Après avoir rempli ma fiche désormais validée, me voilà à lister quelques idées de RP.
Etant un errant, je me « promène » entre 15ème et 21ème siècle, avec parfois des retours en arrière chronologiques, mais, d'une vie à l'autre, je ne garde que mon triskell et ma dague, mon apparence physique avec parfois une ride de plus, voire des éclairs de mémoire sur un événement vécu dans une autre vie.
1 – Je me retrouve en 2013, dans un monde qui est loin de celui de mes jeunes années. A la fois naïf de ce fait, et un peu déboussolé par toute cette technologie, je me retrouve pris en charge par une jeune femme. Mais est-elle là pour m'offrir sa tendresse ou pour abuser de ma crédulité ? Seul le déroulement le dira...
2 – Je me retrouve en 1801, voyant le divin marquis embarqué par les gendarmes, et me retrouvant par hasard seul dans son cabinet, tandis qu'une femme, croyant avoir affaire à lui, toque à la porte ; Si, en arrivant, je ne connaissais pas les penchants du divin marquis, je vais vite apprendre !
3 – La débâcle de 1940, tout le monde fuit comme il peut. Je me retrouve dans cette horde errante, cherchant un toit pour la nuit, lorsqu'une femme me propose son hospitalité. La même trame peut se situer au lendemain de la révolution de 1789 lorsque les plus chanceux des nobles se retrouvent sur les routes, fuyant les révolutionnaires assoiffés de vengeance.
4 – Russie 1917, la révolution est en marche, le Tsar et ses proches n'ont plus aucune issue pour fuir. A peine arrivé dans ce drame, que je me retrouve prêt à mourir pour mon souverain dans le palais assiégé, lorsqu'une servante me montre un passage dérobé par lequel nous pourrions fuir, rien que nous.
5 – Le Roi Soleil, le palais de Versailles, les fastes mais aussi les vilenies, les courtisanes mais aussi les traquenards, le plaisir mais aussi la mort. Les femmes sont « à disposition » des nobles, à moins que ce ne soient elles qui les soumettent à leurs volontés. Ma naïveté risque d'être mise à mal dans cet univers diabolique.
6 – Un couvent, hors du temps et des routes. Une nouvelle errance m'a mené à sa porte, quémandant quelque nourriture voire l'hospitalité pour la nuit. En cet univers dédié à la prière et exempt de tout homme, y aura-t-il quelque âme charitable pour me laisser entrer, voire pour me tenir compagnie alors que la nuit tombe ?
7 – Bien, qu'errant d'une vie à l'autre, après avoir toqué tantôt à la porte du paradis, tantôt à la Porte de l'Enfer, je ne sais pas ce qu'est une succube, ni ses origines physiologiques, ni ses desseins et ses appétits. Cela me rendra d'autant moins méfiant et d'autant plus curieux envers celle qui croisera ma route d'errance.
Si la notion historique existe, le souhait de hentaï est à chaque fois implicite.
Si je me suis calé sur personnage et personnalité, je suis néanmoins à l'écoute de toute idée.