lui lâchant : - Bouge pas, je reviens !

Le jean boutonné mais avec la braguette baissée, je change de cabine à la vitesse de l'éclair sans que l'employée qui supervise cette partie de la boutique ne s'en aperçoive. Noriko non plus ne m'a pas entendu arriver visiblement.

Ni une, ni deux, j'en profite pour déboutonner mon futal, laisser sortir la marchandise et la glisser sous la culotte minuscule de son ensemble qui se déforme logiquement face à la pression exercée par mon gland.

- Merde, il fait chaud et humide là-dessous.

Un lent mais sensuel va-et-vient s'installe grâce à un mouvement de hanches fluide de ma part. Encore un peu essoufflé, je soupire dans son oreille quelques secondes tout en laissant ma hampe s'humidifier et se réchauffer contre ses lèvres intimes en faisant semblant de chercher à la pénétrer.

Mes mains viennent ensuite se glisser sous son haut minuscule et moulant pour se saisir de sa poitrine ferme. Le volume à beau être moindre, il y a clairement assez de matière pour s'amuser.
Ce geste m'a d'ailleurs fait perdre le rythme car voilà que je me retrouve avec la bite qui s'est coincée entre ses deux petites fesses quand j'ai voulu reculer trop brusquement.

- Vous me faites tellement bander toutes les deux, même séparément.

Le petit jeu peut donc continuer.

Pour une fois, Chloé n'en fait pas tout un cirque. Ils ont toute la journée pour eux et elle a bien pris en compte les recommandations de Souta quelques minutes plus tôt. Qu'il aille faire un tour avec Noriko, elle le reprendrait de tout manière bien assez tôt. La tornade tira sur la résille et sur son soutien-gorge pour le laisser sortir et elle constata toute contente qu'il laissait quand même entre ses seins un résidu odorant qu'elle préleva du bout du doigt avant de le suçoter. Le garçon disparut de sa cabine aussi vite qu'il y était entré pour basculer dans celle d'à côté. Son irruption fut telle que Noriko laissa échapper un petit cri de surprise avant de battre des mains et d'afficher un sourire ravi quand sans prévenir, Souta insère son sexe dans sa culotte.

"C'est toujours chaud et humide là-dessous Souta! Et toi tu me délaisses toujours pour l'autre grosse vache laitière!"

Un coup retentit dans la paroi qui les sépare de Chloé.

"Hey! Moi aussi j'entends! C'est pas ma faute si il préfère des gros nibards à une planche à pain!"

"Pfff"

Ces deux là n'arrêtent jamais mais elles sont les meilleures amies du monde. Leurs petites piques ne servent en réalité qu'à se dire qu'elles s'aiment énormément.

Souta glisse souplement contre les lèvres trempées de la chatte de Noriko. bien que moins exubérante que sa copine, elle n'en reste pas moins super mignonne et son corps est une invitation à la damnation. Le garçon joue un peu avec elle alors qu'elle ne demande qu'à se faire sauter, comme toujours. Elle gémit quand il la pelote et elle hoquète discrètement quand Souta se loupe un peu plus bas.

"Attends deux secondes!"

L'asiatique plonge la main dans son sac et en sort un petit tube de lubrifiant #JePenseATout. Elle le débouche et s'en verse quelques gouttes dans le creux de sa paume. Elle s'écarte ensuite de Souta de quelques centimètres, lui attrape la queue et le branle rapidement avant de frotter un point bien précis entre ses fesses. C'est là qu'elle guide ensuite le gland gonflé, contre sa rondelle et qu'elle presse doucement contre lui. il peut voir son visage de diablesse dans le miroir quand elle susurre:

"Moi aussi je peux être ta pute tu sais ..."

Et puis ...

"Aujourd'hui, c'est à mon tour de te boire. Je t'interdis de gicler ailleurs que dans ma bouche!!"