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Pour une fois, Chloé n'en fait pas tout un cirque. Ils ont toute la journée pour eux et elle a bien pris en compte les recommandations de Souta quelques minutes plus tôt. Qu'il aille faire un tour avec Noriko, elle le reprendrait de tout manière bien assez tôt. La tornade tira sur la résille et sur son soutien-gorge pour le laisser sortir et elle constata toute contente qu'il laissait quand même entre ses seins un résidu odorant qu'elle préleva du bout du doigt avant de le suçoter. Le garçon disparut de sa cabine aussi vite qu'il y était entré pour basculer dans celle d'à côté. Son irruption fut telle que Noriko laissa échapper un petit cri de surprise avant de battre des mains et d'afficher un sourire ravi quand sans prévenir, Souta insère son sexe dans sa culotte.
"C'est toujours chaud et humide là-dessous Souta! Et toi tu me délaisses toujours pour l'autre grosse vache laitière!"
Un coup retentit dans la paroi qui les sépare de Chloé.
"Hey! Moi aussi j'entends! C'est pas ma faute si il préfère des gros nibards à une planche à pain!"
"Pfff"
Ces deux là n'arrêtent jamais mais elles sont les meilleures amies du monde. Leurs petites piques ne servent en réalité qu'à se dire qu'elles s'aiment énormément.
Souta glisse souplement contre les lèvres trempées de la chatte de Noriko. bien que moins exubérante que sa copine, elle n'en reste pas moins super mignonne et son corps est une invitation à la damnation. Le garçon joue un peu avec elle alors qu'elle ne demande qu'à se faire sauter, comme toujours. Elle gémit quand il la pelote et elle hoquète discrètement quand Souta se loupe un peu plus bas.
"Attends deux secondes!"
L'asiatique plonge la main dans son sac et en sort un petit tube de lubrifiant #JePenseATout. Elle le débouche et s'en verse quelques gouttes dans le creux de sa paume. Elle s'écarte ensuite de Souta de quelques centimètres, lui attrape la queue et le branle rapidement avant de frotter un point bien précis entre ses fesses. C'est là qu'elle guide ensuite le gland gonflé, contre sa rondelle et qu'elle presse doucement contre lui. il peut voir son visage de diablesse dans le miroir quand elle susurre:
"Moi aussi je peux être ta pute tu sais ..."
Et puis ...
"Aujourd'hui, c'est à mon tour de te boire. Je t'interdis de gicler ailleurs que dans ma bouche!!"
De ce que je pouvais voir jusque là de ma position, Noriko s'en sortait sans trop de souci avec le couple venu ici pour pimenter son quotidien ou renforcer leur amour. Même si l'un n'empêche pas l'autre quand on sait bien s'y prendre. Sauf que la japonaise ne devait visiblement pas s'attendre à se prendre un deuxième chibre prêt à lui ouvrir son tout petit cul.
Si j'étais pas déjà occupé ici je serais volontiers allé les rejoindre rien que par curiosité pour voir comment la nature peut réaliser de tels miracles. Parce qu'avec un physique comme le sien on est obligé d'utiliser ce mot.
- Attends, mec, j'ai une idée.
- Arrête, j'ai déjà du mal à tenir.
- Tu vas voir, ça va être grandiose. Essaie de te lever.
- Euh... okay.
Le mari s'exécute sous le regard d'abord surpris de son épouse. Puis très rapidement ses yeux s'illuminent en voyant ce que cherche à faire l'inconnu maintenant que le trio est debout avec les deux hommes dans le rôle des tranches de pain et de Noriko dans celui du morceau de viande qui se faire écraser dans un premier temps.
Même les deux hommes qui les ont aidés à soulever le corps frêle de la japonaise restent où ils sont pour lui tenir les jambes écartées et levées tout en profitant du doux son de sa voix alors que le duo de circonstance se remet rapidement à la pilonner comme deux brutes. Par fois à tour de rôle pour qu'elle se prenne une bite à la fois, parfois en même temps pour augmenter l’élasticité de son étoile qui doit être mise au supplice.
Il ne leur faudra pas plus d'une dizaine de minutes à l'enculer copieusement pour ajouter leur propre mayonnaise maison à ce sandwich.
- Aaaah, je vais pas tenir.
- Moi non plus. Elle est trop bonne.
- J'arrive pas à sortir, tu me bloques.
- C'est toi qui me bloques.
Si ça se trouve c'est tout simplement le rectum de leur victime qui est en train de se contracter car elle est en train d'enchaîner les orgasmes. Entre le manque d'oxygène et le fait d'être totalement suspendue en l'air et dépourvue de toute liberté, elle est incapable de leur faire la moindre remarque. Heureusement l'épouse est là pour leur dire quoi faire.
- Vous attendez quoi ? Balancez tout dans son cul ! Une salope dans son genre doit attendre ça depuis tout à l'heure.
L'ordre de l'épouse sonne comme une libération pour les deux hommes qui se lancent dans un dernier effort pour l'enculer aussi fort et profondément que possible à l'unisson. Leur dernier coup de rein simultané font vriller Noriko dont on peut voir les orteils se crisper.
Chaque membre de ce trio se met à trembler de la tête aux pieds alors que l'on peut voir du sperme gicler et dégouliner de son orifice déformé. Le tout sous les "Wooooow" de la foule qui admire le spectacle.
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Il faut croire que je ne suis pas plus insensible que les autres à ce genre de démonstration car mes mains viennent pétrir un peu plus le gros cul de Chloé pour y enfoncer ma bite sur toute la longueur. Jusque là j'y étais allé tranquillement pour l'habituer car je craignais dans un coin de ma tête que la situation déconne autant que la dernière malgré ses commentaire plus tôt.
Une fois bien au fond je peux sentir la peau brûlante de ses miches sur mon pubis tandis que mes couilles ont droit au même traitement lorsqu'elles viennent se coller à sa peau transpirante. La sueur de ma belle salope fait même coller le temps d'une seconde la peau de mes boules sur celle de son cul lorsque j'effectue le chemin inverse.
Voir les mecs échanger leur place devant elle me coupe un peu dans mon élan et je ne peux pas les laisser faire si je veux en profiter complètement. C'est pourquoi je leur dit d'arrêter ou d'attendre que je termine.
- Vous faites chier ! J'essaie de lui casser le cul et vous me casser mon rythme car vous arrivez pas à tenir deux minutes.
Résumé, si quelqu'un veut se faire sucer qu'il vienne. Par contre faut qu'il tienne un moment sinon il viendra lui cracher à la gueule quand j'aurais terminé comme les autres. En attendant je viens prendre position sur elle en venant me presser un peu plus contre son dos en lui tenant les fesses avec une seule main tandis que l'autre prend appuie sur son crâne que j'écrase contre le sol en attendant qu'un candidat digne de ce nom ose venir nous interrompre.
- Ca faisait trop longtemps que j'attendais ça.
Et au rythme où remue mon bassin pour venir lui ouvrir les entrailles elle doit déjà s'en douter.